Exposé de SI GROUPE 3
Exposé de SI GROUPE 3
Exposé de SI GROUPE 3
Union-discipline-travail
EXPOSE
BASE DE L’INFORMATION
Thème :
Quelle politique organisationnelle pour
une entreprise en période
concurrentielle et pandémique
INTRODUCTION ................................................................................................................................. 2
CONCLUSION .................................................................................................................................... 37
BIBLIOGRAPHIE .............................................................................................................................. 38
WEBOGRAPHIE ................................................................................................................................ 39
1
INTRODUCTION
Toute société pour une parfaite entente et convivialité, se doit de respecter certaines
règles qu’elle se sera fixées, ainsi une agglomération se dira, entreprise se elle est organisée et
donc chaque acteur veille au bon maintien de cette organisation. Bien qu’une entreprise soit
bien organisée il peut arriver de façon attendu ou inopinée des aléas menaçants sérieusement
ses objectifs, entre autres, faire profits, former son personnel et entretenir de bonnes relations
avec la clientèle, et donc favorisant sa chute.
Dans la suite de notre travail, nous essayerons tant bien que mal de présenter des
solutions à cette problématique, tout en abordant dans un premier temps la politique
organisationnelle que doit avoir une entreprise en période concurrentielle et dans un second
temps la politique organisationnelle qu’une entreprise doit avoir en période pandémique.
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I. GENERALITE SUR L’ENTREPRISE ET
L’ORGANISATION
1. Qu’est-ce qu’une entreprise ?
Il n’existe pas de définitions universelle de l’entreprise. Elle dépend de l’approche que l’on
choisit. Il existe trois types d’approche :
L’approche ´économique
L’approche sociologique
L’approche systémique
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La différenciation par le produit considère ses caractéristiques intrinsèques, à savoir
sa composition, sa qualité, son aspect marchand (garanties, assistances, ...).
Prix
Il existe deux stratégies en matière de différenciation par le prix : soit une stratégie
d’écrémage qui consiste à fixer les prix plutôt plus élevés que le concurrent, soit
une stratégie de pénétration de marché qui consiste à fixer les prix plutôt moins
élevés que le concurrent.
Le prix de vente d’un produit est déterminé par quatre facteurs :
Coût de reviens.
Concurrence.
Demande (clients), on prend en compte la notion de prix psychologique.
Réglementation en matière de fixation de prix (ex : dans le secteur pétrolier en
période de crise).
Place (Distribution)
Généralement un produit de haute gamme vendu cher est destiné à un réseau de
distribution sélectif. Il importe de distinguer canal de distribution, circuit de
distribution et réseau de distribution.
Un canal de distribution, c’est la voie d’acheminement d’un produit entre deux
intermédiaires dans un circuit de distribution.
Un circuit de distribution est l’ensemble des canaux de distribution.
Un réseau de distribution est l’ensemble des circuits de distribution.
Publicité (& Promotion)
Ces procédés concernent la communication autour du produit. Un gros budget de
communication au lancement d’un produit permet de se démarquer de la
concurrence.
La publicité consiste à attirer les consommateurs (ou prospects) vers le produit
(stratégie « pull »). La publicité joue trois rôles :
Rôle cognitif
Rôle affectif
Rôle conatif
La promotion consiste à pousser le produit vers le consommateur (stratégie « push
»). Le dosage et la cohérence des quatre « P » constitue le Marketing-Mix (terme
apparu dans les années 80).
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Qu’est-ce que le positionnement ?
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savoir-faire. Leur stratégie est celle de l’adhésion, c’est-`a-dire de l’attrait de la carrière. Pour
que l’entreprise puisse fonctionner, compte-tenu des stratégies individuelles élaborées par les 3
acteurs identifiés, il faut donc un consensus ou compromis organisationnel.
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Figure 2 : L’interaction des éléments internes de l’entreprises avec leur environnement
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Secteur secondaire : il correspond aux activités de transformation des matières
premières en produits finis. On trouve ces activités dans les firmes (entreprises
industrielles).
Secteur tertiaire : il correspond aux activités de production de services (banques,
assurances, garagiste. . .). De nos jours, on constate un déplacement de l’emploi à partir
du secteur primaire vers le secteur tertiaire.
2.1.4. La filière
Une filière regroupe plusieurs activités. Un produit est mis à la disposition de
l’utilisateur (client final) par une succession d’opérations effectuées par des entreprises ayant
des activités diverses.
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Si l’on considère le marché final (aval), on peut définir une filière comme l’ensemble
articulé des activités productives qui l’alimentent.
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En effet, il n’existe pas de distinction entre le patrimoine personnel et celui de
l’entreprise. On dira que l’entreprise n’a pas de personnalité morale. Compte-tenu des risques
liés `a la création d’une entreprise individuelle, on a pensé à l’EURL.
Depuis août 2003, la loi « pour l’initiative économique » permet désormais la création
d’une EURL (ou SARL) à 1€ en un jour.
Pourquoi 1€ ?
Pour favoriser la création d’entreprises (qui reste le principal objectif).
Pour pallier au problème financier (difficulté de réunir 5500€).
Pour pallier au problème lié à la responsabilité. La loi prévoit de dresser une liste
des biens du
Créateur ne rentrant pas dans le cadre de l’activité. Cette liste ne doit pas comporter
d’avoir sur un compte à vue.
Pourquoi 1 jour ?
Un autre frein à la création d’entreprises est la lenteur administrative.
Pour plus d’informations sur cette loi, voir le site de l’agence pour la création d’entreprise (http
://www.apce.fr).
Qu’est-ce qu’une société ? Une société peut être définie comme un contrat entre deux
personnes (sauf dans le cas d’une EURL) pouvant nécessiter des apports exigés (en numéraire,
en nature, ou en industrie), pouvant donner naissance à une personne morale après
immatriculation au RCS (Registre du Commerce et des Sociétés). Avec la nouvelle loi, on peut
commencer ses activités sans avoir été préalablement inscrit au registre.
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Les sociétés de personnes : les SNC (Société en Nom Commun)
SARL (Société à responsabilités limitées) Pour créer une SARL, il faut un minimum de 2
personnes et un maximum de 100 personnes. Cette création nécessite un apport minimum exigé
de 5500€ (possibilité de création à 1€ en un jour). Lorsqu’on accepte un 101e associé, la SARL
doit changer son statut en SA (Société Anonyme). L’acceptation d’un associé dépend de
l’accord des associés de la SARL.
SA (Société anonyme) Pour créer une SA, il faut uniquement un minimum de 5 personnes (pas
de maximum requis). Cette création nécessite un apport minimum exigé de 35000€. Cet apport
minimum exigé passe à 225000€ lorsqu’on fait appel à l’épargne publique (lorsqu’on s’adresse
à une société financière pour récolter les fonts).
Une TPE est caractérisée par un effectif inférieur à 10 salariés. Le chiffre d’affaires
d’une TPE est inférieur à 2000000€ (anecdote : 61% des TPE françaises n’ont pas de salariés).
PE (petite entreprise)
ME (moyenne entreprise)
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Une ME a un effectif compris entre 50 et 199 salariés. Son chiffre d’affaires est inférieur
à 20000000€.
Une GME a un effectif compris entre 200 et 499 salariés. Son chiffre d’affaires est
inférieur à 50000000€.
GE (grande entreprise)
Une GE a un effectif supérieur ou égal à 500 salariés. Son chiffre d’affaires est supérieur
à 50000000€.
Il faut noter qu’on reprend ici uniquement le classement de l’UNEDIC. Il existe d’autres
classements, selon les divers organismes.
L’intérêt de connaître son effectif est de connaître les seuils sociaux. Les seuils sociaux
correspondent à un effectif au-dessus duquel l’entreprise est soumise à certaines obligations.
Voici certains seuils :
Au 11e salarié.
Election d’un délégué de personnel.
Au 25e salarié.
Création d’un réfectoire.
Au 50e salarié.
Election d’un délégué syndical (avec ses droits. . .).
Instauration d’un comité d’entreprise.
Instauration de la « participation des salariés à l’expansion ». Cette participation est
calculée à partir du bénéfice net de l’entreprise, des capitaux propres, des salaires et
.
de la valeur ajoutée : P = (BN − 5% Capitaux propres) × . Cette
.
participation est calcul´ee tous les ans mais elle bloquée pour une période de 5 ans
sauf dans certains cas : départ, surendettement, séparation (divorce, décès. . .) et
accessoirement le prix de l’essence.
Mise en place d’un comité d’hygiène de sécurité et des conditions de travail
(CHSCT).
Au 300e salarié.
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Bilan social obligatoire et publié tous les ans (décrit les fonctions antérieures et les
plans d’évolution de carrière des salariés).
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connaissances peuvent diverger : une entreprise, une administration publique, un syndicat, un
parti politique, une association, etc.
Les organisations ne sont pas toutes de même nature. Elles se distinguent les unes des
autres au premier chef par la manière dont l’autorité y est distribuée. L’autorité est ici entendue
comme la capacité reconnue à prendre ou faire prendre des décisions.
Le leader incarne par sa vision, sa personnalité et/ou son expertise une autorité qui lui
est reconnue par ceux sur lesquels il l’exerce. Il assure l’ensemble du travail d’intégration et
construit une organisation à son image sans aucun contre.
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3.2. L’organisation bureaucratique
Aussi surprenant que cela puisse paraître au premier abord, l’organisation
bureaucratique et l’organisation personnalisée sont deux variantes d’un même modèle. Le mode
de régulation des comportements est le seul paramètre de conception sur lequel ces deux types
d’organisation se différencient véritablement. L’organisation personnalisée est complètement
informelle là où l’organisation bureaucratique est on ne peut plus formalisée. Les contributions
individuelles sont formalisées à travers des postes aux frontières précises. Par ailleurs, chaque
problème de coordination est traduit en procédure. En suivant les règles, on se coordonne sans
avoir besoin ni de se voir ni même de se parler.
L’autorité déléguée doit, d’une manière ou d’une autre, trouver une légitimité auprès de
ceux sur lesquels elle est exercée. Contrairement à celle du leader, la légitimité du manager
n’est pas directement liée à sa personnalité ou à son expertise. Elle est moins liée à ce qu’il est
qu’à ce qu’il fait, à la manière dont il exerce la fonction de management, à ce qu’on appelle
couramment son style de management. Il doit expliquer, écouter, faire participer, valoriser,
donner du feedback et de la reconnaissance…
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ressources financières, technologiques, matérielles et humaines. L’efficience, c’est-à-dire la
manière dont les ressources sont utilisées, est un enjeu stratégique aussi important que
l’efficacité. Les deux critères de performance ne sont pas hiérarchisables.
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5. La réalité organisationnelle est plus locale que globale
L’organisation d’une entreprise peut être uniforme. C’est le cas, par exemple, de nombre
de PME dont l’organisation est uniquement personnalisée. Mais, le plus souvent, une entreprise,
une association, une administration… résulte d’une combinaison ou d’une mosaïque
d’organisations.
La réalité organisationnelle est plus locale que globale. L’organisation est une réponse
à un problème d’action collective. Au-delà d’une certaine taille et d’un certain niveau de
complexité, au sein d’une entreprise, il n’y a pas un mais des problèmes d’action collective qui
n’ont aucune raison d’être tous de même nature et, donc, d’être tous résolus par le même modèle
organisationnel. Les problèmes d’action collective en R&D, en production ou dans le secteur
commercial ne sont a priori pas tous de même nature. Il en va de même des problèmes à résoudre
au sommet de l’entreprise ou à sa base.
Fort de ces informations, vous serez en mesure de choisir des stratégies adaptées.
Cette information est très importante pour optimiser la stratégie d'entreprise, élaborer un
plan marketing, ou encore construire un business plan performant.
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De même mener une veille concurrentielle (veille internet avec Google alertes,
technologique...) est indispensable pour contrer les offensives commerciales et marketing des
principaux concurrents.
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3.1. Clarifier les objectifs de l'étude
En préalable, vous devez poser clairement le pourquoi de votre recherche sur la
concurrence. Notamment les décisions impactées par les résultats finaux.
Exemples :
Vous voulez concevoir un nouveau produit et avez besoin de connaître les offres
existantes sur le marché, leurs forces et faiblesses.
Vous êtes entrepreneur et menez une étude de marché pour estimer quel positionnement
adopter face aux offres concurrentes.
Vous avez identifié un point faible dans votre organisation et souhaitez mener une étude
de benchmarking en prenant pour référence les meilleurs de votre secteur.
Vous cherchez à connaître les prix de vente pratiqués par les compétiteurs en place pour
concevoir des tarifs compétitifs (veille tarifaire).
Votre objectif est d'identifier les concurrents les plus menaçants pour anticiper des
risques et bâtir une stratégie offensive sur votre environnement.
En conclusion, il n'existe pas une étude, mais une multitude de démarches analytiques
possibles selon vos attentes. Cette phase est très importante, car elle conditionne le choix des
concurrents observés, des informations à recueillir et le traitement/exploitation des données.
Par exemple :
Chiffre d'affaires,
Stratégie,
Implantations,
Image perçue par les clients,
etc.
Vous avez en main les éléments clés à collecter au cours de votre étude.
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3.3. Repérer et sélectionner les concurrents à analyser
Cette étape consiste à mener un diagnostic externe afin d'identifier les entreprises
concurrentes qu'il est nécessaire d'étudier. Il vous faudra lister les acteurs et récupérer des
informations générales quant à leur part de marché, leur taille, leur offre, etc. pour une pré-
analyse.
Gardez en ligne de mire vos objectifs d'étude définis lors de l'étape précédente. Il serait
évidemment inutile et contreproductif de définir un périmètre beaucoup trop large. Une fois
votre environnement concurrentiel défini, vous pouvez passer à l'étape suivante.
Si vous êtes une entreprise, il est intéressant de mener une enquête interne. Chaque
service en contact avec la clientèle possède potentiellement des informations partielles
sur les concurrents du secteur (force de vente, SAV...).
Si vous être créateur ou que vous vous intéressez à un nouveau secteur, contactez les
syndicats ou groupements professionnels. Ils possèdent généralement des informations
sur le marché, les concurrents et leur pdm.
Une autre approche est de mener une étude auprès des clients du secteur en allant les
interroger directement. Elle se conduit en 2 phases : une étude qualitative pour lister les
concurrents d'un marché, suivie d'une enquête quantitative afin d'estimer la part de
marché de chacun et recueillir des informations complémentaires d'image, de pratiques
commerciales... pour analyser leur positionnement, par exemple.
A ce stade, il est utile de bâtir un tableau de la concurrence en listant, pour chaque entrée,
les informations essentielles (part de marché, positionnement, etc.)
Une fois les entreprises listées, il convient de construire une carte stratégique représentant
le positionnement des entreprises œuvrant sur un secteur.
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L'objectif est de sélectionner les concurrents les plus proches de votre profil pour focaliser
vos efforts de recherche sur les plus menaçants. Cette hiérarchisation est très importante pour
ne pas vous disperser. C'est un principe de base en stratégie : il convient de focaliser ses actions
pour plus d'efficacité et d'efficience.
Par exemple : pour un championnat sportif, si vous êtes en fin de classement, vos
concurrents les plus importants ne sont pas les leaders, mais ceux en rivalité avec vous pour ne
pas descendre dans la division inférieure.
Vous avez repéré les entreprises sur lesquelles focaliser vos efforts d'analyse. Vous allez
maintenant bâtir leur profil.
Pour ce faire, il convient de collecter les informations définies lors de la première étape.
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Voici un exemple :
Exemples de sources
Type de données Données
d’information
Nom d’entreprise / adresses
Date de création
Actionnaires (dont personnes
Registre du commerce :
Identification physiques et/ou appartenance
https://www.infogreffe.fr/
à un groupe)
Code NAF
Effectif
Usines Registre du commerce,
Implantation Agences commerciales rapports d’activité, site
Implantations internationales internet du concurrent
Chiffre d'affaires
Registre du commerce,
Financiers Taux de croissance
rapports annuels
Rentabilité
Gamme de produits Site internet du concurrent,
réseaux sociaux, plaquettes
Offre Gamme de service commerciales, brochures
tarifaires, communiqué de
Positionnement prix presse
pige publicitaire, étude de
Moyens de promotion présence sur le web, postes
Communication et
sur les réseaux sociaux
promotion
Site internet, brochures
Réseaux de distribution
commerciales
Marchés/segments sur
lesquels le concurrent est Rapports annuels, site,
Marchés
présent groupement professionnel
Marchés annexes
% de budget R&D Rapports annuels
Base de données Européen
Innovation Brevets
Patent Office
Marques Inpi
Les bases de données indexant les articles de presse peuvent également vous livrer de
précieuses informations : investissements à venir, embauches... des indications utiles pour
décoder la stratégie des concurrents.
Enfin, il est essentiel de ne pas oublier les sources internes. Vos collaborateurs et collègues
détiennent souvent beaucoup plus d'informations que vous ne pourriez le soupçonner.
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3.5. Analyser les données obtenues
L'analyse se mène au regard des questions que vous vous êtes posées en préambule et qui
justifient votre recherche.
L'exploitation des informations collectées vous livre les indications nécessaires pour
apporter des réponses à votre problématique. Vous êtes à même de tirer les conclusions de votre
étude.
Pratique : de nombreux outils peuvent vous aider pour mettre en forme et analyser vos
données. Par exemple :
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L'avantage concurrentiel doit être durable ou difficilement remis en cause, défendable face
aux menaces des concurrents et facilement reconnaissable.
Pour que l'avantage concurrentiel soit pérenne, il doit être difficile à imiter, rare, c'est-à-dire
difficilement accessible par les concurrents et ne doit pas être substituable.
5.2. La qualité
Les organisations cherchent aujourd'hui à appliquer la qualité totale qui implique la mise en
place des 7 zéros : zéro panne, zéro papier, zéro délai, zéro défaut, zéro stock, zéro accident,
zéro mépris.
Pour cela, l'entreprise a recours à l'assurance qualité (délivré par l'AFAQ : Association
française pour l'assurance qualité), la certification et la normalisation (ISO 9001 9002 ou 9003
délivrée par l'AFNOR : Association française de normalisation) pour être reconnue
efficacement.
Le produit répondant à cet impératif de qualité pousse à la satisfaction du client ainsi que
sa fidélisation ce qui confère à l'organisation un avantage concurrentiel.
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5.3. La maîtrise des coûts
Conserver l'avantage concurrentiel passe obligatoirement par la maîtrise des coûts de
l'organisation car alors, elle est plus compétitive.
Pour cela, l'entreprise peut réaliser des économies d'échelle, c'est-à-dire qu'elle produit en
quantité plus importante mais seules les charges variables augmentent, les charges fixes restent
à l'identique, le coût de production unitaire est donc réduit.
L'organisation peut également réaliser un effet de synergie, c'est-à-dire une plus grande
efficacité dans l'utilisation de plusieurs ressources. Le regroupement d'activités
complémentaires donne un résultat supérieur à celui qui aurait été obtenu si les activités étaient
restées séparées. L'entreprise gagne alors en efficacité et compétitivité.
L'essentiel :
L'avantage concurrentiel est l'élément que l'organisation maîtrise mieux que la concurrence
et qui lui permet d'être compétitive. Il doit être durable ou difficilement remis en cause,
défendable face aux menaces des concurrents et facilement reconnaissable.
Les caractéristiques de l'avantage concurrentiel sont les suivantes : pour que l'avantage
concurrentiel soit pérenne, il doit être difficile à imiter, rare, c'est-à-dire difficilement
accessible par les concurrents et ne doit pas être substituable.
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pandémique quelles attitudes devrait adopter, une entreprise, de peur que des conséquences
fâcheuses ne puissent s’abattre sur son fonctionnement ?
A l’instar de la famille qui prendrait des dispositions, l’entreprise devrait changer ou disons
plutôt modifier son organisation, pour le rendre palliatif et ainsi donc lui permettre de tenir tête,
c’est-à-dire garder son personnel, ses équipements, sa clientèle et faire même toujours de bons
profits.
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Un PCA doit être simple et pragmatique.
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1.1.1. Définir une organisation
a. Objet :
b. Raisons
Les salariés ont une obligation d'appliquer les règles de sécurité édictées par leur
employeur.
Compte tenu de l'ampleur de la crise au niveau national, il ne s'agit pas de vouloir continuer
à fonctionner normalement, mais de limiter l'impact de la pandémie sur le personnel et sur
l'activité économique, afin de redémarrer dans les meilleures conditions possibles à la fin de la
vague de 8 à 12 semaines.
a. Objet :
L’évaluation des risques a pour objectifs de déterminer les services qui seront impactés en
cas de pandémie en vue de définir des mesures de protection adaptées.
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1.1.3. Protéger la santé du personnel et du public
a. Objet :
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Télétravail
Prise de congés
a. Objet :
b. Procédures pour :
a. Objet :
a. Objet :
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b. Tableau des services et moyens nécessaires en fonction du niveau d’alerte
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1.1.7. Préparer la baisse d’effectifs
a. Objet :
a. Objet :
Eléments d’information :
Niveau d’alerte
Organigramme
Procédures applicables
Missions de chacun
Niveau des ressources
États de santé
Périodicité : quotidienne
Eléments d’information :
Niveau d’alerte
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Organigramme
Missions
Demande de réintégration de l’Organisme
d. Personnel en arrêt
Niveau d’alerte
Demande de réintégration de l’Organisme.
a. Objet :
Niveau d’alerte
Services disponibles
Possibilités d’accès
Niveau d’alerte
Possibilités d’accès
Missions attendues
1.1.10. Animer le système de management
a. Objet :
b. Actions
Face à la pandémie grippale, les mesures de protection reposent avant tout sur le
comportement des salariés et sur les mesures organisationnelles mises en place par l'employeur.
La première mesure à mettre en œuvre est l'actualisation du document unique d'évaluation des
risques pour y intégrer les nouveaux risques liés à la situation de crise sanitaire majeure.
De sensibiliser l'ensemble des personnels aux mesures d'hygiène par un affichage des
consignes (lavage des mains, comportements, ...) ;
De mettre à disposition dans les sanitaires et toilettes de flacons de solution hydro
alcoolique ainsi que des serviettes papier à usage unique.
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Selon le risque d'exposition, 2 types de masques pourront être préconisés
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CONCLUSION
Une pandémie est un brutal rappel à l’ordre pour les professionnels de la chaine
d’approvisionnement et les entreprises dont les activités se déroulent à l’échelle mondiale.
Ceux-ci doivent donc élaborer plusieurs plans d’approvisionnement dans différentes régions du
monde afin d’atténuer les risques liés à la dégradation des conditions. En ce qui concerne la
concurrence, l’étude des concurrents est une étape importante dans toute réflexion marketing
de création d’entreprise ou de développement. Pour faire face à la concurrence, il est important
de retenir qu’il n’existe pas une étude, mais une multitude de démarches analytiques possibles
selon les attentes. Cette phase est très importante, car elle conditionne le choix des concurrents
observés, des informations à recueillir et le traitement, exploitation des données.
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BIBLIOGRAPHIE
[ 1 ] pandémie grippale, CCI territoire de Belfort, août 2009, livre électronique
38
WEBOGRAPHIE
[ 1 ] https://www.questions-de-management.com/4-types-dorganisation/ consulté le
22/10/2020 à 9h35
[ 3 ] https://www.maxicours.com/se/cours/l-avantage-concurrentiel-dans-l-entreprise/
consulté le 25/10/2020 à 21h04
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