N°003. Compte Rendu Ag 2020
N°003. Compte Rendu Ag 2020
N°003. Compte Rendu Ag 2020
Nous qui sommes plusieurs, nous formons un seul corps en Christ, et nous sommes tous membres les
uns des autres (Romains 12 :5).
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COMPTE RENDU
L’an deux mil vingt et un du 07 au 09 janvier s’est tenue au temple de l’église AEECI de Bouaflé-Koko
l’Assemblée Générale Ordinaire de l’Alliance de L’Eglise Evangélique Charismatique Internationale
(AEECI) selon l’ordre du jour suivant :
ORDRE DU JOUR
1- Prière et salutations
2- Informations
4- Rapports
6- Budget 2021
7- Evangélisation et implantation
9- Convention 2021
10- Personnel
- Pasteurs à titulariser
12- Patrimoine
15- Divers
Nous qui sommes plusieurs, nous formons un seul corps en Christ, et nous sommes tous membres les
uns des autres (Romains 12 :5).
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DEVELOPPEMENT
1. Prière et salutations
Avant d’aborder l’ordre du jour de l’Assemblée Générale 2020, le Président de l’AEECI a souhaité la
bienvenue à toute l’assemblée tout en félicitant l’église de Bouaflé Koko pour les travaux de
modernisation du temple. C’est après cela qu’il a procédé à une exhortation tirée de Zacharie 1 :18-
21. Dans son intervention, il s’est appuyé sur la révélation du prophète dans le texte pour relever que
des cornes ou forces diaboliques combattent la destinée glorieuse de l’AEECI. En effet, le Seigneur
nous montre que l’AEECI est une Eglise que Dieu a bénie et compte bénir davantage au temps
favorable.
Cependant, pour que cette bénédiction marquée de réveil à tous les niveaux soit durablement forgée,
il importe que les forgerons que sont les différents ouvriers de l’Eglise (pasteurs, anciens, diacres,
responsables, etc.) "abattent les cornes" diaboliques, par le biais de l’engagement individuel et de la
prière. C’est donc à ce prix que le temps de Dieu pour l’AEECI et les ambassadeurs de son
développement seront divinement favorisés en Jésus-Christ.
2. Informations
Le Pasteur SILUE David, secrétaire exécutif du bureau national de la FECI (Fédération Evangélique de
Côte d’Ivoire), a représenté la FECI à l’ouverture des assises de l’Assemblée Générale 2020 de l’AEECI.
Au nom du Président de la FECI, Dr GBOAGNON Apollinaire, il a félicité l’église AEECI pour la tenue de
ces assises et délivré un message prônant l’unité et l’engagement pour une église dynamique et
missionnaire non seulement au sein de l’AEECI mais également entre les églises évangéliques.
Il a saisi l’occasion pour donner quelques informations relatives aux initiatives entreprises par le
bureau national de la FECI. Il s’agit entre autres de l’acquisition d’un espace de 2500 m² à Abidjan pour
la construction du siège national de la FECI, la tenue de la pastorale nationale de la FECI dans le
deuxième trimestre 2021 et de la semaine nationale de l’unité évangélique dans la 2e semaine du mois
de novembre 2021.
b. La cérémonie pour la retraite du Doyen BOAN Bi Zrè Emmanuel s’est tenue le samedi 19
décembre 2020 à Oumé.
d. Les démarches pour l’acquisition du titre de propriété du terrain du siège social de l’AEECI
à Yamoussoukro sont en cours.
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e. Une mission, conduite par le Président de l’AEECI, s’est rendue du 11 au 15 octobre 2020
dans la région de Loropéni, au Burkina Faso, où une dizaine d’églises locales de l’EPE-BF
(Eglise Protestante Evangélique du Burkina Faso) ont été brûlées suite à une crise
communautaire. A l’occasion de cette visite, l’église AEECI a non seulement témoigné sa
compassion à l’église EPE-BF touchée par cette crise, mais elle a aussi apporté une
assistance financière et matérielle aux églises EPE-BF éprouvées.
f. Le Président de la Pastorale Nationale a perdu sa mère. Les obsèques ont lieu les 15 et 16
janvier 2021 à Zuénoula, précisément à Soribouafla.
g. Le Président de l’AEECI a perdu son beau-frère. Les obsèques ont lieu les 15 et 16 janvier
2021 à Bouaflé.
h. La Pasteur KOUAKOU Yao Jeannot de l’église AEECI de Maminigui a subi une opération
chirurgicale pour hernie inguinale.
i. L’un des commissaires aux comptes, en l’occurrence, Monsieur Djamala Siméon, a quitté
officiellement l’église AEECI depuis le 8 mars 2020. Par conséquent, il ne fait plus partie de
facto du commissariat aux compte de l’AEECI.
j. La formation des pré-stagiaires dénommée CIEL aura lieu du 29 mars au 03 avril 2021 à
l’IPH. Le coût du module s’élève à 25.000 francs. Le dossier comprend une lettre de
recommandation et une photocopie du carnet de membre à jour.
A la suite de la lecture du compte rendu de l’AG 2019, les corrections suivantes ont été apportées :
- Point 9.c. : Au lieu de "GALOU Lou Zoro Débora", lire plutôt "GALA Lou Zoro Débora".
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- Point 11 : Au lieu de "Le Président de l’AEECI a encouragé les églises à faire les papiers des
terrains qu’elles occupent", lire plutôt "Le Président de l’AEECI a encouragé les églises à
établir les titres de propriété des espaces qu’elles occupent".
Après ces corrections, le compte rendu de l’AG 2019 a été adopté à l’unanimité.
4. Rapports
Après avoir rappelés les objectifs généraux et spécifiques de l’année 2020, le Président de l’AEECI,
l’Apôtre BOTTI Luc, a présenté le bilan de l’exercice 2020 comme suit :
Pour l’année 2020, le Conseil National a fait des projections d’implantation dans les localités ou villes
comme N’Djébonoua et Yamoussoukro pour le Centre ; Gagnoa pour le Centre-Ouest ; Man, Logoualé
et Biankouma pour l’Ouest. Cependant, les campagnes d’évangélisation et les implantations prévues
n’ont pas pu se réaliser compte tenu des deux grandes crises relatives à la pandémie de la COVID-19
avec ses mesures de barrières sociales et la crise post-électorale d’octobre dernier qui a occasionné
des manifestations et des troubles. Toutefois, il est à noter l’ouverture d’’un second lieu de culte à
Gagnoa et la réouverture du champ de Booko.
• Quatre lots, d’une superficie de 600 m² chacun, ont été payés à Yamoussoukro à un
coût total de 12 millions de francs CFA pour le siège social de l’AEECI.
• Un terrain a été acquis à Bloléquin, où une nouvelle église AEECI a été ouverte. Un
pasteur y a été affecté pour encadrer les fidèles.
• A Béoumi, un terrain de 600 m² sur lequel se trouvent deux maisons inachevées a été
payé à un coût de 3.500.000 francs.
• A Botro, un terrain d’un hectare d’un coût de 1.200.000 francs a été acquis, dont une
avance de 500.000 francs a été déjà versée.
Les nouvelles communautés, telles que Didiévi, Béoumi, Korhogo 2, Boundiali, Toulepleu, Booko et
Hiré, ont été assistées pour le paiement de toutes les locations de loyer, et parfois du soutien du
pasteur ou du pré-stagiaire en poste.
Le Président de l’AEECI a effectué des tournées de formation et de sensibilisation dans les 9 (neuf)
districts et les 36 régions sur les 38, afin d’aider l’église à parvenir à l’autonomie financière pour réaliser
ses grands projets. A cet effet, tous les surintendants et intendants ont été félicités pour leur travail
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d’une manière générale. De façon particulière, quelques régions et leurs surintendants ont été félicités
pour leur travail par ordre de mérite. Ce sont :
• Région de Yamoussoukro :
• Région Abidjan 1 :
• Région Abidjan 2 :
• Région Bouaflé-Koko :
• Région de Divo :
• Région de Sinfra :
• Région de Dioulabougou :
En outre, deux autres églises d’Abidjan et leurs pasteurs ont été félicitées pour les mobilisations des
contributions réalisées malgré le petit nombre de fidèles. Ce sont l’église AEECI des Toits Rouges avec
le Révérend TIE Bi Léon et l’église AEECI d’Abobo-Avocatier avec le Pasteur KESSE Jean Jaurès.
Il a été procédé à des réformes structurelles par de nouveaux découpages qui rapprochent les
administrés et leur facilitent les différentes rencontres. Ainsi, le nombre de district est passé de 5 à 9,
soit 4 nouveaux districts de plus. Quant au nombre de régions, il est passé à 38 régions, dont 5 régions
missionnaires.
Une grande convention de l’AEECI était prévue du 12 au 15 août 2020 à Yamoussoukro. L’orateur était
l’évangéliste Kouamenan Marcel. Compte tenu de la crise à covid-19, cette rencontre nationale a été
reportée en août 2021.
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Il a été procédé à l’organisation et à la formation des leaders des centres de prière travaillant sous
l’autorité de l’AEECI. A cet effet, un bureau a été mis sur pied en leur sein pour leur formation et leur
encadrement spirituel selon les dispositions et Règlement Intérieur de l’AEECI.
Le Conseil National a porté assistance à des pasteurs d’une dizaine de région, soit pour un complément
du soutien mensuel, soit pour aider certains pasteurs face à certains aléas de la vie, soit pour apporter
un soutien dans les interventions chirurgicales subies par les siens.
Le Conseil National a mené également des initiatives et des actions, telles que la création de la caisse
de retraite des pasteurs, la célébration d’une première retraite, l’instauration de la prime des épouses
des pasteurs, l’assistance régulière aux pasteurs retraités, l’assistance aux veuves des serviteurs de
Dieu, ainsi que la création de la mutuelle de développement et d’assistance.
Afin de combler le déficit criard de pasteurs, le Conseil National a initié la formation gratuite des
appelés, où l’étudiant ne paie qu’un simple droit d’inscription.
La formation en licence étant réservée désormais à ceux qui ont fini leur formation pastorale et ont
été titularisés dans leur service, les pasteurs désireux d’améliorer leur niveau d’étude bénéficieront
d’une assistance à hauteur de 40% pour ceux des grands centres urbains et 70% pour ceux des zones
rurales.
Pour une meilleure organisation de la journée pour la formation, chaque district aura une date précise,
et le Conseil national exigera que tous les lieux de culte soient couverts par des personnes préparées.
• Les activités d’implantation qui n’ont pas pu être exécutées seront relancées.
• Pour l’administration, une nouvelle fiche de rapport d’une page sera éditée et mise à
la disposition des pasteurs. En outre des bulletins de suivi seront introduits pour un
suivi et un encadrement administratif conséquent.
• Pour l’amélioration des conditions de vie des serviteurs de Dieu, des initiatives vont
être menées pour convaincre au moins les 2/3 des pasteurs à adhérer à la caisse de
retraite et à la caisse de la mutuelle.
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N.B. : Pour d’autres détails relatifs au bilan moral du Président de l’AEECI, se référer au document
annexe 1 intitulé "Bilan moral 2020 du Président de l’AEECI".
Les rapports moraux et financiers des mouvements UF-AEECI et J-AEECI figurent dans le document
annexe 3 intitulé "Rapport d’activités des mouvements 2020 (UF-AEECI et J-AEECI).
A l’entame de son rapport de contrôle, le commissaire aux comptes, SEHI Fidèle Roméo a évoqué les
difficultés rencontrées dans l’exécution de sa tâche suite à la démission du second commissaire aux
comptes Djamala Siméon.
Au terme de son rapport, le commissaire aux comptes a validé le rapport financier du trésorier général
et suggéré qu’un autre commissaire aux comptes soit désigné par l’Assemblée Générale pour combler
le poste vacant.
N.B. : De légers écarts de chiffres constatés entre la trésorerie générale et le commissariat aux comptes
se justifient par la perte de certaines données due à une panne d’ordinateur. Pour les autres détails,
se référer au document intitulé "Assemblée générale ordinaire 2020 : Etat des finances au 31
décembre", ainsi qu’au document intitulé "Rapport du commissariat aux comptes pour l’exercice
budgétaire 2020.
Après une séance de questions-réponses pour quelques éclairages, l’AG a adopté à l’unanimité le
rapport financier du trésorier général.
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Concernant la politique budgétaire 2021, la contribution nationale de +7000 francs est reconduite.
Mais pour les leaders, un plus est demandé. Ainsi, les contributions devraient se faire selon les
répartitions suivantes :
- Les membres du Conseil National et les surintendants de district : au moins 50.000 francs
Le montant global attendu pour ces contributions est de 200 millions de francs.
Il est à noter que le Conseil National félicitera tous ceux qui auront fait des efforts particuliers en payant
au moins 50.000 francs de contribution nationale.
6. Budget 2021
Pour les détails du budget, se référer au document intitulé "Assemblée Générale ordinaire 2020 :
projet de budget Exercice 2021".
A la suite du budget, l’AG a procédé au choix d’un commissaire aux comptes en remplacement de
Monsieur Djamala Siméon. Ainsi, après les diverses propositions, le Pasteur Kouamé Kouassi Emile a
été retenu en qualité de second commissaire aux comptes pour seconder Monsieur Séhi Fidèle.
7. Evangélisation et implantation
Ce point a été pris en compte dans les perspectives du rapport moral du Président.
Ce point est pris en compte dans les informations, l’élaboration du budget 2021 et les dates
importantes.
9. Convention 2021
Après l’AG, une équipe sillonnera les églises pour la sensibilisation et la mobilisation. Néanmoins,
chaque pasteur ou responsable est tenu de mobiliser les fidèles à la base.
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10. Personnel
- Pasteurs à titulariser
Le pasteur VAMI Bi Za Lazare a été proposé à la titularisation. Après les échanges qui ont révélé qu’il
n’a pas encore atteint les trois années minimums requises pour être titularisé, l’AG a purement et
simplement ajourné sa titularisation.
Le Pasteur Aka Jean-Louis a été présenté à l’Assemblée Générale suite à un courrier qu’il a adressé au
Conseil National pour demander sa réintégration au sein du corps pastoral de l’AEECI. L’AG, après
analyse, a répondu favorablement à sa demande de réintégration, en lui fixant une condition de 3 ans
d’observation requis pour être officiellement réintégré. Durant cette période, il travaillera sous la
supervision d’un pasteur titulaire, d’abord en tant que simple fidèle pendant un an, et ensuite en tant
que pasteur stagiaire pendant deux ans.
Le Pasteur Yao Kouakou Lambert a été présenté à l’Assemblée Générale pour son intégration au corps
pastoral de l’AEECI. Venant de l’église CMA, où il y exerçait en tant que pasteur surintendant de district,
il a été radié pour faute grave. A la suite des quelques tentatives infructueuses menées par le Président
de l’AEECI pour rencontrer la direction de l’église CMA, il a été mis en pré-stage sur l’église AEECI de
Béoumi. L’AG, après analyse, a exigé que les raisons exactes de la radiation du Pasteur Yao Kouakou
Lambert soient déterminées, avant qu’elle ne se prononce sur son intégration au sein du corps pastoral
de l’AEECI.
Par ailleurs, il a été présenté à l’Assemblée Générale la demande d’intégration du frère Koffi Kouassi
Désiré dans le corps pastoral, vu qu’il a suivi une formation théologique à la FATEAC. Ce frère est
membre de l’église AEECI de Kouakougnannou, paroisse d’Angovia, région de Bozi. Après analyse, l’AG
a demandé qu’il suive la procédure normale des appelés au ministère pastoral à l’AEECI.
Le Président de l’AEECI a proposé à l’assemblée que les épouses de pasteur, ayant suivi la même
formation et ayant obtenu le même diplôme que leur époux, aient le titre de Pasteures assistantes
auprès de leurs époux. Après les échanges, il a été retenu qu’il soit mis sur pied une commission de
réflexion sur l’effectivité de l’établissement de certaines épouses de pasteurs en qualités de pasteures.
Cette commission rendra compte de ses réflexions à l’AG prochaine avant qu’une décision finale ne
soit arrêtée. Elle se compose comme suit :
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Il a été constaté sur une longue période des problèmes de santé mentale du Pasteur Yao Konan
Georges. A cet effet, il a été remis à sa famille depuis l’an dernier assortie d’une assistance spirituelle
et financière. Vu la récurrence des difficultés de santé, l’AG a proposé que le Conseil National négocie
avec lui afin qu’il soit trouvé une solution à l’amiable, et qu’il soit ainsi officiellement remercié.
La commission électorale qui conduira les élections de l’AEECI au congrès 2021 se compose comme
suit :
12. Patrimoine
La sonnette d’alarme est toujours tirée quant à l’établissement des titres fonciers des terrains et
propriétés de l’AEECI au niveau local. Quant au niveau national, plusieurs propriétés de l’AEECI,
notamment à Bouaflé, Oumé et Zuénoula, nécessitent non seulement des réhabilitations mais aussi
un suivi dans la gestion, avec l’aide d’un conseiller juridique.
Le congrès 2021 se tiendra du 13 au 15 janvier 2022 à Bouaflé. Il sera précédé de la Pastorale élective
qui aura lieu du 11 au 12 janvier 2022 à Bouaflé.
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Du 18 au 20 février Réunion du bureau national Bureau National Collège des Anciens, Bouaflé
2021 du CADD diacres et diaconesses
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Dimanche 04 avril Journée de formation et de l’IPH Conseil National Districts Daloa, Oumé
2021
Dimanche 11 avril Journée de l’Alliance Biblique Conseil National Dans toutes les
2021 localités
Du 17 au 18 avril Journée nationale des Flambeaux Lumières Coordination Eglises locales AEECI
2021 dans les églises AEECI nationale des
Flambeaux Lumières
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Du 21 au 22 mai Assemblée Générale élective Collège des Anciens, AEECI Bouaflé Koko
2021 Diacres et
diaconesses
Samedi 26 juin Cérémonie de consécration du Pasteur District VII Vavoua AEECI Séitifla
2021 ZAHOURI Bi Tié Jean-Fulgence
Région Mignoré
Mardi 10 août 2021 Journée d’orientation des bacheliers J-AEECI Dans toutes les
localités
Dimanche 24 Culte de rentrée des écoles AEECI Ecole AEECI Dans toutes les
octobre 2021 localités
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15. Divers
- La collecte de 100 francs par chrétien chaque troisième dimanche du mois pour la mission
est reconduite.
L’ordre du jour étant épuisé, l’AG a pris fin le samedi 9 janvier 2021 autour de 15 heures avec la prière
de fin du Président.
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LES ANNEXES
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Nous qui sommes plusieurs, nous formons un seul corps en Christ, et nous sommes tous membres les
uns des autres (Romains 12 :5).
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Préambule
Nous voici encore rassemblés,
Chers délégués de nos différentes églises,
Chers anciens présidents de l’AEECI,
Surintendants de Districts et Surintendants de Région,
Intendants de Paroisse et d’églises,
Présidents de mouvement : UF-AEECI, J-AEECI, ME-AEECI, Flambeaux-Lumières,
Philadelphie, etc., nous voici rassemblés dans le cadre de nos rencontres traditionnelles
annuelles appelées "Assemblée Générale", où l’occasion nous est donnée, non seulement de
dresser le bilan de l’année écoulée, mais encore d’ouvrir de nouvelles perspectives pour
l’Alliance de l’Eglise Evangélique Charismatique Internationale, AEECI (en abrégé), dont la
charge nous incombe depuis notre dernier Congrès de décembre 2017 à Daloa.
Mais avant tout propos, il convient de vous adresser nos vœux les meilleurs pour
l’année 2021 afin que toutes vos aspirations et vos rêves les plus légitimes soient exaucés par
le Seigneur. Ensuite, nous voudrions très sincèrement demander pardon à tous ceux à qui
nous aurions causé quelque tort dans notre collaboration dans l’œuvre du Seigneur. Nous
voudrions encore les rassurer que jamais nous n’aurions agi de la sorte si nous avons eu
conscience que notre attitude, nos gestes et paroles provoqueraient un tel désagrément.
C’est aussi le moment pour nous de remercier infiniment le Seigneur qui nous a donné
la force, l’intelligence et la santé nécessaires pour accomplir les différentes tâches qui
concourent à la réalisation de nos objectifs fixés dès le début. Qu’à Lui seul soit attribuée toute
gloire des acquis et victoires remportées par-ci par-là, au cours de cet exercice de l’année
2020.
Nos remerciements vont enfin à tous nos collaborateurs, de près ou de loin, dont le
dur labeur, l’abnégation, l’intercession constante ont été des atouts majeurs dans la
réalisation de ces objectifs, malgré un contexte socio-politique et économique très difficile et
délicat. C’est pourquoi nous aimerions, à ce stade, vous rappeler tant soit peu nos objectifs
généraux.
I- RAPPEL DE NOS OBJECTIFS GENERAUX
Quels étaient donc nos objectifs généraux en parvenant à la tête de l’AEECI depuis
notre dernier Congrès ? Quels étaient nos vœux fondamentaux ? Nous voudrions les rappeler
aux uns aux autres, et cela, avant de nous pencher plus particulièrement, sur nos objectifs
spécifiques de l’année 2020 qui vient de s’écouler si rapidement. Nous pourrions résumer ces
objectifs en huit volets essentiels pour l’avènement d’une Eglise AEECI plus grande et plus
forte, plus missionnaire et plus rayonnante, entre autres :
1- Consolider l’unité des fils et des filles ainsi que des leaders de l’AEECI ;
2- Ramener la confiance entre les pasteurs des églises AEECI et les leaders de Centres de
Prière en vue d’une collaboration plus franche et plus aisée ;
3- Asseoir une véritable administration de l’Eglise AEECI qui facilite sa gestion et optimise
la prise des décisions et leur exécution rapide ;
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4- Instaurer une vraie culture de la libéralité pour une autonomie financière de l’AEECI en
vue des grands projets de notre Eglise ;
5- Insuffler une nouvelle dynamique dans l’implantation des églises AEECI, par une
politique d’implantation plus fiable et plus stable ;
6- Amener l’AEECI à une centralisation des caisses pour aplanir les disparités de
traitement des salaires ou soutien des pasteurs ;
7- Doter l’AEECI d’une Radio pour la diffusion de l’évangile à grande échelle ;
8- Et enfin, améliorer les conditions de vie et de travail pour l’épanouissement des
serviteurs et des servantes de Dieu de l’AEECI ;
Et tout cela, pour une restauration à tous les niveaux et sur tous les plans d’une Eglise
AEECI qui comptabilise déjà plus de 85 années d’existence, si nous nous référons au travail
des premiers missionnaires qui ont créé les premières stations telles que Vavoua, Oumé,
Zuénoula, Bouaflé, etc. L’AEECI n’a aucune excuse de baisser les bras et de rester à la traîne
des autres églises sœurs qui sont issues d’autres missions évangéliques.
II- LES OBJECTIFS SPECIFIQUES DE L’EXERCICE 2020
Pour cette année 2020 qui vient de s’achever, nous avons jugé bon de poursuivre nos
efforts et de renforcer nos acquis dans tous les domaines et sur tous les plans, à savoir :
1- Multiplier les implantations de nouvelles églises et les acquisitions de nouveaux
terrains afin d’amorcer une véritable croissance de l’AEECI ;
2- Inculquer aux fidèles et aux leaders une véritable culture de la libéralité et améliorer
les stratégies de mobilisation financière en vue d’une certaine autonomie financière
de l’Eglise ;
3- Redynamiser davantage l’administration de l’AEECI pour plus d’efficacité dans la prise
des décisions et leur exécution ;
4- Organiser une grande Convention Nationale qui réunira au moins 7.000 (sept mille)
fidèles de l’AEECI à Yamoussoukro pour créer une ferveur spirituelle qui conduise au
réveil spirituel de l’Eglise ;
5- Organiser les Centres de Prière et former leurs leaders pour leur permettre d’accomplir
le ministère fidèlement et dans le respect des Statuts et Règlement Intérieur de
l’AEECI ;
6- Renforcer la politique d’amélioration des conditions de travail et de vie des hommes
et des servantes de Dieu de l’AEECI ;
7- Faciliter la formation des appelés en la rendant presque gratuite pour tous les
appelés et soutenir l’amélioration des profils de carrière pour les pasteurs déjà
engagés dans le ministère ;
8- Organiser une grande fête pour le départ à la retraite de l’ancien président BOAN Bi
Zrê Emmanuel où toute l’Eglise lui exprimera sa reconnaissance pour tous les sacrifices
consentis par l’homme.
Voilà donc énumérés ci-dessus l’essentiel des objectifs qui ont canalisé toute notre
attention et nos énergies au cours de l’année 2020. Jetons à présent un regard sur le travail
accompli.
Nous qui sommes plusieurs, nous formons un seul corps en Christ, et nous sommes tous membres les
uns des autres (Romains 12 :5).
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Nous avions visé principalement les localités ou villes comme Djébonoua, Brobo,
Yamoussoukro (pour le centre), Gagnoa (pour le centre-ouest), Man, Logoualé, Biankouma
(pour l’Ouest).
Malheureusement, au niveau du Conseil National, il n’y a pas eu de campagnes
d’évangélisation et les implantations prévues n’ont pas été réalisées. Cela est dû au contexte
des deux grandes crises, la pandémie du Covid-19 avec ses mesures de barrières sociales, et
la crise post-électorale d’octobre dernier, qui a ocasionné des manifestations et des troubles.
Ces deux événements, avec leur corolaire d’instabilité sociale, ont brisé notre élan et
freiné une grande partie de nos activités programmées, surtout en matière d’implantation, à
savoir l’ouverture de nouveaux lieux de culte dans le Centre, le Centre-ouest et l’Ouest du
pays.
Néanmoins, nous nous réjouissons de ce qu’au niveau de Gagnoa, le Surintendant du
District de Gagnoa, le pasteur Konan Simplice, ait pu ouvrir un second lieu de culte dans un
autre quartier appelé Soleil Dianka. Nous sommes en train d’envisager comment donner un
coup de pouce à cette jeune communauté pour une croissance rapide.
c) La réouverture du champ de Booko
Depuis la crise militaro-politique de 2010, avec le départ des missionnaires, le champ
de Booko a été abandonné. Alors qu’une belle église a été bâtie et une grande villa a été
construite par les missionnaires. Cette villa est habitée par les gendarmes. Cependant, avec
l’affectation du jeune Toiali Olivier, des démarches sont en cours pour récupérer la maison.
d) Les nouvelles acquisitions de terrains
- Le terrain du siège social de l’AEECI
Le Seigneur nous a fait la grâce d’acquérir un terrain à Yamoussoukro en vue de bâtir
le siège social de l’Eglise AEECI. Ce sont quatre lots d’une superficie de 600 m2 chacun soit au
total 2.400 m2, pour un coût total de 12 millions de francs CFA. Cette somme a été
entièrement versée aux propriétaires terriens. Le lot est situé entre la route de Sinfra et celle
d’Oumé, juste sur la côte avant le nouveau marché. Les démarches administratives foncières
pour obtenir l’ACD et commencer les travaux du siège ont été déjà engagées.
- Le terrain de Blolequin
Nous notons aussi l’acquisition d’un terrain à Blolequin où nous avons eu un
contentieux avec la MIDESA. Mais pour finir, le terrain nous a été attribué, et une nouvelle
église AEECI a ouvert ses portes ; nous y avons déjà affecté un pasteur pour encadrer les
fidèles.
- Les terrains de Béoumi et de Botro
Au niveau de la Région du Centre, l’Eglise AEECI de Béoumi bénéficie de l’acquisition
d’un terrain de 600 m2 sur lequel se trouvent deux maisons inachevées pour un coût
total de 3.500.000F (trois millions cinq cents mille francs). Bientôt les procédures
administratives seront engagées pour obtenir l’ACD et la mise en valeur de ce terrain.
Nous qui sommes plusieurs, nous formons un seul corps en Christ, et nous sommes tous membres les
uns des autres (Romains 12 :5).
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Quant à Botro où notre jeune communauté ne cesse de grandir, nous avons pu obtenir
un terrain d’un hectare dont le coût est de 1.200.000F (un million deux cents mille francs), et
nous avons déjà avancé 500.000F (cinq cents mille francs) comme premier acompte aux
propriétaires terriens. Ce site qui est en bordure de la voie principale bitumée et de surcroît
se trouve en pleine ville est une grande bénédiction pour notre église.
- Les aides et assistances en implantation
Nous avons maintenu les aides à ces nouvelles communautés pour lesquelles nous
payons toutes les locations de loyers, et parfois, le soutien du pasteur ou du pré-stagiaire en
poste : ce sont : Didiévi, Béoumi, Korhogo 2, Boundiali, Toulepleu, Booko et Hiré, qui vient
d’être rétrocédé à l’AEECI par l’UF-AEECI depuis le mois de mai 2020 afin que nous prenions
le relai.
C’est donc au moins 500.000F que nous dépensons par mois à ce niveau, surtout avec
le détachement de l’Evangéliste David à Botro pour étendre davantage les implantations du
centre.
2- DONNER A L’AEECI UNE CERTAINE AUTONOMIE FINANCIERE
a) Inculquer une culture de la libéralité aux églises
L’un des plus grands défis de l’AEECI, c’est comment surmonter l’échec dans la
mobilisation des fonds pour réaliser les grands projets de l’Eglise. On a vu les différentes
opérations telles que Néhémie, Joseph, Opération 200F par chrétien, Opération Dieu d’abord,
etc., se succéder sans que nous parvenions à un véritable succès en fin de compte.
En effet, aucune de ces opérations n’a véritablement atteint son but et est morte plus
tôt que prévue. Qu’est-ce qui est donc à l’origine de ces différents échecs ? Pourquoi la
mobilisation financière est si difficile à l’AEECI ? Que devons-nous faire pour y remédier ?
La raison principale de cet état de fait est l’absence d’une véritable culture de la
libéralité. Des fidèles jusqu’aux plus grands leaders de notre Eglise, chacun a du mal à donner
véritablement. Par exemple, l’opération des 7.000F a révélé cet état d’esprit où planteurs,
fonctionnaires et élèves ont donné le même montant sans que personne n’éprouve la moindre
gêne. Alors que si la même opération était menée ailleurs, c’est-à-dire dans d’autres églises-
sœurs, le comportement des leaders, des cadres, … aurait été tout à fait différent.
Cela peut être dû à une mauvaise compréhension du plan de Dieu pour notre argent
et nos biens. Cela peut être aussi une influence des enseignements de certains premiers
missionnaires qui prétendent que la vraie foi est liée à la pauvreté, et que la richesse est source
d’orgueil et dangereuse. La négation de l’argent et des richesses domine encore les esprits.
Enfin, c’est peut-être aussi le manque d’un enseignement solide bien structuré qui
montre aux fidèles et aux leaders de nos différentes communautés la dynamique et
l’importance des dons, des offrandes et des sacrifices et les nombreuses bénédictions qui sont
attachées à leur pratique comme bon nombre de passages bibliques l’attestent.
b) Quelques raisons des échecs de mobilisation
- Des églises qui refusent de donner
Nous qui sommes plusieurs, nous formons un seul corps en Christ, et nous sommes tous membres les
uns des autres (Romains 12 :5).
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Quelques pasteurs ont du mal à mobiliser les finances au sein de leurs communautés
respectives. Ils s’avouent vaincus en évoquant combien leurs fidèles sont difficiles, têtus et
rebelles. En fait, ce sont des églises où les fidèles s’inventent toutes les excuses pour ne pas
donner. Par exemple, il y a trop de cotisations, tous nos champs sont morts, etc.
Cependant, en analysant objectivement la situation, nous comprenons que les
pasteurs eux-mêmes souffrent déjà parce qu’ils ne perçoivent pas le minimum pour leur
subsistance. Comment mobiliser une telle communauté à prendre encore de nouveaux
engagements quand ils sont incapables de trouver le minimum pour s’occuper de leur berger
? Et c’est donc à ce niveau que le vrai problème se situe et doit être résolu.
- enseigner les exemples bibliques
Face à ces attitudes, nous encourageons les pasteurs à être forts et positifs. L’Ecriture
nous enseigne que même les gens très démunis ont été délivrés de leur misère par leur
obéissance à apporter à Dieu ce qu’il leur demandait, telle la veuve de Sarepta qui a accepté
de nourrir Elie (1 Rois 17.10-15), tels les chrétiens de Corinthe qui ont participé aux collectes
(2 Co 8.2).
En outre, la Bible nous enseigne que nous pouvons même donner de notre nécessaire,
c’est-à-dire « tout ce que nous avons pour vivre comme la pauvre veuve de l’évangile de Luc
l’a fait en son temps (Luc 21.4). Jésus a félicité cette femme pour son offrande.
En effet, l’Ecriture nous révèle que celui qui retient tout le temps finira par s’appauvrir
tandis que celui qui donne sans calcul s’enrichira à tous égards (Proverbes 11.24) ; par
conséquent, il nous appartient, en tant que leaders, d’apprendre à donner au milieu même
des difficultés comme ce fut le cas des chrétiens des communautés de Corinthe.
- Absence de motivation et de stratégie
Il y a une autre catégorie, il s’agit de ceux qui adhèrent à l’idée, mais ils manquent de
stratégie pour convaincre sinon persuader les fidèles. Car, à l’absence d’un objectif clair et
précis, il serait difficile d’élaborer les voies et moyens pour parvenir à quelque chose de
concret. Dans ce cas, l’on risque de tomber dans le piège d’un dédouanement excessif qui
pointera toujours un doigt accusateur sur les fidèles. Or, dans toute situation, il y a toujours
quelque chose à faire pour surmonter l’obstacle, quelle que soit sa taille.
- Absence d’une prise de conscience nette des églises AEECI de l’importance d’asseoir
une Eglise nationale forte, entité indispensable, pour un développement et une croissance
effective et rapide de l’Alliance de l’Eglise Evangélique Charismatique Internationale.
Comment comprendre qu’au niveau des églises locales, le succès de la mobilisation
des fonds est plus facile qu’il ne l’est au niveau national ? Comment expliquer les mobilisations
de fonds exemplaires quand il s’agit des fêtes de moisson, des Journées d’Actions de grâces
ou des fonds pour les projets des églises locales, tandis que tout semble voué à l’échec pour
toutes les tentatives de mobilisation sur le plan national ?
C’est pourquoi nous travaillons à l’émergence de cette conscience de la nécessité de
bâtir une Eglise nationale forte, prospère et capable de booster le développement des églises
faibles.
Nous qui sommes plusieurs, nous formons un seul corps en Christ, et nous sommes tous membres les
uns des autres (Romains 12 :5).
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Quoiqu’il en soit, notre prière est que tous, nous nous efforçons, coûte que coûte, à
relever ce grand défi de la mobilisation des fonds pour engager l’AEECI dans la dimension
nouvelle d’une église responsable et respectable à tous égards dans le concert des acteurs de
la grande commission évangélique. Ce n’est pas une option, c’est plutôt un dilemme.
Il n’y a pas lieu de se décourager, bien au contraire, quand le terrain est dur, difficile,
c’est la preuve que par le Seigneur nous serons plus durs et plus difficiles que le terrain ne
l’est.
S’il y a beaucoup de réticence, s’il y a beaucoup d’indifférence, et même de l’opposition
fréquente, c’est juste pour que la joie de la victoire soit beaucoup plus grande. Il nous faut
donc persévérer. C’est la seule façon pour nous, leaders ou fidèles, de participer pleinement
à l’édification d’une Eglise Nationale plus forte, plus dynamique, plus prospère.
- Quelques pasteurs et églises à féliciter pour leur travail
C’est enfin le lieu ici de féliciter tous ces pasteurs qui ont compris l’enjeu et qui
s’efforcent sans cesse d’amener leurs fidèles à s’engager pour s’acquitter de leur contribution
nationale de 7.000F (sept mille francs). Car il s’agit là de l’avenir de toute l’Eglise AEECI.
D’une manière générale, nous félicitons tous les surintendants et intendants pour leur
travail.
Mais, de façon particulière, nous voudrions, très sincèrement, tirer le chapeau de
quelques-uns d’entre eux, à savoir, les surintendants des Districts et Régions suivants :
Nos félicitations vont d’abord à deux régions, la région missionnaire de Korhogo avec
un taux de mobilisation des contributions à hauteur de 121,23% et celle de Yamoussoukro de
l’ordre de 111,17%. Nous allons acclamer le Seigneur pour les révérends ZOUZOU Frédéric et
Goua Bi Tra Elisée.
Ensuite, nous voudrions féliciter les régions suivantes ainsi que leurs surintendants :
Abidjan 1 avec un taux de 89,41%, il s’agit du révérend KOUADIO Kouassi Nathanaël,
et Abidjan 2 dont le taux est de 87,26% avec le révérend KOUAKOU Kouadio Christophe.
Il y a aussi les régions suivantes : Bouaflé-Koko avec un taux de 79,06% et nous devons
acclamer le Seigneur pour le révérend GT Jérémie et son équipe ; la région de Divo avec un
taux 59,36% sous la direction du surintendant révérend KOUASSI Kan ; puis enfin, la région de
Sinfra avec un taux de 53,75% sous la conduite du surintendant, le révérend BROU Paul.
Je voudrais particulièrement ajouter à cette liste la région de Dioulabougou qui était à
un doigt des 50% considéré comme la moyenne, soit un taux de mobilisation de 49,07% avec
le surintendant KOUASSI Ananias. Il faut ajouter les régions comme Séguéla, Gagnoa, Tos, qui
ont fait des efforts remarquables par rapport à l’année dernière.
Nous félicitons deux autres églises d’Abidjan, l’Eglise AEECI des Toits Rouges, avec le
jeune révérend TIE Bi Léon, qui a mobilisé presqu’autant que les plus grandes églises de 300
à 400 membres, malgré le petit nombre de fidèles. C’est le même cas de l’église AEECI d’Abobo
Avocatier, avec le jeune pasteur, Kessé Jean-Jaurès qui a atteint un niveau satisfaisant.
Nous qui sommes plusieurs, nous formons un seul corps en Christ, et nous sommes tous membres les
uns des autres (Romains 12 :5).
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C’est enfin le lieu de féliciter l’église de Lakota, avec le révérend Yobo Magloire, qui,
avec très peu de moyens, est en train de bâtir un grand temple AEECI. Je voudrais assurer
l’église AEECI de Lakota que le Conseil National interviendra incessamment pour les appuyer
de manière forte.
c) Les tournées de formation et de sensibilisation
Dans les visites qui m’ont permis de me rendre dans les 9 (neuf) districts et les 36
régions sur les 38, l’occasion m’a été donnée d’interpeller, par des enseignements appropriés,
les leaders et bon nombre de fidèles sur la nécessité de donner dans un esprit de libéralité
afin d’aider son église à parvenir à l’autonomie financière pour réaliser ses grands projets.
Nous croyons que toutes ces différentes rencontres, tous ces enseignements dispensés
ont eu un grand impact sur les mobilisations à tous les niveaux. Nous croyons que le rapport
des finances de cette année nous situera sur les progrès réalisés à ce niveau. Ainsi, nous
voudrions aussi attirer l’attention de tous les pasteurs à être des agents de transformation
crédibles au sein de leurs communautés en apportant le changement nécessaire souhaité.
3- LA REDYNAMISATION DE L’ADMINISTRATION DE L’AEECI
a) De nouveaux districts
Comme nous l’avions dit avant la prise de fonction, l’administration est un maillon
essentiel si nous voulons bâtir une Eglise AEECI dynamique, sérieuse, solide et stable. Aussi
avons-nous, dès le départ, procédé à des réformes structurelles par de nouveaux découpages
qui rapprochent les administrés et leur facilitent les différentes rencontres.
Nous avons créé de nouvelles subdivisions et érigé de nouveaux districts et porté le
nombre de district de 5 à 9, soit 4 nouveaux districts de plus, dont les districts de Zuenoula,
de Séguéla, de Yamoussokro et de Gagnoa. Nous réalisons aujourd’hui les bénéfices de cette
politique où les nouveaux districts prennent conscience de s’affirmer chacun (Cf Zuenoula et
Yamoussoukro).
b) Les nouvelles régions
De même, de nouvelles régions ont été créées telles que Kongasso, Toulepleu, Bouaflé-
TOS, Bouaflé-Kringabo, Bouaflé-Bozi, Kani, Korhogo, Bédiala, soit au total 8, ce qui fait que
nous avons aujourd’hui 38 régions dont 5 régions missionnaires, à savoir :
- La Région de Daoukro ;
- La région de Dimbokro ;
- La région de Korhogo ;
- La région de Toulepleu ;
- La région de Kani.
Cette année, nous poursuivrons cette dynamique de l’éclatement de certains districts
et de certaines régions de l’AEECI pour une administration plus efficiente.et plus fiable et
viable.
4- L’ORGANISATION D’UNE GRANDE CONVENTION EN 2020
- Le lieu de la convention
Nous qui sommes plusieurs, nous formons un seul corps en Christ, et nous sommes tous membres les
uns des autres (Romains 12 :5).
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Nous qui sommes plusieurs, nous formons un seul corps en Christ, et nous sommes tous membres les
uns des autres (Romains 12 :5).
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Cette situation a dégénéré et créé une crise de confiance entre leaders de centres de
prières et pasteurs de l’AEECI qui se regardaient en chien de faïence. Il fallait initier le dialogue
par des rencontres entre les deux parties et ramener la confiance et l’apaisement.
A la suite de deux grandes rencontres tenues à Vavoua, d’abord, à l’AEECI Château,
puis ensuite, au Centre de Prière « Jérusalem », un projet de protocole d’accord fut élaboré
par les deux parties.
Depuis ce jour, les tensions ont baissé et un comité de vigilance a été mis sur pied pour
régler des problèmes ou crises pouvant surgir éventuellement dans l’avenir.
C’est depuis ce jour que nous avons décidé d’organiser et de former les leaders des
centres de prière qui ont résolu de travailler sous l’autorité de l’Eglise AEECI. Un bureau a été
mis sur pied en leur sein pour leur formation et leur encadrement spirituel selon les
dispositions et RI de l’AEECI.
6- L’AMELIORATION DES CONDITIONS DE VIE ET DE TRAVAIL
a) Assistances aux pasteur(es)
L’amélioration des conditions de vie et de travail des serviteurs et des servantes de
Dieu représente un volet très important à nos yeux. Ce dont souffrent la plupart des pasteurs
dans l’accomplissement de leur ministère, parfois dans des localités difficiles n’est pas une
fatalité.
Depuis notre prise de service, nous avons apporté maintes assistances soit pour un
complément du soutien mensuel soit pour aider les pasteurs face à certains aléas de la vie soit
enfin pour apporter notre soutien dans les interventions chirurgicales subies par les siens.
Au total, pour cette année, ces assistances ont touché des pasteurs d’une dizaine de
régions.
b) Retraite et mutuelle des pasteurs
- La Caisse de retraite des pasteurs
Après avoir servi le Seigneur pendant de nombreuses années, vient alors le temps de
la retraite méritée. Mais ce moment était perçu par les pasteurs comme le temps de leur
malédiction, faute d’une politique réelle d’accompagnement de ceux qu’on mettait à la
retraite.
C’est la raison pour laquelle il fallait créer une caisse de retraite pour préparer cette
retraite par un accompagnement fort où celui qui s’en va est honoré par toute l’église AEECI.
Une fois à la retraite, il continuera de bénéficier d’assistance financière de la part de l’Eglise
AEECI.
- Une première retraite célébrée
Le 19 décembre 2020 à Oumé a été un grand jour. L’événement a permis aux serviteurs
et servantes de Dieu de changer d’avis sur la question de la retraite qui les hantait et les
traumatisait.
Cette journée a été l’occasion pour l’AEECI de démontrer qu’elle peut traiter avec
dignité tous ceux qui ont consacré presque toute leur vie au service du Seigneur et qui
Nous qui sommes plusieurs, nous formons un seul corps en Christ, et nous sommes tous membres les
uns des autres (Romains 12 :5).
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décident de faire valoir leur droit à la retraite comme ce fut le cas du Doyen BOAN Bi Zrê
Emmanuel.
L’Eglise a organisé cette cérémonie et a mobilisé au moins 5.000.000F pour le président
Zrê en prenant presque toute l’organisation en charge. La cérémonie a permis à bon nombre
de fidèles d’exprimer leur reconnaissance à Dieu pour la vie de cet homme qui a été une
source de bénédiction pour de nombreuses personnes et familles.
En considérant tous les dons azimut, celui de l’Eglise AEECI, celui du parrain, celui de
l’église de Gota Baoulé, celui du District d’Oumé, et enfin celui des amis et connaissances, c’est
pratiquement au moins 10.000.000F (dix millions de francs) qui ont été mobilisés pour cette
retraite.
Nous adressons tous nos remerciements aux églises qui ont donné généreusement et
aux personnes de bonne volonté qui n’ont rien épargné afin de faire de cette cérémonie un
succès total. Que le Seigneur, notre Dieu, se souvienne de leurs offrandes et les bénisse
richement.
Nous qui sommes plusieurs, nous formons un seul corps en Christ, et nous sommes tous membres les
uns des autres (Romains 12 :5).
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Cette mutuelle deviendra opérationnelle dès 2021 où elle interviendra dans les
funérailles d’un père ou d’une mère de serviteur ou de servante de Dieu à hauteur de
500.000F (cinq cents mille francs) et dans celui de la belle-mère ou du beau-père à hauteur de
250.000F (deux cents cinquante mille francs), et cela, aussitôt que le décès est annoncé.
5- LA FORMATION PRESQUE GRATUITE DES APPELÉS (IPH & EBAEECI)
a) Le déficit criard de pasteur
Notre Eglise AEECI a au moins 85 ans d’existence. Mais en 2018, elle ne comptait que
150 pasteurs. En comparant le nombre de pasteurs à ceux des églises sœurs dont les
missionnaires se sont établis dans la même époque que les nôtres, c’est tout comme le jour
et la nuit.
La nécessité donc de parer le plus vite à cette tragédie nous a conduit à booster notre
politique de recrutement et de formation. En rendant la formation gratuite où l’étudiant ne
paie qu’un simple droit d’inscription, tous les appelés ont facilement accès à toutes nos
structures de formation.
Depuis seulement deux ans, le nombre de pasteurs avoisine aujourd’hui 200 (deux
cents) pasteurs. L’avantage de former un grand nombre d’appelés réside dans la multiplication
des nouveaux lieux de culte. Désormais, les appelés sont formés pour aller implanter de
nouvelles églises.
b) L’amélioration des profils de carrière
Désormais, il n’y a plus de recrutement direct pour la formation en licence. La
formation en licence est réservée à ceux qui ont fini leur formation pastorale et ont été
titularisés dans leur service.
Cependant, tous ceux qui seront tentés de faire l’option de la formation directe en
licence devront assurer eux-mêmes la totalité de leurs frais de scolarité. Quant aux pasteurs
désireux d’améliorer leur niveau d’étude, une assistance leur est accordée à hauteur de 40%
pour ceux des grands centres urbains et 70% pour ceux des zones rurales ou campagnes.
Nous qui sommes plusieurs, nous formons un seul corps en Christ, et nous sommes tous membres les
uns des autres (Romains 12 :5).
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1- Pour l’implantation, les campagnes débuteront très tôt, dès la fin du premier
trimestre. Au plan national, nous reviendrons sur ce qui n’a pas été fait en 2020. Mais aussi,
nous encouragerons toutes nos régions, à nos mouvements au sein de l’église à s’engager
résolument dans l’implantation. Nous attendons donc la création de 15 nouvelles églises.
2- Pour l’autonomie financière, le conseil national félicitera tous ceux qui ont fait des
efforts particuliers en payant au moins 50.000F leur contribution nationale. Aussi, tous les
membres du conseil national devraient payer au moins 50.000F ainsi que tous les
surintendants de district.
Quant aux surintendants de région, ils devaient donner au moins 30.000F. et aucun
pasteur ne devait payer moins de 10.000F. Il faut cela pour que nous comprenions que notre
statut social devait concorder avec nos obligations spirituelles dans nos églises.
Nous organiserons des rencontres ou séminaires pour des enseignements
systématiques sur le thème de la pratique de la libéralité au niveau des régions de l’AEECI.
Cette année, nous comptons mobiliser au-delà de 200 millions de francs pour l’AEECI. Cela,
nous le pouvons.
3- Pour l’administration, une nouvelle fiche de rapport d’une page sera éditée et mise
à la disposition des pasteurs. Elle reflètera l’essentiel du travail du pasteur et son rendement
réel.
Les bulletins individuels de notation seront introduits d’ici peu pour un suivi et un
encadrement administratif conséquent. Toutes ces nouvelles dispositions vont révolutionner
notre administration.
Par ailleurs, les districts d’Abidjan, de Yamoussoukro, de Bouaflé, de Daloa, de Gagnoa,
de Séguéla, connaîtront de nouveaux découpages. Et de nouvelles régions et districts feront
leur apparition.
4- Pour l’amélioration des conditions de vie, nous poursuivrons les exhortations pour
amener les plus sceptiques à y croire. Nos deux grands outils sont la caisse de retraite et la
caisse de la mutuelle. Nous visons convaincre sinon persuader au moins les 2/3 des pasteurs
à y adhérer.
Nous encouragerons enfin ceux qui ont atteint l’âge de la retraite à faire valoir leur
droit à la retraite. Toute l’Eglise AEECI sera à leur côté pour les honorer et les accompagner
fortement.
CONCLUSION
Au terme de notre bilan moral, nous voudrions encore réitérer nos remerciements au
Seigneur qui est le véritable artisan et réel bâtisseur de son église pour toute sa grâce et sa
présence qui nous ont été manifestées, choses sans lesquelles rien n’aurait été accompli.
Merci aussi pour tous nos collaborateurs qui portent le fardeau du devenir de l’AEECI
avec nous, pour votre travail, vos sacrifices, vos souffrances vécues dans l’endurance et
l’abnégation totale.
Nous qui sommes plusieurs, nous formons un seul corps en Christ, et nous sommes tous membres les
uns des autres (Romains 12 :5).
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L’AEECI vaincra tous les obstacles, quels qu’ils soient. L’AEECI réussira et sera hissée au
sommet de la montagne de la gloire et de la couronne de vie promise par le Seigneur de toute
éternité.
C’est la raison pour laquelle notre engagement et notre travail ne doivent souffrir
d’aucune négligence ou lâcheté, car le temps vient, et il est déjà là où chacun recevra du Grand
rémunérateur fidèle selon ses propres œuvres. Mon vœu et ma prière est que personne ne
manque à ce grand rendez-vous. Dieu bénisse l’AEECI ! Dieu bénisse notre nation ! Dieu vous
bénisse !
Cette année, nous érigerons Bouaké et Man en District, et les paroisses de Bouaflé-
Gola I et Gola II deviendront une région à part entière. Dans un avenir plus ou moins proche,
avec l’essor de Mankono, les régions de Kongasso et de Kounahiri pourraient être érigées en
district.
Nous qui sommes plusieurs, nous formons un seul corps en Christ, et nous sommes tous membres les
uns des autres (Romains 12 :5).
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Nous qui sommes plusieurs, nous formons un seul corps en Christ, et nous sommes tous membres les
uns des autres (Romains 12 :5).
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Nous qui sommes plusieurs, nous formons un seul corps en Christ, et nous sommes tous membres les
uns des autres (Romains 12 :5).
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➢ Région de Doukouya
• Surintendant : Rév. KOUASSI Danon Alfred
Nous qui sommes plusieurs, nous formons un seul corps en Christ, et nous sommes tous membres les
uns des autres (Romains 12 :5).
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➢ Région de Zuénoula-Sokoura
• Surintendant : Rév. NENE Bi Tra Albert
➢ Région de Zuénoula-Mission
• Surintendant : Rév. BOTTI Bi Ballo Christophe
➢ Région de Gohitafla
• Surintendant : Rév. ZAMBLE Bi Zamblé Mardochée
Nous qui sommes plusieurs, nous formons un seul corps en Christ, et nous sommes tous membres les
uns des autres (Romains 12 :5).
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I. UF-AEECI :
L’UF-AEECI nationale, avec à sa tête Mme YAO Yvonne a pour vision : « Susciter des
générations de femmes leaders, autonomes et responsables qui influencent
positivement leur environnement, en jouant le rôle qui leur est dévolue par Dieu Lui-
Même, dans le but d’aider l’AEECI à promouvoir le royaume de Dieu ». A ce titre, cette
année 2020 ce thème a retenu l’attention de toutes : « Femme, il est temps
d’entreprendre pour le royaume de Dieu ». C’est donc la mise en pratique des talents
reçus du Seigneur. Elle va donc programmer plusieurs activités en fonction des trois
axes stratégiques qui sont : le réveil spirituel, le développement socio-économique et
culturel, et l’organisation et fonctionnement de l’UF-AEECI. Aussi difficile que fut
l’année 2020 à cause de la grave crise sanitaire, l’UF-AEECI a pu atteindre un taux
d’exécution de 80% qui est qualifié d’exceptionnelle dans ce contexte. Nous relevons
quelques activités importantes réalisées :
• L’affermissement de notre intimité avec lui par des temps de prières et d’étude
biblique
• L’instauration d’une seconde chaine de prières de 40 jours
• L’instauration d’un temps de prières pour le bureau national tous les mercredis
matin (04h-05h) qui se déroule très bien depuis plusieurs mois.
• L’organisation de Silo dans les régions (éclatée)
• Les témoignages de Silo 2019 notamment la naissance d’une fillette
• La mise en place de la cellule sociale qui a su apporter un soutien financier et
spirituel aux femmes de Toulepleu, de Divo et autres
• L’adaptation aux nouvelles technologiques (WhatsApp) pour la tenue de nos
réunions
• Le respect du calendrier de l’évangélisation sur Guibéroua et le dépassement
des objectifs fixés entre autres l’installation d’une cellule avec 20 convertis qui
fonctionne bien.
• L’église de HIRE restée debout malgré la crise sanitaire. Cette église a par ailleurs
déjà enregistré un mariage et baptisé plusieurs nouveaux
• Pendant cette crise, malgré la maladie nous sommes restés en bonne santé :
• La mobilisation massive des femmes à chaque invitation du BEN aux activités
nationales
• L’accroissement de la contribution des régions au soutien au budget (80%) avant
la fin de l’année
Nous qui sommes plusieurs, nous formons un seul corps en Christ, et nous sommes tous membres les
uns des autres (Romains 12 :5).
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FINANCES
Quant au point financier, le solde des comptes arrêté au 30 novembre est de
+4.112.445 FCFA.
DIFFICULTES RENCONTREES
Nous qui sommes plusieurs, nous formons un seul corps en Christ, et nous sommes tous membres les
uns des autres (Romains 12 :5).
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SUGGESTIONS
Nous pouvons donc dire, sans hésiter que le bilan des activités de l’UF-AEECI nationale
est positif malgré certaines difficultés rencontrées. Nous rendons gloire à notre
Seigneur Jésus-Christ qui a protégé et permis la réalisation de toutes ces activités.
L’UFAEECI reste un maillon important dans l’AEECI et est résolue à l’aider à promouvoir
l’évangile c’est-à-dire gagner des âmes. Notre souhait est de voir toute l’Eglise
contribuer à l’atteinte de cet objectif majeur par la prise en compte des suggestions
énumérées dans le présent rapport d’activités.
L’UF-AEECI ne saurait terminer sans avoir une pensée spéciale à l’endroit de leurs
conseillers l’Ancien GALA TIZIE Emmanuel et la Diaconesse GNAHORE Thérèse, le
Conseil National, les pasteurs et leurs épouses. Puisse le Seigneur les bénir !
II. J-AEECI :
La jeunesse nationale tient à remercier sincèrement le Dieu tout puissant qui lui a
permis de le servir malgré les imprévus auxquels elle a été confrontée cette année
2020 comme la COVID 19 par exemple. Le BEN a reconduit le thème de l’année
précédente qui est : Une jeunesse mature face aux défis de la mission et de
l’évangélisation. Le bilan retracera les activités réalisées, les activités non réalisées, les
difficultés rencontrées et les perspectives pour 2021.
Nous qui sommes plusieurs, nous formons un seul corps en Christ, et nous sommes tous membres les
uns des autres (Romains 12 :5).
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Le BEN a fait parvenir les sujets de prières à toutes les localités. Elle a eu lieu le 23
février 2020. Dans l’ensemble ce moment a été observé dans la plupart des localités.
Nous avons relevé quelques difficultés rencontrées durant cette année à savoir :
- Le dysfonctionnement du bureau national lié à la défection de certains
membres qui rendait difficile la tenue de nos rencontres comme prévu.
Nous qui sommes plusieurs, nous formons un seul corps en Christ, et nous sommes tous membres les
uns des autres (Romains 12 :5).
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- Aucun rapport des activités ne parvient au bureau, de sorte que nous avons du
mal à apprécier leur réelle exécution et ses effets.
- Le dysfonctionnement de certaines régions et locaux
- Le problème des listes de certains bureaux régionaux et locaux et jeunes non
disponibles à ce jour.
- La plupart des jeunesses n’ont pu cotiser cette année à cause de la COVID 19.
LES PERSPECTIVES
Nos perspectives pour l’année 2021, c’est non seulement de maintenir le cap mais
mieux, faire c’est-à-dire :
- Réussir une mobilisation record à la convention nationale de l’AEECI en août
2021
- Accentuer la diffusion des informations pour améliorer l’implication des
bureaux à nos activités
- Recenser l’ensemble des bureaux régionaux et locaux, ainsi que la liste de tous
les jeunes
- L’acquisition d’un terrain à Dabou pour la construction du temple
- L’organisation du camp-congrès en 2021.
LE BILAN FINANCIER
- Au niveau financier le travail n’a pas été aisé à cause cette crise sanitaire,
néanmoins voici les résultats obtenus :
- Recettes : 1 514 700 F CFA
- Dépenses : 1 329 300 F CFA
- Solde : 185 400 F CFA
Nous ne pouvons terminer ce bilan sans dire merci au Conseil National, aux différents
pasteurs, aux membres du Bureau Exécutif National ainsi que l’ensemble des jeunes
pour leurs franches collaborations. Nos remerciements vont aussi à l’endroit de nos
conseillers pour leur disponibilité et les conseils prodigués à notre égard. Dieu vous
bénisse !
Nous qui sommes plusieurs, nous formons un seul corps en Christ, et nous sommes tous membres les
uns des autres (Romains 12 :5).