SKDHVJBSKHVBSV
SKDHVJBSKHVBSV
SKDHVJBSKHVBSV
Bonjour, je m’appelle Kamal Harb et je vais vous parlez des 2 types d’accouchements et leurs
impacts sur l’immunité du bébé a long terme car ce sujet me tient à cœur et m’intrigue et il est
aussi lié à mon projet personnel d’avenir puisque j’aimerais être un médecin.
L’accouchement correspond à la fin de la grossesse, au moment de la naissance du bébé. Il existe
deux types d'accouchements, l’accouchement naturel qui consiste en un accouchement par voie
basse ou vaginale et l’accouchement par césarienne qui consiste en une intervention chirurgicale
visant à extraire le nouveau-né de l’utérus maternel. Dans le monde, on constate que le nombre
de naissances par césarienne a quasiment doublé et le nombre de naissance naturel a diminué
devenant moins désirable à cause des douleurs et des risques que la femme subit lors de
l’accouchement.
Le type d’accouchement peut-il avoir un impact durable sur l’immunité du bébé ?
Dans l’appareil génital de la femme et précisément dans le vagin se trouve le microbiote vaginal
ou flore vaginale qui est un ensemble de micro-organismes constitués des lactobacilles, et d’autre
familles comme les bifidobactéries dont leurs rôles principal est de protéger la muqueuse intime
en limitant et inhibant la croissance des organismes pathogènes comme les virus, microbes et
champignons.
De plus, le microbiote intestinal ou flore intestinale est de même l’ensemble des micro-
organismes qui se situe dans le système digestif qui vont jouer un rôle majeur dans la maturation
du système immunitaire et dans différentes fonctions physiologiques comme la digestion.
Ensuite, le bébé étant dans l’utérus et entouré par le liquide amniotique ne possède pas de
microbiotes dans son organisme.
Alors, lors de l’accouchement par voie vaginale, le contact du bébé avec cette flore vaginale et la
flore intestinale de la mère est une source primordiale pour le début de la colonisation du
nourrisson par les micro-organismes dans toutes les parties de son corps surtout dans les
poumons, les organes génitaux et le système digestif précisément.
Le microbiote intestinal acquis de la mère, va donc stimuler le développement du système
immunitaire. De plus, il va former un effet barrière : l’organisme est protégé des pathogènes
indésirables qui présentent un danger pour sa santé. De même, ce bébé va développer un
meilleur métabolisme puisqu’il a une meilleure digestion. Alors, on peut déduire que le bébé nait
par voie vaginale va être en bonne santé et va posséder une bonne immunité.
Tandis que, pendant l’accouchement par césarienne le contact entre le bébé et les microbiotes
de la flore vaginale et intestinale est absent puisque le bébé va être extrait par une intervention
chirurgicale. Alors le nourrisson va souffrir d’un taux de microbiote inferieur que celui d’un
nourrisson né par voie vaginale. Donc cet individu n’aura pas suffisamment de microbiotes pour
développer un bon système immunitaire.
Donc, il va être exposé à diverses maladies comme le diabète type 1, des maladies
inflammatoires du système digestif, des maladies respiratoires, d’allergies, et d’autres. De plus,
les bébés nés par césarienne ont 2 fois plus le risque de surpoids à cause du mal fonctionnement
du système digestif qui est influencé par l’insuffisance du taux de microbiote intestinal
conduisant à un métabolisme inefficace.
Pour cela, de nos jours, pour compenser ce manque de microbiotes, les enfants nés par
césarienne sont exposés après la naissance aux fluides vaginaux maternels contenant ces micro-
organismes pour éviter les maladies et être en bonne santé tout au long de leur vie.
Pour conclure, le type d’accouchement influe sur l’immunité du bébé et sa sante à long terme
puisque le taux de microbiote du nourrisson né par césarienne est moins riche que celle du bébé
né par voie vaginal. Alors la composition de son microbiote est modifiée et, à long terme, va
influer sur son système immunitaire qui va devenir incapable de se défendre contre certaines
maladies.
Le système immunitaire est composé d’organes lymphoïdes :
1. Le thymus : est l’un des centres de développement et de maturation des
lymphocytes T qui vont se différencier après en LTCD4 c.a.d. cytotoxique.
2. La moelle osseuse : produit de nombreux types de globules blancs essentiels comme
les lymphocytes, les monocytes, les neutrophiles, les basophile etc.
3. La rate : il stocke les lymphocytes et les monocytes, des cellules qui assurent la
protection de l'organisme (système immunitaire). En cas d'infection, la rate va libérer
dans le sang.
4. Les ganglions lymphatiques : Ils entreposent les lymphocytes et filtrent les déchets,
bactéries et cellules endommagées, dont les cellules cancéreuses, de la lymphe. Les
lymphocytes présents dans les ganglions lymphatiques attaquent les bactéries et les
virus qu’ils trouvent dans la lymphe (qui est un liquide qui se situe dans le système
lymphatique qui assure le transport des cellules immunitaires au organes
immunitaire).
5. L’amygdale : filtrer les organismes pathogènes tels que des bactéries et des virus. Les
cellules immunitaires présentes dans les amygdales produisent les anticorps qui
aident à détruire ces pathogènes.
Le périnée : est un muscle qui se situe sur la paroi inférieure du pelvis (le bassin).
Le tractus gastro intestinal : composer de l'estomac, l'intestin grêle et le gros intestin qui
sont responsable de la digestion principale des aliments, l'absorption des produits digérés
(absorption des nutriments), et la sécrétion des sucs digestifs.