Chapitre 5 - Installation

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Année scolaire 2008 / 2009

COURS D’INSTALLATION ELECTRIQUE


EN Tle F3

CHAPITRE 5 : NOTIONS GENERALES SUR LES INSTALLATIONS ELECTRIQUES

Objectifs du chapitre  :
A la fin de ce chapitre, l’élève doit être capable de :
 Distinguer les différentes parties d’une installation électrique,
 Connaître les conditions que doit satisfaire une installation électrique (conception, réalisation et
exploitation)
 Connaître la classification des locaux en fonction des influences externes
 Dimensionner et réaliser les prises de terre et les liaisons équipotentielles,
 Procéder à la vérification d’une installation électrique avant sa mise en service.

I- GENERALITES.
I-1. Organisation générale et conditions à remplir par une installation électrique.
 Toute installation électrique comprend :
 Une source d’alimentation ou point de livraison de l’énergie électrique,
 L’appareillage électrique,
 Des récepteurs,
 Un réseau de canalisation assurant les différentes liaisons électriques entre les différents
éléments.
 La conception, la réalisation et le fonctionnement d’une installation électrique doit satisfaire les
conditions suivantes :
 Etre conforme aux besoins de l’utilisateur.
 Assurer en permanence la sécurité des personnes contre les chocs directs et indirects.
 Protéger le matériel contre les agents extérieur (corrosion, humidité, chaleur), les chocs
mécaniques, les surtensions et les surintensités, causes de brûlures et d’incendies.
 Eviter une perturbation du réseau en cas de dérangement localisé
 Etre indépendant vis-à-vis d’autres installations tel que : eau, gaz, téléphone chauffage
central, climatisation centrale, ….
 Permettre l’accessibilité du matériel pour le dépannage et l’entretien.
 L’appareillage et le matériel utilisés dans une installation électrique doivent satisfaire les conditions
suivantes :
 Avoir une conception et une fabrication conformes aux prescriptions et spécifications de
L’UTE ; critères de qualité contrôlés et reconnus par L’USE qui autorise sa marque à figurer
sur l’étiquette ou sur le matériel.
 Etre adapté à la nature du courant (AC ou DC) et aux grandeurs tension et fréquence du
réseau. supporter les influences externes (avoir un bon IP)
 Etre fiable,
 Avoir une durée de vie élevée,
 Etre souple d’utilisation et simple d’entretien,
 Etre moins encombrant, esthétique et moins coûteux.

II- CLASSIFICATION DES LOCAUX EN FONCTION DES INFLUENCES EXTERNES.


II-1. Introduction.
Chaque local présente certaines contraintes susceptibles d’influencer on installation électrique et dont il
faut tenir compte dans le choix de l’appareillage, des canalisations et même de certains récepteurs de
l’installation, afin de garantir une meilleure sécurité des personnes et du matériel.

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II-2. Classification des influences externes.
Suivant la norme NFC 15-100, un local présente 3 types d’influence externe qui sont :
1. Les contraintes d’environnement :
Exemple : - La température ;
- La présence d’eau ;
- La présence de corps solides ;
- La présence de substances corrosives ;
2. Les conditions d’utilisation.
- Compétence des personnes ;
- Nature des matières traitées ;
- Résistance électrique du corps humain ;
3 Les contraintes liées à la construction des bâtiments.
- Matériaux de construction ;
- Structure des bâtiments.

II-3. Codification des influences externes.


Chaque condition d’influence d’externe est désignée par un code comprenant toujours 2 lettres
majuscules et un chiffre.
 La première lettre : concerne la catégorie générale des influences externes et peut être :
 A : pour les contraintes d’environnement
 B : pour les conditions d’utilisation
 C : pour les contraintes liées à la construction des bâtiments.
 La deuxième lettre : concerne la nature de l’influence externe et peut être : A, B, C, D, E, …..
 Le chiffre : indique le degré de prédominance de l’influence externe et peut être 1, 2, 3, 4, ….
NB : Plus le chiffre est élevé, plus l’influence est prédominante.
Exemples : AD4 signifie : A = environnement ; D = présence d’eau ; 4 = projection d’eau dans toutes les
directions.
BE3 signifie : B = utilisation ; E = nature des matières ; 3 = risques d’explosion.
CA2 signifie : C = construction des bâtiments ; A = matériaux de construction ; 2 = bâtiment en
matériaux combustibles. (Voir page 66)

II-4. Classification des locaux en fonction des influences externes.


C’est la première opération qui permet de définir une installation électrique. La norme NFC 15-100
définit pour chaque local, les cœfficients des différentes influences externes qu’il peut présenter et qui
peuvent influencer son installation électrique.
Cette classification guide l’installateur dans le choix des canalisations, de l’appareillage et même des
récepteurs ; car elle permet de définir le degré de protection minimal de chaque local (càd le degré de
protection mini que doit avoir tout matériel à installer dans ce local).

III- MISE A LA TERRE ET PRISE DE TERRE.

III-1. Mise à la terre.


III-1-1. Définition de quelques notions :
 Masse : on appelle masse, tout élément métallique susceptible d’être touché et normalement isolé
des parties sous tension, mais pouvant être accidentellement mis en contact avec celles-ci.
Exemple : carcasse d’appareils électrodomestiques, canalisation électrique sous conduit métallique,

 Eléments conducteurs : Ce sont les éléments métalliques susceptibles de propager un potentiel.
Exemple : canalisations métalliques de gaz, d’eau, de chauffage, … ; appareils non électriques à
corps métallique reliés à des canalisations métalliques sans interposition d’élément isolant ;

Remarque : les éléments qui ne peuvent en aucune manière être portés à un potentiel défini ne doivent pas
être considéré comme masse ou comme élément conducteur. Exemple : poignets de porte, carcasses
métalliques des appareils de classe II ; …
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III-1-2. Définition de la mise à la terre.
La mise à la terre consiste à relier à une prise de terre, par un fil conducteur, les masses métalliques
susceptibles d’être mises accidentellement sous tension , par suite d’un défaut d’isolement survenant dans
un matériel électrique.
III-1-3. Rôle de la mise à la terre.
La mise à la terre permet d’écouler les courants de fuite à la terre et de provoquer la mise hors tension de
l’installation à l’aide d’un dispositif de coupure différentiel.
Remarque : La mise à la terre n’est donc pas efficace si elle n’est pas associée à un DDR.

III-1-4. Constitution générale et principe d’une mise à la terre.

1- Appareil de coupure automatique


2- dispositif de détection d’un courant de fuite
3- masse métallique
1 4- conducteur de protection électrique
5- prise de terre
2

La mise à la terre des masses doit être accompagnée de l’installation d’un dispositif de coupure
automatique tel que : disjoncteur différentiel, interrupteur différentiel.
Lors d’un défaut d’isolement mettant les masses accidentellement sous tension, un courant de défaut dit de
fuite circule à travers la prise de terre et le DDR déclenche.
Si la masse en défaut n’est pas reliée à la terre, le DDR ne peut pas fonctionner ; de même, en l’absence
du DDR, la mise à la terre des masses est sans objet.

III-1-5. Eléments à relier à la terre.


 Les masses des appareils de classe 1
 Les éléments conducteurs
 Les contacts de terre des socles de prises de terre.
 Les liaisons équipotentielles des salles d’eau
 Les liaisons équipotentielles principales des bâtiments.

III-2. La prise de terre.


III-2-1. Définitions.
a) Prises de terre :
Ce sont des pièces conductrices enfouies dans le sol et assurant une liaison électrique efficace avec la
terre.
b) Conducteur de protection :
C’est un conducteur utilisé dans les mesures de protection contre les contacts indirects, qui relie les
masses métalliques à la prise de terre.
c) Liaison équipotentielle :

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C’est une liaison électrique destinée à mettre au même potentiel des masses métalliques différentes.

III-2-2. Constitution des différents types de prise de terre.


La prise de terre est constituée d’une électrode en métal bon conducteur et non corrodable en bon
contact avec le sol.
On distingue généralement 2 types de prise de terre :
- La prise de terre en boucle à fond de fouille
- Le piquet de terre.

III-2-2-1. La prise de terre en boucle à fond de fouille.


Dans ce cas, la prise de terre est un conducteur souple, nu enterré dans une tranchée d’une profondeur
d’au mois 1 m ou noyé dans le béton de propreté sur tout le pourtour de la fondation du bâtiment (forme
de boucle).
Ce conducteur peut être :
- Un conducteur en cuivre nu de 25 mm2 de section au moins ou en acier galvanisé de 95 mm2 de
section.
- Un feuillard d’acier de 100 mm2 de section et 3 mm d’épaisseur.
NB : La boucle à fond de fouille est réalisée avant la construction du bâtiment tandis que la pose en
tranchée est réalisée lorsque le bâtiment est déjà construit.

III-2-2-2. Le piquet de terre.


Ici, la prise de terre est un conducteur rigide nu ayant la forme d’un piquet ou d’une plaque enterrée
verticalement dans le sol à une profondeur minimale de 2 m (extrémité inférieure).
Un regard de visite doit être construit et aménagé au niveau de la surface du sol. (voir page 74).
Ce piquet peut être :
- Une barre en cuivre ou en acier recouvert de cuivre d’au moins 15 mm de diamètre.
- Un tube rigide en acier galvanisé d’au moins 25 mm de diamètre.
- Une plaque mince enterrée verticalement ou un grillage enterré horizontalement.

NB : C’est la solution qu’on adopte généralement lorsque le bâtiment est déjà construit.

III-2-2-3. Eléments susceptibles d’être utilisés comme prise de terre.


 Les canalisations métalliques d’eau sous réserve de l’accord du distributeur et à condition de shunter
le compteur d’eau.
 Les gaines de plomb des câbles en contact direct avec le sol, sous réserve de l’accord de l’utilisateur
des câbles.
NB : il est interdit d’utiliser comme prise de terre, les canalisations : de gaz, de chauffage central, de
conduit de vidange, de fumée ou d’ordures ménagères.

III-2-2-4. Liaison de la prise de terre aux masses.


La connexion de la prise de terre doit être sûre, durable et protégée contre la corrosion.
Les conducteurs de terre et les conducteurs de protection doivent recevoir une protection mécanique
dans les traversées de planchers, parois etc. … et en tous endroits où il y’a un risque particulier, mais ne
doivent pas y être encastrés directement.
Les conducteurs en Al ou en fer ne doivent pas être enterrés.
Les sections des différents conducteurs doivent être choisies conformément au tableau ci dessous.

Section des conducteurs de phase Section du cond. de protection et du Section du conducteur de


S en ( mm2) cond. de protect principal ( mm2) terre ( mm2)
S 16 S 25
16  S  35 16 25
S > 35 S/2 Sup. (25mm2, S / 2)

- Conducteur de terre : conducteur de liaison entre la prise de terre et la barrette de mesure.


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- Conducteur de protection principale : Conducteur de liaison entre la barrette de mesure et le tableau
de répartition.
- Conducteur de protection : Conducteur de liaison des masses métalliques au tableau de répartition.

III-2-3. Résistance de la prise de terre.


La résistance de la prise de terre dépend :
- De ses dimensions
- De sa forme
- De la résistivité du terrain dans lequel elle est établie.
La résistivité du terrain varie d’un point à l’autre selon :
o La profondeur
o La nature du terrain ;
o Le taux d’humidité ;
o La température
En effet, le gel et la sécheresse augmentent la résistivité des terrains et leurs effets peuvent se faire
ressentir jusqu'à plus de 2 m de profondeur. (Voir page 73).
La résistance R (en ohm) de la prise de terre peut être calculée dans certains cas par les formules
suivantes :
2.
 Conducteurs enfouis ou en boucle à fond de fouilles : R =  ; L étant la longueur de la tranchée
L
en mètre et φ la résistivité du terrain en Ω.m.
La résistance R peut être diminuée en augmentant la longueur de la tranchée.

 Piquets verticaux : R =  ; L étant la longueur du piquet en m et φ la résistivité du terrain.
L
La résistance R peut être diminuée en reliant plusieurs piquets en parallèle, de préférence alignés et distant
d’au moins leur longueur.
Remarque : la valeur maximale de la résistance de la prise de terre nécessaire pour une protection
efficace dépend du type de local (sec, humide ou mouillé) et de la sensibilité du DDR.
UL
En effet, Rmax ≤ avec UL la tension limite de sécurité et I∆N la sensibilité du DDR.
I N
Il est donc clair que, pour une valeur de la résistance de la PT donnée, l’installateur doit jouer sur la
sensibilité du DDR pour assurer la protection.

III-2-4. Réalisation de la prise de terre.


Les PT doivent être réalisées de préférence dans les fonds de fouilles des bâtiments, dans les caves ou en
général dans des endroits abrités du gel et de la sécheresse.
Les PT doivent être tenues à distance des dépôts ou infiltration pouvant les corroder (fumiers, produits
chimiques, …).
Elles ne doivent jamais être réalisées dans l’eau à cause de la médiocre conductivité de l’eau, des risques
d’assèchement, des dangers pour les personnes en contact avec l’eau au moment d’un défaut.

III-2-5. Installation comportant plusieurs prises de terre.


 Pour qu’une installation comportant plusieurs prises de terre soit protégée par un seul DDR, il faut
que ces PT soient interconnectées.
 Si les PT ne peuvent pas être économiquement interconnectées (bâtiments éloignés par exemple),
alors, un DDR doit être associé à chaque PT.

III-2-6. Mesure de la résistance de la prise de terre.


La mesure la plus précise est obtenue avec un ohmètre de terre. L’appareil étant relié à la prise de terre
à mesurer et à 2 prises de terre auxiliaires. Donc, cette méthode nécessite en plus de la prise de terre à
mesurer, 2 prises de terre auxiliaires.

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 Dans le cas d’un piquet vertical ou d’une plaque enterrée, il faut éloigner les terres auxiliaires de la
prise à mesurer et disposer les piquets de manière à former un triangle équilatéral avec la terre à
mesurer.
 Dans le cas d’une prise de terre en boucle à fond de fouille, les piquets de terre auxiliaires doivent
être placés en alignement.
NB : La mesure de la prise de terre devrait s’effectuer si possible pendant les conditions climatiques les plus
défavorables (sécheresse, gel).

Piquets auxiliaires
T d d

ohmètre de terre vers instal

terre à mesurer d
Barrette de mesure
Déconnectée
Prise de terre constituée par un piquet ou une plaque

Boucle à fond
De fouille vers installation

Barrette déconnectée
d d

Piquets auxiliaires
Prise de terre constituée par une boucle à fond de fouille

III-3. Liaison équipotentielle principale d’un bâtiment.


La liaison équipotentielle principale est une liaison équipotentielle qui permet d’éviter que, par suite d’un
défaut d’origine électrique externe au bâtiment, une ddp n’apparaisse entre les éléments conducteurs dans le
bâtiment.
A cet effet, les éléments conducteurs présentant un développement extérieur au bâtiment doivent être
reliés entre eux à leur pénétration dans le bâtiment et mis à la terre.
La liaison équipotentielle principale ne doit pas être confondue avec la liaison équipotentielle de la salle
d’eau qui doit être réalisés obligatoirement pour chaque salle d’eau.
De couleur vert jaune, les conducteurs assurant la liaison doivent avoir une section comprise entre 6 et 25
mm2 en cuivre ou une section équivalente ‘en conductance) en un autre métal.

Section des conducteurs de phase Cu en mm2 Section du conducteur en Cu de liaison équipotentielle


principale en mm2
≤6 6 mm2
10 mm2 10 mm2
16 mm2 ≤S ≤ 35 mm2 16 mm2
S > 35 mm2 25 mm2

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IV- VERIFICATION ET MISE EN SERVICE DES INSTALLATIONS ELECTRIQUES
IV-1. Nature des vérifications.
Toute installation électrique doit être vérifiée avant sa mise en service, ainsi qu’à l’occasion de
modifications importantes, puis périodiquement à des intervalles de temps convenables.
Ces vérifications comportent :
1. Des contrôles :
 De conformité de l’appareillage aux normes de fabrication en vigueur (UTE) ;
 De l’efficacité des dispositifs de protection contre les contacts électriques et les surintensités ;
 De la continuité des conducteurs de protection et du bon serrage des connexions sur tout leur
parcours
 Du bon serrage des connexions des conducteurs sur l’appareillage et les appareils.
 Du choix de l’indice de protection des appareils installés par rapport aux conditions d’influence
externes du local.
 Du choix des câbles et des conduits.
 Du respect de la législation et de la réglementation en vigueur (régime de neutre, séparation des
circuits, section des conducteurs, calibre de la protection, …
2. Des mesures :
 De la résistance de la prise de terre : à l’aide d’un ohmètre de terre
 Des résistances d’isolement :
Elle se fait à l’aide d’un ohmètre à courant continu sous 500 V minimum.
- Pendant ces mesures, l’installation est mise hors tension par sectionnement à l’origine de tous les
conducteurs actifs y compris le neutre.
- Ces mesures doivent porter sur l’ensemble de l’installation ; aucune portion ne doit y échapper.
A cet effet, il y’a lieu de s’assurer que :
 Que les coupe circuits à fusible sont garnis ;
 Que les appareils de commande sont en position « fermée », avant de procéder à une mesure globale.
La mesure d’isolement est faite :
 Entre conducteurs de phase après avoir éventuellement débranché les appareils triphasés ;
 Entre chaque conducteur de phase et le neutre, après avoir débranché les appareils monophasés ;
 Entre les conducteurs actifs (phase et neutre) et le conducteur de terre.
NB : - Dans certains cas, il faut effectuer cette mesure d’isolement par tronçons séparés.
- la résistance d’isolement doit être d’au moins 1000 Ω / V de tension de régime, avec un minimum
de 250 000 Ω.
VI-2. Rôle du consuel.
En France, avant de brancher définitivement un usager sur le réseau public de distribution BT, EDF
exige un certificat de conformité qui est établi par le consuel.
Ce certificat de conformité précise :
 Les caractéristiques de l’installation ;
 Les résultats des mesures ;
 Les remarques sur le respect des règlements techniques.
Eventuellement, le consuel conseille le futur abonné et son installateur sur les améliorations à apporter.

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