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Chapitre II

Variation de vitesse des


moteurs asynchrones
Chapitre : IV Variation de vitesse des moteurs asynchrones

IV.1 Introduction :
Le moteur asynchrone est le plus utilisé dans l’ensemble des applications industriel, de fête de
sa facilité de la mis en œuvre, son faible coût, son bon rondement et son bon fiabilité.
Son majeur inconvénient :
- La consommation de l’énergie réactive dans l’entrefer.
- Et sa commande compliquée.
IV.2 Rappel sur les moteurs asynchrones :
Constitution de la machine :
La machine asynchrone est constituée principalement :
- Le stator : constitué de disque en tôle magnétique, portant les enroulements(3∅ )trois
phases à la source d’alimentation chargé de magnétisé l’entrefer.
- Le rotor : constitué de disque en tôle magnétique empilé sur l’arbre de machine
portant un enroulement bobiné, le rotor peut être à cage d’écureuil
Fonctionnement :
Le principe est basé sur l’interaction électromagnétique de champ crée par les courants
statorique et le courant induit dans le rotor. L’action du flux sur les courants induit donne
naissance à un couple.
IV.3 Schéma équivalent de la machine asynchrone :
Dans les machines asynchrones comme dans les transformateurs en ramène l’enroulement
secondaire (rotorique) à l’enroulement primaire ; les paramètres de l’enroulement rotorique
doivent être modifié mais d’une façon que les relations énergétique réel de la machine
équivalent reste invariable.
On distingue schéma en T

Figure. IV. 1 : Schéma équivalent en T du moteur asynchrone.


Où la variation de la charge sur l’arbre de moteur provoque une variation du courant
non seulement sur circuit rotor et stator mais aussi sur la branche magnétisante.

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Chapitre : IV Variation de vitesse des moteurs asynchrones

De ce fête un schéma équivalent en L est plus commande, dans les quelle le courant
magnétisant reste constant et égale 0 quelque soit la charge

Figure. IV. 2 : Schéma équivalent en L du moteur asynchrone.


Remarque : ≫⇒ ≈ ≈

IV.4 Le Bilan de puissance du moteur asynchrone :


Soit : Ir : courant rotorique
Is : courant statorique
Soit le Bilan de puissance du moteur asynchrone

Figure. IV. 3 : Représentation schématique du bilan des puissances.


=3 . (IV. 1)
=3 . (IV. 2)
Les pertes fer sont essentiellement localisées au stator (elles sont négligeables dans le rotor)

= (IV. 3)

= .Ω (IV. 4)
= + + (IV. 5)

= − = .Ω − .Ω = . (Ω − Ω ). (IV. 6)
( )
= .Ω . = . (IV. 7)

Donc : = =3 . (IV. 8)

Et on a : = − = − . (IV. 9)

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Chapitre : IV Variation de vitesse des moteurs asynchrones

Donc : = (1 − ) (IV. 10)

Le couple développé : = = ( )
(IV. 11)
( )
Le rondement : = = ∑
(IV. 12)

Si ≫ + (IV. 13)
( )
= (IV. 14)

= (1 − ) (IV. 15)
IV.5 Calcule de couple à partir du schéma équivalent en L :
On détermine l’impédance d’entrée :

= + = .
(IV. 16)

= + + ( + )
Tel que : (IV. 17)
=
( )
Donc : = (IV. 18)
( )

On calcule le courant rotorique :

= = (IV. 19)
( )

On remplace le courant dans la formule de puissance électromagnétique :

=3 . = (IV. 20)
[ ( ) ]

Et puisque : = .Ω ⇒ = (IV. 21)

= (IV. 22)
[ ( ) ]

IV.6 Caractéristique mécanique


Si la machine est alimentée d’une source de tension fixe, le est en fonction de donc
la vitesse, et la caractéristique mécanique = ( ) ou ( ) peut être obtenu par la
figure.IV.4.

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Chapitre : IV Variation de vitesse des moteurs asynchrones

Figure. IV. 4 : Allure de la caractéristique mécanique

 Au démarrage, la vitesse de moteur est nul (Ω = 0) donc un glissement g=1 et le couple


de démarrage devient :

= [( ) ( ) ]
(IV. 23)

 Le glissement pour un couple max est obtenu lorsque =0:


±
= (IV. 24)
( )

+
Tel que : − é é
Remplaçant dans la formule de on trouve :

= (IV. 25)
[± ( ) ]

 Si on néglige la valeur de devant les autres impédances la formule de devient :

= (IV. 26)
[ ( ) ]

Le couple de démarrage devient :

= [( ) ( ) ]
(IV. 27)

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Chapitre : IV Variation de vitesse des moteurs asynchrones

Le glissement pour un couple max est :


±
= (IV. 28)

Et la formule de :

= [ ]
(IV. 29)

On définir le rapport en remplaçant par les différentes formules en trouve:


∙ ⋅ ( )
= = (IV. 30)
[ ( ) ]

Et le rapport :
∙ ( )
= =( ) ( )
(IV. 31)

≪ 1…
∙ ⋅ ( )
 Si ⇒ = = .
(IV. 32)

 On peut déterminer la vitesse :

Ω=Ω 1− (IV. 33)

 On peut voire à partir des équations (IV.32) et (IV.33) que si le moteur fonctionne avec
un petit glissement le couple électromagnétique est proportionnelle au glissement et la
vitesse décroit avec le couple.
IV.7 Variation de la vitesse des moteurs asynchrones :
La vitesse et le couple d’un moteur asynchrone peut être varie on agissant sur les paramètres
suivants :
1. Variation du nombre de pôle.
2. Contrôle de la tension statorique.
3. Contrôle de la tension rotorique ( ).
4. Contrôle par fréquence statorique.
5. Contrôle par fréquence et tension statorique ( = ).

6. Contrôle par courant statorique.


7. Contrôle par courant, tension, fréquence statorique.

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IV.7.1 Variation du nombre de pôle :


Il est possible d’obtenir un nombre discret de la vitesse, on utilisant deux enroulements
statorique indépendant logé dans les mêmes encoches, la commutation des enroulements
permet d’obtenir des vitesses de synchronisation différente.
Ce procédé est à évité car chaque vitesse correspond à l’utilisation des la moitie de cuivre, ce
la induit une augmentation des dimensions externe de la machine (augmentation des
inductances de perte), donc on a un rendement faible.
IV.7.2 Contrôle de la tension statorique :
Le procédé le plus simple pour faire varier la vitesse du moteur asynchrone consiste à
alimenter la machine à fréquence constante mais à faire varier la valeur de la tension à ses
bornes.
Sachant que le couple est proportionnel au carré de la tension statorique Vs, et en
particulier le couple max, et que ne dépend pas Vs, donc l’augmentation de Vs
entraine une grande augmentation de Cem et Cem max.
Le rapport de donne une estimation de cette augmentation :

= ( ) (IV. 34)

Avec : est le couple à tension nominale.


Partant de la caractéristique à tension nominale, la seule variation possible est une diminution
de la tension Vs. Pour des valeurs décroissantes de cette dernière, on obtient les courbes représentée
ci-après :

Figure. IV. 5 : Modification des caractéristiques mécaniques


par la tension d’alimentation.
Avec un moteur à cage, une plus grande diminution de vitesse, par une tension
statorique plus faible ferait passer le point de fonctionnement dans une zone instable, donc la
plage de variation de vitesse serait limitée.

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Ce type de contrôle est utilisé :


 Lorsque le couple de charge n’est pas constant.
 Pour des entrainements de faible couple de démarrage.
IV.7.2.1 Les moyennes de contrôle :
La tension statorique Vs peut être variée en utilisant :
IV.7.2.1.A Un autotransformateur triphasé :
Il fournit une tension sinusoïdale pour la machine asynchrone, mais leur inconvénient
majore réside dans leur volume massique qui est très grande.

Figure. IV. 6 : Moteur asynchrone associé à un autotransformateur triphasé.


IV.7.2.1.B Un gradateur :
La tension fournit au moteur est non sinusoïdale et donc l’existence des harmonique
qui exige l’utilisation d’un filtre d’entrée.
Cette technique présente les avantages suivants :
- Simplicité de montage
- Commutation naturelle des composantes.
- Fonctionnement dans les quatre quadrants.
Par contre, il présent :
- Continu harmonique important.
- Un faible facteur de puissance.
- Faible variation de vitesse.

Figure. IV. 7 : Moteur asynchrone associé à un gradateur triphasé.

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IV.7.3 Contrôle de la tension rotorique :


L’insertion des résistances triphasées ajustables en série avec le rotor d’un moteur
asynchrone pour varier la tension , cette méthode n’est possible que si le rotor bobinier.
L’augmentation de permet d’augmenter le glissement.

Figure. IV. 8 : commande de vitesse par rhéostat rotorique

En fonctionnement normal, le rhéostat est en court-circuit ‚ =0 . Si on déplace le


curseur de façon à rendre non nulle, la résistance effective du circuit rotorique devient
+ . L’augmentation de permet d’augmenter le glissement.

= ́
⇒ ́= (IV. 35)

Le couple max est indépendant de cette résistance, et lorsque Rh augmente, le couple


de démarrage augmente également. On peut même ajuster Rh pour obtenir le couple max au
démarrage.

Figure. IV. 9 : Modification des caractéristiques du moteur


par insertion de rhéostat rotorique

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Ce procédé de réglage présente quelque avantage important :


 Par rapport à la méthode précédente cette méthode est utilisé pour toute les charge
entrainé puisque on travail dans la partie stable des courbes C(Ω).
 Elle augmente le couple de démarrage tout en limitant le courant de démarrage.
Mais cette méthode présente certains inconvénients :
 La marge de variation de la vitesse est réduite, car la variation est proche de la vitesse
de synchronisme.
 L’énergie de glissement est dissipée en chaleur dans les résistances du circuit
rotorique. De ce fait, l’augmentation du glissement fait diminuer le rendement.
 La possibilité de déséquilibre dans les tensions et les courants si les résistances dans
le circuit rotorique sont pas égaux.
IV.7.3.1 Les autres moyennes de contrôle :
IV.7.3.1.A Variation de glissement par un hacheur.
La résistance triphasée peut être remplacée par un redresseur à diode et un hacheur
(figure.IV.10)

Figure. IV. 10 : Variation de glissement par un hacheur.

Le courant alternatif du rotor est redressé par le pont à six diodes, filtré par
l’inductance , puis contrôlé par le hacheur. En faisant varier le rapport cyclique du hacheur,
on modifie la valeur de la résistance.

= (1 − ) (IV. 36)

Tel que est le rapport cyclique de hacheur, pour varier la vitesse de moteur il suffit
de varier le rapport cyclique.

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Chapitre : IV Variation de vitesse des moteurs asynchrones

IV.7.3.1.B Cascade hyposynchrone


Les pertes joule sont dissipé dans la résistance R peut être récupéré par la dite cascade
hypo synchrone.

Figure. IV. 11 : Schéma de principe de la cascade hyposynchrone.

On redresse le courant rotorique par un pont de diode. Après filtrage, on le renvoie


dans le réseau au moyen d’un onduleur assisté et d’un transformateur adaptateur de tension.
Le réglage du glissement s’effectue en agissant sur le retard à l’amorçage des thyristors
d’onduleur. Le rendement obtenu est de l’ordre de 90% à 95%.
Le facteur de puissance de la cascade est plus faible que celui du moteur seul et il y a
nécessité de le relever avec une batterie de condensateurs.
La cascade ne peut démarrer seule : il est nécessaire de prévoir un dispositif annexe de
démarrage par résistances rotorique.
IV.7.4 Variation de la vitesse par la fréquence statorique :
Le couple et la vitesse peuvent être contrôlé en varient la fréquence d’alimentation. Si
la fréquence qui correspond au synchronisme est dite fréquence de base (Ω , ), les nouvelles
vitesses de synchronisme correspond à d’autre fréquence devient :
Ω = .Ω (IV. 37)
Avec <1

Et

= .
(IV. 38)

Le couple électromagnétique devient :


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Chapitre : IV Variation de vitesse des moteurs asynchrones

= (IV. 39)
. [ ( . . ) ]

Si est négligeable le couple max à n’importe quelle fréquence est donné par :

= . ( )
( ) (IV. 40)

Le glissement correspond au couple max est :

= ( )
(IV. 41)

= ⇒ = (IV. 42)

Les caractéristique couple vitesse est lustré

Figure. IV. 12 : Modification des caractéristiques du moteur par varient

la fréquence d’alimentation

La loi de Faraday en régime sinusoïdale, d’après la relation de Boucherot :


≈ ≈ 4.44 ∅ (IV. 43)

 N étant le nombre de spire de l'enroulement.
 étant la fréquence de la tension appliquée à l'enroulement.
Donc ∅= (IV. 44)

Si la tension est maintenu constant, et on réduit la fréquence, on a alors le flux qui s’accroit.
Ce ci va causer une certaine saturation du flux dans l’entrefer et les paramètres de moteur ne
seront plus valables pour déterminer la caractéristique (couple /vitesse).

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Chapitre : IV Variation de vitesse des moteurs asynchrones

Si on diminuer f ce ci vas poser la diminution des réactances , et donc augmentation


du courant de moteur, cette technique n’est pas tellement utilisé.
IV.7.4.1 Les moyennes de contrôle :
La fréquence peut être variée à l’aide d’un cycloconvertisseur, donc on peut convertir
directement la fréquence du réseau en une fréquence variable plus faible.

Figure. IV. 13 : Moteur asynchrone associé à un cycloconvertisseur.


Le cycloconvertisseur est composé de trois groupes de convertisseur alimentant chacun une
phase du moteur.les trois enroulements du moteur sont isolés afin que les trois groupes peut
fonctionner indépendamment l’un de l’autre, ils ne sont pas connectés en étoile ou en triangle
afin de faire varier simultanément la fréquence.
La commande de la vitesse du moteur est obtenue en appliquent les impulsions
appropriées aux gâchettes des thyristors afin de varier la fréquence et obtenir une tension de
sortie qui soit en moyenne sinusoïdale.

Figure. IV. 14 : la tension de sortie de cycloconvertisseur.


La fréquence maximale qui peut délivrer le cycloconvertisseur est de de la fréquence

d’entrée.

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Chapitre : IV Variation de vitesse des moteurs asynchrones

En pratique, le cycloconvertisseur sont employés pour entrainer des moteur tournant au plus
de 600 tr/min, mais avec des puissances qui peuvent atteindre 10MW.
Avantage :
- Puissance jusqu’à 10MW
- Couple important à basse fréquence
Inconvénient :
- Nombre de thyristors important (36)
- Fréquence limité à 20 Hz.

IV.7.5 . Variation de la vitesse par tension et fréquence = (Commande scalaire) :

Le principe de la commande scalaire d’un moteur asynchrone est donc de garder le flux
constant dans la machine.
Ф = (IV. 45)

Pour éviter la saturation, il faut maintenir le flux Фs constant, la tension d’alimentation de


moteur doit être variée proportionnellement à la fréquence.
Dans le cas où ≪ on a :
=2
=Ω et (IV. 46)
( ) Ω =

= ( )
(IV. 47)

Si le rapport de tension-fréquence est constant le est maintenir constant. Pour


entrainé une charge constante tous changement de doit être à compagnie par une variation

de tension d’alimentation de telle façon que le rapport = . Ce contrôle est souvent

connu sur le nom « Commande scalaire » ou sous le nom « contrôle Volts/Hertz ».


Si Ω = Ω et le rapport = donc

= (IV. 48)

Le couple électromagnétique devient :


Ω ( Ω Ω )
C = (IV. 49)
Ω ( ) [( Ω Ω )( )]

Et le glissement pour un couple max est :


= (IV. 50)
( )

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Chapitre : IV Variation de vitesse des moteurs asynchrones

Caractéristiques de réglage par variation de la fréquence d’alimentation d’une machine


asynchrone :

Figure. IV. 15 : Caractéristiques de réglage par variation de la fréquence


d’alimentation d’une machine asynchrone
A la fréquence de base, en atteint de tension nominale (c’est la tension maximale). Au delà de
fréquence de base, et puisque Vs ne peut pas être encore augmenté avec la fréquence, on doit
diminuer le rapport et donc diminuer le couple max (fonctionnement à puissance

constante).
IV.7.5.1 Les moyennes de contrôle :
On a 3 possibilité de circuit pour obtenus une tension et fréquence variable :
IV.7.5.1.A Redresseur non commandé associé à un onduleur MLI :
Le montage le plus pratique pour contrôle scalaire est l’utilisation d’un redresseur non
contrôlé (donc une tension DC fixe), et on applique la technique MLI sur l’onduleur pour
faire varie la tension et la fréquence en même temps.

Figure. IV. 16 : Redresseur non commandé associé à un onduleur MLI.

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Chapitre : IV Variation de vitesse des moteurs asynchrones

IV.7.5.1.B Onduleur+tension DC variable :


Dans ce stratège le hacheur varie la tension DC et l’onduleur varie la fréquence

Figure. IV. 17 : Onduleur+tension DC variable .


IV.7.5.1.C Redresseur commandé + Onduleur:
La tension est varies par la redresseur commandé et la fréquence est contrôlé par l’onduleur.

Figure. IV. 18 : Redresseur commandé + Onduleur.


IV.7.6 Contrôle de courant :
Le couple (la vitesse) d’une machine asynchrone peut être contrôlé en variant le courant
rotorique, il suffit de varie le courant pour assurer la variation de .
Pour un courant d’entrée fixe, le courant du rotor dépond les valeurs relatives des impédances
magnétiques et rotorique.
D’après le schéma équivalent le courant donné par :
̅ = (IV. 51)
( )

Le couple développé devient :


( )
= (IV. 52)
[ ( ) ]

Au démarrage on a g=1 et couple de démarrage est :


( )
= [( ) ( ) ]
(IV. 53)

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Chapitre : IV Variation de vitesse des moteurs asynchrones

Et le glissement pour un couple max :


±
= (IV. 54)
( )

En réalité, le courant statorique qui traverse et est constant, et si on néglige et


l’équation de devient :
±
= (IV. 55)

Dans le cas où g= la valeur de couple est :

= ( )
= = ( )
(IV. 56)

On remarque très bien que dépend du carré du courant et relativement


indépendant de la fréquence.

Figure. IV. 19 : Caractérstique couple vitesse par contrôle de courant.


Si la vitesse augmente (ou la diminution de glissement) et le courant augmente, le
couple augmente.
L’avenage de la commande de courant est que le courant est moins sensible aux
variations des paramètres du moteur, mais ils produisent des harmonique et de pulsation de
couple.
IV.7.6.1 Les moyennes de contrôle :
Le courant peut être varié par des convertisseurs de courant triphasé, il y’a deux configuration
possible.

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Chapitre : IV Variation de vitesse des moteurs asynchrones

IV.7.6.1.A Onduleur de courant alimenté par redresseur commandé :


Dans cette configuration l’inductance agit comme une source de courant, et le
redresseur commandé cette source (varier la valeur de courant continu)

Figure. IV. 20 : Onduleur de courant alimenté par redresseur commandé.


IV.7.6.1.B Onduleur de courant alimenté par un hacheur :
Dans cette configuration l’hacheur commande la source de courant.

Figure. IV. 21 : Onduleur de courant alimenté par un hacheur


IV.7.7 Contrôle de courant, fréquence et tension :
On associe les différentes avantage des chaque contrôle, sachant que la caractéristique
couple/vitesse dépend de type de contrôle. On distincte trois région :

Figure. IV. 22 : Contrôle variable.


1er région : La vitesse est varie par la tension en maintenant le couple constant.
2éme région : Le moteur doit fonctionner à courant constant et glissement variable.
3éme région : La vitesse est contrôlée par la fréquence pour des faible courant statorique

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