100% ont trouvé ce document utile (1 vote)
190 vues10 pages

BB 2018 Spé Physique-1

Télécharger au format pdf ou txt
Télécharger au format pdf ou txt
Télécharger au format pdf ou txt
Vous êtes sur la page 1/ 10

BACCALAUREAT

BLANC
Session 2018
Série : S

Épreuve: PHYSIQUE-CHIMIE
SPECIALITE
Durée de l'épreuve : 3h30

L’usage d’une calculatrice est autorisé.

Ce sujet comporte trois exercices présentés sur 10 pages numérotées


de 1 à 10
Le candidat doit traiter les trois exercices qui sont indépendants les uns
des autres.

L’exercice de spécialité est à remettre sur une copie


différente des autres exercices.
1
EXERCICE I : ANALYSE D’UN VIN. (8 points)

La teneur maximale en dioxyde de soufre d’un vin est imposée par une réglementation
européenne.
Celle-ci précise également la notion d’acidité totale en lien avec la présence d’acide tartrique
dans le vin.
Dans cet exercice, on s’intéresse à la détermination de ces deux grandeurs.

Les parties 1 et 2 sont indépendantes.

Document 1 : Extrait de la réglementation sur le vin.

Réglementation européenne :
… « La concentration massique en dioxyde de soufre ne doit pas dépasser 210 mg.L-1 dans un
vin blanc » …

Document 2 : L’acide tartrique

L’acide tartrique est l’acide majoritaire dans le vin. Parmi les acides faibles que peut contenir le
vin, on trouve également deux gaz dissous dans l’eau dont la présence contribue à apporter de
l’acidité au vin : le dioxyde de soufre et le dioxyde de carbone.

L’acide tartrique a joué un rôle important dans la découverte de la chiralité chimique.


Louis Pasteur a poursuivi cette recherche en 1847 en étudiant la morphologie des cristaux de
tartrate double de sodium et d’ammonium.
L’acide tartrique naturel est chiral, ce qui signifie qu’il est constitué de molécules dont l’image
dans un miroir ne lui est pas superposable.

Représentation de Cram de la molécule d’acide tartrique naturel :

D’après le site www.societechimiquedefrance.fr

Document 3 : Acidité totale d’un vin.

L’acidité du vin se mesure en g/L équivalent d’acide tartrique. Sa détermination se fait en


amenant le pH du vin à 7,0 par addition d’une solution d’hydroxyde de sodium (Na+(aq)+ HO–(aq))
sur un échantillon de vin dont on a extrait le gaz carbonique. Le volume de solution d’hydroxyde
de sodium ajouté permettrait de faire réagir une masse d’acide tartrique qui correspond à
l’acidité totale
Données : du vin.
 Masses molaires atomiques :

2
Document 4 : données

Élément H C O N S
M (g/mol) 1,0 12,0 16,0 14,0 32,1

 Masse molaire de l’acide tartrique, noté H2A : M(H2A) = 150,0 g.mol-1.

 Couples acide/base, valeurs de pKa :


Couples du dioxyde de soufre :
pKa (SO2, H2O/HSO3–) = 1,9 ; pKa(HSO3–/SO32–) = 7,2
Couples du dioxyde de carbone :
pKa(CO2, H2O/HCO3–) = 6,4 ; pKa(HCO3–/CO32–) = 10,3
Couples de l’acide tartrique, noté H2A :
pKa(H2A/HA–) = 3,0 ; pKa (HA-/A2–) = 4,4

 En présence d’empois d’amidon, le diiode donne à une solution aqueuse une teinte violet
foncé.
Les ions iodure I–, les ions sulfate SO42– et le dioxyde de soufre en solution sont
incolores.

1. Dosage du dioxyde de soufre dans le vin.

Un laboratoire départemental d’analyse doit déterminer la concentration de dioxyde de soufre


SO2(aq) dans un vin blanc. Un technicien dose ce dernier à l’aide d’une solution aqueuse de
diiode aqueux I2(aq).
Pour cela, il introduit dans un erlenmeyer, un volume V 1 = 20,00 mL de vin blanc limpide très peu
coloré en vert pâle, 4 mL d’acide sulfurique incolore et 1 mL d’empois d’amidon également
incolore.
La solution titrante, de concentration en diiode C2 = 1,00 10–2 mol.L-1 est ensuite ajoutée jusqu’à
l’équivalence repérée par le changement de couleur du milieu réactionnel.

L’équivalence est obtenue après avoir versé un volume VE = 6,28 mL de solution de diiode.

L’équation support du dosage est :

I2(aq) + SO2(aq) + 2H2O(l)  2I–(aq) + SO42–(aq) + 4H+(aq)

1.1. Préciser, en justifiant, le changement de couleur qui permet de repérer l’équivalence.

1.2. Déterminer la concentration molaire C1 en dioxyde de soufre de ce vin et en déduire la


concentration massique Cm,exp en dioxyde de soufre.

1.3. Cette concentration est-elle conforme à la réglementation européenne ? Justifier.

2. Acidité « totale » d’un vin et acide tartrique.

2.1. Molécule d’acide tartrique.


2.1.1. Écrire la formule semi-développée de la molécule d’acide tartrique, puis
entourer et nommer dans cette formule les groupes fonctionnels présents.

3
2.1.2. Recopier la représentation de Cram de l’acide tartrique naturel puis, en
justifiant, repérer le(s) carbone(s) asymétrique(s) présents s’ils existent. Donner
la représentation de Cram de son énantiomère.
2.2. Propriétés acido-basiques de l’acide tartrique.
On ajoute à une solution d’acide tartrique une solution d’hydroxyde de sodium
(Na+(aq) + HO–(aq)) jusqu’à ce que le pH du mélange soit égal à 7.
2.2.1. Justifier à l’aide d’un schéma, qu’à pH = 7, l’espèce chimique prédominante
dans le mélange est la forme A2-.
2.2.2. Choisir alors parmi les deux propositions suivantes l’équation de la réaction qui
se produit dans ces conditions entre l’acide tartrique et les ions HO–.
H2A + HO–  HA– + H2O (1)
H2A + 2HO–  A2– + 2H2O (2)

2.3. Acidité totale d’un vin blanc.


Pour déterminer l’acidité totale d’un vin blanc d’appellation protégée, on introduit 20,0 mL
de ce vin dans une fiole à vide et on procède au dégazage du vin.
On doit alors ajouter un volume V = 15,5 mL d’une solution d’hydroxyde de sodium de
concentration molaire C = 0,100 mol.L-1 à cet échantillon pour obtenir un mélange de
pH = 7 et être dans les proportions stoechiométriques.

2.3.1. Quel est l’intérêt du dégazage du vin ?


2.3.2. Calculer la quantité de matière nHO- d’ions HO– correspondante puis la masse
d’acide tartrique pouvant réagir avec cette quantité d’ions HO –.
En déduire « l’acidité totale » du vin étudié.

4
EXERCICE II – VIVE LES ULTRASONS (7 points)

Les parties 1. et 2. sont totalement indépendantes.

Partie 1 : Les ultrasons au service du nettoyage

On trouve dans le commerce des appareils de nettoyage utilisant les ultrasons. Le document 1
décrit la première page de la notice d’un exemple d’appareil de ce type.
Document 1 : notice simplifiée d’un appareil de nettoyage à ultrasons

Descriptif :
- réservoir amovible en acier inoxydable
- fréquence des ultrasons 42 kHz à  2%
- nettoyage facile des objets immergés dans l’eau sous l’effet des ultrasons
- utiliser de préférence de l’eau fraichement tirée du robinet.
Référence : nettoyeur à ultrasons CD-3900

1. Étude des ultrasons :


Données : - célérité des ultrasons dans l’air : vair = 340 m.s−1 à 25 °C.
- célérité des ultrasons dans l’eau : veau = 1500 m.s−1.

On souhaite étudier les ultrasons émis par l’appareil décrit dans le document 1. Pour cela, on
isole l’émetteur E à ultrasons de cet appareil et on visualise le signal émis à l’aide d’un capteur
relié à la voie 1 d’un oscilloscope. Les mesures sont faites dans l’air à la température de 20 °C.
On obtient le signal uE suivant :

1.1. Déterminer la période T du signal représenté sur la figure 1. Expliquer la méthode.


1.2. En déduire la fréquence f des ultrasons. Comparer avec la valeur de référence.
1.3. On souhaite déterminer la longueur d’onde  des ultrasons. Pour cela, on visualise à la fois
le signal émis par l’appareil et appliqué sur la voie 1 d’un oscilloscope et le signal uR reçu par un
récepteur R à ultrasons connecté sur la voie 2 de cet oscilloscope. On part d’une situation où les
signaux délivrés par l’émetteur E et par le récepteur R placé en face sont en phase.
5
On s’aperçoit que lorsque l’on éloigne le récepteur R tout en restant en face de l’émetteur fixe E,
la courbe qui correspond au récepteur se décale vers la droite. Les signaux obtenus sont
représentés sur la figure 2 lorsque les courbes reviennent pour la première fois en phase. On
détermine la distance dont on a déplacé le récepteur R lorsque l’on obtient la figure 2, et on
mesure 8 mm.

1.3.1. Donner la définition de la longueur d’onde 


1.3.2. Déterminer la longueur d’onde  à partir de l’expérience précédente. Que peut-on
faire pour augmenter la précision de la mesure ?
1.3.3. Calculer la célérité v des ondes ultrasonores dans l’air. Expliquer un écart éventuel
avec la valeur attendue.
1.4. En utilisation normale de l’appareil, la longueur d'onde des ultrasons est différente de la
valeur obtenue à la question 1.3.2. et vaut 4 cm. Expliquer cette différence.

2. Étude du nettoyage

Document 2 : comment cela fonctionne ?

Le bain à ultrasons est composé


d’une cuve contenant de l’eau dans
lequel sont plongées les pièces à
nettoyer. Sur les parois, un
transducteur à ultrasons génère des
phases successives de compression
et dépression dans le liquide qui se
propagent de proche en proche dans
le liquide. Des microbulles
apparaissent, on appelle ce
phénomène la « cavitation
acoustique ». L’implosion1 de ces
bulles, pendant la phase de
compression, crée des turbulences
qui détachent les impuretés de la
pièce à nettoyer.
1
Implosion : écrasement brutal d’un corps creux sous l’effet d’une pression extérieure supérieure à la pression
intérieure. 6
2.1. Les ondes ultrasonores sont-elles des ondes mécaniques ? Justifier.

2.2. Choisir parmi les grandeurs suivantes celle qui permet de différencier les ondes ultrasonores
et les ondes sonores.
Niveau d’intensité sonore - timbre - fréquence - vitesse de propagation dans le même milieu à la
même température.

Partie 2 : Nettoyage chimique


Document 1 :

On souhaite nettoyer des pièces de monnaie en utilisant du vinaigre blanc de degré 8 °.


Le vinaigre blanc est une solution d’acide éthanoïque considéré comme un acide faible, de
concentration molaire Co et le degré de vinaigre est la masse d’acide éthanoïque contenue dans
100 grammes de vinaigre.

Les pièces en argent et en or ne sont pas altérées par l’acide éthanoïque. Il en est de même
pour le cuivre. En revanche, les acides réagissent sur les métaux comme le fer, le zinc, le
nickel, l’aluminium et ils attaquent les oxydes métalliques.

Document 2 : Données :

- Couples acide / base : acide éthanoïque / ion éthanoate et ion oxonium/eau H3O+ / H2O
- Couples oxydant-réducteur : Fe2+/ Fe ; Al3+/ Al ; Ni2+/ Ni
- Masse volumique du vinaigre : environ ρvinaigre = 1 g.mL-1
- Masses molaires atomiques en g.mol−1 : carbone 12,0, hydrogène 1,0 et oxygène 16,0
- Réaction entre un métal M et les ions H3O+ : M(s) + n H3O+→ Mn+(aq) + n/2 H2(g) + nH2O(l)

1. Dessiner la formule développée et topologique de l’acide éthanoïque.


2. Écrire sans justifier l’équation de la réaction chimique de l’acide éthanoïque avec l’eau.
3. On souhaite vérifier le degré d’acidité du vinaigre. Pour cela on dose VA = 10,0 mL de vinaigre
dilué dix fois avec une solution d’hydroxyde de sodium de concentration CB = 0,100 mol.L−1. On
ajoute au vinaigre dilué quelques gouttes de phénolphtaléine.
3.1. Déterminer le facteur de dilution et rédiger avec précision le protocole de dilution à mettre en
œuvre pour diluer le vinaigre.
3.2. À quoi sert la phénolphtaléine ?
3.3. À l’équivalence, on obtient un volume d’hydroxyde de sodium ajouté VB,éq = 13,3 mL.
On en déduit la concentration d’acide éthanoïque diluée CHA,diluée = 0,133 mol.L-1.
Le titrage effectué donne-t-il un résultat qui valide l'inscription sur l'étiquette du vinaigre blanc
concernant le degré d'acidité ?
On indiquera clairement la démarche et les calculs utilisés.
4. Certaines pièces anciennes contenant du fer, de l’aluminium ou du nickel, il est préférable de
ne pas les nettoyer avec du vinaigre. Donner l’une des raisons qui peuvent justifier ce conseil en
appuyant votre affirmation par l’équation de la réaction chimique correspondante.

7
EXERCICE III. UN ÉLEVAGE DE CORAIL (5 points)
Exercice de spécialité - A rédiger sur copie séparée

Les coraux issus de prélèvements effectués en milieu


sauvage s’adaptent difficilement en milieu artificiel et les
pertes sont énormes. Aussi, des « fermes de corail » ont vu
le jour pour fournir les amateurs d’aquariophilie.
La principale difficulté d’une telle exploitation est de
maintenir en permanence et de façon précise les nombreux
paramètres chimiques de l’eau nécessaires à la croissance
des coraux.

En milieu marin, les coraux fabriquent leur squelette carboné à partir des ions calcium Ca2+ et
des ions hydrogénocarbonate (HCO3–) présents dans l’eau de mer selon la réaction
d'équation :
Ca2+(aq) + 2 HCO3–(aq)  CaCO3(s) + CO2(aq) + H2O
Le taux de calcium d’un bassin d’élevage de corail doit toujours être compris entre 370 mg.L–1
et 470 mg.L–1 pour avoir une qualité de l'eau conforme. La valeur optimale, correspondant à
celle en milieu naturel, est de 420 mg.L–1.

Afin de déterminer rapidement la concentration en calcium d‘une eau de


mer, un test colorimétrique est proposé dans le commerce. Le technicien
d'un élevage de corail effectue régulièrement ce test dans les différents
bassins de l’exploitation : il est rapide et moins coûteux qu’une analyse
chimique effectuée dans un laboratoire.

Extrait de la notice d‘utilisation du « Calcium Test-Set JBL ».

 Rincer plusieurs fois l’éprouvette de mesure avec l’eau à


tester.

 Remplir l’éprouvette de mesure jusqu'à la marque de 5,0 mL


avec l'eau à tester.

 Ajouter 5 gouttes de réactif 1 et mélanger en agitant


l’éprouvette. Laisser reposer 1 minute.

 Ajouter une mesure du réactif 2 et mélanger en agitant l’éprouvette jusqu’à ce que la poudre
soit dissoute. Une coloration rose doit apparaître.

 Ajouter goutte à goutte le réactif 3, compter les gouttes, et agiter après chaque goutte jusqu'à
ce qu’il y ait une modification de la coloration du rose au bleu. Le nombre de gouttes multiplié
par 20 donne la teneur en calcium en mg/L.

8
Ce test commercial est conçu sur le principe du titrage des ions calcium par l’ion
éthylénediamine-tétraacétate (E.D.T.A.) noté Y4–(aq).
La réaction support du titrage est :
Ca2+(aq) + Y4–(aq)  CaY2–(aq)

Les ions Ca2+(aq), Y4–(aq) et CaY2–(aq) sont des ions incolores en solution aqueuse.
Pour repérer l‘équivalence, on introduit dans le milieu réactionnel une solution tampon et une
solution de noir ériochrome T ; cet indicateur colore la solution en bleu en l'absence d’ions
calcium et en rose en présence d’ions calcium.

Un produit pour augmenter la teneur en ions calcium dans un


bassin d’eau de mer :
Lorsque la teneur en ions calcium du bassin d’eau de mer est trop
faible, il est possible d’augmenter sa valeur en ajoutant des produits
commerciaux prévus à cet effet. On trouve par exemple dans le
commerce des solutions de chlorure de calcium CaCl2.

Indications relevées sur une solution de chlorure de calcium du


commerce :
Densité : 1,07
Teneur en calcium : 30,0 % en masse
Il est déconseillé d’augmenter la teneur en calcium de plus de
10 mg par litre et par jour.

Le responsable d’un élevage de corail effectue le test « Calcium Test-Set JBL » sur l’eau d'un
bassin de contenance 2000 L. Il doit verser dix-huit gouttes du « réactif 3 » pour observer le
changement de couleur attendu.
Pour réaliser un titrage plus précis, il contacte un laboratoire d’analyses. Un technicien de ce
laboratoire prélève un volume Veau = (50,0  0,1) mL d’eau du bassin. Il dose cet échantillon
par une solution d’E.D.T.A. de concentration molaire c = (5,000  0,005) × 10–2 mol.L–1 après
avoir ajouté la solution tampon et quelques gouttes de solution de noir ériochrome T dans le
milieu réactionnel. Le volume de solution d’E.D.T.A. versé pour repérer l’équivalence est
VE = (9,1  0,2) mL.

Données :
- Masse molaire atomique : M(Ca) = 40,0 g.mol–1

- densité =1,07 correspond au rapport de la masse volumique de la solution de chlorure


de calcium en g.mL-1 par la masse volumique de l’eau qui est de 1,00 g.L-1

U(ceau )
- L’incertitude relative de la concentration ceau en calcium de l’eau du bassin est
ceau
2 2
 U (Veau )   U (VE )   U (c ) 
2
U (ceau )
donnée par la relation :       
ceau  eau  
V V E   c 

9
Questions préliminaires
1. Effectuer un schéma Iégendé du montage utilisé par le technicien du laboratoire en
précisant Ies solutions présentes, ainsi que les concentrations et volumes.
Indiquer, en justifiant, le changement de couleur observé lors du repérage de
l’équivalence.

2. En comparant le protocole donné par la notice d'utilisation du « Calcium Test-Set JBL » et


celui mis en œuvre dans le laboratoire, identifier Ia nature des espèces chimiques désignées
par Ies appellations « réactif 1 », « réactif 2 » et « réactif 3 ».

Problème
Rédiger un rapport du technicien de laboratoire d‘analyses au responsable de l’élevage de
corail indiquant :
- la conformité ou la non-conformité de l’eau du bassin.
- Ies préconisations à suivre pour obtenir une croissance optimale des coraux.

La démarche suivie et les calculs nécessaires seront donnés en fin de réponse.


Ils nécessitent d’être correctement présentés. Un calcul d’incertitude pourra être fait.
Toutes Ies prises d’initiative et toutes Ies tentatives de résolution, même partielles, seront
valorisées.

10

Vous aimerez peut-être aussi