Expo Maroc-Etats Unis
Expo Maroc-Etats Unis
Expo Maroc-Etats Unis
Introduction
II) La présence des Etats unis dans les relations extérieures du Maroc avant le
protectorat:
1) la participation des Etats unis dans les conventions multilatérales avant 1906
2) l’intervention des Etats unis à l’internationalisation de l’affaire marocaine
Conclusion
Bibliographie
Introduction
L’histoire du Maroc a été intimement liée à l’évolution des rapports entre les puissances
étrangères ayant une présence et des intérêts dans ce pays. Pendant le règne de Sidi
Mohammed Ben Abdallah (1757-1790), le Maroc a connu une grande stabilité politique et un
prestige international. Les Américains s’efforcèrent d’établir des rapports diplomatiques et
commerciaux avec le Sultan.
Le premier lien connu entre le Maroc et l’Amérique, et qui s’appuie sur une documentation
sérieuse, serait le voyage, à son corps défendant, de Mostafa Zemmouri, alias Estebanico, en
Floride durant les années 1630. Le jeune doukkali, natif d’Azzemour, fut acheté comme
esclave par un riche homme d’origine ibérique. Celui-ci le fait participer à une expédition à
travers l’Atlantique pour conquérir la Floride. Mais l’échec de l’opération oblige le jeune
marocain à se prendre en charge et à commencer un long périple qui l’amène vers le Texas ou
il réside jusqu’à sa mort en 1539.1
Les Etats-Unis étaient toujours en guerre avec la Grande Bretagne, en 1777 et alors que la
piraterie fait rage aux larges des cotes marocaines, les Américains sollicitent la France pour
que celle-ci intervienne auprès du Sultan Mohammed III pour qu’il fasse tout ce qui en son
pouvoir afin de mettre fin aux activités des corsaires , le Roi de la France s’obligea
finalement à employer ses bons offices et sa médiation auprès de l’empereur du Maroc, pour
qu’il fut pourvu de la meilleure manière possible à la commodité et à la sureté des sujets,
navires et marchandises de l’Amérique.
Le Roi Mohamed Ben Abdallah a favorablement répondu à la requête, en reconnaissant
officiellement l’indépendance de ce nouvel Etat en 1777
C’est dans ce contexte historique que le Maroc a été le premier pays au monde à avoir
reconnu l’indépendance des Etats Unis en 1777 même avant la Grande-Bretagne en signant
notamment un traité d’amitié et de paix, en présence du représentant officiel Thomas
Bareclyet en 1786, paraphé par Thomas Jefferson, et ses officiels ne ratent pas l’occasion de
rappeler des liens solides entre les deux pays. Le traité a été renégocié en 1836 et est toujours
en vigueur à ce jour, formant le plus long traité ininterrompu de l'histoire des États-Unis.
Tanger a également accueilli le plus ancien siège diplomatique américain au monde, qui s'est
aujourd'hui transformé en musée, et c'est le seul monument historique américain situé en
dehors des États-Unis.
L’histoire des relations internationale de Maroc avec les Etats unis a des effets non
négligeables. A cet égard ce sujet revêt un intérêt diplomatique et politique à la fois du fait
que le Maroc est un pays stratégique qui affirme sa place dans la société internationale en
renforçant sa politique étrangère avec ses alliances des grands puissants du monde tel que les
Etats unis.
1
https://zamane.ma/maroc-usa-une-amitie-de-trois-siecles-12-il-etait-une-fois-dans-louest/ article publier par
Maati MONJIDE le 22 décembre 2020 dans le mensuel ZAMANE comporte des articles concernant l’histoire de
Maroc créé 2010
Alors. Dans quelle mesure le Maroc a pu développer ses relations diplomatiques avec les
Etats-Unis depuis 1777 jusqu’à 1912 ?
Pour répondre à cette question nous allons adopter le plan suivant :
I) la consolidation des relations internationales du Maroc avec les Etats-Unis en 1777:
1) le contexte historique de la reconnaissance marocaine de l’indépendance des Etats-Unis
2) le traité d’amitié entre le Maroc et les Etats unis de 1787
II) La présence des Etats unis dans les relations extérieures du Maroc avant le
protectorat :
1) la participation des Etats unis dans les conventions multilatérales avant 1906
2) l’intervention des Etats unis à l’internationalisation de l’affaire marocaine
I- La consolidation des relations internationales du Maroc avec les
Etats unis en 1777
Le Maroc et les Etats-Unis ont concrétisé leurs étroites relations en 1787, par la signature
d’un «Traité d’amitié, de navigation et de commerce» permettant la levée de toute entrave à
l’entrée des marchandises provenant de l’un ou de l’autre pays. L’acte était assez significatif,
car en 1777, le royaume chérifien était le premier pays au monde à reconnaitre l’indépendance
des Etats-Unis prononcée le 4 juillet 1776.2
1- Le contexte historique de la reconnaissance marocaine de l’indépendance
des Etats-Unis
Le contexte de cet événement historique a commencé avant la Révolution américaine, lorsque
la Grande-Bretagne assurait la protection des américains contre les attaques des pays
barbaresques les pays de nord d’Afrique. Cependant, la situation a changé quand les
Américains ont déclaré leur indépendance. En perdant la protection anglaise, ils ont songé à
solliciter l’aide française.
Le 18 juillet 1776, le comité du Congrès continental recommandait à ses envoyés pour la
signature d’un traité avec Louis XVI qui stipule l’assurance de la protection des citoyens
américains et de leurs biens contre les attaques des barbaresques. Plus tard, le 17 septembre
1776, le Congrès accepta le projet du traité avec la France, dont un article stipule que la
France s’engage à protéger les intérêts américains en Afrique du Nord. La France et les États-
Unis n’ont pas signé le traité d’amitié et de commerce avant le 6 février 1778 et la France n’a
pas accepté d’assurer la protection des Américains. Cependant, le sultan Mohammed ben
Abdallah annonce que les bateaux américains ne seront pas attaqués et qu’ils peuvent entrer
librement dans les ports marocains.
Puis en 20 décembre 1777, le Sultan Sidi Muhammad Ben Abdallah, écrivit à des marchands
et ambassadeurs européens dans toute l’Afrique du Nord pour les informer que les navires
américains seraient libres d’entrer dans les ports marocains dans les mêmes conditions que
ceux de tout autre nation indépendante. Bien que n’étant pas encore un traité formel, cette
déclaration représentait la première reconnaissance de l’indépendance des États-Unis par
n’importe quel pays dans monde3.
Le Maroc fut parmi les premiers pays musulmans à avoir détenu des otages américains. Cela
s’est produit juste quand les États-Unis ont obtenu leur indépendance et quand le
gouvernement de la Confédération était incapable de les libérer 4Les Américains n’ont pas
répondu favorablement à cette ouverture et le sultan ordonna de capturer le navire américain
Betsy le 1er octobre 1784, son équipage fut emmené en otage à Tanger. Ce n’est que le 18
juillet 1785 que le sultan les libérait. Les tractations entre le Maroc et les États-Unis
aboutirent à la signature du traité d’amitié et de commerce en janvier 1787 et depuis cette
date, les Marocains cessèrent d’attaquer les Américains.
2
https://www.yabiladi.com/articles/details/33519/histoire-maroc-etats-unis-celebrent-l-une.html
3
https://www.infomediaire.net/maroc-etats-unis-la-presse-us-met-en-avant-lalliance-fondatrice-datant-du-
18eme-siecle/
4
El-Mostafa Azzou. Un otage américain au Maroc : Perdicaris (1904) Dans Guerres mondiales et conflits
contemporains 2004/4 (n° 216), pages 89 à 93
2- Le traité d’amitié entre le Maroc et les Etats de 1787
Le premier traité conclu entre le Maroc et les États-Unis, en janvier 1787, a été ratifié par le
congrès américain le 18 juillet 1787. Signé par Thomas Barclay du côté américain et Tahar
Fennich, représentant du Sultan et ministre marocain.
Le début des contacts en vue d’établir des relations diplomatiques en bonne et due forme entre
la République américaine qui vient de voir le jour et le Sultanat chérifien qui trouve à sa tête à
l’époque Mohammed III, est provoqué par un incident de course provoqué par des pirates
marocains. The Betsy, un navire à voiles états-unien, est arraisonné par ceux-ci au large des
côtes atlantiques du Maroc en 1784, alors qu’il mettait le cap sur les îles Canaries.
Le sultan avait accordé dès la proclamation de l’indépendance des Etats-Unis le droit d’entrer
dans les ports et de s’y ravitailler aux bateaux battant pavillon étoilé. Aucun diplomate
américain n’était accrédité auprès du Makhzen marocain à la différence de la France, de la
Hollande et même du petit rocher de Gibraltar qui reçoivent des représentations officielles des
USA alors que la République américaine est encore dans les langes. Or le privilège accordé
par l’empire chérifien à la flotte américaine équivalait à une reconnaissance de la souveraineté
internationale des Etats-Unis. Une première pour l’ensemble du continent africain et du
monde arabo-musulman. Benjamin Frankin était le premier responsable américain de haut
niveau – il était à l’époque commissionner américain à Paris – à être informé sur la volonté de
Mohammed III d’établir des relations d’amitié avec les Etats-Unis. L’affaire du Betsey, qui
n’est pas un cas isolé, aurait encouragé le gouvernement américain à enfin envoyer un
représentant officiel en visite au Maroc, en la personne de Thomas Barclay, Consul général
américain à Paris.5
Ce fut le premier succès de la diplomatie de la jeune république américaine dans la
Méditerranée. Par l’entremise du Maroc, les États-Unis entament des négociations avec les
autres régences, qui se concrétisent par la signature de plusieurs traités. Le président George
Washington a adressé une lettre au Sultan pour le remercier pour ses bons offices, datée du
1er décembre 1789 à New York :« Les États-Unis m’ayant à l’unanimité placé à la tête du
suprême pouvoir exécutif de cette nation, la lettre de votre Majesté du 17 août 1783 m’a été
remise, elle était restée sans réponse par suite de la dissolution de l’ancien gouvernement. J’ai
reçu également les lettres que votre Majesté impériale a eu la bonté d’écrire en faveur des
États-Unis aux Bachas de Tunis et de Tripoli, et je lui présente les sincères remerciements des
États-Unis pour cette marque importante de son amitié pour eux... l’encouragement que votre
Majesté a bien voulu donner à notre commerce avec son empire, la ponctualité avec laquelle a
été exécuté le traité, fait avec nous… »6
Les puissances européennes étaient hostiles à toute présence américaine dans cette région, en
particulier le gouvernement français. Il a transmis à son consul à Alger, le message suivant :«
La conclusion du traité avec les États-Unis est un événement défavorable pour nous »7
5
Maâti Monjib l’article dans Zamane N°3 mensuel créé en 2010
6
Ch. Cochelet, Naufrage du Brick français « La Sophie », Paris, L. Université de Mongie Aimé, 1821, p. 259, 267 /
El-Mostafa Azzou Les Etats-Unis et le statut international du Maroc (1906-1956) Dans Guerres mondiales et
conflits contemporains 2005/3 (n° 219), pages 103 à 112
7
E. Chaib, La présence américaine dans les pays du Tiers Monde, exemple de la Tunisie, Publ. CNCA, p. 24.
Le deuxième traité américano-marocain signé à Mekhnès le 16 septembre 1836. Les clauses
de ce premier traité, qui vont être reprises plus tard dans le deuxième
1) la participation des Etats unis dans les conventions multilatérales avant 1906
Si les États-Unis ont conclu des traités avec le Maroc, ils ont également participé aux
conventions internationales le concernant, confirmant leur intérêt pour cette région et
bénéficiant d’une autre assise juridique et d’une base diplomatique pour défendre leur
présence. Le régime commercial et maritime du Maroc défini par ces conventions sera plus
tard l’enjeu des rivalités entre les puissances présentes au Maroc.
Cette convention fut la première convention internationale sur une question marocaine :
« L’administration et l’entretien » du cap Spartel. Les États-Unis figuraient parmi les
puissances signataires, ce qui implique un certain droit de bénéficier de ses stipulations, et une
responsabilité dans l’établissement du « statut international » du Maroc, qui était en cours
d’élaboration.
Beaucoup de navires américains et européens étaient capturés ou naufragés sur les côtes de
pays d’Afrique de nord qu’étaient fort réputées pour leur inhospitalité aux marins qui
constituaient un obstacle majeur au développement des rapports commerciaux avec l’étranger,
plus le manque d’infrastructures (ports, phares, etc.). En 1849, le consul américain à Tanger
demandait à son gouvernement, que des vaisseaux de guerre viennent croiser, chaque mois ou
tous les deux mois, le long des côtes atlantiques marocaines et celles du Rif afin d’assurer aux
bateaux de commerce américains une protection et une sécurité.
Les États-Unis ne pouvaient pas intervenir dans ces eaux sans le consentement préalable des
puissances européennes, qui voyaient en termes stratégiques le règlement de cette question.
Les côtes marocaines deviennent désormais l’objet des convoitises impérialistes.
À la fin de l’année 1852, les représentants des puissances européennes à Tanger ont considéré
qu’il était urgent de joindre leurs efforts pour construire un phare au cap Spartel, non loin de
Tanger. En 1861, les travaux de construction du phare par le gouvernement marocain
commencèrent sous la direction d’un ingénieur français, M.-L. Jacquet, qui bénéficiait du
soutien du consulat français à Tanger, et la construction fut achevée en 1864
L’importance stratégique du phare du cap Spartel, notamment en période de guerre, éveilla les
craintes et les rivalités entre les puissances. Ainsi, la Grande-Bretagne, la France et l’Espagne
notifièrent au Sultan qu’un arrangement devait être conclu pour assurer la neutralité du phare.
Dix puissances, dont les États-Unis signèrent cette convention, le 31 mai 1865.8
8
L’article premier stipule : « S. M. Chérifienne ayant, dans un intérêt d’humanité, ordonné la construction, aux
frais du gouvernement marocain, d’un phare au cap Spartel, consent à remettre, pour toute la durée de la
présente convention, la direction supérieure et l’administration de cet établissement aux représentants des
puissances contractantes » sans que cela porte atteinte aux droits de propriété et de sa souveraineté »
Pendant le règne du Sultan Moulay Hassan (1876-1894), la protection devient un moyen
efficace de pénétration impérialiste. Les Américains, comme les autres puissances
européennes, ont usé et abusé de cette pratique
La conférence de Madrid (1880), qui s’est réunie pour résoudre ce problème, l’a au contraire
institutionnalisé et lui a conféré une légitimité. Le délégué des États-Unis à la conférence, le
général Fairchild, a fait la déclaration suivante : « Le gouvernement des États-Unis a le droit
et le devoir de protéger complètement, et par tous les moyens légitimes, ses sujets naturalisés
partout où ils se trouvent... Partant de ce principe, les États-Unis n’ont pas hésité de faire des
démonstrations de forces dans les côtes marocaines. Le 16 juillet 1897, le ministre des
Affaires étrangères français, Gabriel Hanotaux, a reçu un télégramme provenant, de Tanger, à
la suite de l’envoi de navires de guerre américains sur les côtes marocaines, disant : « Il est
certain que les deux Amériques (États-Unis et Brésil), représentées au Maroc, ne sauraient
voir aucun inconvénient à employer la violence, les agissements de leurs envoyés gravitent
tous autour de la protection qu’ils considèrent comme une institution d’ordre purement fiscal,
dont les bénéfices s’étendent depuis leurs plus infimes agents jusqu’au plus élevés. »
9
Livre jaune, Affaire du Maroc, 1910-1912, p. 668 ; Foreign Relations of United-States (ci-après FRUS), vol. 1,
1911.
La conférence d’Algésiras de 16 janvier-7 avril 1906 est une conférence qui a pour objet de
trouver une solution à l’antagonisme franco-allemand au sujet du Maroc. Les États-Unis
étaient invités à jouer un rôle pour trouver une solution à ce différend. Cependant, c’était une
autre occasion pour eux de renforcer leurs intérêts résultant des traités et conventions
antérieurs
Henry White, le premier délégué des États-Unis à la conférence, a affirmé la position de
principe de son pays : « Le gouvernement des États-Unis d’Amérique n’ayant pas d’intérêts
politiques au Maroc et n’ayant été, en prenant part à cette conférence, [n’est] animé d’aucuns
désirs et intentions autres que de contribuer à assurer à toutes les nations, l’égalité la plus
étendue au Maroc en matière de commerce, de traitement et de prérogatives et d’y faciliter
l’introduction de réformes dont le résultat serait un bien être général basé sur une cordialité
complète de relations extérieures. »
Le Sénat américain, quand il a ratifié cette convention, a insisté sur la défense des intérêts
américains : « Le Sénat constate que la participation des États-Unis à la conférence
d’Algésiras et à la formation et l’adoption de l’acte général et du protocole qui en résulté n’a
eu d’autre objet que de préserver et d’accroître le commerce de biens de ses nationaux y
résidant ou y voyageant, et d’aider par ses bons offices et efforts à empêcher les
froissements et controverses qui semblaient menacer la paix entre puissances signataires,
comme les États-Unis, du traité de 1880. »
En 1912, le Maroc ne constituait plus une source de conflits entre les puissances rivales
européennes. Les États-Unis, de leur côté, ont maintenu, depuis le début de la crise
marocaine, une ligne de conduite singulière par rapport à celle des autres puissances présentes
au Maroc. Cette attitude consistait à préserver leurs droits capitulaires qui favorisaient le
développement de leurs intérêts économiques et commerciaux au Maroc. Il était évident que
ce développement aboutirait à une confrontation directe dans le domaine économique entre
les deux impérialismes, français et américain, qui diffèrent dans leurs objectifs et leurs
mobiles.
Conclusion
Le Maroc et les États-Unis ont toujours eu de bons rapports, ou il règne entre les deux pays un
climat d’entente, même s’ils ont été amenés à traiter des questions importantes, voire
brûlantes.
Depuis 1787 le Maroc et les Etats-Unis entretiennent leur relation d'amitié de manière
officielle. Celle-ci se veut d’ailleurs très particulière, puisque le royaume chérifien est le
premier pays au monde ayant reconnu l’indépendance des Etats-Unis.10
Cette coopération qui trouve son socle dans des relations bilatérales séculaires qui remontent à
1786, date de la ratification par le Congrès américain du traité de paix et d’amitié liant les
Etats-Unis et le Maroc. Au fil du temps, cette légitimité historique s’est constamment
renforcée. Une impulsion particulièrement forte lui a été conférée avec la conclusion en 2006
d’un accord de libre-échange et ensuite grâce au lancement d’un Dialogue stratégique en
2012.
Le Maroc est « l’un des partenaires les plus forts » des Etats-Unis dans la région, a indiqué le
chef de la diplomatie américaine à l’occasion de sa visite en décembre 2019.
BIBLIOGRAPHIE
Ouvrages généraux :
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présent,; Collection(description du Maghreb),;Centre Jacques-Berque, Fondation du
10
https://www.yabiladi.com/articles/details/33519/histoire-maroc-etats-unis-celebrent-l-une.html
Roi Abdul-Aziz Al Saoud pour les Études Islamiques et les Sciences Humaines.,
Casablanca 2015; 1017p
o El-Mostafa Azzou. Un otage américain au Maroc : Perdicaris (1904) Dans Guerres
mondiales et conflits contemporains 2004/4 (n° 216), pages 89 à 93
o Livre jaune, Affaire du Maroc, 1910-1912, p. 668 ; Foreign Relations of United-States
(ci-après FRUS), vol. 1, 1911.
o E. Chaib, La présence américaine dans les pays du Tiers Monde, exemple de la
Tunisie, Publ. CNCA, p. 24.
o Ch. Cochelet, Naufrage du Brick français « La Sophie », Paris, L. Université de
Mongie Aimé, 1821, p. 259, 267
Revues :
o yousra aborabi Les relations internationales du Maroc : Le Maroc à la recherche d’une
identité stratégique (le maroc au présent ) edition 2015 la partie 5 pages 569-604
o Magazine TELQUEL « Colonialisme, la face obscure du protectorat » N° 933 du 25
au 7 Janvier 2021
o Livre jaune, Affaire du Maroc, 1910-1912, p. 668 ; Foreign Relations of United-States
(ci-après FRUS), vol. 1, 1911.
o Article publié par Maati MONJIDE le 22 décembre 2020 dans le mensuel ZAMANE
comporte des articles concernant l’histoire de Maroc créé 2010
Les textes de loi :
o L’article 1 de La convention internationale sur le phare du cap Spartel (31 mai 1865)
Web :
o www.opex360.com/2020/10/03/les-etats-unis-et-le-maroc-signent-un-accord-de-
cooperation-militaire
o https://books.openedition.org/cjb/1086
o https://www.cairn.info/revue-guerres-mondiales-et-conflits-contemporains-2005-3-page-
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o https://lematin.ma/journal/2017/la-conference-d-anfa-de-1943-une-etape-decisive-dans-
le-processus-d-independance-du-royaume/265135.html
o https://fr.zamane.ma/etats-unis-les-raisons-dune-reconnaissance/
o https://www.yabiladi.com/articles/details/33519/histoire-maroc-etats-unis-celebrent-l-
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