La Relation Entre L'effet Photoélectrique

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République algérienne démocratique et populaire

Ministère de l’enseignement supérieure et de la recherche


scientifique

Université Djilali Bounaama de Khemis Miliana

Faculté des sciences et de la technologies

Département des science des sciences de la matière

Université Djilali Bounaama

Mémoire de fin d’étude

En vue de l’obtention d’un diplôme de master en physique théorique

Spécialité de la physique

Théme :

la relation entre l’effet


photoélectrique ,l’effet Compton
,rayonnement de corps noir
Devant le jury composé de :

Mohammed Diaf encadreur

Présenté par :Makhlouf Amira

Année universitaire 2020-2021


1
Remerciement:

A la fine de ce travail, je dédie ce travail à mes parents, qu'm'ont encouragé à


réussir et à me motiver pour plus d'efforts et pour fournir le meilleur et le meilleur, et
j'adresse un salit spécial et des remerciements au professeur Diaf car il supporter et
supporter dans la présentation de cette humble travail, Aussi; je n'oublie pas mon chat
est resté avec moi et m'accompagné tout au long de ce travail comme étant, elle était
la seule sociable.

Table des matières


2
1_Introduction générale

Chapitre1 :l’effet photoélectrique

Références et source

Chapitre2 :l’effet Compton

Références et source

Chapitre3 :le rayement de corps noir

Référence et source

Conclusion

Introduction:
3
Dans ce travail, nous allons découvrir trois phénomènes très importante en la
mécanique quantique et la mécanique représente dans l'effet photoélectrique et l'effet
Compton ainsi, le rayonnement de corps noir, montrent seulement que l'échange
d'énergie, l'interaction entre la matière et le rayonnement est discontinu en se faisant
par quanta, la constante découverte par planche est liée a l'existence de ces échanges
discontinus d'énergie.

Nous expliquerons ces phénomènes, les mécanismes de leur apparition, et les


caractéristiques qui distinguent chaque phénomène de l'antre.

Dans le premier chapitre mous parlerons de l'effet photoélectrique et de son


mécanisme d'apparition, tandis que le deuxième chapitre, nous aborderons
uniquement l'explication du l'effet Compton, piailleur dans le troisième chapitre nous
saurons et parlerons de toute ce qui comprend le rayonnement de coprs noirs, afin
de conclure à la fin le résultat on le résumé de ces derniers jusqu'à ce qui il
devienne clair de voir.

Chapitre 1 :

4
1- L'effet photo électrique:

En physique: l'effet photo électrique (EPE) désigne en premier lieu l'émission


d'électrons par un matériau soumis à l'action de la lumière par extension, il regroupe
parfois l'ensemble des phénomènes l'électrique d'un matériau provoquées par l'action
de la lumière.

On distinguer alors deux effets; des électrons sont injectés du matériau


(émission photoélectrique) et une modification de la conductivité du matériau
(photoconductivité, effet photo voltaïque lorsqu'il est en œuvre au sein d'une cellule
photo voltaïque, effet photo électrochimique, effet photo résistif).

Lorsque l'EPE se manifeste, toute l'énergie du photon incident se transmet à


l'électron des couches profondes, une quantité d'énergie minimale est nécessaire pour
extraire.

L'électron de l'atome, l'énergie excédentaire est transmise à l'électron sons forme


l'énergie cinétique. Une absorption partielle est caractérisée par la diffusion Compton.

Définition:

5
L'effet photoélectrique est un phénomène physique durant lequel un matériau,
généralement métallique, émet des électrons ceci peut se produire lorsque le matériau
est exposé à la lumière ou un rayonnement électromagnétique de fréquence.

Suffisamment élevée; ce seuil de fréquence, non prévu par la mécanique


classique, dépend du matériau.

Consultations expérimentales de l'émission photoélectrique:

1- Les électrons ne sont émis que si la fréquence de la lumière est suffisamment


élevée et dépasse une fréquence ce limite appelée fréquence seul.
2- Cette fréquence seuil dépend du matériau et est directement liée à l'énergie de
liaison des électrons qui peuvent être émis.
3- Le nombre d'électrons émis par unité de temps, lors de l'exposition à la
lumière, qui détermine l'intensité du courant, électrique, est proportionnel à
l'instant l'intensité de la source lumineuse.
4- La vitesse des électrons émis ne dépend pas de l'intensité de la source
lumineuse.
5- L'énergie cinétique des électrons émis dépend linéairement de la fréquence de
la lumière incidente.
6- Le phénomène, d'émission photoélectrique se produit, dans un délai
extrêmement petit inférieur à 10-9 s après l'éclairage, ce qui rend le phénomène
quasi instantané.

Interprétation et explication:

6
Cet effet-ne peut pas être explique de manière satisfaisante lorsque l'on
considère que la lumière est une onde, la théorie acceptée à l'époque (avant le modèle
d'Einstein en 1905) qui prend, permet d'expliquer la plupart des phénomènes dans
lesquels la lumière intervient, tel l'optique, et qui était traduite mathématiquement par
la théorie de Jmes Cherk maxwell.

En effet, si l'on considère la lumière comme une onde, en augmentant sen


intensité et en attendant suffisamment longtemps, on devrait pourvoir, fournir
suffisamment d'énergie au matériau pour en libérer les l'électrons, l'expérience
montre que l'intensité lumineuse n'est pas le seul paramètre, et que le transfert
d'énergie provoquant la libération des électrons ne peut se faire qu'à partir d'une
certaine fréquence.

L'interprétation d'Einstein, l'absorption d'un photon, permettait d'expliquer


parfaitement toutes les caractéristiques de ce phénomène, les photons de la source
lumineuse possèdent une énergie caractéristique déterminée par la fréquence de la
lumière, lorsqu’un électron du materions absorbe un photon et que l'énergie de celui-
ci est suffisante, l'électron est éjecté; sinon l'électron ne peut s'échappe du matériau.

Comme augmenter l'intensité de la source lumineuse ne change pas l'énergie des


photons mois seulement leur nombre, on comprend aisément que l'énergie des
électrons émis par le matériau ne dépend pas de l'intensité de la source lumineuse.

Après l'absorption du photon par l'atone, le photoélectron émis à une énergie.

Ee =E g−E b

Ou:

Eb : est lénergie de laissions du photoélectron et

E y: l'énergie du photon absorbé.

7
L'effet photoélectrique domine aux faibles énergies, mois la section efficace
croit:

Rapidement avec le numéro atomique Z:

Zn
G PE ou n varie de 4 à 5
Eg 3.5

A des énergies et des numéros atoniques oui ce processus est emportait,


l'électron émis est absorbé sur une distance, très courte de telle m'arriéré que toute
son énergie est enregistrée dans le détecteur, les rayons x qui sont émis dans la
réorganisation du cortège électronique à la suite, de l'émission de l'électron également
absorbés dans le milieu.

Dans la littérature, "Radiation on colo gy physiques: AH and book for teachers


and stridents, E, B, podgarsak", il est également possible de trouver cette équation.

Z4
G PE
Eg 3

Equation:

L'énergie d'un photon est caractérisée par la formule E = hu, hypothèse passée
par Planck, E correspond à l'énergie du photon a (lettre grecque nu) est la fréquence
et h est la constante de Planck qui vaut 6,626076x10-34 J.S on constante que l'énergie
du photon est proportionnelle à la fréquence et varie don en fonction de la couleur.

Discussion:

La démonstration d'Einstein est fondée sar l'hypothèse d'élections liés à des


atomes indépendants à l'intérieur d'un métal. On saut maintenant que les électrons
forment un plasma on à la fréquence de l'onde, électromagnétique, le problème est
donc complexe.

Applications:
8
Effets photoélectrique externe: un tube photomultiplicateur (PMT en anglais) est
une application directe de cet effet, l'électron crée par le rayonnement incident est
ensuite multiplié grâce à un système de dynodes, à tension progressive.

Effets photoélectrique interne: il se déroule dans un semi-conducteur c'est


l'excitation d'un électron dans la bonde de conduction qui donne en générale lieu à un
courant, celui-ci peut être mesuré pour servis de détecteurs (photodiode, cellule
photoélectrique) ou récolté pour fournir de d'électricité, (cellule photovoltaïque).

Notes et références:

1- H. Hert Z, Ammlen des physik, 33, 1887, P983.


2- Monyit kumor (trad, de l'anglais), le Grand Roman de la physique quantique;
Einstein, Bohr et le déport sur la nature de la réalité, Paris, Flammarion, 2012,
636P. (Is BN 978-2-08-128276-6).
3- Pour "ses services à la physique théorique, et spécialement pour so découverte
de la lai de l'effet photoélectrique" voir (en) personnel de redaction, "the Nobel
prize in physics 1921", foundation Nobel, 2010.
(Consulté le 15 Juin 2010): "for his services to theoretical physics, and
especially for hisdisconery of the lam of the photoélectrique effet".
4- Muse historique de berue.

Chapitre 2:

9
2_L’effet compton

En physique, la diffusion Compton (aussi appelées effet Compton) est une


diffusion élastique (repérant sur la conservation de l'énergie cinétique globale du
système étudié) lorsque l'on considère un électron libre mais inélastique pour un
électron lié, ce phénomène est observé lorsque un photon incident entre en collision
avec un électron faiblement lié) d'un atone, au cours de ce processus, l'électron est
éjecté de l'atome, qui est done ionisé tandis qu'un photon est diffusé, Arthur Compton
a, en 1923, observé l'allongement de la longueur d'onde du photon dans atte diffusion
effet auquel on a attribué son nom: l'effet Compton.

L'expérience de Compton devient l'ultime observation qui convainquit la plu


port des physiciens que la lumière peut se comportes comme un faisceau de partiales
dont l'énergie est proportionnelle à la fréquence (ou inversement à la longueur
d'onde), cet effet est important en physique car il a démontré que la lumière ne peut
pas être uniquement décrite comme une onde.

Principe théorique:

Considérons un photon venant de la gauche et se d'érigent vers la droite avec


P1 et une énergie E=P1c, le photon est diffusé par un électron au repos
une impulsion ⃗
d'énergie initiale me c2, le photon est diffusé dans une direction faisant un Angle o
par rapport à ka direction d'origine, l'électron prenant une directionφ , l'impulsion du
P2 et celle de d'eléctron ⃗
photon après, diffusion sera ⃗ Pé .

Variation de la longueur d'onde du photon incident:

10
Pour connaître la variation de longueur d'onde du photon dû à la collision, on
utilise la conservation de la qualité de mouvement et la conservation de l'énergie, la
conservation de la quantité de mouvement s'écrit.

P 1− ⃗
⃗ P 2= ⃗
P e , d’où en élevant ou caré.

P2e = P21 + P22 - 2 ⃗ P2 , c'est-à-dire, en utilisent l'invariance au produit scalaire dans


P 1− ⃗

l'espace de Minkowski:

P2e = P21 + P22 - 2 P1 , P2 caso

D'un antre côté, la conservation de l'énergie s'écrit, avec les expressions relativistes
des énergies:

2 2 2
P 1 c +m e c =P 2c+ P e c 2+me

⏟ ⏟ ⏟ ⏟


é




é

Ou: me cet sont respectivement l'aimasse de l'électron et la vitesse de la lumière, le


signe c'est utilisé ici conne habituellement pour désigner le photon –lui-même, ce qui
donne une nouvelle expression de

2
P2e : P2e =( P1−P2 ) +2 me c - ( P1−P2 )

On introduit alors l'hypothèse quantique selon laquelle l'impulsion d'un photon est
reliée à sa longueur d'onde comme P=h/1 ou h est la constante de planche, Ainsi
l'équation précédent donne directement la variation de la longueur d'onde du photon:

h
∆ 1=h2−h 1= ( 1−coso )
mec

h
De la même manière, en utilisent b= 2n

Et l'identité: trigonométrique.

11
1−coso=2sin 2 ( o /2 ) , on peut écrire:

41h 2o
∆ 1= sin
mes 2

Cette expression est les diagrammes identique à celle qui s'obtient par un calcul
utilisant la mécanique quartique et de feyman.

Le facteur h/mec porte le nom de langueur d'onde Compton de l'électron, on le note


hc, il vaut 0.004 A.

Variation de l'énergie du photon diffusé.

La variation de longueur d'onde de pair avec une variation d'énergie: de donnée par le
postulat de planche-Einstein:

1 1 ∆h
(
daltaE :=hc h+ ∆1 − h =−hc )
h ( h+ ∆ 1 )

Ainsi: si un photon incident possède une énergie: Eo, a pors l'énergie de ce photon
après diffusion sur un électron de la matière aura l'énergie:

E0 E
E= ou ∞= 0 2 =0.511 mev
1+∝ ( 1−coso ) mec

L'énergie perdue par le photon est entièrement distribuée à l'électron sur lequel la
diffusion s'est fait, l'électron acquiert ainsi l'énergie cinétique.

E0
Te=E 0−E=E0−
1+∝ ( 1−coso )

Nous obtenons ainsi la relation suivante;

∝ ( 1−coso )
Te=E 0
1+∝ ( 1−coso )

12
Distribution on angulaire de la diffusion Compton:

La diffusion Compton n'est pas isotrope, c'est à-dire que la probabilité pour un
photon d'être diffusé vers un certain angle solide des n'est pas constante: en effet,
bien que la probité de diffusion, vers n'importe quel azimut x sont constante, la
probabilité de diffusion vers l'angle polaire o est plus grande quand o est proche de o,
c'est à-dire que le photon a plus de chance d'être diffusé vers l'avant.

La probabilité pour un photon d'énergie Eo d'être diffusé vers un angle o quel conque
est donnée par la formule de Klein- Nishina

jG . kn ro2 1 ∝2 ( 1−coso )2
¿
( ∝, o )= (
2 1+∝ ( 1−coso )2
1+coso 2
+
1+∝ ( 1−coso ) )
Ou ∝ o est le rayon classique d'un électron

∝20=7.940775 x 10−26 cm 2 et

E0

mec 2

Cette formule montre que la diffusion est symétrique à faible énergie.

Une autre forme facile à retenir de cette formule fait intervenir le rapport des énergies
du photon avant et après collision:

∂6 ( r ∂2 2 1
∂π
kn ∝, ϑ )=
2 (
E E+ −sin 2co
E )
E
Ou E E
0

13
Ainsi la probabilité pour un photon d'énergie

E0 de subir une diffusion Compton s'écrit:

❑ τ
∂ 6 kn ∂5 kn
6 kn=∫ ( ∝, ϑ ) ∂ π =∫ ( ∝ ,ϑ ) 25 sin o do
4π ∂ π c ϑπ

Ce qui s'intègre en:

( 1+ ∝) ( 1+2 ∝ ) (1+3 ∝ )
Gkn=2 τ ro2 ( 1+∝ 3∝ ) 2∝1+2∝ −ln ( 1+2 ∝ )+ ln
2∝
− 2
( 1+2 ∝)

A partir de la formule de Klein-Nishina, il est aussi possible de calculer la


probabilité qu'un photon diffuse le soit entre deux angles: O 1 et O2, calculons pour
cela la probalilité de diffusion entre les angler polaires O et O:

∂ Gkn
ϑ dπ
∂π
P ( 0 →ϑ ) =∫ τ
0
∫ ∂∂Gkn
π

0

Ce qui: s'intègre en:

N
P ( 0 →ϑ ) =( 2∝+1 )2
2 q3 D

Avec:

q=1+∝ ( 1−coso )

N=2q 4 +∝ q3 ( ∝+ 4 )+ 2q 3 ( ∝2−2 ∝ )

2 2
D=4 ∝ (∝+1 ) ( 2∝+1 ) + ( 2∝+1 )

La probabilité P ( ϑ1 → ϑ2 ) de diffusion entre les angles ϑ1et ϑ2 tels que ϑ2 ¿ ϑ1 s'ecrit alors:

14
P ( ϑ1 → ϑ2 ) =P ( ϑ−ϑ2 ) −P ( ϑ→ ϑ1 )

Détection des photons diffusés:

Sys posons qu'un flux Q de photons d'énergie Eo frappe un petite échantillon de


matière contenant Ne électrons, supposons maintenu que l'on veuille détecter les
photons diffusée sur les électrons de cet échantillon à l'aide d'un détecteur sphérique
parfait dont l'angle solide apparent, vu de la source et ∆ π det le nombre de photons
parseconde dété par le detecteur est:


∂ G kn
N det= ∫ φ Ne dπ det
sπ 14 ∂π

Si de plus le détecteur est assez éloigné de l'échantillon de matière (c'est-à-dire).

π a2 {R} ^ {2} , ou a est le rayon du détecteur et R sa distance à l'echantillon), on pent

τ a2
considérer que le détecteur se tronne a l'angle palaire o et que sπ det =
R2

Il détèlera alors le nombre de photons par seconde suivante:

∂G kn ( π a2
N det=φ Ne ∝, ϑ )
∂π R2

Et tous les photons décédés auro tenu énergie égale à (ou très proche de):

E0
E=
1+∝ ( 1−coso )

Relation entre l'angle ϑde diffusion du photon et l'angle φ d'éjection de


l'électron:

Supposons que, dans le référentiel du la bornoie, le photon soit diffusé vers un angle φ
, alors, l'angle dé éjection de l'électron, Q est donné par la relation suivante:
15
1 ϑ
=( 1+∝ ) tn
tnφ 2

Ainsi si:

ϑ = T, alors φ = 0, cela est facile a comprendre par analogie avec le billard:

Lorsque la boule (photon) tape directement dans une autre boule (électron) de façon
que la blanche revienne en arrière (ϑ=π ), alors l'autre boule va généralement vers
l'avant (φ=0)

π
ϑ=0, alors φ = ce cas est plus défficile à comprendre mais peut auusi etre expliqué
2
par une analogie avec le billard.

Lorsque ou fait taper la boule blanche (photon) dans une autre boule (électron) de
façon que la blanche ne change presque pas de d'érection et continue tout droit (ϑ=0),
alors la boule blanche n'a fait qu'effleurer l'autre boule qui est d'placée
π
perpendiculairement à la trajectoire de la blanche (φ = 2 ) .

Régimes Thomson et Klein-Nishina:

Selon que le photon incident a une très grande énergie ou pas on distingue deux
"régimes dits "Klein – Nishina" et "Thomson" (qui donne la diffusion Thomson) par
commodité, définissons l'énergie en unités naturelles, c'est-à-dire en unités l'énergie
ou vé pas de l'électron:

E
∑ mec 2

Ou ne etc. sont la masse de l'électron et la vitesse de la lumière, et le


dénominateur n'est rien d'au traque le fameux E=mc2, on peut donc réécrire la

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variation de longueur d'onde ci-dessus en variation (de longueur l'oncle) d'énergie
comme suit:

∆ε
=−ε ' ( 1−coso )
ε

Pour des photons avec une très faible énergie, c'est-à-dire avec une énergie bien
plus faible que l'énergie au repos de l'électron (511 kev), on a évidemment ε « 1 , et
∆2
donc: ε → 0

Ce qui signifie que si le photon a une très faible énergie face à l'électron au
repos, sa longueur d'onde ne changera quasiment pas seule sa direction va changer
c'est ce qu'on-appelle le régime Thomson dans ce qu'on appelle le régime Thomson,
dans ce cas la particulier de la diffusé on Thomson.

Dans le cas contraire ou le photon a une grande énergie face à l'électron au repos.

ε »1 , on obtient alors:

∆ ε ε −ε '
= →1
ε ε

Et donc:

1
ε'≈ 0(1)
1−coso

On le terme 0(1) signifie «de l'ordre de1 ».

Dans ce cas, le photon incident une très grande énergie, mais après la collision,
il n'a essentiellement que l'énergie d'un électron au repos (mec 2). Il a donc perdu en
grand partie de son énergie, on parle alors de perte «catastrophique» et ce régime est
appelé "régime de Khein- Nishina".

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Remarque: l'effet Compton n'est bien sûr pas limité au couple photon-électron, toute
particule chargée électriquement est susceptible d'y être soumisse; cependant, l'effet
est plus spectaculaire pour l'électron, la variation de longueur d'onde étant
inversement proportionnelle à la masse de la particule (l'électron est la plus légère des
particules chargées de l'univers «ordinaire».

Diffusion Compton inverse:

La diffusion Compton inverse est la diffusion d'électrons des photons leur


transférant ainsi une grande partie de leur énergie, c'est un effet très important en
astrophysique, et permet d'expliques.

L'effet: sunjaev-zel'dovih, en cosmologie.

Au niveau théorique la description de l'effet Compton inverse est semblable à


celle explicitée plus haut, il s'agit tout simplement d'un changent de repère, En se
plaçant dans le référentiel propre de l'électron après la diffusion ou sa perçait alors
que la fréquence du photon est augmentée, aux dépens de l'énergie de l'électron
incident, ainsi la différence entre l'effet direct et l'effet inverse git plutôt dans les
conditions initiales: le premier sur des électrons pratiquement ou repos (dans la
nattière) le seconde dans le freinage d'électrons rapides par des photons de plus ou
moins basse énergie, présents dans le milieu interstellaire.

Référence:

A quantum Thoiry of the Scott ring of x- rays by light Eléments, l'article datant de
1923, publié dans la physical reviens par arthur 17, Compton, sur le site de
l'American Institute of physique.

18
Chapitre 3 :

3_Rayonnement du corps noir:

Le rayonnement du corps noir, également appelé rayonnement complet


rayonnement complet thermique, est le type de rayonnement électromagnétique à
l'intérieur on entourant un corps en équilibre thermodynamique avec son
environnement, ou émis par un corps noir (un corps opaque et non réfléchissant)
maintenu à une température constante et uniforme, le rayonnement possède un
spectre spécifique est une intensité qui dépend seulement de la température du corps.

Le rayonnement thermique spontanément émis par les objets ordinaires peut-être


approximé par un rayonnement de corps noir, une enceinté parfaitement isolée, en
équilibre thermique interne, renferme un rayonnement de corps noir, qui pourra être
émis à travers un trou fait dans sa parai, à condition que le trou soit assez petit pour
que son effet soit négligeable sur l'équilibre.

Un corps noir à température ambiante paraitra noir, car la plus grande partie de
l'énergie émise est située dans le domaine de l'infrarouge, qui ne peut t'être perçue par
l'œil humain, l'œil humain étant incapable de percevoir la couleur à de faibles
intensités de lumière, un corps noir observé dans l'obscurité à la température.

La plus basse sera faiblement visible, et paraitra subjectivement gris, même si


son spectre physique atteint son niveau maximum dans les infrarouges lorsqu'il de
rient un peu plus chaud, il prend une couleur rouge terne, au fur et à mesure que sa

19
température augments, sa longueur d’où de diminue pour atteindre une couleur bleue-
blanche éblouissante.

Malgré de fait que les planètes et les étoiles ne soient me en équilibre thermique
avec leur environnement ni des corps noir est utilisé comme une première
approximation de l'énergie qu'elles émettent, les trous noirs sont des corps noirs
presque parfaits, dans le sens, qu'ils absorbent tontes radiations qui les frappent, ils
émettraient cependant un rayonnement de corps noir (appelé rayonnement de haw
King) d'après une température proportionnelle à leur masse.

L'expression "corps noir" à été introduite par Gustav kir choff en 1960.

Rayonnement de corps noir; petit introduction.

Type de rayonnement électromagnétique à l'intérieure ou entourant un corps en


équilibre thermodynamique avec son environnent, ou émis par un corps noir
maintenu à une température constante et uniforme.

Spectre:

Le rayonnement du corps noir possède un spectre de fréquence continu et


caractéristique qui ne dépend que de sa température, appelé le spectre du corps noir et
décroit par la loi de planche, le spectre atteint So maximum à une fréquence.

Carra d'éristique qui se décale vers des fréquences plus élevées, a mesure que la
température augment, et dont la plus grande partie de l'émission à température
ambiante est située dans la région infrarouge du spectre électromagnétique.

Lorsque la température dépasse 500 de gés Celsius, le corps noir commencent à


émettre une importante quantité de lumière visible, vus dans l'obscurité ils sont d'un
gris faiblement brillant, mais seulement parce que l'œil, humain est sensible
uniquement au noir et au blanc à de très faibles intensités, en réalité la fréquence de la

20
lumière dans le champ visible est rouge, cependant, l'intensité est trop basse pour être
discernée comme étant rouge.

Au, fur et à mesure que la température augmente, le corps devient visible même
l'ors qu'il u a de la lumière ambiante, il prend des couleurs tout d'abord de rouge terne
puis, de jaune et finalement, il émet une lumière "blanche- bleutée" éblouissante,
l'augmentation de température amène son pic d'émissivité dans le rayement
ultraviolet, le soleil, avec une température effective d'environ 5800k (14), peut être
considéré comme un corps noir ayant un spectre d'émission d'ont le pic d'émissivité
est situé dans la partie centrale et vert-jaune du spectre visible.

Mais avec une puissance emportant dans l'ultraviolet également.

La table ci-dessous décrit l'échelle, entière des températures thermodynamique,


Dupuis le zéro absolu jusqu'aux températures les plus extrêmes envisagées par les
cosmologistes.

Description Température Longueur d'onde (o) du maximum


en kelvins d'admittance du corps noir
[b ]
Zéro absolu 0 ∞
Température minimale 4500p/x 6,4km
mesurée
1 milli kelvin 0,001k 2.9m(radio,bande fm)
température du fonce 2.9m (radio, 1.063mm (Micro-ondes)
diffus cosmologique band Fm)]e[
Point triple de l'eau 273.16k 10608.3mm (infrarouge lointain)
Lampe à incandescence 2500kb 1160mm (proche infrarouge)
Surface observable du 5778k 501.6mm(lumière verte)
soleil c
Décharge de foudre 28000k 100mm (ultraviolet lointain)
Cœur du soleil 16mk 0.18mm (rayement x)
Explosion ermonucléaire 350mk 8.3 x 10-3mm
température maximal) (17)
(rayement gamma)
Cœur d'une étoile massive 3gk 1x10-3mm

21
en fin dévie (18)
(rayement gamma)
Système binaire d'étoiles à 350gk 8x10-6mm
neutrons en cours
(rayement gamma)
d'accrétion
Collisionneur d'ions 1TK 3x10-6mm
lourds relativistes (2)
(rayement gamma)
Source de sursaut gamma 1TK 3x10-6mm

Collisions proton-noyau 10 TK 3x10-7


au cers N
L'univers 1.417x1032k 1.616x10-26mm

5.391x10-44s après le Bige (fréquence de planche)


Bang

Explication:

Le concept de corps noir est une idéalisation car, un corps noir parfait n'existe
pas daims la nature, des matériaux comme la qualité et le noir de fumée, qui
possèdent des émissivités supérieurs à 0.95, se rapprochent fortement du "matériel
noir" idéal.

Expérimentalement, le rayonnement du corps noir peut être établi au mieux


comme était la radiation de l'état d'équilibre dans une cavité à l'intérieur d'un corps
rigide, à une température uniforme, qui est entièrement opaque et qu'est seulement,
partiellement réfléchissante, une boite fermée avec des murs de graphite à une
température sur l'une des faces latérales produit une bonne approximation du
rayement de corps noir émanant de l'ouverture.

Le rayement de corps noir est seule distribution d'énergie stable pour rayement
thermique qui peut persister dans un équilibre thermodynamique à l'intérieur d'une
cavité. En situation d'équilibre, pour chaque fréquence, le totale d'intensité de
22
rayement qui est émis et réfléchi d'un corps c'est-à-dire la quantité nette de radiation
quittant So surface, appelée "luminance énergétique" est déterminé uniques par la
température d'équilibre, et ne dépend pas de la forme, du matériau ou dès la structure
du corps, pour un corps noirs (un absorbeur parfait), il n'y a pas de rayement réfléchi
et alors la luminance énergétique est du entièrement à l'émission déplus, un corps noir
est animateur diffus (son émission est indépendante de la direction) conséquemment,
le rayement du corps noir eut être vu comme étant, le rayement d'un corps noir
l'équilibre thermique.

Le rayement du corps noir provoque une inconvenance si la température de


l'objet est assez élevée, le point de draper situé à environ 798k, est la température ou
tout solide devient incandescent d'un rouge faible, à 1000k, une petite ouverture dans
le mur d'une large caneté opaque uniformément chauffée (que nous nommerons un
four), vue de l'extérieur, apparaît rouge à 6000 k, il apparaît blanc, peu, importe
comment le four est construit et de quel matériau, aussi longtemps qu'il est construite
de manière que toute lumière qui y entre soit absorbée par les murs, sa lumière émise
sera une bomme approximation du rayent du corps noir, le spectre, et donc la couleur
de la lumière qui en sort est fonction de la température de la cavité uniquement, une
représentation graphique de la quantité d'énergie à l'intérieur du four par unité de
volume et par unité de fréquence tracée par intervalles versus la fréquence est appelée
courbes du corps noir.

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Formalisme:

Loi de planche:

2 ho3 1
I (V , T )=
Loi de planche énonce que C2 hv −1
ekt

Ou:

I (v,t)est l'énergie par unité de temps (puissance) par unité de surface d'une surface
qui émet ;dans une direction normale par unité d'angle solide par unité de fréquence
par un corps noir à une température T, aussi connu comme la luminance énergétique
h :est la constant de planche.

C :'est la vitesse de la lumière dans le vide;

K : est la constant de Boltzmann:

V : est la fréquence de la radiation électromagnétique, et

T: est la température e absolue du corps.

Loi du déplacement de Wien:

La loi du rayonnement de Wien caractérise la dépendance du rayonnement du corps


noir à la longueur d'onde, il s'agit d'une formule empirique proposée par wilhelm
Wien, qui rend compte de la loi du déplacement deviens.

Une conséquence de la loi du déplacement de Vien est que la longueur d'oncle à


laquelle l'intensité par unité de rayement produit par un corps noir est à un maximum,
b
h max est une fonction uniquement de la température h max ¿ T

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Ou b est la constance de déplacement de Wien, elle est égale à 2.8977729x10-3km.

La loi de Stefan-Boltzmann:

La loi de Boltzmann indique que la puissance émise par unité de surface de la


surface d'un corps noir est directement proportionnelle à la quat veine puissance de sa
température absolue.

J ¿ =¿4

Ou J est la puissance totale rayonnée par unité de surface T est la température absolue
et

G :5,67 x 10−8 w m −2 k −4 est la cst de stefan-Boltzmann.

Cela découle de l'intégral (I (V,T) sur la fréquence et l'angle solide:


J ¿ =∫ dv ∫ ar ceso, I ( V , T )
0

Le facteur coso apparaît puisque nous considérons de radiation avec une direction
normale à la surface, l'angle solide intégré s'étend sur 2 ń en azimut φ et sur plus de la
moitié de l'angle polaire o

2 ń 1́/ 2

∫ dr caso=∫ aφ ∫ do sin o cos ce


0 0

Ou I (V,I) est indépendante des angles et passe à traners l'angle solide intègre, En
insérant le formule pour I (V,T), on obtient.


2 T ( KT )4 x3
j= 2 3 ∫ ax x
c h 0 e −1

x= hv/kt est sons unité: l'intégral sur x à une valeur de τ 4 / 15 , ce qui donne
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2 δ5 k 4
j =¿ , G=
¿ 4
15 C 2 h3

L'effet doppler:

L'effet doppler relativiste cause un décalage de la fréquence de la lumière f


provenant d'une source en mouvement par rapport à une observateur, on observe alors
une onde de fréquence.

v
1− coso
c
f ' =f
√ 1−v 2 /c 2

Ou:

V: la vélocité de la source avec un observateur au repos.

O: l'angle entre le vecteur de vélocité et la direction de l'observateur – source mesuré


dans le cadre de référence de la source.

C: la vitesse de la lumière.

Ceci est un effet important en astronomie, ou les vitesses des étoiles et des
galaxies peuvent atteindre d'importantes fractions de c, un exemple se trouve dans le
rayonnent du fond diffus cosmologique, qui présente une anisotropie dipolaire du
mouvement de la terre par rapport à ce champ de rayement du corps noir.

Référence:

1- London 2000, chapitre1.


2- Mondel et wolf 1995, chapitre13.
3- Konde pudi et Prigogine 1998, chapitre11.
4- Lands berg 1990, chapitre 13.
5- Poutington 1949, P66.
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6- Planche 1914.
7- Goody et yung 1989, P,482,484.

Conclusion:

L'effet photoélectrique et l'effet Compton sont entièrement explicables sur la


base de la mécanique classique par ailleurs l'explication du comportement du corps
noir, réclame une approche quantique, c'est l'intérêt de la mécanique ondulatoire de
pouvoir intégrer ces deux approches de les unifier.

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