Cours RSF RM M2 RT
Cours RSF RM M2 RT
Cours RSF RM M2 RT
(Version préliminaire)
MASTER 2
Département d’Electronique, Blida 1
Pr M. Djebari
RSM 1
- Littératures: voir annexe
- Sommaire: voir annexe
RSM 2
Master RSM 3
Master RM 4
5
Master RM 6
Master RM 7
8
9
10
11
12
13
14
15
16
17
18
19
Le concept cellulaire
•Partager une zone géographique relativement grande, généralement appelée
réseau sans fil large (WWAN, pour Wireless Wide Area Network) en un certain
nombre de sous-zones appelées cellules.
20
Le concept cellulaire
- Affecter une bande de fréquences à chacune des
cellules.
(nombre d'abonnés peut être supérieur au nombre
de canaux radio).
• Nombreux utilisateurs,
22
Le concept cellulaire
• On appelle "motif" le plus petit groupe de cellules
contenant une et une seule fois l'ensemble des
canaux radio.
• Ce motif est répété sur toute la surface à couvrir.
23
Principe de la transmission numérique
•L'échantillonnage ;
•La quantification ;
•Le codage.
24
Le concept de la mobilité
En fait, lors d'un déplacement d'un mobile d'une cellule A vers une cellule
B, étant donné que le niveau de champs radioélectrique est testé en
permanence, l'infrastructure de B constate le rapprochement du mobile.
L'infrastructure de A constate, quant à elle, son éloignement. Les 2
cellules communiquent et décident d'enregistrer le mobile dans B.
handover GSM
25
les Problèmes des transmissions radio
les conditions atmosphériques, le relief géographique, la mobilité d'objets constituent des
perturbations
dont il est nécessaire de prendre en considération.
Des obstacles comme le sol, mais aussi les arbres, les bâtiments, etc. réfléchissent les ondes
radio. D'où la génération d'ondes réfléchies qui sont déphaseés par rapport à l'onde suivant le
chemin direct émetteur-récepteur. Le récepteur reçoit alors la somme des ondes directes et
réfléchies. En conséquence, le sol et les obstacles se trouvant entre l'émetteur et le récepteur
sont la cause d'interférences entre l'onde directe et les ondes réfléchies. Ces interférences
génèrent le défaut de fading.
Les interférences de co-channel
Lorsque des émetteurs radio émettent sur la même fréquence que l'émetteur que l'on souhaite
capter, et même si ils sont très éloignés, ils peuvent perturber la réception. C'est ce défaut que
l'on appelle l'interférence de co-channel.
26
les Problèmes des transmissions radio
Débit plus faible que celui du filaire.
Erreurs de transmission.
27
Panorama et génération
28
Evolution
29
Le Système GSM
30
Historique de la norme GSM (1)
1979 Conférence administrative mondiale des Radiocommunications
alloue une plage de fréquences voisine de 900 MHz aux
radiocommunications mobiles
Introduction au GSM 31
Historique de la norme GSM (2)
1985 Appui de la Commission des Communautés Européennes
Introduction au GSM 32
Historique de la norme GSM (3)
1991 Première communications entre un abonné du réseau
téléphonique et un terminal GSM de laboratoire est effectué
(juillet).
Adaptation des spécifications GSM pour développer des systèmes
dans la bande des 1800 MHz (DCS 1800: Digital Cellular
System) plus ciblés pour des environnements urbains.
Introduction au GSM 33
Norme GSM dans le monde
1997 MOU GSM (Memorandum of
300
Understanding) regroupe 239
membres dans 109 pays 250
différents.
200
(Afrique, Australie, Chine,
150
Inde, Asie…)
Mars 100
Octobre 2001
En France, le nombre de mobiles dépasse le nombre de
téléphones fixes (environ 25 millions)
Introduction au GSM 34
Normes existantes AMPS
de téléphonie mobile
NMT TACS
D-
AMPS
TDMA CDMA
GSM
IS IS-95A
(GPRS) J-TACS
136
Allocation des
Fréquences
ITU ETSI ARIB Qualcomm (USA)
IMT200 (Eu) (Japan) CDMA2000
0 UMTS W-CDMA
3GPP 3GPP2
3G
Standards
Introduction au GSM 35
n EDGE: Enhanced Data Rates for GSM Evolution
n GPRS: General Packet Radio Service dérivé du GSM
n NMT : Nordic Mobile Telephone
n ITU : International Telecommunication Union
n IMT : International Mobile Telecommunications
n TDMA : Time Division Multiple Access
n CDMA: Code Division Multiple Access
n UMTS: Universal Mobile Telecommunications System
n ETSI: European Telecommunications Standards Institute
n ARIB : Association of Radio Industries and Businesses
n W-CDMA: Wideband CDMA
n 3GPP: 3rd Generation Partnership Project
36
Principales caractéristiques GSM
GSM 900 et DCS 1800:digital mobile system
Inter-opérabilité totale entre GSM 900 et DCS 1800 n’introduit aucun
nouveau problème au niveau technique
Densité plus importante de stations de base pour le DCS 1800
Services additifs:
évolution vers le GPRS, EDGE puis l’UMTS
Introduction au GSM 37
Le Réseau GSM
BSS NSS
BTS
EIR
BTS
BS HLR
C
MS VLR
MSC RTCP
BTS
BSC GMSC
BTS
MSC
BTS BSC
VLR
Architecture GSM 39
n BTS: Base Transeiver System
n BSC (Base station controller) : répartition des
ressources
n BSS: Base Station subsystem=BTS+BSC
n HLR (Home Location Register): contient des
information comme position, etc.
n VLR: Visitor location Register; temporaire
n EIR : Equipment Identity Register
n NSS : Network Station Subsystem
n GMSC : Gateway Mobile Switching Centre
n IMEI : International Mobile Equipment Identity
40
Identification et Numérotation du MS
Le téléphone et la carte SIM (Subcriber Identity Module) sont les deux
seuls éléments auxquels l’abonné a directement accès. Le système
GSM utilise quatre types d'adressages liés à l'abonné :
n Le MSISDN est le numéro de l'abonné, c'est le seul identifiant
de l'abonné mobile connu à l'extérieur du réseau GSM
n L'IMSI (identité invariante de l'abonné) n'est connu qu‘à l'intérieur
du réseau GSM ; cette identité doit rester secrète autant que
possible.
n Le TMSI est une identité temporaire utilisée pour identifier le
mobile lors des interactions Station Mobile-Réseau.
n Le MSRN est un numéro attribué lors d'un établissement d'appel.
Sa principale fonction est de permettre l'acheminement des appels
par les commutateurs (MSC)
n Du fait de la séparation entre l'équipement et l'abonnement, le
réseau peut de plus contrôler l'identité IMEI (International Mobile
Equipment Identity) de tout équipement qui désire un service.
Architecture GSM
MSC (Mobile-services Switching
Center) NSS
AUC
EIR
- centre de commutation des mobiles
HLR
- gère l’établissement des
communications entre un mobile et VLR
un autre MSC
- transmission des messages courts MSC
- exécution du handover
GMSC
- dialogue avec le VLR pour gérer la
mobilité des usagers
MSC
- sert de passerelle active lors d’appels
d’abonné fixe vers un mobile
(Gateway MSC) VLR
Architecture GSM 42
Architecture GSM
VLR (Visitor Location Register)
NSS
AUC
- enregistreur de localisation d’accueil EIR
- base de données qui mémorise les HLR
données d’abonnement des abonnés
présents dans une zone VLR
- même données que dans le HLR mais
concerne seulement les abonnés MSC
mobiles présents dans la zone
considérée (seule donnée GMSC
supplémentaire l’identité temporaire
TMSI) MSC
- séparation matérielle entre MSC et
VLR rarement respectée
VLR
Architecture GSM 43
Architecture GSM
HLR (Home Location Register) NSS
AUC
- enregistreur de localisation nominal EIR
- base de données qui gère les abonnés HLR
d’un PLMN donné
VLR
- mémorise les caractéristiques : identité
nationale de l’abonné IMSI MSC
numéro d’annuaire MSISDN
profil de l’abonnement GMSC
- base de données de localisation :
mémorise pour chaque abonné le MSC
numéro de VLR où il est enregistré
VLR
Architecture GSM 44
Architecture GSM
EIR (Equipment Identity Register)
- base de données annexe contenant les NSS
identités des terminaux IMEI AUC
- peut refuser l’accès au réseau parce que EIR
le terminal n’est pas homologué ou HLR
qu’il a fait l’objet d’une déclaration de
vol VLR
AUC (Authentification Center)
MSC
- mémorise pour chaque abonné une clé
secrète utilisée pour authentifier les GMSC
demandes de services et pour chiffrer
les communications
MSC
Architecture GSM 45
Interfaces GSM
Um A bis A
BTS
AUC
EIR
BTS
BS
F HLR H
C D
VLR C
MS B
E
MSC RTCP
G D
BTS
BSC E GMSC
BTS E
MSC B
BTS BSC
VLR
Architecture GSM 46
Interfaces GSM
Nom Localisation Utilisation
Um MS – BTS Interface Radio
A bis BTS – BSC Divers
A BSC – MSC Divers
B MSC – VLR Divers
C GMSC – HLR Interrogation HLR pour appel entrant
D VLR – HLR Gestion des informations d’abonnés
E MSC – MSC Exécution des handover
MSC – GMSC Transport des messages courts
F MSC – EIR Vérification de l’identité du terminal
G VLR – VLR Gestion des informations d’abonnés
H HLR – AUC Echange des données d’authentification
Architecture GSM 47
48
GSM: Caractéristiques techniques
Fréquence d'émission du terminal vers la station de base 890-915 MHz
49
MS : Station de base
50
Le concept de la mobilité - Principe du
handover
• Les problèmes liés à la mobilité d'un terminal en communication, sont réglés conjointement
par la structure fixe et le mobile. La décision d'effectuer un basculement de fréquence
nécessaire au traitement d'un transfert intercellulaire (handover en anglais) reste toutefois à
la charge des équipements fixes (MSC + BSC). Cette décision découle des traitements liés aux
mesures sur le niveau de réception du mobile effectué par ce dernier (sur les fréquences
balises environnantes) et transmises à la BTS nominale relayant la communication en cours.
Le principe repose sur :
51
Interface Radio
52
Interface Radio
53
Multiplexage temporel (TDMA) (suite)
57
• On appelle écart duplex la différence entre deux fréquences
correspondantes UpLink et Downlink. Pour le GSM 900, Il est
constant et vaut 45 MHz
Fu (n)=890 + 0.2 x n
Fd (n)=935 + 0.2 x n
Fu (n)=890 + 0.2 x n
Fd (n)=935 + 0.2 x n
62
63
EDGE
• EDGE : Enhanced Data for GSM Evolution
• HSCSD et GPRS augmentent le débit GSM
• EDGE est utilisé comme complément avec HSCSD et GPRS.
• EDGE + HSCSD = ECSD
• EDGE + GPRS = E-GPRS
64
65
66
67
68
69
UMTS
70
Brève présentation de l’UMTS
71
Introduction
72
Historique
3G
Caractéristiques :
73
Technologie
74
Débits
75
Architecture du réseau UMTS
Coté réseau
GPRS
Node B UMTS
Internet
RNC
Node B
GSM
GSM
BTS
BTS PCU
BSC
76
Applications et services
77
Contraintes de l'UMTS
• Couverture.
78
79
80
81
82
83
84
85
86
87
88
89
90
91
92
93
94
95
96
97
98
99
100
101
La méthode CSMA/CD (Carrier Sense Multiple Access / Collision
Detection) est dérivée d'un système de transmission radio appelé Aloha.
Son principe est de laisser chacun libre de gérer ses émissions en fonction
de ses besoins et de la disponibilité du média.
102
103
104
105
106
107
108
109
110
111
112
113
114
115
116
117
118
119
120
121
122
123
124
125
126
127
128
129
130
131
132
133
134
135
136
137
138
139
140
141
142
143
144
145
146
147
148
149
150
151
152
Bilan de liaison:
153
Zones de propagation
VoltageµV
•Tension en dBµV = 20 log
1µV
ou
Réfraction
Elle exprime un changement de direction de propagation causé par une variation
spatiale de la constante diélectrique du milieu.
Absorption
Elle décrit l'atténuation de l'amplitude de l'onde traversant un milieu. Pour l’atmosphère, la
réduction est provoquée par absorption de l’énergie par les différents constituants de
l’atmosphère tels que les gaz (oxygène), les vapeurs (vapeurs d'eau) et les précipitations
(pluie et neige).
r1
ht r2
hr
α
d
Fig. 2.1.: Modèle à deux Rayons
ht + hr
α = tan −1 (I - 54)
d
• La différence de marche ou phase du champ électrique résultant est:
2π
ϕ= (d 2 − d1) (I - 55)
λ
• L’amplitude complexe de l’onde qui se réfléchit sur le sol se trouve
multipliée par un facteur R (réflexion spéculaire). Le dit coefficient de
réflexion (Relation fondamentales de Fresnel) est complexe et dépend
de la polarisation:
sin α − C
R= ( I − 56)
sin α + C
• polarisation horizontale:
CH = η − cos α
2
(I - 57)
• polarisation verticale:
η − cos 2 α
CV = (I - 58)
η 2
λ
2 2
d1
PR (d ) = PT Gd + Gr DRρ exp( − jϕ ) (I - 59)
4πd1 d2
1 4πd h sin α
2
D= (voir fig. 2.1)
2r1r2 ρ = exp− 0.5
1+ λ
Rc d 2 sin α
Gd et Gr : produits des gains des antennes dans les directions des rayons directe et réfléchi.
D: coefficient de divergence de la surface du sol .
ρ: rugosité du sol. Ces facteurs approchent l’unité dans le cas d’un sol plat et lisse.
Rc: Rayon de courbure de la surface réfléchissante (en km)
dh: hauteur quadratique moyenne des irrégularités de la portion de la surface réfléchissante
Dr. M. Djebari 175
Un exemple d’application est montré dans le graphe ci-dessous représentant la puissance
reçue en dBm en fonction de la distance de séparation. Le graphe compare une mesure
réelle à 60GHz en polarisation verticale et le modèle à deux rayons.
-60
mesure
-70 theorie
-80
-90
-100
-110
-120
1 10 20 30 40
distance (m)
Fig. 2.2: Puissance reçue en fonction de la distance
La moyenne du signal semble décroître selon l’affaiblissement de parcours. Les pics et nulles
sont prévus par une superposition constructive ou destructive du fait que les amplitudes des
deux ondes s’ajoutent ou se retranchent selon la différence de marche.
Dr. M. Djebari 176
(I-61)
184
185
186
187
Master RSM 188
Modèle Simple
189
190
modèle de propagation utilisé Okumura-
Hata L=69,55+26,16log(f[en MHz])-
13,82log(hr[en m])+36.2log(d[en km])
191
192
193
194
linéaire Polarisation circulaire
195
Bilan de liaison satellitaire
Satellite
Lua Lda
Gain
Gsu Gs Gsd
Perte de Propagation Perte de Propagation
Lu Ld
Gt Gr
Lta Lra
Station de base en transmission Station de base en réception
πD
2
G = η
λ
M. Djebari 198
OU
M. Djebari 199
M. Djebari 200
Ga: Gain de l’antenne
M. Djebari 201
M. Djebari 202
M. Djebari 203
M. Djebari 204
Puissance du bruit thermique:
205
Facteur de bruit:
206
o
u
Facteur de bruit Température équivalente de
bruit
M. Djebari 207
M. Djebari 208
M. Djebari 209
M. Djebari 210
M. Djebari 211
10Log(1.38 10-23)= -228.6 dBk
M. Djebari 212
M. Djebari 213
La 5G et les satellites
•
M. Djebari 214
M. Djebari 215
• L'ESA rappelle que le satellite existe et veut en faire un maillon
important de la 5G
• Pour se mettre en place, la 5G utilisera de nouvelles bandes de
fréquences, en plus de celles de la 4G. Il est notamment question
des ondes millimétriques (voir notre analyse) comprises entre 30 et 300
GHz. L'agence spatiale européenne (ESA) et l'industrie spatiale veulent
également croquer un morceau de ce gâteau qui devrait drainer avec lui
des milliards d'euros (certains évoquent 11 300 milliards de retombés
économiques d'ici 2035).
• Dans une déclaration commune, l'ESA et 15 industriels (Airbus Defence
and Space, Inmarsat, ViaSat, TéléSAT, Thales Alenia Space, Intelsat, SES,
OneWeb, etc.) du secteur lancent une initiative baptisée « Satellite for 5G
». Cette opération doit s'étendre sur deux ans minimum (de 2018 à 2020,
date de lancement estimée des premiers réseaux commerciaux en 5G) et
a pour but de « renforcer et démontrer la valeur ajoutée des satellites dans
le domaine des télécommunications 5G ».
M. Djebari 216
• Héritant d’une longue tradition de solutions propriétaires fermées, les systèmes
satellites ont longtemps été caractérisés par leur forte hétérogénéité d’un
constructeur à un autre. De cette hétérogénéité, découlait des problèmes
d’interopérabilité et un coût particulièrement important des équipements
satellites (embarqués ou au sol).
• La tendance actuelle de recourir à des standards ouverts comme DVB-S et plus
récemment DVB-RCS conduit progressivement à l’homogénéisation des systèmes
satellites. Par ailleurs, les efforts d’interopérabilité menés par l’ensemble de la
communauté satellite ont permis de baisser significativement les coûts des
équipements. Le succès de la norme DVB-S à travers les services de télévision
numérique a permis ainsi de démocratiser les terminaux satellites.
• En ce qui concerne le support d’IP, différentes solutions satellites propriétaires
existantes proposaient déjà des services Internet. Cependant, du fait de leur coût
prohibitif, elles étaient destinées au marché des professionnels. La norme DVB-S a
remédié à ce problème en standardisant une méthode d’encapsulation d’IP sur la
voie aller, à destination des terminaux satellites. L’interactivité des services
Internet nécessite également que les terminaux satellites soient en mesure
d’émettre des données. Cette voie de retour a d’abord été supportée par une voie
de retour terrestre. Une seconde étape a été la définition d’une voie de retour
DVB-RCS par satellite.
M. Djebari 217
• Ces avancées déterminantes ne sont cependant pas
suffisantes pour assurer le succès des réseaux satellites
géostationnaire en tant que technologie d’accès
compétitive au sein des futurs NGNs. En effet,
optimisée pour la transmission de flux audio et vidéo
multiplexés, la norme DVB-S n’a pas été conçue pour
supporter nativement IP. De nombreuses améliorations
sont nécessaires afin d’optimiser le mécanisme
d’encapsulation des paquets IP et d’assurer la
continuité des protocoles de sécurité, multicast ou
résolution d’adresse de niveau IP sur lesegment
satellite.
M. Djebari 218