Exercices de Re Visions - PC - Ts-2

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Exercices de révisions : Physique-chimie

Afin de préparer au mieux votre rentrée, il est ​fortement ​conseillé de faire ces exercices la
deuxième quinzaine du mois d’août. Bon courage !

Partie A : La chimie

Données : M(C)​ =
​ 12 g/mol ; M(H)​ ​= 1 g/mol ; M(O)=16 g/mol ; M(N)=14 g/mol.

Exercice n°1 : Tableaux d’avancement


Compléter les tableaux suivants, dans lequel (E.I.) signifie état initial, (E.F.) état final et en
cours désigne l’état du système en cours d’évolution pour divers avancements. Indiquer le
réactif limitant.

équation 2 CO + O​2 ​ → 2 CO​2

avancement n(CO) n(O​2​) n(CO​2​)

(mol) (mol) (mol) (mol)

E.I. 0 4,6 3,0 0

en cours 1 x​1 ... 3,0 - x​1 ...

en cours 2 x​2​ = 0,8 ... … ...

en cours 3 x​3​ = ... ... ... 3,0

E.F. x​max​ = ... ... ... ...

Combustion de l’aluminium :

équation 4 Al + 3 O​2​ → 2 Al​2​O​3

avancement n(Al) n(O​2​) n(Al​2​O​3​)

(mol) (mol) (mol) (mol)

E.I. 0 7,0 6,0 0,5

en cours 1 x​1 7,0 - 4 x​1 ... ...

en cours 2 x​2​ = 0,5 ... ... ...

en cours 3 x​3​ = ... ... ... 2,5

E.F. x​max​ = ... ... ... ...


Exercice n°2 : Quantité de matière et tableau d’avancement
Le diiode I​2 (aq) réagit avec les ions thiosulfate S​2​O​3​2-​(aq) pour former des ions iodures I​-​(aq) et
des ions tétrathionate S​4​O​6​2-​(aq)​ selon l’équation :

I​2 (aq)​ + 2 S​2​O​3​2- ​(aq) 2I​- ​(aq)​ + S​4​O​6​2- ​(aq)​.

La seule espèce colorée est le diode I​2(aq)​. Initialement le système chimique contient 3,0 mol
de diiode et 5,0 mol d’ions thiosulfate.
1. Construire le tableau d’avancement de la réaction.
2. Déterminer le réactif limitant et la valeur de l’avancement maximal x​max​. Bien
détailler la méthode.
3. Quelle sera la composition du système à l’état final ?
4. Le mélange final sera-t-il coloré ? Justifier.
5. Calculer la concentration finale en ions I​-​(aq) dans le mélange si le volume total à
la fin de la réaction est de 50 mL.

Exercice n°3 : Quantité de matière et tableau d’avancement


Il s'agit de la réaction de combustion du 1,1-diméthylhydrazine avec pour comburant, le
tétraoxyde de diazote.

1. Equilibrer la réaction de combustion suivante :

C​2​H​8​N​2 +
​ N​2​O​4 →
​ N​2 +
​ H​2​0+ CO​2​.

2. Déterminer la quantité de matière (en mole) des réactifs, sachant qu’on a introduit
480 g de C​2​H​8​N​2 et
​ 1288 g de N​2​O​4. ​
3. Construire le tableau d’avancement.
4. Donner la composition du système chimique à la fin de la transformation et la masse
des produits formés.​ ​

Exercice n°4 : Réactions d’oxydoréduction 


L'eau oxygénée commerciale est une solution aqueuse de peroxyde d'hydrogène utilisée
comme désinfectant pour des plaies, pour l'entretien des lentilles de contact ou comme agent
de blanchiment.
Le peroxyde d'hydrogène (H​2​O​2​) intervient dans deux couples oxydant-réducteur :
​ / H​2​O (l)​
H​2​O​2​ (aq)​ ​ et O​2​ (g)​
​ / H​2​O​2​ (aq)​
​ . Le peroxyde d'hydrogène est capable dans certaines
conditions de réagir sur lui-même c'est à dire de se dismuter.
1. Comment peut-on qualifier l’eau oxygénée. Justifier la réponse.
2. Écrire les deux demi-équations d'oxydoréduction des deux couples auxquels le
peroxyde d'hydrogène appartient.
3. En déduire l’équation de la réaction étudiée (réaction de dismuation).
L'eau oxygénée du commerce se présente en flacons opaques afin d'éviter que la lumière
favorise la transformation chimique précédente. Le flacon utilisé dans cette étude porte la
mention suivante : eau oxygénée à 10 volumes. Cette indication est appelée le titre de l'eau
oxygénée. Par définition, le titre est le volume de dioxygène (exprimé en litres) libéré par un
litre de solution aqueuse de peroxyde d'hydrogène suivant la réaction de dismutation dans
les conditions normales de température et de pression.
On considérera, en première approximation, que les conditions de l'expérience sont
assimilables aux conditions normales (pression 1,0 bar et température 0,0 °C). On désire
vérifier l'indication donnée sur le flacon concernant le titre de l'eau oxygénée de la solution
commerciale utilisée.
4.​ Calcul de la valeur attendue de la concentration en peroxyde d'hydrogène.
a) Par définition du titre de l'eau oxygénée, quel volume de dioxygène V(O​2​) serait libéré par
un volume V = 1,00 L de la solution commerciale au cours de la réaction de dismutation du
peroxyde d'hydrogène ?
b) Calculer la quantité de dioxygène formé au cours de cette transformation.
c) La transformation précédente étant considérée comme totale, vérifier que la concentration
en peroxyde d'hydrogène notée [H​2​O​2​]th de cette solution commerciale (valeur
​ mol.L​-1
théoriquement attendue) a pour valeur : [H​2​O​2​]​th​ = 8,9 × 10 -1​

Donnée :​ ​Volume molaire d’un gaz : Vm = 22,4 L/mol.


Exercice 5 : Détermination de la concentration d’une solution de dichromate de
potassium.


1. L’ion dichromate Cr​2​O​7​ 2-
​ est un oxydant puissant. Celui-ci donne une coloration
jaune orangée aux solutions aqueuses. Justifiez cette coloration grâce au document
ci-dessous.

2. Pour déterminer la concentration d’une solution on décide d’utiliser une méthode par
mesure de l’absorbance. Pour cela on veut commencer par tracer la courbe A = f(c)
pour une solution de dichromate de potassium.
A 0,35 0,59 0,95 1,18 1,77

C(mmol/L) 3 5 8 10 15

a) A quelle longueur d’onde faut-il se placer pour déterminer le plus précisément possible la
concentration des ions dichromate ? Justifier.

b) Tracer le graphe A = f(c)

c) Que peut-on dire de cette dernière courbe ? Que peut-on en déduire ?

d) Quel nom porte cette relation qui en découle ? Donner son expression générale.

e) 0n mesure maintenant l’absorbance de la solution de dichromate de potassium, on obtient


A = 1,10. Quelle est la concentration de cette solution ?

3. Un élève a préparé cette solution par dissolution du solide dans 100,0 mL d’eau
distillée. Quelle masse de solide a-t-il prélevé pour cela ?
4. Rappeler le protocole de cette préparation.
Exercice n°6 : Action du cuivre sur le zinc
On plonge une lame de zinc Zn​(s) dans une solution de sulfate de cuivre (II) bleue (S O42− (aq) +
Cu​2+​(aq)​). On observe la formation de cuivre solide Cu​(s) et la formation d’ions zinc (II) Zn​2+​(aq)​.
L’eau étant le solvant, la quantité de matière en eau est considérée en excès (​neau ​ = excès)
par rapport aux autres espèces chimiques.
2−
Les ions sulfate S O4 et l’eau sont des espèces spectatrices. L’équation chimique de la
réaction modélisant la transformation chimique est :
Zn​(s)​ + Cu​2+​(aq)​ → Zn​2+​(aq)​ + Cu​(s)
Une lame de zinc de masse ​m = 3,27 g est plongée entièrement dans un bécher contenant
un volume ​V = 200 mL de solution de sulfate de cuivre de concentration molaire ​C = 1,00.10​-1
mol/L. On laisse la réaction se dérouler quelques instants, puis on ​retire la lame de zinc et on
détermine la concentration molaire en ions cuivre ​restants dans la solution
C Cu2+ restants​ = 2,00.10​-2​ mol.L​-1​.
1) Calculer les quantités de matière initiales des réactifs.
2) Établir le tableau d’avancement de la réaction.
3) D’après le texte​, quel est le réactif limitant ?
4) Quel est le lien entre la quantité de matière d’ions Cu​2+​(aq) consommé
​ et l’avancement
de la réaction ​x​max au moment où on retire la lame de zinc. Montrer que la valeur de
l’avancement maximal ​x​max​ est égale à 1,60.10​-2​ mol.
5) Déterminer la composition, en quantité de matière, du système (c’est à dire toutes les
espèces chimiques présentes dans le bécher) à l’état final lorsque l’on a retiré la lame
de zinc.
6) Déterminer la masse de zinc ayant réagi et la masse de cuivre formé.
7) Déterminer la concentration molaire en mol.L​-1 de tous les ions présents à l’état final
dans le bécher.
8) Les ions cuivre (II) Cu​2+ sont colorés en bleu tandis que les ions zinc (II) Zn​2+ ​sont
incolores. Justifier le fait que la solution soit moins colorée lorsque la lame de zinc est
retirée.
9) Si on avait laissé la réaction se produire jusqu’à la fin, quel aurait été le réactif
limitant ? Justifier.

Donnée ​:
Masse molaire atomique du zinc et du cuivre : ​M​(Zn) = 65,4 g.mol​-1​ ; ​M​(Cu) = 63,5 g.mol​-1​.
Exercice 7 : Sucre et électrons
Partie B : La physique

Exercice n°8 : énergie mécanique

Du bord d’un pont, Julien lance verticalement vers le haut une pierre de masse m = 65 g à
une vitesse V=5,0m/s. le point de lancement de la pierre se trouve à une hauteur h = 4,5 m
au–dessus du niveau de l’eau de la rivière. L’eau de la rivière sert de référence pour l’énergie
potentielle.
La pierre monte, puis redescend et pénètre dans l’eau. Soit A le point de départ, B le point le
plus haut et C le niveau de l’eau. Les frottements sont considérés comme négligeables.
1. Exprimer et calculer l’énergie cinétique Ec(A), potentielle Epp(A) et mécanique Em(A)
de la pierre au moment où elle quitte la main de Julien.
2. Que peut-on dire de la valeur de Em et de Em au cours du mouvement de la pierre.
Justifier.
3. Soit H la hauteur atteinte par la pierre. Que vaut l’énergie cinétique Ec(B) de la pierre
à cette hauteur ? En déduire la valeur de H.
4. Que vaut l’énergie potentielle Epp(C) de la pierre au moment où elle pénètre dans
l’eau ?
5. Exprimer puis calculer la vitesse V(C) en km/h de la pierre à cet instant.

Donnée :​ Intensité de la pesanteur g = 9,81 N/kg.

Exercice n°9 : Snowboard

Un surfeur couché sur la neige pense à ses cours de physique de 1ère S ! Après une très
longue réflexion, il se relève et se laisse descendre sur la piste enneigée ABCDE.
L'enregistrement du mouvement de A à E permet de tracer les courbes d'évolution de
l'énergie cinétique, de l'énergie potentielle et de leur somme pour le surfeur en fonction du
temps. On obtient les courbes ci-contre. Attribuer sa courbe à chaque énergie. Justifier
sommairement.
Exercice n°10 : Lumière …Lumière !

Voici un extrait du livre d’André Brahic « Lumières d’étoiles » :

La lumière blanche mélange toutes les couleurs de l’arc-en-ciel. Comme on passe


continûment d’une couleur à une autre en changeant graduellement de nuance, on dit que la
lumière blanche possède un spectre continu. Mais les astronomes ont remarqué dès le
XVIIIe siècle la présence de fines bandes noires dans la lumière solaire. Il manque des
couleurs très précises et spécifiques, comme si elles ne nous étaient pas parvenues. Après
quelques tâtonnements, Ils ont compris alors que ces raies sombres traduisaient la présence
d’éléments chimiques sur le trajet des rayons lumineux. Joseph Von Fraunhofer fut le
premier, en 1814, à observer ces disparitions de lumière et à les attribuer à un phénomène
d’absorption par un gaz des couches superficielles du Soleil. […]

Données :
· Célérité de la lumière dans le vide : c = 3,00.10​8​ m.s​-1​ ;
· Constante de Planck : h = 6,62.10 -​ 34​ J.s ;
· 1 eV = 1,60.10 -​ 19​ J

1. Quelle est la relation entre la longueur d’onde λ dans le vide d’une radiation
monochromatique et sa fréquence f ? On précisera les unités.
2. On donne la fréquence des rayons X : f​X​ = 3,0.10​18 ​Hz Calculer la longueur d’onde λ​X
correspondante dans le vide.
3. D’après le texte : « Joseph Von Fraunhofer fut le premier, en 1814, à observer ces
disparitions de lumière ». Voici un extrait du spectre qu’il a observé, où l’on peut
observer des raies noires sur un fond coloré continu, nommées A, B, C, D, E, F1, F2,
G, H et I.

a) Les raies observées sur le spectre ci-dessus sont-elles des raies d’émission ou
d’absorption ?
b) On donne des longueurs d’onde d’émission de quelques éléments.

Quels sont les éléments que l’on peut retrouver facilement dans les couches superficielles du
Soleil ?
4. L’énergie d’un atome ne peut prendre que certaines valeurs. Que peut-on alors dire de
l’énergie d’un atome ?

5. On donne ci-contre le diagramme de niveaux d’énergie de l’atome d’hydrogène :


a) Quelle est la valeur de l’énergie de l’état fondamental
de l’atome d’hydrogène ?
b) Quelle est la valeur de l’énergie en eV à fournir à cet
atome pour l’ioniser ?
c) Calculer la variation d’énergie en eV lorsque l’atome
d’hydrogène passe du niveau d’énergie E1 = - 0,37 eV
au niveau d’énergie E2 = - 3,39 eV.
d) Convertir en Joule la variation d’énergie calculée dans
la question c .
e) Sur le diagramme ci-contre, représenter cette transition
par une flèche.
f) Ce photon est-il libéré ou absorbé par l’atome
d’hydrogène ?
g) Calculer la longueur d’onde λ du photon correspondant
à cette variation d’énergie.
h) Donner le nom de la radiation du spectre de la figure
n°1 correspondant à cette transition.

Exercice 11 : La soie d’araignée


Fiche réponses

Exercice n°2 : Quantité de matière et tableau d’avancement


1. Construire le tableau d’avancement de la réaction.

Equation
chimique ​I​2 (aq)
​ + 2 S​2​O​3​2- ​(aq) 2I​- ​(aq) + S​4​O​6​2- (aq)

E.I ni(​I​2 ) ni(S​2O​32-​) 0 0

ni(​I​2 )-x ni(S​2O​32-​)-2x 2x x


E.C.T

E.F ni(​I​2 )-x​max ni(S​2O​32-​)-2x​max 2x​max x​max

2. Déterminer le réactif limitant et la valeur de l’avancement maximal x​max​. Bien détailler la


méthode.
Le réactif limitant est l’ion thiosulfate.

5. Quelle sera la composition du système à l’état final ?


A l’état final : n​f​(​I2​​ ) = 0,5 mol , nf(S​2​O​3​2-​) = 0 mol , n​f​(I​- ​) = 5,0 mol et n​f​(S​4​O​6​2-​) = 2,5 mol.
6. Le mélange final sera-t-il coloré ? Justifier.
Oui, le mélange final sera coloré car il reste encore du diode à l’état final.
7. [​I-​]​ = ​1,0 ×10​2​ mol/L.

Exercice n°3 : Quantité de matière et tableau d’avancement


1. Equilibrer la réaction de combustion suivante :

C​2​H​8​N​2 +
​ 2 ​N​2​O​4 →
​ ​3​N​2 +
​ ​4​ H​2​0+ 2​ CO​2

2. Déterminer la quantité de matière (en mole) des réactifs, sachant qu’on à introduit 480
g de C​2​H​8​N​2 et
​ 1288 g de N​2​O​4. ​
n (​C​2​H​8​N​2 )​ = 8 mol.
n (​N​2​O​4​) = 14 mol.
3. Construire le tableau d’avancement.

Equation
chimique ​C​2​H​8​N​2 +
​ 2 ​N​2​O​4 3​N​2 +
​ ​4​ H​2​0+ 2​ CO​2

E.I ni​ ​(​C​2​H​8​N​2​) ​ ni ​(N​2​O​4 )​​ 0 0 0

E.F
ni ​(​C​2H​8N​2)​ -x​max​ ni​(N​2O​4 )​ -2x​max​ 3x​max​ 4x​max​ 2x​max

4. Donner la composition du système chimique à la fin de la transformation et la masse


des produits formés.​ ​

D’après la stoechiométrie de la réaction, le réactif limitant est le N​2​O​4


Et l’avancement maximal vaut xmax = 7 mol.
D’où n​f​(N​2​) = 21 mol et m​f​(N​2​) = 588g
n​f​(H​2​O) =​ ​28 mol et m​f​(H​2​O) = 5O4g
n​f​(CO​2​) = ​ ​14 mol et m​f​(CO​2​) = 616g

Exercice n°4 : Réactions d’oxydoréduction


1. espèce amphotère ou ampholyte.
2.
H​2​O​2​ (aq) / H​2​O (l) : H​2​O​2​ (aq) + 2H​+ ​(aq) + 2 e-= 2H​2​O (l)

et O​2​ (g) / H​2​O​2​ (aq) : H​2​O​2​ (aq) = O​2​ (g) + 2H​+ (aq) + 2 e-

3. 2 ​H​2​O​2​ (aq) 2H​2​O (l) + O​2​ (g)


4. a) V(O​2​ ) = 10 L
b) n(O​2 )​ = 0,45 mol.
​ mol.L​-1
c) [H​2​O​2​]th = 8,9 × 10 -1​

Exercice 5 : Détermination de la concentration d’une solution de dichromate de


potassium.
1. La solution colorée agit comme un filtre. Elle absorbe une partie de la lumière et diffuse la
partie correspondante à sa propre couleur. Le spectre montre une forte absorbance de la
solution pour une longueur d’onde voisine de 450 nm, c’est à dire dans le bleu. C’est donc
la couleur complémentaire qui est visible soit le jaune.
2.

a) Il faut se placer au maximum d’absorption de la solution, donc ici pour une longueur
d’onde de 450 nm. Ainsi l’absorbance est très sensible à la variation de la concentration,
ce qui augmente la précision des mesures.
b)
c) La courbe est une droite passant par l’origine. Donc A et c sont proportionnels.
d) C’est la loi de Beer-Lambert. A = k .c
e) Par lecture graphique, si A = 1,10 alors C = 9,3 mmol.L​-1

3. ​
. AN : m (K​2​Cr​2​O​7​) = 0,27 g

4. Revoir le protocole de la dissolution.

Exercice n°6 : Action du cuivre sur le zinc


n​i​ ​(Cu​2+​)​ = ​2,00.10​-2​ mol
n​i​ ​(Zn)​ = ​5,00.10​-2​ mol
1) Établir le tableau d’avancement de la réaction pour les valeurs 0, ​x et ​x​max de
l’avancement.

Équation de la réaction Zn​(s) + Cu​2+​(aq) → Zn​2+​(aq) + Cu​(s)


avancement ​x n(​Zn) n(​Cu​2+​) n(​Zn​2+​) n(​Cu)
(en mol) (en mol) (en mol) (en mol) (en mol)

État initial 0 5,00.10​-2 2,00.10​-2 0 0


(​restent​) (​restent​)
État en cours de (formées) (formées)
x 5,00.10​-2 ​– 2,00.10​-2 ​–
transformation x x
x x
5,00.10​-2 ​– 2,00.10​-2 ​–
État final x​max x​max x​max
x​max x​max
2)​ C’est le zinc : Zn​(s)​ qui est le réactif limitant.
3) ​Il reste une certaine quantité d’ions cuivre Cu​2+​ égale d’après le tableau d’avancement,
à 2,00.10​-2 ​– ​x​max​.
La quantité d’ions Cu​2+​ consommés correspond à ​x​max​ donc ​x​max​ = 1,60​.10​-2​ mol​.

4) ​Lorsque l’on a retiré la lame :


- il n’y a plus de zinc (Zn​(s)​) donc ​n​f​ (Zn) = 0 mol​ .
- nf​​ ​(Cu​2+)​ = ​n​ (Cu​2+​)​restants​ = ​4,00.10​-3​ mol
- n​f​ (Zn​2+​)​ = ​x​max​ = ​1,60.10​-2​ mol
- n​f​ ​(Cu)​ = ​x​max​ = ​1,60.10​-2​ mol
2− 2−
- il reste des ions sulfate : S O4 (aq)​ , ​n​ (​S O4 )​ = ​2,00.10​-2​ mol
- l’eau est toujours en excès.

5) ​la masse de zinc​ ​m​Zn​ = ​1,05 g.


la masse de cuivre formé ​m​Cu​ = ​1,02 g.

6)​ La concentration des ions présents à l’état final dans le bécher en mol.L​-1​ vaut :
C Cu2+ = C Cu2+ restants​ = ​2,00.10​-2​ mol.L​-1​.
C SO2− = ​C​ = ​1,00.10​-1​ ​mol.L​-1
4
C Zn2+ = ​8,00.10​-2​ mol.L​-1​.

7) Les ions cuivre étant un des réactifs, ils sont consommés par la réaction. Leur quantité
diminue. Etant donné qu’ils sont la seule espèce chimique à colorer la solution, celle-ci
diminue en coloration.

8) Si on avait laissé la réaction se poursuivre jusqu’à la fin, le réactif limitant serait les ions
cuivre : Cu​2+​(aq)​ car d’après le tableau d’avancement
- Si les ions cuivre : Cu​2+​(aq) sont le réactif limitant, alors 2,00.10​-2 ​– ​x​max1 = 0

→ ​xmax1​ = 2,00.10​-2​ mol.
- Si le zinc : Zn​(s)​ est le réactif limitant, alors 5,00.10​-2 ​– ​x​max2​ = 0 → ​x​max2​ = 5,00.10​-2 ​mol.

Le réactif limitant est le réactif dont l’avancement maximal ​x​max​ a la plus petite valeur :
x​max2​ > ​x​max1​ → ​x​max​ = 2,00.10​-2​ mol et le réactif limitant est les ions cuivre.

Exercice n°8 : énergie mécanique


1. Expression et calcul des énergies :
EcA = ½.mV​2​ = 8,1.10​-1​ J ;
EppA = mgh = 2,9 J ;
EmA = EcA +EppA ~ 3,7 J.
2. La valeur de Em reste constante au cours du mouvement de la pierre car les
frottements sont négligeables. Il y a donc conservation de l’énergie mécanique : Em =
cte.
3. H = 5,8 m.

4. L’énergie potentielle de la pierre au moment où elle pénètre dans l’eau est nulle car
l’eau est l’origine des énergies potentielles.
5. VC ≈ 11 m/s
Exercice n°9 : Snowboard
➢ énergie cinétique = la courbe n°3.
➢ Energie potentielle de pesanteur = la courbe n°1.
➢ l’énergie mécanique = courbe n°2

Exercice n°10 : Lumière …Lumière !


1. La relation entre la longueur d’onde λ dans le vide d’une radiation monochromatique et
sa fréquence f est : λ = c /f avec λ en mètre (m), f en hertz (Hz) et c, célérité de la
lumière dans le vide, en m.s​-1
-10​
2. λ​X =
​ 1,0.10​ m = 0,10 nm

1.

a) Les raies observées sont noires sur un fond coloré, il s’agit donc de raies
d’absorption.
b) Pour un élément chimique, les raies d’émission ont même longueur d’onde que
les raies d’absorption.

Dans les couches superficielles du Soleil, on trouve toutes les raies de l’hydrogène et toutes
les raies du sodium. L’hélium semble absent (présence éventuelle d’une raie à 587,6 nm).

2. On peut dire que l’énergie d’un atome est quantifiée.


3. On donne ci-contre le diagramme de niveaux d’énergie de l’atome d’hydrogène
:

a) E0 = – 13,6 eV.
b) Eion = 13,6 eV.
c) ΔE =- 3,02 eV (ΔE < 0 car l’atome cède de
l’énergie).
d) ΔE =-4,8.10​-19 ​J
e) Voir schéma.
f) Le photon est libéré par l’atome d’hydrogène.
g) On a λ = 4,1.10​-7​ m = 410 nm.
h) Cette radiation correspond à la raie B du spectre
de la figure .

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