Expose Turbomachine

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REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE

Université Kasdi Merbah Ouargla


Faculté des hydrocarbures et des énergies
renouvelables et des sciences de la terre et de
l'univers
Département de production
1ère master production professionnel

MODULE: TURBOMACHINES

EXPOSE SUR : TURBINE AXIAL (7èmechap)

Livre :Principles of turbomachinary second Edition

Réalisé par : GRP : 03


 LAFALA KAMEL
 KRIM ADEL
1
Mr:ouzzazi mohamed

2020/2021
GENERALITES SUR LES TURBOMACHINES

Définition
On appelle turbomachine toute machine dans laquelle un fluide échange de
l'énergie avec un ensemble mécanique de révolution tournant autour de son axe
de symétrie.
 Classification et Géométrie
Dans les turbomachines le transfert d'énergie s'effectue entre le fluide et une
roue mobile. La théorie du fonctionnement est la même quelque soit le sens du
transfert, mais on distingue :
•Les turbines, dans lesquelles l'énergie du fluide fait tourner la roue: turbines,
éoliennes,
etc.… Dans ces machines l'énergie du fluide est cédée à la roue. Les
turbopompes et les turbocompresseurs qui ont pour objet principal de mettre
sous pression, soit un liquide, soit un gaz. Les turbosoufflantes, les ventilateurs,
les hélices dans lesquels on communique au fluide à la fois de l'énergie de
pression et de l'énergie cinétique en proportion variable selon les appareils.
Suivant la manière dont le fluide traverse la roue mobile, on dit que, dans la
traversée d'une machine, on a un passage axial là où la vitesse du fluide n’a en
plus de sa composante circonférentielle, qu’une composante axiale; chaque ligne
de courant se trouve sur la surface d’un cylindre circulaire coaxial à la machine.
Une machine est dite axiale si le courant y est sensiblement axial, du moins dans
la région où la majeure partie du travail est effectuée. Citons les pompes et les
.ventilateurs hélicoïdes, des turbines à hélices

 Introduction
Une turbine axiale est une turbine dans laquelle l'écoulement du fluide de travail
est parallèle à l'arbre, par opposition aux turbines radiales , où les passages de
fluide autour d’un arbre, comme dans un moulin à eau . Une turbine axiale a une
construction similaire à celle d’un compresseur axial , mais il fonctionne à
l'inverse, la conversion de l’écoulement du fluide en énergie mécanique rotative.
Un ensemble d'aubes de guidage statiques ou des aubes de distributeur accélère 2
et ajoute tourbillon au liquide et la dirige vers la rangée suivante d'aubes de
turbine montées sur un rotor de turbine.
 Les diagrammes de vitesse de l'étage de turbine axiale :
L'étage de turbine axiale comprend une rangée d'aubes fixes ou buses (souvent
appelé une rangée de stator) et une rangée de lames ou seaux mobiles (une
rangée de rotor). Le fluide pénètre dans le stator avec vitesse absolue c1dans
angle A1 et accélère à un c2 dans de vitesse absolue dans angle a2
Tous les angles sont mesurés à partir du axial (x) direction. Le signe convention
est telle que les angles et des vitesses que tirées seront prises positif tout au long
de ce chapitre. D'après le diagramme de vitesse, l’entrée du rotor a une vitesse
relative w2, à un angle b2, on le trouve par soustraction vectorielle, la vitesse
de la lame de U de la vitesse absolue c2. Le flux relatif dans le rotor accélère à la
vitesse w3 à un angle b3  à la sortie du rotor; le flux absolu correspondant (C3,
A3) est obtenu par la somme vectorielle de la vitesse de la lame U à la vitesse
relative W3

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 Le travail fournit par la turbine est donné par l’équation d’Euler :

 Et on a :

 L’enthalpie resté constant au niveau de stator :

 Le travail fournit par un étage est donné par :

 FLOW AND LOADING COEFFICIENTS AND REACTION


RATIO ( coefficient de Chargement ET degree de reaction):
: On a

: et

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 Reaction ration (degree de reaction):
Il a été défini comme le rapport de l'enthalpie statique changer à travers le rotor
à celui à travers toute les étages :

Or :

*DÉBIT TRIDIMENSIONNEL ET ÉQUILIBRE RADIAL :


Dans les dernières étapes des turbines à gaz, et certainement pour les turbines à
vapeur qui s'échappent en dessous pression atmosphérique, les pales sont
longues afin d'accueillir les grandes volumétries débit. Comme la vitesse de la
lame augmente avec le rayon, une approche simple consiste à construire

triangles de vitesse à chaque élément de la lame. En conséquence, la charge de


la lame et la réaction peut varier considérablement le long de la portée de la

Lame. Mais cette approche ne prendre correctement en compte la variation de


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pression. Le but de cette section est de prendre en compte de l'influence de


l'augmentation de pression du moyeu vers le carter dans un écoulement avec une
vitesse de tourbillon et résultant également de la variation de la réaction et de la
charge de l'aube le long de l'envergure de longues lames.

Considérons un écoulement dans lequel des particules de fluide se déplacent sur


des surfaces cylindriques. Appliquer le équilibre de l'élan dans la direction
radiale par rapport au volume de contrôle

les termes d'ordre réduisent cette équation à :


Le premier terme représente la force de pression nette sur une particule fluide de
masse unitaire. La deuxième terme est la force centrifuge. Le second terme étant
positif, la pression doit augmenter dans le sens radial pour que cette équation
soit satisfaite. Par conséquent, si le flux a un tourbillon composant, sa pression
doit augmenter du moyeu au carter. Si la vitesse radiale est petite, alors, la
: définition de l'enthalpie de stagnation peut s'écri

La différenciation par rapport à r donne :

L'équation de Gibbs Tds = dh - dp / ρ peut également s'écrire :

Et en substituant dans dh / dr de l'Eq. (7.25) et dp / dr de l'Eq. (7.23) donne :

qui peut être réécrit comme :


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Pour une variation radiale donnée de Vu, la variation de la vitesse axiale avec r
peut être déterminée en résolvant cette équation.

 Flux vortex libre;


Soit la variation radiale de la vitesse tangentielle donnée par Vu = K / r. Dans
cette situation, le deuxième terme de l'éq. (7.27) disparaît et Vx est indépendant
de la coordonnée radiale. Le travail effectué sur les pales par le fluide passant à
travers un tube de courant à l'emplacement radial r de le rotor est donné par :

Comme cela est indépendant de r, le travail effectué est le même à chaque


emplacement radial. Le L'analyse en ligne moyenne qui a été utilisée dans les
chapitres précédents est donc justifiée si la vitesse tangentielle a la distribution
: de vortex libre Vu = K / r. Le degré de réaction s'est avéré être

Par conséquent, le degré de réaction augmente du moyeu au boîtier. Le débit


: massique à travers l'anneau est donné par

: Le rapport de densité peut s'écrire


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Cohen et al. [15] utiliser le rayon moyen comme valeur de référence et
l'exprimer à l'entrée du rotor la distribution de vitesse de vortex libre sous la
: forme

Une conception avec une distribution de vitesse tangentielle à vortex libre a la


caractéristique attrayante chaque élément de lame délivre la même quantité de
travail et que la vitesse axiale reste constant. D'autre part, la réaction varie assez
fortement le long du pan de la lame.

D'autres possibilités de conception existent. Par exemple, si l'angle de la buse est


maintenu constant le long de l’espace, le coût de fabrication des buses peut être
réduit. Lorsque le débit se déplace les buses, son enthalpie de stagnation ne
changera pas et, si les gradients d'entropie être négligée, l'équation f ou équilibre
radial

Réduit à :
Cela peut également s'écrire :

Depuis Vu = V sin α et Vx2 + Vu2 = V2, cela devient :

Si l'angle α est constant, l'intégration donne :

*EFFICACITÉ ET PERTES DE TURBINE:


Trois méthodes sont couramment utilisées pour le calcul des pertes dans les
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turbines axiales. La corrélation de Soderberg a été introduite au chapitre 6. Les
deux autres méthodes sont basées sur les travaux originaux d'Ainley et
Mathieson [3] et les études de Craig et Cox [16]. le premier est discuté ci-
dessous; ce dernier est présenté par Wilson et Korakianitis [97]
dans leur texte sur les turbines à gaz. Dans cette section, des résultats
analytiques sont développés qui relient efficacité de l'étage aux paramètres
d'écoulement. Ils permettent le calcul des contours d'efficacité par des méthodes
introduites par Hawthorne [40] et Smith [84] et développées par Lewis[57].
Horlock [42] donne un examen complet des premiers travaux.

 Soderberg loss coefficients:

La corrélation de perte de Soderberg utilise le coefficient de perte d'enthalpie


statique

Avec V remplacé par V2 pour le stator et par W3 pour le rotor, et l'enthalpie h


est similaire identifié. La valeur nominale du coefficient de perte est calculée à
partir de :

 Efficacité de l’étage :
La perte de stagnation la pression est discutée dans la sous-section suivante. Les
pertes peuvent être liées à l'efficacité en premier écrit (comme cela a été fait
pour les turbines à vapeur) l'efficacité :

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