Cours Manoeuvres-Port Amarrage
Cours Manoeuvres-Port Amarrage
Cours Manoeuvres-Port Amarrage
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MANŒUVRES DE PORT
ET AMARRAGES
Support pour notre cours pratique de manœuvres de port sur deux jours, présentant les quelques
principes simples à connaître pour savoir manœuvrer son voilier au moteur.
La voile ne s’apprend pas dans les livres, les manœuvres de port non plus.
15 ……… Le vent
Lancer le bateau « cul au vent » | Position d’attente | Giration dans le vent
19 ……… AMARRAGE
22 ……… ANNEXES
Maîtriser son bateau au moteur implique d’anticiper ses réactions (donc les comprendre) et de jongler
avec les différents paramètres locaux (vent, courant et caractéristiques du plan d’eau).
• Une manœuvre ratée a rarement de graves conséquences, même si c’est généralement un moment de
stress, d’énervement où il faut supporter la pression du « public » sur le quai.
• L’appareillage (départ) est souvent plus facile que l’accostage car la manœuvre peut être réfléchie et le
bateau préparé tranquillement quand il est à quai. A l’arrivée, la fatigue de la navigation peut réduire les
réflexes du skipper et de son équipage.
• Le cas des catamarans n’est pas repris ici. La manœuvre est simple sur ce type de bateau : les deux moteurs et
le couple important entre eux permet de tourner sur place (un moteur en avant, l’autre en arrière, la barre
reste toujours au milieu).
NB : Tous les schémas sont faits avec un pas de l’hélice à droite (cas de l’Echappée Belle).
PREPARATION : 80 % DE LA MANŒUVRE
Voir la chronologie d’une arrivée au port.
Arriver de loin (voire de très loin) permet de tester le comportement du bateau dans les conditions locales et laisse
le temps de s’adapter : réaction dans les rafales, dérive avec le courant, etc.
A l’arrivée, sécuriser le bateau (possibilité de schinter les chaumards) puis prendre le temps de l’amarrer
correctement en fignolant le passage des amarres, etc.
PROTEGER LE BATEAU
COMBIEN DE « CRASH » ONT ETE EVITES GRACE A UN PARE-BATTAGE BIEN PLACE ?
3. PREPARATION DE LA MANŒUVRE
- Amarres à poste = - assez longues (gardes et pointe avant notamment)
- bien passées (chaumard, balcon) et lovées.
- Pare-battages à poste = - bien placés (hauteur, sens longitudinal), nœuds « gérables » s’il faut les déplacer.
5. APRES LA MANŒUVRE
- Débriefing des équipiers : bon déroulement, surprise, réaction, explication à untel...
- Boire un coup (c’est mérité).
On a tous en tête des scènes d’anthologie ou le skipper furieux hurle sur ses équipiers (ou sa femme) qui ne
comprennent rien alors que le bateau arrive en vrac.
REGLE D’OR
Le skipper est seul maître à bord, seul responsable de sa manœuvre. Il est entièrement responsable du message et
des consignes qu’il fait passer.
Il doit s’assurer que tout le monde a bien compris ce qui allait se passer.
CARACTERISTIQUES DU DEBUTANT
- Pas de conscience de la difficulté ni des risques.
- Concentration généralement limitée en rentrant au port (excitation, fatigue, soif...).
- Difficultés à se déplacer sur le pont.
- Aucune connaissance des nœuds, de l’utilisation des cordages, des chaumards, etc.
- Ne comprend pas le langage marin.
SACHANT CELA
- Chaque équipier doit être capable de faire un tour mort pour aider à la manœuvre.
- Veiller à ce que tout le monde porte des chaussures fermées (on ne manœuvre pas en tongs).
- Faire participer tout l’équipage à la préparation des manœuvres (mise en condition).
- Rappeler que la manœuvre n’est terminée qu’une fois le bateau amarré.
- Utiliser les équipiers les plus efficaces aux postes clés.
- Demander aux équipiers de confirmer quand leur tâche est réalisée (pendille larguée, etc.).
- Expliquer le déroulement de la manœuvre dans un langage adapté.
- Expliquer son rôle à chacun et vérifier que le message a été compris.
Les pages suivantes présentent les principes pour comprendre le comportement du bateau.
C’est uniquement en pratiquant qu’on arrive à intégrer les réactions du bateau. Un catalogue des
différents cas de figure nous paraît inutile, seuls quelques cas particuliers sont repris ici.
L’art de la manœuvre au moteur consiste à jongler au mieux entre ces différents paramètres pour qu’ils soient
favorables et aident à la manœuvre. Tous les cas de figures sont possibles.
LE BATEAU
- Fardage (prise au vent)
- Carène et quille
- Moteur / hélice : puissance / réaction, hélice bec de canard.
- Safran ou bi-safran
- Propulseur d’étrave : une aide à la manœuvre, en aucun cas la solution miracle par vent fort. C’est un élément
supplémentaire à gérer en cours de manœuvre.
LE VENT
Garder un œil sur la girouette pour anticiper les réactions du bateau (dérive sous le vent). Le vent peut changer en force
et en direction sur le plan d’eau (rotation due aux immeubles, zones déventées, etc.) : la lecture les girouettes des
autres bateaux et les drapeaux est très utile. Si possible laisser passer les rafales pour manœuvrer dans la molle
(départs sur garde par exemple).
LE COURANT
Repérer sa force et sa direction. Les bouées sont très
utiles pour connaître le courant local : le « sillage »
donne la direction et avec un peu d’habitude on peut en
estimer l’intensité.
LE PLAN D’EAU
L’espace est de plus en plus restreint dans les ports. Le travail sur les cartes, guides et photos aériennes permet de se
faire une bonne idée des lieux.
QUILLE = PIVOT
Les forts tirants d’eau ont un rayon de rotation plus faible que les petits tirants d’eau ou
les dériveurs intégraux.
GIRATION BALAYAGE
GIRATION FREINAGE
Toute évolution sur un bord entraîne une action de freinage :
- le freinage augmente avec l’angle de barre.
- un angle de barre trop important (safran à 90°) fait disparaître toute action évolutive. Butée sur barre à roue et barre
franche, sauf quand safran sur tableau arrière.
PRINCIPES
Il faut que des filets d’eau s’écoulent le long du safran pour qu’il ait un effet sur le
déplacement du bateau. l’action du gouvernail est nulle à l’arrêt (comme en vélo)
et augmente avec la vitesse.
Les filets d’eau étant inversés en marche arrière, le gouvernail est inversé.
Deux possibilités pour que des filets d’eau s’écoulent sur le safran :
- Soit le navire se déplace (en avant ou en arrière).
- Soit l’hélice projette des filets d’eau sur le safran (coup de fouet, en marche
avant).
> En marche avant : à très faible vitesse, l’hélice projette des filets d’eau sur le
safran, qui font pivoter le bateau sur place avant qu’il ne prenne de l’erre (de la
vitesse).
LE RETOUR DE BARRE
Dès que la barre n’est plus au milieu, il faut contrer la poussée (barre
dure) et ne pas lâcher la barre qui part violemment en butée.
Barre franche
L’angle de barre permet de connaître
directement l’angle du safran. La barre peut
être inversée rapidement.
Barre à roue
Système de drosses (câbles) et de poulies
agissant sur le safran par le biais d’un « secteur
de barre » sur la mèche. Les efforts sont
démultipliés, offrant moins de sensations mais
aussi une barre moins dure. Un repère sur la
roue est indispensable pour savoir quand la
barre est au milieu (scotch ou bout sur la barre).
L’hélice créé une force permettant de propulser le bateau mais crée aussi
une force latérale, négligeable en marche avant. Cet effet peut-être très
fort en marche arrière : c’est le criminel « pas de l’hélice » qui fait partir
le bateau d’un côté ou de l’autre.
L’Echappée Belle : pas à droite, l’arrière vient sur la gauche en marche arrière.
FAVORABLE
Le pas de l’hélice va rapprocher l’arrière
du bateau quand la marche arrière sera
embrayée pour ralentir et arrêter le
bateau (bord à quai) ou aider le bateau à
rentrer dans sa place (accostage « cul au
quai »)
DEFAVORABLE
Le pas de l’hélice va éloigner l’arrière
du bateau du quai (accostage bord à
quai) ou contrarier la trajectoire du
bateau pour un accostage « cul au
quai » : il faudra alors toujours
conserver de la vitesse.
Un coup de fouet est une accélération brève et forte du moteur, ayant pour but de faire pivoter le bateau sans lui
donner d’erre (de la vitesse).
L’hélice projette de l’eau vers l’avant du bateau et non sur le safran. Du fait du pas de
l’hélice, le jet n’est pas dans l’axe du bateau mais sur le côté : le bateau va tourner
autour de sa quille.
REMARQUES IMPORTANTES
- Il faut repasser par le point mort entre les coups de fouet avant et arrière pour préserver l’inverseur.
- Toujours manœuvrer avec le moteur chaud.
- Le safran n’a aucune action à l’arrêt (comme en vélo), il sert uniquement à dévier les filets d’eau pour les coups de
fouet avant.
Tourner sur place ne peut se faire que dans un seul sens, déterminé par le pas de l’hélice.
CHRONOLOGIE
Cet enchaînement est inévitable et il faut absolument l’avoir en tête lorsque l’on manœuvre en arrière.
ANTICIPER LE PAS
Sachant que le bateau pivote le temps de gagner de la vitesse et que le safran « accroche » et redevienne opérant, il
suffit de se mettre en travers pour l’anticiper.
Les manœuvres d’accostage au cours desquelles le vent ralenti le bateau son toujours plus facile.
POSITION D’ATTENTE
Se mettre « cul au vent » et doser la puissance des gaz selon la force du vent : le bateau reste sur place.
1.2.3.
Lorsque l’on vire dans le sens du vent (face au vent), le rayon de giration est
réduit. On peut diminuer la vitesse.
4.5.6.7.
Lorsque l’on vire contre le vent, celui-ci à tendance à faire abattre le bateau
et le rayon de giration est plus important. Augmenter la vitesse permet de
réduire cette dérive dûe au vent.
CHOISIR, PREPARER puis CONTROLLER L’APPUI plutôt que de chercher à l’éviter à tout prix.
MANŒUVRE
> Placer deux pare-battages au point d’appui.
> Embrayer le moteur et placer la barre pour venir prendre appui sur le quai et faire pivoter le bateau.
> La puissance nécessaire dépend de la force du vent : le bateau doit nettement s’écarter pour pouvoir sortir sans être
rabattu par le vent.
> Laisser passer les rafales et profiter des molles pour partir.
REMARQUES
> Le pas de l’hélice détermine le sens de la manœuvre : il doit aider le bateau à pivoter (les deux cas illustrés sont
favorables).
LE CAUCHEMAR MEDITERRANEEN
C’est la pire des situations : le bateau est pris dans les pendilles (quille, safran) et le vent vous plaque contre les étraves
(acérées) des bateaux qui sont à quai. Généralement le public ne tarde pas à arriver. L’improvisation doit être
proscrite : elle se résume généralement en un grand coup de gaz pour tenter le « tout pour le tout »). Mieux vaut calmer
le jeu et protéger le bateau puis d’étudier la situation avec recul. Le risque est de prendre une pendille dans l’hélice et
soit d’endommager l’hélice, soit de couper la pendille avec l’hélice. Le safran aussi peut souffrir s’il retient le bateau.
- Le bateau peut être déhalé avec des aussières passées sur le quai ou sur des bateaux au vent, en utilisant les winchs. Il
faut une annexe ou l’aide d’un autre bateau pour passer les aussières et disposer de longueurs suffisantes. La manœuvre
se fait sans le moteur, ce qui limite les risques d’engager une pendille dans l’hélice.
- Dernière méthode (également expérimentée) : remplacer la pendille du bateau qui vous bloque en passant des gardes
depuis les étraves des bateaux voisins. Ce n’est pas du tout apprécié par les propriétaires mais parfaitement « marin »
et sans aucun risque pour le bateau dont vous larguez la pendille. On peut alors repartir en se synchronisant avec les
équipiers qui débordent. Profiter du pas pour partir en arrière si l’on est du côté favorable.
Il est important de comprendre les principes de l’amarrage pour être capable de s’adapter à toutes les configurations
(bittes/taquets mal placés, peu de place, etc.). Ce n’est pas compliqué, à condition d’être au clair sur qui sert à quoi.
Les cordages donnent directement le sens et la direction de la force qu’ils exercent.
Chaumard
Pièces de guidage pour les amarres, dont toutes les parties sont arrondies pour
éviter d’user ou de couper les aussières. Le circuit des amarres peut-être
compliqué (sous les filières, sous/sur les pare-battages).
Aussière : gros cordage toronné destiné à l’amarrage, au remorquage ou au déhalage des navires.
Chaque amarre à une fonction :
Les gardes : aussières empêchant le bateau d’avancer (garde montante) ou de culer (garde descendante).
Les Pointes : aussières empêchant le bateau de s’éloigner du quai (pointe avant et pointe arrière).
La marée
Pendille
Cordage ou chaîne demeurant à poste
le long du quai et qui est relié à une
chaîne mère, servant à tenir le bateau
à l’avant dans le cas d’un amarrage cul
au quai. C’est le cas le plus fréquent
en Méditerranée. Si la pendille est une
chaîne de gros diamètre, le plus
pratique est de passer une amarre à
l’intérieur d’un maillon pour se
reprendre sur le taquet.
Coffre
Bouée flottante reliée solidement à un
ANNEXES
corps mort.
CATWAY
AVANT LE DEMARRAGE
□ État général Propreté, corrosion, durites, connexions...
□ Niveaux d’huile du moteur (jauge) Huile : ni trop noire ni trop épaisse. Filtre à huile
APRES LE DEMARRAGE
□ Échappement / refroidissement Le moteur crache de l’eau (avec de la Turbine pompe
pression) eau de mer
Couleur des gaz d'échappement
Vocabulaire :
- Courant : Extrémité libre du cordage effectuant le nouage et conduit par la main.
- Dormant : extrémité passive d’un cordage qui ne travaille pas lorsqu’on réalise un noeud.
noeuds d’arrêt :
empêcher le bout d'un cordage de s'effilocher ;
réaliser un amarrage d'urgence ;
faire une marque sur la longueur ;
alourdir le bout du cordage.
noeud d’assemblage :
raccorder temporairement deux bouts ;
pour unir des cordages de diamètres différents ;
pour tout ajut quelle que soit la nature des cordages.
noeud d’amarrage :
pour amarrer ou frapper un cordage autour d'un anneau ;
pour saisir ou soulever un objet ;
pour supporter et hisser un homme.
ENMM Le Havre MATELOTAGE - SUPPORT V1.0 – 03/04
A. Charbonnel SYNTHÈSE SUR LES PRINCIPAUX CORDAGES ET NOEUDS 2/12
Cordage Textile
La torsion des fibres (le commettage) de certaines Sisal, coton, chanvre,
Fibres naturelles plantes permet d’obtenir des fils et donc des manille, coco
cordages.
Résistant aux UV
Elasticité
Légers souples Polyamide, polyester,
Fibres synthétiques Plus résistants que les fibres naturelles polyéthylène
Résistance aux frottements
Mauvaise résistance aux UV
Cordage métallique
Plus légers
Fils d’acier Moins souples
Plus légers
Fils de fer Moins souples
Cordage Mixte
Plus résistant qu’un bout textile
Fibres textiles + fils d’aciers Plus souple qu’un cordage métallique
Les cordes sont divisées en deux grandes familles : les cordages toronnés et les cordages tressés.
Cordage toronné
Un cordage toronné est composé de torons (trois généralement) commis en principe de gauche à
droite. Le toron est composé de fils de caret et le caret de brins ou fibres.
toron
Cordage
et
aussières
Fils
Trois ou quatre cordages peuvent être comis ensemble pour former une aussière et trois ou quatre
aussières toronnées ensemble forment un grelin.
La grosseur d’un cordage est comprise entre 50 et 120mm, celle d’une aussière entre 80 et 300mm,
celle d’un grelin entre 160 et 340mm et celle d’un câble est supérieure à 340mm.
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Cordage tressé :
Les câbles tressés sont constitués d’une âme centrale de fils recouverte d’une gaine. Ils sont faciles à
manipuler sauf s’ils sont mouillés ou glacés ; ils sont moins solides que les cordages toronnés.
Entretien
Entretien
Nettoyer régulièrement les cordages pour enlever tout produit acide, solvant ou corrosif, de même
que les matières abrasives (sables, boues) qui restent prises entre les fibres et qui abîment le
cordage.
Entreposage
Entreposer les cordages secs de préférence roulés et suspendus pour permettre une bonne
ventilation. Au sol, ils absorberaient l’humidité.
Éviter de laisser au soleil car il affaiblit et assèche les fibres.
Ne jamais ranger un cordage avec des noeuds car ils abîment les fibres et le cordage se trouve
affaibli à l’endroit du noeud.
Éviter de plier les cordes lors du rangement car les plis affaiblissent les cordages au niveau du pli.
Mieux vaut les rouler sans les serrer.
Des traces d’usure, d’accident, un allongement ou une déformation, une odeur de moisi, un
changement de couleur sont autant de signes prouvant le mauvais état d’un cordage qu’il faut éviter
d’utiliser.
Poly Poly
Poly Chan Coto Aci Ino
amid éthyl Sisal Fer
ester vre n er x
e ène
Résistance de la corde % % % % %
noeud d’arrêt
Les noeuds d’arrêt servent à empêcher le bout d’un cordage de s’effilocher ou de glisser par un trou ou encore d’assurer une prise pour les mains ou les pieds.
noeud d’ajut
Un noeud d’ajut permet de rebouter deux cordages ou de réunir deux bouts de manière temporaire. Les bouts doivent avoir en général le même diamètre pour
que le noeud soit solide ; quelques noeuds d’ajut permettent cependant d’unir deux bouts de diamètres différents.
Pensez toujours à laisser un bout suffisamment long pour que le noeud ne se défasse pas.
noeud d’écoute
noeud d’écoute simple : Faire une ganse avec le bout le plus gros (s’il Pour rabouter des bouts de diamètres différents
y a une différence de diamètre). (privilégier dans le noeud d’écoute double)
Engager l’autre bout dans la ganse de bas en
haut et vers l’extérieur. (1) Le + simple et le + couramment employé
Le brin revient sous la même ganse puis sous Facile à défaire
lui-même pour provoquer le blocage : vous
avez un noeud d’écoute simple (2)
noeud d’amarrage
Les noeuds d’amarrage servent à frapper un cordage sur une pièce de bois ou métallique, ou sur un autre cordage.
Solide
Se défait facilement
Solide
Se défait facilement
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A.Charbonnel SYNTHÈSE SUR LES PRINCIPAUX NOEUDS ET CORDAGES 9/12
Solide
Impossible à défaire
noeud de drisse
Tourner une drisse sur un banc
Solide
Très facilement largable
Divers
Tourner sur Taquet
Pour fixer un cordage à un taquet, on effectue d'abord un tour mort, puis un "8", et enfin une demi-clef renversée.
Lover un cordage
ENMM Le Havre MATELOTAGE - SUPPORT V1.1 – 10/04
A.Charbonnel SYNTHÈSE SUR LES PRINCIPAUX NOEUDS ET CORDAGES 12/12
Monographie / sources
Geoffrey Budworth - Encyclopédie illustrée des noeuds et des cordages – édition EDDL – 2000 – ISBN 2 23700 458 7
Livre complet et bien illustré
Voiles & voiliers - J’apprends les noeuds et le matelot age – Hors Série Voiles et voiliers (mai 1999)
Alain Tardif – Mémento Vagnon des noeuds marins – les éditions du plaisancier – juillet 1997
Matelot age et manoeuvre pratique de l’embarcation – polycopié ENMM Marseille
http://131.230.57.1/knots.htm : page Marlinspike Knowing Your Knots « très complet, mais en anglais
http://www.sisl.ch/noeud.htm :Page matelotage de la Société Internationale de Sauvetage du Lac Leman
http://www.ese-metz.fr/metz/eleves/themes/noeuds/fra1_somm.htm page noeud du site élève de supelec
http://www.cvmulhouse.asso.fr/Pages_ecole/formations/formation_p36.htm
http://www.defense.gouv.fr/marine/embarque/noeud/f_noeud.htm : quelques noeuds présentés sous forme d’animations
http://noeud427.free.fr/noeudsmarin.htm : liste très complète et des dessins très clairs
http://www.cs.stir.ac.uk/~kjt/sailing/fr-ang-af.html Dictionnaire maritime anglais/français
http://www.akademia.ch/noeuds/img/
http://www.callisto.si.usherb.ca/~amoreau/pdf/Noeuds.pdf : Tour d’horizon des noeuds (maritime et autre)