Chapitre1 - Télévison Numérique
Chapitre1 - Télévison Numérique
Chapitre1 - Télévison Numérique
disque
q de Nipkow
p
le disque se situe entre l’image et une
cellule pphotoélectrique
q ((un analyseur
y
mécanique).
Percé de trous disposés en spirale
Tourne grâce à un moteur électrique
Chaque trou correspondant à une ligne,
il y a donc autant de trous que de lignes
(sous forme d'arcs de cercle).
Principe de fonctionnement
Chaque trou
Ch t correspondant
d t à une ligne,
li il y
a donc autant de trous que de lignes (sous
forme d'arcs de cercle).
Ils servent à capter la luminosité de chaque
point de l’image en faisant tourner ce disque.
Le premier trou en haut à gauche de
l’image parcours sa largeur, selon une ligne
ou courbe.
Le décalageg entre le p premier et le dernier
trou correspond à la hauteur de l’image.
La télévision de Baird
P i i de
Principe d l’iconoscope
l’i
Au ppassage
g suivant du faisceau, chaque
q élément est ramené à la
tension d'équilibre.
En 1937, un système fondé sur l’emitron d’EMI a permis de mettre sur pied
en Grande-Bretagne
G d B l premier
le i servicei régulier
é li de d télévision
élé i i à haute
h
définition (pour l’époque) de l’histoire humaine.
Utilise deux voies avec leur porteuse, l’une pour l’image, l’autre pour
le son,
son occupant une certaine bande de fréquence,
fréquence ou canal.
canal
S hé
Schéma synoptique
ti simplifié
i lifié d’une
d’ émission
é i i de d télévision
télé i i
Restitution
R tit ti sur l’écran
l’é
du téléviseur
Ligne de transmission
La vidéo
vidéo-images
images animés
La transmission sur un canal, ou l'enregistrement sur un support magnétique
ou optique d'une image animée, nécessitent de la mettre sous forme d'un signal
électrique dit signal vidéo.
Capteur d’images: camera
Une image animée peut être considérée comme une fonction de 3 variables :
"Information d'image" = I(x,y,t)
La durée d’une image est fonction de la persistance rétinienne de l’oeil
humain (1/15s) et de la fréquence du secteur (50Hz ou 60Hz)
à partir de 16 images/sec ll'œil
œil ait ll'impression d'un
impression d un mouvement
continu des images (principe de la cinéma)
L’affichage
ffi h d’une
d image
i dure
d 1/25s
/ en Europe et 1/30s
/ aux USA, valeur
l
moitié de la fréquence du secteur, supérieure à la persistance rétinienne.
Balayage de l'écran
l écran pour une image
Balayage entrelacé
Une image est décomposée en deux trames consécutives, une trame paire
et une trame impaire.
Synchro ligne
Synchro-ligne
Permet de déclencher le balayage d’une ligne de l’écran d’un tube
cathodique,
q ,
Son
Le signal sonore est multiplexé avec le signal vidéo : il est modulé en
amplitude
p ((système
y français
ç p pour la diffusion hertzienne)) ou en fréquence
q ((la
plupart des autres systèmes) sur une sous-porteuse d'environ 7,5 MHz dans
le standard européen.
Il n'interfère pas alors avec la bande de base du signal vidéo qui occupe au
maximum 6 MHz. A l'émission, la puissance transmise correspondant au son
est environ 5 fois plus faible que la puissance correspondant à l'image.
Modulation
Pour transmettre le signal vidéo sur de longues distances, il faut le moduler.
Les caractéristiques de la modulation employée varient selon la nature de la
transmission (hertzienne, par satellite, par fibre optique)
Diffusion hertzienne
Pour la transmission de la source des programmes vers les émetteurs
régionaux, on utilise une modulation FM à une fréquence intermédiaire de
70 MHz, translatée en hautes fréquences dans les bandes 4, 8 ou 13 GHz.
rouge +bleu+vert=blanc
Le signal (G–Y) manquant (qui n’est pas transmis) peut être récupéré en se basant sur l’expression
ci-dessous:
Y= 0.3 R + 0.59 G + 0.11 B
Et (0.3 + 0.59 + 0.11) Y = 0.3R + 0.59G + 0.11B
L somme estt égale
La é l à 1
En reformulant l’expression ci-dessus nous obtenons :
0 59(G – Y)
0.59(G Y)= –00.3(R
3(R – Y)
Y)– 0.11(B
0 11(B – Y)
(G – Y)= (–0.3)/0.59 (R – Y)– 0.11/0.59 (B – Y)
= – 0.51(R
( – Y)–
) 0.186 ((B – Y))
Substituant les values de (R – Y) et (B – Y):
(G – Y) = – (0.51 × 0.306) – 0.186(0.206) = – 0.15606 – 0.038216 = – 0.194
G = (G – Y) + Y = – 0.194 + 0.394 = 0.2
Et cela vérifie la valeur donnée ci-dessus.
(N ti l Television
NTSC (National T l i i System
S t Committee)
C itt )
Est un standard de codage analogique de la vidéo en couleurs lancée aux
Etats-Unis en 1953. Il p g
procure un format vidéo de 525 lignes g p
et 30 images par
seconde en noir et blanc.
Les signaux de chrominance DB et DR modulent en amplitude deux
3 58 MHz déphasées de 90 (MAQ).
porteuses de même fréquence à 3,58 (MAQ)
Comme il est inutile d’occuper spectre de fréquence en présence d’une
partie de l’image sans couleur, il suffit de supprimer la porteuse de la
chrominance lors de la modulation.
modulation
θ=arctan(DR/DB) CHR
Rouge
DB
Récapitulatif
Un cristal liquide
liq ide est unn état de la matière entre le liquide
liq ide et le solide.
solide
Les cristaux liquides sont des matières organiques amorphes qui ont
la propriété de modifier la propagation de la lumière, plus exactement
sa polarisation, si on leur applique un champ électrique.
Du point de vue optique, l’écran à cristaux liquides est un dispositif
passif : il n’émet pas de lumière, seule sa transparence varie, et il
doit donc disposer d'un éclairage.
L développement
Le dé l d'é
d'écrans l LCD (Liquid
plats (Li id Crystal
C l Display)
Di l ) basés
b é
sur leur utilisation s'est effectué dans les années 70 et 80.
Les écrans
L é LCD consommentt peu de d puissance
i par rapportt aux
écrans CRT (environ 60% de moins), et ne dégagent pas de chaleur.
Un écran LCD est constitué d'une lampe, située à l'arrière (parfois ce sont
des
d LED quii sontt plus
l économiques)
é i )
Une cellule de cristaux liquides coincés entre deux polariseurs orientés pour
que la lumière ne puisse pas traversée. Un polariseur est un composant optique
qui ne laisse passer que la lumière ayant une certaine polarisation. Les cristaux
liquides ont la propriété de faire tourner la polarisation de la lumière en
fonction de leur orientation.
En appliquant une tension électrique leur alignement change. La polarisation
de la lumière tourne un peu et donc une partie de la lumière peut traverser la
cellule.
ce u e.
Chaque pixel de l’image est constitué de trois cellules de ce type devant
lesquelles est placé un filtre (qui correspondent aux luminophores) rouge, vert,
ou bleu.
bleu
Pour avoir un écran LCD, il suffit donc de juxtaposer des milliers de cellules
LCD et de les piloter grâce aux signaux électriques.
Un écran LCD est constitué d'une lampe, située à l'arrière (parfois ce sont
des
d LED quii sontt plus
l économiques)
é i )
Une cellule de cristaux liquides coincés entre deux polariseurs orientés pour
que la lumière ne puisse pas traversée. Un polariseur est un composant optique
qui ne laisse passer que la lumière ayant une certaine polarisation. Les cristaux
liquides ont la propriété de faire tourner la polarisation de la lumière en
fonction de leur orientation.
En appliquant une tension électrique leur alignement change. La polarisation
de la lumière tourne un peu et donc une partie de la lumière peut traverser la
cellule.
ce u e.
Chaque pixel de l’image est constitué de trois cellules de ce type devant
lesquelles est placé un filtre (qui correspondent aux luminophores) rouge, vert,
ou bleu.
bleu
Pour avoir un écran LCD, il suffit donc de juxtaposer des milliers de cellules
LCD et de les piloter grâce aux signaux électriques.
E
Ecrans à matrice
t i active,
ti TFT (Thin
(Thi Film
Fil Transistor)
T it )
Un écran LCD dispose d une plaque dite TFT (TFT : Thin Film Transistor)
d’une
formée d’une matrice et de commutateurs. Les transistors en couche mince
sont déposés sur une plaque en verre.
Chaque transistor commande ll’inclinaison d’un
inclinaison du cristal liquide d sous pixel
un sous-pixel.
Un transistor est un élément à trois terminaisons appelées la grille, le source
et le drain. Ce composant est un interrupteur commandé par une tension sur sa
grille.
ill
L
Les é
écrans l t LCD classiques
plats l i f ti
fonctionnentt avec un système tè d
de
rétroéclairage composé de néons (tubes). Cette technologie a pour inconvénient
une répartition parfois peu homogène de l'éclairage à l'arrière de la dalle LCD.
La technologie LED (Light-Emiting Diode, écran à diode électroluminescente),
proposant une batterie de pixels éclairée par une diode, assure une image plus
précise et homogène.
L’encombrement : l’absence de système de rétro-éclairage permet d’alléger et
d’affiner l’écran LED.
La consommation d’électricité : elle est inférieure à celles des écrans LCD et
plasma.