ERP Rapidité de La Décision
ERP Rapidité de La Décision
ERP Rapidité de La Décision
Donc dans ce qui suit, on essaye de traduire l’effet d’un tel modèle sur la
performance d’une organisation : Il va pas s’agir en fait d’une performance financier
ou stratégiques à l’égard de ses tiers mais le thème sera traité sous un angle « la
performance en matière de décision sans oublier l’effet d’une mise en place d’un ERP,
et son usage pour la rapidité de la décision.
En remontant dans l’histoire, c’est à partir des années 1900 que la décision à
commence à être identifiée au fur et à mesure que la relation environnement-
organisation prend des dimensions de plus en plus compliquées. Selon cette
perspective la décision est prise par une personne qui est sensé connaitre son
environnement en tenant compte de son comportement et de sa rationalité (Simon
1947)
Le modèle de Simon est remis en cause suite aux travaux marquants d’Henri
Mintzberg en 1973 « le manager an quotidien » et qui onbousculé les principes du
management et le rôle du manager qui s’expliquait par ou se limiterait aux taches de la
planification, d’organisation, de coordination et de contrôle. Ce qui fait la prise de
décision n’est par planifié ou organisé sous forme de séquence mais plutôt
fragmentéeen reposant sur l’informel et des relations interpersonnelles.
L’un des premiers facteurs qui a une influence importante sur la décision est
l’explosion des données qui sont en relation avec les informations et la capacité de
stockage et de diffusion de ses informations. L’augmentation du volume des données,
leurs vitesses de traitement et analyse posent de nouveaux défis aux organisations et
affectent leurs processus de décision.
la question qui se pose : est ce que l’ERP fournit toutes les informations
nécessaires pour l’aide à la décision? Selon Davenport(1998) et Kumar&Hillegersberg
(2000), l’ERP est peut-être incomplet (ouil fournit des informations inutiles) pour les
utilisateurs, mêmes’il est largement rapporté dans la littérature que l’ERP promet une
intégration transparente de toutes les informations circulant dans une entreprise.
Selon les travaux de Ansoff (1965) ,qui a distingué trois niveaux de décisions,
on propose ainsi trois niveaux d’étude : niveau opérationnel ;niveau tactique ;niveau
stratégique .Notre objet dans le cadre de cette recherche on rajoute ; l’implantation
d’un ERP et la culture organisationnelle pour mener à bien une décision
On rajoute qu’a ce niveau, Rowe(1999) considère que « avec les ERP les
systèmes d’informations de gestion deviendrait cohérent et la coopération se réaliserait
implicitement et quasi naturellement». Grâce à ces solutions, l’activité de l’entreprise
se trouve alors améliorée à travers l’optimisation du temps d’exécution des tâches, la
qualification du personnel de l’entreprise et la promotion d’une culture d’entreprise qui
se base sur le travail coopératif.
L’usage de l’ERP, qui se présente dès lors comme une solution qui combine
différentes technologies simultanément, se trouve justifié par la considération de
l’ERP comme une technologie d’organisation qui touche également aux aspects
structurels, managériaux et organisationnels.
Il est jugé que L’ERP fournit d’autres avantages aux entreprises en améliorant
le niveau de la performance des flux de production amont, au niveau de la chaîne
d’approvisionnement, puisqu’il peut servir comme support pour le Supply Chain
Management, ou alors en améliorant le processus de sélection des fournisseurs ou en
réduisant le temps de cycles d’approvisionnement. D’autre part, l’ERP permet
également de mieux gérer la relation avec la clientèle, de minimiser les coûts de
réduction de la qualité, d’améliorer l’utilité des ressources et d’améliorer le degré de
précision de l’information, chose qui peut se traduire par une amélioration de la prise
de décision
1-Définition :
Très souvent, les dirigeants pensent qu’une culture organisationnelle solide est
essentielle à la réussite et la fiabilité d’une décision. Cependant, la culture d’entreprise
a tendance à être perçue comme le contexte général qui est en faveur de la prise de
décision mais aussi de sa rapidité et par conséquent, la plupart des cadres la gèrent
selon leur intuition. Dans ce qui suit on va souligner les trois volets :
Dans cet article, nous abordons chacune d’elles pour montrer comment les
leaders peuvent concevoir des cultures organisationnelles très performantes et mesurer
leur impact sur le résultat net.
• Identifier les pratiques actuelles qui incarnent la culture cible (c.-à-d. par
des journalistes internes);
Conclusion