Belkadi Hayet
Belkadi Hayet
Belkadi Hayet
Présenté par
Belkadi Hayat
Thème
M Prénom NOM
Grade, lieu d’exercice, Président
Mr M .LAZRI
Maitre de conférences A , UMMTO, Encadreur
M Prénom NOM
Grade, lieu d’exercice , Examinateur
Remerciements
En premier, je remercie le bon dieu le tout puissant de m’avoir
donné la santé, le courage et patience pour être ce que je suis
aujourd’hui et pour mener à terme ce modeste travail ;
Je dédié ce modeste travail a mes très chers parents pour leurs soutien moral et
matériel que dieu tout puissant me les gardent
A mes très chers frères
A mes très cheres
sœurs A tout mes
amis …..
I.1.Préambule ......................................................................................................................3
I.2Les application de la domotique .....................................................................................3
I. 3.Différents éléments du
système ....................................................................................4
I.3. 1.Buzzer ................................................................................................................
.........4
I.3.2.Diodes (LED ...............................................................................................................5
I.3.3.Capteurs .....................................................................................................................6
I.3.3. 1.Chaine de
mesure ....................................................................................................7
1.3.3.2.Classification des capteurs .....................................................................................9
I.3.3.3Différents types des capteurs ...................................................................................10
I.3.3.4.Capteur de mouvement , ..........................................................................................11
I.3.4.GSM ..........................................................................................................................14
I.3.4. 1.Historique................................................................................................
.................14
I.3.4.2.Couverture GSM dans le monde…………………………………………………14
I.3.4.4.L’architecture de réseau GSM ...............................................................................15
I.3.4.4.Module GSM ou modem GSM. .............................................................................16
I.3.4.4.1Entrées /sorties de module GSM............................................................................18
I.3.4.5.Commande et surveillance pas GSM.......................................................................19
I.4.Discussion ......................................................................................................................19
II.1.Préambule .....................................................................................................................20
II.2.Historique ....................................................................................................................20
II. 3.Définition de la carte
..................................................................................................20.
II.3. 1.caractéristiques de la carte Arduino
UNO.................................................................21
II.3.2.Description de la carte Arduino.................................................................................22
II.3.3.Présentation matérielle de la plateforme Arduino .....................................................22
II.3.3. 1.Microcontrôleur .....................................................................................
.................23
II.3.3.2.Entrés /sorties de la carte .......................................................................................26
II.3.3.2.1.Les entrées /sorties numérique ...........................................................................26
Table de matières
II.3.3.2.2.Entrés analogique ................................................................................................27
II.3.4.Alimentation de la carte Arduino ..............................................................................29
II. 4.Partie
logicielle ............................................................................................................31
II.4.1.F onctions de langage Arduino..................................................................................31
II.4.2. Structure de programme ..........................................................................................32
II.4. 3.Description des déférents
menus ..............................................................................34
II.4.3.1.Menu fichier ..........................................................................................................34
II.4.3.2.Menu Edition .........................................................................................................36
II.4.3.3.Menu croquis .........................................................................................................37
II.4.3.4.Menu outil ..............................................................................................................39
II.4.4.Syntaxe du langage Arduino......................................................................................40
II. 5.Discussion ....................................................................................................................41
Introduction générale
Introduction générale
De nos jours, la domotique est omniprésente dans notre quotidien grâce au développement
technologique dans plusieurs domaines tels que l’électronique, l’informatique, la physique,
internet...
Leur but est d’améliorer le confort et la sécurité en préservant l’environnement par une
gestion centralisée, simple et intuitive, qu’il s’agisse de la gestion du bâtiment (chauffage,
climatisation, éclairage, sécurité…) ou de divertissement (audio, vidéo, cinéma).
1
La nécessité de protéger son domicile n’est pas nouvelle, depuis plusieurs siècle déjà, la
population de monde entier ont développé des systèmes de télésurveillance destinés à prévenir
toute intrusion ou tentative d’effraction. Les progrès informatiques ont eu leur conséquence
aussi sur l’évolution des alarmes. Elles se pilotent aujourd’hui à distance à partir d’un
Smartphone .
Dans ce contexte nous nous sommes intéressés à la réalisation d’un système d’alarme
intelligent permettant de surveiller une maison à distance en temps réel. Une application
Arduino pilote un capteur infrarouge et un module GSM. Ce dernier permet d’envoyer des
notifications d’alerte afin d’avertir la présence d’éventuelles intrusions dans le lieu sécurisé.
Introduction générale
A fin de mener à bien notre projet, nous avons réparti le contenu de ce mémoire en trois
chapitres :
Dans le premier chapitre, nous présentons les applications de la domotique, les éléments
constituant le système d’alarme qui sont le capteur infrarouge, le module GSM et leurs
caractéristiques.
Dans le deuxième chapitre, nous présentons le model de la carte Arduino qu’on a utilisé
(UNO), ces caractéristiques ainsi les deux parties logiciel et matériel.
Le dernier chapitre sera consacré à la réalisation d’une alarme à base d’une carte d’acquisition
Arduino.
Nous terminons par une conclusion générale qui résume intérêt de notre projet.
2
CHAPITRE I Les éléments de systèmes de sécurité domotique
I.1.Préambule
3
CHAPITRE I Les éléments de systèmes de sécurité domotique
I.3.1Buzzer
Un Buzzer est un élément électromécaniques ou électronique qui produit un son lorsque on lui
applique une tentions dans notre cas il s’git d’un buzzer électromécanique, il nécessite une
tension continue comprise entre 3v et 28 v, il possède deux petite pattes de fixation
3
CHAPITRE I Les éléments de systèmes de sécurité domotique
Symbole
Sur un schéma électronique, chaque composant est repéré par un symbole qui lui est propre.
Celui de la diode est celui-ci :
L’un des éléments essentiels des systèmes de sécurité domotique est le capteur. Plusieurs types de
capteurs peuvent être utilisés dans la même application. Nous présentons dans ce qui suit une
description détaillée sur le fonctionnement des capteurs.
3
CHAPITRE I Les éléments de systèmes de sécurité domotique
I.3.3.Capteurs
Un capteur est un dispositif transformant une grandeur physique analogique (pression, température
….) en un signal analogique rendu transmissible et exploitable par un système de conditionnement
(courant électrique, radiation, lumineuse, radiofréquences).le capteur est la partie d’une chaine de
mesure qui se trouve au contact direct du musurande.
Dans la majorité des cas, le signal de sortie est électrique en raison de la facilité de transmission de
l’information.
Généralement, le signal de sortie de capteur n’est pas directement utilisable .on appelle chaine de
mesure l’ensemble des circuits ou appareils qui amplifient, adaptent, convertissent, digitalisent le
signal avant sa lecture sur le support de sortie.
Pour obtenir une image d’une grandeur physique, la chaine de mesure peut faire intervenir plusieurs
phénomènes différents par exemple la mesure d’un débit peut se faire en plusieurs Etapes :
• Transformation du débit en une pression différentielle.
• Transformation de la pression différentielle en la déformation mécanique d’une membrane.
• Transformation de déformation mécanique en une grandeur électrique ( à l’aide d’un
élément piézoélectrique )via un circuit électrique associé.
3
CHAPITRE I Les éléments de systèmes de sécurité domotique
Etendue de mesure : c'est la différence entre le plus petit signal détecté et le plus grand
perceptible sans risque de destruction pour le capteur.
Résolution : Plus petite variation de grandeur mesurable par le capteur.
Sensibilité : c'est la plus petite variation d'une grandeur physique que peut détecter un
capteur.
Rapidité : c'est le temps de réaction d'un capteur entre la variation de la grandeur
physique qu'il mesure et l'instant où l'information prise en compte par la partie
commande.
Linéarité : représente l'écart de sensibilité sur l'étendue de mesure sa reproductibilité.
La bande passante : est un intervalle de fréquences pour lesquelles l'amplitude de la
réponse d'un système correspond à un niveau de référence.
3
CHAPITRE I Les éléments de systèmes de sécurité domotique
Les capteurs sont classés en deux catégories selon les phénomènes physiques mis en jeux, capteurs
actifs et capteurs passifs.
Capteur actif
On parle de capteur actif lorsque le phénomène physique qui est utilisé pour la détermination du
mesurande effectue directement la transformation en grandeur électrique.
Effet piézo-électrique :
L'application d'une contrainte mécanique à certains matériaux dits piézo-électriques (le quartz par
exemple) entraîne l'apparition d'une déformation et d'une même charge électrique de signe différent
sur les faces opposées.
3
CHAPITRE I Les éléments de systèmes de sécurité domotique
Capteur passif
Il s'agit généralement d'impédances (résistance, inductance, capacité) dont l'un des paramètres
déterminants est sensible à la grandeur mesurée. La variation d'impédance résulte :
d'une déformation résultant d’une force ou d’une grandeur s'y ramenant (pression
accélération). Exemples : armature de condensateur soumise à une différence de pression,
jauge d'extensomètre liée à une structure déformable.
Les capteurs tout ou rien (TOR) délivrent une information binaire à la partie commande :
l’information adopte l’état 0 ou l’état 1.chaque état possède une signification dans le contexte du
système.
On distingue essentiellement le capteur de type mécanique et ceux de proximité (cellules, inductifs
ou capacitifs) .Il sont constitués :
Capteurs analogiques
La sortie est une grandeur électrique dont la valeur est une fonction de la grandeur physique
mesurée par le capteur. La sortie peut prendre une infinité de valeur continue, le signal des capteurs
analogique peut être de type :
Sortie tension.
Sortie courant.
Règle graduée cadran, jauge (avec une aiguille ou un fluide) .
3
CHAPITRE I Les éléments de systèmes de sécurité domotique
Capteur numérique
La sortie est une séquence d’état logique qui, en se suivant forment un nombre .Elle peut
prendre une infinité de valeurs discrète .le signal numérique peut être du type :
Un capteur PIR est un capteur qui mesure les radiations infrarouges (IR) émises par les objets se
trouvant dans son champ de vision. Il est généralement utilisé comme détecteur de mouvement ou
de proximité. [2]
Les capteurs PIR détectent les radiations infrarouges émises par les objets autour de lui. Or la
plupart des objets émettent des IR suivant leur température. Ces capteurs sont dits passifs, car ils
n'émettent pas de radiation (contrairement aux barrières à infrarouge). Les infrarouges sont
invisibles par l'œil humain, mais des appareils photos numériques peuvent les détecter. Le capteur
utilisé dans notre application est SR150 1HC [3]
3
CHAPITRE I Les éléments de systèmes de sécurité domotique
3
CHAPITRE I Les éléments de systèmes de sécurité domotique
3
CHAPITRE I Les éléments de systèmes de sécurité domotique
variés. Parmi les éléments de notre système de surveillance, le module GSM offre une grande
opportunité dans la transmission des messages d’alerte.
I.3.4. GSM
I.3.4.1.Historique
C’est au début des années 90 que la première génération de téléphone mobile va évoluer. C’est
en 1982 qu’est créé le Groupe Spécial Mobile (GSM), qui a été établi pour créer une norme
pour les téléphones mobiles. Elle va imposer certains choix technologiques en 1987, comme le
chiffrement des informations ou encore l’utilisation de plusieurs canaux radio. C’est en 1991
que la première communication expérimentale sur la norme GSM (alors devenu Global System
for Mobile Communications) sera effectuée. À ce moment-là, les spécifications techniques
imposent une bande de fréquence à 900 Mhz, qui pourra être doublée à 1800 Mhz pour
l’améliorer. Cette norme est toujours utilisée pour les communications téléphoniques en
Europe, tandis que les États-Unis et le Canada utilisent des bandes de 850 Mhz et 1900 Mhz.
les réseaux GSM sont implantés sur une large portion de la surface terrestre ; une condition
nécessaire de connexion à un réseau est la disponibilité de station de base ( cellule radio ) à
proximité de l'emplacement du téléphone mobile (la charge de la batterie du téléphone influence
également la portée de réception). Ainsi, les zones faiblement peuplées (haute montagne, larges
campagnes, déserts), les hautes altitudes (en avion par exemple), les cavités terrestres (grottes,
tunnels) et la mer (au-dessus comme en dessous de la surface) sont souvent dépourvues d'accès
réseau GSM.
Les réseaux GSM (Global System for Mobile Communications) couvrent 219 pays ou territoires en
2014.
En 2016, l’association GSMA comptabilisait pour les réseaux mobiles GSM et dérivés (UMTS et
LTE) 4,8 milliards d’utilisateurs uniques et 7,9 milliards de CARTE SIM connectables à travers le
monde.
3
CHAPITRE I Les éléments de systèmes de sécurité domotique
a) Le sous systèmes radio (Bss) :(Base subscriber station) : Assure la transmission et gère
les ressources radios .
La BTS : (base tranceiver station) : émetteur récepteur situer sur des points hauts
Le BSC: (base station Controller) contrôleur de station de base, permet aussi la concentration de
plusieurs BTS .
b) Le sous système réseau NSS :(network sub system) : assure la fonction d’acheminement
des appels et la mobilité.
Le MSC (mobile switching center) : c’est un commutateur qui permet d’assurer l’aiguillage et
l’acheminement du signal .
HLR (home location register) : base de données de location des abonnés et leurs caractéristiques.
Le VLR (visitor location register) : base de données de localisation des visiteurs.
3
CHAPITRE I Les éléments de systèmes de sécurité domotique
A la fin de l’implémentation d’un réseau GSM, l’OSS continue à superviser et gérer à l’échelle
nationale le réseau (redimensionnement télémesure etc...) AUC (authentification –center) :
Le réseau autorise l’abonné à y accéder en comparant une clé de cryptage du mobile avec celle
mémorisée dans le réseau ; les clé doivent être identiques. [4]
Un module GSM ou modem GSM est un boitier électronique muni d’une carte SIM qui se connecte
au réseau téléphonique comme un téléphone portable ; ainsi il dispose de son propre numéro de
téléphone et fonctionne partout ou il existe un réseau cellulaire GSM.
Le module GSM n’est pas verrouillé à un seul réseau il peut donc être utilisé avec n’importe quel
fournisseur de réseau GSM. Lorsque vous appelez il rejette l’appel sans y répondre, donc il n’y a
pas de frais de communication engagé, il a une mémoire non-volatile et sauvegarde les paramètres
dans le cas d’une Interruption de son alimentation.
Le module GSM, , est autonome grâce à sa batterie interne. ainsi en cas de coupure secteur il vous
envoie un SMS pour vous le signaler. Dans notre projet on ‘a utilisé le module GSM SIM 900 et la
figure 12 montre le schéma bloc d’un système à base d’un module GSM.[5]
Module GSM : permet de recevoir ou d’envoyer des sms et communiquer avec une carte
électronique par une communication série (UART) ; les commandes utilisées dans cette
connexions ce sont des AT COMMANDS.
3
CHAPITRE I Les éléments de systèmes de sécurité domotique
Carte électronique: permet de communiquer avec module GSM lire les messages et
envoyer des commandes et exécuter les différents processus comme traitement, décodage et
stockage des informations, affichage des messages etc.
La figure 8 illustre le module GSM SIM 900
3
CHAPITRE I Les éléments de systèmes de sécurité domotique
a) Entrées analogiques : Pour brancher des sondes analogiques de mesures et y programmer des
Pour brancher des détecteurs du type : Intrusion, présence, contact de porte, détecteur de fumée,
Gaz, etc...
La domotique par GSM est basée sur deux points essentiels : la commande et la surveillance
par GSM :
3
CHAPITRE I Les éléments de systèmes de sécurité domotique
I.4.Discussion
Dans ce chapitre nous avons présenté les différentes applications de la domotique ainsi qu’une vue
d’ensemble de capteurs. Nous avons aussi décrit le capteur infrarouge utilisé comme détecteur de
présence ainsi que le module GSM et ses caractéristiques. Dans le chapitre qui suit nous présentons
la carte Arduino sous ces deux aspects matériel et logiciel.
3
CHAPITRE II Généralités sur la carte Arduino
II.1 Préambule
II.2.Historique
L’ARDUINO est un projet issu d’une équipe de développeurs composée d’enseignants qui
s’appelle BANZI et d’étudiants de l’école de Desing Ivrea en Italie en 2005.
Les étudiants qui se plaignent envers leur enseignant, de ne pas avoir accès à des solutions bas
prix pour accomplir leur projets de robotique.par la suite l’enseignant BANZI a contacté
DAVID CUARTIELLES, qui est un ingénieur espagnol spécialisé dans les microcontrôleurs
pour créer leur propre carte en embarquant dans leur histoire un des étudiant de Banni David
Mellis qui sera chargé de créer le langage de programmation allant avec la carte. En deux
jours David écrira le code , trois jours après la carte était crée .ils décidèrent de l’appeler
ARDUINO.
La carte ARDUINO est une plate forme prototypage électronique open- source basée d’une
part sur matériel et d’autre part sur un ensemble de logiciel facile à utiliser.
Elle possède un microcontrôleur facilement programmable ainsi que de nombreuses
entréessorties. Plusieurs types de ces cartes existent et qui se différencient par la puissance du
microcontrôleur, par la taille et la consommation. Le choix d’une carte ARDUINO s'effectue
en fonction des besoins de projet, leur programmation est en C++.
Le modèle UNO de la société ARDUINO est une carte électronique dont le cœur est un
microcontrôleur ATMEL de référence ATMega328 de 8bits de la famille AVR dont la
programmation peut être réalisée en langage C/C++.la figure xx représente le modèle UNO.
20
CHAPITRE II Généralités sur la carte Arduino
Microcontrôleur : ATmega328
Tension d'alimentation interne = 5V
tension d'alimentation (recommandée)= 7 à 12V, limites =6 à 20 V
Entrées/sorties numériques : 14 dont 6 sorties PWM
Entrées analogiques = 6
Courant max par broches E/S = 40 mA
Courant max sur sortie 3,3V = 50mA
Mémoire Flash 32 KB
Mémoire SRAM 2 KB
mémoire EEPROM 1 KB
Fréquence horloge = 16 MHz
Dimensions = 68.6mm x 53.3mm
II.3.2.Description de la carte Arduino
La figure suivante illustre le schéma synoptique de la carte ARDUINO :
20
CHAPITRE II Généralités sur la carte Arduino
L’Arduino est composée de deux parties indissociables : la carte qui est la partie hardware
avec laquelle on travaille en construisant chaque projet et la plateforme IDE Arduino qui est
la partie logicielle sur le PC, celle-ci permet de mettre au point et de transférer le programme
qui sera par suite exécuté par la carte.
II.3.3.1.Microcontrôleur
20
CHAPITRE II Généralités sur la carte Arduino
Figure 16 : Microcontrôleur ATMEGA 328
Un microcontrôleur est constitué par un ensemble d’éléments qui ont chacun une fonction
bien déterminée. Il est en fait constitué des mêmes éléments que sur la carte mère d’un
ordinateur, il comprend essentiellement :
Des mémoires.
Un microprocesseur
20
CHAPITRE II Généralités sur la carte Arduino
des éléments périphériques selon l’application.
• RAM : c'est la mémoire dite "vive", Elle est dite "volatile" car elle s'efface si on
coupe l'alimentation du microcontrôleur.
20
CHAPITRE II Généralités sur la carte Arduino
Figure18 : Système à microprocesseur
Bus : Il s'agit de plusieurs pistes électroniques qui sont reliées au microprocesseur. Ces bus
assurent la communication interne et externe du microprocesseur.
• Le bus de commande et de contrôle : c’est un bus qui permet de véhiculer les signaux de
contrôles et de commandes tels que l'horloge, les signaux Rd/Wr etc. ... Ce bus sert à
coordonner tous les échanges d'informations décrits précédemment. Il véhicule des données
qui valident la mémoire et les ports d'entrées /sorties. Il introduit des délais d'attente lorsque
des informations sont envoyées à un périphérique qui présente une vitesse de traitement
réduite. Le bus de commande évite les conflits de bus lorsque deux éléments cherchent à
communiquer en même temps.
Les entrées / sorties numériques ne peuvent prendre que deux valeurs, la valeur LOW
(GND ,0 V), et la valeur HIGH (~ 5 V). La valeur d’un port numérique peut donc être codée
sur un bit, 0ou 1, true ou false.
La carte ARDUINO comporte 14 I/O numériques (appelées DIGITAL sur la carte),
numérotées de 0a 13 (voir le schéma ci-dessus), et appelés D0, D1, D2, … D13. Chacun de
20
CHAPITRE II Généralités sur la carte Arduino
ces ports peut-être déclaré comme entant une entrée ou comme une sortie dans le programme
du microcontrôleur.
Les deux premiers ports (D0 et D1) sont réservés à la communication série, il ne faut pas les
utiliser. Le dernier port, D13, possède un indicateur lumineux, une LED qui s’allume quand le
port est HIGH, et qui s’éteint quand le port est LOW.
Le port GND est la masse de la carte (0 V).
Chacun des ports D0 à D13 peut être configuré dynamiquement par programmation en
entrée ou en sortie.
Les signaux véhiculés par ces ports sont des signaux logiques compatibles TTL, c'est-
àdire qu'ils ne peuvent prendre que deux états HAUT (5 Volts) ou BAS (0 Volt).
En pratique, les ports D0 et D1 sont réservés pour la liaison série asynchrone (port COM
virtuel via le câble USB) et ne sont pas exploités pour d'autres utilisations.
À noter que chacun des ports ne peut fournir ou absorber un courant supérieur à 40 mA .
Une entrée analogique est une sorte de voltmètre : la carte lit la tension qui est appliquée sur
le Port. Cependant le microcontrôleur ne travaille qu’avec des chiffres il faut donc transformer
la Tension appliquée en sa valeur numérique.
20
CHAPITRE II Généralités sur la carte Arduino
Par défaut et contrairement aux entrées/sorties numériques qui ne peuvent prendre que deux
états HAUT et BAS, ces six entrées peuvent admettre toute tension analogique comprise entre
0 et 5 Volts. Pour pouvoir être traitées par le microcontrôleur, ces entrées analogiques sont
prises en charge par un CAN (Convertisseur Analogique Numérique ou ADC pour (Analog
Digital Converter) dont le rôle est de convertir l'échantillon de tension VE en une grandeur
numérique binaire sur n bits.( figure 22).
20
CHAPITRE II Généralités sur la carte Arduino
Visualisation :
La carte Arduino UNO peut être alimentée soit via la connexion USB (qui fournit 5v jusqu’a
500 mA) ou à l’aide d’une alimentation externe. la source d’alimentation est sélectionnée par
la carte .l’alimentation externe (non USB) soit un adaptateur secteur (pouvant fournir
typiquement de 3v à 12vsous 500mA) ou des piles. Il est noté qu’il est strictement dangereux
d’utiliser une alimentation externe via la prise jack et d’avoir le câble USB connecté (risque
de destruction de la carte).
Les broches d’alimentation sont les suivantes :
20
CHAPITRE II Généralités sur la carte Arduino
VIN : (à distinguer du 5v de la connexion USB ou autre source 5v régulée).on peut
alimenter la carte à l’aide de cette broche, ou, si l’alimentation est fournie par le jack
d’alimentation on peut accéder à la tension d’alimentation sur cette broche.
5v : La tension régulée utilisée pou faire fonctionner le microcontrôleur et les autres
composants de la carte.
3.3v : Une alimentation de 3.3v de la carte est disponible : ceci est intéressant pour
certains circuits externes nécessitant cette tension au lieu du 5v. L’intensité maximale
disponible sur cette broche est de 50 mA.
Les broches du microcontrôleur sont reliées à des connecteurs selon le schéma ci-dessous.
20
CHAPITRE II Généralités sur la carte Arduino
Un logiciel Open Source est un programme informatique dont le code source est distribué
sous une licence permettant à quiconque de lire, modifier ou redistribuer et parmi eux on
trouve le logiciel Arduino.
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CHAPITRE II Généralités sur la carte Arduino
Le langage Arduino est implémenté en C/C++ et basé sur le câblage. lorsque nous écrivons un
Arduino croquis, nous utilisons implicitement la bibliothèque de câblage ,qui est inclus avec
L’IDE ceci nous permet de faire des programmes exécutables en utilisant seulement deux
fonctions : setup () et loop().
Comme nous avons dit, le langage Arduino utilise deux fonctions ; « setup () » et «
Loop () » qui fonctionnent comme suite :
La fonction setup () cette fonction est exécutée qu’une seule fois, juste après nous
téléchargeons une nouvelle esquisse à la carte, et en suite chaque fois que nous allumerons
notre Arduino .nous utilisons cette fonction pour initialiser les variables, mode de broches,
etc.
La Fonction loop ()
Elle est exécutée en continue dans une boucle sans fin lorsque la carte Arduino est alimentée.
cette fonction est le noyau de la plut part des programmes.
La( figure 24) représente un exemple qui montre la structure de chacune des fonctions :
20
CHAPITRE II Généralités sur la carte Arduino
Figure 24: Les fonctions du programme
Un programme utilisateur Arduino est une suite d’instruction élémentaire et séquentielle .tous
les programmes Arduino comportent trois étapes comme illustre la figure 25.
20
CHAPITRE II Généralités sur la carte Arduino
Dans chaque partie d’un programme on utilise différentes instructions issues de la syntaxe du
langage Arduino.
Lorsque le code est écrit dans l’interface de programmation, certains mots apparaissent en
différentes couleurs, clarifient le statut des différents éléments :
En rouge, apparaissent les mots clés reconnus par le langage Arduino comme des
fonctions existantes ;
En bleu, apparaissent les mots- clés reconnus par le langage Arduino comme des
constantes.
En gris, apparaissent les commentaires qui ne seront pas exécutés dans le programme.
il est utile de bien commenter son code pour s’y retrouver facilement ou pour le
transmettre à d’autres personnes .on peut déclarer un commentaire de deux manières
Différentes :
Dans une ligne de code, tout ce qui se trouve après « // » sera un commentaire ou bien entre
les signes /**** /.
20
CHAPITRE II Généralités sur la carte Arduino
Nouveau : permet d’écrire un nouveau programme, donc ouvre un nouveau fichier qui aura
l’extension « .ino » lors de son enregistrement.
Ouvert récemment > : option bien outille dans une phase de développement car elle propose
les programmes sur lesquelles vous avez travaillé les jours précédent ;la recherche est ainsi
plus rapide .
Carnet de croquis> : cette option offre un sous-menu proposant tous vos programmes
(croquis ou sketch en anglais).
Exemples> : ici, on trouve de nombreux programmes donnés (comme Bilink), et classée par
catégories ; ils sont bien outils pour bien se familiariser avec le langage d’Arduino. On y trouve choix,
de la langue ( si votre IDE ne s’est pas installer dans votre langue ) ,taille de police, afficher
les numéros de lignes (nous recommandons de cocher cette option afin de vous y également
tous les exemples de toutes les bibliothèques que l’on aura incluses dans l’IDE. On trouve les flèches «
> » et les flèches « haut /bas » pour se déplacer dans les différent exemples.
Enregistrer sous … : enregistrer votre programme en lui donnant un nom et permet le chois
de l’emplacement.
Mise en page : permet de règles les options mise en page avant d » impression de programme,
comme l’orientation de la page (portail ou paysage) et la taille des marges.
20
CHAPITRE II Généralités sur la carte Arduino
Préférences : cette option ouvre une nouvelle fenêtre ou il est possible de régler plusieurs
options emplacement où on veut trouver les croquis retrouver plus facilement dans vos
programmes).
Couper, copier, coller :ces options sont identiques à ce qu’on trouve dans un traitement de
texte classique .le texte doit d’abord avoir été sélectionné .
Copier pour le forum : permet de copier dans le presse-papier, tout ou partie de votre
programme pour le poster dans un forum.
Copier en tant qu’HTML : cette option réalise une copier du programme pour pouvoir
l’inclure dans une page web.
20
CHAPITRE II Généralités sur la carte Arduino
Tout sélectionner : permet de sélectionner l’intégralité de votre programme (par exemple
pour le copier dans un autre programme, dans un traitement de texte.).
Aller à la ligne …. : ouvre une fenêtre qui permet de spécifier le numéro de la ligne de
programme où on veut apparaitre le curseur.
Augmenter l’indentation (ou la réduire) : permet de déclare vers la droite (ou vers la gauche)
le texte sélectionné afin de présenter le programme de façon plus lisible et plus
compréhensible pour un autre programmeur.
Trouver… : permet de rechercher des mots ou des expressions et de les remplacer par
d’autres mots où expressions.
20
CHAPITRE II Généralités sur la carte Arduino
Vérifier / compiler : permet de vérifier que votre programme est bien conforme à la syntaxe
(règles d’écriture) , et que toutes les variables sont bien définies, ainsi que les appels aux
bibliothèques ou d’autres fichiers. Si cette étape est franchie, le fichier est compilé et une
indication de succès est affichée en couleurs blanche dans la partie noir de la fenêtre.
Téléviser :commence par vérifier /compiler puis transmet le fichier binaire obtenu à la
mémoire flash (mémoire de programme ) de la carte Arduino si la vérification /compilation n’a
pas d’erreurs.
Téléverser avec un programmateur :la même chose avec précédemment pour ceux qui
disposent d’un programmateur et préfèrent d’employer afin d’écraser le bootloader et ainsi
utiliser toute la capacité de la mémoire de programme.
Exporter les binaire compilées :export, dans le dossier du croquis ,le fichier génère à la
phase de compilation (voir plus haut) sous forme d’un fichier .hex (hexadécimale).
Afficher le dossier des croquis :permet d’afficher le répertoire où est stockés le programme en
cours d’écriture et d’autre fichiers importés (.hex ,.ino, .cpp,.h etc…).
Inclure une bibliothèque > : permet de voir les bibliothèques déjà installées et les gérer et
aussi en inclure de nouvelles.
Ajouter un fichier… : permet d’ajouter un fichier qui sera copier dans le dossier du
programme en cours de développement .cette option ouvre une fenêtre de navigation pour
trouver le fichier à inclure .le nouveau fichier apparaît dans un nouvel onglet de la fenêtre du
programme.
II.4.3.4.Menu outil[ 8]
La figure 29 montre le menu outil
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CHAPITRE II Généralités sur la carte Arduino
Archiver le croquis :crée une copier du programme sous forme de fichier .ZIP et le placer
dans le dossier de croquis Arduino.la date est jouter au nom de fichier.
Réparer encodage et recharge : corriger les écarts possibles entre l’encodage de caractères de
l’éditeur et celui d’autres systèmes d’exploitation.
Moniteur série : permet d’ouvrir le moniteur de L’IDE qui est une fenêtre dans laquelle on
peut faire écrire des résultats par Arduino ou bien dans laquelle on peut entrer des données à
envoyer à Arduino ( dans le cadre jaune).
Traceur série :permet d’ouvrir le traceur de l’IDE qui est une fenêtre dans laquelle on peut
faire tracer des courbes par Arduino .cette fenêtre s’utilise comme celle de moniteur avec
l’ordre Serial.printIn pour envoyer la valeur à tracer.
Type de carte > : permet de choisir avec quel type de carte on travaille (UNO ,MEGA
,NANO etc. ).
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CHAPITRE II Généralités sur la carte Arduino
Récupérer les information de la carte :permet d’obtenir des informations concernant la carte
connectée en USB comme numéro de la carte, un numéro de série…
Programmateur> : propose plusieurs types de programmateurs pour programmer la carte.de
base,l’opyion est « AVRISP mkII » pour programmer un module Arduino.
Explication de chaque commande de la syntaxe Arduino dont la table des matières. Chaque
construction est suivie de sa traduction entre parenthèses.
• Viodsetup () (configuration-préparation)
• Viodloop () (exécution)
Structure générale
Contrôle et • If (si….)
Conditions • If…..else si ..alors …)
• For (pour…)
• Switch case (dans le cas ou …)
• == ( équivalent à)
• != (différent de)
Opération de < (inférieur à)
comparaison > (surpérieur à)
<== ( inférieur ou égale à)
>= (supérieur ou égale à)
Opérations && (et)
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CHAPITRE II Généralités sur la carte Arduino
! (ou)
booléennes || (et pas )
Autres commandes // (commentaire simple ligne ) /**
/ ( commantaire multilignes
#define (donner une valeur à un nom)
II.5. Discussion
Ce chapitre donne une vue globale sur la plateforme Arduino, commençant par un petit aperçu
sur son historique , les différents composants qui constituent la carte ainsi que leurs rôles, On
a parlé de l’interface de programmation IDE , de ces fonctions et instructions.
Le chapitre suivant sera consacré pour la réalisation pratique du système d’alarme.
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CHAPITRE III La réalisation pratique
III.1 Préambule
Dans les chapitres précédents, nous avons défini les différents composants qui constituent un
système d’alarme intelligent ainsi que le logiciel Arduino avec ces fonctions et ses différentes
instructions. Dans ce chapitre, nous allons passer à la conception et à la réalisation de notre
application. Dans un premier, nous expliquons les différents composants constituant le
système de télésurveillance. Ensuite, nous allons procéder aux tests de ces composants pour
vérifier leur bon fonctionnement. Dans un second temps, nous allons réaliser les différents
brochages et allons implémenter les programmes élaborés pour la mise en marche du système
de télésurveillance.
Pour réaliser notre système d’alarme on a utilisé différents éléments (une carte Arduino,
module GSM, un buzzer, une led et une plaque d’essaie).
Nous avons commencé par tester le module GSM pour s’assurer de son bon fonctionnement.
Pour cela, nous avons placé une puce (n’importe quel réseau) et le brancher avec la carte
Arduino qui contient le programme permettant d’envoyer et de recevoir les messages.
De la même façon, nous avons testé le capteur PIR. Nous avons donc connecté une led qui
permet d’indiquer le bon fonctionnement du capteur.
Après ces tests, nous avons réalisé le circuit du système d’alarme en branchant les différents
éléments sur une plaque d’essaie. Pour ce faire, nous avons opéré comme suit :(figure30)
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CHAPITRE III La réalisation pratique
La figure suivante représente le branchement des composants de système sur ISIS Proteus
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CHAPITRE III La réalisation pratique
Figure 31:Branchements des éléments sur ISIS Proteus
III.2.1.1Branchement du capteur PIR à la carte Arduino [9]
le branchement du capteur PIR sur une carte Arduino UNO est plus simple. ces deux éléments
sont alimentés en 5 v (ou 4.5V) . il suffit de brancher les bornes d’alimentation +/de la carte
vers les bornes +/- du capteur.
Le signal de sortie du capteur (fil jaune) doit être relié à l’entrée « digital » de la carte
Arduino .comme illustre la figure suivante :
La figure XX ci- dessous montre le branchement du module GSM à la carte Arduino , les
deux masses de module GSM sont reliées vers la masse de l’Arduino.
La borne TX (transmission) de module GSM est branché vers la pin 7( réception ) de
l’Arduino et la borne RX ( réception ) du GSM est reliée avec la pin 8(transmission ) comme
Le montre la figure suivante :
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CHAPITRE III La réalisation pratique
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CHAPITRE III La réalisation pratique
Figure 34 : Branchement de buzzer à la carte Arduino
III.2.1.4.Branchement de la LED à la carte Arduino [9]
La led est alimentée en série avec une résistance de protection .l’anode de la led est reliée à la
pin 13 de la carte Arduino.
pour programmer l’Arduino, on doit la brancher à un ordinateur via un câble USB (fiche A
fiche B) .(voir la figure36),puis sur l’ordinateur .on a besoin d’installer l’environnement de
développement Arduino IDE ( Iintegrate Developmen Environemt ) qui vas nous permettre de
programmer la carte ARDUINO .
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CHAPITRE III La réalisation pratique
L’IDE de l’Arduino en faite, il s’agit d’un compilateur .alors qu’est-ce que c’est exactement ?
Un compilateur
Un compilateur est un terme qui désigne un logiciel qui est capable de traduire un langage
informatique, ou plutôt un programme utilisant un langage informatique ,vers un langage plus
approprié afin que la machine qui vas le lire puisse le comprendre .le compilateur doit donc
traduire les instructions du programme ,écries en langage texte ,vers vers un langage dit «
machine ».ce lange utilise uniquement des 0et des 1ce la peut se traduire de la façons suivante
:
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CHAPITRE III La réalisation pratique
Figure 37 : Traduction d’un langage de programmation en langage machine
III.3.2.Présentation de logiciel
cadre numéro 2 : il contient les boutons qui vont nous servir lorsque l’on va programmer nos
cartes. cadre numéro 3 : ce bloc va contenir le programme que nous allons crées .
cadre numéro 4 : celui-ci est important ,car il va nous aider à corriger les fautes dans notre
programme .c’est le débogueur.
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CHAPITRE III La réalisation pratique
III.3.3 Chois de la carte que l’on va programmer
Le nom de la carte est indiqué sur elle .pour nous il s’agit de la carte « UNO ». dans le
menue , « tools » (outils) on sélectionne « board » (carte) puis il faut vérifier que c’est bien le
nom ARDUINO UNO qui est coché. figure (39)
Nous allons dans le menu Tools ,puis serial port .là nous choisissons le port COMX,X étant le
numéro de port qui est affiché .nous ne choisissons pas COM1 car il n’est quasiment jamais
connecté à la carte .dans notre cas il s’agit de COM5 .figure(40).
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CHAPITRE III La réalisation pratique
Bouton 1 : permet de vérifier le programme, il actionne un module qui cherche les erreurs de
syntaxes dans le programme.
Bouton 2 : charge (téléverser) le programme dans la carte Arduino.
Bouton 3 : crée un nouveau croquis.
Bouton 4 : ouvrir un croquis déjà existant.
Bouton 5 : enregistre le fichier courant.
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CHAPITRE III La réalisation pratique
Bouton 6 : ouvre le moniteur série, qui permet la communication entre la carte Arduino et
l’ordinateur à lequel on l’a branchée.
Pour programmer n’importe quelle carte Arduino il faut suivre les étapes suivantes :
• Allez dans le menu outils, ensuite cliquer sur type de carte et puis sélectionner la carte
dont on besoin.
• Ensuit il faut s’assurer qu’on est connecté au bon port série .il nous faut donc aller
dans le menu outils puis port et en fin port adéquate.
• Par la suite il nous reste plus qu’à programmer l’application que l’on souhaite réaliser.
Une fois le programme terminé, La prochaine étape, il va falloir envoyer le
programme dans la carte .pour ce faire, il suffit de cliquer sur le bouton Upload ou «
télécharger » .
Finalement le processus de rédaction de programme jusqu’a son téléchargement dans
la carte peut être résumé grâce au schéma suivant :
III.4.Tests de l’application
Pour vérifier le fonctionnement de notre application, nous avons réalisé des tests :
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CHAPITRE III La réalisation pratique
En présence d’un corps émettant de l’infrarouge, le capteur PIR détecte ces radiations
infrarouges et transmis l’information au système d’alarme. Ce dernier envoie automatiquement
une alerte sous forme d’un message (SMS) à travers le réseau GSM pour avertir l’utilisateur.
Comme illustre les figures suivantes :
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CHAPITRE III La réalisation pratique
En revanche, en absence de source de chaleur, le capteur PIR ne détecte aucune radiation. Par
conséquent, le système n’émet pas un sms.
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CHAPITRE III La réalisation pratique
III.5. Discussion
Ce troisième chapitre est consacré à la réalisation pratique de notre système d’alarme. Nous
avons expliqué la procédure à suivre pour choisir le port de connexion, le type de la carte et
comment se fait le raccordement entre les différents composants et nous avons effectué
quelques tests pour vérifier le bon fonctionnement de notre application.
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Conclusion
Conclusion
Dans ce travail, nous avons réalisé une application dont l’objectif est la détection de présence
en se servant d’un capteur infrarouge pour prévenir contre toute intrusion.
Dans le premier chapitre, nous avons présenté les applications de la domotique, les éléments
constituant le système d’alarme qui sont le capteur infrarouge, le module GSM et leurs
caractéristiques.
Dans le deuxième chapitre, nous avons présenté le modèle de la carte Arduino que nous
avons utilisé (UNO), ces caractéristiques ainsi les deux parties logiciel et matériel. Le dernier
chapitre a été consacré à la réalisation d’un système d’alarme à base d’une carte d’acquisition
Arduino.
Après la détection de la présence via le capteur PIR, l’information est transmise en utilisant le
module GSM. La carte Arduino est utilisée pour interfacer entre le capteur PIR et le module
GSM. L’utilisateur est notifié par un SMS généré par le système réalisé.
Selon les tests que nous avons réalisés, en présence d’une source de chaleur, le système a
permis de détecter les radiations émises par cette chaleur, et ensuite un sms est généré et
transmis à l’utilisateur.
Bibliographie
[1] : H.HAMOUCHI, thèse de doctorat, l’université Mouhamed V,rabat,juillet 2015
[2] : Dominique Maniez, les capteurs pour Arduino et raspberry PI, 121, 105, 2014,06/2018
[6]: http://f-leb.developpez.com/tutoriels/arduino/univers_arduino/part1
[8] :www.linuxedu.tetaneul.net
[9] :www.fritzing.org
Résumé :
Dans ce travail, nous avons réalisé une application dont l’objectif est la détection de présence en se
servant d’un capteur infrarouge pour prévenir contre toute intrusion.
Dans le premier chapitre, nous avons présenté les applications de la domotique, les éléments
constituant le système d’alarme qui sont le capteur infrarouge, le module GSM et leurs
caractéristiques.
Dans le deuxième chapitre, nous avons présenté le modèle de la carte Arduino que nous
avons utilisé (UNO), ces caractéristiques ainsi les deux parties logiciel et matériel. Le dernier
chapitre a été consacré à la réalisation d’un système d’alarme à base d’une carte d’acquisition
Arduino.
Après la détection de la présence via le capteur PIR, l’information est transmise en utilisant le module
GSM. La carte Arduino est utilisée pour interfacer entre le capteur PIR et le module GSM.
L’utilisateur est notifié par un SMS généré par le système réalisé.
Selon les tests que nous avons réalisés, en présence d’une source de chaleur, le système a permis de
détecter les radiations émises par cette chaleur, et ensuite un sms est généré et transmis à l’utilisateur.
Nous avons défini les différents composants qui constituent un système d’alarme intelligent ainsi que
le logiciel Arduino avec ces fonctions et ses différentes instructions.
Nous allons réaliser les différents brochages et allons implémenter les programmes élaborés pour la
mise en marche du système de télésurveillance.
Pour réaliser notre système d’alarme on a utilisé différents éléments (une carte Arduino, module
GSM, un buzzer, une led et une plaque d’essaie).
Nous avons commencé par tester le module GSM pour s’assurer de son bon fonctionnement. Pour
cela, nous avons placé une puce (n’importe quel réseau) et le brancher avec la carte Arduino qui
contient le programme permettant d’envoyer et de recevoir les messages.
De la même façon, nous avons testé le capteur PIR. Nous avons donc connecté une LED qui permet
d’indiquer le bon fonctionnement du capteur.
Après ces tests, nous avons réalisé le circuit du système d’alarme en branchant les différents
éléments sur une plaque d’essaie.
Dans le troisième chapitre est consacré à la réalisation pratique de notre système d’alarme. Nous
avons expliqué la procédure à suivre pour choisir le port de connexion, le type de la carte et
comment se fait le raccordement entre les différents composants et nous avons effectué quelques
tests pour vérifier le bon fonctionnement de notre application.