Koontz Et O'Donnel, Management: Principes Et Méthodes de Gestion, Mcgraw-Hill 1980
Koontz Et O'Donnel, Management: Principes Et Méthodes de Gestion, Mcgraw-Hill 1980
Koontz Et O'Donnel, Management: Principes Et Méthodes de Gestion, Mcgraw-Hill 1980
Introduction
1
KOONTZ et O’DONNEL, Management : principes et méthodes de gestion, McGraw-Hill 1980.
2
Chapitre 4. Planification
1. Notion de planification et de plan
3
2. Planification stratégique
3. Planification opérationnelle
4. Budget
Chapitre 5. Organisation
1. Concept d’organisation
1.1. Définition de l’organisation selon l’approche systémique
1.2. Eléments de base en organisation
2. Formes d’organisation
2.1. Organisation fonctionnelle
2.2. Organisation divisionnelle
2.3. Organisation matricielle
Chapitre 6. Direction
1. La motivation
2. Le pouvoir
3. Le conflit
4. Le commandement
Chapitre 7. Contrôle
1. Définition de la notion de contrôle
2. Typologie de contrôle
3. Processus de contrôle
4
CHAPITRE I
LE MANAGEMENT ET LE MANAGER
-----------------------------------------
Les autres termes modernes les plus couramment utilisés sont gérer,
gestion et administrer, administration.
2
MOHAMED BEN TAHAR, Management, composants et processus, Paris, Ed. Publibook, 2013.
3
OMAR AKTOUF, Le management entre tradition et renouvellement, édition révisée, Gaëtan Morin, 1989.
6
4
ADOLF A. BERLE, GARDINER C. MEANS, The modern corporation and private property, New York,
MacMillan, 1932.
5
M. CRENER, M. MONTEIL BERNARD,Principes de management, Presses universitaires du Québec,
Diffusion Vuibert, 1979.
6
H. KOONTZ, C. O’DONNELL, Management principes et méthodes de gestion, Mac Graw Hill, 1980.
7
7
H. MINTZBERG, The Nature of Managerial, Work, Harper Row, 1973.
9
CHAPITRE II
--------------------------------------------------------
I. La notion d’entreprise
- Son but : qui est l’essence même de son existence et qui est souvent
confondu avec la nature du bien ou service qu’elle produit.
- Les moyens qu’elle met en œuvre pour atteindre ce but : les objectifs
de l’entreprise déterminent les moyens humains, matériels, immatériels
et financiers qu’elle va engager pour produire.
- La recherche du profit: une entreprise ne peut exister que si elle crée
de la valeur ajoutée du fait même de sa fonction de transformation.
Mais limiter l’entreprise en tant que telle à sa simple expression
économique, c’est faire l’impasse sur un certain nombre d’aspects qui
rendent d’autant plus complexe la définition même de l’entreprise. Car
celle-ci est aussi :
- Une entité autonome : lors de sa création, l’entreprise acquiert une
personnalité qui dépasse sa simple expression juridique. On attribue alors
8
J. LOBSTEIN, Organiser, commander, structurer. Les trois impératifs de l’organisation. Paris, Ed.
Organisation, 1973.
11
CHAPITRE III
APPROCHES DU MANAGEMENT
-------------------------------------
0. INTRODUCTION
1. LE MANAGEMENT CLASSIQUE
9
A. SMITH, La richesse des nations, Paris, Ed GF Flammarion, 1991, tome, p. 72.
19
Par contre, si les tâches sont réparties entre une dizaine d’ouvriers, alors la
production pourrait atteindre 48 000 épingles/jour. La production d’un
travailleur en une journée passe donc de 20 à 48 000/10 = 4800, soit une
multiplication par 240, d’où d’exceptionnels gains de productivité.
un pas ou deux de plus à chaque fois qu’il prendra sa pièce pour l’usiner. Et
tous ces pas économisés dans une journée par des milliers d’ouvriers
permettront en définitive de diminuer le temps de fabrication d’un bien, de
gagner en productivité et de baisser les coûts unitaires de production donc
le prix de vente. Au total, le travail sera plus efficace et la productivité de
chaque travailleur augmentera.
1.2.1.1. Avantages
a) Organisation du Travail
b) La gestion du personnel
1.3. Le Fordisme
a) Le travail à la chaîne
Il a été mis au point en 1913 à l’usine Highland Park de Détroit aux USA
pour produire le fameux modèle de la Ford T. Un ouvrier qui travaille à la
chaîne est un ouvrier qui effectue une tâche partielle et répétitive sur un
produit qui soit se déplace devant lui (par un convoyeur), soit lui est
24
transmis par son voisin sans qu’il y ait entre eux de possibilité de réaliser
des « stocks tampon » (stoker les produits à usiner). Il y a donc une cadence
à suivre, cadence imposée par la vitesse du convoyeur (la chaîne).
Tous les ouvriers sont dépendants, sont liés les uns aux autres puisque
chacun effectue une tâche complémentaire de l’autre. Si l’un d’entre eux
prend du retard, tous les ouvriers qui suivent sont pénalisés. Cette méthode a
été immortalisée par le film Les Temps Modernes de Charlie Chaplin (en 1936).
Cette méthode génère des gains de productivité élevés mais suppose que le
produit à fabriquer soit toujours le même tant que la chaîne ne s’arrête pas.
C’est pourquoi le second apport de Ford est la standardisation.
Henri Ford comprend que s’il veut conserver ses ouvriers (les démissions
sont importantes) il doit augmenter les salaires. Ceux-ci sont de 2 à 3
dollars/jour en 1913. Le 1er janvier 1914, il décide de fixer le salaire à 5
dollars/jour (« the five dollars day »), soit un quasi doublement. C’est le
compromis salarial : Ford s’engage à mieux payer ses ouvriers en échange
de leur acceptation des conditions de travail difficiles (travail à la chaîne) et
des gains de productivité importants que cette méthode permet d’obtenir.
Ce fut un coup de génie, car les ouvriers mieux payés, purent acheter les
voitures qu’ils produisaient et faire de la publicité. Très vite, les ventes
décollèrent, d’autant que le prix des voitures baissait puisque la production
25
a) La crise « du travail »
10.Ordre. Il est à la fois matériel, exprimé par la maxime " une place pour
chaque chose et chaque chose à sa place " et social avec cette adaptation ;
une place pour chaque personne et chaque personne à sa place.
11. Équité. En Menant une activité une « combinaison de gentillesse et de
justice » est nécessaire. Bien traiter les employés est important pour
réaliser l'équité.
12. Stabilité du personnel. Les employés travaillent mieux si la sécurité de
l'emploi et la progression de carrière leurs sont assurés. Un
emploi temporaire et un taux élevé de rotation des employés affecteront
l'organisation défavorablement.
13. Initiative. C'est la liberté de proposer et d'exécuter. Elle contribue au
développement d'une dynamique car " à tous les niveaux de l'échelle
sociale, le zèle et l'activité des agents sont accrus par l'initiative.
L'initiative de tous, venant s'ajouter à celle du chef et, au besoin, la
suppléer, est une grande force pour les entreprises."
14. L'union du personnel. S'il convient de diviser les forces de l'adversaire
pour s'assurer la victoire, il faut à l'inverse favoriser l'union du personnel,
l'harmonie des relations
introduire ; pour y échapper, ils engendrent des groupes informels qui élaborent
des normes et font respecter des codes particuliers ; ce qui explique certains
freins mis à la production. Mayo terminait son enquête sur la nécessité de
tenir compte, à l'avenir, de l'existence de ces groupes informels.
Tout compte fait, que faut-il retenir concernant l’école des relations
humaines ?
DEUXIEME PARTIE
LE PROCESSUS DE MANAGEMENT
CHAPITRE IV
LA PLANIFICATION
---------------------
De tout temps, les hommes ont essayé d’imaginer leur futur. Des
oracles de Delphes aux horoscopes des hebdomadaires, des midinettes aux
politiciens, la prévision sous toutes ses formes et pour tous publics a été l’un des
exercices préparatoires à l’action ou à la non action.
10
Définition du Petit Robert, révisé et mis à jour en 1988.
39
11
R. A. THIETART, Le management, Que sais-je, Paris, PUF, 1980, p. 25.
40
I.2. La notion de plans : la notion de plan ne doit pas être confondue avec la
notion de planification
a) Le diagnostic
12
Ibidem.
13
G. A. STEINER, Top management planning, New-York, The Mc Millancy, 1969.
41
14
R. A. THIETART, op. cit., p. 29.
15
Ibidem.
42
Une fois les voies identifiées, il faut les évaluer ; l’évaluation devant
mener à un choix. Parfois, des solutions dominent et le choix est simple. Parfois
en revanche, des cheminements équivalents sont en concurrence et doivent être
soumis à un examen plus attentif.
d) La décision
16
Ibidem.
43
II.1. Contenu
Dans le cadre de ce cours, nous allons nous limiter aux deux concepts de
planification : la planification stratégique et la planification opérationnelle.
Ceci étant, il convient, pour mieux cerner la notion de planification stratégique,
de définir d’abord le vocable : stratégie d’autant plus que le terme stratégie
représente toute une partie du travail de hauts dirigeants des entreprises.
II.1.1.1. Stratégie
d’entreprise est puisée dans le domaine militaire tel que : stratégie offensive,
stratégie défensive, défense de territoire, attaque frontale.
17
K. ANDREW, The concept of corporate Strategy, Home-wood, illinois, Richard D. Irwin Inc., 1980.
18
OMAR AKTOUF, Le management entre tradition et renouvellement, édition révisée, Paris, Gaëtan Morin,
1989, p. 101.
46
19
MOHAMED BEN TAHAR, op. cit., p. 174-176.
47
20
MOHAMED BEN TAHAR, op. cit., p. 176-178.
49
Le plan stratégique ayant donné les grandes lignes directrices, ainsi que
leur articulation en moyen et en durée, il s’agit avant de passer à l’action
quotidienne d’établir les objectifs opérationnels afin que chaque membre de
l’organisation puisse savoir ce qui doit être fait et ce que l’on attend de lui.
21
Ibidem, p. 194-195.
22
R. A. THIETART, op. cit., p. 34.
51
prévisionnelle, ces dernières sont articulées les unes par rapport aux autres pour
établir le plan opérationnel. Celui-ci assure donc le lien entre le guide général, le
plan stratégique, et les opérations courantes.
23
MOHAMED BEN TAHAR, op. cit., p. 195.
52
24
Ibidem, p. 198.
53
Sous-objectif Sous-objectif
(a) (b)
CA par
secteur
Sous-objectif Sous-objectif
(1) (2)
CA par
vendeur
Mr Y
a) Première méthode
b) Deuxième méthode
a) La politique de recrutement
b) La politique de promotion
c) La politique de salaire
58
- Le bonus ;
- Les primes ;
- Le « treizième », « quatorzième » ou même « quinzième » mois, et ce
variable en fonction des résultats obtenus par le personnel.
- Les vacances ;
- Les horaires variables ;
- Les conditions de travail agréable ;
- Les activités sociales, etc.
IV. LE BUDGET
25
R. A. THIETART, op. cit., p. 38-39.
61
tourné vers le passé, contrairement à ce que tout plan doit être, c’est-à-dire
orienté vers l’avenir.
Conclusion
CHAPITRE V
L’ORGANISATION
----------------------
26
MOHAMED BEN TAHAR, op. cit., p. 227.
64
27
L. von BERTALANFY, La théorie générale des systèmes, Paris, Dunod, 1973.
28
F. SEGUIN et J-F. CHANLAT, L’analyse des organisations, Tomme 2, Montréal, Gaëtan Morin, 1989.
29
G. MORGAN, Image de l’organisation, Quebec, Paris, Pul-Eska, 1989.
65
PDG
D.P DA DC
I I Aucune
influence
(1) (2)
AG de AG de
M1 M (n)
Aucune O O
influence
(1) (n)
Liens hiérarchiques
PDG
DP DA DC
OPRE OQRL AG de MR
de la q
OSP d’une CM
Liaisons fonctionnelles
30
Pour plus de détails sur le concept de poste de travail, voir Hillrielgal, Slocum, Woodman, Management des
organisations, traduit de l’américain par Michelle Traduit de l’américain par Michelle Trachan-Saporta. De
Boeck and Larcier, 1992, Département de Bock université Paris, Bruxelles, p. 360 à 390.
70
Exemple 1 : dans une chaîne de montage de carrosserie des cars, le travail d’un
ouvrier ne se limiterait pas à l’installation d’un seul feu arrière mais de deux
feux arrière et d’un coffre.
e) L’approche sociotechnique
En tout cas, les managers doivent veiller à ce qu’il n’y ait pas
d’intégration insuffisante entre les départements afin d’éviter une baisse de
la qualité des décisions et un gaspillage des ressources, ou une intégration
excessive entre les départements susceptibles de générer davantage de coût
que de bénéfices. De plus en cas d’intégration trop importante, les départements
ont tendance à ne pas s’entraider et se sentent plutôt gênés dans l’exécution de
leurs tâches et atteindre leurs objectifs.
31
Pour plus de détail, se référer à MOHAMED BEN TAHAR, Economie et organisation de l’entreprise, 1ère
édition, Press Imprimerie Papeterie, 2206, p. 161-166.
74
a) Les avantages
b) Les inconvénients
L’autorité descend, par une ligne continue et nette, une échelle bien
définie, de poste (voir organisation hiérarchique plus loin).
a) une entreprise
Direction
générale
Administration
Direction
générale
Administration
32
R. A. THIETART, Le management, p. 53.
78
Direction
Général
33
P.F. DRUCKER, La nouvelle pratique de la direction des entreprises, Paris, Ed. Organisation, 1975.
80
Il s’agit donc d’un système où le couplage est simple, où les éléments sont
reliés ensemble de façon faible peu fréquente, lente, ou avec des
interdépendances minimales ».
PDG
34
L. REINHART, H.J. SHAPIRO et E.A. KALLIMAN, Planning for change in the organizational structure,
Plainning review, Mars 1980, p. 27-31.
84
A B C D
Fonctions
Projets
deux sources de pouvoir risque d’être difficile dans la mesure où les acteurs ont
fréquemment des intérêts divergents.
CHAPITRE VI
LA DIRECTION
---------------------------
I. La motivation
35
F. w. TAYLOR, La direction scientifique des entreprises, Paris, Dunod, 1965.
36
A. H. MASLOW, Motivation and Personality, New-York, Harper & Row, 1954.
37
F. HERZBERG, Work and the nature of man, World Publishing Co, Ohio, Cleveland, 1966.
38
E. l. THORNDIKE, Animal Intelligence : Experimental Studies, New-York, Macmillan, 1911.
88
1. La théorie classique
39
K. LEWIN, The conceptual Representation and the Measurement of Psychological, Durham, Duke University
Press, 1938.
40
G. C. HOMANS, Social Behavior : its elementary forms, New York, Harcourt Brace, 1961.
89
Ces deux théories sont déjà exposées et analysées au chapitre relatif aux
différentes approches de management. Il n’est donc plus important de les
reprendre à ce niveau.
La théorie des pulsions trouve ses origines chez les philosophes grecs qui
développèrent les principes de l’hédonisme. Selon l’hédonisme, l’être
humain choisit, parmi différentes actions, celle qui maximise son plaisir ou
minimise sa peine.
41
C. L. HULL, Principles of Behaviour, New-York, Appleton Century, 1943.
42
P. ROUSSEL, La motivation au travail. Concepts et théories. Université Toulouse 1, Sciences sociales, 2000.
90
La motivation y est vue comme une force déterminée par trois facteurs qui
se
combineraient de façon multiplicative : l’expectation, l’instrumentalité, la
valence. La motivation = E x I x V
Théorie VIE-VROOM
Quelles mes chances de Que vais-je obtenir par Quelle valeur accordée
réussite ? ma performance ? aux avantages
X Xobtenus ?
Illustration
a) Expectation
b) Instrumentalité
c) Valence
5. La théorie de l’équité43
Elle est née dans les années 1960, suite aux recherches et expériences
menées par le psychologue John Stacey Adams. Selon cette théorie, chaque
salarié au travail a tendance à comparer sa situation (salaire, avantages, charge
de travail…) avec celle des autres personnels au sein de l’entreprise ou en
dehors de celle-ci. Cette comparaison peut conduire à un constat de non-équité
qui va pousser le salarié à agir pour rétablir l’équilibre. La recherche de la
"justice" est donc un moteur essentiel de la motivation individuelle.
Ratio d’Équité=Rétribution/Contribution
43
B. REYNAUD, Les théories de l'équité, fondements d'une approche cognitive du salaire d'efficience, dans
Revue économique, vol. 44, (1993) n°1, p. 6-8.
44
J.M. PERETTI, Les clés de l’équité. Enjeu managérial. Paris, Ed. Organisations, 2004, p. 5.
93
II. Le pouvoir
94
Celui qui donne des récompenses exerce un pouvoir. Comme Etzioni46 l’a
suggéré, le pouvoir peut être classé en différentes catégories :
45
M. CROZIER et E. FRIEDBERG, L’acteur et le système, Paris, Seuil, 1977.
46
A ETZIONI, A Comparative Analysis of Complex organization, Glencoe III, Free Press, 1961.
95
47
D. KATZ et R. L. KAHN, The Social Psychology of Organizations, New-York, Wiley & Sons, 1967.
96
III. Le conflit
à recevoir les demandes faites par les serveurs de statut plus faible et encore
moins à supporter leur insistance et leur impatience. Pour minimiser le conflit
entre ces deux groupes d’acteurs, une séparation physique est mise en place ; la
communication se faisant par l’intermédiaire de notes écrites : la commande.
IV. Le commandement
50
B. TANNEMBAUM et W. H. SCHMIDT, Comment choisir son style de direction, dans Harvard Bussiness
Review, mars-avril, 1958.
98
51
D. M. GREGOR, La dimension humaine de l’entreprise, Paris, Gauthier-Villars, 1969.
99
CHAPITRE VII
LE CONTROLE
----------------------
1. définition
2. Objectifs
1. Définition
2. Objectifs
A travers le contrôle des facteurs interne, le contrôle vise entre autres objectifs :
- de veiller à ce que les ressources, l’état des ressources et des façons de les
satisfaire sont parfaitement et adéquatement combinées ;
- de se constituer une vision d’ensemble permanente de ce qui se passe au
sein de l’organisation, ce qui facilite la localisation des points précis,
susceptibles d’être à l’origine des inadéquations éventuelles constatées à
un niveau ou à un autre.
3. Etendue du contrôle
52
MOHAMMED BEN TAHAR, Le management stratégique, 1ère édition, Press Imprimerie, Fès, 2005, p. 135-
173.
104
1. Définition
1. Définition
D. Le contrôle de gestion
53
MOHAMED BEN TAHAR, Economie et organisation de l’entreprise, Press Imprimerie papeterie, Fès, 2005.
109
54
D. BOERI, M. CUGUEN et al., Maitriser la qualité, tout sur la certification, la qualité totale et le management
éthique, normes ISO 9001.
55
R. A. THIETART, Op. cit., p. 105.
110
Tous les écarts, qu’ils soient significatifs ou non doivent être analysés.
Toutefois, une attention particulière doit être accordée aux premiers qu’aux
seconds. L’analyse doit déboucher vers une explication des raisons de ces écarts
avec la collaboration des opérateurs concernés.
3. L’action corrective
111
Quelle que soit la forme de l’action corrective adoptée, elle doit posséder
un certain nombre de caractéristiques. Tout d’abord, la correction doit être
rapide. Un bon contrôle doit rendre compte des déviations entre standard et
résultat aussitôt qu’elles apparaissent. Malheureusement, dans bien des cas, la
détection, l’interprétation et la transmission de l’information prennent du temps.
Aussi est-il nécessaire de connaître la période de temps acceptable entre
l’apparition d’un dérèglement du système et sa correction. Sans prise en compte
de ce délai acceptable, l’action corrective mise en œuvre avec retard risque
d’être préjudiciable au fonctionnement du système sous contrôle.
1. soit agir sur le niveau des objectifs qui avaient été fixés au départ,
seulement si le fossé ou l’écart entre la situation actuelle et la situation
souhaitée (c’est-à-dire planifiée, prévue) n’est pas tellement grand.
2. Soit agir sur la nature même des objectifs dans le sens du changement
complet de (s) objectif (s) et mettre en place de nouvelles priorités (des
objectifs nouveaux).
113
BIBLIOGRAPHIE
----------------------