Corrigés Maths 2ndes (Exercices de Vacances)

Télécharger au format pdf ou txt
Télécharger au format pdf ou txt
Vous êtes sur la page 1sur 30

𝟏

(𝑥 + 𝑦) = 𝑥² + 2𝑥𝑦 + 𝑦² ⟹ 1 = 2 + 2𝑥𝑦 ⟹ 𝒙𝒚 = − .
𝟐

LYCEE MBELE JUILLET 2020 √


2. Calculons 𝑦 sachant que 𝑥 =
DEPARTEMENT DE MATHEMATIQUES Niveau : 2nde S √ 𝟏 √𝟑
𝑥𝑦 = − ⟹ 𝑦=− ⟹𝑦=− ⟹𝒚=
√ 𝟐

CORRIGES DES EXERCICES DE VACANCES EXERCICE 3

1. Ecrire plus simplement A .


EXERCICE 1

Ecrivons plus simplement les expressions A, B et C.


𝐴= 2 + 1 + 3 + (5 + 1)² = 2 + 1 + √3 + 6 = 2 + √4 = 2
𝐴= = − + ÷ − − = × − =−
.
𝐴=2
𝟏𝟏𝟓
𝑨=− 2. Nature B.
𝟓𝟒
𝐵 =1+ =1+ =1+ =1+ =

𝐵= 1+ × 1− = × = = ×
𝐵 est un nombre décimal , car = = .
×
𝟏𝟐
𝑩= EXERCICE 4
𝟏𝟑

× × ( ) × 1. Démontrons que si 𝑥 est un nombre irrationnel, alors il en est de même


𝐶= = = = = 2² = 2
× × ²× × × pour .
√ √ Soit x un nombre réel.
𝐷= = = =

√ √ Par contraposition supposons que soit rationnel et montrons qu’il en est de même

pour x.
𝟑 √𝟑
D= Si est rationnel, alors il existe deux entiers et 𝑏 ,(𝑏 ≠ 0) tels que = .
𝟑
= ⟺ 𝑏(𝑥 + 1) = 2𝑎 ⟺ 𝑏𝑥 + 𝑏 = 2𝑎 ⟺ 𝑥 = , or 2𝑎 − 𝑏 ∈ ℤ
EXERCICE 2
𝑥 𝑒𝑡 𝑦 sont des nombres tels que : 𝑥 + 𝑦 = 1 𝑒𝑡 𝑥² + 𝑦² = 2 . Donc 𝑥 ∈ ℚ.


1. Développons et réduisons (𝑥 + 𝑦)² puis déterminons la valeur de 𝑥𝑦 . 2. Le nombre d’or est donné par : 𝜑 =
 Développons (𝑥 + 𝑦)².
a) Démontrons l’irrationalité de √5 .
(𝑥 + 𝑦) = 𝑥² + 2𝑥𝑦 + 𝑦²
 Déterminons 𝑥𝑦 Par l’absurde supposons √5 soit rationnel, alors il existe deux entiers 𝑝 et 𝑞
1
(𝑞 ≠ 0) tels que √5 = , étant irréductible. Donc F=2.
EXERCICE 6
√5 = ⟺ √5 = ⟺5= ⟺ 𝑝 = 5𝑞 ⟹ 𝑝 est un multiple de 5
On considère le nombre réel 𝐼 tel que pour tout entier naturel non nul 𝑛 :
⟹ p est un multiple de 5, Il existe un entier k tel que 𝑝 = 5𝑘, ainsi
𝐼= −
( )( ) ( )( )( )
𝑝 = 5𝑘 ⟹ 𝑝 = 25𝑘 ⟹ 25𝑘 = 𝑝 ⟹ 25𝑘 = 5𝑞 ⟹ 𝑞 = 5𝑘² ⟹ q est un
multiple de 5 i.e. est réductible, ce qui est absurde. Donc √5 est irrationnel. 1. Montrons que : 𝐼 = .
( )( )( )

b) Déduisons-en la nature du nombre d’or.


𝐼= −( )( )( )
= ( )( )( )
− ( )( )( )
=
( )( ) ( )( )(

√5 est irrationnel donc est irrationnel.
Donc 𝐼 = .
( )( )( )
c) Montrons que : 𝜑 = 𝜑 + 1.
2. Déduisons-en la valeur de .
√ √ √ √ √
𝜑 = = = = + =1+ = 𝜑 + 1.
𝑆= + +⋯+
× × × × × × × × ×
d) Déduisons-en le calcul de E .
= − + − + ⋯+ −
× × × × × × × × × × × ×
𝐸= 1+ 1+ 1+ 1+𝜑 = 1+ 1+ 1+ 𝜑 = 1+ 1+ 1+𝜑 = 1+ 1+𝜑 = 1+𝜑 =𝜑
= −
× × × ×

Donc E= 𝜑 .
=
EXERCICE 5
Donc 𝑆 = .
On considère l’équation (E) : 𝑥² − 2𝑥 = 1 et le réel 𝛽 = √2 + 1 .
EXERCICE 7
1. Montrons que 𝛽 est une solution de l’équation (E).
1) Comparons :
𝛽² − 2 𝛽 = √2 + 1 − 2( 2 + 1) = 2 + 2√2 + 1 − 2√2 − 2 = 1
Donc 𝛽 est une solution de (E). a) 𝑒𝑡
2. Déduisons-en que 𝛽 = 5𝛽 + 2 .
<1 𝟏𝟗𝟗 𝟐𝟎𝟎𝟏
𝛽 = 𝛽² × 𝛽 = (2 𝛽 + 1)𝛽 = 2 𝛽² + 𝛽 = 2(2 𝛽 + 1) + 𝛽 = 5 𝛽 + 2 ,car 𝛽² = 2𝛽 + 1. on a <1< , donc < .
𝟐𝟎𝟑 𝟏𝟗𝟗𝟗
>1
3. Donnons une écriture simple de 𝐹 = 𝛽 − 5𝛽 × √2 .
𝐹= 𝛽 − 5𝛽 × √2 = 5𝛽 + 2 − 5𝛽 × √2 = √2 × √2 = 2
2
b) − 𝑒𝑡 − 2𝑥 − 3𝑥 − 11𝑥 + 6 𝑥+2
2𝑥 − 4𝑥² 2𝑥² − 7𝑥 + 3
𝝅 𝝅 −7𝑥 − 11𝑥 + 6
5 < 7 ⟺ > 𝑃(𝑥) = 0 < .
𝟓 𝟕 7𝑥² + 14𝑥
3𝑥 + 6
c) 3 − 3√11 𝑒𝑡 3 − 5√3 −3𝑥 − 6
0
3√11 = 99
on a 99 > 75 ⟺ 3√11 > 5√3 ⟺ −3√11 < −5√3 ⟺ 𝟑 − 𝟑√𝟏𝟏 < 𝟑 − 𝟓√𝟑.
5√3 = 75 D’après la division euclidienne 𝑃(𝑥) = (𝑥 + 2)(2𝑥 − 7𝑥 + 3)
2) 𝑎 , 𝑏 𝑒𝑡 𝑐 sont des réels strictement positifs. D’où (𝒙) = 𝟐𝒙² − 𝟕𝒙 + 𝟑 .

a) Comparons et 2. On pose 𝑄(𝑥) = 2𝑥² − 7𝑥 + 3


Nous allons discuter de la comparaison de et suivant le signe de − . a) Mettons 𝑄(𝑥) sous la forme canonique.
( ) ( ) ( ) 7 3 7 49 3 7 25
− = ( )
= ( )
= ( )
= 𝑄(𝑥) = 2𝑥² − 7𝑥 + 3 = 2 𝑥 − 𝑥 + =2 𝑥− − − =2 𝑥− −
( ) 2 2 4 16 2 4 16
( ) 𝟐
Le signe de dépend de celui de 𝑎 − 𝑏 puisque 𝑐, 𝑏 et 𝑏(𝑏 + 𝑐) sont Donc 𝑸(𝒙) = 𝟐 𝒙 − 𝟕𝟒 − 𝟐𝟓 .
( ) 𝟏𝟔
strictement positifs , ainsi :
b) Factorisons 𝑄(𝑥).
 Si −𝑏 ≤ 0 , alors − ≤ 0 . donc ≤ ;
 Si −𝑏 ≥ 0 , alors − ≥ 0, donc ≥ ; 𝑄(𝑥) = 2 𝑥− − =2 𝑥− − ( )² = 2(𝑥 − 3)(𝑥 − )
√ 𝟏
b) Déduisons-en la comparaison de et Donc 𝑸(𝒙) = 𝟐(𝒙 − 𝟑)(𝒙 − ) .
√ 𝟐

√ c) Déduisons-en une factorisation de P (𝑥).


D’après ce qui précède comparer et revient à comparer 7 et 3.

1
𝟕 𝟕 √𝟐 𝑃(𝑥) = 2𝑥 − 3𝑥 − 11𝑥 + 6 = (𝑥 + 2)(2𝑥 − 7𝑥 + 3) = 2(𝑥 + 2)(𝑥 − 3)(𝑥 − )
On a 7 > 3 donc > 2
𝟑 𝟑 √𝟐

EXERCICE 8 3 a) résolvons l’équation 𝑃(𝑥) = 0

1 1
On considère le polynôme P défini par 𝑃(𝑥) = 2𝑥 − 3𝑥 − 11𝑥 + 6 . 𝑃(𝑥) = 0 ⟺ 2(𝑥 + 2)(𝑥 − 3) 𝑥 − = 0 ⟺ 𝑥 + 2 ou 𝑥 − 3 = 0 ou 𝑥 − = 0
2 2
1. a) vérifions que −2 est une racine de 𝑃(𝑥).
𝑃(−2) = 2(−2) − 3(−2) − 11(−2) + 6 = −16 − 12 + 22 + 6 = −28 + 28 = 0
⟺ 𝑥 = 2 ou 𝑥 = 3 ou 𝑥 =
Donc -2 est une racine de P(x).

b) Déterminons le polynôme Q de degré 2 tel que : 𝑃(𝑥) = (𝑥 + 2)𝑄(𝑥) . b) Dressons le tableau de signe de 𝑃(𝑥).

Utilisons la division euclidienne pour trouver le polynôme Q.


3
𝑥 1  Factorisation de P(x).
−∞ −2 3 +∞
2
2(𝑥 + 2) − + + + 𝑃(𝑥) = (2𝑥 + 3) − (𝑥 − 1) = (2𝑥 + 3 − 𝑥 + 1)(2𝑥 + 3 + 𝑥 − 1) = (𝑥 + 4)(3𝑥 + 2)
𝑥−3 − − − +
1
− − + +  Tableau de signes de P(x).
𝑥−
2
𝑃(𝑥) − + − + 2
𝑃(𝑥) = 0 ⟺ (𝑥 + 4)(3𝑥 + 2) = 0 ⟺ 𝑥 = −4 ou 𝑥 = −
c) Déduisons-en l’ensemble solution de l’inéquation 𝑃(𝑥) < 0 3
𝟏 𝑥 −2
D’après le tableau de signes de P(x), 𝑺 = ]−∞; −𝟐[ ∪ ;𝟑 . −∞ −4 3 +∞
𝟐
𝑥+4 − + +
d) Sans calculer déterminer le signe de 𝑃(√11). 3𝑥 + 2 − − +
𝑃(𝑥) + − +
√11 ∈ ]3; +∞[ , donc 𝑃(√11) > 0. 3. Déduisons le plus grand ensemble sur lequel :
a) (2𝑥 + 3) ≤ (𝑥 − 1)²
( )
4 . On pose (𝑥) = .
( )( )
(2𝑥 + 3) ≤ (𝑥 − 1) ⟺ (2𝑥 + 3) − (𝑥 − 1)² ≤ 0 ⟺ 𝑃(𝑥) ≤ 0
a) Donnons l’ensemble de définition de 𝐻(𝑥).
𝟐
1 1 L’ensemble recherché est : −𝟒; −
𝑥 ∈ 𝐷 ⟺ 𝑥 ∈ ℝ et (𝑥 − 1) 𝑥 − ≠ 0 ⟺ 𝑥 ∈ ℝ 𝑒𝑡 𝑥 ≠ 1 𝑒𝑡 𝑥 ≠ ⟺ 𝑥 ∈ ℝ − ;1 𝟑
2 2
Donc 𝑫𝑯 = ℝ − ; 𝟏 . 𝟏
𝟐 b) 4𝑥 + 12𝑥 + 9 > 𝑥 − 2𝑥 + 1

b) Simplifions 𝐻(𝑥). 4𝑥² + 12𝑥 + 9 > 𝑥² − 2𝑥 + 1 ⟺ 3𝑥 + 14𝑥 + 8 > 0 ⟺ 𝑃(𝑥) > 0


L’ensemble recherché est ]−∞; −𝟒[ ∪ − 𝟐 𝟑 ; +∞
( ) ( )( )( ) ( )( )
𝐻(𝑥) = = = EXERCICE 10
( )( ) ( )( )
Soit 𝑃 le polynôme de degré 3 qui vérifie 𝑃(𝑥 + 1) − 𝑃(𝑥) = 𝑥² . 𝑛 est un entier
𝟐(𝒙 𝟐)(𝒙 𝟑)
naturel tel que 𝑛 ≥ 1 .
Donc 𝑯(𝒙) =
𝒙 𝟏
1. Démontrons que : 1² + 2² + ⋯ + 𝑛 = 𝑃(𝑛 + 1) − 𝑃(1) .
EXERCICE 9 D’après l’hypothèse 𝑃(𝑛 + 1) − 𝑃(𝑛) = 𝑛² , ainsi
1² = 𝑃(1 + 1) − 𝑃(1)

𝑥 désigne un nombre réel et P le polynôme tel que 𝑃(𝑥) = 3𝑥² + 14𝑥 + 8 ⎪ 2² = 𝑃(2 + 1) − 𝑃(2)
⎪ 3² = 𝑃(3 + 1) − 𝑃(3)
1. Vérifions que 𝑃(𝑥) = (2𝑥 + 3) − (𝑥 − 1) .

.
(2𝑥 + 3) − (𝑥 − 1) = 4𝑥 + 12𝑥 + 9 − 𝑥 + 2𝑥 − 1 = 3𝑥 + 14𝑥 + 8 = 𝑃(𝑥) ⎪
⎪ .
⎩𝑛² = 𝑃(𝑛 + 1) − 𝑃(𝑛)
Donc 𝑃(𝑥) = (2𝑥 + 3) − (𝑥 − 1) .
1² + 2² + 3² + ⋯ + 𝑛 = 𝑃(2) − 𝑃(1) + 𝑃(3) − 𝑃(2) + 𝑃(4) − 𝑃(3) + ⋯ + 𝑃(𝑛 + 1) − 𝑃(𝑛)
2. Factorisons 𝑃(𝑥) puis dressons son tableau de signes.
4
Donc 1² + 2² + ⋯ + 𝑛 = 𝑃(𝑛 + 1) − 𝑃(1) . 𝑨 = 𝒙𝟑 − 𝟐𝒙𝟐 − 𝒙 − 𝟐
²
2. On pose : 𝑃(𝑥) = − + .
( )( )
𝐵(𝑥) = −3𝑥(1 − 𝑥)(𝑥 + 2) + (𝑥 − 1)
a) Démontrons que : 1² + 2² + …+ 𝑛² = = (−3𝑥 + 3𝑥 )(𝑥 + 2) + 𝑥 − 3𝑥 + 3𝑥 − 1
= −3𝑥 − 6𝑥 + 3𝑥 + 6𝑥 + 𝑥 − 3𝑥 + 3𝑥 − 1
D’après le résultat précédent , = 4𝑥 − 3𝑥 − 1
𝑩(𝒙) = 𝟒𝒙𝟑 − 𝟑𝒙 − 𝟏
1² + 2² + ⋯ + 𝑛 = 𝑃(𝑛 + 1) − 𝑃(1)
2. Factorisons.
( ) ( )
= − + +0
𝐸(𝑥) = (2𝑥 − 1)(3𝑥 + 2) + 4(1 − 2𝑥)
( )² = (2𝑥 − 1)(3𝑥 + 2) − 4(2𝑥 − 1)
= (𝑛 + 1) − − = (2𝑥 − 1)[(3𝑥 + 2) − 4]
= 3𝑥(2𝑥 − 1)(3𝑥 + 4)
( ) ( )
= (𝑛 + 1) − − 𝑬(𝒙) = 𝟑𝒙(𝟐𝒙 − 𝟏)(𝟑𝒙 + 𝟒)
1 15 1 − √15 1 + √15
² 𝐹(𝑥) = 2𝑥² + 2𝑥 − 7 = 2 𝑥 + − =2 𝑥+ 𝑥+
= (𝑛 + 1) 2 4 2 2
𝟏 − √𝟏𝟓 𝟏 + √𝟏𝟓
=
( )( ) 𝑭(𝒙) = 𝟐 𝒙 + 𝒙+
𝟐 𝟐
𝐻(𝑥) = (3𝑥 − 5) − 2(𝑥 + 3)(3𝑥 − 5) + (𝑥 + 3)²
( )( )
Donc 1² + 2² + …+ 𝑛² = . = [(3𝑥 − 5) − (𝑥 + 3)]²
= (2𝑥 − 2)²
b) Déduisons-en le calcul de S = 1² + 2² +…+ 100². 𝑯(𝒙) = (𝟐𝒙 − 𝟐)²
𝐺(𝑥) = (2 − 3𝑥) + (15𝑥 + 3)(2 − 3𝑥) + 3(2 − 3𝑥)(5𝑥 + 1) + (5𝑥 + 1)
S = 1² + 2² +…+ 100² dans ce cas n=100
= (2 − 3𝑥) + 3(5𝑥 + 1)(2 − 3𝑥) + 3(2 − 3𝑥)(5𝑥 + 1) + (5𝑥 + 1)
=
× × = [(2 − 3𝑥) + (5𝑥 + 1)]

𝑮(𝒙) = (𝟐𝒙 + 𝟑)𝟑


=338350
EXERCICE 12
Donc S=338350
Donnons l’ensemble de définition de chacune des fonctions suivantes.
EXERCICE 11
𝑓(𝑥) = 𝑥 − (2 − 𝑥) + 7
1. Développons et réduisons.
𝑫𝒇 = ℝ , car 𝑓 est une fonction polynôme.
𝐴(𝑥) = (𝑥 + 1)(𝑥 + 2)(𝑥 − 1)
= (𝑥 − 1)(𝑥 + 2) 𝑥+5 𝑥
ℎ(𝑥) = −
= 𝑥 − 2𝑥 − 𝑥 − 2 𝑥 1 − 4𝑥
5
𝑥 ∈ 𝐷 ⟺ 𝑥 ∈ ℝ et 𝑥 ≠ 0 et 1 − 4𝑥² ≠ 0 Donc 180 a exactement 18 diviseurs entiers naturels.
⟺ 𝑥 ∈ ℝ et 𝑥 ≠ 0 et 𝑥 ≠ et 𝑥 ≠ −
b) Déterminons l’ensemble de diviseurs positifs de 180.
𝟏 𝟏
𝑫𝒇 = ℝ ∖ − ; 𝟎;
𝟐 𝟐 2 2 2
𝑥+1 3 1 2 4
𝑔(𝑥) =
√2 − 𝑥 3 3 6 12
3 9 18 36
𝑥 ∈ 𝐷 ⟺ 𝑥 ∈ ℝ et 2 − 𝑥 > 0

⟺ 𝑥 ∈ ℝ et 𝑥 < 2 1 2 3 4 6 9 12 18 36
𝑫𝒈 = ]−∞; 𝟐[ 5 1 2 3 4 6 9 12 18 36
5 5 10 15 20 30 45 60 90 180
L’ensemble des diviseurs positifs de 180 est :
𝑝(𝑥) = 𝑥² − 𝑥 − 6
{𝟏; 𝟐; 𝟑; 𝟒; 𝟓; 𝟔; 𝟗; 𝟏𝟎; 𝟏𝟐; 𝟏𝟓; 𝟏𝟖; 𝟐𝟎; 𝟑𝟎; 𝟑𝟔; 𝟒𝟓; 𝟔𝟎; 𝟗𝟎; 𝟏𝟖𝟎}
𝑥 ∈ 𝐷 ⟺ 𝑥 ∈ ℝ et 𝑥² − 𝑥 − 6 ≥ 0
3 .a) donnons l’écriture de binaire de 29 puis l’écriture octale de 504.
Dressons le tableau de signe de 𝑥² − 𝑥 − 6
 Ecriture binaire de 29  Ecriture octale de 504
𝑥 − 𝑥 − 6 = 0 ⟺ 𝑥 + (2 − 3)𝑥 − 2 × 3 = 0 29 2 504 8
⟺ 𝑥 + 2𝑥 − 3𝑥 − 2 × 3 = 0 1 14 2 0 63 8
⟺ 𝑥(𝑥 + 2) − 3(𝑥 + 2) = 0 0 7 2 7 7
⟺ (𝑥 + 2)(𝑥 − 3) = 0 1 3 2
⟺ 𝑥 = −2 ou 𝑥 = 3 1 1
Donc : 𝟓𝟎𝟒 = 𝟕𝟕𝟎𝟖
𝑥 −∞ −2 3 +∞ Donc : 𝟐𝟗 = 𝟏𝟏𝟏𝟎𝟏𝟐
𝑥+2 − + +
𝑥−3 − − + b) Un nombre s’écrit 105 en base b puis 41en base 10. Déterminons la base de
𝑥² − 𝑥 − 6 + − + numération b.
D’après le tableau de signe 𝑫𝒑 = ]−∞; −𝟐] ∪ [𝟑 + ∞[ 105 = 5𝑏 + 0𝑏 + 1𝑏² = 𝑏² + 5 , or 105 = 41 , ainsi 𝑏² + 5 = 41
𝑏² + 5 = 41 ⟺ 𝑏 = 36 ⟺ 𝑏 = 6 ou 𝑏 = −6 , or 𝑏 ≥ 2 donc b = 6.
EXERCICE 13
4)On considère la fraction A rationnelle définie pour tout entier relatif n par
1. Ecrivons la division euclidienne de -511 par 17. 𝐴= .

D’après la division euclidienne : −511 = 17 × (−𝟑𝟏) + 𝟏𝟔 a) Déterminons deux entiers a et b tels que A= 𝑎 + .
Par division euclidienne de 3n+2 par n-4 on a : A= 3 +
2. a) Déterminons le nombre de diviseurs de 180.

180 = 2² × 3² × 5 D’où a=3 et b=14 .


Le nombre de diviseurs entiers naturels des 180 est N=(2+1)(2+1)(1+1) b)En déduire tous les entiers n pour lesquels A est un entier relatif.
6
14 ⟺ (𝑥) + (2) − (𝑥 + 2)(5𝑥 − 2𝑥 + 3) = 0
𝐴 ∈ℤ⟺ 3+ ∈ℤ⟺𝑛−4∈𝐷 ⟺ 𝑛 − 4 ∈ {−14; −7; −2; −1; 1; 2; 7; 14}
𝑛−4 ⟺ (𝑥 + 2)(𝑥 − 2𝑥 + 4) − (𝑥 + 2)(5𝑥 − 2𝑥 + 3) = 0
Car 𝑎 + 𝑏 = (𝑎 + 𝑏)(𝑎 − 𝑎𝑏 + 𝑏 )
𝑛 − 4 = −14 ⟺ 𝑛 = −10 𝑛−4 = 1 ⟺𝑛 = 5
⟺ (𝑥 + 2)[(𝑥 − 2𝑥 + 4) − (5𝑥 − 2𝑥 + 3)] = 0
𝑛 − 4 = −7 ⟺ 𝑛 = −3 𝑛−4 = 2 ⟺𝑛 = 6
⟺ (𝑥 + 2)(1 − 4𝑥 ) = 0
𝑛 − 4 = −2 ⟺ 𝑛 = 2 𝑛 − 4 = 7 ⟺ 𝑛 = 11
⟺ (𝑥 + 2)(1 − 2𝑥)(1 + 2𝑥) = 0 on factorise 1 − 4𝑥
𝑛 − 4 = −1 ⟺ 𝑛 = 3 𝑛 − 4 = 14 ⟺ 𝑛 = 18
L’ensemble des entiers n pour lesquels A entier relatif est : ⟺ 𝑥 = −2 𝑜𝑢 𝑥 = 𝑜𝑢 𝑥 = −
𝟏 𝟏
{−𝟏𝟎; −𝟑; 𝟐; 𝟑; 𝟓; 𝟔; 𝟏𝟏; 𝟏𝟖} 𝑺 = −𝟐; − ;
𝟐 𝟐
5. Par l’algorithme d’Euclide calculons le PGCD de 3300 et 882. (𝐸 ): =
2𝑥 − 7 𝑥+3
= ⟺ (2𝑥 − 7)(2𝑥 − 7) = (𝑥 + 3)(𝑥 + 3) et 𝑥 + 3 ≠ 0 et 2𝑥 − 7 ≠ 0
Dividende 3300 882 654 228 198 30 18 12 𝑥+3 2𝑥 − 7
Diviseur 882 654 228 198 30 18 12 6
Reste 654 228 198 30 18 12 6 0 ⟺ (2𝑥 − 7) = (𝑥 + 3) et 𝑥 ≠ −3 et 𝑥 ≠
⟺ 2𝑥 − 7 = 𝑥 + 3 ou 2𝑥 − 7 = −(𝑥 + 3) et 𝑥 ≠ −3 et 𝑥 ≠
PGCD(3300 ;882)=6 ⟺ 𝑥 = 10 ou 3𝑥 = 4 et 𝑥 ≠ −3 et 𝑥 ≠
⟺ 𝑥 = 10 ou 𝑥 = et 𝑥 ≠ −3 et 𝑥 ≠
EXERCICE 14
𝟒
Résolvons dans ℝ. 𝑺= ; 𝟏𝟎
𝟑
EXERCICE 15
(𝐸 ) ∶ = Résoudre dans ℝ les équations suivantes.
(𝐸 ) =
3𝑥 − 5 2𝑥 + 1 3𝑥 − 5 2𝑥 + 1
= ⟺6× =6× = ⟺ 3(𝑥 + 1) = 1 − 2𝑥 et 1 − 2𝑥 ≠ 0
3 2 3 2
⟺ 2(3𝑥 − 5) = 3(2𝑥 + 1) ⟺ 3𝑥 + 3 = 1 − 2𝑥 et 𝑥 ≠
⟺ 6𝑥 − 10 = 6𝑥 + 3
⟺𝑥=− et 𝑥 ≠
⟺ 0 = 13 faux.
𝑺=∅ 𝟐
𝑺= −
(𝐸 ): 𝑥² − 2𝑥 = 3𝑥(𝑥 − 2) 𝟓
𝑥² − 2𝑥 = 3𝑥(𝑥 − 2) ⟺ 𝑥² − 2𝑥 − 3𝑥(𝑥 − 2) = 0 (𝐸 ): =3
⟺ 𝑥(𝑥 − 2) − 3𝑥(𝑥 − 2) = 0 𝑥+2 𝑥+2
⟺ (𝑥 − 2)(−2𝑥) = 0 =3 ⟺ = 3² et 5 − 𝑥 ≠ 0
5−𝑥 5−𝑥
⟺ 𝑥 − 2 = 0 ou − 2𝑥 = 0
⟺ 𝑥 = 2 ou 𝑥 = 0 ⟺ = 3 ou = −3 et 5 − 𝑥 ≠ 0
𝑺 = {𝟎; 𝟐} ⟺ 𝑥 + 2 = 3(5 − 𝑥) ou 𝑥 + 2 = −3(5 − 𝑥) et 𝑥 ≠ 5
(𝐸 ): 𝑥 + 8 = (𝑥 + 2)(5𝑥 − 2𝑥 + 3) ⟺ 𝑥= ou 𝑥 =
𝑥 + 8 = (𝑥 + 2)(5𝑥 − 2𝑥 + 3) ⟺ 𝑥 + 8 − (𝑥 + 2)(5𝑥 − 2𝑥 + 3) = 0

7
𝟏𝟑 𝟏𝟕 𝟏
𝑺= ; 𝑺= ; 𝟏𝟎
𝟒 𝟐 𝟓
(𝐸 ): |3𝑥 − 1| = 1 − 2𝑥 1
(𝐸 ) = 𝑥 + 1
|3𝑥 − 1| = 1 − 2𝑥 ⟺ (3𝑥 − 1) = (1 − 2𝑥) et 1 − 2𝑥 ≥ 0 𝑥
1
⟺ 3𝑥 − 1 = 1 − 2𝑥 𝑜𝑢 3𝑥 − 1 = 2𝑥 − 1 et 𝑥 ≤ = 𝑥 + 1 ⟺ 𝑥(𝑥 + 1) = 1 ⟺ 𝑥 + 𝑥 − 1 = 0 et 𝑥 ≠ 0
𝑥
⟺ 𝑥= 𝑜𝑢 𝑥 = 0 et 𝑥 ≤ ⟺ 𝑥+ − = 0 et 𝑥 ≠ 0
𝟐
𝑺 = 𝟎; ⟺ 𝑥+

𝑥+

= 0 et 𝑥 ≠ 0
𝟓
(𝐸 ): 𝑥 − 7𝑥² − 18 = 0 √ √
⟺𝑥= ou 𝑥 = − et 𝑥 ≠ 0
Posons 𝑋 = 𝑥², l’équation (𝐸 ) devient (𝐸 ′): 𝑋² − 7𝑋 − 18 = 0. 𝟏 + √𝟓 √𝟓 − 𝟏
𝑺= − ;
Déterminons les valeurs possibles de 𝑋 . 𝟐 𝟐
7 121 EXERCICE 16
𝑋² − 7𝑋 − 18 = 0 ⟺ 𝑋 − − =0
2 4 On désigne par 𝑑 la distance totale parcourue ; 𝑑 , 𝑑 et 𝑑 les distances parcourues
⟺ (𝑋 − 9)(𝑋 + 2) = 0 sur chacun des trois tronçons respectivement ; 𝑣 , 𝑣 et 𝑣 les vitesses du cycliste
⟺ 𝑋 = 9 𝑜𝑢 𝑋 = −2 sur chacun des trois tronçons respectivement ; 𝑡 , 𝑡 et 𝑡 , les durées de parcours de
Déterminons les valeurs possibles de 𝑥. chacun des tronçons.
 𝑋 = 9 ⟺ 𝑥² = 9 ⟺ 𝑥 = √9 ou 𝑥 = −√9 ⟺ 𝑥 = 3 ou 𝑥 = −3 . On a 𝑡 + 𝑡 + 𝑡 = 9 or 𝑡 = ainsi, + + = 9
 𝑋 = −2 ⟺ 𝑥² = −2. Aucune solution dans ℝ car 𝑥² ≥ 0
Donc 𝑺 = {−𝟑; 𝟑} Comme 𝑑 = 𝑑 = 𝑑 = alors l’équation devient + + =9

(𝐸 ): 2 Déterminons 𝑑 .
−5 −3 = 0
+ + =9⟺𝑑 + + =9
(𝐸 ): 2 −5 −3 = 0
Posons 𝑋 = , l’équation (𝐸 ) devient (𝐸 ′): 2𝑋² − 5𝑋 − 3 = 0. ⟺𝑑 =9
Déterminons les valeurs possibles de 𝑋 .
5 49 ⟺𝑑=
2𝑋² − 5𝑋 − 3 = 0 ⟺ 2 𝑋 − − =0
4 16
× × ×
⟺ 2(𝑋 − 3) 𝑋 + =0 AN : 𝑑 = = 180
× × ×

⟺ 𝑋 = 3 ou 𝑋 = − Donc la distance parcourue est de 180km


Déterminons les valeurs possibles de 𝑥.
EXERCICE 17
𝑋= . Contrainte sur 𝑥 : 𝑥 − 3 ≠ 0 ⟺ 𝑥 ≠ 3 ⟺ 𝑥 ∈ ℝ ∖ {3} .
∀𝑥 ∈ ℝ ∖ {3}; Soit 𝑥 le côté du terrain et 𝑦 la côte de la pelouse. Les aires du terrain et de la
 𝑋=3⟺ = 3 ⟺ 2𝑥 + 1 = 3(𝑥 − 3) ⟺ −𝑥 = −10 ⟺ 𝑥 = 10 ; pelouse
Sont respectivement 𝑥² et 𝑦²
 𝑋=− ⟺ = − ⟺ 2(2𝑥 + 1) = −(𝑥 − 3) ⟺ 𝑥 = .
8
Aire non aménagée =Aire terrain –Aire pelouse Soit 𝐶 le capital initial, 𝐶 , 𝐶 𝑒𝑡 𝐶 la capitaux des 1ere , 2e et 3e année
Ainsi , 𝐴𝑖𝑟𝑒 𝑛𝑜𝑛 𝑎𝑚é𝑛𝑎𝑔é𝑒 = 𝑥² − 𝑦² (1) respectivement.
Les périmètres du terrain et de la pelouse sont respectivement 4𝑥 et 4𝑦 or On a :
Périmètre terrain = périmètre pelouse +32 Année Capital
Ainsi, 4𝑥 = 4𝑦 + 32 (2) 1ere
Contraintes :0 < 𝑦 < 𝑥
Calculons le côté, puis l’aire totale du terrain. EXERCICE 20
𝑥² − 𝑦² = 464 (1) Les bonnes réponses sont en rouge.
On a le système
4𝑥 = 4𝑦 + 32 (2)
𝑦 = 𝑥 − 8 d’après (2). En substituant 𝑦 dans (1) on obtient Question Proposition Proposition Proposition C
𝑥² − (𝑥 − 8) = 464. Déterminons 𝑥, puis 𝑥² . A B
𝑥² − (𝑥 − 8) = 464 ⟺ 𝑥² − 𝑥² + 16𝑥 − 64 = 464 Si 1 − 𝑥 > 3 ,alors 𝑥 = −2 𝑥 ∈ ]−2; +∞[ 𝑥 ∈ ]−∞; −2[
⟺ 16𝑥 = 528 Si 𝑥 ∈ [−3; 3], alors 𝑥² − 9 > 0 𝑥² − 9 ≤ 0 9 − 𝑥² ≥ 0
⟺ 𝑥 = 33 ≥ 0 si et seulement si 𝑥 ∈ ]−3; 2[ 𝑥 ∈ [−3; 2[ 𝑥 ∈ [2; +∞[
⟹ 𝑥² = 1089
(𝑥 + 1)(2𝑥 − 6)² ≤ 0 a pour {3} ∅ [−1; 3]
Donc l’aire du terrain est de 1089 m².
Ensemble solution
EXERCICE 18
Soit 𝑥 et 𝑦 ,les longueurs AC et BC respectivement. EXERCICE 21
Contraintes : 0 < 𝑥 < 𝑦 Résolvons dans ℝ chacune des inéquations suivantes.
(𝐼 ): + < +𝑥
+ < + 𝑥 ⟺ 15(𝑥 − 3) + 6(2𝑥 + 1) < 10(2 − 𝑥) + 30𝑥
⟺ 15𝑥 − 45 + 12𝑥 + 6 < 20 − 10𝑥 + 30𝑥
⟺ 17𝑥 − 20𝑥 < 20 + 39
⟺ −3𝑥 < 59
⟺ 𝑥>−
𝟓𝟗
𝑺= − ; +∞
𝟑
AC+CB désigne la longueur du fil ,ainsi AC+CB=81 ⇔ 𝑥 + 𝑦 = 81 (1) (𝐼 ): 2𝑥 + 6 > 𝑥²(2𝑥 + 6)
Comme ABC est rectangle en A ,d’après Pythagore , AB²+AC²=BC². 2𝑥 + 6 > 𝑥 (2𝑥 + 6) ⟺ 2𝑥 + 6 −𝑥² (2𝑥 + 6) > 0
AB²+AC²=BC² ⇔ BC²-AC² = AB² ⇔ 𝑦² − 𝑥² = 2025 (2) ⟺ (2𝑥 + 6)(1 − 𝑥 ) > 0
D’après (1) 𝑦 = 81 − 𝑥. En substituant 𝑦 dans (2) on a (81 − 𝑥)² − 𝑥 = 2025 ⟺ (2𝑥 + 6)(1 − 𝑥)(1 + 𝑥) > 0
Déterminons 𝑥. ( )
(81 − 𝑥)² − 𝑥 = 2025 ⟺ 6561 − 162𝑥 + 𝑥² − 𝑥² = 2025 (2𝑥 + 6)(1 − 𝑥)(1 + 𝑥) = 0 ⟺ 2𝑥 + 6 = 0 ou 1 − 𝑥 = 0 ou 1 + 𝑥 = 0
⟺ −162𝑥 = −4536 ⟺ 𝑥 = −3 ou 𝑥 = 1 ou 𝑥 = −1
⟺ 𝑥 = 28 𝑥 −∞ −3 −1 1
Déterminons 𝑦. +∞
𝑦 = 81 − 𝑥 ⟺ 𝑦 = 81 − 28 ⟺ 𝑦 = 53 2𝑥 + 6 − + + +
Donc AC=28 cm et BC=53 cm 1+𝑥 − − + +
EXERCICE 19
9
1−𝑥 + + + − EXERCICE 22
(2𝑥 + 6)(1 − 𝑥)(1 + 𝑥) + − + − On considère la fonction numérique d’une variable réelle 𝑓 définie par :
𝑺 = ]−∞; −𝟑[ ∪ ]−𝟏; 𝟏[ 𝑓(𝑥) = 3𝑥 − 6𝑥 + 5 .
(𝐼 ): 𝑥 + 8 ≤ (3𝑥 + 2)(𝑥 − 2𝑥 + 4)
𝑥 + 8 ≤ (3𝑥 + 2)(𝑥 − 2𝑥 + 4) ⟺ 𝑥 + 2 − (3𝑥 + 2)(𝑥 − 2𝑥 + 4) ≤ 0 1. Déterminons les réels 𝛼 𝑒𝑡 𝛽 tels que 𝑓(𝑥) = 3(𝑥 − 𝛼) + 𝛽
⟺ (𝑥 + 2)(𝑥 − 2𝑥 + 4) − (3𝑥 + 2) (𝑥 − 2𝑥 + 4) ≤ 0
5 2
⟺ −2𝑥(𝑥 − 2𝑥 + 4) ≤ 0 𝑓(𝑥) = 3𝑥 − 6𝑥 + 5 = 3 𝑥 − 2𝑥 + = 3 (𝑥 − 1) + = 3(𝑥 − 1) + 2
⟺ −2𝑥[(𝑥 − 1) + 3] ≤ 0 3 3
⟺ −2𝑥 ≤ 0 ,car (𝑥 − 1) + 3 > 0 On a 𝑓(𝑥) = 3(𝑥 − 1) + 2 d’où 𝜶 = 𝟏 et 𝜷 = 𝟐.
⟺𝑥≥0
𝑺=ℝ 2. Démontrons que 𝑓 admet un minimum puis préciser en quelle valeur il est
(𝐼 ): ≥ atteint.
3 𝑥 3 𝑥
≥ ⟺ − ≥0 𝑓(𝑥) = 3(𝑥 − 1) + 2
𝑥+2 𝑥−1 𝑥+2 𝑥−1 ∀𝑥 ∈ ℝ , (𝑥 − 1)² ≥ 0
⟺ ≥0 (𝑥 − 1)² ≥ 0 ⟺ 3(𝑥 − 1)² ≥ 0
( )( )

=0⟺ −𝑥 + 𝑥 − 3 = 0 et (𝑥 + 2)(𝑥 − 1) ≠ 0 ⟺ 3(𝑥 − 1) + 2 ≥ 2


( )( ) ⟺ 𝑓(𝑥) ≥ 2
⟺− 𝑥− + = 0 et 𝑥 ≠ −2 et x ≠ 1. 2 est un minorant de , vérifions que 2 admet au moins un antécédent par 𝑓.
𝑓(𝑥) = 2 ⟺ 3(𝑥 − 1) + 2 = 2 ⟺ (𝑥 − 1) = 0 ⟺ 𝑥 = 1
𝑥 −∞ −2 1 +∞ ∀𝑥 ∈ ℝ , 𝑓(𝑥) ≥ 2 et 𝑓(1) = 2 donc 𝑓 admet en 1 un minimum égal à 2.
1 11 − − −
− 𝑥− +
2 4 3. On suppose que 𝑓(𝑥) = 3(𝑥 − 1) + 2
𝑥+2 − + + a) Etudions les variations de 𝑓 sur ] − ∞ ; 1] et sur ]1 ; +∞[
𝑥−1 − − +  Sur ]−∞; 1 ]
−𝑥 + 𝑥 − 3 − + −
Soit 𝑎 et 𝑏 deux réels de ]−∞; 1 ] tels que < 𝑏 . Comparons (𝑎)et 𝑓(𝑏) .
(𝑥 + 2)(𝑥 − 1)
Comme 𝑎 ∈] − ∞; 1[ , 𝑏 ∈ ]−∞; 1 ] et 𝑎 < 𝑏 alors 𝑎 < 𝑏 ≤ 1
𝑺 = ]−𝟐; 𝟏[
(𝐼 ): |𝑥 − 1| ≥ 2 − 3𝑥 𝑎 <𝑏 <1 ⟹𝑎−1 <𝑏−1 ≤ 1−1
|𝑥 − 1| ≥ 2 − 3𝑥 ⟺ (𝑥 − 1) ≥ (2 − 3𝑥) et 2 − 3𝑥 ≥ 0 ⟹𝑎−1<𝑏−1≤ 0
⟺ (4𝑥 − 3)(1 − 2𝑥) ≥ 0 et 2 − 3𝑥 ≥ 0 ⟹ (𝑎 − 1) > (𝑏 − 1)²
⟹ 3(𝑎 − 1) > 3(𝑏 − 1)²
(4𝑥 − 3)(1 − 2𝑥) = 0 ⟺ 𝑥 = ou 𝑥 = et 2 − 3𝑥 = 0 ⟺ 𝑥 =
⟹ 3(𝑎 − 1) + 2 > 3(𝑏 − 1) + 2
𝑥 −∞ +∞ ⟹ 𝑓(𝑎) > 𝑓(𝑏)
4𝑥 − 3 − − − + On a 𝑎 < 𝑏 ⟹ 𝑓(𝑎) > 𝑓(𝑏) ,donc 𝑓 est strictement décroissante sur]−∞; 1 ].
1 − 2𝑥 + − − −  Sur ]1; +∞[
(4𝑥 − 3)(1 − 2𝑥) − + + −
2 − 3𝑥 + + − − Soit 𝑎 et 𝑏 deux réels de ]1; +∞[ tels que 𝑎 < 𝑏 . Comparons (𝑎) et 𝑓(𝑏) .
𝟏 𝟐
𝑺= ;
𝟐 𝟑
10
Comme 𝑎 ∈]1; +∞[ , 𝑏 ∈]1; +∞[ et 𝑎 < 𝑏 alors 1 < 𝑎 < 𝑏 ℎ est une fonction affine de coefficient directeur -3. Comme −3 < 0 , alors ℎ est
strictement décroissante sur ℝ .
1 <𝑎 < 𝑏 ⟹1−1<𝑎−1<𝑏−1
 𝑔(𝑥) = √3 et 𝐴= ℝ .
⟹ 0<𝑎−1<𝑏−1
𝑔 est une fonction constante sur ℝ .
⟹ (𝑎 − 1) < (𝑏 − 1)²
 𝑢(𝑥) = et 𝐴 = ℝ∗
²
⟹ 3(𝑎 − 1) < (𝑏 − 1)²
Soit 𝑎 et 𝑏 ∈ ℝ∗ tels que 𝑎 < 𝑏. Comparons (𝑎) et 𝑢(𝑏) .
⟹ 3(𝑎 − 1) + 2 < 3(𝑏 − 1) + 2 𝑎 et 𝑏 ∈ ℝ∗ ⟺ 𝑎 𝑒𝑡 𝑏 ∈ ]−∞; 0[ ⟺ 𝑎 < 𝑏 < 0
1 1
𝑎 <𝑏 <0⟹𝑎 >𝑏 >0⟹𝑎 +1>𝑏 +1⟹ < ⟹ 𝑢(𝑎) < 𝑢(𝑏)
⟹ 𝑓(𝑎) < 𝑓(𝑏) 𝑎 +1 𝑏 +1
On a 𝑎 < 𝑏 ⟹ 𝑢(𝑎) < 𝑢(𝑏), donc 𝑢 est strictement croissante sur ℝ∗
On a 𝑎 < 𝑏 ⟹ 𝑓(𝑎) < 𝑓(𝑏) donc 𝑓 est strictement croissante sur ]1; +∞[ . EXERCICE 24
1. l’image de 1 par 𝑓 est -1.
Récapitulation : 𝑓 est strictement décroissante sur ]−∞; 1 ] et strictement croissante 2. l’antécédent de 4 par g est 2.
sur ]1; +∞[ . 3.𝑓 est définie sur ℝ .
b) Dressons le tableau de variation de sur [−3 ; 2]. 4. Tableau de variation de f .
𝑥 −∞ 0 +∞
𝑓(−3) = 50 et 𝑓(2) = 5 𝑓(𝑥)

−3 ∈] − ∞; 1[ donc 𝑓 est strictement décroissante sur [−3; 1[ . -3


5. Résolvons graphiquement
2 ∈]1; +∞[ donc 𝑓 est strictement croissante sur]1; 2]. D’où le tableau de a) 𝑓(𝑥) = 2
variation. 𝑓(𝑥) = 2 ⟺ 𝒙 ∈ {−𝟏, 𝟔; 𝟏, 𝟔}
b) 𝑓(𝑥) ≥ 5.
𝑓(𝑥) ≥ 5 ⟺ 𝒙 ∈ ]−∞; −𝟐] ∪ [𝟐; +∞[
𝑥 −3 1 2 c) 𝑓(𝑥) = 𝑔(𝑥)
5 𝑓(𝑥) = 𝑔(𝑥) ⟺ 𝒙 ∈ {−𝟎, 𝟖; 𝟏, 𝟖}
50 d) 𝑓(𝑥) < 𝑔(𝑥)
𝑓(𝑥) 𝑓(𝑥) < 𝑔(𝑥) ⟺ 𝒙 ∈ ]−𝟎, 𝟖; 𝟏, 𝟖[
6) Représentons graphiquement la
2 fonction affine ℎ(𝑥) = 3 − 𝑥
EXERCICE 23 Table de valeurs
𝑥 1 2
Donnons le sens de variation de chacune des fonctions suivantes dans A. ℎ(𝑥) 2 1
 𝑓(𝑥) = 2𝑥 − 1 et 𝐴= ℝ. 7) Donnons l’expression de g(x).
𝑓 est une fonction affine de coefficient directeur 2. Comme 2 > 0 , alors 𝑓 est Par lecture graphique g a pour
strictement croissante sur ℝ . coefficient directeur 2 et pour
 ℎ(𝑥) = 2 − 3𝑥 et 𝐴= ℝ . ordonnée à l’origine 0.
11
Donc 𝑔(𝑥) = 2𝑥 −1 −1
∆ = √3 =6 ∆ = √3 =6 ∆ = √3 √3 = 0
8) résolvons graphiquement ℎ(𝑥) = 𝑔(𝑥) 3 √3 3 √3 3 3
ℎ(𝑥) = 𝑔(𝑥) ⟺ 𝑥 ∈ {1}
𝑥 = = 1 et 𝑦 = = 0
EXERCICE 25
Utilisons la méthode de Cramer pour résoudre dans ℝ les systèmes suivants : 𝑺𝟓 = {(𝟏; 𝟎)}
5𝑥 − 𝑦 = 17 𝑥 + (√2 − 1)𝑦 = 1
(𝑆 ): (𝑆 ):
2𝑥 + 2𝑦 = −1 (√2 + 1)𝑥 + 𝑦√2 = 2
5 −1 17 −1 5 17 1 1
∆ = = 34 − 1 = 33 ∆ = = −5 − 34 = −39 1 √2 − 1 = √2 − 1
∆ =
2 2
= 10 + 2 = 12 −1 2 2 −1 ∆𝒔 = ∆𝒙 = 1 √2 − 1 = 2 − √2 ∆𝒚 =
√2 + 1 2
= 1 − √2
√2 + 1 √2 2 √2

𝑥= = et 𝑦 = − =− √ √
𝑥= = √2 et 𝑦 = = −1
𝟏𝟏 𝟏𝟑 √ √
𝑺𝟏 = ( ; ) 𝑺𝟔 = (√𝟐; −𝟏)
𝟒 𝟒
− =7 EXERCICE 26
(𝑆 ): Résolvons dans ℝ les systèmes suivants :
+ =1 𝑥−𝑦 = 0
1 1 (𝑆 ): 2𝑥 + 3𝑦 = −5
− 7 − 7
∆ = = + = ∆ = 4 = 7 + 1 = 15 ∆ = 5 =
1 7
− =−
32
−7𝑥 + 𝑦 = 6
1 2 4 4 1 5 3 15
1 1 𝑥−𝑦 = 0
2 3 Considérons le système extrait (𝑆 )
2𝑥 + 3𝑦 = −5
𝑥= = × = ; 𝑦= = × =− 1 −1 0 −1 1 0
∆ = =5 ∆ = = −5 ∆ = = −5
2 3 −5 3 2 −5
𝟐𝟐𝟓 𝟏𝟐𝟖 𝑥 = − = −1 et 𝑦 = − = −1
𝑺𝟐 = ( ;− )
𝟏𝟏 𝟏𝟏 Vérifions (-1 ;-1) est solution de -7x+y=6
0.4𝑥 − 0,7𝑦 = 1,5 4𝑥 − 7𝑦 = 15 -7(-1)+(-1)=7-1=6, (-1 ;-1) est une solution de -7x+y=6 et est par conséquent
(𝑆 ): ⟺
0,6𝑥 + 0,5𝑦 = 0,7 6𝑥 + 5𝑦 = 7 solution de (𝑆 ).
4 −7 15 −7 4 15
∆= = 20 + 42 = 62 ∆ = = 75 + 49 = 124 ∆ = = 28 − 90 = −62 𝑆 = {(−1; −1)}
6 5 7 5 6 7
𝑥= = 2 et 𝑦 = = −1 30𝑥 + 15𝑦 = 11
(𝑆 ): 2𝑥 + 𝑦 = 4
𝑺𝟑 = {(𝟐; −𝟏)}
28𝑥 + 14𝑦 = 19
𝑥√2 + 2𝑦 = 3 30𝑥 + 15𝑦 = 11
(𝑆 ): Considérons le système extrait (𝑆 ) ∶
𝑥 + 𝑦√2 = 5 2𝑥 + 𝑦 = 4
2 3 2 30 15 11 15
∆ = √2 =2−2=0 ∆ = = 3√2 − 10 ≠ 0 ∆ =
2 1
=0 ∆ =
4 1
= −49
1 √2 5 √2
On a ∆ = 0 et ∆ ≠ 0, les équations de 𝑆 sont incompatibles donc 𝑺 = ∅ On a ∆ = 0 et ∆ ≠ 0, (𝑆 ) n’admet pas de solution il en est de même pour (𝑆 )
𝑥√3 − 𝑦 = √3
(𝑆 ): 𝑺𝟐 = ∅
3𝑥 + 𝑦√3 = 3 EXERCICE 27
En utilisant un changement d’inconnues résolvons dans ℝ .
12
3𝑥² − 𝑦² = −6
(𝑆 ): posons : 𝑥² = 𝑋 et 𝑦² = 𝑌 , (𝑆 ) devient
−𝑥² + 2𝑦² = 17
3𝑋 − 𝑌 = −6
(𝑆′ ): la résolution de (𝑆′ ) donne X=1 et Y=9.Trouvons 𝑥 et 𝑦
−𝑋 + 2𝑌 = 17
 𝑋 = 1 ⟺ 𝑥 = 1 ⟺ 𝑥 = −1 ou 𝑥 = 1
 𝑌 = 9 ⟺ 𝑦 = 9 ⟺ 𝑦 = −3 ou 𝑦 = 3

𝑺𝟏 = {(−𝟏; −𝟑); (−𝟏; 𝟑); (𝟏; −𝟑); (𝟏; 𝟑)}


EXERCICE 31
3|𝑥| − = −2
(𝑆 ): Posons : |𝑥| = 𝑋 et 𝑌 = , (𝑆 ) devient
|𝑥| + =2

3𝑋 − 5𝑌 = −2
(𝑆′ ): La résolution de (𝑆′ ) donne X=Y=1.Trouvons 𝑥 et 𝑦
𝑋+𝑌=2
 𝑋 = 1 ⟺ |𝑥| = 1 ⟺ 𝑥 = 1 ou 𝑥 = −1
 𝑌=1⟺ = 1 ⟺ 𝑦 − 2 = 1 et 𝑦 ≠ 2 ⟺ 𝑦 = 3 et 𝑦 ≠ 2 .

𝑺𝟐 = {(−𝟏; 𝟑); (𝟏; 𝟑)}

√𝑥 + (𝑦 − 2)² = 3 √𝑥 + (𝑦 − 2)² = 3
(𝑆 ): ⟺ (𝑆 ): ⟺
−3√𝑥 + 𝑦² − 4𝑦 = −9 −3√𝑥 + (𝑦 − 2) − 4 = −9
√𝑥 + (𝑦 − 2)² = 3
(𝑆 ): ⟺Posons : X=√𝑥 et Y=(y-2)² , (𝑆 ) devient
−3√𝑥 + (𝑦 − 2) = −5
𝑋+𝑌 =3
(𝑆′ ): La résolution de (𝑆′ ) donne X=2 et Y=1.Trouvons
−3𝑋 + 𝑌 = −5
𝑥 et 𝑦. EXERCICE 32

1. On lance deux dés parfaitement équilibrés puis on note le couple de nombres


 𝑋 = 2 ⟺ √𝑥 = 2 et 𝑥 ≥ 0 ⟺ 𝑥 = 4
obtenu sur les faces supérieures.
 𝑌 = 1 ⟺ (𝑦 − 2) = 1 ⟺ 𝑦 − 2 = 1 ou 𝑦 − 2 = −1 ⟺ 𝑦 = 3 ou 𝑦 = 1
a) Déterminons le nombre de résultats possibles.
𝑺𝟑 = {(𝟒; 𝟏); (𝟒; 𝟑)}

EXERCICE 28 (cf cours zoom) Soit n le nombre de résultats possibles, alors n=6²=36. Donc il y a 36 résultats
possibles.
EXERCICE 30
b) Déterminons le nombre de couples de même parité.
Il y a autant de couples de même parité que ceux de parités différentes, ainsi
il y a exactement 18 couples de même parité.
13
2. Dans une classe de 60 élèves 22 étudient l’économie, 34 étudient les EXERCICE 33
mathématiques et 7 étudient les deux.
Soit A l’ensemble des élèves qui étudient l’économie et B l’ensemble de Le mot de passe du compte ponote d’un élève du lycée MBELE comporte huit
ceux qui étudient les mathématiques. caractères dont 6 lettres distinctes et deux chiffres. Quel est le nombre de mots de
passe possibles ?
a) Déterminons le nombre d’élèves qui étudient au moins une de deux
disciplines. Pour chacune des lettres on a 26 possibilités, soit 26 pour les six lettres puisque les
lettres peuvent se répéter. Pour chacun des chiffres on a 10 possibilités, soit 10² pour
𝐶𝑎𝑟𝑑(𝐴 ∪ 𝐵) = 𝐶𝑎𝑟𝑑(𝐴) + 𝐶𝑎𝑟𝑑(𝐵) − 𝐶𝑎𝑟𝑑(𝐴 ∩ 𝐵)
les deux chiffres en faisant varier les positions des lettres chiffres le nombres de
𝐶𝑎𝑟𝑑(𝐴 ∪ 𝐵) = 22 + 34 − 7 = 49 possibilité est multiplié par 8 ! soit 8 × 7 × 6 × 5 × 4 × 3 × 2 × 1 ;

Donc 49 élèves étudient au moins une des deux disciplines. On a 26 × 10² × 8! = 𝟏𝟐𝟒𝟓𝟓𝟒𝟖𝟒𝟎𝟖𝟖𝟑𝟐𝟎𝟎𝟎 mots de passe possible.

b) Déterminons le nombre d’élève qui n’étudient aucune des deux EXERCICE 34


disciplines.

𝐶𝑎𝑟𝑑(𝐴 ∪ 𝐵) = 𝐶𝑎𝑟𝑑(𝐸) − 𝐶𝑎𝑟𝑑(𝐴 ∪ 𝐵)

𝐶𝑎𝑟𝑑(𝐴 ∪ 𝐵) = 60 − 49 = 11

Donc 11 élèves n’étudient aucune des deux matières.

c) Déterminer le nombre d’élèves qui étudient seulement les


mathématiques.

𝐶𝑎𝑟𝑑(𝐵 ∖ 𝐴) = 𝐶𝑎𝑟𝑑(𝐵) − 𝐶𝑎𝑟𝑑(𝐴 ∩ 𝐵)

𝐶𝑎𝑟𝑑(𝐵 ∖ 𝐴) = 34 − 7 = 27

Donc 27 exactement étudient uniquement les mathématiques.

3. Une urne contient 6 boules indiscernables au toucher numérotées de 0 à 5. On tire


successivement et sans remise 3 boules.

Déterminons le nombre de tirages possibles.

Pour chacune des trois boules tirées on a 6 possibilités, soit 6 × 6 × 6 = 216 pour EXERCICE 35
les trois boules. Donc il y a exactement 216 possibilités.

14
Réponse : Vrai, d’après la propriété des angles inscrits.
b) Si le quadrilatère convexe ABCD est inscriptible, alors 𝑚𝑒𝑠 𝐵 = 180 −
𝑚𝑒𝑠𝐷 .
Réponse : vrai, car dans un quadrilatère convexe inscrit les angles opposés
sont supplémentaires.
2 .A, B et C sont les points du cercle (∁) de centre O ; [AM) et [BM) sont
les demi-tangentes à (∁) respectivement en A et B. 𝒎𝒆𝒔𝑨𝑴𝑩 = 𝟕𝟖°
C
(C)
EXERCICE 36
xO
1) Algorithme : Somme 2) Algorithme: Produit
Var :S entier Var:P ;entier
Début Début A
S 0 P 1 B
Pour i allant de 0 à 50 faire Pour i allant de 1 à 7 faire
S S+i P P*i
Fin pour Fin pour
78°
Afficher S Afficher P
Fin Fin
M
3) Algorithme: Impair 4) Algorithme : Pair a) Nature du triangle AMB.
Var: A entier Var:B entier
Début Début Sur le cercle (C) les angles 𝑀𝐴𝐵 et 𝑀𝐵𝐴 interceptent le même arc 𝐴𝐵, par
i 1 i 0 conséquent ils ont la même mesure, de plus 𝑚𝑒𝑠𝐴𝑀𝐵 = 78°.donc le triangle AMB
A 0 B 0 est isocèle en M.
Tant que 𝑖 ≤ 40 faire Tant que 𝑖 ≤ 40 faire
A A+i B B+i b) Déterminons 𝑚𝑒𝑠𝑀𝐴𝐵 , 𝑚𝑒𝑠𝐴𝐶𝐵 et 𝐴𝑂𝐵 𝑚𝑒𝑠 .
i i+2 i i+2  Déterminons 𝑚𝑒𝑠𝑀𝐴𝐵 .
Fin tant que Fin tant que
Afficher A Afficher B D’après la question précédente 𝑚𝑒𝑠𝑀𝐴𝐵 = 𝑚𝑒𝑠𝑀𝐵𝐴(1) , par ailleurs dans le
Fin Fin triangle MAB 𝑚𝑒𝑠𝑀𝐴𝐵 + 𝑚𝑒𝑠𝑀𝐵𝐴 + 𝑚𝑒𝑠𝐴𝑀𝐵 = 180°(2).

EXERCICE 37 𝑚𝑒𝑠𝑀𝐴𝐵 + 𝑚𝑒𝑠𝑀𝐵𝐴 + 𝑚𝑒𝑠𝐴𝑀𝐵 = 180° ⟺ 2𝑚𝑒𝑠𝑀𝐴𝐵 + 𝑚𝑒𝑠𝐴𝑀𝐵 = 180° (d’après (1))

1) Répondons par VRAI ou FAUX en justifiant notre réponse. °


⟺ 𝑚𝑒𝑠𝑀𝐴𝐵 =
a) Si deux angles interceptent le même arc, alors ils ont la même mesure
15
⟺ 𝑚𝑒𝑠𝑀𝐴𝐵 = = 51 2. a) Justifions que (𝐴𝐵⃗, 𝐴𝐶⃗ ) est une base de.

Donc 𝒎𝒆𝒔𝑴𝑨𝑩 = 𝟓𝟏° .


Dans le triangle ABC les vecteurs 𝐴𝐵⃗ et 𝐴𝐶⃗ sont non colinéaires. Donc (𝐴𝐵⃗ , 𝐴𝐶⃗ )
 Déterminons 𝑚𝑒𝑠𝐴𝐶𝐵 est une base .

Sur le cercle (C) les angles 𝐴𝐶𝐵 et 𝑀𝐴𝐵 interceptent le même arc 𝐴𝐵, par b) Donnons les coordonnées de 𝐸𝑄⃗ et 𝐸𝑅⃗ dans la base (𝐴𝐵⃗, 𝐴𝐶⃗ ) .
conséquent 𝑚𝑒𝑠𝐴𝐶𝐵 = 𝑚𝑒𝑠𝑀𝐴𝐵 = 51°.
Trouvons les réels 𝛼 , 𝛽, 𝛼 et 𝛽′ tels que : 𝐸𝑄⃗ = 𝛼𝐴𝐵⃗ + 𝛽𝐴𝐶⃗ et 𝐸𝑅⃗ = 𝛼′𝐴𝐵⃗ + 𝛽′𝐴𝐶⃗
Donc 𝒎𝒆𝒔𝑨𝑪𝑩 = 𝟓𝟏°
𝐸𝑄⃗ = 𝐸𝐴⃗ + 𝐴𝑄⃗ = − 𝐴𝐵⃗ − 𝐴𝐶⃗ par identification 𝛼 = − et 𝛽 = −1
 Déterminons 𝑚𝑒𝑠𝐴𝑂𝐵

Sur le cercle (C) les angles 𝐴𝐶𝐵 et 𝐴𝑂𝐵 interceptent le même arc 𝐴𝐵 , de plus 𝐴𝑂𝐵 𝐸𝑅⃗ = 𝐸𝐵⃗ + 𝐵𝑅⃗ = 𝐴𝐵⃗ + 𝐵𝐶⃗ = 𝐴𝐵⃗ + 𝐵𝐴⃗ + 𝐴𝐶⃗ = 𝐴𝐵⃗ + 𝐴𝐶⃗ par
est l’angle au centre associé à 𝐴𝐶𝐵 , ainsi 𝑚𝑒𝑠𝐴𝑂𝐵 = 2𝑚𝑒𝑠𝐴𝐶𝐵 = 2 × 51 = 102 identification 𝛼 = et 𝛽 =
donc 𝒎𝒆𝒔𝑨𝑶𝑩 = 𝟏𝟎𝟐°.
𝟏 𝟏

c) Le quadrilatère AOBM est-il inscriptible ? Justifier. Donc 𝑬𝑸⃗ 𝟐


𝟏
et 𝑬𝑹⃗ 𝟔
𝟏 dans (𝐴𝐵⃗, 𝐴𝐶⃗ ) .
𝟑

Dans le quadrilatère AOBM les sommets M et O sont opposés et c) Que peut-on conjecturer sur les points E, Q et R ?
On peut conjecturer l’alignement des points E,Q et R.
𝑚𝑒𝑠𝐴𝑀𝐵 + 𝑚𝑒𝑠𝐴𝑂𝐵 = 78 + 102 = 180, ainsi les angles 𝐴𝑀𝐵 et 𝐴𝑂𝐵 sont
d) Démontrons la conjecture.
supplémentaires. Donc le quadrilatère AOBM est inscriptible.
D’après 2b) on a 𝐸𝑄⃗ et 𝐸𝑅⃗ dans (𝐴𝐵⃗ , 𝐴𝐶⃗ ) .
EXERCICE 38

ABC désigne un triangle ; E est le milieu de [𝐴𝐵] ; Q et R sont les points tels que −
𝑑𝑒𝑡 𝐸𝑄⃗ , 𝐸𝑅⃗ = = − + = 0 , les vecteurs 𝐸𝑄⃗ et 𝐸𝑅⃗ sont
𝐴𝑄⃗ = −𝐴𝐶⃗ et BR⃗ = BC⃗ −1
colinéaires de plus 𝐸 ∈ ⟦𝐸𝑄) et 𝐸 ∈ ⟦𝐸𝑅) donc E,Q et R sont alignés.
1. Construction des points E,Q et R.
EXERCICE 39
Q
Le plan 𝒱 est muni d’une base (𝚤⃗, 𝚥⃗). On considère les vecteurs 𝑢⃗ et 𝑣⃗ .

A 1) Montrons que (𝑢⃗, 𝑣⃗) est une base de 𝒱 .


E 2 3
𝑑𝑒𝑡(𝑢⃗, 𝑣⃗) = = 4 − 2 = 1 ≠ 0 .donc (𝑢⃗, 𝑣⃗) est une base de 𝒱.
1 2
C
B R
16
2) Déterminons les coordonnées de 𝚤⃗ 𝑒𝑡 𝚥⃗ dans la base (𝑢⃗, 𝑣⃗) .
‖ 𝑣⃗‖ = 1² + (−3)² = √10
Dans(𝚤⃗ , 𝚥⃗) 𝑢⃗ et 𝑣⃗ , alors 𝑢⃗ = 2𝚤⃗ + 𝚥⃗ et 𝑣⃗ = 3𝚤⃗ + 2𝚥⃗.
c)En déduire 𝑚𝑒𝑠 ( 𝑢⃗ , 𝑣⃗ ) à l’unité près .
2𝚤⃗ + 𝚥⃗ = 𝑢⃗
D’où le système :
3𝚤⃗ + 2𝚥⃗ = 𝑣⃗ 𝑢⃗. 𝑣⃗
𝑢⃗. 𝑣⃗ = ‖ 𝑢⃗‖ × ‖ 𝑣⃗‖ × cos( 𝑢⃗ , 𝑣⃗ ) ⟹ 𝑐𝑜 𝑠( 𝑢⃗ , 𝑣⃗ ) =
‖ 𝑢⃗‖ × ‖ 𝑣⃗‖
En éliminant 𝚥⃗ on obtient 𝚤⃗ = 2𝑢⃗ − 𝑣⃗ et en remplaçant 𝚤⃗ par son expression dans
⃗. ⃗
l’une des deux égalités on a 𝚥⃗ = −3𝑢⃗ + 2𝑣⃗ , d’où 𝚤⃗ et 𝚥⃗ dans (𝑢⃗, 𝑣⃗). ⟹ 𝑚𝑒𝑠°(𝑢⃗, 𝑣⃗) = 𝑐𝑜𝑠 (‖ )
⃗‖×‖ ⃗‖

3. Soit 𝑎⃗ 𝑒𝑡 𝑏⃗ dans (𝑢⃗, 𝑣⃗) . Déterminons les coordonnées de 𝑎⃗ et 𝑏⃗ ⟹ 𝑚𝑒𝑠°(𝑢⃗, 𝑣⃗) = 𝑐𝑜𝑠 = 𝑐𝑜𝑠

≈ 82°
√ ×√
dans la base (𝚤⃗, 𝚥⃗).
𝒎𝒆𝒔°(𝒖⃗, 𝒗⃗) = 𝟖𝟐°
Si 𝑎⃗ 𝑒𝑡 𝑏⃗ dans (𝑢⃗, 𝑣⃗) ,alors 𝑎⃗ = −𝑢⃗ + 3𝑣⃗ et 𝑏⃗ = 3𝑢⃗ − 2𝑣⃗ , or 𝑢⃗ = 2𝚤⃗ + 𝚥⃗
et 𝑣⃗ = 3𝚤⃗ + 2𝚥⃗ , ainsi 2 .Montrons que si ‖ 𝑢⃗‖ = ‖ 𝑣⃗‖ alors (𝑢⃗ + 𝑣⃗) ⊥ ( 𝑢⃗ − 𝑣⃗).

𝑎⃗ = −𝑢⃗ + 3𝑣⃗ = −(2𝚤⃗ + 𝚥⃗) + 3(3𝚤⃗ + 2𝚥⃗) = −2𝚤⃗ − 𝚥⃗ + 9𝚤⃗ + 6𝚥⃗ = 7𝚤⃗ + 5𝚥⃗ Supposons que ‖ 𝑢⃗‖ = ‖ 𝑣⃗‖ et montrons que (𝑢⃗ + 𝑣⃗)( 𝑢⃗ − 𝑣⃗) = 0.

𝑏⃗ = 3𝑢⃗ − 2𝑣⃗ = 3(2𝚤⃗ + 𝚥⃗) − 2(3𝚤⃗ + 2𝚥⃗) = 6𝚤⃗ + 2𝚥⃗ − 6𝚤⃗ − 4𝚥⃗ = −2𝚥⃗ (𝑢⃗ + 𝑣⃗)( 𝑢⃗ − 𝑣⃗) = 𝑢² − 𝑣 = ‖𝑢⃗‖ − ‖𝑣⃗‖ = ‖𝑢⃗‖ − ‖𝑢⃗‖ = 0 , car ‖ 𝑢⃗‖ = ‖ 𝑣⃗‖

D’où 𝑎⃗ 𝑒𝑡 𝑏⃗ dans (𝚤⃗, 𝚥⃗). Comme (𝑢⃗ + 𝑣⃗)( 𝑢⃗ − 𝑣⃗) = 0 , alors (𝑢⃗ + 𝑣⃗) ⊥ ( 𝑢⃗ − 𝑣⃗)

EXERCICE 41
EXERCICE 40

Dans la base orthonormée (𝚤⃗, 𝚥⃗) on donne les vecteurs 𝑢⃗ 𝑒𝑡 𝑣⃗ définis par : 𝑢⃗ = 2𝚤⃗ + ABC est un triangle tel que AB = 4cm , AC= 7 cm et 𝑚𝑒𝑠𝐴 = 125 .
𝚥⃗ e t 𝑣⃗ = 𝚤⃗ − 3𝚥⃗ .
B
1 . a) calculons 𝑢⃗. 𝑣⃗ .
K
𝑢⃗ = 2𝚤⃗ + 𝚥⃗ e t 𝑣⃗ = 𝚤⃗ − 3𝚥⃗ ⟹ 𝑢⃗ et 𝑣⃗ .

𝑢⃗. 𝑣⃗ = × = 2 − 3 = −1 A C

𝒖⃗. 𝒗⃗ = −𝟏 M 1) Calculons BC puis donnons le résultat à l’unité près .

b) calculer ‖ 𝑢⃗‖ et ‖ 𝑣⃗‖ . D’après le théorème d’Akashi : 𝐵𝐶² = 𝐴𝐵² + 𝐴𝐶² − 2𝐴𝐵 × 𝐴𝐶 × 𝑐𝑜𝑠𝐴

‖ 𝑢⃗‖ = √2² + 1² = √5 𝐵𝐶² = 𝐴𝐵² + 𝐴𝐶² − 2𝐴𝐵 × 𝐴𝐶 × 𝑐𝑜𝑠𝐴 ⟹ 𝐵𝐶 = 𝐴𝐵² + 𝐴𝐶² − 2𝐴𝐵 × 𝐴𝐶 × 𝑐𝑜𝑠𝐴

17
𝐵𝐶 = 4² + 7² − 2 × 4 × 7 × 𝑐𝑜𝑠125° = 9,85 ≈ 10 Donc l’ensemble des points M du plan tels que 𝑀𝐴⃗. 𝑀𝐵⃗ = 5 est le cercle de centre
K et de rayon 3cm (voir figure).
𝐵𝐶 = 10𝑐𝑚 EXERCICE 42
Soit deux cercles (∁) 𝑒𝑡 (∁ ) , de centres respectifs O et O’, sécants en deux points P
2) K est le milieu de [AB] et M un point du plan. et Q. On appelle E le symétrique de Q par rapport à O et F le symétrique de Q par
a) Calculons CK rapport à O’.

1. La figure.
D’après le théorème des médianes : 𝐶𝐴² + 𝐶𝐵² = 2𝐶𝐾² + 𝐴𝐵²

1 2𝐶𝐴² + 2𝐶𝐵² − 𝐴𝐵² E


𝐶𝐴² + 𝐶𝐵² = 2𝐶𝐾² + 𝐴𝐵² ⟹ 𝐶𝐾 =
2 4
(C) P
x F
⟹ 𝐶𝐾 =
× ×
O
O’
X (C’)
⟹ 𝐶𝐾 ≈ 8,4
Q
CK=8,4cm
2. Démontrons que les points E, P, F sont alignés.
²
b) Montrons que 𝑀𝐴⃗. 𝑀𝐵⃗ = 𝐾𝑀 − . Dans le cercle (C) de centre O, 𝑄𝑂𝐸 est l’angle au centre associé à l’angle inscrit
𝑄𝑃𝐸 , alors𝑚𝑒𝑠𝑄𝑃𝐸 = 𝑚𝑒𝑠𝑄𝑂𝐸 = 90°, par ailleurs dans le cercle (C’) de centre
En effet,
O’, 𝑄𝑂′𝐹 est l’angle au centre associé à l’angle inscrit 𝑄𝑃𝐹 , alors
𝑀𝐴⃗. 𝑀𝐵⃗ = 𝑀𝐾⃗ + 𝐾𝐴⃗ 𝑀𝐾⃗ + 𝐾𝐵⃗ 1
= 𝑀𝐾² + 𝑀𝐾⃗ . 𝐾𝐵⃗ + 𝑀𝐾⃗ . 𝐾𝐴⃗ + 𝐾𝐴⃗. 𝐾𝐵⃗ 𝑚𝑒𝑠𝑄𝑃𝐹 = 𝑚𝑒𝑠𝑄𝑂′𝐹 = 90°
2
⃗ ⃗
= 𝑀𝐾² + 𝑀𝐾⃗ (𝐾𝐵⃗ + 𝐾𝐴⃗) + (− ). ( )
𝑚𝑒𝑠𝐸𝑃𝐹 = 𝑚𝑒𝑠𝐸𝑃𝑄 + 𝑚𝑒𝑠𝑄𝑃𝐹 = 90° + 90° = 180° , par conséquent l’angle

²
= 𝑀𝐾² − 𝐸𝑃𝐹 est un angle plat, donc E,P et F sont alignés.
²
Donc : 𝑀𝐴⃗. 𝑀𝐵⃗ = 𝐾𝑀 − EXERCICE 43
c)Déduisons-en, puis construisons l’ensemble des points M du plan tels que
𝑀𝐴⃗. 𝑀𝐵⃗ = 5 1) Résolvons dans ℝ.

𝐴𝐵 𝐴𝐵² a) =
𝑀𝐴⃗. 𝑀𝐵⃗ = 5 ⟹ 𝐾𝑀 − = 5 ⟹ 𝐾𝑀 = 5+
4 4
= ⟺ 3(𝑥 + 2) = 5(1 − 𝑥) et 1 − 𝑥 ≠ 0
⟹ 𝐾𝑀 = 5+ =3
⟺ 3𝑥 + 6 = 5 − 5𝑥 et 𝑥 ≠ 1
18
1 1 0 −19 30
⟺𝑥=− et 𝑥 ≠ 1
8 −2 −2 4 −30
1 −2 −15 0
𝟏
𝑺= − 𝒂 𝒃 𝒄
𝟖 D’après le tableau d’horner on a : a=1 , b=-2 et c= -15 d’où
b) 1+ ≥ 𝑥 𝑷(𝒙) = (𝒙 + 𝟐)(𝒙𝟐 − 𝟐𝒙 − 𝟏𝟓)
1 1 c) Résolvons dans ℝ l’équation 𝑃(𝑥) = 0
1+ ≥ 𝑥 ⟺ 1 + − 𝑥 ≥ 0 et 𝑥 ≠ 0
𝑥 𝑥
𝑃(𝑥) = 0 ⟺ (𝑥 + 2)(𝑥 − 2𝑥 − 15) = 0
⟺ ≥ 0 et 𝑥 ≠ 0
⟺ 𝑥 + 2 = 0 ou 𝑥 − 2𝑥 − 15 = 0

⟺ 𝑥 = −2 ou (𝑥 − 1) − 16 = 0
⟺ ≥ 0 et 𝑥 ≠ 0
⟺ 𝑥 = −2 ou 𝑥 = 5 ou x=-3
∀𝑥 ∈ ℝ, 𝑥 − + >0⟺− 𝑥− + <0
𝑺 = {−𝟑; −𝟐; 𝟓}
𝑥 −∞ 0 +∞ d) Déduisons-en les solutions de 𝑃(𝑥 ) = 0
1 3 − −
𝑥− + 𝑃(𝑥 ) = 0 ⟺ 𝑥 ∈ {−3; −2; 5} ⟺ 𝑥 = −3 ou 𝑥 = −2 ou 𝑥 = 5
2 4
𝑥 − + ⟺ 𝑥 = −√5 ou = √5 , car 𝑥 = −3 et 𝑥 = −2 n’admettent pas de
−𝑥 + 𝑥 − 1 + − solutions dans ℝ .
𝑥
𝑺 = −√𝟓; √𝟓
𝑺 = ]−∞, 𝟎[ ( )
3) Résolvons dans ℝ l’inéquation ≥0.
2) On considère le polynôme P défini par 𝑃(𝑥) = 𝑥 − 19𝑥 − 30
( )
≥ 0 ⟺ 𝑃(𝑥) = 0 𝑒𝑡 1 − 𝑥 ≠ 0
a) Vérifions que -2 est une racine de 𝑃(𝑥) .
𝑃(−2) = (−2) − 19(−2) − 30 = −8 + 38 − 30 = −38 + 38 = 0 ⟺ 𝑥 = −2 ou 𝑥 = −3 ou 𝑥 = 5 et 𝑥 ≠ 1
Donc -2 est une racine de P(x).

b) Déterminons les réel 𝑎 , 𝑏 𝑒𝑡 𝑐 ( avec 𝑎 ≠ 0) tels que :


𝑃(𝑥) = (𝑥 + 2)(𝑎𝑥 + 𝑏𝑥 + 𝑐) .

Utilisons le tableau d’Hö rner

19
𝑥 −∞ −3 −2 1 5 +∞ D’après la division euclidienne (𝑥) = −𝑥 − , d’où 𝜶 = −𝟏, 𝜷 = 𝟎 et 𝜸 = −𝟒
𝑥+2 − − + + +
𝑥+3 − + + + + EXERCICE 45
𝑥−5 − − − − +
1−𝑥 + + + − − Dans le repère orthonormé (O ,I,J) (∁) désigne le cercle trigonométrique , A , B et C
𝑃(𝑥) − + − + − les images respectives des réels , et − sur (∁).
1−𝑥
1. Plaçons les points A, B et C sur le cercle(∁).

𝑺 = [−𝟑; −𝟐] ∪ ]𝟏; 𝟓]


A J
EXERCICE 44
B
On considère la fraction rationnelle 𝑓 telle que : 𝑓(𝑥) =
²

(C) I
1. Déterminons les pôles de 𝑓 , puis déduisons-en 𝐷 . O
 Pôles de 𝑓

4 − 𝑥 = 0 ⟺ 𝑥 = 2 ou 𝑥 = −2. Les pôles de 𝑓 sont -2 et 2 C


 Déduction de 𝐷
2. Déterminons les mesures principales des angles orientés suivants :
𝐷 = ℝ − {𝑝ô𝑙𝑒} ⟺ 𝑫𝒇 = ℝ − {−𝟐; 𝟐}  (𝑂𝐴⃗ , 𝑂𝐼⃗ )
𝟑𝝅
² 𝑚𝑒𝑠 𝑂𝐴⃗ , 𝑂𝐼⃗ = −𝑚𝑒𝑠 𝑂𝐼⃗ , 𝑂𝐴⃗ = − . Donc 𝒎𝒆𝒔 𝑶𝑨⃗ , 𝑶𝑰⃗ = −
2. Démontrons que pour tout réel 𝑥 de 𝐷 𝑓(𝑥) = . 𝟓
 (𝑂𝐴⃗ , 𝑂𝐵⃗ )
𝑥 +8 𝑥 +2 (𝑥 + 2)(𝑥 − 2𝑥 + 4) −𝑥 + 2𝑥 − 4 𝑚𝑒𝑠 𝑂𝐴⃗ , 𝑂𝐵⃗ = 𝑚𝑒𝑠 𝑂𝐼⃗ , 𝑂𝐵⃗ − 𝑚𝑒𝑠 𝑂𝐼⃗ , 𝑂𝐴⃗ = − =
𝑓(𝑥) = = = =
4 − 𝑥² (2 − 𝑥)(2 + 𝑥) −(𝑥 − 2)(𝑥 + 2) 𝑥−2 𝟕𝝅
Donc 𝒎𝒆𝒔 𝑶𝑨⃗ , 𝑶𝑩⃗ =
𝟑𝟎
²
∀𝑥 ∈ ℝ − {−2; 2}, 𝑓(𝑥) =  (𝑂𝐴⃗ , 𝑂𝐶⃗ )
𝑚𝑒𝑠 𝑂𝐴⃗ , 𝑂𝐶⃗ = 𝑚𝑒𝑠 𝑂𝐼⃗ , 𝑂𝐴⃗ − 𝑚𝑒𝑠 𝑂𝐼⃗ , 𝑂𝐶⃗ = − − =
3. Déterminons les réels 𝛼, 𝛽 et 𝛾 tels que : 𝑓(𝑥) = 𝛼𝑥 + 𝛽 + 𝟏𝟒𝝅
Donc 𝒎𝒆𝒔 𝑶𝑨⃗ , 𝑶𝑪⃗ =
𝟏𝟓
−𝑥 + 2𝑥 − 4 𝑥−2 EXERCICE 46
𝑥² − 2𝑥 −𝑥
0 −4 On considère un triangle équilatéral ABC tel que 𝑚𝑒𝑠 𝐴𝐵⃗ , 𝐴𝐶⃗ = soit D=𝑆 (𝐵)

1. Montrons qu’il existe une seule rotation qui transforme A en C et B en D.

20
ABC est un triangle équilatéral de sens direct et C milieu de [𝐵𝐷] donc 𝐴𝐵 = 𝐶𝐷 Donc pour tout point M du plan 2𝑀𝐵⃗ − 3𝑀𝐶⃗ = −𝑀𝐴⃗
et 𝐴𝐵⃗ ≠ 𝐶𝐷⃗ . Donc il existe une seule rotation r telle que r(A)=C et r(B)=D.
b- Déterminons et construisons l’ensemble des points M du plan tels que
2. Déterminons l’angle de rotation, puis construisons son centre.
2𝑀𝐵⃗ − 3𝑀𝐶⃗ = 3
 Son angle
2𝑀𝐵⃗ − 3𝑀𝐶⃗ = 3 ⟺ −𝑀𝐴⃗ = 3 ⟺ 𝐴𝑀 = 3
⃗ ⃗ ⃗ ⃗ ⃗ ⃗ ⃗ ⃗
Son angle est (𝐴𝐵, 𝐶𝐷) = 𝐴𝐵, 𝐵𝐶 = −𝐵𝐴, 𝐵𝐶 = 𝐵𝐴, 𝐵𝐶 + 𝜋 = − + 𝜋 =
L’ensemble des points M du plan est le cercle de centre A et de rayon 3(en rouge)
 Construction de son centre

Soit I son centre, alors centre vérifie IA=IC et IB=ID par conséquent I
appartient aux médiatrices de [𝐴𝐶] et [𝐵𝐷] , donc I est le point d’intersection N
des deux médiatrices. M

A I B

2) Soit I le milieu de [AB] et N un point du plan.

a- Montrons que 𝐴𝑁⃗ + 𝐵𝑁⃗ = 2𝐼𝑁⃗.

𝐴𝑁⃗ + 𝐵𝑁⃗ = 𝐴𝐼⃗ + 𝐼𝑁⃗ + 𝐵𝐼⃗ + 𝐼𝑁⃗ = 𝐴𝐼⃗ + 𝐵𝐼⃗ + 2𝐼𝑁⃗ = 2𝐼𝑁⃗
EXERCICE 47 ⃗

Soit A, B et C trois points tels que AB = 4cm et 𝐴𝐶⃗ = 𝐴𝐵⃗ . Donc 𝐴𝑁⃗ + 𝐵𝑁⃗ = 2𝐼𝑁⃗

b-Déterminons et construisons l’ensemble des points N du plan tels que


1) a- Démontrons que pour tout point M du plan 2𝑀𝐵⃗ − 3𝑀𝐶⃗ = −𝑀𝐴⃗ .
𝐴𝑁⃗ + 𝐵𝑁⃗ = 5.
2𝑀𝐵⃗ − 3𝑀𝐶⃗ = 2 𝑀𝐴⃗ + 𝐴𝐵⃗ − 3(𝑀𝐴⃗ + 𝐴𝐶⃗ )
5
= 2𝑀𝐴⃗ + 2𝐴𝐵⃗ − 3𝑀𝐴⃗ − 3𝐴𝐶⃗ 𝐴𝑁⃗ + 𝐵𝑁⃗ = 5 ⟺ 2𝐼𝑁⃗ = 5 ⟺ 2𝐼𝑁 = 5 ⟺ 𝐼𝑁 = ⟺ 𝐼𝑁 = 2,5
2
= −𝑀𝐴⃗ + 2𝐴𝐵⃗ − 3( 𝐴𝐵⃗ ) L’ensemble des points N du plan est le cercle de centre I et de rayon 2,5cm(en
vert)
=−𝑀𝐴⃗ + 2𝐴𝐵⃗ − 2𝐴𝐵⃗
21
3) Hachurer la région du plan tel que 2𝑀𝐵⃗ − 3𝑀𝐶⃗ ≤ 3 et 𝐴𝑁⃗ + 𝐵𝑁⃗ ≥ 5 √3
𝑠𝑖𝑛𝑥 5 = − √3 = − √66
𝑡𝑎𝑛𝑥 = =
EXERCICE 48 𝑐𝑜𝑠𝑥 √22 √22 22

5
1. Ecrivons plus simplement chacune des expressions suivantes.
√𝟔𝟔
Donc : 𝒕𝒂𝒏𝒙 = −
𝐴 = sin( 𝜋 + 𝑥) + cos( 𝜋 − 𝑥) − sin( − 𝑥) 𝟐𝟐

= −𝑠𝑖𝑛𝑥 − 𝑐𝑜𝑠𝑥 − 𝑐𝑜𝑠𝑥 3. Démontrons que ∀𝑥 ∈ ]−𝜋; 𝜋] − − ; 1 + tan² 𝑥 =


²

=−𝑠𝑖𝑛𝑥 − 2𝑐𝑜𝑠𝑥 En effet, ∀𝑥 ∈ ]−𝜋; 𝜋] − − ;


A=−𝑠𝑖𝑛𝑥 − 2𝑐𝑜𝑠𝑥
1 + tan² 𝑥 = 1 + ( )²
𝐵 = cos + sin + sin + cos( − )
²
=1 +
²
= 𝑐𝑜𝑠 + sin 𝜋 − + sin 𝜋 + + 𝑠𝑖𝑛
² ²
=
²
= 𝑐𝑜𝑠 + 𝑠𝑖𝑛 − 𝑠𝑖𝑛 + 𝑠𝑖𝑛
=
²
𝐵 = 𝑐𝑜𝑠 + 𝑠𝑖𝑛
Donc ∀𝑥 ∈ ]−𝜋; 𝜋] − − ; 1 + tan² 𝑥 =
√ ²
2. Soit 𝑥 ∈ ; 𝜋 tel que sin 𝑥 = . Déterminons les valeurs exactes de
cos 𝑥 et tan 𝑥. EXERCICE 49
 Valeur exacte de cosx Le plan est muni d’un repère (𝑂, 𝚤⃗, 𝚥⃗) ,𝑓 une application du plan dans le plan
𝑥 = −2𝑥 + 3
𝑐𝑜𝑠²𝑥 + 𝑠𝑖𝑛²𝑥 = 1 ⟹ 𝑐𝑜𝑠𝑥 = 1 − 𝑠𝑖𝑛²𝑥 ou 𝑐𝑜𝑠𝑥 = − 1 − 𝑠𝑖𝑛²𝑥 définie pour tout point 𝑀 d’image M’ par :
𝑦 = −2𝑦 − 6

or 𝑥 ∈ ; 𝜋 c’est à dire < 0 , ainsi 𝒄𝒐𝒔𝒙 = − 𝟏 − 𝒔𝒊𝒏²𝒙 1) Plaçons dans le repère les points A et son image E par f ( voir figure).

Déterminons les coordonnées de E


3 √22
𝑐𝑜𝑠𝑥 = − 1 − 𝑠𝑖𝑛²𝑥 = − 1 − =−
25 5 𝑥 = −2𝑥 + 3 𝑥 = −2(1) + 3 𝑥 =1
⟺ ⟺
𝑦 = −2𝑦 − 6 𝑦 = −2(3) − 6 𝑦 = −12
√𝟐𝟐
Donc : 𝒄𝒐𝒔𝒙 = − 2) Plaçons dans le repère les points F et son image réciproque B par f (v.f)
𝟓

 Valeur exacte de 𝑡𝑎𝑛𝑥 Déterminons les coordonnées de B

22
𝑥 = −2𝑥 + 3 −1 = −2𝑥 + 3 𝑥 =2 Sur la figure nous avons une configuration de Thales , car (EF) // (AB) et
⟺ ⟺
𝑦 = −2𝑦 − 6 −2 = −2𝑦 − 6 𝑦 = −2 (AE) coupe (BF) en I donc f est une homothétie de centre I et de rapport 𝑘
tel que 𝑘 = ⃗ = = −2.Donc 𝑓 = ℎ( ; ) .
Figure ⃗
c) Déterminons les coordonnées de I par calcul.

𝑥 = −2𝑥 + 3 ⃗ 1 3𝑥 = 3 𝑥 =1
𝑓(𝐼) = 𝐼 ⟺ 𝐴𝑀 = − 𝐴𝐵⃗ 𝑒𝑡 ⟺
𝑦 = −2𝑦 − 6 2 3𝑦 = −6 𝑦 = −2

D’où 𝐼(1; −2).

EXERCICE 50

ABC est un triangle.

1) M et N sont deux points tels que 𝐴𝑀⃗ = − 𝐴𝐵⃗et 𝐴𝑁⃗ = − 𝐴𝐶⃗ .

a- Donnons les éléments caractéristiques de l’homothétie qui transforme


B en M puis C en N.
1
𝐴𝑀⃗ = − 𝐴𝐵⃗
2 ⟺ℎ
( )
= 𝑀 𝑒𝑡 ℎ
( )
=𝑁
1 , ,

𝐴𝑁 = − 𝐴𝐶 ⃗
2
𝟏
Donc l’homothétie de centre A et de rapport − transforme B en M et C en N.
𝟐
3) Démontrons que (EF) // (AB) .
Il suffit de démontrer que 𝐸𝐹⃗ et 𝐴𝐵⃗ sont colinéaires .Montrons que b- Construisons les points M et N. C
det 𝐸𝐹⃗ , 𝐴𝐵⃗ = 0
𝐸𝐹⃗ = = et 𝐴𝐵⃗ = =
−2 1
det 𝐸𝐹⃗ , 𝐴𝐵⃗ = = 10 − 10 = 0
10 −5 M B
On a det 𝐸𝐹⃗ , 𝐴𝐵⃗ = 0 , de plus 𝐴 ∉ (𝐸𝐹) ,donc (EF) // (AB). A
4) a) Déterminons graphiquement les coordonnées du point I, intersection
N
(AE) et (BF)
par lecture graphique on a : I(1 ;-2)
b) Justifier que 𝑓 est une homothétie dont on précisera le centre et c- Démontrons que les droites (MN) et (BC) sont parallèles.
rapport.
( ) ( )
D’après 1.a) ℎ = 𝑀 𝑒𝑡 ℎ = 𝑁 alors 𝑀𝑁⃗ = − 𝐵𝐶⃗ par conséquent 𝑀𝑁⃗ et
, ,

𝐵𝐶⃗ sont colinéaires. Donc les droites (MN) et (BC) sont parallèles.

23
( )²
1) P et Q sont des points tels que 𝐴𝑃⃗ = 𝐴𝐵⃗ et𝐴𝑄⃗ = 𝐴𝐶⃗ . = car 𝑐𝑜𝑠2𝑎 = 𝑐𝑜𝑠²𝑎 − 𝑠𝑖𝑛²𝑎
² ²
a- Interprétons ces égalités par une homothétie.
( )( )
𝐴𝑃⃗ = 𝐴𝐵⃗ =
( ) ( ) ( )( )
⟺ℎ = 𝑃 et ℎ = 𝑄 . L’homothétie de centre A et de rapport

𝐴𝑄 = 𝐴𝐶 ⃗ , ,
=
transforme B en P puis C en Q.
2) Sans calculer 𝑐𝑜𝑠 et 𝑐𝑜𝑠 déduisons-en que :

b- Montrons que 𝑃𝑄⃗ et 𝐵𝐶⃗ sont colinéaires  = 1 + √2


𝜋 𝜋 𝜋
𝐴𝑃⃗ = 𝐴𝐵⃗ 𝐴𝑃⃗ = 𝐴𝐵⃗ 𝐴𝑃⃗ = 𝐴𝐵⃗ 𝑐𝑜𝑠 + 𝑠𝑖𝑛 1 + 𝑠𝑖𝑛2 ×
8 8= 8
⟺ ⟺ ⟺ 𝑄𝐴⃗ + 𝐴𝑃⃗ = 𝐶𝐴⃗ + 𝐴𝐵⃗ 𝜋
𝑐𝑜𝑠 − 𝑠𝑖𝑛
𝜋
𝑐𝑜𝑠2 ×
𝜋
𝐴𝑄⃗ = 𝐴𝐶⃗ −𝐴𝑄⃗ = − 𝐴𝐶⃗ 𝑄𝐴⃗ = 𝐶𝐴⃗ 8 8 8
=
⟺ 𝑄𝑃⃗ = 𝐶𝐴⃗ + 𝐴𝐵⃗ ⟺ 𝑄𝑃⃗ = 𝐶𝐵⃗ ⟺ 𝑃𝑄⃗ = 𝐵𝐶⃗ √

Donc 𝑃𝑄⃗ et 𝐵𝐶⃗ sont colinéaires. = √

c- Déduisons-en que (PQ) // (MN). √


= √
De ce qui précède 𝑃𝑄⃗ et 𝐵𝐶⃗ sont colinéaires de plus 𝑃 ∉ (𝐵𝐶) par conséquent

=

(PQ) // (BC).Par ailleurs (MN) et (BC) sont parallèles, donc (PQ) // (MN). √
=
EXERCICE 51
= 1 + √2
𝜋
𝑎 ∈ 0;
4  = √3
1. a) Démontrons que (𝒄𝒐𝒔𝒂 + 𝒔𝒊𝒏𝒂)𝟐 = 𝟏 + 𝒔𝒊𝒏𝟐𝒂 𝜋 𝜋 𝜋
𝑐𝑜𝑠 + 𝑠𝑖𝑛 1 + 𝑠𝑖𝑛2 ×
12 12 = 12
(𝑐𝑜𝑠𝑎 + 𝑠𝑖𝑛𝑎) = (𝑐𝑜𝑠𝑎) + 2𝑐𝑜𝑠𝑎 . 𝑠𝑖𝑛𝑎 + (𝑠𝑖𝑛𝑎) 𝜋 𝜋 𝜋
𝑐𝑜𝑠 − 𝑠𝑖𝑛 𝑐𝑜𝑠2 ×
12 12 12
= 𝑐𝑜𝑠²𝑎 + 𝑠𝑖𝑛²𝑎 + 2𝑐𝑜𝑠𝑎. 𝑠𝑖𝑛𝑎 =

(On démontre et nous admettons que 2𝑐𝑜𝑠𝑎. 𝑠𝑖𝑛𝑎 = 𝑠𝑖𝑛2𝑎) = √

Donc (𝑐𝑜𝑠𝑎 + 𝑠𝑖𝑛𝑎) = 1 + 𝑠𝑖𝑛2𝑎


=
b)Déduisons-en que : = √

=

24
= √3 La rotation de centre A et d’angle transforme M en I puis B en C, donc
EXERCICE 52 transforme [𝑀𝐵] en [𝐼𝐶] , or la rotation conserve les distances donc MB=IC.

𝑎 ∈ 0; et 𝑐𝑜𝑠𝑎 = 3. Conclusion
MA+MB = MI+IC car MA=MI et MB=IC
1. Calculons 𝑐𝑜𝑠2𝑎 = MC
𝑐𝑜𝑠2𝑎 = cos(𝑎 + 𝑎)
= 𝑐𝑜𝑠𝑎 × 𝑐𝑜𝑠𝑎 − 𝑠𝑖𝑛𝑎 × 𝑠𝑖𝑛𝑎 Donc MA+MB=MC
= 𝑐𝑜𝑠 𝑎 − 𝑠𝑖𝑛 𝑎
= 𝑐𝑜𝑠 𝑎 − (1 − 𝑐𝑜𝑠 𝑎)
= 2𝑐𝑜𝑠²𝑎 − 1 EXERCICE 54
Donc : 𝑐𝑜𝑠2𝑎 = 2𝑐𝑜𝑠²𝑎 − 1 1. Le plan est muni d’un repère (𝑂, 𝚤⃗, 𝚥⃗). Vérifions si le point 𝐴 appartient à
chacune des droites suivantes.
2. a) déterminons à quel intervalle appartient 2a.
𝜋 𝜋
𝑎 ∈ 0; ⟺ 0 ≤ 𝑎 ≤ ⟺ 0 ≤ 2𝑎 ≤ 𝜋 ⟺ 2𝑎 ∈ [0; 𝜋] 𝑥 = 5 + 3𝑡
2 2 (𝐷 ): 2𝑥 − 3𝑦 + 8 = 0 ; (𝐷 ): 𝑦 = 𝑥 + 5 ; (𝐷 ) ∶ (𝑡 ∈ ℝ) .
𝑦 = 6 + 2𝑡
b)déduisons en justifiant la valeur de a.
 Vérifions si le point 𝐴 appartient à (𝐷 ): 2𝑥 − 3𝑦 + 8 = 0
2𝑥 − 3𝑦 = 2(−1) − 3(2) = −2 − 6 = −7 ≠ 0 , donc 𝐴 ∉ (𝐷 ).
2 + √3 2 + √3 √3
𝑐𝑜𝑠2𝑎 = 2𝑐𝑜𝑠²𝑎 − 1 = 2 −1= −1=  Vérifions si le point 𝐴 appartient à (𝐷 ): 𝑦 = 𝑥 + 5
2 2 2
𝑥 + 5 = −1 + 5 = 4 ≠ 2, donc 𝐴 ∉ (𝐷 ).
𝑥 = 5 + 3𝑡
√3 𝜋 𝜋  Vérifions si le point 𝐴 appartient à (𝐷 ) ∶ (𝑡 ∈ ℝ)
𝑦 = 6 + 2𝑡
𝑐𝑜𝑠2𝑎 = ⟺ 2𝑎 = + 2𝑘𝜋 𝑜𝑢 2𝑎 = − + 2𝑘𝜋 (𝑘 ∈ ℤ)
2 6 6 𝑥 = 5 + 3𝑡 −1 = 5 + 3𝑡 𝑡 = −2
⟺ ⟺ donc 𝐴 ∈ (𝐷 )
𝝅 𝑦 = 6 + 2𝑡 2 = 6 + 2𝑡 𝑡 = −2
Or 2𝑎 ∈ [0; 𝜋], alors 2𝑎 = d’où 𝒂 =
𝟏𝟐
2 .Donnons un vecteur directeur puis un vecteur normal de chacune des droites
EXERCICE 53 suivantes. Soit 𝑢⃗ et 𝑛⃗ les vecteurs normaux et directeurs de chacune des drotes
respectivement.
1. montrons que 𝑚𝑒𝑠𝐴𝑀𝐶 = 𝑚𝑒𝑠𝐴𝐵𝐶 𝑥 = −2 + 𝑡√5
(𝐷 ): + 𝑦 − 3 = 0 ; (𝐷 ): 𝑦 = ; (𝐷 ) ∶ (𝑡 ∈ ℝ) .
𝑦 =3+𝑡
Dans le cercle C les angles inscrits 𝐴𝑀𝐶 et 𝐴𝐵𝐶 interceptent le même arc 𝐴𝐶 dont
Droite a et b Vecteur directeur Vecteur normal
(𝐷 ): + 𝑦 − 3 = 0 𝑎 = et b=1 𝑢⃗(−1; ) 1
𝑚𝑒𝑠𝐴𝑀𝐶 = 𝑚𝑒𝑠𝐴𝐵𝐶 . 𝑛⃗( ; 1)
2
Comme le triangle ABC est équilatéral alors 𝑚𝑒𝑠𝐴𝐵𝐶 = 60° or 3𝑥 − 2 𝑎 = et b=-1 𝑢
⃗(1; ) 𝑛
⃗( ; −1)
(𝐷 ): 𝑦 =
5
𝑚𝑒𝑠𝐴𝑀𝐶 = 𝑚𝑒𝑠𝐴𝐵𝐶 = 60° et MI=MA donc le triangle MAI est équilatéral. (𝐷 ) ∶ 𝑥 = −2 + 𝑡√5 𝑢⃗(√5; 1) 𝑛⃗(1; −√5)
𝑦 =3+𝑡
2. A l’aide d’une rotation de centre A que nous préciserons montrons que MB=IC.
25
3. Donnons le coefficient directeur et l’ordonnée à l’origine de chacune des 3. Déterminons une équation cartésienne de la droite (D’’) passant par 𝑅 et
droites suivantes. Notons 𝑎 le coefficient directeur et 𝑏 l’ordonnée à l’origine. parallèle à la droite d’équation : 3𝑥 − 2𝑦 + 1 = 0
(𝐷 ): 𝑦 = −𝑥 + 3 ⟺ 𝑎 = −1 et 𝑏 = 3 Soit 𝑎𝑥 + 𝑏𝑦 + 𝑐 = 0 ( 𝑎, 𝑏 et 𝑐 sont des r réels) une équation cartésienne de (D’).
(𝐷 ): 𝑦 = 2𝑥 ⟺ 𝑎 = 2 et 𝑏 = 0 Déterminons le réel 𝑎 , 𝑏 et 𝑐.
(𝐷 ): 𝑦 = 4 ⟺ 𝑎 = 0 et 𝑏 = 4
5 − 4𝑥 5 5 𝑎=3
(𝐷 ): 𝑦 = = −2𝑥 + ⟺ 𝑎 = −2 𝑒𝑡 𝑏 = 𝑛⃗ est un vecteur normal à (D’) par conséquent
2 2 2 𝑏 = −2
𝑥 1
(𝐷 ): 𝑥 − 6𝑦 + 12 = 0 ⟺ 𝑦 = + 2 ⟺ 𝑎 = et 𝑏 = 2 𝑅 ∈ (D’’) alors 3𝑥 − 2𝑦 + 𝑐 = 0 ⟺ 3(2) − 2(1) + 𝑐 = 0 ⟺ 𝑐 = −4
6 6
EXERCICE 55 D’où (D’’) :𝟑𝒙 − 𝟐𝒚 − 𝟒 = 𝟎

Le plan est muni d’un repère orthonormé (𝑂, 𝚤⃗, 𝚥⃗). 1. Déterminer une équation réduite de la droite (∆) passant par 𝑆 est
perpendiculaire à la droite d’équation :𝑦 = −𝑥 + 4.
1. Déterminons une équation cartésienne de la droite (D) passant par 𝑄 et
dirigée par 𝑢⃗ . Soit 𝑦 = 𝑎𝑥 + 𝑏 l’équation réduite de (∆)où 𝑎 et 𝑏 sont des réels. Déterminons a et
b.
Soit 𝑎𝑥 + 𝑏𝑦 + 𝑐 = 0 ( 𝑎, 𝑏 et 𝑐 sont des r réels) une équation cartésienne de (D).
Déterminons le réel 𝑎 , 𝑏 et 𝑐. 𝑎 × (−1) = −1 ⟺ 𝑎 = 1

−𝑏 = 1 𝑏 = −1 −1
(D) est dirigée par 𝑢⃗ par conséquent donc 𝑆 ∈ (∆) ⟺ 𝑦 = 𝑥 + 𝑏 ⟺ 2 = −1 + 𝑏 ⟺ 𝑏 = 3
𝑎=2 𝑎=2 2

𝑄 ∈ (D) alors 2𝑥 − 𝑦 + 𝑐 = 0 ⟺ 2(3) − (−1) + 𝑐 = 0 ⟺ 𝑐 = −7 D’où (∆) : y= x+3

D’où (D) :𝟐𝒙 − 𝒚 − 𝟕 = 𝟎 EXERCICE 56

2. Déterminons une équation cartésienne de la droite (D’) passant par 𝑃 et Le plan est muni d’un repère orthonormé (𝑂, 𝚤⃗, 𝚥⃗). Soit 𝐴 ,𝐵 et 𝐶 trois
points non alignés du plan.
normal à 𝑛⃗ .
1. a) Calculons les coordonnées de 𝐼, milieu de [AB]
Soit 𝑎𝑥 + 𝑏𝑦 + 𝑐 = 0 ( 𝑎, 𝑏 et 𝑐 sont des r réels) une équation cartésienne de (D’).
Déterminons le réel 𝑎 , 𝑏 et 𝑐.
𝐼 = = D’où 𝐼
𝑎=5
𝑛⃗ est un vecteur normal à (D’) par conséquent
𝑏 = −7
b) Déterminons les équations cartésiennes de la médiane et de la médiatrice de [AB].
𝑃 ∈ (D’) alors 5𝑥 − 7𝑦 + 𝑐 = 0 ⟺ 5(2) − 7(0) + 𝑐 = 0 ⟺ 𝑐 = −10
 Equation cartésienne de la médiane de[AB].
D’où (D’) :𝟓𝒙 − 𝟕𝒚 − 𝟏𝟎 = 𝟎
La médiane de [AB] est dirigée par 𝐼𝐶⃗ , alors pour tout point 𝑀 du plan

26
𝑥 − 3 −1 − 3 3 a) Calculons les distances AB et AC puis déterminons les coordonnées des
𝑀 ∈ (𝐼𝐶) ⟺ det(𝐼𝑀⃗, 𝐼𝐶)⃗ = 0 ⟺ =0
𝑦−0 3−0 vecteurs directeurs unitaires de 𝐴𝐵⃗ et 𝐴𝐶⃗ .
⟺ 3(𝑥 − 3) + 4𝑦 = 0
𝐴𝐵 = (5 − 1) + (−1 − 1)² = √16 + 4 = √20 = 2√5
⟺ 3𝑥 + 4𝑦 − 9 = 0

D’où (𝐼𝐶): 3𝑥 + 4𝑦 − 9 = 0 𝐴𝐶 = (−1 − 1) + (3 − 1)² = √4 + 4 = 2√2


 Equation de la médiatrice de[AB].
Soit 𝑢⃗ et 𝑢⃗′ deux vecteurs directeurs unitaires 𝐴𝐵⃗ et 𝐴𝐶⃗ , alors
Soit (D) la médiatrice de [AB].
4 2√5
La médiatrice (D) de[AB] est perpendiculaire à(AB) en I, alors pour tout point 𝐴𝐵⃗ 1 ⎛ 5 ⎞
du plan ; 𝑢⃗ = ⟺ 𝑢⃗ = 𝐴𝐵⃗ ⟺ 𝑢⃗ 2√5 =⎜
𝑀 𝐴𝐵 2√5 2 √5⎟
− −
2√5 5
𝑥−3 5−1 ⎝ ⎠
𝑀 ∈ (𝐷) ⟺ 𝐼𝑀⃗. 𝐴𝐵⃗ = 0 ⟺ =0
𝑦−0 −1 − 1
2 √2

⟺ 4(𝑥 − 3) − 2𝑦 = 0 𝐴𝐶⃗ 1 2√2 ⎛− 2 ⎞
𝑢⃗ = ⟺ 𝑢⃗ = 𝐴𝐶⃗ ⟺ 𝑢⃗ ⟺ 𝑢⃗ ⎜
𝐴𝐶 2√2 2 √2 ⎟
⟺ 4𝑥 − 12 − 2𝑦 = 0 2√2 2
⎝ ⎠
⟺ 2𝑥 − 𝑦 − 6 = 0
c) En déduire une équation cartésienne de la bissectrice de l’angle 𝐵𝐴𝐶 .
D’où (𝐷): 2𝑥 − 𝑦 − 6 = 0 Soit (∆) la bissectrice de l’angle𝐵𝐴𝐶 . (∆)est dirigée par le vecteur
𝑢⃗ + 𝑢⃗′ , alors pour tout point 𝑀 du plan,
2. Déterminer une équation cartésienne de la hauteur du triangle ABC issue de A.
2√5 √2
− 𝑥−1
Soit (D’) la hauteur du triangle ABC issue de A, alors (D’) a pour vecteur normal 𝐵𝐶⃗ ⃗ ′ 5 2 =0
𝑀∈ (∆) ⟺ det 𝐴𝑀, 𝑢⃗ + 𝑢⃗ = 0 ⟺
√2 √5
Pour tout point 𝑀 du plan, 𝑦−1 −
2 5
√ √ √ √
⟺ − (𝑥 − 1) − − (𝑦 − 1) = 0
𝑀 ∈ (𝐷 ) ⟺ 𝐴𝑀⃗. 𝐵𝐶⃗ = 0 ⟺ =0
√ √ √ √ √ √ √ √
⟺ − 𝑥− − 𝑦− + + − =0
⟺ −6(𝑥 − 1) + 4(𝑦 − 1) = 0
√ √ √ √ √
⟺ 𝑥− 𝑦 − √2 + =0
⟺ −6𝑥 + 6 + 4𝑦 − 4 = 0

⟺ −3𝑥 + 2𝑦 + 1 = 0 √ √ √ √ √
Ainsi (∆): 𝑥− 𝑦 − √2 + =0
D’où (𝐷′): −3𝑥 + 2𝑦 + 1 = 0

27
EXERCICE 57 ⟺ 6𝑥 − 4𝑦 + 34 = 0

Le plan est muni d’un repère orthonormé (𝑂, 𝚤⃗, 𝚥⃗).Soit 𝐴 et 𝐵 deux points ⟺ 3𝑥 − 2𝑦 + 17 = 0
du plan.
Ainsi (T) : 3𝑥 − 2𝑦 + 17 = 0
1. Ecrivons une équation cartésienne du cercle (C) de diamètre [AB] .
EXERCICE 58
Soit 𝑀 un point du plan. Le plan est muni d’un repère orthonormé (𝑂, 𝚤⃗, 𝚥⃗). On considère la droite (𝐷): 5𝑥 + 𝑦 −
6 = 0 et le cercle (C) de centre 𝐴(2; 2) et de rayon √2.
𝑥−1 𝑥+5
𝑀 ∈ (𝐶) ⟺ 𝐴𝑀⃗. 𝑀𝐵⃗ = 0 ⟺ =0
𝑦+3 𝑦−1 1. Donnons une représentation paramétrique de la droite (D).

⟺ (𝑥 − 1)(𝑥 + 5) + (𝑦 + 3)(𝑦 − 1) = 0 (D) est dirigée le vecteur de coordonnées (-1 ;5) et un point de (D) a pour
𝑥 =1−𝑡
⟺ 𝑥 + 4𝑥 − 5 + 𝑦 + 2𝑦 − 3 = 0 coordonnées (1 ;1) , ainsi une équation paramétrique de (D) est 𝑡 ∈ 𝐼𝑅
𝑦 = 1 + 5𝑡
⟺ 𝑥 + 𝑦 + 4𝑥 + 2𝑦 − 8 = 0 2. Ecrivons une équation cartésienne du cercle (C).

Ainsi (𝐶): 𝑥 + 𝑦 + 4𝑥 + 2𝑦 − 8 = 0 Soit 𝑀 un point du plan.


2. Ecrivons une équation cartésienne du cercle (C’) de centre A et passant par B.
𝑀 ∈ (𝐶) ⟺ 𝐴𝑀 = 𝑟 ⟺ 𝐴𝑀 = 𝑟²
Soit 𝑀 un point du plan. ⟺ (𝑥 − 2) + (𝑦 − 2) = (√2)²

𝑀 ∈ (𝐶′) ⟺ 𝐴𝑀 = 𝐴𝐵 ⟺ 𝐴𝑀 = 𝐴𝐵² ⟺ 𝑥 + 𝑦 − 4𝑥 − 4𝑦 + 6 = 0

⟺ (𝑥 − 1) + (𝑦 + 3) = (−5 − 1) + (1 + 3)² Ainsi (𝐶): 𝑥 + 𝑦 − 4𝑥 − 4𝑦 + 6 = 0

⟺ 𝑥 + 𝑦 − 2𝑥 + 6𝑦 + 1 + 9 = 36 + 16 3. Déterminons les coordonnées des points d’intersection de (C) et (D).

⟺ 𝑥 + 𝑦 − 2𝑥 + 6𝑦 − 42 = 0 Un point appartient a (C) et (D) lorsque ses coordonnées (x ;y) vérifient


𝑥 =1−𝑡
simultanément 𝑡 ∈ 𝐼𝑅 et 𝑥 + 𝑦 − 4𝑥 − 4𝑦 + 6 = 0 ,alors
Ainsi (𝐶′): 𝑥 + 𝑦 − 2𝑥 + 6𝑦 − 42 = 0 𝑦 = 1 + 5𝑡
𝑥 + 𝑦 − 4𝑥 − 4𝑦 + 6 = 0 ⟺ (1 − 𝑡) + (1 + 5𝑡) − 4(1 − 𝑡) − 4(1 + 5𝑡) + 6 = 0
3. Ecrivons une équation cartésienne de la tangente à (C’) en B.
4. point 𝑀 du plan, ⟺ 𝑡 − 2𝑡 + 1 + 25𝑡 + 10𝑡 + 1 − 4 + 4𝑡 − 4 − 20𝑡 + 6 = 0

5. 𝑀 ∈ (𝑇) ⟺ 𝐵𝑀⃗Soit (T) la tangente à(C’) en B, alors Pour tout ⟺ 26𝑡 − 8𝑡 = 0

. 𝐵𝐴⃗ = 0 ⟺ =0 ⟺ 𝑡 = 0 ou 13𝑡 − 4 = 0

⟺ 6(𝑥 + 5) − 4(𝑦 − 1) = 0 ⟺ 𝑡 = 0 𝑜𝑢 𝑡 =
28
𝑥=1 EXERCICE 61
 Pour t = 0 on a
𝑦=1 1. Calculons les coordonnées des vecteurs 𝐵𝐴⃗, 𝐵𝐶⃗ ,𝐴𝐷⃗ et la longueur
𝑥 =1− 𝑥= AB.
 Pour 𝑡 = on a ⟺
𝑦 =1+5× 𝑦= 𝐵𝐴⃗ = ⟺ 𝐵𝐴⃗

Ainsi les points d’intersection de (C) et (D) ont pour coordonnées (1 ; 1) et ( ; ). 𝐵𝐶⃗ = ⟺ 𝐵𝐶⃗

EXERCICE 59 −1 − 2 −3 −3
𝐴𝐷⃗ = ⟺ 𝐴𝐷⃗
6−5 1 1
Répondons par vrai ou faux.

1. Vrai 𝐴𝐵 = (2) + (−7)² = √4 + 49 = √53


2. Faux
3. Faux 2. On peut dire que les droites (BC) et (AD) sont parallèles , car les
4. Vrai vecteurs 𝐵𝐶⃗ et 𝐴𝐷⃗ sont colinéaires. En effet ,
5. Faux −9 −3
6. Faux 𝐵𝐶⃗ =3 ⟺ 𝐵𝐶⃗ = 3𝐴𝐷⃗
3 1
1 1
3. déterminons les coordonnées du point K tel que : 𝐵𝐾⃗ = 𝐵𝐴⃗ + 𝐵𝐶⃗
EXERCICE 60 2 4

𝑥 − 4 = −1 − 𝑥=
𝐵𝐾⃗ = 𝐵𝐴⃗ + 𝐵𝐶⃗ ⟺ = + ⟺ ⟺
𝑦+2= + 𝑦=
1. Montrons que (AC) et (EG) sont parallèles.

(AC) est incluse dans le plan (ABC) et (EG) est incluse dans le plan (EFG) or les
D’où 𝐾
plan (ABC) et (EFG) sont parallèles, par conséquent (AC) et (EG) sont parallèles.

2. Montrons que les droites (IJ) et (AC) sont parallèles. 4. déterminons les coordonnées de I milieu de [𝐵𝐶]
4−5 1 1
Dans le triangle ACD, I est le milieu de [𝐴𝐷] et J est le milieu de [𝐴𝐷] , or dans un − −
2 2 2
triangle si une droite passe par les milieux de deux cotés alors elle est parallèle au 𝐼 −2 + 1 = 1 ⟺𝐼 1
support du troisième coté. donc (IJ) et (AC) sont parallèles. − −
2 2 2
5. Démontrons que I,K et A sont alignés

𝐴𝐾⃗ = et 𝐴𝐼⃗ =

29
5 5
− −
det 𝐴𝐾⃗ , 𝐴𝐼⃗ = 4 2 = 55 − 55 = 0
11 11 8 8
− −
4 2

𝐴𝐾⃗ et 𝐴𝐼⃗ sont colinéaires donc A,I et K sont alignés.

30

Vous aimerez peut-être aussi