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Séance 5-La production d’aliments par l’agriculture : culture du maïs, du riz, du mil ou du manioc (selon les localités) ;
Séance 6- La production d’aliments par l’élevage : élevage des poulets, de porcs ou des bœufs ;
Séance 7- Étude de quelques écosystèmes selon les localités (caractéristiques, écosystème et espèces rencontrées, définition de la
biodiversité) ;
Séance 8- Les causes de la diminution de la biodiversité ;
Séance 9- Les différents moyens de lutte contre la disparition des espèces ;
Séance 17- Rôle de l’alimentation dans le fonctionnement des muscles, des articulations, dans la formation et l’entretien des os ;
Séance 18- Importance des exercices physiques et du sport sur l’appareil moteur ;
CATEGORIE D’ACTION 3: Lutte contre la fatigue nerveuse et la consommation des substances nocives au système nerveux 04 heures
CATEGORIE D’ACTION 2: Réduction des catastrophes causées par les risques volcaniques 04 heures
CATEGORIE D’ACTION 3: Réduction des dégâts causés par les risques en zones montagneuses 04 heures
SEQUENCE 18- Les accidents en zones montagneuses ou liés aux mouvements de terrain
Séance 48- Les causes des risques liés aux mouvements de terrains ;
Séance 49- Les techniques de prévention et de protection des accidents liés aux mouvements de terrain ;
Séance 52- Des exemples, leur localisation sur la carte minière du Cameroun, leur importance dans la vie de l’homme ;
Séance 53- Gestion des ressources et respect de l’environnement ;
MODULE I : LE MONDE VIVANT 10 h
Les végétaux chlorophylliens ont exclusivement besoin, pour leur croissance des substances
minérale (l’eau, sels minéraux, CO2, l’air) et la lumière. Les végétaux chlorophylliens terrestres absorbent
l’eau et les sels minéraux par leur racine, le CO2 et l’air par les feuilles.
2. Quelles sont les sources de matière pour les végétaux non chlorophylliens ?
Les végétaux non chlorophylliens ne peuvent pas fabriquer leurs propres matières nutritives, ils se
nourrissent de la matière organique, mais aussi d’éléments minéraux (l’eau et sels minéraux) déjà élaborée
par d’autres. C’est pourquoi on les qualifie des :
- Soit de parasite : les êtres vivants qui vit aux dépend des autres ;
- Soit les saprophytes : êtres vivants qui vit aux dépend des autres.
1. Quels sont les moyens permettant d’identifier les aliments consommés par les animaux ?
On distingue trois moyens permettant d’identifier les aliments consommés par les animaux :
- Le régime carnivores ou zoophage ce sont les animaux qui se nourrissent exclusivement des
animaux. Comprend les insectivores, les hématophages, les piscivores.
- Le régime végétarien ou phytophage ce sont les animaux qui se nourrissent exclusivement des
végétaux ;
- Les omnivores ou polyphage ce sont des animaux qui se nourrissent de toutes sortes d’aliments.
- Dégager les paramètres qui traduisent la croissance chez les vertébrés et invertébrés ;
- Dégager les paramètres qui traduisent la croissance chez les végétaux
1. Quels sont les paramètres qui traduisent la croissance chez les animaux ?
a) Chez les vertébrés
Au fur et mesure que les animaux vertébrés se nourrissent, ils produisent leur propre matière qui
leur sert à augmenter de taille et de masse (poids) : ce sont des producteurs secondaires
La croissance du criquet en taille et poids se fait grâce à la matière qu’il produit lui-même : c’est un
producteur. Leur croissance est discontinue.
2. Quels sont les paramètres qui traduisent la croissance chez les végétaux ?
A mesure que les plantes absorbent les aliments minéraux dans leur milieu, leur taille,
poids et volume augmente. Elles produisent de la matière végétale à partir des aliments absorbés : ce sont
des producteurs primaires.
NB : chez les animaux, la croissance s’arrête à l’âge adulte. Chez les végétaux
chlorophylliens, les arbres grandissent continuellement.
ACTION 4 : Pratiquer l’agriculture
1. Culture du mais
Le mais est une céréale cultivé sur un sol profond, riche en limon, de PH neutre ; labouré en billon ou en
plat un peu partout au Cameroun pour les besoins nutritionnels, industriels et commercial. La culture du
mais nécessite le respect de trois étapes suivants :
2. Culture du manioc
Le manioc est une plante vivrière cultivé pour ses tubercules riches en glucides et ses feuilles
riches en fer. Les étapes de pratique agricoles sont :
Il existe deux types formes d’élevages des poulets : la forme moderne et forme
traditionnelle. Pour réaliser l’élevage du poulet il faut :
- Construire le poulailler ;
- Effectuer le choix des poussins ou poulets de race ;
- Entretenir les poussins par une alimentation riche et diversifié ;
- Déparasiter les poulets par les produits vétérinaires ;
- Veiller à la bonne hygiène du poulailler.
2. Elevage du porc
- Construire un enclos ;
- Choisir les porcs male et femelle de bonne race ;
- Assurer une bonne alimentation
- Préservez les porcs des parasites ;
- Veuillez à la bonne hygiène des porcs.
La provende est l’aliment à base du mais. Cet aliment assure la croissance et la ponte des poulets
en élevage. Les ingrédients pour sa fabrication sont : mais, remoulage, tourteaux de coton, tourteaux de soja,
farine d’os, tourteaux d’arachides, concentré de chair, coquillage. Le tout mélangé et écrasé.
Le beurre est fabriqué à partir de la crème du lait plus ou moins débarrassée des microorganismes
par pasteurisation. Les étapes sont :
- Chauffage du lait
- écrémage ;
- Pasteurisation ;
- Ensemencement pour donner l’aspect sensoriel ;
- Barattage de la crème
2. La transformation du lait en fromage
SEQUENCE 6- LA BIODIVERSITE
La biodiversité est la diversité du monde vivant. Elle se présente sous trois formes :
L’écosystème est l’ensemble fonctionnel et inséparable des êtres vivants (biocénose) et leur milieu
de vie (biotope) dans toutes les interactions possibles).
1. Etude de la forêt
La forêt est une formation végétale fermé qui se développe dans les régions humides.
a) Caractéristiques
- Climat humide et chaud ; Longue saison de pluies et courte saison sèche
- Température moyenne et constant 22 à 28 ; Sol très riche en éléments chimiques ;
- Pluviométrie élevée toute l’année ; Domaine des grands arbres.
b) Espèce rencontrés
- Espèce végétale : les champignons, la litière (feuilles mortes, débris des végétaux), les mousses,
herbes, fougères, sous arbrisseaux et jeunes pousses, grands arbres (iroko, bubinga, sapelli, ébène) ,
les lianes, les plantes rampantes et grimpantes ;
- Espèce animale : gastéropodes (les escargots, reptiles, et certains invertébrés) , éléphants, porc
épiques, gorille, chimpanzé, singes, mangoustes, écureuil, oiseaux, chauve-souris.
2. Étude de la savane
La savane est une formation végétale ouverte, formé par d’un tapis végétale continu parsemé
d’arbres et d’arbustes.
a) Caractéristiques
Courtes saison des pluies ; pluviométrie faible ; climat chaud et sec ; sol lessivé ; température élevée
b) Espèces rencontrées
- espèces animales : girafe, antilope, lion, éléphant, hyène, scorpion, hippopotame, aulocode,
aigle, babouin, termite, sauterelle ;
- espèces végétales : les graminées, roseaux, herbes éléphant, chiendents, arbustes, feuilles
coriaces, acacia
3. Étude de l’étang ou marre
Les étangs sont des grand amas d’eau retenu par une chaussée naturelle ou artificielle.
a) Caractéristiques
b) Espèces rencontrés
- Espèces animale : les crocodiles, les grenouilles, les poissons, les têtards, les larves des
moustiques, les dytiques, les libellules.
- Espèces végétales : arbre, arbustes, nénuphar, algues, papyrus, roseau, ipomée.
4. Etude de la mangrove
La mangrove est une forêt amphibie qui se développe sur les côtes marines non
rocheuses et les estuaires des fleuves.
a) Caractéristiques
Eaux noires et saumâtres ; Climat chaux et pluvieux ; Sol vaseux, asphyxiant, riche en dépôt sédimentaires
sablo-argileux.
b) Espèces rencontrés
- Espèces animales : crocodiles, crabes, violonistes, crevettes, huîtres, poissons (périophtalmes) ;
- Espèces végétales : les palétuviers
Le squelette est l’ensemble des os de l’organisme. Il compte 208 os que l’on peut classer en quatre groupes
selon leur forme :
- une partie allongée : la diaphyse. Elle de la moelle jaune et dont la paroi est constituée par
l’os compact recouvert par le périoste.
- deux extrémités renflées : les épiphyses recouvertes par le cartilage articulaire. Elles
renferment l’os spongieux et moelle rouge. C’est le lieu de naissance des cellules sanguines.
La croissance en longueur est due à l’activité du cartilage de conjugaison ou d’accroissement.
Elle est limitée dans le temps et se termine entre 18 et 25 ans. En effet, un os long adulte vivant ne comporte
plus de cartilage de conjugaison.
La croissance en épaisseur est due à l’activité du périoste. Elle se poursuit durant toute la vie. Elle
permet le remplacement des cellules osseuses usées et la réparation des cassures d’os.
3. Rôle des os
- Organes passifs des mouvements ;
- Ils forment la charpente du corps ;
- Ils assurent la mobilité du squelette.
L’appareil des muscles est formé par l’ensemble des muscles de l’organisme. Le système
musculaire de l’homme comprend :
L’observation du muscle gastrocnémien montre qu’un muscle strié squelettique est formé de trois
parties :
L’observation microscopique montre que chaque faisceau est formé de plusieurs fibres musculaires.
La fibre musculaire est une cellule géante à plusieurs noyaux. Son cytoplasme comprend deux parties :
Une articulation est une surface de contact entre deux os. Il existe trois types d’articulations :
- les articulations fixes qui ne permettent aucun mouvement (articulations entre les os du
crâne) ;
- les articulations semi-fixes ou semi-mobiles qui permettent des mouvements limités et de
faible amplitude (articulations entre les vertèbres) ;
- les articulations mobiles qui permettent des mouvements rapides et de très grande amplitude
(articulation du coude, du genou, de la hanche, de l’épaule, ...).
Les éléments constitutifs d’une articulation sont : les ligaments, les cartilages articulaires et la
synovie.
- Ligaments : les os sont rattachés les uns aux autres par un solide manchon ;
- cartilage articulaire diminuer les frottements et à amortir les chocs ;
- synovie, liquide visqueux qui joue le rôle de lubrifiant.
3. Rôle des articulations
- Les articulations favorise la mobilité relative du squelette ;
- permettent le pivotement des membres ;
- Forment la jonction et amortir les chocs entre les os
-
Les accidents des os sont les fractures et les déformations. Une fracture est une cassure d’os.
- fracture incomplète quand tout le diamètre de l’os n’est pas touché par la fracture ;
- fracture complète quand la cassure touche tout le diamètre de l’os, donnant deux ou plusieurs
morceaux. On distingue alors plusieurs cas :
o les fractures fermées où les morceaux résultant de la fracture restent à l’intérieur des
muscles ;
o les fractures ouvertes où, au moins, l’un des morceaux traverse les muscles et la peau et
apparaît à l’extérieur ;
o les fractures multiples où l’os se casse à plusieurs endroits.
Secourisme
La conduite à tenir en cas de fracture et de remettre les morceaux brisés à leur place et à les
immobiliser et faire appel au secours; arrivé à l’hôpital le médecin peut :
Ce sont :
Secourisme
- utiliser les causeries éducatives pour amener les élèves à s’assoir ou se tenir debout correctement ;
- effectuer des exercices physiques appropriés ;
- l’immobilisation et le plâtre pour redresser les membres en cerceau.
- S’alimenter équilibré.
SEANCE 13- ACCIDENTS DES MUSCLES ET SECOURISME
Objectif : Décrire les accidents des muscles et apporter le secourisme.
1. Quels sont les accidents des muscles ?
A la suite d’u faux mouvement, d’une chute ou d’un choc, il peut y avoir :
- entorse qui est une simple déchirure ou un étirement violent des ligaments ;
- foulure qui est une entorse légère, sans conséquences graves ;
- déboîtement ou luxation qui est un déplacement des têtes des os qui se trouvaient en contact au
niveau de l’articulation ;
- la synovite : épanchement de synovie, suite à la déchirure de la membrane synoviale.
2. Secourisme
- Entorse : l’articulation est immobilisée par un bandage serré. On calme la douleur par des frictions
d’alcool ;
- Foulure : l’articulation est immobilisée par un bandage serré ;
- déboîtement ou luxation : on replace l’articulation dans sa position initiale ;
- la synovite : on procède à l’intervention chirurgicale.
Tous ces cas ; un massage doux favorise la circulation sanguine et nerveuse. Il assouplit les tissus et
accélère la guérison.
ACTION 2: Choisir et consommer les aliments appropriés au fonctionnement des muscles, des
articulations et des os
1. Rôle de l’alimentation dans le fonctionnement des muscles, des articulations, dans la formation
et l’entretien des os
ACTION 4: sensibiliser, informer et/ ou éduquer les populations sur le danger du décapage de la peau
Une coupe transversale de la peau montre qu’elle est essentiellement formée de trois parties :
- une partie superficielle, l’épiderme : c’est un tissu épithélial formé de deux couches de cellules les
cellules mortes, appelée couche cornée régulièrement. La couche basale, est la couche vivante où les
cellules se divisent abondamment, renouvelant ainsi les cellules mortes. L’épiderme produit les
glandes sudoripares, les glandes sébacées, les ongles et les poils.
- Une partie intermédiaire, le derme qui est un tissu conjonctif riche en capillaires sanguins et en
terminaisons nerveuses reliées aux corpuscules sensibles.
- une partie profonde, appelée hypoderme, est un tissu adipeux riche en graisses. Le derme
recouvre tous les muscles.
2. Hygiène corporelle
- Maintenir la peau propre en se lavant régulièrement au savon ;
- Porter les vêtements propres et amples constitué des vêtements qui ne provoquent pas les
eczémas ;
- Changer régulièrement les vêtements, les sous-vêtements et chaussette qui fait transpirer ;
- Utiliser le lait de toilette, les crèmes hydratantes et nutritives adapté à sa peau ;
- Porter les gangs de protection lorsqu’on manipule les substances ;
- Eviter le contact avec les produits qui cause les réactions allergiques.
CATEGORIE D’ACTION 3: Lutte contre la fatigue nerveuse et la consommation des substances nocives
au système nerveux 04 heures
ACTION 6:
- Pratiquer le sport ;
- Respecter les heures de sommeil ;
- Organiser le travail ;
- Sensibiliser, éduquer et ou informer les populations
Le système de l’homme comprend : Encéphale et moelle épinière qui forme l’axe cérébro-
spinal ou système nerveux central et les nerfs forme le système nerveux périphérique.
a) L’encéphale
L’encéphale est logé dans la boîte crânienne. Il est constitué du cerveau, du cervelet et du bulbe
rachidien. C’est le centre nerveux qui commande des mouvements volontaires. Une coupe frontale de
l’encéphale montre qu’il est formé de deux substances de couleurs différentes : une substance grise
externe, une substance blanche interne.
Il est entouré par une membrane protectrice formé de trois couches appelées méninges. Ce sont de
l’extérieur vers l’intérieur : la dure-mère, l’arachnoïde et la pie-mère.
b) La moelle épinière
La moelle épinière est logée dans le canal rachidien de la colonne vertébrale. C’est le centre nerveux
qui commande les mouvements reflexes. Une coupe transversale de la moelle épinière montre que la
substance blanche est externe et la substance grise interne.
L’alcoolisme est la dépendance à l'égard de l'alcool entraînant des troubles divers et graves.
L’alcoolémie est le taux d’alcool dans le sang. Il peut être évalué à l’aide d’un alcootest.
Les boissons alcoolisées agissent directement sur le système :
Le tube digestif de l’homme va de la bouche à l’anus en passant par : l’œsophage, l’estomac, les intestin.
- Chez l’adulte elle s’écrit : 2/2 I + 1/1 C + 2/2 PM + 3/3 M soit au total 16 x 2 = 32 dents ;
- La dentition lactéale n’a pas de mâchoire. La formule s’écrit : 2/2 I + 1/1 C + 2/2 PM + 0/0 M.
b) Les glandes digestives ou annexes et leurs rôles
Suc digestif : substance sécrété par une glande digestif et contenant les enzymes.
SEANCE 26- ROLE DE L’APPAREIL DIGESTIF
Objectif : Donner le rôle de l’appareil digestif lors de la digestion
1. La digestion mécanique
Dans l’intestin Les muscles Le chyme stomacal est constamment remués, brassées grâces aux
grêle de la paroi de contractions des muscles blancs et transformé en un liquide appelé chyle
l’intestin intestinal.
2. La digestion chimique
- de fibres de cellulose ;
- de molécules incomplètement digérés ;
- de molécules simples solubles dans l’eau et utilisables par l’organisme appelés nutriments. Ce sont :
le glucose, les acides aminés, les acides gras, le glycérol, les vitamines, l’eau et les sels minéraux.
La digestion est donc une simplification des aliments en vue d’obtenir des petites molécules solubles
capables de passer dans le milieu intérieur : c’est L’absorption intestinale
NB : Certaines substances ne subissent aucune transformation au cours de leur passage dans le tube digestif.
Ce sont les vitamines, l’eau et les sels minéraux.
Les nutriments obtenus absorbés sont véhiculés par le sang jusqu’aux cellules qui les utilisent : c’est
l’assimilation. L’assimilation est donc l’utilisation des nutriments par les cellules de l’organisme pour :
Objectif : décrire les causes, mode de transmission et moyens de lutte contre quelques maladies à péril
fécal
- la transmission lors des rapports sexuels : c’est la plus fréquente (80 % des cas dans le monde) ;
- la contamination par le sang : transfusion de sang contaminé, utilisation des seringues, des aiguilles, des
rasoirs non stérilisés ;
- la transmission de la femme enceinte à son enfant au cours de la grossesse, au cours de l’accouchement ou
par l’allaitement (30% des cas en Afrique).
4. Moyens de lutte contre le VIH
La lutte contre le VIH/SIDA passe par la prévention. Ces moyens de prévention sont :
- L’abstinence périodique ;
- La fidélité à un seul partenaire ;
- L’usage du préservatif ;
- L’utilisation des seringues à usage unique et stériles ;
- Le contrôle du sang avant tout transfusion sanguine ;
- La désinfection et la stérilisation systématique du matériel médical après chaque utilisation ;
- Le développement du matériel à usage unique ;
- L’adoption des comportements responsable visant à éviter la contamination ;
- La sensibilisation et l’éducation des populations ;
- La pratique du dépistage volontaire.
5. Le traitement du SIDA
Pour limiter la progression de la pandémie et d’améliorer nettement l’espérance et la qualité de la vie des
malades. On procède :
- Aux traitements antirétroviraux ;
- La trithérapie
CATEGORIE D’ACTION 1: Réduction des catastrophes liées aux risques sismiques 04 heures
ACTION 1 : sensibiliser, informer et ou éduquer les populations sur le risques sismiques
La première échelle d’évaluation des séismes était l’échelle de Mercalli. Elle indique
l’intensité du séisme sur 12 degrés. Elle détermine l’ampleur des dégâts causés par le séisme.
b) L’échelle de Richter
Les premières échelles n’ayant aucun caractère scientifique, elle été remplacées par l’échelle de
Richter (Américain Charles Richter) qui comporte 9 degrés et fondée sur la magnitude ou force de séisme.
La magnitude est l’expression de la quantité d’énergie dégagée par un séisme à son foyer :
Séismes Magnitude
Séismes perceptibles 2 – 2,9
Séismes ressentis 3 – 3,9
Séismes moyens 4 – 4,9
Séismes avec dégâts 5 – 5,9
Séismes destructeurs 6 – 6,9
Séismes majeurs 7 – 7,9
Grands séismes 8 et plus
CATEGORIE D’ACTION 2: Réduction des catastrophes causées par les risques volcaniques 04 heures
- Le volcanisme Hawaïen : type effusif caractérisé par l’émission des laves très fluides de très
longue coulées pauvre en silice qui donnent au volcan un cône aplati ;
- Le volcanisme strombolien : caractérisé par des coulées de laves moins fluides de teneur
moyenne en silice alternant avec des produits solides, donnant au volcan une pente plus forte
que le type Hawaïen. Les éruptions sont parsemées d’explosions violentes ;
b) Le type effusif
- Le volcanisme vulcanien : caractérisé par l’émission des produits solides riche en silice dans
lesquels les cendres dominent. Les éruptions assez explosives et donnent un cône constitué de
cendres et de lapillis ;
- Le volcanisme péléen : caractérisé par des explosions extrêmement violentes avec émission de
laves qui donnent une aiguille ou un cumulo-dôme.
CATEGORIE D’ACTION 3: Réduction des dégâts causés par les risques en zones montagneuses 04 h
ACTION 2 : sensibiliser les populations sur les risques volcaniques
SEANCE 48/49- LES CAUSES DES RISQUES LIES AUX MOUVEMENTS DE TERRAINS ;
LES TECHNIQUES DE PREVENTION ET DE PROTECTION DES ACCIDENTS LIES
AUX MOUVEMENTS DE TERRAIN
Objectif :
- identifiez les causes des risques liés aux mouvements de terrain.
- relevez les techniques de prévention et de protection des accidents liés aux mouvements
de terrain
1. Quelles sont les causes des risques liés aux mouvements de terrain ?
Selon leur forme et leur nature, les roches peuvent être affectées par :
- des déformations souples : les plis
- des déformations cassantes : les failles
- Effet de gel-dégel : l’alternance gel-dégel des eaux infiltrées entraîne des variations de volume
pouvant conduire à l’éclatement de la roche.
- Les glaciers : Les glaciers en se déplaçant arrachent les blocs et agrandissent les fissures
- Action de l’eau de ruissellement : Les chocs répétés des vagues détruisent les massifs rocheux.
- Les précipitations : Ce sont des agents de dégradation mécanique des roches
4. Les techniques de prévention et de protection des accidents lies aux mouvements de terrain
- les dresser les cartes des zones à risques ;
- s’assurer le bon drainage des eaux ;
- reboiser les versants des montagnes pour limiter l’action destructrices de l’eau ;
- choisir les bons sites de construction avec des roches compétentes sans faille ;
- utiliser les bons matériaux de construction.
CATEGORIE D’ACTION 3: Réduction de l’utilisation abusive des énergies fossiles
ACTION 2 :
- sensibiliser les populations l’origine, l’exploitation et l’utilisation du pétrole ;
- limiter le gaspillage du pétrole ;
- éradiquer les formes d’utilisation de dégagent les gaz à effet de serre ;
- utiliser les énergies renouvelables .
Objectif :
- donner l’exemple et la localisation des ressources minière au Cameroun ;
- dégager leur importance dans la vie ;
- expliquer la gestion des ressources et le respect de l’environnement
1. Gestion des ressources et le respect de l’environnement
Au Cameroun, la gestion des ressources minières et le respect de l’environnement relève du
Ministère des Mines, de l’Industrie et du Développement technologique. Toute exploitation est soumise :
- Respect du code minier ;
- Respect du code minier ;
- L’obtention du permis d’exploitation est soumise à des études montrant l’impact de
l’exploitation sur l’environnement.
- L’obtention du permis d’exploitation est soumise à la présentation du plan de remédiation à
savoir : les trous et les tranchées sont comblés, le reboisement…
2. Exemple des ressources minières, leur la localisation sur la carte du Cameroun et leur
importance dans la vie de l’homme