CNC MP 2016 Physique 2 Corrige PDF
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I.1.
→
− ρ(M, t) →
−
div E (M, t) = ; div B (M, t) = 0
εo
→
− →
− !
−→−→ ∂ B (M, t) −→−→ −
→ ∂ E (M, t)
rot E (M, t) = − ; rot B (M, t) = µo j (M, t) + εo
∂t ∂t
→
−
ρ(M, t) : densité volumique de charges et j (M, t) : vecteur densité de courant volumique.
→
−
I.2. En représentation complexe : E (M, t) = Eo exp i(ωt − kz)−
→
u y.
→
−
−→−→ ∂ B (M, t) →
−
Equation de Maxwell-Faraday : rot E (M, t) = − = −iω B (M, t), soit :
∂t
−
→ k→ →
− k
B (M, t) = −u z ∧ E (M, t) = − Eo exp i(ωt − kz)−
→
ux
ω ω
I.3. Le principe fondamental de la dynamique appliqué à un électron dans R :
→
− →
− ∂−
→v
me −
→
g − e E − e−
→
v ∧ B = me
∂t
−
→
g est l’accélération de pesanteur.
−
→ →
− →
− →
−
I.4. f e = −e E et f m = −e−
→
v ∧B :
→
− →
−
k f ek 1 kE k 1ω ω →
− →
−
→
− =
v → = v k ≫ 1 car k = vϕ ≥ c et v ≫ c ⇒
− k f ek ≫ k f mk
k f mk kB k
Le poids étant négligeable devant la force électromagnétique, soit :
→
− ∂−
→v ie −
→
−e E = me = me iω −
→
v ⇒ →
−
v = E
∂t me ω
→
−
I.5. Le vecteur densité de courant : j = ρm −
→
v = −ne−
→
v , soient :
−
→ ine2 −
→ →
− ine2
j =− E = γ E avec γ = −
me ω me ω
I.6.
→−
− → 1 →−
− → 1 →
− E2
p =< j . E >t = Re( j . E ∗ ) = Re(γk E k2 ) = o Re(γ)
2 2 2
Re(X) désigne la partie réelle de X ; et γ est imaginaire : d’où p = 0.
Commentaire : l’onde ne communique aucune puissance au milieu (plasma).
I.7. On a :
−→−→ → −
− → k2 −→ →
−
rot B = −i k ∧ B = −ikB −
→u y = +i E (Maxwell-Faraday et structure de B )
ω
−→−→ →
− →
−
rot B = µo γ E + iµo εo ω E (Maxwell-Ampère )
Soit, par simple identification, et avec µo εo c2 = 1 :
k2 ω ω 2 − ωp2
i = µo γ + i 2 ⇒ k2 = (équation I-1)
ω c c2
I.8. Si ω < ωp :
q
ωp2 − ω 2
• k est imaginaire pur : k = ±i (pas de propagation de l’onde dans le plasma) ;
c
→
−
• Si on considère
q la propagation suivant les z croissant, la structure possible de E est telle
ωp2 − ω 2
que k = −i :
c q
→
− ωp2 − ω 2
E = Eo exp(− z)eiωt −
→
uy
c
• L’onde n’est pas progressive ;
• Conclusion : L’onde est totalement réfléchie par le plasma.
I.9.
I.9.1. Si ω > ωp :
q
ω 2 − ωp2
• k est réel : k = ± ;
c
→
−
• Si on considère
q la propagation suivant les z croissant, la structure possible de E est telle
ω 2 − ωp2
que k = + :
c q
ω 2 − ω2
→
− p
E = Eo exp i ωt − z −
→
uy
c
cω
• C’est la structure d’une onde plane progressive qui se propage à la vitesse q ;
ω 2 − ωp2
I.9.2.
k(ω)
= ω
c
k
ω
ωp
I.9.3.
v(ω)
ω c
• Vitesse de phase : vϕ = =s
k ω2
1− 2 vϕ
ωc
s c
dω ω2
• Vitesse de groupe : vg = =c 1− 2 vg
dk ωc
ω
ωc
I.10.
I.10.1. La condition de réflexion par l’ionosphère des ondes émises par les stations radio
est ωi < ωp (Cf. I.8. ) ; soit pour une longueur d’onde telle que :
2πc 2πc
< ωp ou λ>
λ ωp
Application numérique : λ > 33, 35 m. Ce qui correspond à la longueur d’onde λ1 = 300 m.
I.10.2.
On suppose la sphéricité de la terre et que l’espace entre Ion
os phè
la terre et l’ionosphère est homogène et transparent... re
La portée maximale : arc(AB) = αRt ;
α Rt
cos = Rt + h
2 Rt + h
r
α2 h √ h A α B
1− = 1− ⇒ α=2 2
8 Rt Rt
Rt
T
Soit : p Terre
arc(AB) ≃ 2 2hRt ≈ 2024 km
→
−
I.11. La force de frottement : F f = −me ωf −
→
v.
I.11.1.
◮ Le principe fondamental de la dynamique :
∂−
→v →
−
me = −e E − me ωf −
→
v
∂t
◮ Expression de −→
v :
→
−
→
− eE
ime ω −
→
v = −e E − me ωf −
→
v ⇒ −
→
v =−
m(iω + ωf )
→
−
◮ Expression de j :
→
−
−
→ −
→ ne2 E
j = −ne−
→
v ⇒ j =
me ω f 1 + i ω
ωf
I.11.2. En utilisant le résultat de l’équation I-1 :
k2 ne2 µo 1 ω 2 ω 2 ωp2 iω
i = +i 2 ⇒ k = 2 − 2
ω me ω f 1 + i ω c c c ωf + iω
ωf
◦ On appelle échantillons d’un signal x(t), ses valeurs à des instants to , t1 , t2 , ...régulièrement
répartis ou non dans le temps.
On peut considérer la succession d’échantillons issus de x(t) comme une fonction xe (t)
constituée d’une suite d’impulsions de largeur nulle, de durée Te dite période d’échantillon-
nage et dont l’amplitude est égale à x(t) aux instants correspondants.
◦ Critre de Nyquist-Shannon :
Pour garder toutes les informations sur un signal x(t), il faut que la fréquence d’échan-
tillonnage fe soit au moins égale au double de la plus haute composante fréquentielle du
signal :
fe > 2 × fmax
Dans notre cas fe = FE = 44 kHz et fmax = 20 kHz ; le critère est bien vérifié et la valeur
de FE choisie correspond ainsi à un échantillonnage sans perte d’information.
II.1.2. quantum :
Vmax − Vmin
q= = 0, 15 mV
2N − 1
II.1.3.
II.1.3.1. On doit utiliser un filtre passe-bas de fréquence de coupure fc telle que fmax < fc <
FE − fmax : soit une valeur ente 20 kHz et 24, 4 kHz non inclues ! afin d’éliminer les composantes
parasites (hautes fréquences ) et garder notre signal audio.
II.1.3.2. On prend l’exemple simple d’un circuit RC série passif dont la tension de sortie s(t)
aux bornes de C . L’équation différentielle :
ds(t)
e(t) = RC + s(t)
dt
sn+1 − sn
en = RC + sn ou en = RCFE (sn+1 − sn ) + sn
TE
Vsi
+Vsat
0
−Vsat
◦ V+,1 = va ;
◦ Diviseur de tension :
R
2 Eref
V+,1 = Eref =
R 3R 16
+ + 6R
2 2
Eref
◦ Le seuil de basculement correspond à εi = 0 : Vbasc,1 = va = = 0, 5 V
16
II.2.3.
III.1.2. r
p r 2
dL = (dr)2 + (rdθ)2 = dr 1+
α
Méthode 1 : r
Z Z R2
r 2
R2 R1
L = dL = dr 1 + =α I −I
R1 α α α
r
r r 2πR2 4π 2 R22
a 2 2 2 2 + 1+
2πR2 1 + 4π R2 − 2πR1 1 + 4π R1 + ln a a2
L= 2 2
r
4π a a a a
2πR1 2
4π R1 2
+ 1+
a a2
π R22 − R12
R1 ≫ a et R2 ≫ a, soit : L ≈ = 5, 4 km.
a
Méthode 2 :
• Le nombre N de pistes sur un disque est tel que : N a = R2 − R1
R2 − R1
• La longueur ℓi de chaque piste est : ℓi = 2πri tel que ri = R1 + ai = R1 +
N
• La longueur totale des piste = longueur totale de la piste sur le disque :
N
X −1
L = ℓi
i=0
N −1
X R2 − R1
= 2π R1 +
N
i=0
R2 − R1 N (N − 1)
= 2π N R1 +
N 2
2 2
π R2 − R1
=
a
Méthode 3 :
a (et par conséquent α) est faible, onZpourra directement calculer
L par simplification de dL. en
2πrdr 2π R2 π R22 − R12
effet dL ≈ rdθ = ⇒ L= rdr = .
a a R1 a
III.2.3.2. L’ordre p = 0 correspond correspond à la réflexion des rayons lumineux selon la loi
de Descartes de réflexion (loi de l’optique géométrique ) ou comme le cas de la lumière réfléchie
par un miroir plan !.
λ
III.2.3.4. Sous incidence normale i = 0 : soit sin(ip ) = −p avec p entier relatif.
a
Pour la première tache on prend p = −1, soit :
p
λ x1 x21 + D 2
sin(ip ) = = p 2 ⇒ a=λ
a x1 + D 2 x1
a = 1, 55 µm avec a′ = 0, 762 µm
III.2.3.6. L = N lo et L′ = N ′ lo′
N′ L′ lo lo a
η= = ′ × = ′ ′
N lo L lo a
III.2.4. Dispositif d’ajustement de la focalisation du faisceau Laser
III.2.4.2.
→
−
◦ La bobine est en mouvement dans l’entrefer siège d’un champ B permanent ; ce mouvement
→
−
engendre une variation temporelle du flux du champ B à travers la bobine : d’où phénomène
d’induction dans cette dernière !
◦ Force électromotrice e = différence de potentiel qui apparaît au sein de la bobine suite au
phénomène d’induction :
Z
→
− → −
− →
e= v M ∈ bobine ∧ B · dℓ = −No vBo 2πr (−
→
v M ∈ bobine = v −
→
u x)
bobine
di(t)
−L
dt e(t)
R
Loi d’Ohm :
di(t)
u(t) = Ri(t) + L − e(t)
dt
di(t)
i(t)
u(t) = Ri(t) + L + 2πNo vBo (E)
dt
u(t)
d−
→v →
− →
− →
− →
−
RFD m = F f + F L + F élastique ( F élastique = −kx−
→
u x)
dt
projection/−
→
ux mẍ = 2πrNo Bo i − hẋ − kx (M )
4π 2 No2 r 2 Bo2
Z = Ze + Zm avec Zm =
k
h − j + jmω
ω
La nomination de Z m est due au mouvement de (S) dans R.
Q1 + Q2 ρπro2 h h c i
∆tmin = = 1 + (Tf − To ) ≃ 0, 05 µs
Po Po L
III.3.3. faisceau Laser
III.3.3.1.
dS
◮ Surface :
u→
θ
rθ˙ −
dS = 2ro ×rdθ = 2ro ×rdθ̇dt = 2ro ×v1 dt 2ro
r
=
→
1
◮ Volume : v− O dθ 2ro
dS
O h
dτ = hdS = 2ro v1 hdt
III.3.3.2.
dτ dτ
δQ = Qo 2
= [Q1 + Q2 ] 2 = 2v1 ro hρdt [L + c(Tf − To )]
πro h πro h
Po
Po = 2v1max ro hρ [L + c(Tf − To )] ⇒ v1max =
2ro hρ [L + c(Tf − To )]
ρπro2 h πro
v1max = = ≃ 17, 27 ms−1
2ro hρ∆tmin ∆tmin
PHYSIQUE II 9/9