Chap.2. Wireline
Chap.2. Wireline
Chap.2. Wireline
le travail au câble. Le travail au câble (wireline) est une technique qui permet d'intervenir
dans les puits en exploitation pour résoudre quelque problème comme les dépôts, ou bien
pour mesurer, et d'autres méthodes (telles que le pompage, ...) sont parfois utilisées.
I. LE TRAVAIL AU CABLE :
1. Définition :
Le terme (Slick line) fait référence à l’utilisation d’un câble comme moyen de
transport d’outils dans le puits
Les opérations de travail au câble emploient différents types d’outils qui doivent être
descendus et remontés en toute sécurité ce qui exige l’utilisation des équipements de
contrôle appropriés en surface
C'est le procédé de base d'intervention sur les puits en exploitation.
2. Principe et domaine
d'application :
Le travail au câble (wireline) est une
technique qui permet d'intervenir dans
les puits en exploitation en utilisant une
ligne en fil d'acier pour introduire,
descendre, placer et repêcher dans le
tubing les outils et instruments de
mesure nécessaires à une exploitation
rationnelle.
Les avantages de cette technique
sont importants :
Interventions dans le tubing sans Fig.1. LE TRAVAIL AU CABLE
tuer le puits ; grâce à un sas (WIRELINE)
raccordé à la tête de puits, les
opérations peuvent se dérouler sous pression, voire même sans arrêter la production ;
Rapidité d'exécution grâce à un matériel léger, très mobile, mis en œuvre par deux ou
trois opérateurs spécialisés ;
Économie d'argent, conséquence des deux causes précédentes : Production non ou très
peu stoppée,
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Couche productrice non endommagée par l'intervention (puits non tué), Moyens matériels
et humains simples, donc relativement peu onéreux et de mise en œuvre rapide.
Elle présente toutefois un certain nombre d'inconvénients ou de limitations :
Le travail demande un personnel très qualifié ;
Le travail est très hasardeux dans les puits fortement déviés, chargés en sable ou
avec effluent visqueux ;
Le travail est impossible en présence de dépôts durs ;
Les possibilités offertes par le câble sont limitées (le câble ne peut travailler qu'en
traction et à un niveau très modéré, pas de rotation ou de circulation possible).
On peut classer les principales interventions par travail au câble en trois types :
Contrôle et nettoyage du tubing ou du fond du puits (diamètre intérieur,
corrosion, encrassement, top sédiment, ...) ;
Opérations de mesure (enregistrement des pression et température de fond,
échan-tillonnage, repérage d'interface, diagraphies de production, ...) ;
Mise en place ou repêchage d'outils et opérations dans le puits (pose et remontée de
vannes de sécurité de subsurface, de duses de fond, de bouchons, de vannes gas lift, ;
manœuvres de chemises de circulation ; repêchage ; perforation).
Certains outils descendus dans le puits font appel à un câble électrique ; dans ce cas
on parle de travail au câble électrique.
Le matériel de surface et de fond nécessaire fait l'objet des paragraphes suivants.
3. Les Conditions affectant le travail au câble :
Le travail au câble peut être affecté par les conditions de puits suivant :
La corrosion du tubing
Présence des sédiments dans le puits
Dépôts de tartre
Profil de puits
La pression
Diamètres du tubing
Type de câble et ses spécifications
Viscosité de fluide dans le puits
Conception des équipements de puits
La température (pour les instruments)
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4. Les opérations de travail au câble :
Vérification de drift de la colonne de production
Vérification d'accumulation de dépôts de cire, Dépôts de tartre
Corrélation de la profondeur totale ou des perforations
Pose de bouchons ou dispositifs de flow control
Ouverture et fermeture des portes latérales coulissantes ou d’autres équipements similaires
Descente des jauges et enregistreurs de pression et de température
Diagraphie et perforation
5. Travail au câble mono brin (slick line) :
C’est l’utilisation d’un fil contenu lisse en acier de très haute résistance, les diamètres les
plus utilisé sont 0.108’’ et 0.125’’ (3/16 in. Le plus utilisé), livrés en tourets de 10000 à 30000
pieds.
Les câbles wire line mono brin existent en trois qualités d’acier :
Ordinaires
Inoxydables
Galvanisés
L’API recommande dans le bulletin 9A : la traction maximale est limitée à 50% de
la résistance à la rupture de câble
En plus de la résistance requise du câble pour éviter sa rupture, il est nécessaire
de maintenir le diamètre du câble aussi petit que possible pour :
Réduire la charge de son propre poids
Permettre l'utilisation de poulies et touret de câble de petits diamètres
Minimiser la section transversale pour réduire l'effet de la pression de la tête de puits
6. Equipement de surface :
6.1. Composition de l’unité wire line :
Un groupe de puissance ’’power pack’’ :
Unités tractables : on shore, peu profond
Unités modernes : puits profonds
Moteur diesel entrainant une à deux pompes hydrauliques pour control du treuil.
Une cabine de control :
Placée derrière le treuil pour une meilleur vision et control, elle équipée de gauge de
profondeur et pression.
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Un treuil :
Utilisé pour enrouler, stocker, dérouler le câble, se compose de :
Un tambour hydraulique
Vanne pour changement de sens de rotation de treuil
Dispositif de variation de vitesse de treuil
Frein à bandes
Accessoires :
Dispositif de control d’enroulement/déroulement du câble ‘spooling head’ :
Ce dispositif permet le control d’enroulement / déroulement, il est relié au
(dephtométre) dans la cabine.
Tensiomètre :
Ce dispositif permet l’attache de la poulie de
renvoie à la tête de puits, la tension de câble est
transmise à l’indicateur de poids au moyen d’un
flexible hydraulique.
Le système d'indicateurs de poids :
Le capteur de poids est attaché à la tête de
puits par une chaine et flexible Haute pression
à un pressure gauge.
Le (load cell) est attaché à la poulie et tète
de puits avec un angle de 90º.
L’indicateur de poids permet aussi :
o La localisation du niveau statique
o Changement de la densité de fluide
o Battage
Fig.3. TENSIOMETRE
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o Manipulation des équipements de fond
6.2. Equipement de contrôle de pression et accessoires :
Presse étoupe « stuffing box » :
Destinée pour le confinement primaire, placé à l’extrémité supérieure du
SAS
Permet le passage de câble en assurant l’étanchéité
Obture le puits
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La fonction primaire du BOP est. :
Isole la pression de puits sans couper le câble en fermant la master valve.
Permet un accès pour le cutter du câble au-dessus de bop rams.
Permet la descente au WL cutter si le câble
est coincé dans le puits.
Permet le ‘stripping’ si nécessaire
Vanne d’égalisation de pression :
Toutes pressions différentielles agissant sur la
surface d’un RAM fermé, crée une force qui rend
son ouverture extrêmement difficile.
L’ouverture du RAM sans l’égalisation causera
sans endommagement.
Adaptateur de tète de puits ‘well head adaptor’ : Fig.6. VANNE D’EGALISATION
Il est monté sur le sommet de la tête de DE PRESSION
Fig.8. RACCORD
D’INJECTION DES
PRODUITS CHIMIQUE
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Tool trap :
C’est un dispositif placé sous le SAS, utilisé pour empêcher la chute de train WL dans
le puits s’il y a rupture du câble au niveau du rope socket.
Le tool trap est équipé d’un ou deux clapets qui se ferment
dès que le train WL est complètement rentré dans le SAS. [2]
Tète d’injection de graisse :
Elle est installée au sommet de SAS, elle est utilisée pour
assurer l’étanchéité autour de câble toronné à l’aide de la graisse
pompée sous pression.
La tête d’injection est composée des éléments suivants
o Un ensemble de flow tube / sleeves (deux ou plus)
o Un raccord rapide
o Un dispositif d’étanchéité hydraulique
o Un ou plusieurs manchons (tube sleeve coupling)
Le nombre de flow tube / sleeves est fonction de la pression en
tète Fig.9. TETE D’INJECTION
DE GRAISSE
Clapet anti retour (safety check valve):
Le clapet anti retour est placé sous la tête de graissage, il joue le rôle de plongeur dans
le système de la presse étoupe. Quand le câble est à l’intérieure
du puits.la bille est positionnée sur le côté.
En cas de rupture du câble, la pression en tête du puits plaque
la bille dans son siège et empêche l’écoulement du fluide
vers la surface.
Essuie câble (line wiper) :
L’essuie câble est placé au niveau de la poulie de renvoi. Utilisé Fig.10 . ESSUIE
pour nettoyer à la remontée les câbles de gros diamètres. CABLE (LINE WIPER)
7. Le train de travail au câble :
Le train de travail au câble est l'ensemble des outils placés au-dessus des outils spécialisés
(outils de contrôle et d'entretien, de pose et de repêchage, d’instrumentation,) qu'il sert à
descendre. Il est relié à l'extrémité du câble par un raccord spécial.
Bien que la composition d'un tel train dépende du travail à effectuer et des conditions
du puits, le train comporte en général :
- un raccord d'accrochage (rope socket) ;
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- des barres de charge (stem) ;
- une coulisse mécanique (spang jar) ;
- une rotule (knuckle joint).
On peut y adjoindre des équipements spécifiques tels qu'un raccord
d'attache rapide (quick-Iock coupling), une coulisse hydraulique
(hydraulic jar), un outil de décentrage (kickover tool), ...
Tous les éléments composant le train de travail au câble possèdent une tête de
repêchage standard. Ils sont raccordés entre eux par des filetages de type sucker-
rod (tige de pompage) qui ne doivent jamais être graissés ou huilés et qui sont
bloqués énergique ment à la main à l'aide d'une clé spéciale.
Le choix du diamètre du train de travail au câble dépend principalement
du diamètre intérieur du tubing et de ses accessoires. Par exemple, le
diamètre nominal 1 1/2" (38 mm environ) convient bien en particulier aux
tubings 2 7/8" et 3 1/2" .
A. Le raccord d'accrochage (rope socket) :
Ce raccord fileté à son extrémité inférieure retient le câble à l'aide d'un
nœud spécial confectionné à l'intérieur (enroulement du câble sur lui-
même après avoir enserré un
Disque d'enroulement). Un ressort, logé dans l'usinage central, joue le
rôle d'amortisseur de choc lors des battages.
B. Les barres de charge ou masse-tiges (stem) :
Ce sont des barres lourdes qui permettent au train de descendre dans le
puits malgré la pression en tête et les frottements. Elles servent aussi
de masse de percussion pour accentuer le battage.
La longueur et le diamètre des barres de charge sont choisis selon les
travaux à effectuer. On est toutefois limité par la longueur disponible dans
le sas et par la résistance du câble.
Elles sont livrées en trois dimensions : 2, 3 ou 5 pieds (61,91 ou 152
cm environ).
C. Les coulisses (jar) : Fig.11. LE TRAIN DE
Les coulisses donnent la possibilité de frapper en fin de TRAVAIL AU CABLE
course avec les barres de charge soit pour cisailler une goupille
de fonctionnement d'un outil (de pose, de repêcher).
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8. Les outils de travail au câble :
8.1. Les outils de pose et repêchage :
On peut classer ces outils en trois catégories :
Les outils de pose qui descendent et placent les outils de fond dans le puits ; ils
retiennent ces outils par des goupilles d'accrochage ou bien encore par des
chiens d'accrochage et permettent de les poser ou ancrer, puis de s'en libérer par
battage (vers le haut, le bas ou les deux selon le fonctionnement de l'outil à poser
et le type de l'outil de pose).
Les outils de repêchage qui accrochent et remontent les outils de fond en service
dans le puits ; des chiens d'accrochage élastiques permettent de coiffer la tête de
repêchage de l'outil de fond ; ces outils de fond peuvent alors être désancrés et
remontés par battage à la coulisse dans un sens prédéterminé ; un battage à la
coulisse dans l'autre sens permet, après cisaillement d'une goupille, de
Fig.12.
se libérer de l'outil de fond si celui-ci ne veut pas se désancrer.
EXEMPLE
Les outils mixtes qui permettent d'assurer les deux fonctions (avec une
D’OUTILS DE
procédure et parfois un équipement différent) ; ces outils sont généralement REPECHAGE
adaptés à un seul type d'outil de fond.
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d'égalisation viennent s'intercaler entre le porte-outil et le bouchon
proprement dit et permettent l'égalisation des pressions de part et d'autre,
avant le désencrage et la récupération de l'ensemble bouchon (porte-
outil, raccord d'égalisation, bouchon) ;
Les outils de manœuvre des dispositifs de circulation ;
Les outils de décentrage pour venir travailler dans les mandrins à
poche latérale ;
Les outils de suspension spéciaux pour enregistreurs qui peuvent être mis en
œuvre sans aucun battage ;
Les outils de pistonnage pour le démarrage ou le redémarrage des puits ;
Les perforateurs qui permettent de créer une communication
entre le tubing et l'annulaire (en général préalablement à une Fig.13. OUTILS
POUR DETEREMINER LE
reprise du puits pour pouvoir neutraliser le puits ou pour faire
TUBAGE
du gas lift sur un puits non équipé en conséquence) ; il en
existe de type mécanique (un pointeau étant forcé par battage
à travers le tubing) ou à balle (une charge explosive étant mise à feu par battage) et
ils permettent de mettre en place un orifice calibré.
8.3. Les outils de contrôle et d’entretien :
Ces outils se vissent directement au bas du train du câble. Ils permettent de
contrôler et de nettoyer l’intérieur du tubing ou le fond de puits. Citons à
titre d’exemple :
Les couteaux calibreurs (gauge cutter) :
Ils sont conçus pour vérifier le diamètre intérieur d’un équipement. Cette
opération peut être effectuée sur une garniture de forage ou sur une colonne
de production.
Les poires (swaging tool) :
Conçus pour redresser les parois d’un tubing qui a subit localement des
déformations légères.
Fluted Centraliser : Fig.14. LES POIRE
Utilisé surtout dans les puits déviés il est attaché au train du travail juste au- ET LES COUTEUX
CALIBREURS
dessus des outils de repêchage et de pose afin de permettre à ces outils d’être
centralisés dans le tubing.
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Les gratteurs (scratcher) :
Conçus pour nettoyer les parois intérieures du tubing. Il faut éliminer les débris en
faisant débiter le puits pour limiter le risque du coincement ;
Les calibreurs (caliper) :
Ils sont munis des palpeurs pour enregistrer les variations de diamètre intérieur.
Les cuillères à sédiment (sand bailer) :
Ces sont des outils qui permettent de : Prélever des échantillons de sédiments déposés au
fond du puits, En lever le sable, la boue, le sel ou tout autre débris dans les tubings, nettoyer
la partie supérieure d’un équipement à remonter, et les outils de curage sont de type
mécanique ou hydraulique.
8.4. Les outils d’instrumentations :
Il arrive parfois, malgré les précautions opératoires prises, que les outils ou le train
de travail au câble se coincent, que le câble casse, ...
Avant de recourir à des moyens d'intervention plus lourds, un certain nombre d'équi-
pements de travail au câble peuvent parfois permettre de résoudre le problème par le travail
au câble lui-même.
Là encore les outils sont très nombreux. En particulier, on peut être amené à utiliser :
Des coupe-câbles qui ont pour but, lorsque le train de travail au câble est coincé, de
cisailler le câble au ras du raccord d'accrochage; ils sont lâchés depuis la surface et on
utilise le choc sur le raccord d'accrochage pour cisailler le câble; attention, quand le
câble fait une « pelote » et donc que le coupe-câble ne peut descendre jusqu'au raccord
d'accrochage, il faut utiliser un coupe-câble spécial pour couper le câble au sommet de
cette pelote (envoi dans un premier temps du coupe-câble proprement dit et dans un
deuxième temps d'un go-devil, instrument largué à l'intérieur du tubing et qui vient taper
sur le coupe-câble) ;
Des wireline finders qui servent à localiser l'extrémité supérieure d'un câble cassé et à
tasser ce câble (par battage léger) pour constituer une pelote facilitant le repêchage avec
un harpon (cf. outil suivant) ; les finders sont des cloches de diamètre le plus proche
possible de celui du tubing (pour éviter que le câble ne passe à côté), et percées de trou de
diamètre inférieur à celui du câble (pour laisser passer le fluide); attention à ne pas les
descendre plus bas que l'extrémité du câble (Nota : lors de la rupture, le câble ne chute
que très peu dans le tubing, environ 1 m pour 1000 m dans un tubing 2 3/8");
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Des harpons (wireline grab) qui servent à accrocher le câble et à le remonter en surface
Des empreintes (impression block) qui servent à repérer la forme et l'état de la tête
du poisson à repêcher ; elles sont constituées d'une cloche remplie de plomb.
Des overshots (cloche de repêchage) qui permettent de repêcher les matériels cassés.
Des aimants (magnet) qui permettent de récupérer de petits morceaux d’acier ; l'aimant
est protégé lors de sa descente par une jupe coulissante en métal antimagnétique.
II. LE POMPAGE :
Il est possible de venir brancher une pompe en tête de puits de manière à injecter dans
le tubing ou aux abords du puits un fluide de traitement que l'on désire mettre en place
(inhibiteurs de corrosion…acide pour lavage des perforations, ...)
En fait cette pratique, qui peut sembler simple à priori, n'est généralement pas bien
adaptée aux puits à huile. En effet, il faut repousser dans la couche l'effluent qui se trouvait
initialement dans le tubing, ce qui n'est pas forcément facile (manque d'injectivité) ou ce qui
peut conduire à un endommagement de la couche. Ou alors, il faudrait venir ouvrir
préalablement un dispositif de circulation au fond de puits, mais dans ce cas :
Selon le dispositif de circulation, la nature de l'effluent, la température, le temps
depuis lequel l'équipement est en place.
Si on circule en direct, on envoie dans l'annulaire l'effluent qui va polluer le
fluide d’annulaire ;
Si on circule en inverse, il faut circuler d'abord tout le fluide d'annulaire puis le
remplacer
après coup.
Par contre cette pratique peut être intéressante sur des puits à gaz qui présentent en
général moins de problème d'injectivité, ou pour lesquels le fluide de traitement peut
descendre en fond de puits par gravité en migrant à travers le gaz.
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