Chapitre1 Copie
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Chapitre1 Copie
1. Introduction
L'objectif de ce chapitre est de faire une recherche bibliographique sur les installations
frigorifiques mécanique et de donner le stade actuel dans le monde, puis le principe de
fonctionnement de ces machines ; afin de faciliter l'étude de ses performances et de mieux
comprendre les spécificités du cycle envisagé.
Enfin, les progrès ainsi réalisés ont abouti à la création de la turbine à combustion
Destiné à la production de l’énergie électrique.
Centres de conception
L’étape B :
Réalise par le Consortium Franco-britannique GEC-ALSTOM.
Elle est formée par un cycle combiné constitué de trois groupes dont deux turbines à gaz
de puissance de base 119 MW chacune et d’une turbine à vapeur de puissance de base 125 MW.
Le compresseur utilisé est du type axial, c'est-à-dire que la direction générale du débit d'air est
axiale. Il comporte 17 étages, chaque étage étant constitué d'un aubage mobil e (rotor) et d'un
aubage fixe (stator).
Dans ce type de compresseur, l'augmentation progressive de la pression de l'air d'étage en
étage est obtenue par la réduction de la vitesse de l’air dans les aubes du stator.
C'est-à-dire que lorsque l'air, mis en mouvement de rotation par la partie mobile de l'étage,
atteint la partie fixe, sa vitesse diminue et sa pression augmente.
Pour le groupe turbo-alternateur modèle 9001 E, le taux de compression du compresseur axial est
d'environ 11,47 en régime de base et peut atteindre 11,66 en régime de pointe.
5. Le système de combustion :
Figure 11 : chambre de combustion Figure 12 : Tube d’interconnexion Figure 13 : Tube de flamme
6. La turbine:
La turbine 9001 E possède trois étages, le mélange gaz chauds-air de dilution issu du
système de combustion est guidé vers la première directrice par des pièces de transition qui
assurent une répartition la plus homogène possible.
La température à l'entrée de la première directrice est contrôlée par le système de
régulation de la turbine en captant la température des gaz chauds à l'échappement. A cause des
chocs thermiques, ce facteur est important pour la durée de vie des pièces composant la turbine.
(Voir figure 17).
En régime de base, la température des gaz à l'entrée de la première directrice ne doit pas
dépasser 1093°C (2000°F).
7. Etude thermodynamique :
7.1 Description générale :
Un diagramme schématique pour un cycle simple, turbine à gaz à un seul arbre est montré
sur la (figure18).
Les conditions standard employées dans l’industrie des turbines à gaz sont: Tamb =15 °C,
Patm =1.013 bar et l’humidité relative de 60 %, qui sont établies par l’organisme international de
normalisation (ISO).
7.2 Cycle thermodynamique simplifié :
Le cycle thermodynamique sur lequel toutes les turbines à gaz fonctionnent s’appelle le
cycle de Brayton. (La figure 18) montre le diagramme classique, Température - Entropie (T-s)
pour ce cycle.
Chaque cycle de Brayton peut être caractérisé par deux paramètres significatifs:
le rapport de pression et la température de combustion. Le rapport de pression du cycle est la
pression au point 2 (pression à la sortie du compresseur) divisée par la pression au point 1
(pression d’admission du compresseur).
Dans un cycle idéal, ce rapport de pression est également égal à la pression au point 3
divisé par la pression au point 4.
Cependant, dans un cycle réel il y a une certaine légère perte de pression dans le système
de combustion et, par conséquent, la pression au point 3 est légèrement moins élevée qu’au point
2.
L’autre paramètre significatif, la température de la combustion, est considérée comme étant la
température la plus élevée du cycle.
Le travail massique de compression produit dans le compresseur peut être calculé par la formule
suivante : WC = ∆h1-2 = Cp (T2 – T1) (1-1)
On peut également calculer le travail de détente du gaz dans la turbine par la relation suivante :
on a : P ×V = cte
Q 2,3−Q 4,1
ŋ=
Q 2,3
Q=∁ ρ ×T
Ou :
T 2−T 1
ŋ is=
T 2' −T 1
Où:
Où:
T3 : Température des gaz chauds à l'entrée de la première directrice (K).
T4: Température des gaz chauds à l'échappement dans le cas idéal (Transformation
adiabatique) (K).
T4’: Température des gaz chauds à l'échappement dans le cas réel (Transformation non
adiabatique) (K).
Ceci signifie que l'énergie nécessaire à la compression (énergie fournie par le travail de la
turbine) est plus importante, que l'énergie fournie par la détente car elle est réduite.
De ce fait, le rendement théorique du cycle se trouve donc lui aussi réduit.
Interprétation :
D’après les deux diagrammes on peut constater que l’augmentation de la température
8. Conclusion :
2. Principe de fonctionnement :
Le circuit frigorifique à compression mécanique est constitué pour l’essentiel de quatre
éléments fondamentaux :
• l’évaporateur : qui est un échangeur thermique entre le milieu à refroidir (air, eau) et le
fluide frigorigène, qui se vaporise en prélevant la chaleur au milieu à refroidir.
• le compresseur : qui aspire les vapeurs produites par l’évaporateur sous basse pression, et
les refoule sous haute pression vers le condenseur.
• le condenseur : qui est un échangeur thermique entre le fluide frigorigène et le fluide de
refroidissement (air, eau, etc.) ; le fluide frigorigène se condense et réchauffe le fluide de
refroidissement. À la sortie du condenseur, le fluide frigorigène est à l’état saturant (ou état sous-
refroidi).
• le détendeur: qui a comme rôle de régler le débit de liquide frigorigène admis à
l’évaporateur. Le détendeur thermostatique, le plus utilisé, régule la surchauffe des vapeurs de
Figure 21 : centrale thermique à gaz cycle ouvert avec machine frigorifique
Air ambiant
Les quatre éléments de base du circuit frigorifique sont reliés entre eux par les
tuyauteries frigorigènes:
De refoulement: entre le compresseur et le condenseur (en 2).
De liquide: entre le condenseur et le détendeur(en 3)
D’aspiration: entre l’évaporateur et le compresseur(en 1).
Dans lesquelles circule en circuit fermé étanche, le fluide frigorigène qui est
successivement à l’état:
De vapeurs froides détendues : à basse pression dans la conduite d’aspiration
(point 1).
4.1 La compression :
Pour simplifier, nous supposerons la compresseur isentrope, c'est à dire que les
vapeurs surchauffées suivent pendant la compression les courbes d'entropie.
4.2 La condensation :
La température de l'air extérieur en max qui peut atteindre la Tunisie est de Text =+ 45 °C
Le Degré total du condenseur est de 10 °C (donnée constructeur issue de la sélection du
condenseur).
Pour déterminer la température de condensation (Tcond) il suffit d'appliquer la formule
suivante :
Tcond = ( + 45 ) + 10 = + 55 °C
Les vapeurs surchauffées entrent dans le condenseur qui se scinde en trois zones...
La zone de désurchauffe du point 3 vers le point 4.
La zone de condensation du point 4 vers le point 5. T4 = T5 = + 55 °C
4.3 La détente :
La détente est adiabatique. Donc l’enthalpie du point 7 est égale à l'enthalpie du point 8.
On parle aussi de détente isenthalpe. La température au point 8 est de : T8 = - 5 °C
4.4 L'évaporation :
P= ṁx Cp x ∆t
P en kW m en kg Cp en kJ / (kg °k) ΔT en °K
Cp : Chaleur spécifique en fonction de l’air (Exemple: pour l’air ; Cpair =1000 J /KgK)
∆T : Différence de température Entrée/Sortie Gaz (T1-T2) en °C
Au niveau de l’échangeur de chaleur :
On applique la loi de conservation d’énergie
Pev = Pair
P= ev x Cp fréon x ∆T’ = ṁ air x Cp air x ∆T
Peau = Pair
ṁ air ×∁ ρ air × ∆ T
Peau = ∁ ρeau × ∆ Teau
Application Numérique :
388,88× 1000× 15
Peau = 4,18 10 ³ ×15 = 93,033 kg/s
DONC :
Pfrigo 5833
Pgroupe = ε = 0.8 = 7291 kw = 7,29 w
C° F°
% MW % MW MW
45 113 15 30 81,45 96,11 90,9 107,26 7,29
102
100
98
Charge de la TG avec groupe
de refroidissement en %
96
94
92
90
88
86
30 25 20 16 15 15 15 15 15 15 15
Courbe representatif de la consomation spécifique sans et avec tour de refroidissement = f(T amb)
350
consommation spécifique avec et sans tour de refroidissement en m³/Wh
300
250
200
m³/Wh
m³/Wh
150
100
50
0
45 40 35 30 31 29 28 27 26 25 24
Tampérature ambiante en c°
(Voir annexe 3)
10. Conclusion :
Carrier s’engage à réduire les émissions de gaz à effet de serre de ses produits en
améliorant leur rendement énergétique et en faisant le bon choix de fluides frigorigènes.
Aujourd’hui, De nombreux fluides frigorigènes sont actuellement composés
d’hydrochlorofluoro carbones (HCFC) qui respectent la couche d’ozone et qui ont permis de
réduire de 80 % l’effet de serre par rapport aux CFC. Cependant, les HCFC sont aussi des gaz à
effet de serre et Carrier est fermement déterminé à trouver des solutions afin d’éviter le
réchauffement climatique. Qui utilisent comme fluide frigorigène naturel le dioxyde de carbone,
lequel a très peu d’effet sur le réchauffement de la planète.
Entre 2006 et 2010, Carrier a réduit ses émissions de gaz à effet de serre de 25%
2.3 Calcul de la réduction des émissions CO2 suite au gain sur la consommation
spécifique :
Donnée:
la Tg 9001E : émet 2 tonne de CO2 par 1000Nm3 de gaz (1tep)
4. Conclusion