DEDICACES

NOUS DEDIONS

CE DOCUMENT

A NOS PARENTS,

SOUTIENS

ET CONSEILLE
 REMERCIEMENT

Ce travail est le fruit d’un effort collectif, et cela ne pouvait se réaliser sans
l’appui de certaines personnes. Nos remerciements vont à l’endroit de :

Monsieur Ernest MABILA, Représentant de l’ASECNA auprès du BURKINA

FASO, qui nous a autorisé à effectuer notre stage au sein de L’unité Transit et
Gestion des Stock de L’ASECNA Ouagadougou

Ensuite mes vifs remerciements de mon maître de stage, MADAME chef de

l’unité Transit et gestion des stocks qui nous a assuré aux mieux un
encaderement exemplaire et nous a initié dans la pratique . egalement A
monsieur maurice sandamba chargé d’aprovisionement /achat et MONSIEUR
chargé meteo pour leur diponibilité et leur acompagnement. Leur devouement et
leur conselils ontb été d’un réel apport pour la redaction de ce document

Egalement je remercie monsieur bassole narcisse pour son suivi et son aide a
l’aboutissement de ce document

Mes remerciment vont a l’endroit de pour son soutient et ses encouragment ainsi
que qui a contribuer a la redaction de ce document
PREAMBULE
 SOMMAIRE

REMERCIEMENT..............................................................................................2
PREAMBULE......................................................................................................3
SOMMAIRE.........................................................................................................4
INTRODUCTION................................................................................................5
PREMIERE PARTIE : PRESENTATION DE L’ASECNA.............................6
INTRODUCTION........................................................................................................................7
CHAPITRE I : HISTORIQUE ET MISSION DE L’ASECNA..................................................8
I-Historique......................................................................................................................................................8
II-Missions........................................................................................................................................................9

CHAPITRE II: ORGANISATION GENERALE ET FONCTIONNEMENT DE L’ASECNA

....................................................................................................................................................11
I- La composition statutaire et services extérieur de l’ASECNA..............................................................11
DEDICACES....................................................................................................................................................1II-
La Représentation de l’ASECNA auprès Burkina Faso........................................................................12

DEUXIEME PARTIE : LA GESTION DES OPERATIONS

D’ACHEMINEMENT ET DES STOCKS........................................................13
CHAPITRE I : GENERALITE SUR LA GESTION DES OPERATIONS
D’ACHEMINEMENT ET DES STOCKS.................................................................................14
I- Généralité sur les opérations d’acheminement.....................................................................................14
II- Généralité sur la gestion de stocks........................................................................................................21

CHAPITRE II : LA GESTION DES OPERATIONS D’ACHEMINEMENT ET DES

STOCKS CAS DE L’ASECNA..................................................................................................28
I- La gestion des opérations d’acheminement cas de l’ASECNA.............................................................28
II- la gestion des stocks a l’ASECNA BURKINA.......................................................................................36
III Critiques et suggestions...........................................................................................................................40

CONCLUSION GENERALE............................................................................42
BIBLOGRAPHIE..............................................................................................43
OUVRAGES...............................................................................................................................43
-Document ASECNA.....................................................................................................................................43
-Rapports de stage.........................................................................................................................................43

WEBOGRAPHIE...............................................................................................43
ANNEXES..........................................................................................................44
TABLE DE MATIÈRES....................................................................................45

INTRODUCTION

Evoluant dans un environnement hautement concurrentiel, l’entreprise se doit de s’adapter à

des stratégies ou des techniques pour faire face à toutes ses turbulences dans son contexte
économique actuel. Pour se faire, la logistique s’avère être une variable stratégique
incontournable pour toutes les entreprises quel que soit la nature d’activité.

La logistique est l’ensemble des opérations et moyens relatifs à la gestion des

approvisionnements en matière première et semi fini, la transformation de produits finis, a
l’emballage et au conditionnement, au stockage, a la manutention, au transport, au
dédouanement jusqu’à la livraison terminale sur un marché extérieur que intérieur.

Elle se définit comme étant la coordination des informations et les actions des différentes
informations d’une chaine depuis le lieu d’expédition jusqu’au lieu de destination de façon à
réduire le temps et le cout d’exécution des différentes taches afin d’optimiser la rentabilité
globale de leur action. C’est dans le souci d’assurer sa compétitivité que l’Agence pour la
Sécurité de la Navigation Aérienne en Afrique a vu l’importance de créer à son sein une
Unité de Gestion de Stocks et de Transit pour faire face à tous ces aléas.

C’est ce qui justifie le choix de mon thème : la gestion des opérations d’acheminent et des
stocks (de l’ASECNA).

Pour mener à bien se travail, développe le document en deux parties. La première partie
comprend deux chapitres. Le premier chapitre fera un aperçu sur l’historique et mission.

Le deuxième chapitre s’intéressera à l’organisation générale et fonctionnement de

l’ASECNA.

La deuxième partie se composera de deux chapitres encore dont le premier parlera des

généralités sur la gestion des opérations d’acheminement et des stocks.

Et en final le dernier chapitre présentera la gestion des opérations d’acheminement et des

stocks proprement dit de l’ASECNA.
PREMIERE PARTIE : PRESENTATION DE L’ASECNA
 INTRODUCTION

Dans ce chapitre, il s’agira dans une première section de relater l’historique et

les missions de l’ASECNA. La section 2 est consacrée à la nature et forme
juridique de l’ASECNA. La troisième section passe en revue l’Organisation
générale et fonctionnement de l’ASECNA et la quatrième section présentera la
Représentation de l’ASECNA au Burkina Faso.
 le Comité des Ministres de tutelle ;

le Conseil d'Administration ; CHAPITRE I : HISTORIQUE ET MISSION

DE L’ASECNA

I-Historique

Etablissement public à caractère multinational, l’Agence pour la Sécurité de la

Navigation aérienne en Afrique et à Madagascar (ASECNA) a vu le jour à la
suite de la signature de la Convention par les Chefs d'Etat et de Gouvernement
des Etats autonomes issus des ex-Fédérations de l'AEF, de l'AOF et de
Madagascar le 12 décembre 1959 à Saint-Louis du Sénégal.

La création de l’ASECNA s’inscrit dans le but d’éviter de morceler l'espace

aérien à l'heure où les avions commençaient à aller de plus en plus vite, de plus
en plus haut et de plus en plus loin.

L’Agence regroupe 18 pays membres, dont 17 Etats africains (Benin, Burkina

Faso, Cameroun, Centrafrique, Congo Brazzaville, Côte d’Ivoire, Gabon,
Guinée Biseau, Guinée Equatoriale, Îles Comores, Madagascar, Mali,
Mauritanie, Niger, Sénégal, Tchad, Togo) et la France.

L’ASECNA, qui était essentiellement organisme de coopération franco-africain

et malgache à sa création, a évolué vers une coopération interafricaine et
malgache. Cette évolution s’est traduite par le transfert de son siège de Paris à
Dakar et aussi par l’africanisation du Directeur Général et des postes de
Directeurs Techniques.

Et parallèlement à cela, il y a eu la signature d’une nouvelle convention à

Dakar en 1974 par les quinze Etats signataires de la convention de Saint-Louis
(tous les Etats membres actuels de l’ASECNA à l’exception de la République de
Guinée Equatoriale, de la Guinée Bissau et des Comores dont les adhésions à
l’ASECNA ont eu lieu le 22 avril 1987).

Pendant ces 50 ans d’existence, l’ASECNA s’est forgé une image de marque
internationale. Elle a su faire face à une croissance considérable du trafic aérien,
et à une mutation technologique.
Les missions de l’Agence sont classée en deux catégories : les missions de base
et les Autres missions.

II-Missions

L'Agence a la charge d'un espace aérien étendu sur 16 100 000 km2 (1,5 fois la
superficie de l'Europe) couvert par six régions d'information en vol,
Antananarivo, Brazzaville, Dakar Océanique et Dakar Terrestre, Niamey et
Ndjamena.

Elle y assure le contrôle de la circulation aérienne, le guidage des avions, la

transmission des messages techniques et de trafic, l'information de vol, ainsi que
le recueil des données et la prévision et la transmission des informations
météorologiques.

Ces prestations couvrent aussi bien la circulation en route que l'approche et

l'atterrissage.

Elle assure la gestion des aides terminales sur les 27 aéroports principaux
(classés Article 2) des 17 Etats africains et malgache membres, à travers le
contrôle d'aérodrome et d'approche, le guidage du roulement des aéronefs au sol,
l'aide radio et visuelle à l'approche et à l'atterrissage, les transmissions radio, les
prévisions météorologiques, le bureau de piste et d'information aéronautique et
les services de sécurité incendie.

Au titre de ces missions, l’Agence a à sa charge la maintenance de l'ensemble

des installations nécessaires à la mise en œuvre de ces différentes prestations
sauf les pistes.

Toutefois, d’autres missions peuvent lui être confiées :

 gérer ou entretenir toute exploitation d’utilité aéronautique ou météorologique

à la demande des Etats membres et en vertu de contrats particuliers (article
10) ;

 concourir à l’exécution d’opérations d’aide et de coopération technique en

matière aéronautique ou météorologique (article 12) ;
 passer des contrats avec des Etats non membres qui souhaiteraient utiliser ses
services (article 11).C’est ainsi que l'Agence réalise, avec son avion ATR, la
calibration en vol des aides à la navigation aérienne pour de nombreux Etats
africains non membres, notamment en Afrique de l'Est, au Maroc, aux
Seychelles, à l'Ile Maurice, à la Réunion ainsi que dans la zone des Caraïbes.

L’Agence assure la formation de ses agents, principalement dans ses trois

établissements qui bénéficient du soutien des établissements français
homologue. Ses établissements sont :

 l’Ecole Africaine de Météorologie et de l’Aviation Civile (EAMAC),

 l’Ecole Régionale de Navigation Aérienne et de management (ERNAM) à

Dakar au Sénégal,

 l’Ecole Régionale de Sécurité et d’Incendie (ERSI) à Douala au Cameroun.

1-) Nature et forme juridique l’ASECNA

Les Etats partis assurent la sûreté des infrastructures et des équipements

nécessaires aux services de navigation aérienne implantés sur leurs territoires
respectifs, pour ce qui excède les responsabilités de l’Agence en sa qualité
d’affectataire et de gestionnaire desdits équipements et infrastructures.

Le fonctionnement est déterminé par les statuts et le cahier des charges de

l’Agence. L’ASECNA compte dix-huit(18) Etats membres qui sont : le Benin,
le Burkina Faso, le Cameroun, la république Centrafricaine, le Congo, la côte
D’ivoire, la France, le Gabon, la Guinée Bissau, la Guinée Equatoriale, la
Mauritanie, le Madagascar, le Mali, le Niger, le Sénégal, le Tchad, le Togo,
l’union des Comores.

L’ASECNA est un établissement public de droit international doté de la

personnalité juridique et jouissant de l’autonomie financière.

Le siège de l’Agence est fixé à Dakar, Sénégal, et sa durée de vie est

indéterminée.

Le caractère international de l’Agence ne la place pas sous l’emprise particulière

de l’une des législations nationale qu’elle doit toutes respecter, territorialement,
dans la mesure où celles-ci ne sont pas contraires à ses textes, organique
(primauté des traités internationaux sur les droits internes).

CHAPITRE II: ORGANISATION GENERALE ET FONCTIONNEMENT

DE L’ASECNA

I- La composition statutaire et services extérieur de l’ASECNA

L’ASECNA est composée de structures statutaires et des services extérieurs au

siège.

1-) Structures statutaires

L’Agence a en son sein 6 structures statutaires que sont :

 la Commission de Vérification des Comptes ;

 l’Agent Comptable ;

 le Contrôleur Financier ;

 la Direction Générale.

La Direction Générale est dirigée par un Directeur Général nommé par le

Conseil d’Administration, et approuvé par les Comités des ministres de tutelle
parmi les candidats proposés par les pays membres ; il assure la gestion de
l'Agence par l’exécution des décisions prises par les deux instances statutaires
précitées.

2-) Structures décentralisées

Ces structures comprennent d’une part les Représentations dans les Etats
membres et d’autre part, les délégations à Paris, à Accra et auprès de l’OACI.

Organisation de la Direction Générale de l’ASECNA

Le Directeur Général est assisté dans l’exécution de sa mission par 2 directeurs à

savoir : (voir organigramme de la DG en annexe)
La Direction de l′exploitation technique et La Direction Contrôle, Sécurité,
Qualité.

II- La Représentation de l’ASECNA auprès Burkina Faso

Organigramme (voir annexe)

1-) Nature et Mission

L’ASECNA est représenté dans chaque Etat membre par un responsable qui
porte généralement le titre de « représentant », nommé par le Directeur Général
sur proposition du ministre de tutelle ; il se tient à la disposition de ce dernier
pour toutes informations utiles à l’Agence. Il est aussi responsable des activités
dans son Etat d’affectation. Toutes les représentations sont structurées selon un
même schéma organisationnel. La représentation de l’ASECNA au Burkina a
été inaugurée le 15 novembre 1997.

2-) Organisation et Fonctionnement

La représentation de l’ASECNA au Burkina Faso comprend 4 grands services :

 le chargé du contrôle, de la sécurité et de la qualité ;

 le responsable des opérations ;

 le chargé des services météorologiques ;

 administration Générale est composée du Cabinet du représentant, le service

chargé de l’Administration et des finances et la Paierie.
DEUXIEME PARTIE : LA GESTION DES OPERATIONS
D’ACHEMINEMENT ET DES STOCKS
 CHAPITRE I : GENERALITE SUR LA GESTION DES OPERATIONS
D’ACHEMINEMENT ET DES STOCKS

I- Généralité sur les opérations d’acheminement

A-Formalité et procédures d’exportation du Burkina Faso

La procédure d’exportation des marchandises du Burkina Faso comporte les

étapes suivantes :

-demande préalable d’exportation ;

- l’autorisation d’exportation si besoin ;

- le certification de l’origine des marchandises ;

- la déclaration d’exportation ;

- l’inspection ou contrôle avant embarquement ;

- le paiement des exportations.

1- La demande préalable d’exportation

Au Burkina Faso, toutes les marchandises sont libres à l’exportation ou à la

réexportation à destination de l’étranger sauf :

L’or, l’ivoire, le cuire, la peau brute, le charbon et le boit qui sont soumis à des
règlementations

Le formulaire de la demande préalable d’exportation est délivré sans frais à la

Direction du Commerce Extérieur. Il précise la nature de l’autorisation accordée
par le ministère en charge du commerce.

2- Certificat d’origine

Lieu : La fiche de demande de certificat d'origine est en vente au Centre des

guichets uniques (CGU) .

Les documents à fournir pour l’obtention du certificat d’origine sont :

- la demande préalable d’exportation ;
- la fiche de demande de certificat d’origine dûment remplie ;
- la déclaration d’exportation et éventuellement l’autorisation spéciale
d’exportation.

L’établissement du certificat d’origine est fonction des exigences du pays de

destination des marchandises à exporter.

3- Contrôle de la qualité des marchandises avant embarquement

L’inspection des marchandises est effectuée par COTECNA. La procédure

d’inspection des marchandises se déroule comme suit :

- information de la société d’inspection par l’exportateur au moins cinq (5)

jours avant la date prévue pour l’inspection ;
- présentation des marchandises au contrôle par l’exportateur aux agents
chargés de l’inspection ;
- remise d’un exemplaire de la facture définitive accompagnée dans le cas
échéant du connaissement maritime ou de la lettre de transport aérien (LTA),
de la liste de colisage ;
- paiement des frais de présentation des marchandises (déballage, re-
emballage, manutention, essais, etc.).

L’inspection est suivie par :

- l’apposition du Label de sécurité sur une copie de la facture définitive ;

- la remise d’un avis de résultat d’inspection (ARI) à l’importateur.

4- Domiciliation du paiement des exportations

Le produit de l’exportation des marchandises hors du Burkina Faso doit faire

l’objet d’une domiciliation auprès d’un intermédiaire agréé lorsque sa valeur
dépasse cinq millions de francs (5.000.000 F CFA.

L’exportation est considérée comme effective dès lors que les marchandises ont
été déclarées à l’exportation et que la douane se sera assurée de la concordance
des indications portées sur l’attestation d’exportation et la facture (nature,
destination, quantité, valeur).

B- Procédures d’importation du Burkina Faso

La procédure d’importation des marchandises du Burkina Faso comporte les

étapes suivantes :
 - La déclaration préalable d’importation ;
- l’obtention du certificat national de conformité ;
- la certification de l’origine des marchandises ;
- l’inspection avant embarquement ;
- la domiciliation des paiements.

1-Déclaration préalable à l’importation (DPI)

La Déclaration Préalable d’Importation (DPI) est exigée pour l’importation sous

tous régimes douaniers de toute marchandise :

- d’une valeur égale ou supérieure à cinq millions de francs (500.000) F

CFA ;
- et non prohibée à titre absolu ou non soumise à autorisation spéciale
d’importation (ASI).

Important : En l’absence de l’Autorisation Spéciale d’Importer aucune

opération de dédouanement n’est autorisée.

La Déclaration Préalable d’Importation est délivré par le Ministère chargé du

commerce sur demande de l’opérateur. Elle a une validité légale de 6 mois
courant à compter à partir du lendemain de son visa. Elle peut être prorogée de 6
mois une seule fois, sur demande déposée au moins deux semaines avant sa date
de péremption.

2-Certificat national de conformité

Le certificat national de conformité est délivré aussi bien par le ministère chargé
du commerce et le laboratoire national de santé public sur la qualité, le poids, la
quantité, l’emballage et l’étiquetage de la marchandise selon les normes et
règlements techniques en vigueur au Burkina Faso.

3- obtention du certificat d’origine

L’importateur doit obtenir de son fournisseur le certificat d’origine des

marchandises. Le certificat d'origine accompagnant la marchandise importée
doit être présenté à la douane en vue de faire bénéficier la marchandise
originaire de l’UEMOA de l’exemption des droits et taxes à l’importation.
4- Inspection des marchandises avant enlèvement

Par circulaire n°2007-124/MEF/SG/DGD du 21 novembre 2007, l'inspection (à

destination) par la société COTECNA a été rendue obligatoire pour toutes les
marchandises importées au Burkina Faso qui n'auraient pas été inspectées avant
embarquement, quelle qu'en soit la valeur.

Important : l’inspection des marchandises à l’importation est incontournable.

S’y soustraire exclut également toute possibilité de dédouanement.

5- Domiciliation des paiements des importations

La marchandise importée de pays autres que ceux de la zone franc (Instruction

cadre BCEAO N°02/99 du 1er février 1999) et d’une valeur FOB supérieure ou
égale à cinq millions de francs (5.000.000) F CFA doit faire l’objet d’une
domiciliation auprès d’une banque intermédiaire agréée et son paiement est
conditionné au visa d’une attestation d’importation. La banque intermédiaire
doit ouvrir un dossier de domiciliation comprenant deux (2) copies de la facture
ou du contrat commercial dont une copie annotée est remise à l’importateur.

L’importation est considérée comme effective et le transfert pourra intervenir

dès lors que l’attestation d’importation aura été contrôlée et visée par le service
des douanes qui s’assurera de la concordance des indications portées sur
l’attestation d’importation et la facture (nature, pays de provenance, quantité,
valeur).

C- Procédure de dédouanement du Burkina Faso

1- Procédure de dédouanement à l’exportation

A l’exportation la procédure de dédouanement comprend à deux (2)  phases :

- la conduite en douane des marchandises vers un bureau de douane de

sortie ;
- l’établissement de la déclaration en détail.

a-Conduite en douane des marchandises vers un bureau de douane de sortie

La mise en douane à l’exportation n’existe pas en théorie. Elle va de pair avec le

dépôt de la déclaration en détail d’exportation avant laquelle le service de
douane ne prend pas en charge la marchandise.
b- Etablissement de la déclaration en détail

Toutes les marchandises exportées doivent faire l’objet d’une déclaration en

détail leur assignant un régime douanier. Cela nécessite huit (8) étapes :

- établissement de la déclaration en douane unique (DDU) faite à la

machine à écrire ou par un procédé mécanographique par le
commissionnaire en douane agréé ;
- signature du déclarant ;
- dépôt de la déclaration en détail à la section des écritures dès l’arrivée au
bureau des douanes ou dans le délai légal de 15 jours francs de l’arrivée
des marchandises ;
- recevabilité de la déclaration en détail par le contrôle de la présence des
documents obligatoires ;
 la facture ;
 le certificat d’origine ;
 l’autorisation spéciale d’exportation si nécessaire ;
 l’attestation d’engagement de change ;
 l’attestation d’exportation ;
 enregistrement de la déclaration.
- enregistrement de la déclaration en détail ;
- détermination de la valeur en douane sur présentation des documents
suivants :
 la facture ;
 la déclaration des éléments relatifs à la valeur (DV) ;
 le connaissement ou la lettre de transport ;
 contrat de redevance ;
 contrat de commissionnaire (à la vente ou l’achat) ;
 factures complémentaires ;
 accord de financement ;
 facture de fret ;
 assurance
- paiement des droits et taxes au comptant ou à crédit ;
- remise du bon à enlever.
 2- Procédure de dédouanement des importations

La procédure de dédouanement des importations se fait en six (6) grandes

étapes :

- conduite en douane des marchandises

- dépôt de la déclaration en détail
- enregistrement de la déclaration
- vérification
- paiement des droits
- enlèvement des marchandises

a- Conduite en douane des marchandises

La conduite en douane consiste à acheminer les marchandises importées vers le

bureau de douane le plus proche.

Le propriétaire ou même le transitaire remet aux services de douane certains

documents lui permettant une prise en charge des marchandises parvenues à ses
bureaux. Ces documents sont donc constitutifs de la déclaration sommaire des
marchandises, préalable à la déclaration en détail assignant un régime douanier.

b- Déclaration en détail (écrite ou verbale)

Toutes les marchandises conduites en douane (y compris celles bénéficiant

d’exemption des droits et taxes de Douane) doivent faire l’objet d’une
déclaration en détail pour leur assigner un régime douanier. Le dépôt de la
déclaration en détail à la section des écritures doit se faire dès l’arrivée au
bureau des douanes ou dans le délai légal de 15 jours francs de l’arrivée des
marchandises.

c- L’enregistrement

L’enregistrement comprend les activités suivantes :

- La recevabilité par le contrôle de la présence des documents obligatoires

(les documents nécessaires pour la déclaration en détail ;
- La saisie informatique ;
- L’apurement à priori des manifestes.

L’enregistrement de la déclaration en détail est effectué par le Système Douanier

Automatisé (SYDONIA).
d- La vérification

La vérification concerne :

- Le contrôle des éléments déclaratifs (espèce tarifaire, origine, valeur,

nombre, poids des marchandises etc.) et des pièces jointes à la déclaration
en détail ;
- La détermination de l’assiette et liquidation des droits et taxes ;
- La visite physique de la marchandise le cas échéant.

e- La liquidation et paiement des droits

Les services des douanes procèdent à la détermination de la valeur en

douane sur présentation des documents suivants :

- la facture ;
- la déclaration des éléments relatifs à la valeur (DV) ;
- le connaissement ou la lettre de transport ;
- contrat de redevance ;
- contrat de commissionnaire (à la vente ou l’achat) ;
- factures complémentaires ;
- accord de financement ;
- facture de fret ;
- assurance

La valeur en douane permet de déterminer les droits et taxes à acquitter.

Le paiement des droits et taxes liquidés permet :

- la délivrance des quittances ;

- la délivrance du Bon A Enlever (BAE).

f- L’enlèvement des marchandises

L’enlèvement des marchandises se fait Sous le contrôle de la brigade des

douanes. Il comprend plusieurs phases :

- Le contrôle de l’authenticité des documents douaniers (déclaration, Bon A

Enlever, quittance) ;
- Le dépotage ;
- La délivrance du bon de sortie ;
- L’enlèvement de la marchandise avec ou sans écore
 II- Généralité sur la gestion de stocks
A) LA NOTION DE STOCKS DANS UNE ENTREPRISE

Les opérations d’acquisition ou de production conduisent, dans la plupart du

temps dans l’entreprise, à une mise en stocks de produits dans l’optique d’une
simple attente, de la revente ou encore d’une transformation.

En matière de stock, beaucoup de termes sont couramment utilisée de sorte à

créer la confusion. Fort e cela, il convient d’apporter un éclairage.

Plusieurs définitions de stock sont proposées cependant, celle du Système

Comptable Ouest Africain (SYSCOA) qui définit le stock en entreprise comme
un ensemble de matière, marchandises, fournitures (propriétés de l’entreprise)
intervenant dans le cycle de l’exploitation pour être vendus en l’état, ou pour

Etre consommé, semble mieux nous convenir. En d’autres termes ces biens
peuvent être à l’état brut (les matières premières), ou se trouver dans le
processus de la production (les en-cours) enfin être des produits finis. Un stock
est un ensemble de marchandises ou d’articles accumulés dans l’attente d’une
utilisation ultérieure plus ou moins proche qui permet d’alimenter les utilisateurs
au fur et à mesure de leurs besoins sans leur imposer les délais et les à-coups
d’une fabrication ou d’une livraison des fournisseurs. La gestion du stock est
donc précisément cette fonction qui consiste à mettre à la disposition de
l’ensemble des services de l’entreprise ce dont ils ont besoin dans le meilleur
rapport de qualité /prix.

Fonction d’un stock

La première fonction d’un stock est une fonction technique : la régulation. Le
stockage n’a pas pour but d’accumuler les matières premières ou marchandises
mais d’ajuster économiquement les flux de livraison aux flux de consommation.

 Un stock de matières premières permet d’amortir les fluctuations de délais

et quantité des livraisons du fournisseur.
  Un stock d’en-cours permet d’amortir les arrêts et les pannes de
production.
 Un stock de produits finis permet de satisfaire la demande et d’amortir les
fluctuations saisonnières ou totalement aléatoires.
Le stock permet donc de concilier des objectifs techniques contradictoires de
temps, de délais, de quantité et du rythme. Cette fonction technique primordiale
de régulation se combine avec d’autres répondants à des objectifs variés :

 Fonction économique : une grande quantité achetée au fournisseur peut

Permettre d’obtenir une réduction de coûts. Mais à l’inverse, un trop gros
stock financé par l’entreprise grève sa trésorier et crée une immobilisation
financière ;
 Fonction commerciale : un service de meilleure qualité peut être proposé
au client avec des délais rapides de livraison grâce à un stock de produits
finis qui assure une fonction disponibilité (une livraison immédiate) ;
 Fonction spéculative (financière) ou anticipatrice : l’entreprise peut
essayer de se prémunir contre une spéculation ou d’en bénéficier en
stockant des matières premières dont les cours fluctuent beaucoup.

B- Les différents types de stock et leurs coûts

1) Les différents types de stocks
Différents types de stocks sont distingués suivant la ou les fonctions remplies
par les quantités stockées :

 Le stock actif (quantité consommée par période) ;

 Le stock de sécurité (quantité excédentaire pour faire face aux aléas de
consommation et livraison) ;
 Le stock de réapprovisionnement ou stock d’alerte (quantité provoquant le
déclenchement de la commande) ;
 Le stock tampon (quantité stockée entre deux postes de travail).
 2) Les catégories de coûts engendrés par les stocks
Constituer et conserver un stock entraîne des coûts « techniques » dont la
minimisation doit être un des objectifs majeurs du responsable de gestion des
stocks. Ces coûts sont nombreux et de natures fortes diverses mais ils peuvent
être regroupés en trois grands types :

 Les coûts liés à la commande ;

 Les coûts liés à la possession du stock ;
 Les coûts liés à l’insuffisance des stocks.
L’ensemble de ces trois coûts constitue un coût appelé coût de gestion de
stock. Le coût d’achat des matières premières en stock ajoutée à ce coût de
gestion de stock permet d’obtenir le coût du stock. L’objectif en tenant
compte des comportements contradictoires des coûts élémentaires le
composant.

C- La gestion des stocks en univers certain

1) Les paramètres de la gestion des stocks
Ces paramètres se définissent comme suit :

 T = période de réapprovisionnement, durée entre deux

réapprovisionnements successifs, livraisons.
 θ = période de gestion ; période totale sur laquelle est effectuée par la
gestion de stock. En général, on retient l’année ;
 D = demande de consommation annuelle ;
 Q = quantité commandée à chaque commande ;
 N = nombre de commande : N = D /Q ;
 G = coût global de gestion du stock ;
 Cc = coût global de passation d’une commande ;
 Gc= coût global de passation de commande : GC = CcxN ;
  Cc = coût de possession du stock
 Cs = t x p avec t : taux de possession unitaire, p : prix unitaire du produit ;
 Gs = coût global de possession du stock. Il est fonction de la quantité
stockage (stock moyen) et de la durée de la période de gestion θ
Gs = Cs x Q

2 x θ 

* Cp = coût de rupture du stock ou de pénurie. Il correspond ;

- au manque à gagner sur les ventes d produits non réalisés du fait des
manques en stock ou du retard de livraison.

- ou au coût du retard engendré dans le processus de fabrication s’il s’agit de

matières premières. La demande est assurée pendant la période T1, puis il y a
rupture de stock ou pénurie pendant la période T2 = T-T1.

2) Modèle de Wilson
Il existe plusieurs types de modèles de gestion des stocks parmi lesquels
celui de Wilson dans lequel on considère que la demande est stable sans tenir
compte des évolutions de prix, des risques de rupture et des variations dans le
temps des évolutions de prix, des risques de rupture et des variations dans le
temps, des coûts de commande et de lancement. Le modèle de Wilson cherche
à ; déterminer le volume optimal Q* à commander à chaque période de façon à
minimiser le coût global de gestion du stock de la période considérée.

Les hypothèses du modèle sont :

- la demande annuelle est connue et certaine ;

- la consommation est régulière (linéaire) ;
- les quantités commandées sont constantes ;
- la pénurie, les ruptures de stocks sont exclues ;
- la gestion du stock est supposée s’effectuer sur une période annuelle.
a-Calcul de la quantité économique
Soient :

N, le nombre de pièces consommées (achetées ou fabriquées) ;

Q, le nombre de pièces approvisionnées ou lancées en fabrication en une seule

fois ;

Pu, le prix unitaire de la pièce ;

Ss, le stock de sécurité envisagé pour cette pièce ;

t, le taux de possession exprimé en pourcentage en fabrication.

b-Le calcul des coûts

N/Q : nombre annuel de lancements ;

N/Q x CL : coût annuel de lancement ;

Q/2 + Ss : stock moyen dans l’entreprise (cas d’une consommation régulière).

Trouver la quantité économique Qe , c’est trouver la valeur de Q pour laquelle le

coût total est minimal. La formule de Wilson est la suivante :

2 xNxCL
Qe = √ txPu

c- Limites du modèle de Wilson

Le modèle de Wilson repose sur certaines hypothèses qui sont souvent

Éloignées de la réalité. Il suppose tout d’abord que la demande soit connue et

uniforme dans le temps, le réapprovisionnement régulier. En conséquence,
aucune rupture de stock n’est possible. Dans la pratique, on ne peut commander
exactement la quantité optimale (Qe) notamment du fait des unités d’achats
imposées par les fournisseurs (quantités minimale, conditionnements).

D- La gestion des stocks en univers aléatoire

 Cette méthode est utilisée par les entreprises dont les sorties de matières
ne sont pas connues à l’avance. Dans ce modèle de gestion, la période de
réapprovisionnement T est fixe.

1) Demande incertaine et stock de sécurité

Tout en tenant compte du délai d’approvisionnement de ses fournisseurs,
l’entreprise détermine le niveau de stocks quoi déclenche la commande. Celui –
ci, appelé stock critique minimal, doit permettre la livraison sans rupture.

Stock critique minimal = délais d’approvisionnement en jours x consommation journalière

Le stock de sécurité est consommé pendant la marge de sécurité qui correspond

à la durée de la période entre la date prévue de livraison et la date où la rupture
de stock aura lieu en l’absence de livraison. La marge de sécurité s’exprime en
jours.

2) La demande est une variable aléatoire

Le coût de stockage du produit est négligeable par rapport au coût de rupture du
stock quand la demande n’a pas être satisfaite d’une part et d’autre part, au coût
des produits invendus entraînent une perte définitive pour l’entreprise.

3) La méthode ABC
C’est une méthode qui est fondée sur la classification des stocks par catégorie en
fonction de leur valeur de sorte que les articles de très grandeImportance fassent
l’objet de surveillance permanente en vue d’éviter toute rupture dont les
conséquences seront graves.

- Les articles de forte valeur sont logés en premier lieu en catégorie A dont
la surveillance doit être permanente ;
- Les articles qui ont une valeur moins importante sont en catégorie B dont
la surveillance peut s’opérer de manière souple ;
 - Dans la dernière catégorie C se retrouvent tous les articles de faible valeur
dont la surveillance est sans grande importance.
Cette méthode conduit à l’appréciation de la relation (nombre des articles et
valeur des articles) :

- Si 5 à 15% du volume des articles représentent 75% de la valeur du stock,

ils sont classés en A.
- Si 20 à 30% du volume des articles représentent 30% ou plus de la valeur
du stock, ces articles sont classés en B ;
- Enfin si 65% ou plus du volume des articles représentent seulement 15%
de la valeur du stock, ces dernier sont classés en C.
4) La loi de 20 / 80
C’est une méthode de surveillance qui est basée sur les repartions du stock en
deux groupes (02) suivant la quantité ou la valeur :

80% de la valeur ou de la quantité de chaque stock doivent faire l’objet d’une

surveillance plus importante que l’autre qui ne représente que 20%.

Ces 20% feront l’objet d’une surveillance souple. Cette méthode poursuit
l’objectif d’alléger la surveillance et de permettre le réapprovisionnement à
temps.
CHAPITRE II : LA GESTION DES OPERATIONS D’ACHEMINEMENT
ET DES STOCKS CAS DE L’ASECNA

I- La gestion des opérations d’acheminement cas de l’ASECNA

En général, une entreprise de production s’approvisionne pour disposer de

matières premières et une entreprise commerciale a surtout besoin d’équipement
et de matériel destinés à la vente. Par contre les structures administratives
comme l’ASECNA s’approvisionnent pour assurer leur fonctionnement
quotidien

A- LA GESTION DES APPROVISIONNEMENTS A L’UTGS DE

l’ASECNA
1) Les procédures d’approvisionnement mises en place par l’UGST/ASECNA
L’approvisionnement se fait soit par dotation soit suite à une demande interne
(DI) adressée à la DET au siège de l’ASECNA ou encore soit par achat local.

a) L’approvisionnement suite à une dotation

Pour les matériels fournis en dotation la direction de l’exploitation technique

demande chaque année à l’UGST de lui fournir les renseignements sur certains
articles faisant l’objet d’une consommation regulière : la quantité en stocks et la
consommation annuelle ;

Les matériels concernés sont :

Les matériels visés sont

-Les imprimés de la navigation aérienne,

- Les émulseurs, poudre (produits de lutte contre l’incendie)

-Les rouleaux de papier pour les téléimprimeurs,

-Les imprimés de la météorologie

-Les radiosondes

-Les charges pour la production d’hydrogène

-Les ballons de radiosondage

b) b- L’approvisionnent à la suite d’une demande interne

Après qu’un exploitant ou un technicien ait exprimé un besoin ou que l’UGST

ait constaté une rupture de stock, une demande interne est établie et envoyée à la
direction de l’exploitation technique. Cette demande est établie à travers le
PGI comme suit :

+ Ouvrir l’application, entrer le mot de passe .Et cliquer sur saisir une DI

+ Renseigner toutes les rubriques et valider.

+ Imprimer la DI et la classer dans le chrono des DI pour suivi

En cas de problème de connexion au PGI, la demande est envoyée par e-mail à

la DET avec copie au chargé de la maintenance IRE et informatique ainsi qu’au
responsable des opérations ou encore par fax signé par le représentant.

2- Les catégories de matériels visés

Les catégories suivantes sont à distinguer :

-Matériels codifiés figurant dans la nomenclature de maintenance ASECNA

publiée par le service Approvisionnements et achats de la direction du
développement.

-Matériels non-codifiés.

-Quartz

-Rechanges pour matériel incendie (Equipements individuels)

 3- Nature des demandes internes

Il existe deux types de demandes internes :

-Soit périodiques (bimestrielles)
Elles se rapportent alors à des matériels consommés lors des activités de
maintenance et dont le réapprovisionnement est justifié par le maintien
des stocks nécessaires au bon fonctionnement des installations.

- Soit exceptionnelles
Elles concernent des besoins ponctuels, généralement imprévisibles, en
composants, pièces détachées pour les ensembles, supérieurs, objet de
NOTAM ou MATEM, et pour les installations concourant à assurer la
sécurité de la navigation aérienne

4- Source d’Approvisionnement

Elles sont deux sortes :

-Les stocks en magasins :
 antenne de la Représentation
 central de DAKAR
 Délégation à PARIS

-Les achats à l’extérieur

Par représentations, dans le commerce local, sur les comptes limitatifs.

Si les matériels normalement acquis sur ces comptes (cf. recueil des textes
de la comptabilité de gestions), ne sont pas disponibles dans le commerce
local, une demande est faite à DEXT qui transmet ses directives au
service technique de la DEXP.
Les demandes sont établies sur l’imprimé (APPROVISIONNEMENT)
qui devra être……

En dehors de la gestion des stocks et des approvisionnements l’UGST mène des

opérations de transit
 B- La gestion des opérations de transit

Cette instruction s’applique à toutes les expéditions faites par, ou à la

demande de l’ASECNA

1) Fonctionnement et mission des services transit ASECNA

Des services transit sont organisés au niveau de la DET ou des

Représentations.

Ils relèvent donc soit de le DEXT, soit des Représentations où ils sont
implantés, qui en assurent le fonctionnement et le financement des dépenses. A
ce titre :

a) Fonctionnement des services transit

Les services transit fonctionnent :

- Comme destinataires, au bénéfice des organismes ASECNA de leur lieu

d’implantation ;
- Comme ré expéditeurs, au bénéfice des organismes destinataires des
matériels à réacheminer.

b) Mission du service transit

Les services transit assurent :

- L’engagement et le règlement de toutes les dépenses qu’ils ordonnent, même

au bénéfice d’autres organismes ;

- La facturation au centre de transit destinataire des dépenses effectuées au titre

des expéditions de matériels ;

Ils communiquent à la Direction Administrative et Financière les informations

nécessaires à la facturation des dépenses effectuées pour les organismes
extérieurs à l’Agence.
 2- Procédure d’expédition

Toutes les expéditions sont prévues sans assurance pour le matériel de

fonctionnement, exception faite des marchandises dangereuses (GIP – Batteries
– Electrolyte – Thermomètres etc.  ). Par contre, pour les matériels
d’équipement, une assurance est prévue.

Les expéditions sont faites :

- Sous palan :

Transport effectué par voie maritime :

 Marchandise déchargée au port de destination.

- Sous douane aéroport de destination

Pour les expéditions « avion » ou en fret mixte « Mer /avion »

REMARQUES

 L’expéditeur est responsable du transport. Il engage et règle les

frais correspondants jusqu’à sous palan ou sur châssis pour les pays
enclavés (maritime ou Mer/surface) ou sous douane aéroport de
Destination (« avion » ou fret mixte « Mer/avion »).
 A l’arrivée les frais sont à la charge du destinataire.
 Dans les cas exceptionnels, laissés à l’appréciation de l’expéditeur,
une assurance pourra être souscrite.
 Dans les cas particuliers des matériels expédiés pour la réalisation
d’une opération d’équipement, les dépenses sont réglées par :
 La Représentation destinataire, si celle-ci dispose d’une autorisation
de dépenses sur l’opération d’équipement considérée ;
 La DEXT ou la DEXP, dans les autres cas qui assure un transport
CIF + livraison sur le site ou un transport CIP + livraison sur le site.
 Pour toutes les expéditions, les documents nécessaires au dédouanement
des matériels sont adressés au destinataire bénéficiaire du matériel. Se référer au
tableau « Adresses des Destinataires (cf. RIC 8.3.1/5-6).

Dans Le cas d’un CIF + site, tous les documents sont adressés au
correspondant du transitaire que doit assurer les formalités à l’importation après
la présentation par l’ASECNA des attestations d’exonération.

3- Facturation

Chaque expédition faite vers une Représentation, soit par la DEXP, soit par
la DEXT, soit par un autre centre de transit ASECNA, est accompagné d’une
émission de facture ASECNA, adressée en plusieurs exemplaires au destinataire
du matériel.

Le destinataire reçoit :

 deux exemplaires de la facture par courrier ;

 un exemplaire de la facture joint au matériel (colisage)
 un ou plusieurs exemplaires de la facture joints au dossier pour le
dédouanement.

NOTE : Sur la facture DEXP est reporté le N° de la DI suivi d’une annotation :

soldée ou partielle.

Toutes les factures de la DEXP sont informatisées et de couleur BLANCHE

CAF : Cout Assurance Fret} voie maritime

CIF: Cost Insurance Freight}

CIP: quelque soit le mode de transport

- Numérotation des factures de la DEXP

Les factures émises par la DEXP comportent une numérotation unique qui
débute le 1er Janvier de l’année.

Exemple : 15 T 0001 à 15 T 9999 pour l’année 1995.

Pour les Réparations, Numérotation suivie et continue d’une année sur l’autre.

- Numérotation des factures de la DEXT

La DEXT émet trois types de factures : facture informatique, AL2, DT,

- Modèle annexe 8.

A chaque type de facture correspond une numérotation unique, dans une

série continue annuelle :

 Facture informatique (matériels de fonctionnement) série

commençant à 5000 du 1er Janvier au 31 Décembre.
 Numérotation des AL2 (matériels d’équipement) série
commençant à 001 au 1er Janvier et se terminant au 31
Décembre.
 Numérotation des DT (matériels non comptabilisés) série
commençant à 500 au 1er Janvier et se terminant au 31
Décembre.

- Accusés de réception du matériel

Deux exemplaires de facture sont adressés par courrier au destinataire.

Un exemplaire est destiné à accuser réception du matériel.

Dès réception du matériel, cet exemplaire daté et signé par le magasinier est à
renvoyer à la DEXT par premier courrier.

Le Service Approvisionnements de la DEXT, après avoir pris note de

l’information, réachemine sur Paris, les accusés de réception de la DEXP.

- Avaries

En cas d’avaries, la procédure suivante est à appliquer :

 Réserves à l’arrivée : Elles doivent être prises et confirmées

par lettre recommandée adressée au transporteur dans les :
- 24 heures de la livraison en cas de dommages apparents
- 3 jours de la livraison en cas de dommages non apparents
  Constat d’avaries : il doit être établi :

o Dans les 30 jours suivant celui où la marchandise a été débarquée

du navire, au port de destination
o Dans 15 jours suivant où la marchandise a été déchargée s’il
s’agit d’un point de destination intérieur.

- Etablissement du dossier « ASSURANCES »

Ce dossier doit être présenté à l’assurance dans un délai d’un an suivant la date
du constat d’avaries. Il comprend :

 La police, l’avenant ou l’original d’assurance

 Le connaissement original et si nécessaire, les titres de transport
couvrant les transports s complémentaires
 Le constat d’avaries et La facture d’origine
 Copies des lettres de réserves et les réponses.

4) PROCEDURE DE TRAITEMENT D’UNE IMPORTATION :

-A l’arrivée du matériel en douane, l’UTGS est avisées par le transitaire chez

qui le matériel a été consigné :

-Le transitaire en question nous envoie un ordre de transit avec les éléments
nécessaires pour établir la demande d’exonération (facture origine définitives
du fournisseur, LTA, connaissement, facture fret)

- Nota Benin : L’ASECNA bénéficie d’une exonération totale pour toutes les
importations effectuées par elle dans le cadre de sa mission.

-Apres établissement de la demande d’exonération, celle-ci est introduite chez

le chargé de la maintenance IRE et informatique et le Responsable des
Opérations pour visa ensuite chez le représentant pour signature

- après la signature de la demande celle-ci est déposée à la direction générale des

douanes pour étude et accord de l’exonération.

-après le retrait de l’exonération celle-ci est remise au transitaire qui se charge

des formalités des sorties auprès du bureau de douane d’entrée du matériel.
- Lorsque le transitaire obtient l’autorisation de sortie du matériel il procédé a
son enlèvement en douane et a sa livraison au magasin de L’ASECNA.
l’aboutissement de toutes ces opérations d’acheminement de biens et matériels
déclenche le processus de stockage pour permettre d’assurer leur bonne
conservation.

II- la gestion des stocks a l’ASECNA BURKINA

Cette partie traite de l’organisation de la gestion des stocks au sein du magasin

de l’ASECNA

A) Présentation et organisation du magasin

Description de la zone de stockage de l’UGS

L’UGS dispose d’un magasin où sont stockés physiquement tous les

articles dont quelques-uns ont été cités ci-dessus. Le stockage ou
l’entreposage permet d’assurer la conservation des biens et matériels de
manière à les délivrer dans leur état d’origine lors de leur utilisation
future.

La zone de stockage de l’UGS est subdivisé en magasins (magasin C,

magasin B, magasin E, et magasins F et A).

Le magasin C contient des pièces sensibles notamment produits météo, ballons

de sondage, les sondes qui sont conservés a une certaine température pour des
mesures de sécurité

Le magasin B est destiné aux pièces qui n’ont besoin de conditions particulières
telles que les pièces détachées pour véhicules de sauvetage de lutte contre
l’incendie et des imprimés pour la navigation aérienne et la météo.

Le magasin E contient les pièces de rechanges pour les groupes électrogènes et

les matériels de balisage.

En perspectives, il sera mis en place un magasin F pour les fournitures de bureau

et un magasin A pour d’autres matériels.

Chaque local (magasin) contient des travées qui sont numérotées) 1,2, …
chacune de ces travées comprend des alvéoles classées alphabétiquement. Ces
alvéoles sont constituées d’étagères dont chacune dispose de bac ou
emplacement ou encore gisement pour le rangement des différents articles.
Chaque article est étiqueté comme suit : le code d’emplacement et en dessus
dans un tableau le code PGI (5 caractères numériques) dans la 1ère colonne, la
désignation de l’article dans la 2e et le code nomenclature ASECNA (10
caractères numériques, en abrégé 5) dans la 3e colonne. (cf. annexe). Les
magasins sont utilisés pour tous les différents mouvements de stocks notamment
les entrées et les sorties.

B) La procédure de suivi et de gestion des articles.

1) La procédure de suivi des articles
En générale l’UGST/ ASECNA utilise un progiciel de gestion intégré (PGI)
pour le suivi des stocks.

Un progiciel de gestion intégrée (PGI) fut installé dans toutes les représentations
de l’ASECNA par le siège à Dakar en 2012. Le PGI est une base de données
dont la connexion permet de faire entre autres des mouvements de stocks tels
que la création d’articles, de magasins et d’emplacements.

Le PGI permet aussi de déterminer les niveaux de stocks, les points de

commande, ainsi que le lot économique en valeur et en quantité.

Il est à souligner que son utilisation est irrégulière par les services car il est
toujours en phase d’expérimentation. Néanmoins au niveau de l’UGST il est
utilisé parfois pour le lancement des commandes d’articles et de matériels,
l’enregistrement des fiches d’inventaire.

En plus du PGI, l’UGST/ASECNA utilise un registre des entrées et des sorties

des stocks
2) Procédure de gestion des stocks
Cette procédure ne se résume qu’en deux étapes :

Il s’agit de la procédure d’entrée et de sorties des articles.

a) Procédure d’entrée des articles

Elle commence à la livraison du matériel par un transitaire s’agissant des

achats à l’extérieur ou par un fournisseur pour les achats locaux.

- A la réception des colis, le gestionnaire des stocks vérifie

d’abord la conformité (nombre de colis et poids) avec le
 bordereau de livraison avant la signature de celui-ci suivie de
l’apposition du cachet du magasin.
- A l’ouverture des colis, il procède :
 au contrôle exhaustif (quantité, désignation, conformité) en se
référant à la facture fournisseur
 au rangement du matériel dans la travée concernée avec annotation
des codes emplacement, PGI, nomenclature ASECNA et de la
désignation pour faciliter son identification
- enfin, il informe le ou les utilisateurs de l’arrivée de leurs matériels.

L’enregistrement :
 il fait d’abord une mise à jour (ou création) de la fiche article
(manuelle et informatique), cf. annexe, s’il s’agit des
consommables fournis à la suite d’une demande interne (DI) ou
d’une dotation.
 Ensuite il renseigne le livre de suivi des envois en réparation et
informe immédiatement l’unité de maintenance concernée s’il
s’agit d’un retour de réparation.
 Puis il enregistre les informations de l’arrivage dans les registres
des arrivages (date d’arrivée, n° et date de la facture, nature du
matériel, fournisseur, nombre et poids de colis et n° LTA, etc.)
 Enfin, il accuse réception du matériel à la direction de l’exploitation
technique (DET) et à l’expéditeur

En termes de système de gestion des stocks à la représentation de l’ASECNA

Ouagadougou l’on peut se résumer comme suit :

Dans le temps, des dispositions étaient prises tous les deux mois pour passer des
commandes en fonction du stock d’alerte par le responsable de l’unité. Cette
procédure a occasionné un volume important de stocks dormants. Suite à cette
situation l’UGST a opté pour un lancement de commande en fonction de la
demande (date indéterminée).

La méthode de gestion des stocks utilisée est le FIFO first in first out c’est-à-dire
premier entré premier sorti relativement à certains équipements entre autres les
matériels météo, les extincteurs.

b) Procédure de sortie de stock :

L’exploitant ou le technicien se présente au magasin avec son carnet de

Bon de Perception dûment rempli et signé par le responsable de l’unité.

Le gestionnaire de stock :
 - Vérifie d’abord si le matériel demandé existe soit à partir du PGI, soit à
partir de la fiche article ou directement en magasin

- S’il existe, il procède ensuite à la livraison et complète les renseignements

sur le Bon de Perception (BP)

- Puis il détache l’original du BP pour la mise à jour du stock.

- Enfin il fait la mise à jour de la fiche article manuellement et dans PGI.

- Cependant si le matériel n’existe pas, il l’enregistre dans le registre des

demandes de réapprovisionnement en vue d’une commande immédiate ou
ultérieure selon l’urgence du besoin. Cette demande sera adressée à la
DEXT pour traitement

Par ailleurs, pour la gestion des matériels et équipements défectueux, des

dispositions sont prises en vue de leur réparation. La procédure d’envoi en
réparation est la suivante :

- La vérification de la jonction de la fiche de réparation (cf. annexe) et de

l’AER (cf. Annexe) au niveau du magasin lors du dépôt du module par le
technicien ;

- La signature du cahier de transmission des modules (cf. annexe) à envoyer

en réparation de l’unité concernée ;

- Le choix de l’emballage approprié (carton, caisse, etc.) selon la nature du

module (fragile, volumineux, lourd, etc.) ;

- L’emballage correct du module dans les meilleurs délais ;

- L’établissement de la facture correspondante (fictive) (cf. annexe)

« expédition de matériel à titre gratuit » en indiquant la nature, la quantité,
la valeur estimative, le mode de transport, la destination, la date et le
poids, le no de cette facture, le no de l’AER, etc.. :;

- La transmission au transitaire de la facture jointe au colis avec inscription

de l’adresse du destinataire dessus ; il se chargera des formalités
douanières et de l’expédition ;

- Après expédition, le magasin communique au destinataire les

coordonnées d’expédition et renseigne le livre de suivi des envois en
réparation pour suivi.
 - Par ailleurs, s’agissant d’un matériel dont l’achat se fait localement, il
informe immédiatement la situation de rupture de stock à la structure
indiquée

Pour le cas des articles obsolètes (durée de plus de 10 ans), ils font l’objet de tri
et de proposition de réforme. En effet, cette proposition est faite (s’il y a lieu)
chaque année après les inventaires. La liste de ces articles est envoyée au chargé
de la maintenance IRE et informatique, puis au responsable des opérations ; ce
dernier la soumet à la commission de réforme (composée de chefs de service).
Enfin la demande de réforme est adressée à la DEXT qui donne son accord. Si la
demande est accordée, on procède au retrait desdits articles du magasin et du
fichier (PGI  en attendant l’exécution de la reforme (destruction ou don). Il est à
préciser qu’il existe trois catégories d’articles à savoir : les articles utiles qui ont
fait l’objet de sortie durant les 4dernières années, les articles dormants qui sont
sortie dans l’intervalle de plus de 4 ans et moins de 10 ans et les articles
obsolètes..

III Critiques et suggestions

Durant mon parcours

de stage au sein de l’UGEST de l’ASECNA Ouagadougou, nous avons été

conscients des enjeux dont il fait face. Ce qui nous a permis de relever certaine
forces et faiblesses et en fin faire proposer des suggestions pour permettre à
l’entreprise d’atteindre sa finalité.

A- CRITIQUES
1) Les forces
- La codification des articles facilitent leur recherche et leur insertion dans
la base de données ;
- L’établissement des règles pour la gestion des stocks au magasin
permettent d’exclure l’anarchie ;
- La politique de la gestion du personnel adaptée par l’ASECNA permet de
suivre tous les agents dans leurs notes ;
- L’ASECNA étant soumis a un régime douanier diffèrent exceptionnel
cela leur facilite des dans les opérations de dédouanement et transit car
elle est ils sont exonérée des droits de douane ;
- L’assurance maladie de tous les agents ;
- Le climat sociale est favorable au sein de l’entreprise ;
- L’agencement du magasin du magasin est favorable pour le stockage ;
- Il y a aussi la présence de la sécurité ;

2) Les faiblesses

- Le manque de personne au magasin, pour l’exécution des taches ;

- Le PGI présente une certaine défaillance du faite que souvent il traverse
des problèmes de connexion et cela à un impact sur les demandes de
matériel, les problèmes des régularisations de stock, les retards de
livraison pouvant créer des ruptures de stocks.
- Les documents de dédouanement sont souvent bloqué en douane ;
- L’insuffisance d’infrastructures appropriées pour le stockage ;
- Il y a que certain articles ne sont pas enregistrés inscrites dans la base de
données de PGI par manque de codification ;
B- Les suggestions

- La gestion des ressources humaine devrait faire un ajustement entre les

départs à la retraite et les recrutements pour éviter le manque personnel.
- Revoir la codification des articles afin de faciliter leur insertion dans la
base de données ;
- Revoir le problème de la connexion en fin de rendre le logiciel de gestion
intégré (PGI) plus performant dans ces opérations (gestion des
approvisionnent, de livraison des produits et d’inventaire).
- Pour les commandes locales ; faire des dotations en temps réel afin de
bien suivre leur gestion ;
- Revoir aussi le problème de transit et de douane enfin d’avoir les
documents dans les plus brefs délais pour les régularisations.
 CONCLUSION GENERALE

La présente étude qui s’achève constitue la substance de notre stage a l’ASECNA

Ouagadougou. Elle nous a donné l’occasion de faire face à la réalité de l’entreprise. La
réflexion qui a menée à travers notre thème d’étude :< la gestion des opérations
d’acheminements et des stocks : cas de l’ASECNA < nous a permis de faire une analyse sur
les opérations d’approvisionnements, de transport, de transite, de stockage et les outils et
moyens de gestion tel que le progiciel de gestion intégré (PGI) est en phase expérimental.

Malgré toute ses dispositions prisent travers souvent quelques difficultés du a des
problèmes de connexions qui rend souvent impossible son usage

A cela s’ajoute la sortie du matériel en douane avant la réception des documents de

dédouanement qui crée des perturbations dans la mise en jour des dossiers dans le
chronogramme.
Cependant pour pallier ses insuffisances, la révision du progiciel de gestion intégré doit être
soulignée en plus que la régulation immédiate des documents de douane dans le
chronogramme.

Ainsi nous avons l’occasion encore de remercier énormément la représentation de l’ASECNA

du Burkina Faso pour l’opportunité qu’elle nous a donné aux nouveaux diplômés de pouvoir
mettre en pratique les connaissances acquises à l’école.

BIBLOGRAPHIE

OUVRAGES

-Document ASECNA

.Nomenclature des maintenancesprocédures et classifications spécifique Tome

1 (direction du développement) p48 -51

.Convention de DAKAR révisée, Adoptée à Ouagadougou, au Burkina Faso et

signée àLibreville en républiqueGabonaise.

-Rapports de stage
.Bélénabon Mireille AnaïsMEDA, rapport de stage 2013 à l’UGEST / ASECNA
Ouagadougou.

1. TEME gestion de stocks, DTS transport logistique à université

polytechnique de BOBO Dioulasso.

. Zongo Hanarine rapport de stage 2010 la gestion des immobilisations à

l’ASECNA, BTS Finance comptabilité ISPP

WEBOGRAPHIE 
www .ASECNA .aéro.com

ANNEXES

1-BON DEPERCEPTION

2-LIVRE DE SUIVI DES APPROVISIONNEMENTS

3-FICHE DE STOCK ASECNA

4-ORGANIGRAMME DE LA REPRESENTATION DE L’ASECNA

 TABLE DE MATIÈRES

DEDICACES........................................................................................................1
REMERCIEMENT..............................................................................................2
PREAMBULE......................................................................................................3
SOMMAIRE.........................................................................................................4
INTRODUCTION................................................................................................5
PREMIERE PARTIE : PRESENTATION DE L’ASECNA.............................6
INTRODUCTION........................................................................................................................7
CHAPITRE I : HISTORIQUE ET MISSION DE L’ASECNA..................................................8
I-Historique......................................................................................................................................................8
II-Missions........................................................................................................................................................9
1-) Nature et forme juridique l’ASECNA..................................................................................................10
 CHAPITRE II: ORGANISATION GENERALE ET FONCTIONNEMENT DE L’ASECNA
....................................................................................................................................................11
I- La composition statutaire et services extérieur de l’ASECNA..............................................................11
1-) Structures statutaires............................................................................................................................11
2-) Structures décentralisées......................................................................................................................11
II- La Représentation de l’ASECNA auprès Burkina Faso........................................................................12
1-) Nature et Mission.................................................................................................................................12
2-) Organisation et Fonctionnement.........................................................................................................12

DEUXIEME PARTIE : LA GESTION DES OPERATIONS

D’ACHEMINEMENT ET DES STOCKS........................................................13
CHAPITRE I : GENERALITE SUR LA GESTION DES OPERATIONS
D’ACHEMINEMENT ET DES STOCKS.................................................................................14
I- Généralité sur les opérations d’acheminement.....................................................................................14
A-Formalité et procédures d’exportation du Burkina Faso.......................................................................14
1- La demande préalable d’exportation...............................................................................................14
2- Certificat d’origine...........................................................................................................................14
3- Contrôle de la qualité des marchandises avant embarquement.....................................................15
4- Domiciliation du paiement des exportations...................................................................................15
B- Procédures d’importation du Burkina Faso..........................................................................................15
1-Déclaration préalable à l’importation (DPI)....................................................................................16
2-Certificat national de conformité......................................................................................................16
3- obtention du certificat d’origine......................................................................................................16
4- Inspection des marchandises avant enlèvement.............................................................................17
5- Domiciliation des paiements des importations................................................................................17
C- Procédure de dédouanement du Burkina Faso......................................................................................17
1- Procédure de dédouanement à l’exportation..................................................................................17
a-Conduite en douane des marchandises vers un bureau de douane de sortie................................17
b- Etablissement de la déclaration en détail.....................................................................................18
D- Procédure de dédouanement des importations.....................................................................................19
1- Conduite en douane des marchandises...........................................................................................19
2- Déclaration en détail (écrite ou verbale).........................................................................................19
3- L’enregistrement..............................................................................................................................19
4- La vérification..................................................................................................................................20
5- La liquidation et paiement des droits...............................................................................................20
6- L’enlèvement des marchandises......................................................................................................20
II- Généralité sur la gestion de stocks........................................................................................................21
A) LA NOTION DE STOCKS DANS UNE ENTREPRISE....................................................................21
1-) Fonction d’un stock........................................................................................................................21
B-Les différents types de stock et leurs coûts............................................................................................22
1) Les différents types de stocks.......................................................................................................22
2) Les catégories de coûts engendrés par les stocks........................................................................23
C- La gestion des stocks en univers certain...............................................................................................23
1) Les paramètres de la gestion des stocks......................................................................................23
2) Modèle de Wilson.........................................................................................................................24
a-Calcul de la quantité économique.................................................................................................24
b-Le calcul des coûts.........................................................................................................................25
c- Limites du modèle de Wilson........................................................................................................25
D- La gestion des stocks en univers aléatoire...........................................................................................25
 1) Demande incertaine et stock de sécurité.....................................................................................26
2) La demande est une variable aléatoire........................................................................................26
3) La méthode ABC..........................................................................................................................26
4) La loi de 20 / 80............................................................................................................................27

CHAPITRE II : LA GESTION DES OPERATIONS D’ACHEMINEMENT ET DES

STOCKS CAS DE L’ASECNA..................................................................................................28
I- La gestion des opérations d’acheminement cas de l’ASECNA.............................................................28
A- LA GESTION DES APPROVISIONNEMENTS A L’UGEST DE l’ASECNA.................................28
1) Les procédures d’approvisionnement mises en place par l’UGST/ASECNA...........................28
a) L’approvisionnement suite à une dotation...............................................................................28
b) b- L’approvisionnent à la suite d’une demande interne...........................................................29
c) Les catégories de matériels visés.............................................................................................29
d) Nature des demandes internes................................................................................................29
e) Source d’Approvisionnement...................................................................................................30
B-La gestion des opérations de transit.......................................................................................................30
1) Fonctionnement et mission des services transit ASECNA.........................................................31
a) Fonctionnement des services transit........................................................................................31
b) Mission du service transit.........................................................................................................31
c) Procédure d’expédition.............................................................................................................31
d) Facturation...............................................................................................................................33
d) PROCEDURE DE TRAITEMENT D’UNE IMPORTATION  :................................................................35
II- la gestion des stocks a l’ASECNA BURKINA.......................................................................................36
A) Présentation et organisation du magasin...............................................................................................36
1) Description de la zone de stockage de l’UGS..............................................................................36
B) La procédure de suivi et de gestion des articles....................................................................................37
1) 1) La procédure de suivi des articles...........................................................................................37
2) Procédure de gestion des stocks..................................................................................................37
a) Procédure d’entrée des articles................................................................................................37
b) Procédure de sortie de stock :..................................................................................................38
III Critiques et suggestions...........................................................................................................................40
A- CRITIQUES......................................................................................................................................40
1) Les forces......................................................................................................................................40
2) Les faiblesses................................................................................................................................40
B- Les suggestions.................................................................................................................................41

CONCLUSION GENERALE............................................................................42
BIBLOGRAPHIE..............................................................................................43
OUVRAGES...............................................................................................................................43
-Document ASECNA.....................................................................................................................................43
-Rapports de stage.........................................................................................................................................43

WEBOGRAPHIE...............................................................................................43
ANNEXES..........................................................................................................44
TABLE DE MATIÈRES....................................................................................45