DTU 13.3 Partie 1 A1 PDF

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FA149867 ISSN 0335-3931

NF P 11-213-1/A1
Mai 2007

Indice de classement : P 11-213-1/A1

ICS : 91.080.40

DTU 13.3 — Dallages


Conception, calcul et exécution
Partie 1 : Cahier des clauses techniques des dallages
à usage industriel ou assimilés

E : DTU 13.3 — Paving — Design, calculation and production —


Part 1: Contract bill of technical clauses for paving for industrial or related use
D : DTU 13.3 — Plattenbeläge — Konstruktion, Berechnung und Ausführung —
Teil 1: Beschreibung der technischen klauseln für Plattenbeläge zu industriellen
Anwendungen oder Gleichgestellte
© AFNOR 2007 — Tous droits réservés

Amendement A1
à la norme homologuée NF P 11-213-1 de mars 2005, homologué par décision
du Directeur Général d'AFNOR le 20 avril 2007 pour prendre effet le 20 mai 2007.

Correspondance À la date de publication du présent document, il n'existe pas de travaux européens


ou internationaux traitant du même sujet.

Analyse Le présent document est un amendement à la norme NF P 11-213-1 (référence


DTU 13.3) qui définit les règles de conception, de calcul et d’exécution des travaux
de dallages en béton à usage industriel ou assimilés.

Descripteurs Thésaurus International Technique : revêtement de sol, dalle de revêtement,


installation industrielle, définition, matériau, béton, béton armé, armature, liant,
granulat, caractéristique, sol, géotechnique, état de surface, interface, isolation
thermique, joint de dilatation, déformation, résistance à la compression, résistance à
la traction, calcul, conditions d’exécution, mise en œuvre, contrôle, tolérance de
dimension, planéité, entretien, réparation.

Modifications

Corrections

Éditée et diffusée par l’Association Française de Normalisation (AFNOR) — 11, rue Francis de Pressensé — 93571 La Plaine Saint-Denis Cedex
Tél. : + 33 (0)1 41 62 80 00 — Fax : + 33 (0)1 49 17 90 00 — www.afnor.org

© AFNOR 2007 AFNOR 2007 1er tirage 2007-05-F


Travaux de dallage BNTEC P11D

Membres de la commission de normalisation


Président : M DE RIVAS
Secrétariat : M LEMOINE — UMGO

M AMELINE EMA représentant SFJF


MME AMOY SNPA
M ASHTARI CETEN-APAVE INTAL
M BATTENDIER MICHELIN
M BELLEGARDE DBE ETUDES représentant CICF
M BERLEMONT BOULENGER S.A. représentant UNRST
M BIDOT BIDOT ARCHITECTES ASSOCIES
M BLONDEAU EXPERT
M BLONDEAU SOCOTEC
M BOCHER SAS ISOCOMPOSITES
M BORDAS UNESI
M BOUKOLT PITTSBURGH CORNING FRANCE représentant SIMD
M BOULART IMMOBILIERE 3F
M BRISEBARRE SOLEN
MME BROGAT TEC
M CAMUS RMC FRANCE
M CANBOLAT LAFARGE BETONS SERVICES
M CARRETTE UNECB
M CARTE INGEROP
M CAUSSADE UCI — FFB
M CHABRIÉ CHABRIÉ ISOLATION
M CHAMPOISEAU UNESI
MME CHARBONNIER FILMM
M CHENAF CSTB
M COLINA ATILH
M CREPET SOREDAL
MME DE BROISSIA SFEC
MME DELARSON CERIB
M De RIVAS UNESI
M DEVILLEBICHOT EGF.BTP
M DURAND UMGO
M DUROT RINCENT BTP SERVICES
M ETRILLARD RMC France
M FAISANTIEU CPA
M FAVRIE SYCABEL
M GIACOBINO AQC
M GOUVENOT SOLETANCHE ENTREPRISE
M GRAVIER 3 M France
M JALIL SOCOTEC
M JARIEL UNRST
M JORIOT PEUGEOT CITROEN AUTOMOBILES
M LACROIX
M LAVEDER TWINTEC
M LEBRETON SOFRADI
M LEJEUNE CSTB
M MACHET AEROPORT DE PARIS
M MAILLARD Ministère de l’Equipement, du Transport et du Logement
M MARTIN BUREAU VERITAS
M MATHURIN LE BATIMENT DUNOIS
M MICHALSKI ANTEA
MME MICHEL LAFARGE PLATRES
M MILLOTTE AEROPORT DE PARIS
M NAGEL REHAU
M NGUYEN STBA
M OLIVIER Représentant COUVRANEUF
MME OSMANI EIFFAGE CONSTRUCTION
M PAILLE SOCOTEC
M PATIERNO CABINET D’EXPERTISE PATIERNO
M PAUMIER ALPHACAN représentant COCHEBAT
M PESTEL-DEBORD ACIFC FRANCE
M PINÇON BNTEC
MME PINEAU AFNOR
M PLISKIN L.P. CONSULTANT
M RAFFARD
M RIVAT GERFLOR
M ROBERT EEG SIMECSOL / USG
M SCHEY PSA PEUGEOT CITROEN DMTC/BIE/BTA
M SEGRETAIN LAFARGE BETONS DE L’OUEST
M SENIOR Représentant UNSFA
M THOMAS SNBPE
M THONIER EGF
M TORRENTE PLACEO
MME VERZURA CEBTP
—3— NF P 11-213-1/A1

Avant-propos commun à tous les DTU

L’avant-propos suivant est ajouté à la NF P 11-213-1 (Référence DTU 13.3) :


Un DTU constitue un cahier des clauses techniques types applicables contractuellement à des marchés de
travaux de bâtiment.
Le marché de travaux doit, en fonction des particularités de chaque projet, définir dans ses documents particuliers,
l’ensemble des dispositions nécessaires qui ne sont pas définies dans les DTU ou celles que les contractants
estiment pertinent d’inclure en complément ou en dérogation de ce qui est spécifié dans les DTU.
En particulier, les DTU ne sont généralement pas en mesure de proposer des dispositions techniques pour la
réalisation de travaux sur des bâtiments construits avec des techniques anciennes. L’établissement des clauses
techniques pour les marchés de ce type relève d’une réflexion des acteurs responsables de la conception et de
l’exécution des ouvrages, basée, lorsque cela s’avère pertinent, sur le contenu des DTU, mais aussi sur
l’ensemble des connaissances acquises par la pratique de ces techniques anciennes.
Les DTU se réfèrent, pour la réalisation des travaux, à des produits ou procédés de construction, dont l’aptitude
à satisfaire aux dispositions techniques des DTU est reconnue par l’expérience.
Lorsque le présent document se réfère à cet effet à un Avis Technique ou à un Document Technique d’Application,
ou à une certification de produit, le titulaire du marché pourra proposer au maître d’ouvrage des produits
qui bénéficient de modes de preuve en vigueur dans d’autres Etats Membres de l’Espace économique européen,
qu’il estime équivalents et qui sont attestés par des organismes accrédités par des organismes signataires
des accords dits «E. A.», ou à défaut fournissant la preuve de leur conformité à la norme EN 45011. Le titulaire
du marché devra alors apporter au maître d’ouvrage les éléments de preuve qui sont nécessaires à l’appréciation
de l’équivalence.
L’acceptation par le maître d’ouvrage d’une telle équivalence suppose que tous les documents justificatifs de cette
équivalence lui soit présentés au moins un mois avant tout acte constituant un début d’approvisionnement.
Le maître d’ouvrage dispose d’un délai de trente jours calendaires pour accepter ou refuser l’équivalence du
produit proposé.
Tout produit ou procédé livré sur le chantier, pour lequel l’équivalence n’aurait pas été acceptée par le maître
d’ouvrage, est réputé en contradiction avec les clauses du marché et devra être immédiatement retiré, sans
préjudice des frais directs ou indirects de retard ou d’arrêt de chantier.
NF P 11-213-1/A1 —4—

Les articles ou paragraphes 5.1.2.3 ; 5.5.2.1 ; 5.6.6 ; 6 ; 6.2 ; C.3.1.5, C.3.2.2 ; C.3.2.2.1 ; C.3.2.2.4 ; C.3.2.3 ;
C.3.2.3.1 ; C.3.2.3.4 ; C.4.1 ; C.4.1.6 ; C.4.1.7 ; C.4.2.3 ; C.4.2.4 et C.5.2 de la NF P11-213 (référence DTU 13.3)
sont remplacés par les suivants:

5.1.2.3 Propriétés du support


Son module de réaction déterminé par essai à la plaque doit être au moins égal à :
Kw = 50 MPa/m pour une plaque de diamètre égal à 75 cm.
NOTE 1 Les caractéristiques de la forme ne peuvent pas être à elles seules garantes du bon comportement du support
et du dallage.

NOTE 2 Le module de déformation conventionnel Es en MPa de la couche de sol d’épaisseur en mètres égale au
diamètre ∅ en mètres de la plaque d’essai peut être évalué égal à 0,54. ∅.Kw.

Lorsque les caractéristiques du sol support imposent la réalisation d’une forme (ex : Kw < 50 MPa/m), l’épaisseur
minimale de cette dernière est de 0,20 m.

5.5.2.1 Dallage en béton armé


Il comporte un pourcentage minimum d’armatures satisfaisant à la condition de non fragilité en traction défini par
le BAEL, avec un minimum de 0,4% dans chaque direction si les armatures ont une limite élastique supérieure ou
égale à 500 MPa.
Le diamètre Ø des armatures doit être inférieur ou égal à 1/15e de l’épaisseur du dallage.
L’entraxe maximal entre armatures ne doit pas dépasser 2 fois l’épaisseur du dallage.
L’ensemble du panneau doit être armé.
Pour les dallages, dont l’épaisseur est inférieure à 16 cm, il est admis une seule nappe disposée à mi épaisseur.

5.5.6 Espacement entre joints


Les joints de dallages non armés sont disposés de manière à délimiter des panneaux dont la dimension du plus
grand côté est au plus égal à :
— 5 m ± 10 % pour les dallages soumis aux intempéries ;
— 6 m ± 10 % pour les dallages sous abri.
L’interposition d’une couche de glissement en sable de 20 mm d’épaisseur, ou toute solution équivalente (selon
le paragraphe 5.3.2), autorise une majoration de 35% des valeurs ci-dessus stipulées ; dans le cas d’une
solidarisation sur 1 côté de panneau, les valeurs précédentes sont à diviser par 2.
Le rapport des côtés des panneaux doit être compris entre 1 et 1,5, sauf en périphérie de l’ouvrage où cette
condition peut ne pas être toujours satisfaite.
Les joints sciés ne sont pas nécessaires pour les dallages armés.

6 Justification des ouvrages


Les documents justificatifs prennent comme données :
— les informations géotechniques (voir annexe A),
— la définition des actions et des exigences spécifiques définies par l’annexe B,
— les autres exigences spécifiques complémentaires éventuelles.
La justification de l’ouvrage est conduite selon la méthode des états limites.
—5— NF P 11-213-1/A1

Sauf indications contraires des DPM, seuls les états limites de service sont à respecter :
— déformations absolue et différentielle du dallage ;
— contrainte limite à la compression du béton dans le cas de dallage en béton armé ;
— contrainte limite à la traction dans le cas de dallage non armé.

6.2 Combinaisons d’actions


Les sollicitations de calcul à l’état limite de service résultent des combinaisons d’actions simultanées (pieds de
rayonnages plus chariots, etc.) définies par les textes en vigueur.
Dans le cas courant, les effets de la température ne sont pas pris en compte. Il en est de même des effets du
retrait linéaire dans les cas des dallages non armés lorsque l’espacement des joints est inférieur ou égal à celui
stipulé au paragraphe 5.6.6, à condition qu’il y ait une couche de glissement telle que définie au paragraphe 5.3.2.
et dans le cas des dallages armés, lorsque l’espacement des arrêts de coulage respecte les exigences de
l’article B51 du BAEL.

C.3.1.5 Tassements sous charge linéaire en partie courante


Ils sont obtenus :
— en assimilant la charge linéaire à une succession de charges ponctuelles ;
— ou en effectuant les produits du tassement sous charge concentrée d’intensité unitaire (longueur / charge) par
la charge linéaire par unité de longueur (charge /longueur) et par l’aire délimitée par la courbe des coefficients
d’influence du support réel centrée au milieu de la longueur de la charge linéaire et tronquée aux extrémités
de cette dernière (cette aire est une longueur).
NOTE Le tassement aux extrémités d’une charge linéaire est égal à la moitié de celui généré au centre d’une charge
linéaire de longueur double. Cette observation permet le calcul du tassement en un point quelconque par cumul de ceux
obtenus en considérant successivement les charges qui lui sont situées de part et d’autre.

C.3.2.2 Déformations complémentaires à un angle de dalle


Cet article concerne les déformations liées aux charges situées en angle de dalle à l'intérieur du secteur de cercle
de rayon égal à la longueur soulevée de bord Lsb avec di = (xi2 + yi2)1/2.
NF P 11-213-1/A1 —6—

C.3.2.2.1 Soulèvement sous l’effet du retrait différentiel et d’un gradient thermique


La longueur de soulèvement à l'angle est donnée par l'expression :

Lsa = Lsb = (0,0375 ε″r.Ebv.H / γ)1/2


γ : poids volumique du béton.
La flèche ascendante à l’angle d’une dalle sous l’effet du retrait différentiel et du gradient de température vaut, en
l’absence de charge :
wsa = 2 wsb et wsb étant défini au C.3.2.3.1

C.3.2.2.4 Charge annulant le soulèvement au sommet d’un angle de dalle


Charge Qs à l’angle annulant le soulèvement dû au retrait différentiel et au gradient de température :
QS = Qls . 2.Lsb
Qls défini au C.3.2.3.4 et Lsb défini au C.3.2.3.

C.3.2.3 Déformations complémentaires sur une bordure de dalle


Cet article concerne les charges situées sur une bande de dalle parallèle au joint correspondant à la largeur
soulevée effective égale à Lsb = (0,0375.ε″r.Ebv.H / γ)1/2.

NOTE L est la distance entre charges extrêmes prises en compte.

C.3.2.3.1 Soulèvement sous l’effet du retrait différentiel et d’un gradient de température


Il a pour valeur, en l’absence de charge :

wsb = (0,0675. ε″r ².Ebv/ γ) – (1,975 . γ. H . Lsb/Esq) . (2 + (3 . U) + (2 U2))

avec U = 2,26.Lsb/Deqv et Esq = 7,645.Ebv.((H/Deqv)3)

C.3.2.3.4 Charge annulant le soulèvement en bordure


Il est admis en pratique que la charge annulant le soulèvement dû au retrait différentiel et au gradient de
température est :
Qs = Qls.((2.Lsb) + (6.H))

avec Qls = 0,017.ε″r².Ebv.Esq/γ

Esq = 7,645.Ebv.((H/Deqv)3)
—7— NF P 11-213-1/A1

C.4.1 Sollicitation d’un dallage en partie courante


PHRASE à supprimer :
Une charge ponctuelle est considérée en partie courante lorsqu’elle est distante d’un joint de plus de 0,40 Deq.

C.4.1.6 Sollicitations sous charge répartie sur une bande de dallage


Le moment enveloppe sous une charge uniforme q par unité de surface,appliquée sur une bande de dallage de
largeur aléatoire a pour valeur 0,035.q. Deq².
Ce moment de flexion et la contrainte de flexion qui en résulte doivent être considérés aussi bien pour la face
inférieure que pour la face supérieure du dallage.
Dans le cas d’un support homogène :

M = 0,134.q.H2.(Eb/Es)2/3

σ (flexion, dallage non armé) = 0,804.q.(Eb/Es)2/3


NOTE L’attention est attirée sur la sévérité des sollicitations sous charge répartie, et sur l’indépendance des contraintes
vis-à-vis de l’épaisseur d’un dallage non armé, dont l’augmentation ne saurait compenser la médiocrité du support.

C.4.1.7 Sollicitations sous charge linéaire qlin en partie courante


Le moment enveloppe a pour valeur 0,122 . qlin . Deq, dans cette expression qlin est une charge par unité
de longueur.
Le moment de flexion et la contrainte de flexion qui en résulte doivent être considérés pour la face inférieure
du dallage.
Dans le cas d’un sol homogène :

M = 0,24.qlin.H.(Eb/Es)1/3

σ (flexion, dallage non armé) = 1,43.qlin/H.(Eb/Es)1/3

C.4.2.3 Sollicitations sous charges concentrées en angle de dalle


La première phrase est à supprimer et à remplacer par :
Cet article concerne les charges situées à l’intérieur du secteur de cercle défini au paragraphe C.3.2.2,
les expressions suivantes étant définies aux paragraphes C.3.2.1.6 et C.3.2.2 :
PHRASE à supprimer :
La contrainte sous la charge de décintrement Qs a pour valeur : σs = 0,45.εr''.Eb

C.4.2.4 Sollicitations sous charges concentrées en bordure de dalle


PHRASE à supprimer :
La contrainte de décintrement est égale à 0,45.εr''.Eb εr'': voir C.3.2.1.6

C.5.2 Conjugaison par goujons


Les conditions suivantes doivent être remplies dans le cas de goujons cylindriques:
— non adhérence des goujons à l'un au moins des deux panneaux adjacents
NOTE 1 Cette condition, qui impose des goujons cylindriques et sans reliefs, peut être obtenue par graissage stable
et adhérent, par application d’une peinture plastique épaisse, ou par gainage rigide sans jeu initial (ex : polyéthylène
haute densité).
NF P 11-213-1/A1 —8—

— implantation : dans la zone médiane de l'épaisseur du dallage,


— tolérance de déviation ≤ 5 % par rapport à un axe orthogonal au plan du joint,
— diamètre de calcul : Φ ≥ 0,1 H et avec un espacement de 3 unités au mètre et une longueur de 500 mm.
NOTE 2 Ces dispositions ne sont pas applicables aux joints dont l’ouverture peut être supérieure à 12 mm.

CORRIGENDUM

A) Le coefficient de propagation CP(x,0) proposé en C.3.1.2.2 est remplacé par (oubli de crochets) :
n

CP(x,0) =
∑ [ [I(x, hi) – I(x,bi)) ] / Esi] [(I(0, hi) – I(0,bi)) ] / E si]
1

B) Les effets conjugués du retrait différentiel et d’un gradient thermique définis en C.3.2.1.6 sont (oubli d’un
indice «‘» pour εr ) : ε″r = ε’r (retrait hydraulique total) ± 1,1.δt.10-5 (effet du gradient)
C) En C.4.2.3 et C.4.2.4, les valeurs suivantes Qs, Qe, di et Ms sont à remplacées par leurs valeurs suivantes :
Qs, Qe, di et Ms
D) En C.4.2.3, ajouter avant la dernière phrase «si 1,64.(di/Deq)1/2 = 1, prendre δi = 1».

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