Les Fiches Outils de La Communication PDF
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DE LA COMMUNICATION
INTERPERSONNELLE
(Repères)
"Entre ce que je pense, ce que je veux dire, ce que je crois dire, ce que je
dis, ce que vous avez envie d'entendre, ce que vous comprenez ... il y a dix
possibilités qu'on ait des difficultés à communiquer. Mais essayons quand
même ... " Bernard Werber (Encyclopédie du savoir relatif et absolu)
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LES FICHES OUTILS
DE LA COMMUNICATION
INTERPERSONNELLE
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FICHE 1
LES APPORTS DE LA PNL
(PROGRAMMATION NEURO LINGUISTIQUE)
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LE VOCABULAIRE SELON
LES SYSTÈMES PSYCHOSENSORIELS
ACTION
INFORMATION
LIEU
PERSONNE
CHOSE
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POINTS FORTS POINTS FAIBLES BESOINS
Visuels
Auditifs
Kinesthésiques
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FICHE 2
L’ARBRE DE LA PERSONNALITE
(Notre système de croyances se construit
par une succession d’expérimentations/généralisations)
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FICHE 3
LE SCHEMA DE LA COMMUNICATION
!
?
E Freins Freins
R
MESSAGE / CANAL
E = Emetteur
R = Récepteur
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Il existe toujours des distorsions qu’il est vain de vouloir maîtriser :
Dues à la forme du message : mal rédigé, mal adapté au récepteur, pas clair,
etc…
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FICHE 4
LA PRATIQUE DE L’ÉCOUTE ACTIVE
Repères
L’écoute active est une technique qui consiste à écouter, en posant des
questions et en manifestant qu’on écoute.
Comment procéder ?
ECOUTER – SE TAIRE
MANIFESTER QU’ON ECOUTE
LAISSER L’AUTRE S’EXPRIMER TOTALEMENT
REFORMULER
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FICHE 5
QUESTIONNER
Repères
Les questions induisent les réponses : il faut poser les bonnes questions pour obtenir
les bonnes réponses.
Elles créent le dialogue, incitent à s’exprimer librement : Quel est votre projet ?
Que recherchez-vous ? Que souhaitez-vous ? Que voulez-vous changer ? A l’issue
de l’action, comment voyez-vous la situation ? Qu’est-ce qui aura changé ? De
quoi s’agit-il ? Parlez-moi de… Expliquez-moi… Dites-moi… Je vous écoute…
Qu’en pensez-vous ?
Eviter le « pourquoi » trop brutal qui risque d’être pris pour une demande de
justification, préférez plutôt « pour quelles raisons » – « de quelle façon » – « de
quelle manière » … qui centrent le questionnement sur les faits et non sur les
personnes.
Choix multiples (plusieurs choix possibles prédéfinis) : vous livrez lundi, mercredi ou
vendredi ?
Elles servent à entrer dans la logique de l’autre en l’amenant à exprimer son point
de vue. Elles renvoient l’autre à son propre discours. Le résultat n’est pas celui que
j’attendais… Pas celui que vous attendiez ?
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FICHE 6
REFORMULER
Repères
de comprendre l’autre,
de savoir si son message a été reçu et compris,
de faire le tri dans ses idées avant d’argumenter,
de gagner du temps,
de gérer son stress et son agressivité,
de faire comprendre poliment à l’autre qu’on n’a pas compris ce qu’il dit,
de mémoriser,
On reformule
des faits,
des idées,
des sentiments.
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FICHE 7
ÊTRE CLAIR
(FAIRE PASSER UN MESSAGE)
Repères
Ce n’est pas ce que l’on dit qui est important. C’est ce que l’autre comprend.
Être précis : donner des détails : où, quand, comment, pourquoi, combien, etc…
Complet : Prendre soin de développer complètement sa pensée pour que l’on nous
comprenne.
Être concis. Parler d’une chose à la fois. Ne pas se laisser emporter par son propre
discours. (Maîtriser les associations d’idées).
Structurer son discours : présenter sa pensée de manière logique. (Utiliser des plans).
(Voir plus loin).
C’est aussi articuler, parler suffisamment fort, pas trop vite (la vitesse d’émission de la
parole est d’environ 120 mots/mn. La vitesse de réception d’environ 80
mots/mn). Respirer à chaque étape.
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FICHE 8
QUE RETENONS-NOUS ?
Nous retenons
10 % de ce que nous lisons ou entendons,
20 % de ce que nous entendons,
30 % de ce que nous voyons,
50 % de ce que nous voyons et écoutons en même temps,
80 % de ce que nous disons,
90 % de ce que nous disons en le faisant,
100% de ce que nous disons en le faisant avec correction des erreurs.
Super !
Génial ! Bof…
Message……
Chouette !
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FICHE 9
STRUCTURER SON DISCOURS
Repères
Du général au particulier :
Ex : la visite d’entreprise.
Pour convaincre il faut démontrer, prouver ce qu’on avance. Souvent, les chiffres parlent
d’eux-mêmes.
- 14 -
FICHE 10
CONDUIRE UN ENTRETIEN
Repères
Pendant :
Présenter l’entretien
Présenter le but et les modalités d’un entretien permet de clarifier les choses, de mettre à
l’aise, d’installer la confiance, de donner de vous une image professionnelle.
Comment procéder ?
Dans une première partie, vous présenterez votre bilan de l’année écoulée. Vous
exposerez ce qui vous a semblé positif puis ce qui a été plus difficile, voire négatif,
ce que vous aimeriez faire évoluer. Ensuite je ferai de même de mon côté.
Au cours de la deuxième partie de l’entretien nous envisagerons comment
aborder l’année prochaine, quels objectifs nous fixer.
En troisième partie d’entretien, nous parlerons de vos souhaits professionnels à
moyen terme et de vos souhaits de formation.
Je prévois environ une heure à une heure trente d’échanges, mais nous
prendrons le temps nécessaire quel qu’il soit… »
- 15 -
FICHE 11
FORMULER UN OBJECTIF
Repères
EXEMPLE :
Mon premier objectif est de réaliser un état des lieux : je vais effectuer le relevé de
mes activités tous les soirs pendant une quinzaine de jours sur mon agenda après
quoi je conduirai une analyse et établirai un plan d’action.
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FICHE 12
LE D. E. S. C.
FORMULER UN REPROCHE.
OBTENIR UN CHANGEMENT
Repères
Il est très important d’exprimer ses sentiments négatifs tout en préservant la relation. Le DESC
permet aussi de faire des observations, formuler des reproches, obtenir un changement de
comportement. Faites-le toujours en aparté, jamais en public.
«Untel, je voulais vous parler de vos retards : lundi, vous êtes arrivé à 7 h 15, mardi, à 7 h 10,
mercredi à 7 h, jeudi à 7 h 30, aujourd’hui à 7 h 20. Votre service commence à 7 h»
«Pour moi, les retards sont inacceptables et très perturbateurs : je dois organiser le travail de
l’équipe, faire préparer les commandes et charger les camions pour les livraisons. S’il
manque quelqu’un au début du service, cela m’oblige à modifier les plannings pour
recommencer éventuellement quelques minutes après. Cela perturbe le également le
travail de l’équipe qui ne sait comment se comporter : attendre ou commencer. En fait cela
m’énerve profondément ! Je trouve cela inacceptable. »
C comme convaincre
« Vendez » maintenant votre idée. Intéressez l’autre à
l’élaboration d’une solution nouvelle. Indiquez les
conséquences possibles qui découleront de cet entretien.
Si non, positivez.
« Ainsi, nous pourrons compter sur vous et vous ferez vraiment partie de l’équipe ».
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FICHE 13
ÊTRE OBJECTIF
Repères
Chaque fois que possible, cherchez à mesurer les faits plutôt que de les évaluer ou
les observer. (Trouvez des indicateurs).
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FICHE 14
ARGUMENTER
Repères
Les vraies objections ne sont pas toujours exprimées, et pas toujours clairement.
Il est nécessaire de distinguer les fausses objections (qui sont des fuites). Elles
s’expriment sous la forme de généralisations : « on », « tout le monde », « tous »,
« toujours » « jamais », sont des termes collectifs, généraux, qui dissimulent la difficulté
à dire « je » et à affronter le conflit.
Ex : « Nous devons accepter d’établir un planning pour choisir les jours congés. »
« ho ! Personne ne voudra ! »
« Personne ? »
Les vraies objections doivent être entendues et reformulées car elles peuvent
permettre une compréhension ou une vision de la situation nouvelle et constructive.
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FICHE 15
CONVAINCRE - INFLUENCER
Repères
Fiche de préparation
FICHE 16
CONFRONTER
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RECHERCHER UN COMPROMIS
Repères
Il est souvent meilleur pour les parties, de rechercher un compromis avec l’autre
(relation gagnant/gagnant) plutôt que de chercher à gagner sur l’autre (relation
dominant/dominé).
Comment procéder ?
Exemple à propos d’un travail mal fait…
MESSAGE « JE »
DESC
« Vous pensez que je
« Vous étiez si pressé
ne vous ai pas laissé
assez de temps pour de l’avoir que je n’ai
pas eu le temps de
vérifier vos calculs ? »
vérifier ..».
ECOUTE ACTIVE
« Vous avez besoin
de plus de temps « Oui, voilà, c’est
pour pouvoir cela. »
vérifier vos
calculs ? »
MON SON
BESOIN BESOIN
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FICHE 17
LA PROCEDURE DE REUNION
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FICHE 18
LE COMPTE RENDU DE REUNION
L’objectif du compte rendu est de conserver une trace de ce qui s’est passé
pendant la réunion pour informer les absents et suivre les actions décidées.
Les comptes rendus doivent figurer dans un endroit accessible à tous, de préférence
sur l’intranet et être formalisés sur un même modèle et enregistrés à la fois par dates
et par thème.
Le compte rendu pourra prendre une forme ou une autre mais devra toujours
renseigner les questions ci-dessus.
S’il est diffusé à différentes personnes, on y ajoutera les noms de ces personnes. Voir
l’exemple ci-dessous.
Les décisions prises pour être mises en œuvre ont besoin d’être suivies. C’est le plan
d’action qui doit figurer au compte rendu, sous cette forme ou sous une autre.
LE PLAN D’ACTION
FICHE 19
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LES BESOINS HUMAINS
LISTE DE BESOINS
D’après THOMAS D’ASSEMBOURG « Cessez d’être gentil, soyez vrai ». (La
communication non violente). Bien communiquer avec l’autre, c’est d’abord être
en sécurité en soi-même.
SURVIE
Abri. Air. Eau. Mouvements, exercices. Nourriture. Repos, permanence. Sécurité,
protection.
NOURRITURE (au sens large)
Affection. Chaleur. Confort. Douceur. Relaxation, détente, plaisir, loisirs. Sensibilité.
Soins, attentions, présence. Tendresse. Toucher.
EXPRESSION DE SOI
Accomplissement, réalisation. Action. Apprendre. Créativité. Croissance,
évolution, actualisation, développement, guérison. Générer, être la cause,
Maîtrise.
AUTONOMIE
Affirmation de soi. Appropriation de son pouvoir. Choix, (décider par soi-
même). Indépendance. Liberté. Solitude, calme, tranquillité, temps/espace
pour soi.
INTÉGRITÉ
Authenticité, honnêteté. But, direction, savoir où aller. Connaissance de soi.
Déterminer ses valeurs, rêves, visions. Équilibre. Estime de soi. Respect de soi.
Rythme, temps d'intégration. Sens de sa propre valeur, de sa place.
D'ORDRE MENTAL
Clarté, compréhension (par la réflexion, l'analyse, le discernement,
l'expérience). Cohérence, adéquation, Concision. Conscience. Exploration,
découverte. Informations. Connaissances. Précision. Simplicité. Stimulation.
D'ORDRE SOCIAL
Acceptation. Amitié. Amour. Affection. Appartenance. Appréciation.
Communication. Compagnie Concertation. Confiance. Connexion. Contact.
Donner, servir, contribuer. Écoute, compréhension, empathie Équité, justice.
Expression. Honnêteté, transparence, Interdépendance. Intimité. Partage,
échange, coopération. Présence. Proximité. Recevoir. Reconnaissance
(résonance, écho, feed-back). Respect, considération. Sécurité (fiabilité,
compter sur, confidentialité, discrétion, stabilité, fidélité, permanence,
continuité, structures, repères, etc.) Soutien, assistance, aide, réconfort.
Tolérance, accueil de la différence, ouverture.
D’ORDRE SPIRITUEL
Amour. Beauté, sens esthétique. Confiance, lâcher-prise. Espoir. Être. Finalité.
Harmonie. Inspiration. Joie. Ordre. Paix. Sacré. Sérénité. Silence. Transcendance.
CÉLÉBRATION DE LA VIE (accueil de la vie dans ses étapes et ses différents
aspects)
Communion. Deuil, perte. Fête. Goût d'expérimenter l'intensité de la vie en soi.
Humour. Jeu. Naissance. Rendre grâce.
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FICHE 20
RÉAGIR POSITIVEMENT
• Agresse gratuitement
• Se défend maladroitement
• Manipule
• Ferme les possibilités de solution
• S'attaque aux personnes
• Evite de faire face
• Rejette la responsabilité sur autrui
• Envie les réussites des autres
• Empêche la résolution du problème
Être positif, ce n'est pas nier qu'il y a un problème (prendre ses désirs pour des
réalités), ni refuser de reconnaître ce que l'on éprouve (prendre sur soi et serrer les
dents).
L'individu positif est celui qui, en toutes circonstances, cherche à adapter ses
réactions à la poursuite de son objectif.
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Les questions qui permettent de positiver une situation difficile :
Et si j'essayais encore ?
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FICHE 21
LE MODELE DE MAC LEAN
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FICHE 22 - LES PREFERENCES CORTICALES
DE HERMANN
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FICHE 23
ETRE ASSERTIF
L’attitude d’agression est une stratégie inverse : agresser, diriger, pour prendre le
leadership.
Ces 2 attitudes sont des mécanismes de défense qu’on rencontre dans toutes les
espèces vivantes. Ce sont des réactions instinctives de survie.
La manipulation est une stratégie plus moderne qui consiste à obtenir ce que l’on
veut sans le demander : c’est faire faire à l’autre, malgré lui (elle) et sans son accord.
On manipule par les sentiments, principalement la peur, l’envie, la promesse de
reconnaissance ou d’amour.
Ces trois attitudes ont en commun le refus de renoncer à la relation : c’est « plutôt
une relation insatisfaisante que pas de relation ». Dans ces situations, la personne
craint fortement les suites d’un conflit.
L’assertivité (to assert = défendre ses droits) procède d’une autre croyance, celle
qu’on peut faire confiance à l’autre et dire ce que l’on pense et ce que l’on veut.
Une personne « assertive » va s’exprimer, confronter son point de vue sans peur
des représailles. Elle est capable d’entendre le « oui » et le « non », de demander et
de refuser.
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FICHE 24
LES MECANISMES DE DEFENSE DU MOI
Quand le moi n’est pas assez fort, il se défend au moyen de différents mécanismes
inconscients :
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FICHE 25
NOTIONS D’ANALYSE TRANSACTIONNELLE
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POSITIONS DE VIE ET RELATIONS DE TRAVAIL
Notre relation aux autres ne dépend pas de notre seule volonté. Elle s’inscrit dans une histoire et
des engrammages neurologiques qui se sont installés dans la répétition et la durée. Nos
comportements se répètent sans que l’on identifie le pourquoi de ces répétitions : c’est une des
caractéristiques de notre cerveau qui économise ainsi l’énergie dont il aurait sinon besoin à
chaque moment.
Notre rapport au monde s’inscrit dans une histoire personnelle où la famille, la culture, les
valeurs, le métier, ont leur place, forgeant ainsi l’image que l’on a de soi et des autres.
Un travail sur les «positions de vie» peut aider à repérer des constantes dans nos
comportements relationnels et à identifier des images “internes” qui se traduisent ensuite dans la
vie quotidienne et professionnelle.
En fonction des représentations que nous avons de nos compétences comme de nos capacités,
en fonction des représentations que nous avons du monde et donc des autres, se sont
construits, au fil du temps, des habitudes de comportement dont une des visées premières est la
sécurité : le confort, le bien-être apparent. En fait, notre relation au monde est le reflet de nos
apprentissages, est déterminée par le milieu dans lequel nous avons été élevés, l’atmosphère de
nos premières années, les souvenirs vrais ou fabriqués que nous en avons conservés. Nos
relations aux autres dépendent pour une forte part de l’image que nous nous sommes faite de
nous-mêmes comme de celle que nos parents ou figures parentales nous ont imposées.
En interne, les relations que j’entretiens avec moi-même, mes jugements sur mes capacités,
ambitions, choix de vie…
C’est ainsi que je suis : en interne OK+ quand j’ai un jugement positif de mes particularités OK –
quand j’ai un jugement négatif de ces mêmes particularités en externe OK+ quand je suis à
l’aise dans mon univers relationnel OK–quand je suis mal à l’aise dans cet univers.
Position 1 = OK+/OK+
Position 2 = OK+/OK-
Position 3 = OK-/OK+
Position 4 = OK-/OK-
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TABLEAU DES POSITIONS DE VIE
POSITION 2: OK+/OK-
Je me survalorise et je dévalorise l’Autre. Je me sens supérieur et j’exprime du mépris, de la
pitié ou de la colère…
POSITION 1: OK+/OK+
Je suis «tel(le) quel(le)», moi-même.
Je m’accepte et j’accepte l’autre.
Mes sentiments correspondent à la situation : peur, joie, colère ou tristesse, etc.…
POSITION 4: OK-/OK-
Je me sous-estime et je sous-estime l’autre. Je ressens une impuissance, un désarroi, je
dénigre le monde.
POSITION 3: OK-/OK+
Je me dévalorise et je survalorise mon interlocuteur, je me sens coupable, insuffisant,
envieux ou admiratif.
La position 2.OK+/OK-:
Elle va générer l’arrogance, le mépris; l’individu est centré sur lui-même et reconnaît surtout,
voire uniquement, ses propres valeurs. Égocentrique confirmé, il ne se soucie guère de son
environnement humain et n’a d’écoute que pour ses propres idées. Ce sentiment de
supériorité se trouve amplifié par les jugements implacables qu’il porte sur autrui ; entouré
d’incapables, il fait ce qu’il faut pour ne surtout pas les autonomiser, leur donner les moyens
de la réussite.
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POSITION DE VIE ET RELATIONS DE TRAVAIL
Communication
OK+/OK+ Avec ouverture
OK-/OK+ Défensive & dévalorisation
OK+/OK- Défensive agressive
OK-/OK- Négative ou inexistante
Accepte la délégation
OK+/OK+ Avec facilité
OK-/OK+ Timidement
OK+/OK- Temporisation, marchandage
OK-/OK- Repasse à d’autres
Se développe
OK+/OK+ Autonomie & volontarisme
OK-/OK+ Besoin de réassurance
OK+/OK- Blocage si nouveauté
OK-/OK- Répétition des erreurs
Gestion du temps
OK+/OK+ Engagement dans les activités
OK-/OK+ Marquée par la passivité
OK+/OK- Vantardises provocation
OK-/OK- Retrait & manipulation
Si elles ne peuvent être authentiques, les personnes structurent leur temps en jouant
à des « jeux psychologiques ». il en existe plusieurs dont celui de la victime, du
sauveur et du bourreau.
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LES PREFERENCES CEREBRALES
DE HERMANN
OBJECTIFS :
Attirer l'attention sur les circuits que nous utilisons habituellement pour résoudre les
problèmes : par la connaissance de nos dominances cérébrales.
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LE CORTICAL GAUCHE
Cerveau « A » Analyse/logique
CE QUI LE CARACTERISE
Apprendre à tenir compte des hommes qui interfèrent souvent dans la résolution des
problèmes. S'ouvrir à l’intuition, les sentiments, la créativité.
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LIMBIQUE GAUCHE
Cerveau « B » Organisé/détaillé/egocentrique
QUALIFICATIFS : Minutieux, séquentiel, rigide, contrôlé, conservateur.
CE QUI LE CARACTERISE
SON PORTRAIT
Il apparaît tyrannique, étroit d'esprit, ennuyeux, obtus, insensible, asocial
(maladroit ou blessant pour sauvegarder l’autorité, le contrôle).
Perd son sens pratique par excès de recherche de sécurité.
Stoppe les processus ouverts et jaillissants du cerveau « D » (cortical droit).
Vit sous tension et contrôle permanent.
PRODUCTION
De l'ordre, des procédures, des méthodes, des contrôles et vérifications, de la
sécurité.
SON DEFI
Accepter de prendre des risques. Dépasser ses peurs. Accepter les émotions.
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CORTICAL DROIT
Cerveau « D » Imaginatif/conceptuel
QUALIFICATIFS : artistique, global, souple, imaginatif, synthétique.
CE QUI LE CARACTERISE
Il fonctionne par analogies, métaphores "c'est comme si..." utilise des images, des
schémas.
Il sait tirer partie des fausses conclusions, des erreurs, des incertitudes, qui
deviennent autant de possibilités.
Il sait utiliser l'expérience.
II a la capacité à voir des formes dans sa tête : visualise aisément.
II sait poser les questions naïves, qui vont au fond des choses.
Il cherche à comprendre des images, des concepts, des modèles, des sons, des
mouvements.
Sa pensée est conceptuelle et esthétique.
Il est indépendant : sa façon de procéder prime, il n'éprouve pas le besoin de
s'associer.
Il est rapide. Il est intuitif. II a "l'intelligence de la rue" ou de la nature.
il sait s'orienter. Il aime la géométrie.
Il sait utiliser les rêves éveillés, les fantasmes.
La logique : structurer sa pensée est vécu comme une perte de temps et l’ennuie :
il n'en voit pas la raison.
Le travail d'équipe : parce qu'il a plus vite fait seul, que sa façon de procéder
prime, et qu'il est indépendant, qu'il refuse de ralentir son rythme pour laisser
les autres le rattraper.
Gérer le temps : il n'aime pas être interrompu dans ce qu'il fait, le temps est vécu
comme un obstacle. Mettre de l’ordre également.
S'occuper de L'immédiat : les détails matériels. Les procédures, Ies émotions : tout
cela fait obstacle au jaillissement des idées.
PRODUCTIONS
Des idées, des inventions, des compositions. C’est un visionnaire.
SON PORTRAIT
Déconcertant pour tous, y compris les autres « D ».
Est mal compris et comprend mal. Apparaît flou.
SON DÉFI
Apprendre que la réalité n'est pas un boulet, mais un ressort, que les autres,
avec leurs approches propres, sont nécessaires pour pouvoir réaliser.
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LIMBIQUE DROIT
Cerveau « C » interpersonnel /empathique
CE QUI LE CARACTERISE
Absorbe l'expérience comme une éponge : est un baromètre instantané de ceux qui
l’entourent.
Sa réalité est faite de courants émotionnels, l'expérience subjective prime.
A confiance dans les groupes. A besoin d'associations. Favorise
l'harmonie et la beauté.
Sait traiter les sentiments et les émotions.
Préoccupé par le passé : les leçons des anciens, les traditions.
Décode avec aisance le non-verbal : une langue qu'il parle couramment.
Aime la musique.
Est kinesthésique: perçoit le monde avec son corps.
Les perceptions et communications sont perçues comme des sensations internes
du corps, au même titre que des informations visuelles ou verbales.
Est spiritualiste : "sait" qu'un Créateur existe. Se sent appartenir à une famille
spirituelle.
Est bavard(e) : le fil de la conversation compte plus que le contenu : est
intarissable.
Est nourricier : accorde de l'importance à la satisfaction personnelle : un objectif qui
ne va pas dans le sens du développement humain n'a aucun sens pour lui.
Emotif, extériorisé, chaleureux, introspectif.
Sens pratique : par refus de prendre en compte, les faits, le temps l'argent, jamais
essentiels à ses yeux.
Les objectifs qui s'opposent au développement humain.
SON PORTRAIT
SON DEFI Apprendre à tenir compte des idées et des réalités pratiques, qui ont
aussi un rôle dans le développement des hommes.
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IDENTIFIEZ VOS PREFERENCES CEREBRALES en utilisant le barème ci-dessous :
1. Êtes-vous rationnel(le)?
2. Aimez-vous fouiller» les analyses ?
3. Souhaitez-vous détenir des informations sûres et valables
4. Accordez-vous de l'importance à l'avis des spécialistes ?
5. Accordez-vous de l'importance à vos performances ?
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MANAGER.
38. Pour vous un bon manager est celui qui sait motiver le personnel par des raisonnements logiques
et de l'argent ?
39. Un bon manager est celui qui contrôle systématiquement, planifie et se réfère à l'expérience des
plus anciens ?
40. Un bon manager est celui qui connaît ses collaborateurs, sait les responsabiliser en jouant sur leurs motivations.
41. Un bon manager est celui qui favorise une atmosphère d’innovation, de création, d’indépendance.
FORMATION.
42. Vous pensez que seuls sont valables les stages de recyclage technique ?
43. Vous pensez que les stages doivent être montés en fonction d'objectifs généraux, en vue de
dégager une réussite professionnelle. Les stages de longue durée perturbent le service.
44. Vous pensez qu'on ne peut pas faire l'impasse de la formation humaine. Pour vous chacun doit
pouvoir avoir une formation personnelle.
45. Vous pensez qu'il est préférable d'avoir une formation sur le tas, par l'expérience, mais vous
appréciez également les formations en groupe.
50. Vous analysez les causes liées à la situation et recherchez des solutions techniques, les raisons
humaines ne vous intéressent pas.
51. Vous avez mis au point des procédures de rencontres qui permettent de traiter les conflits. Vous
craignez les conflits.
52. Vous portez attention à l'esprit d'équipe, pour cela vous veillez à l'expression des désaccords dès
que vous les sentez poindre.
53. Pour vous tout conflit doit être productif et permettre de trouver de nouvelles solutions
intéressantes. Vous n'avez pas peur des conflits.
DELEGUER.
54. Moins on délègue, mieux ça vaut ! A la rigueur, si on est absolument sûr de son subordonné !
55. Déléguer, d'accord, mais uniquement ce qui est prévu dans la définition de la fonction
56. Déléguer c'est normal et souhaitable, chacun est digne de confiance en règle générale !
57. Déléguer, tout-à-fait d'accord, mais j'ai plus vite fait et mieux fait moi-même !
INNOVER.
58. Pas trop n'en faut : seulement si cela permet une amélioration des méthodes.
59. Pas d'innovation : c'est risqué : il y a des chefs au-dessus pour décider !
60. C'est toujours intéressant d'écouter les suggestions des gens. L'essentiel est qu'ils s'expriment.
Ce n'est pas pour autant qu'on va tout chambouler !
61. Plus il y a d'idées, plus on peut innover : on est là pour aller de l'avant, même si cela suppose des
risques !
ANIMATION DE REUNION.
62. D'accord pour les réunions : je les organise : ordre du jour précis, temps limité !
63. Je suis un protocole habituel toujours le même pour les réunions et veille à ce que le sujet soit
respecté.
64. J'aime les réunions, les trouve intéressantes et utiles car il y a toujours de l'ambiance à celles que
j'anime, j'ai le souci que chacun s'exprime et soit compris par tous.
65. Je provoque des réunions pour sentir le vent, prendre des avis, j'écoute beaucoup et en tire les
conclusions nécessaires.
49
POSITION FACE A LA HIERARCHIE.
66. La hiérarchie est indispensable et il est normal qu'elle soit respectée et distinguée (standing)
67. La hiérarchie c'est nécessaire : chacun son rôle et ses responsabilités.
68. La coopération, l'esprit d'équipe passent avant la hiérarchie : le chef doit avant tout être un
animateur.
69. La hiérarchie ça ne veut rien dire : ou le chef est compétent ou il ne l'est pas : un vrai chef est
ouvert et prêt à prendre ses responsabilités.
50
PREFERENCES CEREBRALES
A B C D
+ - + - + - + -
1
6 16 11
2
7 17 12
3
8 18 13
4
9 19 14
5
10 20 15
21
25 34 29
22
26 35 30
23
27 36 31
24
28 37 32
33
38
39 40
42
43 44 41
46
47 48 45
50
51 49
52 53
54
55 56
58
59 60 57
62
63 64 61
66
67 65
68 69
70
71 72
74
75 76 73
78
79 80 77
82
83 84 81
86
87 88 85
89
90
91 92 93
94
95 96
97
98 99 100
101
102 103 104
Sous-total de chaque colonne : 78
MOI
PARENTS
GRANDS PARENTS
CONJOINT
ENFANTS
COLLEGUES
AMIS. SYMPATHIES
« ENNEMIS ». ANTIPATHIES