Obiblio FR 1046 - Rapport de La Communication Interpersonnelle
Obiblio FR 1046 - Rapport de La Communication Interpersonnelle
Obiblio FR 1046 - Rapport de La Communication Interpersonnelle
Plan d’exposé :
Définition de la communication interpersonnelle
Méthodes de la communication
L’évolution de la communication
La communication interpersonnelle au sein d’un couple
La communication interpersonnelle au sein de l’entreprise
Transmission
Elle n'a été formalisée qu'aux cours des deux derniers siècles.
Toute activité qu’un dirigeant accomplit, qu’il s’agit de la motivation ou du contrôle des
subordonnés, tourne autour de la communication. Un dirigeant ne fait que communiquer.
Selon les auteurs qui ont étudié la gestion des organisations, le dirigeant utilise 60 à 90 pour
cent de son temps à communiquer avec les autres. Cette communication implique l’utilisation
d’un simple modèle que Warren Weaver et Claude Shannon présentaient sous la forme qui
suit:
La communication est vraisemblablement apparu en même temps que les deux premiers êtres
humains.
NB: La date de la naissance de l'Homme dépend des croyances de chacun quant à la genèse de
son histoire: croyance en la création ou en l'évolution. Notons que selon les textes bibliques
Adam communiqua d'abord avec Dieu avant de communiquer avec Eve (Genèse 2 v 16-17).
L'Homme de ce point de vue, communiqua d'abord avec le divin avant de communiquer avec
son semblable.
Les femmes se plaignent souvent du manque de communication avec leur partenaire. Selon les
clichés, elles attendraient surtout l’expression de sentiments et d’émotions, alors que les hommes
attendent l’expression d’une proximité physique. Comment analyser cette plainte aujourd’hui ?
Ces clichés rendent-ils compte de la réalité ?
Parler du « silence des hommes » implique que l’on postule une différence entre les hommes et
les femmes quant à l’expression d’eux-mêmes. Que l’on soit d’avis que ce qui est commun aux
hommes et aux femmes est plus important que ce qui les différencie ou que l’on soit de l’avis
contraire, on ne peut en tout cas éviter la question. La rigueur oblige cependant à éviter la
caricature d’un côté comme de l’autre : ni « les hommes viennent de Mars et les femmes de
Vénus », ni « l’un est l’autre »... tout en étant conscient que la caricature permet parfois de
grossier des traits latents qui méritent notre attention.
Cette question du silence des hommes est d’abord posée par les femmes. Ce sont les femmes que
l’on entend dire à leurs compagnons, entre elles ou au travers des articles des magazines
féminins : « J’ai l’impression de parler à un mur », « Tu ne me dis jamais rien », « tu n’exprimes
jamais tes sentiments », « Au fond, je ne sais jamais ce que tu penses vraiment », etc. Ou bien
encore : « Il n’évolue pas, il est coincé, c’est trop tard de lui faire changer ses habitudes, il ne
voit rien, impossible de lui communiquer ce que j’attends, il u a entre nous un fossé aussi grand
qu’une génération »...
Il s’agit donc d’abord d’une insatisfaction voire d’une plainte de femmes vis-à-vis de leurs
compagnons, d’une revendication de femmes pour une autre communication. On n’entend pas
ou très peu, par exemple, une insatisfaction similaire des hommes quant à la communication
avec d’autres hommes, voire même avec leur femme. Si c’est une question de femmes, il s’agit
donc aussi d’une vision des femmes sur les hommes et d’une analyse des relations
hommes/femmes qui part d’un liché de femmes sur les hommes. Ce simple fait vaut déjà la peine
qu’on s’y arrête parce que, dans l’histoire, c’est le plus souvent l’inverse qui s’est passé. On a
généralement analysé les relations hommes/femmes à partir d’un point de vue masculin. Plutôt
que de « silence des hommes », on aurait pu parler jadis du « bavardage des femmes ».
Quoi qu’il en soit, cette interpellation est aujourd’hui intériorisée par les hommes, ou en tout cas
par un certain nombre d’hommes. Les mouvements d’hommes (Réseau Hommes, Relais
Hommes, etc.) témoignent en tout cas que certains hommes se sentent à l’étroit dans leur mode
d’être et de communiquer et expriment le désir de vivre à d’autres niveaux, de pouvoir eux aussi
exprimer leurs émotions, leurs sentiments, de pouvoir communiquer différemment. Cela peut
être le fait de leurs compagnes qui les poussent dans le dos parce qu’elles revendiquent un autre
type de communication dans le couple sous peine de rupture, ou bien parce qu’ils se remettent
en question après l’échec d’une première relation où ils ont reçu les griefs de leur compagne
comme une douche froide, ou bien encore parce qu’ils ne sont plus satisfaits eux-mêmes de leur
mode d’être au monde et aux autres.
Première explication, qui ne tient pas au sexe : il est difficile, pour tout homme, pour toute
femme, de parler de soi en vérité. Toute communication vraie est exigeante, difficile. Cela
demande du temps, des circonstances favorables. Il est toujours plus simple, moins risqué de se
réfugier derrière un masque, une image de soi-même, dans une communication de type
fonctionnel.
A entendre certaines femmes, cette difficulté des hommes à s’exprimer tient à leur nature, c’est
une sorte de handicap congénital. La communication interpersonnelle est dans la nature des
femmes, mais pas dans celle des hommes. De telles interprétations font malheureusement penser
à l’exacte réplique des discours sexistes d’hier, quand les hommes décrivaient les femmes comme
« non rationnelles, trop émotives, moins intelligentes, etc. », voire, si l’on remonte un peu le
temps « dénuées d’une âme ». Ces justifications par la « nature » peuvent prendre des accents
plus scientifiques ou psychanalytiques. Ainsi, la femme, parce qu’elle porte l’enfant en elle avant
de le mettre au monde, entretiendrait avec lui une relation de proximité dont l’homme serait
irrémédiablement écarté. Son rôle à lui serait de mettre de la distance et non de la proximité. De
là viendrait le fait que les femmes se situent spontanément dans des relations de proximité et les
hommes dans la distance.
Il existe d’autres types d’approches, qui tiennent davantage à la culture, aux images et aux rôles
attribués aux hommes et aux femmes dans la société. Dans la culture judéo-chrétienne d’hier, les
sentiments et les émotions étaient plutôt considérés avec méfiance. Dans l’échelle de valeurs, le
sens du devoir, la maîtrise de soi, la responsabilité, la conscience, etc. arrivaient bien avant les
sentiments et les émotions, toujours suspectés de pouvoir faire glisser sur la pente savonneuse
des vices. Dans ce contexte global, les hommes ont reçu dans leur éducation une double
prévention face aux sentiments. Si l’on concédait encore aux femmes le droit à éprouver des
sentiments, il revenait d’abord aux hommes de dominer les situations auxquels eux et leur
famille étaient confrontés, ce qui les obligeait à masquer leurs sentiments ou tout au moins à être
capables d’en prendre distance. Quel petit garçon n’a pas entendu dans son enfance qu’un
garçon ne pleure pas « comme une fille » ? On pourrait parler longuement de cette image de la
virilité qui pèse encore tellement sur les hommes : une image de force, peut-être même de
violence, une image de guerrier, d’impassibilité, une image dure et distante, voire méprisante,
une image de macho, de rationalité froide, qui ne se laisse pas fléchir par l’émotion. Dans ce
contexte, il faut sans doute écouter avec un esprit critique les nombreux discours de tous bords
qui regrettent aujourd’hui l’absence de « pères ». Quel type de pères, de virilité, ces discours
regrettent-ils ? Les femmes elles-mêmes, qui réclament de leurs compagnons qu’ils puissent
vivre au niveau de leurs sentiments et émotions, ont parfois des attentes paradoxales, quand elles
souhaitent en même temps avoir à leurs côtés de « vrais hommes ».
Même lorsqu’ils le souhaitent, les hommes n’ont pas l’habitude de fonctionner au plan des
sentiments. Ils ont appris à fonctionner dans la sphère sociale, dans le monde du travail et du
pouvoir, où il est essentiel de maîtriser l’évolution des événements. Dans cette sphère, dire ses
sentiments, c’est dire sa fragilité, se rendre vulnérable à l’autre, perdre le contrôle, sortir de la
sphère de la production pour entrer dans la sphère de l’expression. Beaucoup d’hommes ont du
mal à se construire une nouvelle consistance dans cet univers.
Ce malaise des hommes s’explique aussi par leur déstabilisation face à l’évolution des femmes
dans la société. Les femmes ont vécu les dernières décennies sur le mode des conquêtes, alors que
les hommes devaient sans cesse céder une partie de leurs anciens privilèges. C’est un lieu
commun de dire aujourd’hui que nous vivons dans une société en pleine mutation. Cela se
ressent sur les rôles attribués à chacun des sexes. Dans ce contexte, les hommes comme les
femmes seraient déstabilisés : les hommes parce qu’ils ne savent plus très bien quelle attitude
prendre pour répondre aux souhaits de leurs compagnes, et les femmes parce qu’elles ont des
attentes contradictoires.
Et demain ?
Ne faudrait-il donc pas surtout que chacun apprenne à se dire d’une manière audible pour
l’autre ? Mais que chacun apprenne aussi à entendre la manière dont l’autre se dit. Et cela en
quittant autant que faire se peut une certaine guerre des sexes. L’autojustification en termes
d’opposition favorise rarement la bonne communication ou le plaisir d’être ensemble. Et, en
cette matière, sans doute les hommes et les femmes n’ont-ils pas les mêmes attentes ni les mêmes
modes d’expression. Et il n’est écrit nulle part que le sentiment qui habite une personne et
qu’elle partage la révèle davantage qu’une décision, une réflexion personnelle ou un acte qu’elle
a décidé de poser... Les uns comme les autres sont indispensables à la vie et à la relation.
La communication dans le couple est capitale. Pouvoir s'exprimer sans être jugé, savoir écouter
sans interpréter est l'une des clefs du succès d'un couple épanoui.Pouvoir s'exprimer, c'est
autant faire des compliments que des reproches. Savoir écouter, c'est autant entendre les propos
que comprendre les attitudes. Améliorer sa communication et l'enrichir, c'est découvrir l'un des
plus beaux aspects de la vie à deux : l'échange réciproque.
N'oubliez pas que la communication non verbale par les comportements, les gestes, par le
toucher notamment, est aussi importante que les mots car bien souvent "la parole dépasse la
pensée" et "le corps par ses attitudes est le reflet de l'âme intérieure".
COUPLE
Qu'est-ce qui explique qu'un couple dure et qu'un autre se brise ? Quelles sont les qualités les
plus recherchées chez l’autre et de quels défauts vaut-il mieux se corriger ? Pour découvrir où
en sont les choses, nous avons recueilli les confidences d'hommes et de femmes qui vivent en
couple.
4 attitudes gagnantes
L’écoute
Être véritablement à l’écoute de l’autre, c’est le confirmer dans ce qu’il ressent, dans ce qu’il
éprouve et du même coup lui permettre de prendre du recul. C’est aussi une façon de
reconnaître ce qu’il pense, ses sentiments, ses émotions et de les partager avec lui : «Écouter,
c’est aussi entendre ce qu’il a à me dire et ce qu’il désire», dit Kathy P. Pour Robert D, «C’est de
s’assurer que l’on comprend ce que l’autre ressent et vit, sans se sentir obligé de combler tous
ses besoins. La reformulation permet ensuite de rassurer l’autre.» «Savoir me taire pour
l’écouter et résister à l’envie de le couper sont pour moi des façons de le respecter» ajoute Marie
G. «Ça permet à mon conjoint de s’écouter et de voir si son choix est logique», indique Karine D.
Pour Jean-François S., «L’écoute active est une thérapie pour ma conjointe. Après m’avoir
confié un de ses problèmes, par exemple, elle se sent soulagée. Et cette écoute renforce notre
complicité».
Le soutien
Ce n’est pas tout de se confier ou d’écouter, il faut savoir épauler l’autre, lui apporter du
réconfort dans les moments difficiles. Nous sommes ensemble pour nous aimer, nous soutenir,
nous consoler et nous encourager. Quand l’autre est fragile ou vulnérable, le soutien moral est
un outil magique pour grandir ensemble. «Tant mieux si le bonheur est au rendez-vous mais la
tristesse et la douleur font partie de la vie et il faut savoir être présent pour l’autre quand il va
moins bien» déclare Brigitte B. Effectivement, les couples qui tiennent dans la tempête en
ressortent renforcés. Pour tout le meilleur qui reste à venir.
Nul n'est censé ignorer la communication.
L’un des défis des leaders aujourd’hui, pour ne pas dire tout simplement du
management, est de réussir à faire passer et faire vivre le message de « l’urgence de la
performance ». Motiver, séduire, rassembler, mobiliser, dynamiser ses hommes,
redynamiser son équipe. Ceci passe souvent par une bonne communication, laquelle
lorsqu’elle est orientée synergie et performance favorise et soude les relations
interpersonnelles et conduit les équipes à de rendements meilleurs. Elle est d’autant plus
harmonieuse et efficace, lorsqu’elle conjugue : Conscience, Liberté, Expressivité,
Réciprocité et Efficacité, quatre principes fondamentaux pour une communication qui
crée de l’effet et fasse gagner.
La Liberté : elle nous permet d’exprimer et d’extérioriser sans crainte nos opinions et
par conséquent, elle prévient le stress de la frustration.
L’Expressivité : elle est activée par la détente et la respiration qui défont les nœuds
musculaires qui nous étouffent. Elle réduit la pression, calme bouillonnement intérieur,
l’anxiété, l’agitation excessive.
B) la communicatin interne/externe
La communication revêt deux aspects dans l'entreprise (ou dans l'organisation): la
communication interne et la communication externe.
I) la communication interne
La communication interne permet l’information du personnel, son intégration et sa
motivation. Les moyens utilisés peuvent être :
- le journal d’entreprise,
- les réunions,
- les affiches,
- la note de service…
Pour mieux communiquer avec vos employés et surtout pour créer la confiance grâce à la
communication, rappelez-vous l’objectif de votre communication. Définissez la stratégie
adéquate pour créer l’effet escompté. Il peut s’agir de l’information simple, de l’adhésion,
de la responsabilisation, etc. Mais vous ne pouvez créer cet effet sans une confiance
préalable entre votre auditoire et vous.
Qui est la base fondamentale d’une bonne communication car « On ne croit pas à un menteur
même s’il dit la vérité ».
ne perdez pas surtout de vue le fait que les gens pensent toujours à ce que vous êtes, et ce que
vous faîtes les empêche parfois de vous croire et à juste titre. « Mais lui, il ne peut pas me dire
ça. Je l’ai vu moi-même… ».
Tenir ce que vous promettez, ne rien promettre que vous ne puissiez tenir.
n’informez pas vos collaborateurs juste par besoin d’information. Ce n’est pas de la
communication. C’est vrai que parfois il vaut mieux servir quelque chose plutôt que de se
taire surtout lorsque les gens recherchent le salut en vous. Mais pour toute chose dont vous
n’êtes pas sûr qu’elle se produira, n’en faîtes surtout pas cas comme si c’était déjà une
évidence.
Pour des messages bien perçus, bien compris, bien interprétés, utiliser les
astuces suivantes pour assurer une communication optimale.
Le sens commun vous dira que les employés ne peuvent contribuer à atteindre les
objectifs de l'entreprise s'ils ne les connaissent, et que d'ailleurs c'est ce à quoi bon
nombre de chefs d'entreprise s'attendent. C'est la mauvaise mise en œuvre de leur
stratégie, et non la stratégie elle-même
. Quand on leur demandent s'ils ont cerné la stratégie, beaucoup d'employés répondent
« Oui », quand bien même la compréhension qu'ils pensent avoir de la stratégie est toute
erronée. Quand la stratégie n'est communiquée à travers un programme de
communication bien défini, l'information divulguée se révèle souvent erronée.
. Parmi les entreprises ayant réalisé des performances assez soutenues, 72% affirment
que leurs options stratégiques ont été régulièrement communiquées à travers divers
canaux, et 56% rapportent que leurs employés ont « une idée très poussée » de la
stratégie générale de l'entreprise.
La peur que les employer ne peuvent pas comprendre les messages : Adaptez vos
messages à votre audience et présentez les de la manière la plus simple possible de
sorte qu'ils soient intéressants et importants pour votre audience.
• Coûts trop élevés et fonds non disponibles pour le budget – Adoptez un plan
“opportuniste”, utilisant les moyens/canaux de communication déjà existants. Evaluez
aussi les avantages à travers une étude réalisée sur le degré de compréhension de la
stratégie par les employés avant, durant, et après la mise en œuvre de chaque
programme.
• Les brochures.
• L'Intranet.
Cela suppose de définir clairement les enjeux, de bien comprendre l'univers du Web et de
mettre en place un plan d'actions adapté.
Ergonomie/Plan du site/Fonctionnalités.
Gestion portefeuille de marques/Liens avec les sites du groupe.
Véhiculer les valeurs de la marque.
-Identifier les meilleurs moyens à utiliser pour communiquer sur le changement en cours.
-Repérer les meilleurs moments pour réaliser la communication en fonction des objectifs.