Projet
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Ensuite, les grands et moyens barrages coûtent très cher : les gouvernements cherchent de
plus en plus à faire appel à des fonds privés ou aux grands organismes internationaux comme
la Banque mondiale pour les financer. Mais jugés trop longs à amortir et rentabiliser, les
projets hydroélectriques peinent à convaincre les investisseurs. L’avenir de l’hydroélectricité
dépend donc, pour une bonne part, de la force de persuasion des États et de potentiels accords
public/privé.
Conclusion :