Salah Ben Abdallah - Le Magisme Grande Initiation. Anatomie, Loi Physiologique
Salah Ben Abdallah - Le Magisme Grande Initiation. Anatomie, Loi Physiologique
Salah Ben Abdallah - Le Magisme Grande Initiation. Anatomie, Loi Physiologique
_EMPTY_
_EMPTY_
_EMPTY_
_EMPTY_
_EMPTY_
' LE‘ MAGISME
o‘
SCEAUX. — I)II'IIIIRII DE IUNZIL FRÈRES.
LE
MAGISME
GRANDE INITIATION
ANATOMIE, -—- LOI PHYSIOLOGIQUE, — PHYIIQUE, -— BOTANIQUE,
IIAGISME, "‘— MAGISME RELIGIEUX, — SOINAIBULISHE,
HOHŒOPATHIE,—PROPHÊTIES, —DIVINATION, —ASTROLOGIE, ETC.
PAR LE DOCTEUR
SALAIÃ-mæu-ABI’ALLAH
’Îa
UJ“')W _
/' "
.-»
-'—’mwæ 4 —»
PARIS
CHEZ L'AUTEUR, RUE DU FAUBOURG-SÀlN'Ã-HÛNÛRË, 30.
1857
_EMPTY_
A MONSIEUR LE DOCTEUR MURE.
Monsieur et très-honoré Maître,
Daignez agréer l'hommage d'un livre qui, sans vous, n'aurait
point été fait. Vous m'avez engagé à entreprendre ce travail; les
conseils que vous m'avez donnés m'ont servi de guide, et l'exemple
de votre courage m'a soutenu.
Veuillez, Monsieur et très-honoré Maître, accepter ce faible
témoignage public de tout le dévouement et de la parfaite recon-
naissance de votre respectueux disciple,
1
SALAfl-snx-ABDAIÆAB.
Paris. le 27 du mois dzou-el-khada 1973 (I8 juillet 1857}.
_EMPTY_
LE MAGISME.
' n: U et U U U 5
V
U
UUUV5UUUU
ciables des quantités d'une petitesse inouïe ;
l'œil de l'homme reçoit sur sa rétine l'im.
pression des astres semés dans l'espace; une
sphèredequinzecentsmillionsdelieueSViêflt
se peindre sur une surface d'une ligne et
demie. L'art de guérir, qui s'exerce sur des
organisations exaltées par la souffrance, ne
devait-il pas, Ã plus forte raison, sortir du
domaine étroit de la matérialité, et devez},
oer d'un vol hardi les sciences progressives
dans le champ immense de l'inï¬ni? J usqu'Ã
ce jour, il n'en était point ainsi; c'est au
contraire une opinion commune et en quel;
que Sorte justiï¬Ã©e, que les études médicales
ont une tendance matérialiste, et que la foi
religieuse reçoit des atteintes réelles des
études physiologiques. L'homœopathie met
un terme à ce triste état de choses. et ne
place la médecine, si dégradée .aujourd'hui,
à la place qu'elle n'aurait jamais dû quitter,
Aussi hardi que les élèves de Lewenhoeck et
de Galilée, le disciple d'Hanemann fait dans
les champs de l'inï¬ni ses plus précieuses
conquêtes scientiï¬ques. Il divise la matière
et la subdivise d'une manière prodigieuse;
non-seulement il marche de pair avec le
physicien arrné de son microscope, mais
longtemps après que celui-ci s'est arrêté
éperdu devant la série indéï¬nimeqt décrois-
__ 39 ..
æ. .smfla des êtres, il montre à l'homme étonne
gyq.ue l'actimn pal/«anémique continue à sa ma!
.» nï¬es.ter d'une manière appréciable sur les
1» tissus vivants, et peut. soit altérer la santé
» humaine. soitla rétablir lorsqu'elle est ale’
altérée. P . '
La ‘manière ï¬xe et continue dont la matière
reçoit, communique et perd l'action qui l'a-'
nime, est appelée : lois générales de la nature.
Toutes ces lois sont soumises à la loi du
grand et suprême Dieu, Nous en examinerons
trois : impulsion, attraction et afï¬m‘té,
l'impulsion.
t C'‘
L'lmpulsion est l'action d'un corps qui frappe
et met en mouvement un‘ autre corps, comme
nous le voyons par Faction des eaux‘d’unn
écluse, dont le courant met ‘en mouvement la
roue, d’un cheval sur une voiture, etc. Ainsi
l'impulsion renferme deux choses: Faction
d'un corps, qui met en mouvement un autre
corps, et le mouvement produit par le choc
d'un autre corps.
. n “fl\fl"9n
Tous les corps tendant réciproquement
s'unir ou s'spm0qher les uns des autres cette
.. 40 ..
force est appelée attraction, la force attractive
se remarque dans tout ce qui nous entoure?
ainsi, parmi le règne animal, les exemples sont
trop connus pour que nous en citions. Tous
les végétaux sont attirés vers la même direc-
tion; les minéraux subissent la même loi:
l'aimant, l'électricité, le feu, la lumière, sont au-
tant d'agents qui attirent à eux tous les corps.
Allaité.
L'aflim‘té qui est une force agissant en raison
inverse du carré des distances, et en raison
directe des masses, est aussi nommée attraction
spéciale ou élective.
On appelle aflinilé d'agrégation la force de
l'affinité entre des molécules de nature sem-
blable, et oflîm‘té de combinaison entre des mo-
lécules de différentes natures qui s'unissent
entre elles.
L'union de deux corps ne consiste pas dans
leur simple adhérence, comme cela a lieu dans
les molécules ou fluide de même nature; ainsi
deux matières jouissant de propriétés diffé-
rentes les unes des autres, leur union forme
un nouveau corps qu'on appelle composé. Un
grand nombre de phénomènes vient à l'appui
de la loi que nous exposons. Deux corps très-
_ |,| ....
fluides, comme l'huile de tartre et le vitriol,
forment sur-le-champ un solide. Un amalgame
de plomb trituré avec un amalgame de bis-
mutb, donne dans l'instant un fluide.
.- .
..
.. -..
l
.
1 . ' ‘
.. l, .l
.0
'
.n
.s
.
t' ‘ ' '
. IA
H ‘‘, n Ma‘ me“ ‘I.’
BOTANOLOGIE.
VOÃœABULAIBE.
_EMPTY_
~~ ~ . uoruuonoem <â€.
Tout dans la nature est animé du eouflie
de Dieu, créateur, animateur et conservateur
de toutes choses.
Les végétaux se divisent en plantes herbacées
et en plantes ligneuses, se subdivisent elles-
mémes, suivant leurs tailles, en arbres, arbris-
seauæ et sous-arbrisseau. .
On étudie les organes des végétaux, 4’ selon
qu'ils appartiennent à la vie individuelle, NU-
rarnou; 2° suivant qu'ils appartiennent à la vie
de l'espèce, uapaonuerrou, et sont aussi appelés
organes de la rnucrmcmom
Les organes des végétaux, servant à la nu-
trition, sont : les racines, les tiges, les bourgeons,
les feuilles et quelques-uns de ces organes, tels
(l) Botanologie, du grec Borczw;, herbe; Aoyoç, discours : qui a
rapport a la botanique.
—j6—
que les épines, aiguillons. vrilles, les glandes et
les poils.
RAClNES.
La racine se compose de trois parties : 4° le
corps, 2° le collet ou nœud vital, 3° les radicellcs,
ï¬bres plus oufmoins déliéesà qui terminent la
racine à sa partie inférieure.
_. ‘_ ' . Fonctions.
La racine sert il fixe! le Végétal à la terre ou
aux autres corps avec lesquels elle doit vivre
et puiser une partie des matières nécessaires Ã
son accroissement. . . “ .
. Les ‘racines participènt toujours en plus ou
en moins dés propriétés dontjouisscntlcs au-
tres parties du végétal; mais béaùcôup,dé
‘plantes médicamenteuses‘ sont employées‘ dans
leurs racines; " ‘ ' _‘ ‘Itu.''...' '. n‘."" '.-
.; , l.; .. ,. '. ‘'l-' I ',. ‘
*' ‘ ncss. .
J' L. . t'1 h‘
'' Parties du végétal qtï¬â€™a‘éféièfif ordinaire-
‘ment dans l'air, croissent cn‘sens inverse de la
racine, supportent' les ï¬u{l'lec, les fleurs et les
fruits. Les. lantss sans tiges sont dites acaulæ.
Il est un ait assez remarquable entre' les ra—.
== " .'.'.
cines et les tiges, c'est que ces dernières augmen-
tent en hauteur par tIm;1 les points de leur étendue,
tandis que les racines ne s'allongentque par leur:
sætrémtæs seulement. "-' ! "-'' '.''—" “'5' ‘
. . ' J...i' .;.:"l'.:'.lt,l
w '- mmm. w‘ ‘' ~
La feuille est une expansion membraneuse
plus ou moins charnue, verte, qui naît de dif-
férentes parties du végétal; avant leur déve-
ioppement, les feuilles sont toujours renfer-
‘rnécs dans ' les ‘bourgeons. (Eau de pre‘f0h‘æfo‘tæ.)
“ ,‘.fl«. - .. '. . ' . .- '' «i I. ,... ‘J
Les feuilles sont, avec les racines, les or-
ganes d'absorption et de nutrition, et remplis-
sent chez ‘le végétal les fonctions des poumons
chezl'animaitty. . > " â€
" =*3 ' . '.i .' " '. 'l ' l
.IæsMiflfllfltrflt. i . . ‘. L%Ÿtï¬tätätifätfliib’flèVdfld6h
rre.
Décomposent. . . . . . . . .' L'acide carbonique, s'appro-
prient le carbone,
En dégageant . . . . . . . . . L'oxygène.
I
' (l) Les feuiliéS Se‘i‘véñt Aussi de mains aux végétaux‘. Les' libres
qui traversent en tous sans constituent une espèce de Ghb‘bfltflM‘îd‘,
et sont autant de ï¬gures hiéroglyphîques indiquant leurs propriétés
médicinales et de prédiction. ‘
:.' (le mm: est celui de la nature; je‘ ne puis donc pas en d6l!flet
l'alphabet qui sera connu facilement par les initiés qui en seront
dignes. (Voir le livre Il, de la Divination}
«maman.
' '. ‘ ‘n
Pour exercer ces fonctions de nutrition, il
faut un milieu qui contienne de l'air atmosphé-
rique et que ses organes absorbants soient li-
bres.
EXCRÉ'I‘lON&
C'est par une espèce de transpiration que
s’eï¬â€˜ectue cette fonction qui a lieu à toutes les
parties du végétal; ces excréta‘ons sont des Imi-
les, des résines, des bananes, etc., etc., et certaine
acides.
MALADIES.
Les végétaux sont sujets à des maladies locales .
et générales .- sont rangés, 4†cas, les plaies, les
ulcères, etc.; 2‘ cas, l'éla‘olemanl, la jaunisse, etc.
MORT.
La durée de la vie n'est pas moins variable
chez le végétal que dans les animaux; quelques
petits cryplogones ne vivent que quelques jours;
divers arbres vivent plusieurs siècles, le végétal
ne meurt que partie par partie.
‘
_ 49 _.
La putréfaction végétale forme en grande
partie le terreau qui fertilise le sol et le rend
propre à nourrir d'autres plantes.
Les plantes, de même que les animaux, pos-
sèdent un principe qui échappe à nos sens, mais
qui ne peut être nié par tous les hommes qui
reconnaissent l'action énergique des médica-
ments homæopathiques.
Aujourd'hui, il n'y a que l'ignorance et la
cupidité qui peuvent mettre en doute cette
puissance qui existe chez tous les êtres animés
et inanimés. ‘
Le docteur Mure, grand médecin et grand phi-
losophe, n'a point redouté d'aborder de front
ce problème capital, en rejetant de côté l'idée
monstrueusement vulgaire et ignorante de
l'assimilation, en créant une nouvelle loi de dy-
namisme vital et de loi physiologique (l ).
« Le corps n'augmente pas de volume en raison
c des aliments ingérés. » Ce n'est donc pas aux
différents aliments que nous devons attribuer
le développement de notre corps, de même
que le végétal ne doit point à l'eau ou à l'humi-
dite' tous ses phénomènes de végétation, ses
parfums et les resplendissantes couleurs de
ses fleurs.
(l) Voir le livre de l'Anatomie, page ‘28.
.... 50 ..
L'aliment, chez l'homme et chez l'animal,
n'est point autre chose qu'une cause de réac-
tion ; l'eau et l'humidité agissent de même dans
le règne végétal.
VOCABULAIRE
nss TERMES LES PLUS usrrES EN eormm:
Acs. -— Période de développement dans la-
quelle se trouvent les plantes.
Amours. «- Plantes qui parcourent leur '
période de végétation dans le cours dame au-
née, depuis la germination jusqu'à la fructifi-
cation, puis elles périssent; tels que les fleurs,
les fruits, etc.
ARBRE. -— Nom que l'on donne Vulgairement
à tous les végétaux ligneux dont les racines
et les branches subsistent un grand' nombre
d'années.
Aasmsssw. —« Petit arbre à tige ramiï¬Ã©e
dès la base, et rivalisant presque par sa vi-
gueur et son élévation avec les arbres ordi«
aaires.
‘ —— 52 —
Annusrn, sous-arbrisseau. —— La rue ofl’îcinale,
la vigne vierge, les clématites, etc., sont des sous-
arbrisseaux. Ses jeunes rameaux sont herba-
cés et meurent chaque année, la partie li-
gneuse persiste seule et vit un grand nombre
d'années.
Aunnocvus. — Nom que l'on donne à une
plante qui réunit à la fois les fleurs mâles et les
fleurs femelles, ou qui contient en même temps
ces deux organes.
Anrœumrrou. -— Gonflements, étrangle-
ments qu'on rencontre sur plusieurs parties
des plantes.
Anlärs,mnns. —- Filet grêle, sec et plus ou
moins raide.
Arcnsrrs. — Réunion de poils, qui entourent
les graines, les fruits de quelques plantes, par-
ticulièrement celles de la famille des synon-
thérées.
Awmu.ous. -— Productions dures et très-
acérées, que l'on remarque à la partie superï¬-
cielle du végétal.
Anssauss. — Angle formé au-dessous de l'at-
tache de la feuille au rameau, ou du rameau
lui-même sur la tige.
Aurnhas. —— Petit sac rempli de poussière
fécondante. L'anthe‘re est l'organe sexuel mâle
de la plante.
Aumsn. — On nomme aubier la partie tendre
et blanchâtre qui se trouve entre l'écorce et
le corps des arbres et des arbrisseaux. Chaque
année il se forme un nouvel aubier, celui qui
vient d'étre remplacé se change en bois.
Axa. — Partie grêle et allongée autour de
laquelle sont disposées.d'autres parties du
végétal.
Aasonrrrou. — L'absorption est l'action par
la vertu de laquelle les plantes s'approprient
les sucs nécessaires à leur nutrition. 0
Asmmcmt’sas. — Famille de plantes oliliace'es
semblable à l'asperge.
Arocvuï¬as, — Famille de plantes dicotylé-
dones; les plantes de cette famille contiennent
un suc blanc etlaiteux, la noix vomique, la fève
de Saint—Ignqce, la couleuore'e, l'augusture, etc..
sont des apocynées.
Brsmuusua. -— Qui revient tous les deux ans.
Plante dont la durée de la vie est de deux
années.
Bars. — Lignum des botanistes. — Substance
ï¬breuse, dure et compacte, à ï¬laments et Ã
écorce formant la racine, le corps, le tronc et
les branches d'un arbre ou d'un arbuste.
Bnaucars-nanmux. -— Les branches sont les
bras de l'arbre, elles supportent les rameaux
-54-
(petites branches), les feuilles, les bourgeons,
les fleurs, les fruits, etc.
Bouacsous, sourous. «- Corps qui se déve-
loppe sur différentes parties des végétaux. —-
Boulons, petit corps rond, ovale ou conique,
recouvert de petites feuilles ou d'écailles, se
couvrant mutuellement; les boutons renfe&
ment les branches, les feuilles et les fleurs
avant leur développement.
BAIg. —Nom que l'on donne généralement
à tous les fruits charnus qui n'offrent pas de
loges distinctes, et dont les graines sont épar-
ses dans la pulpe. '
Bnacrï¬ss. — Feuilles petites qui naissent
avec les fleurs. '
Boue. — pourtour ou lisière qui joint les
parties planes les unes sur les autres. ou bor-
dure des parties d'une plante, telles que co-
rolles, feuilles, fleurs, etc. On dit: cette co-
rolle est belle et ridée sur les bords.
Buss. — Racine oblongue composée de
plusieurs peaux appliquées les unes sur les
autres, et emboîtées pour ainsi dire les unes
dans les autres.
Cuassrrrcnrou. — Méthode ou rangement des
plantes, soit par espèce ou par famille.
. Comma. -— Partie de la fleur qui enveloppe
les organes de la fécondation. La corolle sert
J
_.55_
aussià protéger, à garantir les parties de la
fructiï¬cation des affections auxquelles elles
peuvent être sujettes et tombe aussitôt que la
fécondation est avancée.
Cnorssmcn. — État de la plante qui croit,
premier &ge.
COULEUR. — Nuance plus ou moins vive des
fleurs et principalement de leur corolle.
Corrnï¬oons. «Partie de la graine distincte
de l'embryon qu'elles enveloppent, ou espèces
de lobes épais et charnus. Les cotylédons sont
des espèces de mamelles qui nourrissent la
plante naissante a mesure que la plante gran-
dit. Les cotylédons diminuent, dessèchent et
meurent.
CALIGE. — Enveloppe qui renferme les or«
ganes sexuels, le pistil et les étamines.
Cnsm. ‘— Substance de certaines plantes,
tels que champignons ou fruits, feuilles, ra-
cines, etc.
Cêrtäs. -—- Bords ou parties latérales de la
feuille.
Crans ou cmnas. -« Appendices particuliers
ï¬lamenteux, simples, en rameaux, roulées
quelquefois en spirales; on les appelle aussi
vrilles, et servent de mains aux végétaux.
Connues communs. — Feuillets situés à la
partie intérieure de l'écorce de l'arbre en troi-
sième partie de l'écorce; on nomme aussi
-56...
couches ligneuses, celles dont se compose le
tronc d'un arbre et indique par leur nombre
celui des années de l'arbre. r
Curcomcï¬as. -— Famille de plantes laiteuses
et à fleurs composées; la chicorée et les laitues
appartiennent à la famille des chicoracäes.
DÉVELOPPEMENT. -— Marche en croissance
d'une plante depuis sa naissance jusqu'Ã sa
vieillesse. .
Dam-‘m. — Durée de la vie. La plante est an-
nuelle, bisannuelle. vivace ou ligneuse.
Dt:ror.mrrou. — Chute des feuilles des plantes
ligneuses.
Dtzrtxmsssnaur. — Maladie ou état d'une
plante languissante. Vieillesse de la plante.
Troisième âge.
Duvsr. — Poils très-ï¬ns et soyeux qui recou-
vrent la surface de certaines plantes.
Éconca. — Enveloppe ou vêtement extérieur
qui recouvre les plantes; elle est composée de
l'e‘pùlerme, du tissu cellulaire, des couches corti-
cales et du liber. Si on enlève l'écorce d'un
arbre ou arbrisseau, il est en danger de mort;
enlever l'écorce d'un arbre, c'est interrompre
toute communication entre les feuilles et les
racines, et par conséquent priver celles-ci des
sucs élaborés nécessaires à leur existence.
__ 57 ..
Ecmuæs. — Lames'petites, sèches, coriaces,
quelquefois coloriées qui recouvrent et pro-
tègent quelques parties des plantes.
EFFLORESCENT, efflorescente. — Qui est en voie
de floraison, se dit aussi de certains champi-
gnons.
Errorsusur. -— Maladies qu'éprouvent les
plantes lorsqu'elles sont privées d'air ou de
lumières. ' '
Ermoursssusur. -— Époque à laquelle une.
fleur ouvre et déploie ses pétales, ou bien ou-
verture de la corolle d'une fleur.
Ermsnns. — Transparente et incolore, cette
membrane recouvre toutes les parties du vé-
gétal et se trouve directement exposée à l'ac-
tion de l'air, et, par conséquent, protège les
arbres contre toutes espèces d'atteintes.
Érur MÈDULLAIRE. -— Fibres parallèles qui ser-
vent d'enveloppe à la moelle et tapissent la
couche. la plus centrale du bois. L'étui médul-
laire s'organise dès l'instant de la germination.
On se sert aussi du nom étui pour désigner
l'enveloppe des bourgeons.
EXOTIQUE. -— Plantes d'un autre pays que
celui dans lequel 'on les cultive. Ainsi, les pal-
mz'ers, les aloês, etc., sont des plantes exotiques.
Érsumss. — Organes sexuels mâles des vé-
gétaux p/canéeroganæs, situés à l'intérieur des
enveloppes florales.
....5g..
Eruws. — Pousses aiguës très résistantes si-
tuées le long des branches des arbres ou ar-
brisseaux.
Ennnvcnv-csnus. — Premier développement du
végétal naissant. C'est sur l'ovule que se forme
l'embryon; il est uni à la plante mère par un ï¬l
utriculm'm nommé suspenseur.
Flicoumrrom -— Acte par lequel le pollen ren-
fermé dans les anthércs des étamines de la plante
rejoint le pistil, puis dans l'ovaire, pour donner
la vie aux ovules qui l'aspirent.
Fsrms. -— Expansion membraneuse, verte
et mince, ordinairement plane, naissant sur la
tige et les rameaux et sortant immédiatement
de la racine des plantes. La feuille est l'organe
principal du végétal et le plus important de
tous. 7
FEUILLAGE. — Ensemble de toutes les feuilles
qui sont adhérentes aux rameaux des arbres.
Frum.ss rmuonmms. — Premières feuilles de
l'embryon qu'elles nourrissent pendant la ger-
mination.
Fmmsou.— Action ou moment auquel la
plante commence à épanouir ses fleurs.
Fnsuns. -—- Ensemble des organes reproduc-
teurs, composé du calice, de la corolle, des
étamines, du pistil et des nectaires. Leur dis-
position la plus ordinaire est celle-ci: le pistil
_59_
est au centre de la fleur, les étamines autour du
pistil, la corolle en dehors des étamines, et le
calice environnant toutes les autres parties.
Fn.rr. — Filament, partie de l'étamine qui
supporte Panthère.
Fouarrom, FEUILLAISDN. -v-. Disposition des ‘
feuilles dans les boutons de la plante ou époque
du développement des nouvelles feuilles.
Fnucrrrrcsrrou. — Ensemble des phénomènes
qui produisent la formation du fruit.
Fnurr. -— Corps résultant des ovales trans-
formés en graine par la fécondation, composé
de parties principales en essentielles: le péri-
carpe et la graine.
GÉOGRAPHIE communs. —- Science qui a pour
but la connaissance de la distribution, de l'hu-
bitation et de l'acclimatation des végétaux sur
la surface du globe.
Gannrmrrou. —- Puissance végétative par la-
quelle la graine commence son premier déve-
loppement. .
Gnsuva. -— Semence que les plantes fournisw
sent pour la reproduction de l'espèce.
Gamme. -— Assemblage de fruits ou de fleurs,
disposés par étages et portés par des pédon«
cules simples et ramiï¬Ã©s sur un axe commun.
Guunas. -— Petits corps vésiculeux de formes
variées, destinés à la secrétion.
— 60 —
Hampe. --- Support des fleurs qui naît de la
racine et remplace la tige de laquelle il n'a
point de ressemblance en ce qu'il ne porte pas
de feuilles.
Iïsnnomsnrou. -— Recherches dans un pays
de plantes de diverses familles.
Hsnmsns. — Collection de plantes desséchées
et placées entre des feuilles de papier, servant
à l'étude de la botanique.
Hsrsss. — Plantes dont la tige meurt tous
les ans et qui périssent entièrement au bout
d'une, deux ou trois années.
HERMAPHRODITE ou aunnocvun. -— Se dit des
plantes qui renferment les organes mâles et
femelles, c'est à dire les étamines et les pislils.
HORLOGE ns nons. — Remarque faite sur cer-
taines fleurs dont l'épanouissement a lieu soit
la nuit ou le jour. Imaginé et observé par
Linné.
lussnrrou. -—- Désignation de l'endroit de la
fleur auquel sont attachés la corolle, les étamines,
etc.
JARDIN uoramgus. —Lieu dans lequel se trou-
vent rangées par ordre de famille des plantes
de toutes sortes d'espèces.
Joucacï¬ss. — Famille de plantes qui com-
prend les joncs. ‘
-—6l-æ
Lmmsux. —- Plante qui a la nature, le teint et
la consistance du bois. '
LIBER, LIVRET. — Couches intérieures de l'é-
corce, voisines du bois blanc ou aubier. Dans
l'antiquité, les savants de cette époque se ser-
vaient du liber de certains arbres pour écrire,
c'est de ce mot que l'on a fait celui de livre.
Lmï¬as. — Famille de plantes qui tire son
nom'de la forme de la corolle.
MÉTHODES, CLASSIFICATIONS, SYSTÈMES. — Ordre
ou arrangement d'après les principes ou les
observations des différents auteurs. Les plantes
sont divisées par ordres, par classes, sections,
familles, genres, espèces, etc., aï¬n d'en faciliter
l'étude. Les méthodes de TOURNEFORT, de LINNÉ,
de JUSSIEU sont les trois principales. On a
nommé Tnouows l'étude de ces divers sys-
tèmes ou méthodes.
MALADIES. — Affections des plantes qui abrè-
gent leur vie.
MULTIPLICATION, aspaonucuom — L'opération
de la greffe, des semences, des boutures, des mar-
cottes, etc., est ce que l'on nomme multiplication
artiï¬cielle ou reproduction.
Mesus. — La moelle est une substance vas-
culeuse lâche et blanchâtre, située dans un
canal cylindrique, au centre de la tige des
plantes.
Nmumon.—Fonction par laquelle les plantes
absorbent les parties nitreuses de l'air ainsi
que tous les fluides nécessaires à son dévelop-
pement.
NmvmÅ’s. --— Fibres ou ï¬lets saillants par-
courant la surface des feuilles, des pétales de
certaines plantes.
Nsurmms. -- Petit organe de secrétion de
certaines fleurs, contenant le suc recherché
‘par les abeilles pour la composition de leur
miel.
Nscmus, sue. —- Suc liquide et miellemt se-
crété par certaines plantes, Contenu dans la
plante elle-même ou dans un de ses organes.
Onuuu. — Emanation continuelle qui s'élève
des plantes et frappe agréablement ou désa-
gréablement notre odorat.
Oucmas. —- Les organes des végétaux se di-
visent en deux classes : llo ceux de la végélaäobn,
spécialement destinés à la vie : la racine, la tige
et les feuilles; 2° ceux destinés à la Vie de l'es-
pèce ou reproduction —: la fleur et le fruit.
ORGANISATION- —— Ensemble des parties des
Végétaux qui concourent à les faire naître, vivre,
reproduire et mourir.
Ûnamocuurme — Description et histoire des
progrès de la botanique. Étude anatomique
-63m
des organes, des tissus et de leurs nombreuses
modiï¬cations.
Ovmas. -——- Partie inférieure du pistil ou de
la feuille carpellaire, qui renferme les rudi-
ments de la graine, qui se transforme plus tard
en fruits.
Ovucn. -— Graine contenue dans l'ovaire non
encore fécondée. '
Onsuurkass -—- Famille de plantes regardée
comme très-remarquable à cause de la dispo-
sition de ses fleurs en parasol.
Paruorounæ pas maurss. — Connaissance et
recherche des maladies et affections qui affec-
tent les plantes.
Primeurs. — Espèce de support propre à cer-
taines parties des plantes, les aigrettes, les
glandes et les molaires ne sont que des pédi-
cules.
Pnœumææ, murs. —- Vulgaiiuæmsnt nommé
4a queue d'une fleur ou d‘un fruit, est le sup-
port d'une ou de plusieurs fleurs ou d'un fruit.
Pï¬raus. — Nom qu'on donne à chacune des
pièces qui composent une corolle et lors-
qu'elles sont‘bien distinctes les unes des autres.
Paaeucuvus. -— Substance spongieuse, molle,
formée d'un tissu cellulaire, ordinairement
colorié en vert; cette substance est fort abon-
dante dans les feuilles et forme quelquefois une
... 54 _
épaisseur très-remarquable, telle que dans les
feuilles des aloes.
Pï¬mcmrs. -— Charnu ou capsulaire, le pé-
ricarpe est la partie du fruit qui enveloppe et
protège les graines. '
Ptmvow. —- Support situé à la base de la
feuille, de même que le pédoncule est le sup-
port de la fleur ou du fruit.
Pnvrowcm. — Connaissance, traité ou étude
de la botanique, discours on science des vé-
gétaux.
Pnvroemrms, pnvroouoms. — Détermination
des parties qui composentles végétaux, étude
sur leurs particularités, leur patrie, leurs
mœurs ainsi que les usages auxquels elles peu-
vent servir.
PHYSIOLOGIE DES PLANTES. — Étude des fonc-
tions où des phénomènes qui entretiennent'la
vie en elles.
PLANTE, VÉGÉTAL. — Corps organique doué
de vie, et qui n'est point dépourvu de mouvement
volontaire et du sentiment, comme le prétendent
la plupart des botanistes.
PISTIL. -— Organe femelle des végétaux,
composé en un tuyau creux, situé au milieu
de la fleur et qui est destiné à recevoir le pol-
len des étamines pour opérer la fécondation.
Le pistil est composé de l'ovaz're, du style et du
stygmate.
..55_
Pmcsura. — Partie interne du péricarpe Ã
laquelle tient la graine. On le nomme encore
trophosperme, ce qui signiï¬e nourricier de la
graine.
POLLEN, poussière se'mimle. -— Assemblage
de comencul&s utriculaires jaunes ou blanchâ-
tres contenues dans Panthère et ayant l'aspect
d'une poussière très-ï¬ne, chaque grain con-
tient toutes les propriétés fécondantes des
fleurs.
Pwuurs. — Partie de l'embryon qui sort du
.cotylédon qui est destiné à devenir tige.
PLANTULE. — Est ce que l'on nomme le plus
ordinairement le germe. La plantule est l'em-
bryon végétal au moment où il commence Ã
se développer par l'efl‘et de la germination.
PouÈs. — Petits oriï¬ces et ouvertures im-
perceptibles dont les parties vertes des végé-
taux sont criblés, servant à la transpiration
ou excrétion des plantes et au passage des
sucs, des gaz que les vaisseaux sévaux aspi-
rent de la terre.
Pur‘zrmmrsou. — Disposition des feuilles dans
le bourgeon avant son développement, ou
d'une fleur avant son épanouissement.
PULPE. — Substance molle, charnue, formée
principalement de tissu cellulaire; la pulpe
constitue en grande partie la chair du fruit.
5
_ 53 ..
Pour. -——- Allure ou maintien de chaque
plante.
Prrfzsmltrs, pe'péracées. — Famille de plantes
voisisine des urlicées qui a pour type le genre
pommes‘.
PsrsvËaacï¬ss. -—— Famille de plantes dont
l'un des genres principaux est le pavot.
Recrus. — Pertie qui maintient le végétal
continuellement en rapport avec la terre et
sert tant à ï¬xer la plante au sol qu'à puiser
sa nourriture. — La racine croît en sens in-
verse de la tige.
‘Rumeus. -— Petite racine de l'embryon.
Rassrous, rejets. — Nouvelles pousses ve-
nant du tronc ou de la tige d'une plante.
Roums.-—Marques ou taches rougeâtres que
l'on remarque sur quelques plantes, princi-
paiement sur ‘les feuilles et les tiges.
Sève. —— Circulation d'un liquide continuel-
lement en mouvement chez tous les végétaux,
descend et monte perpétuellement, entretient
in vie'et participe à l'accroissement des bran-
rires, des ‘bourgeons, des feuilles, des fleurs, des
fruits, etc... La sève est le sang des plantes.
Srvcumæ. — Extrémité supérieure du pistil.
Souusæ. -- Partie la plus élevée d'une
plante, extrémité supérieure de la feuille.
.... 67 __
STÉPULE v-—v Petite feuille supplémentaire
qui se rencontre à la base de certaines feuilles
ou du pétiole.
Suaracs. «- Les feuilles des plantes ont deux
surfaces : une supérieure et l'autre inférieure.
STYLE. -—Filament, grille ou loge des vais-
seaux très-déliés dont l'usage est de recevoir
et de diriger les macicales polémiques sur les
ovazres.
SUCCULENT. -——Qui se compose presque en-
tièrement de tissu. cellulaire et dont les aréoles
sont pleines de suc.
Suc, ascun, — Liquide obtenu par la pres-
sion ou distillation d'une substance végétale.
Souusm.— Plantes dont une partie quel-
conque se plie ou se ferme soit la nuit ou le
jour.
SEXE. — Les plantes généralement renfew
ment les deux sexes dans toutes leurs fleurs,
et sont alors hermaphrodiæs. D'autres ne sont
que mâles, d'autres ne renferment que les
organes femelles, et enï¬n d'autres neutres ou
lnsexées.
SÉMINAT&ON — Semis naturel ou dispersion
des graines.
SEMENCE ou SEMAILLE. — Grains ou graines
réservées pour perpétuer l'espèoe a l'aidc du
semw.
Sscuï¬uom — Espèce de transpiration par
._.63_.
I
laquelle les plantes rejettent au dehors des
huiles, des résines, des gommes, etc.
Scuoruummï¬ss. — Famille de plantes dico-
tyh‘donäes , renfermant des végétaux herbacés
et quelquefois des arbustes. On attribue aux
plantes de cette famille la vertu de guérir les
écrouelles.
' SOLANÉES. — Famille de végétaux dicotylé-
atones, corolle monope'lale, hypogyne, sotanée par-
meulière. Nom donné à la pomme de terre.
Txxouours, rAxowcm. —— Science des clas-
siï¬cations des plantes, soit par familles ou
par espèces.
TIGE. —‘ Partie du végétal qui s'élève de
terre et croît en sens opposé de la. racine. La
tige produit et supporte toutes les autres par-
ties de la plante.
Tmusrmrrou. — Exhalaison qui s'opère Ã
la surface des végétaux. Les feuilles sont à la
fois les organes de la transpiration et de res-
piration.
Trous — Corps principal d'un arbre, ou la.
tige considérée sous les branches. Le tronc se
compose de l'écorce, de l'aubier, du bois et de
la moelle. .
TISSU CELLULAIRE. — Enveloppe herbacée sem-
blable au parenchyme des feuilles, et fait par-
tie del'écorce.
.. 69 __
TUBE. -— Nom que l'on donne à toutes par-
ties en forme de cylindre et ouverte par une
extrémité.
TUNIQUE. - Pellicule qui enveloppe les or-
ganes ou certaines parties des végétaux comme
il est facile de le voir chez l'0gnon, qui est
formé de plusieurs tuniques superposées les
unes sur les autres.
TUMEURS. — Ou loupe des végétaux, est une
extravasion de liqueurs végétales dans une
ou plusieurs parties.
Umssxususs. -—» Sont des fleurs qui ne ren-
ferment point les deux sexes et n'ont que des
étamines seules ou un pistil seul. .
Uarrctäas. — Famille de plantes du type et
du genre ortie. La pariétaire, le houblon, le chan
are, le poiorier, etc., font partie de cette fa-
mille.
VAISSEAUX. -—Tubes, veines ou anthe‘res, ser-
vant à la circulation des sacs de la plante.
VÉGÉTAL. -— Voyez plante, page 61;.
VÉGÉTATION. -— Ensemble et développement
successif de toutes les parties constituant la
vie d'un végétal.
VALVES. -—. Compartiments, portes ou pièces
composant les loges de la graine.
VEILLE DES PLANTES. -— Se dit des heures aux-
quelles les fleurs s'ouvrent, restent épanouies
et se ferment. '
V mus-muses. — Filets simples ou rameaux,
roulés, tortillés en spirale, a l'aide desquels
plusieurs plantes parviennent à . grimper en
s'attachant aux corps voisins.
VIVACE. -—- Se dit des plantes dont la tige se
renouvelle chaque année et dont la vie dure
plus de trois ans. L'aristoloche, la violette,
la garance, etc., sontdes plantes vivaces.
A présent nous continuerons à examiner
les différentes plantes dont nous devons nous
servir pour le développement des lucides ou
magiciés. Ces plantes sont au nombre de vingt
et une, savoir:
Famille des Pmmmnss. PIPER cusnns.
(Poivre cubèbe.)
Fait partie des urtivées de Croît dans l'lnde. Ce sont ses
Jussz‘eu. fruits que l'on emploie; ses
Employé en médecine comme graines sont de la grosseur d'un
excitant très-énergique. pois, noirâtres, ridées comme le
. poivre ordinaire. On y trouve
une résine semblable à celle du
copahu.
Idem. PIPER mesure.
(Le poivre.)
Même emploi que le précé- Le poivrier est un arbuste qui
dent. croît dans l'inde comme le poi-
vre cubèbe; on en emplois les
fruits. Les graines d'une couleur
jaunâtre passent dans le com-
merce sous le nom de poivre
blanc.
_74__
Asramcmgus.
Les propriétés de cette famille
sont légèrement diurétiques.
“faiblit l'actinite‘ de cœur et
de la circulation.
Scnopnumnœræs.
Agit d'une manière très-éner-
gique sur le système nerveux.
C'est un poison violent.
Larme.
Stimulant très-énergique; agit
sur le système nerveux.
Idem.
;.1—
Employé dans les ï¬Ã¨vres
nerveuses.
:.:. SOLANÉEËS.
Les plantes de cette famille
sont d'un aspect triste et sombre.
Poison narcotique, âcre, très-
violeut. JE riï¬ï¬;
.:::'!ll'tÂ
Idem‘ ' Mol,
‘Très-peu employé en méï¬e‘!
une.
Poison plus redoutable que la
belladone.
Idem.
Poison violent narcotique.
Asrxumus orrmnvaus.
(L'asperge)
Est employé comme aliment
et comme médicament.
Suc au principe actif appelé
asparagine.
DlGlTALlS runruuux.
(La digitale.)
Plante bisannuelle indigène,
dont on emploie les feuilles.