Électromagnétisme
Électromagnétisme
29 juin 2013
2 Le dipôle électrostatique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
4 Condensateurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
5 Énergie électrostatique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
8 Le champ magnétostatique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6
10 Le dipôle magnétostatique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9
11 Équations de Maxwell . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10
12 Énergie électromagnétique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11
1 Le champ électrostatique
❒ Constantes fondamentales – ε0 est la permittivité du vide, et on a les valeurs suivantes
1
ε0 = 8, 85 · 10−12 F · m−1 et = 9 · 10−3 F−1 · m (1.1)
4πε0
1
2012/2013 Formulaire : électromagnétisme
#” #” #” #” #” ρ(M )
∇ ∧ E = 0 et ∇M .E = (1.3)
ε0
❒ Théorème de Gauss – Le flux du champ électrostatique à travers toute surface fermée est
qint
Φ= (1.4)
ε0
#” #”
❒ Équation de Poisson – En combinant les deux relations de (1.3) avec E = −∇V , on obtient
#” ρ
∇2 V = − (1.6)
ε0
2 Le dipôle électrostatique
❒ Potentiel créé – Il s’exprime de manière intrinsèque avec le moment dipolaire #”
p , ou avec le θ
des coordonnées polaires :
1 #” #”r p cos θ
V = p. 3 = (2.1)
4πε0 r 4πε0 r 2
1 3 p . r #” p 2 cos θ #” p sin θ #”
#” #”
#”
E= p =
r − #” ur + uθ (2.2)
4πε0 r 3 r2 4πε0 r 3 4πε0 r 3
#”
❒ Action d’un champ uniforme – L’action d’un champ E uniforme sur un dipôle se traduit par
un torseur mécanique dont les composantes sont :
#” #” #” #”
F = 0 et M = #”
p ∧E (2.3)
❒ Énergie potentielle – Le système de forces de (2.3) dérive d’une énergie potentielle, et la formule
reste vraie même si le champ n’est pas uniforme :
( #”
− #”
p .E si le dipôle est permanent
Ep = #” (2.4)
− 21 #”
p .E si le dipôle est induit
2
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#” ∂ ∂ ∂
❒ Cas d’un champ non uniforme – Si l’on note #”
p .∇ = px ∂x + py ∂y + pz ∂z et O le milieu du
dipôle, alors
( #” #”
#” #” #” ∇( #”
p .E) si le dipôle est permanent #” #”
F = ( #”
p .∇)(E) = 1 #” #” #”
et M (O) = #”
p ∧ E(O) (2.5)
2 ∇( p .E) si le dipôle est induit
❒ Champ au voisinage – Le champ électrostatique au voisinage direct d’un conducteur est, d’après le
théorème de Coulomb, avec #” n le vecteur normal à la surface du conducteur et σ la densité surfacique
de charge au voisinage du point considéré,
#” σ #”
E= n (3.2)
ε0
❒ Pression électrostatique – Les forces exercées par les charges sur la surfce d’un conducteur et
#” #”
qui tendent à le dilater peuvent se mettre sous la forme dF = Pe dS où la pression électrostatique est
σ2
Pe = (3.3)
2ε0
❒ Capacité – La charge totale d’un conducteur seul dans l’espace est relié à son potentiel par la
capacité, coefficient purement géométrique :
Q = CV (3.4)
❒ Capacité d’une sphère – Pour un conducteur sphérique de rayon R seul dans l’espace,
C = 4πε0 R (3.5)
4 Condensateurs
❒ Capacité – La capacité C d’un condensateur est définie par la relation
Q1 = C(V1 − V2 ) (4.1)
3
2012/2013 Formulaire : électromagnétisme
❒ Condensateur plan – La capacité d’un condensateur plan comportant deux plaques d’une surface
S séparées d’une distance e est
ε0 S
C= (4.4)
e
2πε0 h
C= (4.5)
R2
ln R1
5 Énergie électrostatique
❒ Énergie d’un système de deux charges ponctuelles – En calculant δWes et en le mettant
sous la forme d’une différentielle totale, on trouve
q1 q2
Ues = + cte (5.1)
4πε0 r
❒ Système de plusieurs charges ponctuelles – Si Vi est le potentiel crée par les charges j 6= i
et vu par i, alors
1X
Ues = q i Vi (5.2)
2
❒ Systèmes de conducteurs seuls dans l’espaces – Si Qi est la charge totale d’un des conduc-
teurs et Vi son potentiel, alors
1X
Ues = Q i Vi (5.4)
2
❒ Énergie d’un condensateur – L’énergie électrostatique d’interaction entre les charges des deux
plaques d’un condensateur de capacité C est
1 1 Q21 1
Ues = Q1 (V1 − V2 ) = = C(V1 − V2 )2 (5.5)
2 2 C 2
❒ Énergie d’un dipôle permanent dans un champ extérieur – Elle est égale à
#”
Ues = − #”
p .E (5.6)
4
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1 #”2
ues = ε0 E (5.7)
2
∂Ues ∂Ues
Fx = et M∆ = (5.9)
∂x Vi ,Vj
∂θ Vi ,Vj
|qB|
ωc = (6.2)
m
5
2012/2013 Formulaire : électromagnétisme
∂ρ #” #”
+ ∇. j = 0 (7.3)
∂t
❒ Loi d’Ohm locale – Dans un conducteur ohmique, on a en tout point avec σ la conductivité
électrique du matériaux
#”
= σE
#” (7.5)
df ∂f #”
= + #”
v .∇f (7.6)
dt ∂t
alors
σ0
σ= (7.8)
1 − iωt
8 Le champ magnétostatique
❒ Conservation de la charge – Puisqu’en statique les grandeurs ne dépendent pas du temps, la
relation de (7.3) devient
#”
=0
∇. #” (8.1)
❒ Loi de Biot et Savart – Toute répartition de courant crée en tout point M de l’espace le champ
# ”
magnétostaique ci dessous, avec #”
r = PM :
#” µ0
˚
#” #”
r
B(M ) = j (P ) ∧ 3 dτ (8.2)
4π r
6
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#” #”
❒ Première équation locale de B – Cette équation porte sur la divergence de B :
#” #”
∇.B = 0 (8.3)
#” #”
❒ Jauge de Coulomb – B est égal au rotationnel d’un potentiel vecteur A, qui est défini à un
#” #” #”
gradient près. En rajoutant la condition de jauge ∇. A = 0, on trouve une expression de A qui vérifie
#” #” #” #” #”
∇ ∧ A = B et ∇. A = 0 :
˚ #”
#” µ0 j (P )
A= dτ (8.4)
4π r
#” #” #”
❒ Équation vectorielle de Poisson – Pour une jauge A vérifiant ∇. A = 0, donc en particulier
pour la jauge de Coulomb, on a
#” #”
∇2 A = −µ0 #”
(8.5)
#” #” #”
❒ Deuxième équation locale de B – Elle porte sur ∇ ∧ B :
#” #”
∇ ∧ B = µ0 #”
(8.6)
❒ Théorème d’Ampère – Pour toute courbe Γ fermée orientée, si Ie est l’intensité embrassé par Γ,
alors ˛
#” #”
B.dℓ = µ0 Ie (8.7)
Γ
#”
❒ Relation de passage – Si #” n est dirigé de 1 vers 2, la relation de passage pour B à travers une
surface parcourue par un courant est
#” #”
B2 − B1 = µ0 #”
S ∧ #”
n (8.8)
#”
❒ Calcul de B pour un circuit plan – Si on considère un circuit plan filiforme parcouru par une
intensité I, alors le champ crée par cette distribution de courant en un point M du plan du circuit est
µ0 I dθ #”
˛
#”
B(M ) = uz (8.9)
4π r
❒ Champ crée par un fil rectiligne infini – Soit un fil rectiligne uniforme porté par u#”z et
parcouru par une intensité I. Une application du théorème d’Amprère donne
#” µ0 I #”
B(M ) = uθ (8.10)
2πr
❒ Champ crée par une spire circulaire en son centre – Le champ au centre O de la spire de
rayon R parcourue par une intensité I est, d’après (8.9)
#” µ0 I #”
B0 (O) = uz (8.11)
2R
7
2012/2013 Formulaire : électromagnétisme
❒ Champ crée par une spire circulaire sur son axe – Avec la même situation que (8.11), si
# ” # ”
on repère un point M sur (Oz) par l’angle θ = (M O, M D) où D est un point de la spire, alors
#” #”
B(M ) = B0 sin3 θ (8.12)
❒ Champ créé par un solénoïde – Soit un solénoïde d’axe (Oz), de densité linéique de spires n
parcouru par une intensité I, et M un point de l’axe. Si θ2 et θ1 sont les angles que forment l’axe avec
# ” # ”
M P1 et M P2 , P1 et P2 étant sur les extrémités du solénoïde, alors
#” µ0 nI
B(M ) = (cos θ2 − cos θ1 ) #”
uz (8.14)
2
❒ Solénoïde infini – Un solénoïde infini d’axe (Oz), de densité linéique de spire n parcouru par une
intensité I crée en son intérieur un champ magnétostatique uniforme égal à
#”
B = µ0 nI #”
uz (8.15)
# ” #”
EH = − #”
v ∧B (9.1)
#” #”
❒ Loi de Laplace – Un élément de courant I dℓ placé dans un champ B subit une force de Laplace
d’expression
#” #” #”
dF = I dℓ ∧ B (9.2)
❒ Moment sur un circuit filiforme – Le moment global exercée par la force de Laplace sur un
circuit filiforme parcouru par une intensité I s’exprime en fonction du vecteur surface définie par la
courbe fermée du circuit :
¨
#” #” #” #” #”
M = I S ∧ B où S = dS (9.3)
8
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❒ Pression magnétostatique – Un élément de surface parcouru par un courant est soumis à une
force dérivant d’une pression dont le sens va du côté de la surface où le champ n’est pas nul, vers le
côté où le champ est nul. La pression en question est la pression magnétostatique est est égale à
µ0 jS2
Pm = (9.5)
2
❒ Théorème de Maxwell – Lorsqu’un circuit filiforme parcourue par une intensité I constante se
#”
déplace de 1 vers 2 dans un champ B stationnaire, alors le travail des forces de Laplace durant ce
déplacement est
WL = I(φ2 − φ1 ) (9.6)
❒ Énergie potentielle associée – Sous les mêmes hypothèses que (9.6), les forces de Laplace
dérivent d’une énergie potentielle
Ep = −Iφ (9.7)
❒ Théorème des travaux virtuels – En envisageant un déplacement virtuel d’un circuit à intensité
constante et champ stationnaire, on trouve
∂φc ∂φc
Fx = I et M∆ = I (9.8)
∂x ∂θ
10 Le dipôle magnétostatique
#”
❒ Moment magnétique – Une boucle de courant de vecteur surface S parcourue par une intensité
I possède un moment magnétique
#” #”
M = IS (10.1)
#” µ0 # ” #”
r
A= M∧ 3 (10.2)
4π r
#” µ0 M 2 cos θ #” µ0 M sin θ #”
B= ur + uθ (10.3)
4π r 3 4π r 3
#”
❒ Action d’un champ uniforme – L’action d’un champ B uniforme sur un dipôle se traduit par
un torseur mécanique dont les composantes sont :
#” #” # ” # ” #”
F = 0 et M = M ∧ B (10.4)
9
2012/2013 Formulaire : électromagnétisme
❒ Cas d’un champ non uniforme – Si l’on note O le milieu du dipôle, alors
( #” # ” #”
#” ∇(M.B) si le dipôle est permanent #” # ” #”
F = 1 #” # ” #”
et M (O) = M ∧ B(O) (10.6)
2 ∇(M.B) si le dipôle est induit
11 Équations de Maxwell
❒ Équations de Maxwell – Dans un référentiel R galiléen, une densité de charges volumique
#” #”
r , t) et une densité volumique de courant #”
ρ( #” ( #”
r , t) créent un champ E( #”
r , t) et B( #”
r , t) tels que
#” #” ρ
∇.E = Maxwell-Gauss
ε0
#” #”
∇.B = 0 Maxwell-Thomson
#”
#” #” ∂B (11.1)
∇∧E =− Maxwell-Faraday
∂t
#” !
#” #” ∂E
∇ ∧ B = µ0 + ε0
#” Maxwell-Ampère
∂t
#” #” #”
❒ Potentiels – Pour tout champ électromagnétique (E, B), il existe un couple de potentiels (V, A)
tels que
#”
#” #” #” #” #” ∂A
B = ∇ ∧ A et E = −∇V − (11.2)
∂t
#”
❒ Transformation de jauge – Si on choisit une jauge (V, A), alors une fonction φ( #”
r , t) définit
#”′
une nouvelle jauge (V , A ) par
′
#” #” #” ∂φ
A′ = A + ∇φ et V ′ = V − (11.3)
∂t
#” #” #”
❒ Équations aux potentiels – Si (V, A) vérifie la condition de jauge de Lorentz, qui est ∇. A +
1 ∂V
c2 ∂t = 0, alors on a les équations suivantes :
#” 1 ∂V ρ #”
V = ∇2 V − 2 = − et A = −µ0 #”
(11.4)
c ∂t ε0
❒ Potentiels retardés – On peut noter une jauge utile qui vérifie la condition de Lorentz. Soit
une distribution de charges et courant (ρ(P, t), #” ( #”
r , t), alors ces potentiels ont l’expression
1 ρ P, t − rc P, t − rc
˚ #”
µ0
˚
#”
V (M, t) = dτ et A(M, t) = dτ (11.5)
4πε0 r 4π r
#” #”
❒ Équations de Maxwell en complexes – Si ρ, , E et B ont des variations temporelles si-
#”
nusoïdales dans un milieu linéaire isotrope homogène, alors un passage en transformée de Fourier
donne
#” #” ρ
∇.E = Maxwell-Gauss
ε0 εr
#” #”
∇.B = 0 Maxwell-Thomson
#” #” #” (11.6)
∇ ∧ E = iω B Maxwell-Faraday
#” #” #”
∇ ∧ B = µ0 µr #” − iωε0 εr E Maxwell-Ampère
10
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#”
❒ Relation de passage de E – À la traversé d’une interface chargée, on a continuité de la compo-
sante tangentielle et discontinuité de la composante normale :
#” #” #” #” #” σ #”
E T2 − E T1 = 0 et εr2 E N2 − εr1 E N1 = n (11.7)
ε0
#”
❒ Relation de passage de B – À la traversé d’une interface chargée, on a discontinuité de la
composante tangentielle et continuité de la composante normale :
#” #”
#” #” #” BT2 BT1
BN2 − BN1 = 0 et − = µ0 #”
S ∧ #”
n (11.8)
µr2 µr1
12 Énergie électromagnétique
❒ Bilan d’énergie – En faisant un bilan global pour l’énergie électromagnétique Uem = uem dτ , en
notant p = −σuem et #”
π = #”
uem le vecteur de Poynting, on a les bilans local et global suivants :
dUem ∂uem #” #”
‹ ˚
#”
=− π .dS −
#” pdτ et + ∇. π = −p (12.1)
dt ∂t
#” 1 #” #”
p = #”
.E et #”
π = E ∧B (12.2)
µ0
❒ Énergie magnétostatique globale – Il existe une forme intégrée du résultat précédent faisant
#” #”
intervenir un potentiel vecteur A quelconque de B. Néanmoins ceci n’est valable qu’une fois intégré,
pas question d’employer cette formule différentiellement :
1
˚
#”
Ums = #”
. Adτ (12.4)
2
❒ Cas d’un système de conducteurs – Lorsque l’on déplace à intensité constante des circuits
filiformes indéformables, et si l’on note Ik l’intensité du circuit k et dφk le flux du champ magnétique
des autres circuits sur le circuit k, alors la variation de Ums au cours d’un déplacement élémentaire est
1X
dUms = Ik dφk (12.5)
2
11
2012/2013 Formulaire : électromagnétisme
#” #”
❒ Cas de Lorentz – Pour un circuit filiforme que l’on déplace à la vitesse V dans un champ B
stationnaire, on a les formules suivantes :
❒ Puissance reçue – La puissance algébriquement reçue par le dipôle électrique AB est égale à
Preçue = uAB iAB (13.4)
❒ Énergie magnétique propre – Pour un circuit entier, l’énergie magnétique liée au champ propre
du circuit est
1
Um = LI 2 (14.2)
2
❒ Bilan énergétique – En multipliant la loi d’Ohm pour un circuit filiforme seul dans l’espace par
I, on obtient
1 2
d LI + RI 2 dt = 0 (14.3)
2
2Um
L, (14.4)
I2
12
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Um,1↔2 = M I1 I2 (14.6)
#”
uem = ε0 E 2 (15.2)
❒ Épaisseur de peau – Une onde électromagnétique de faible pulsation (ω ≪ 1015 Hz) pénétrant
dans un conducteur ohmique de conductivité σ est amortie exponentiellement avec une distance ca-
ractéristique aussi appelée épaisseur de peau égale à
s
2
δ= (15.4)
µ0 σω
❒ Conductivité d’un plasma – C’est la même conductivité que celle d’un métal en domaine
ohmique : n est la densité particulaire, e la charge élémentaire, m la masse d’un électron et ω la
pulsation de l’onde qui se propage :
ne2
σ=i (15.6)
mω
13
2012/2013 Formulaire : électromagnétisme
❒ Loi de Malus – On considère un dispositif constitué d’un polariseur d’axe ∆, suivi d’un analyseur
d’axe ∆′ avec α l’angle formé par les deux axes. À l’entrée, de la lumière non polarisée et en sortie de
la lumière polarisée rectilignement selon ∆′ dont l’intensité suit la loi :
Ie = I0 cos2 α (15.7)
#” µ0 sin θ #” µ0 sin θ
E = − p0 ω 2 u θ et cB = − p0 ω 2
exp (i(kr − ωt)) #” exp (i(kr − ωt)) #”
uϕ (16.1)
4π r 4π r
❒ Puissance rayonnée – La puissance totale rayonnée par le dipôle de (16.1) à travers toute sphère
de rayon r centrée sur le dipôle est
µ0 2 4
P= p ω (16.2)
12πc 0
#” #”
k r , k i et #”
n sont coplanaires et θi = θr (17.1)
❒ Lois de la réfraction – Sous les hypothèses de (17.1), il y a aussi production d’une onde
#”
transmise de vecteur d’onde kt formant un angle θt avec #”
n tel que
#” #”
k t , k i et #”
n sont coplanaires et n2 sin θt = n1 sin θi (17.2)
❒ Réflexion en énergie – Dans la situation de (17.1), les portion d’énergie réfléchie par l’interface
et transmises sont :
n1 − n2 2 4n1 n2
R= et T = (17.4)
n1 + n2 (n1 + n2 )2
14