Séance N°4 - : TUTORAT UE Physiologie 2012-2013

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TUTORAT UE physiologie 2012-2013

Séance n°4 – Semaine du 15/04/2013


Physiologie neuromusculaire (2)
Pr. HAYOT

Séance préparée par Marion CHANCHOU et Florentin DAMBROISE (ATM²)

Le Concours Blanc 2 aura lieu le 25, 26 et 27 Avril


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Nous vous attendons nombreux

QCM n°1 : Neurotransmetteurs et synapses chimiques :


A. Un neurotransmetteur peut être alternativement excitateur et inhibiteur pour une même synapse.
B. L’intégration des potentiels post-synaptiques se fait au niveau du corps cellulaire.
C. Les catécholamines sont présentes uniquement au niveau des synapses chimiques.
D. L’hyperpolarisation de l’élément post-synaptique secondaire à la libération de neurotransmetteurs
inhibiteurs se propage grâce à des canaux voltage-dépendants.
E. Une modification de l’amplitude du potentiel d’action modifie la quantité de neurotransmetteurs
libérés.
F. Toutes les propositions précédentes sont fausses.

QCM n°2 : Les neurotransmetteurs :


A. Un neurotransmetteur au sein d’une synapse chimique donnée peut se fixer sur plusieurs types de
récepteurs en fonction de l’effet physiologique attendu.
B. L’acétylcholinestérase module la durée d’action de l’acétylcholine.
C. Des expériences ont montré qu’au sein d’une même synapse chimique la quantité de
neurotransmetteurs libérée influence la durée du potentiel d’action.
D. Classiquement, les neurotransmetteurs font l’objet d’une classification en 4 classes où les
catécholamines constituent la classe 1.
E. Le glutamate est un acide aminé inhibiteur pouvant être impliqué dans la mémoire.
F. Toutes les propositions précédentes sont fausses.

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QCM n°3 : On considère un motoneurone possédant trois dendrites, avec une synapse
sur chacune d’entre elles. Lors d’une expérience, on stimule tour à tour chaque
synapse, avec la même intensité.
On observe l’effet obtenu au niveau du collet de l’axone par la mesure de la différence
de potentiel transmembranaire (DDP) à ce niveau.
Les tracés obtenus sont les suivants (la stimulation ayant lieu au temps t = 0 ms) :

DDP (mV) DDP (mV) DDP (mV)

- 55 - 55 - 55
- 60 - 60 - 60

- 70 - 70 - 70

- 80 - 80 - 80

1,0 1,2 temps (ms) 1,0 1,2 temps (ms) 1,0 1,2 temps (ms)

Tracé de la synapse 1 Tracé de la synapse 2 Tracé de la synapse 3

A. La synapse 2 est une synapse inhibitrice alors que les synapses 1 et 3 sont excitatrices.
B. Si l’on stimule simultanément les synapses 1 et 3, cela déclenchera un potentiel d’action (PA).
C. Si l’on stimule simultanément les trois synapses, cela déclenchera un PA.
D. Si l’on stimule à deux reprises la synapse 1, avec 0,2 ms de décalage, cela déclenchera un PA.
E. Si l’on stimule simultanément les synapses 1 et 3 puis, 0,1 ms après, la synapse 2, l’action de celle-ci
empêchera le déclenchement d’un PA.
F. Toutes les propositions précédentes sont fausses.

QCM n°4 : L’organisation structurale du muscle strié squelettique :


A. Un faisceau musculaire est recouvert par son épimysium.
B. L’unité contractile du muscle est le myofilament.
C. Une myofibrille est constituée de sarcomères bout à bout.
D. La bande A du sarcomère est une zone comprenant à la fois des filaments d’actine et de myosine,
contrairement aux bandes I.
E. Les lignes Z des sarcomères correspondent aux points d’ancrage des filaments de myosine.
F. Toutes les propositions précédentes sont fausses.

QCM n°5 : L’organisation structurale des muscles striés squelettiques :


A. Un muscle strié squelettique est constitué de cellules musculaires innervées, vascularisées et
engainées dans du tissus conjonctif.
B. Une fibre musculaire est constituée de plusieurs faisceaux musculaires.
C. Le périmisium délimite les fibres musculaires.
D. L’interaction actine-myosine s’effectuant entre les myofibrilles permet la contraction musculaire.
E. Un myofilament est constitué de sarcomères mis bout à bout.
F. Toutes les propositions précédentes sont fausses.

QCM n°6 : L’unité motrice (UM) :


A. Le nombre de fibres musculaires par UM est fixe pour un individu donné.
B. Les cellules musculaires d’une même UM peuvent avoir des caractéristiques biochimiques
différentes.

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C. Les cellules musculaires d’une même UM ont des caractéristiques physiologiques identiques.
D. Une UM peut être constituée par différents motoneurones, dont l’activation progressive explique la
gradation de la force musculaire.
E. Un muscle est constitué de plusieurs types d’UM, dont la proportion peut varier en fonction de
l’activité physique.
F. Toutes les propositions précédentes sont fausses.

QCM n°7 : La plaque motrice :


A. La plaque motrice correspond à l’ensemble formé par un motoneurone et les différentes fibres
musculaires innervées par celui-ci.
B. Le corps cellulaire du motoneurone de la plaque motrice est situé dans un ganglion para-vertébral ou
pré-vertébral.
C. En absence de stimulation du motoneurone, l’acétylcholine est stockée dans la membrane des
boutons terminaux de celui-ci.
D. La téloglie correspond à des cellules de Schwann et permet d’isoler la fente synaptique.
E. L’acétylcholine d’un motoneurone excité va diffuser dans la fente synaptique pour aller se lier aux
récepteurs situés dans les replis synaptiques de la gouttière synaptique de la fibre musculaire.
F. Toutes les propositions précédentes sont fausses.

QCM n°8 : Les mécanismes de la contraction musculaire :


A. Le neurotransmetteur de la jonction neuromusculaire est l’adrénaline.
B. Physiologiquement, la propagation du potentiel d’action musculaire est unidirectionnelle.
C. Le potentiel d’action musculaire active les canaux Ca2+ potentiel-dépendants membranaires, qui vont
augmenter la concentration intracellulaire en Ca 2+.
D. L’augmentation du Ca2+ cytoplasmique entraîne sa fixation sur la myosine, qui pourra ainsi former le
pont actine-myosine pour initier la contraction.
E. L’expulsion du Ca2+ intracellulaire par les ATPases membranaires permet la relaxation par levée du
pont actine-myosine.
F. Toutes les propositions précédentes sont fausses.

QCM n°9 : Le couplage excitation-contraction :


A. Le potentiel d’action musculaire met en jeu le même type de canaux que son homologue neuronal,
mais sa propagation est plus lente.
B. Le Ca2+ libéré par le réticulum sarcoplasmique va se fixer sur l’actine.
C. La tropomyosine masque ou démasque le site actif de l’actine en fonction de la présence ou de
l’absence de Ca2+.
D. Sans ATP, la bascule de la tête de myosine est impossible.
E. Les dysfonctions dans la recaptation du Ca ++ par le réticulum sarcoplasmique peuvent entraîner des
crampes musculaires.
F. Toutes les propositions précédentes sont fausses.

QCM n°10 : Les cellules musculaires de l’organisme :


A. Elles ont toutes de l’actine et de la myosine.
B. Au niveau du cœur, elles peuvent avoir une activité électrique auto-entretenue.
C. Elles sont toutes multinucléées.
D. Le réticulum sarcoplasmique est toujours une source de calcium.
E. L’ATP est toujours utilisée comme source d’énergie.
F. Toutes les propositions précédentes sont fausses.

QCM n°11 : Les propriétés des muscles striés squelettiques :


A. L’excitabilité d’un muscle correspond à sa capacité à percevoir un stimulus et à y répondre.
B. Physiologiquement, la contraction musculaire entraîne toujours un mouvement.

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C. L’élasticité du muscle est permise grâce à des molécules élastiques du sarcomère.
D. En position anatomique, au repos, le muscle strié squelettique est à sa longueur de repos lorsqu’il est
inséré sur les os.
E. La plasticité musculaire peut permettre à un ancien PACES de retrouver, après son concours, une
musculature de grand sportif.
F. Toutes les propositions précédentes sont fausses.

QCM n°12 : La plasticité musculaire :


A. Les fibres de type 1 (rouges), à contraction lente, sont peu fatigables pour les exercices peu
puissants et prolongés.
B. Les fibres de type 2X ont un grand diamètre, sont peu vascularisées, contiennent peu de
mitochondries et sont riches en glycogène.
C. La musculature d’une personne paralysée et alitée depuis plusieurs mois sera essentiellement
composée de fibres de type 2.
D. A l’époque où il était boxeur professionnel, Mohamed Ali possédait des muscles composés en
majorité de fibres de type 2.
E. Martin et Simon, biathlètes de haut niveau, ont développé une musculature constituée
essentiellement de fibres de types 1.
F. Toutes les propositions précédentes sont fausses.

QCM n°13 : Les trois types de muscles :


A. Les muscles striés squelettiques contiennent à la fois des fibres rapides de type 1 et des fibres lentes
de type 2.
B. Le muscle strié cardiaque peut engendrer une contraction auto-entretenue.
C. La présence de fibres de type 1 au sein des trois types de muscle permet à la contraction des
muscles lisses d’être soutenue longtemps.
D. Les trois types de muscles ont en commun une activité mécanique contractile produisant de la
chaleur en utilisant de l’énergie.
E. Toutes cellules striées sont multinucléées.
F. Toutes les propositions précédentes sont fausses.

QCM n°14 : Les potentiels d’action musculaires :


A. L’activité électrique auto-entretenue de certaines cellules musculaires lisses comprend l’activité
pacemaker et le potentiel à ondes rapides.
B. Les potentiels d’action musculaires ont tous la même amplitude.
C. Les cardiomyocytes du tissu cardionecteur ont un potentiel de repos stable.
D. Le potentiel de repos d’un cardiomyocyte contractile est instable.
E. Le plateau du potentiel d’action du cardiomyocyte contractile est dû à une entrée lente du Na +.
F. Toutes les propositions précédentes sont fausses.

QCM n°15 : Réflexion sur les pathologies neuro-musculaires :


A. Dans la sclérose latérale amyotrophique, la force musculaire est normale.
B. Les signes cliniques de la sclérose en plaques (SEP) peuvent s’expliquer par une démyélinisation.
C. Initialement, le nerf et le muscle ont des structures anormales lors de pathologies de la jonction
neuromusculaire comme la myasthénie.
D. Dans la myopathie scapulo-fascio-humérale, l’électroneurogramme sera perturbé.
E. Le steppage (trouble de la marche secondaire à un déficit musculaire de la loge antéro-externe de la
jambe), peut s’expliquer par une anomalie du nerf.
F. Toutes les propositions précédentes sont fausses.

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