TheorieFinalisee09 2016 PDF
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Licensing
Vous avez dû vous procurer ce document gratuitement !
En effet, étant donné que Richard Vialle, inventeur de cette théorie, a décidé d’en faire don à l’humanité (en
accès libre sur internet), toutes informations se rattachant de prêt ou de loin à cette théorie, doivent être tota-
lement gratuit.
L’ensemble de l’œuvre sur ce support, et les dérivés sont soumis à la licence CREATIVE COMMONS dont
la désignation complète du contrat est CC-BY-NC-SA, soit de façon littéraire – BY : Attribution des
droits à Philippe Albert et Richard Vialle, NC : restriction aux seules utilisations non commerciales,
SA : Autorisation des modifications dans l’obligation que les dérivés soient proposées gratuitement au pu-
blic sous les même conditions et options CC.
Notes de l’auteur
J’ai commencé la conception de ce document en septembre 2013, et il n’est pas encore terminé.
Travaillant sur mes temps libres et sans financement, je recherche des personnes intéressées pour créer et
renforcer une équipe qui souhaitera travailler autour du sujet. Joignable par mail [email protected]
ou par les forums attachés à l’association http://promtecno.org/. Pour faire évoluer cette théorie, nous avons
besoin de votre point de vue !
Mon introduction sera une parabole qui n’est pas de moi, mais que je vais essayer de retranscrire du mieux
que je peux :
Imaginez un village où il n’y a qu’un seul point d’eau. Ce puit existe depuis la nuit des temps, personne dans
le village ne connait son histoire, mais il a toujours fourni de l’eau nécessaire pour la vie. Un jour, l’eau
commence à manquer et se dégrade de plus en plus. Malgré les conseils des scientifiques et les travaux des
plus agiles ouvriers, cette dégradation s’empire de plus en plus, jours après jours, mois après mois. Des
mesures de restriction apparaissent avec le malheur qui suit : des maladies, des violences, des combats, …
pour l’eau. Les dignitaires du village créent une police pour sécuriser ce point d’eau … Mais rien ne fait,
c’est de pire en pire !
Un citoyen décide, sans ne rien dire à personne, d’explorer les alentours du village ; il découvre, après plu-
sieurs jours de marche et d’embuches, derrière une montagne, après une sombre forêt sans fin, et des cris
d’animaux inconnus qui lui glaçaient le sang, …, une immense réserve d’eau alimentée par de multiples
sources. Cette réserve est inépuisable !
Il prend son courage à deux mains et goutte cette eau qui est excellente et d’une très grande pureté. Il en prit
quelques échantillons pour les faire analyser et gouter aux scientifiques et dignitaires du village et …
Je vous laisse imaginer la suite
Que fera-t-il ? Sera-t-il le personnage, embarqué dans un engrenage de pouvoir négatif pour exploiter ce filon
en créant un réseau complexe et soudoyé, de surveillants, d’achemineurs d’eau, de conteurs de légendes qui
font vivre les gens dans la peur et la crainte, … pour que personne ne découvre son secret ?
Ou sera-t-il ce sage, qui décide de partager et de faire profiter tout le village de cette corne d’abondance, en
créant des installations pour amener le confort à tous les villageois, de nouveaux métiers, de nouvelles con-
naissances, … dans un respect mutuel ?
Attention, Confucius a dit « une image vaut mille mots », il y a donc mille façons d’interpréter cette parabole !
Si vous vous intéressez au devenir de la planète, vous êtes conscient que l’exploitation des ressources de la
Terre Mère ne peut plus durer ainsi. Nous assistons à un changement majeur dont nous sommes les acteurs ;
soit nous subissons, soit nous agissons avec intelligence maintenant ! De toute façon, la Terre continuera sa
vie, … avec ou sans nous !
Je vous laisse découvrir cette théorie avec mon interprétation, il peut en rester 999 autres. C’est celles-ci qui
m’intéressent !
Je précise que si l’accès à cette théorie est totalement gratuit, c’est pour permettre des applications innom-
brables qui seront pour certains une sorte de retour sur investissements, et pour d’autres un moyen de sauve-
tage de l’humanité.
Préambule
Avertissement : Ce mémorandum est amené à être modifié dans le temps, pour donner des explications sur les
phénomènes rencontrées lors des expérimentations. Ces modifications se feront par ajout de suppléments.
De la même manière, des dossiers d’expérimentations pourront vous être adressé sur demande.
Il ne remet pas en cause la physique officielle, la seule chose qui change est le postulat de départ représentatif
d’une masse ; il est donc important de s’assurer du bon filtre que vous allez vous mettre pour vous représenter
une masse avant de porter un jugement sur ce document.
Je me suis efforcé d’apporter toutes les démonstrations aux équations établies et d’en tirer des interprétations
possibles ; c’est à ce moment, car l’erreur est humaine, que je sollicite votre bienveillance.
J’appelle ceci : un travail en cerveau collectif.
N’ayant pas une grande expérience de l’outil informatique, je compte sur votre compréhension pour les erreurs
de syntaxes, de tabulations, de ponctuations, d’orthographes, …
Je m’en excuse, le but recherché étant d’amener la meilleure interprétation possible.
Je compte également sur vos commentaires pour faire évoluer ce document par l’ajout de suppléments.
Dans le texte un hyperlien renvoie à l'annexe concernée détaillant la résolution mathématique d’une équation
et à la fin de l'annexe un hyperlien pour un retour au texte.
Pour suivre un hyperlien, il faut se mettre dessus avec la souris, la [main] change de forme et passe sous forme
d’un [index pointeur], il suffit de cliquer [bouton gauche] pour se rendre à l’endroit voulu.
Le but de ce document est de valider une nouvelle théorie qui débouchera sur des applications inimaginables.
Il peut y avoir des erreurs ou des incohérences ou des voies encore non explorées (je compte sur le travail en
cerveau collectif, pour apporter les modifications nécessaires). Il est maintenant en accès libre pour accéder à
une théorie permettant d’exploiter de nouveaux horizons. Il a donc pour objectif d’échanger dans cet esprit.
Je m’engage à donner toutes les informations qui sont en ma possession pour la faire évoluer.
Ce document est sujet à licence CC (cf §Licensing). En cas de réutilisation, modification et ajouts, merci de
remplir le tableau ci-contre avant toute nouvelle publication, et pensez à notifier l’auteur P.Albert !
IV.9.b Les équations capitales qui définissent le champ électrique .................................................... 129
IV.10 Comment prélever l’énergie du fluide ......................................................................................... 131
IV.10.a La masse électrostatique et la sphère d’expansion ............................................................... 131
IV.10.b Définition de la masse m1..................................................................................................... 134
IV.10.c Recherche de la fréquence de résonnance ............................................................................ 138
IV.10.d Démonstration de l’existence de la fréquence de l’électron ................................................ 145
IV.10.e Equation différentielle de l’électron ..................................................................................... 152
IV.10.f Répétition de l’exponentielle amortie via un signal carré .................................................... 172
IV.10.g Signal impulsionnel .............................................................................................................. 180
IV.11 Synthèse ....................................................................................................................................... 185
V Conclusions de l’auteur… et perspectives.............................................................................................. 191
Annexes.......................................................................................................................................................... 193
Annexe 0 – Balance Mettler Toledo, constantes physiques actuelles et théoriques .................................. 194
Annexe 1 – Equation de l’accélération volumique 4-sphère...................................................................... 197
Annexe 2 – Calcul des origines énergétiques............................................................................................. 199
Annexe 3 – Calcul pulsation d’une masse .................................................................................................. 201
Annexe 4 – Equation temporelle de la sphère d’expansion ....................................................................... 202
Annexe 4-1 – Valeurs particulières temporelles..................................................................................... 206
Annexe 5 – Equation espace fluidique « corde spatiale ».......................................................................... 208
Annexe 5-1 – Constante temporelle de décalage de départ ................................................................... 213
Annexe 6 – Ecriture du temps cosmologique fonction de R ou D .............................................................. 214
Annexe 7 – Vérification de re-bouclage des équations .............................................................................. 216
Annexe 8 – Espace fluidique relativiste ..................................................................................................... 218
Annexe 8-1 – Ecriture du coefficient de forme ....................................................................................... 219
Annexe 8-2 – Calcul vitesses volumiques aux temps particuliers .......................................................... 221
Annexe 8-3 – Calcul accélérations volumiques aux temps particuliers ................................................. 224
Annexe 9 – Explication des DL d’ordre 1 appliqués à la condition relativiste ......................................... 227
Annexe 10 – Calcul de K et démonstration de calcul du rayon terrestre .................................................. 230
Annexe 10-1 – Vérification des vitesses cibles en fonction de l’incrémentation temporelle .................. 232
Annexe 11 – Calcul de x ............................................................................................................................. 233
Annexe 12 – Calcul de la masse énergétique à l’accélération .................................................................. 234
Annexe 13 – Détermination du type de masse à l’accélération ................................................................. 237
Annexe 14 – Variation de masse en fonction de la masse au repos ........................................................... 239
Annexe 14-1 – Ecriture de la nouvelle sphère énergétique modifiée ..................................................... 240
Annexe 14-2 – Calcul de la distance des 2 centres de sphère énergétique ............................................ 242
I Introduction
Il me semble important de faire un mémorandum de cette théorie, dont voici la dernière version, afin de trans-
mettre dans la meilleure compréhension possible.
Toutes fois, je me suis permis d’apporter quelques modifications, sur l’interprétation de cette théorie.
Toutes les données ont été tirées des documents papiers et vidéos de M. Richard VIALLE, et des compléments
de ma part, que Richard VIALLE a validé.
Il a élaboré une théorie vers les années 80 qu'il a surnommé « la théorie de la masse négative » ;
Cette dénomination est un peu troublante car les conséquences de cette théorie vont au-delà de la masse. Il
aurait été judicieux de l'appeler « théorie fluidique de la 4ème dimension » ; mais là nous pourrions prétendre
partir dans des élucubrations de fiction et non de sciences. Nous resterons donc comme il l'a nommé mais il
faudra se mettre en tête qu'il ne s'agit pas que de théorie d'antigravitation, mais bien de revoir la physique
standard, relativiste et quantique sous un autre angle (et non une remise en question) ce qui peut ouvrir la
voie vers de nouvelles énergies entre autre.
Avec son accord, je me suis permis de la renommer : Théorie de l’effet VIALLE
Cette théorie a été publié dans la revue « Energie et Nature » (61 rue Paulin, BP 82, 33008 Bordeaux Cedex),
publiée en 1986 sous le titre : « Energie de l’an 2000 ? » dont il n'existe plus de publication.
Les résultats et discussions sont sur la toile avec l'autorisation de RV par le biais de différents sites et
forums (http://richard.clubvitrine.fr/ ou par une association http://promtecno.org/index.php qui a été créé pour
rassembler tous les travaux et échanger avec un forum). Il est peut-être vrai que les hébergeurs peuvent porter
à confusion ; j’espère que vous n’allez pas vous arrêter là ! L’outil informatique est un outil fantastique dont
je découvre petit à petit le potentiel.
Permettre à tout public d'avoir accès à ces informations est un gage de grande sagesse de la part de
RV ; si cela n'avait pas été fait, ses travaux seraient tombés dans l'oubli et je vous assure que cela aurait été
fort dommage. Nous pouvons assister à une refonte de la physique avec de nouvelles possibilités … J'en profite
pour remercier, ici, P. et S. entre autres qui ont fait un travail remarquable sur le net pour que cette théorie soit
accessible (leur nom n’apparait plus sur leur demande).
Si vous arrivez à vous imprégner de cette théorie, si vous en retirez la « substantifique moelle » comme
le disait si bien Rabelais, vous comprendrez la phrase de RV (que l’on retrouve dans ses notes) : « ces for-
mules, avec ce qui suit, peut guérir le cancer et toute tumeur ».
Je vous conseille de lire ce mémorandum en faisant des pauses régulières et en faisant travailler votre
imagination.
Si vous souhaitez une réponse, préférez mon adresse mail : [email protected].
Philippe ALBERT - [email protected] 9
Effet VIALLE – Version augmentée
E1 cintré en
30 secondes
E2 cintré en
2 secondes
Chaque échantillon reste un temps de 5 minutes avant chaque pesée pour avoir un équilibre de température.
La moyenne est calculée sur 3 pesées avec des orientations différentes à chaque pesée.
Les fluctuations de l’affichage de la balance entre chaque pesée, de chaque phase, sont constantes (±0,00001
g), sauf pour la dernière phase où la fluctuation est plus grande (±0,00005 g) autour de 28,46249 g.
Conclusion :
Nous nous apercevons qu'il y a perte de poids entre fiole intacte et fiole cassée. Cette perte de poids, apportée
par une énergie extérieure, est confirmée par les coups supplémentaires.
L'objectif n'est pas de mesurer cette énergie mais de mettre en évidence la dualité masse – énergie.
Après avoir fait les expériences de dualité masse- énergie, nous pouvons essayer d’appliquer l’hypothèse
d’Einstein à n'importe quel type de masse, quel que soit son volume donc :
Nous allons donc raisonner, non plus sur une représentation d'un volume massique, mais sur un volume éner-
gétique d’une masse. Nous représenterons cette énergie avec une sphère de rayon R.
Ensuite, faisons comme Einstein, considérons l’univers : Nous savons que l’univers est en expansion. Imagi-
nons une énorme sphère d’énergie représentant l’univers (ceci correspondra à 3 dimensions spatiale). Mais
cette sphère va grossir, dans le temps, mais à cause de quoi ?
A cause de forces qui viennent pousser la sphère « univers » dans toutes les directions. Maintenant, autre
question ; d’où viennent ces forces ?
Je ne vais pas rentrer dans les détails, maintenant, nous le ferons dans le chapitre 3, mais pour expliquer tout
ceci, Einstein a décrit un volume à 4 dimensions.
Voir : http://www.aim.ufr-physique.univ-paris7.fr/
Einstein, pour définir son volume à 4 dimensions a utilisé la somme (addition de 4 vecteurs, dont 1 vecteur
spatio-temporel). J’admets que c’est un peu plus complexe : https://books.google.fr/
RV a eu l’idée d’utiliser le produit d’espaces : 3dimensions x 1dimension (quand on regarde au niveau des
unités ; si nous prenons une dimension de longueur, cela ferait L3 . L = L4).
En faisant ainsi, nous faisons bien apparaître un volume à 4 dimensions 𝑅 3 . 𝐷 (chaques lettres sont définies
plus loin).
Mais il faut bien égaler ce produit à quelque chose ; RV va appliquer son raisonnement sur la masse :
La masse est intrinsèque, c’est-à-dire qu’elle est constante car elle est composée d’une quantité de matière.
Supposons maintenant, et tel est le départ de la théorie, qu'à cette sphère, nous lui associons une énergie
potentielle d'une certaine « longueur » que nous nommerons l'espace fluidique D.
Cet espace fluidique appartient à la masse considérée, donc il prend naissance au centre de la sphère R. Nous
démontrerons par le calcul, qu'au centre de la sphère, il existe une sphère minuscule que nous appelons bulle
d'expansion R0. Cette bulle correspond à la mémoire originelle de la masse au repos (m 0).
Or cet espace fluidique n'est pas de la même dimension que la sphère d'expansion. Mais si nous modifions
« le cheminement » (ou la vitesse de rétraction) de cet espace, nous allons, modifier le volume de la sphère
énergétique R (comme un ballon de baudruche mais à l'envers = plus on enlève de l'air, plus le ballon gonfle).
Le but final est de garder une masse volumique constante.
Comprenons bien que ce n’est pas l’espace fluidique qui fait gonfler la sphère d’expansion. Il contribue à son
gonflement en libérant un fluide que nous aborderons dans la troisième partie.
Le seul point commun à ces énergies est le temps t, donc, si nous diminuons D, nous augmentons R. Nous
verrons que la réciproque ne peut pas exister dans notre univers !
Chaque masse possède sa propre sphère avec sa bulle d’expansion et son espace fluidique et elles interagissent
entre elles ; c'est à dire qu'une masse infime comme une boule de pétanque crée une interaction avec la terre
ou un grain de sable avec la boule de pétanque … il en est de même pour l'échelle atomique et pour l'échelle
cosmologique.
Ici, je fais un petit aparté, pour que les représentations soient bien claires. Quand je parle de sphères énergé-
tiques, il faut bien comprendre qu’elles ne sont pas visibles et qu’elles sont attachées à une masse spécifique.
Cet ensemble énergétique est une représentation abstraite de la masse.
Si je considère un crayon, il a sa sphère énergétique qui va interagir avec la sphère énergétique papier ; je ne
considère pas la mine ni le bois qui entoure le crayon, qui ont chacun leur propre sphère contenue dans une
sphère supérieure (le crayon).
Il en est de même si je considère la terre et mars ; ces planètes ont chacune leur propre sphère. Mais si je
considère le système solaire dans la galaxie la voie lactée ; la sphère de mon crayon existe toujours, mais elle
est contenue dans la sphère « système solaire » ; ainsi de suite jusqu’à considérer l’univers visible en une
immense sphère énergétique. Mais la sphère crayon existe toujours et est contenue dans la sphère planète, ou
système solaire, ou galaxie, ou …
Et c’est le même raisonnement dans l’infiniment petit : dans la matière, il y a des molécules qui ont leur propre
sphère, mais il y a aussi l’atome constitué d’un noyau et d’électrons ; le noyau a sa sphère et l’électron la
sienne … (cette représentation sera développée dans la partie 3, car nous approchons l’origine de la masse).
Mais la sphère électron est toujours contenue dans la sphère système solaire par exemple.
Avec cette représentation énergétique en forme de sphère, on peut se balader de l’infiniment petit à l’infini-
ment grand, sans avoir besoin de changer, ou d’adapter une nouvelle théorie supplémentaire (théorie des
cordes, matière sombre, boson de Higgs, …). Toutes ces théories supplémentaires ont été rajoutées à un stan-
dard déjà en place, parce qu’une observation expérimentale ne pouvait pas être expliquée avec l’acquis déjà
en place. C’est ainsi que l’on se retrouve avec tellement de pansements que l’on n’y voit plus rien.
Je propose donc de revenir aux fondamentaux et de changer juste le regard sur le postulat de départ, et regar-
dons comment se déroulent les choses, pour voir si elles amènent des réponses simples aux observations.
Ainsi, toutes ces sphères interagissent entre elles. Par contre, nous pouvons isoler des systèmes de sphères et
les étudier indépendamment.
Donc les interactions vont dans les 2 sens : le plus massif sur le moins massif, bien sûr, mais aussi le moins
massif sur le plus massif même si c'est insignifiant (une boule de pétanque ne déplacera pas la terre mais il y
a interaction, donc échange d'énergie). De plus, changeons notre regard et essayons de voir autrement.
RV parle d’action – réaction. Je propose une autre façon de se représenter ces interactions, car il ne faut pas
perdre de vue, que nous raisonnons sur des énergies ! Il faut voir énergie
A partir de cette interaction, 2 cas peuvent se présenter : Soit les sphères éner-
gies de chaque masse se cognent, soit les sphères énergies s’entrecroisent.
Comme, nous résonnons sur des énergies, je développerais plutôt le 2ème cas.
En effet, si les sphères se choquaient, la représentation énergétique d’une masse
serait complètement décalée de la position spatiale de la masse volumique.
Attention, cette hypothèse ne peut exister que si la distance des centres des
sphères des masses considérées reste constante ! (voir partie 2)
Donc, si les sphères énergies s’entrecroisent, un nouveau volume énergétique
va exister ; un ellipsoïde.
Cette représentation énergétique peut être provisoire car elle résulte de l'union
de 2 sphères d'expansions (ou plusieurs). Avec le changement de repère et le
déplacement de l’origine temporelle, cette représentation peut être provisoire :
C’est quelque chose que nous aborderons dans la partie 2.
Cette représentation du croisement de sphères m'appartient totalement, il est
possible que cela ne puisse pas arriver. C'est une image qui peut se produire,
et donc qui aura des répercussions supplémentaires. Elle a été validée par RV.
Avec les variations, quand les sphères seront de nouveau « éloignées », l'ellipsoïde disparaîtra.
Je marque éloignées entre « », car si on considère la sphère toute seule, nous verrons, de par son équation,
qu’elle ne peut pas diminuer. L’astuce résidera à prendre et à ne travailler que sur les variations.
Par contre, il est important de comprendre que cet ellipsoïde n'est qu'énergétique, mais son comportement sera
comme une masse.
Il y aura donc une Re, De, R0e
Ces paramètres disparaîtront avec l'ellipsoïde (quand nous travaillons avec des variations), mais il peut rester
des rémanences à cause du R0e. Nous comprendrons plus loin avec les équations. Nous reviendrons sur cette
représentation d’ellipsoïde dans la partie 2, car elle peut ne pas exister ! Son existence tient, si la distance des
centres des sphères reste constante dans le temps.
Revenons à l'étude d'une seule sphère, pour savoir comment elle peut modifier son volume énergétique, sans
modifier sa masse propre (ou masse volumique) m0.
A l'intérieur de la sphère d'expansion, il y a une bulle constante qui est le cœur de la masse. La sphère d'ex-
pansion va grandir, grâce à un fluide qui est dû à la rétraction de l'espace fluidique D qui est une quatrième
dimension. Attention, ce fluide n’est toujours pas défini, ni la bulle !
L’expansion de la sphère due au fluide sera abordée dans la partie 3 de ce document.
Par contre la bulle d'expansion reste stable. Cette bulle est la porte vers un autre monde dont nous n'avons pas
accès (cette affirmation sera expliquée et confirmée plus loin).
Il m'arrive d'appeler cette bulle d'expansion, la mémoire originelle d'une masse.
L'équation de cette bulle d'expansion sera mise en évidence quand nous rechercherons les constantes d'inté-
gration qui sont abordées plus loin.
Tout ceci est une explication simpliste. Cette explication sera évolutive en fonction des équations que l'on va
aborder.
Retour table des matières
Revenons à notre hypothèse énergétique de départ ; n’oublions pas que nous n’avons pas pu mettre d’unité
sur le quadri-volume, qui va définir une représentation énergétique d’une masse.
Nous sommes dans des espaces que nous pouvons faire évoluer dans le temps pour garder un volume constant.
C'est à dire que si la dimension D diminue alors la sphère R grossit (puisque la masse ne change pas). Par
contre, le contraire ne pourra pas exister, car on est fonction du temps qui lui est toujours positif dans notre
univers. Nous devrons utiliser une astuce, en résonnant sur les variations, pour remarquer les effets dus au
croisement de sphères (ces variations sont abordées dans la partie 2).
Nous allons nous baser sur l’invariance des fluides incompressibles pour établir la première équation.
Nous pouvons donc poser la première équation sur le principe de l’invariance des fluides incompressibles
(l'incompressibilité d'un fluide implique que le débit volumique vS dans une conduite de section variable S est
constant. Dans un rétrécissement, la vitesse augmente, dans un élargissement, elle diminue ; mais la quantité
de fluide est toujours la même) :
4 3
𝜋𝑅 . 𝐷 = 𝐾
3 (𝑡) (𝑡)
Cette équation correspond bien à ce que nous avons posé précédemment : R(t) et D(t) sont des variables éner-
gétiques qui sont fonction du même paramètre t (le temps) et le produit de ces 2 variables est constant, puisque
la masse volumique (en tant que quantité de matière) ne varie pas et reste constante. Cependant, il est à noter
que R(t) et D(t) sont des énergies qui appartiennent à la même masse, et nous pourrons assimiler R(t)3 à un
« volume d’une sphère » et D(t) à une « corde », il faut donc s'attendre à ce que le temps t ne soit pas le même
que celui que nous mesurons dans notre univers, puisque l'équation posée est à 4 dimensions (L3 . L = L4).
Maintenant, voyons comment exploiter cette première équation :
En dérivant une fois on détermine la vitesse d'expansion de la sphère d'expansion en fonction de D (t)
′
′ −𝐾 𝐷(𝑡)
𝑅(𝑡) = 2 2
4𝜋 𝑅(𝑡) 𝐷(𝑡)
Cela ne peut pas se rattacher à quelque chose de connu, donc si on dérive une deuxième fois, on trouve l'ac-
célération d'expansion de la sphère d'expansion en fonction de D(t)
′′ ′2
𝐷(𝑡) 𝐷(𝑡)
[ 2 − 3 ]
′′
4𝜋𝐷(𝑡) 3𝜋𝐷(𝑡)
𝑅(𝑡) = −𝐾 2
𝑅(𝑡)
Quand nous regardons cette écriture, nous avons : R’’ = accélération, (le signe -) un résultat négatif, K une
constante (pour le moment non connue) et une fraction composée d’un terme (inconnu) divisé par le carré
d’une dimension (L2)
Statistiquement, pour une équation comportant 4 similitudes avec une équation connue de 5 termes, nous
pouvons faire une analogie avec la gravitation universelle de Newton.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Pesanteur
Rapporté à notre cas et en respectant les orientations vectorielles, la gravitation universelle s'écrit :
′′
𝑀(𝐷)
𝑅(𝑡) = −𝐺 2
𝑅(𝑡)
Si nous remplaçons M par la masse terrestre et R par le rayon terrestre, nous trouvons l’accélération terrestre
en un lieu (g = 9,8 m/s2).
Il est vrai que rien ne permet de faire ce rapprochement (car nous sommes sur des représentations énergé-
tiques), mais à un moment ou à un autre, il faudra bien se raccrocher à des choses connues, et statistiquement,
nous sommes très proche (4 similitudes sur 5) ! (retour chapitre 3 « équa diff »)
La relativité générale d’Einstein, qui est aujourd’hui acceptée, tient sur une hypothèse que la masse grave est
égale à la masse inerte, or ces 2 masses sont différentes !
Je sais que ce n'est pas évident à comprendre. Il ne faut plus se représenter la masse comme un volume, il faut
voir la masse comme une énergie. C’est à partir de ce moment que l’on peut comprendre la notion de « filtre »
que j’ai évoqué au début de ce document.
Dans les résolutions, nous déterminons la vitesse d'expansion de la sphère R (t) en fonction de D(t)
′
2𝐺𝑀(𝐷)
𝑅(𝑡) =√
𝑅(𝑡)
Pour arriver à cette écriture, nous devons faire une intégration uniquement sur R. Ce qui est logique puisque
R et D n’appartiennent pas à la même dimension. Leur seul point commun est le temps. Mais l’intégration,
pour en arriver là, se fait sur la variable R et non sur la variable t ; et dans ce cas D est « constant »
Nous exprimons ici, la vitesse d'expansion de la sphère en fonction de la masse énergétique.
L’équation qui définit R0 est exactement de la même forme que le rayon de Schwartschild http://fr.wikipe-
dia.org/wiki/Rayon_de_Schwarzschild qui définit la limite à ne pas dépasser pour ne pas être aspiré dans un
trou noir.
A cause de cette similitude, et comme nous pouvons appliquer cette théorie de l’infiniment grand à l’infini-
ment petit sans restriction, nous allons considérer R0 comme le rayon d’un trou noir !
De plus, un peu plus loin, nous allons définir une pulsation de R 0, et récemment, il a été démontré qu’un trou
noir avait une pulsation http://www.sciencesetavenir.fr/espace/
Cela fait un élément de plus pour considérer R0 comme un trou noir.
Deuxième constat : Si la sphère énergétique d'une masse varie, sa bulle d'expansion ne variera pas !
Troisième constat : Concerne l’ellipsoïde, mais nous verrons dans le chapitre 2 que cet ellipsoïde n’existe pas,
car la distance entre les centres des sphères d’expansion n’est pas constante et elle est fonction du temps
impliquant une configuration spéciale aux sphères.
Quatrième constat : L'équation de la bulle d'expansion est la même que l'équation du rayon de Schwarzschild
qui définit la limite des univers. Le comportement de la bulle d'expansion peut être assimilé à un trou noir. Et
nous pouvons ainsi introduire la notion de 2 mondes distincts, mais complémentaires.
Il y a le monde devant le R0 et le monde derrière le R0. Ou il y a le monde en dehors du R0 et le monde en
dedans du R0.
Cinquième constat : En ordre de grandeur, R0 est très petit et D0 est très grand, mais ils ont une valeur finie !
Sixième constat : R'(t) et R''(t) sont de signe opposé ; cela veut dire que la sphère R(t) devrait partir de R0, puis
« grossir » à une vitesse R'(t) et une accélération R''(t) ralentira cette expansion. Nous nous concentrerons, tout
de même, aux abords du R0. Quand la masse n’existe pas, alors R0 = 0, mais R(t) = 0, aussi.
Septième constat : En modifiant D(t), on modifie l'accélération de la pesanteur en un lieu. On aura ainsi une
modification de poids d'une masse m0. Je rappelle que le poids est une force et une force est égale à une masse
multipliée par une accélération. Comme la masse volumique est intrinsèque (c’est-à-dire qu’elle ne change
pas), alors ce qui peut changer, c’est l’accélération.
Huitième constat : Nous pouvons proposer une simplification du système des unités MKSA en MSA. En effet,
nous déterminons un volume à 4 dimensions L4. Ce volume est déterminé par L3.M-1T-2. Quand nous posons
1
l’égalité L3.M-1T-2 = L4, alors M = L-1T-2. Donc une masse en Kg peut s’écrire en 𝑚.𝑠2
𝑐3 𝜔
𝜔0 = 2 Une fréquence peut être calculée en faisant 𝑓0 = 2𝜋0
√2𝐺𝑚0
Elle est constante pour une masse m 0. Attention, cette fréquence n'est que pour la bulle d'expansion R 0. C'est
une pulsation à l'intérieur de la bulle ! Comme le raisonnement démarre à partir de la gravitation universelle,
cette pulsation nous dit que quelque chose oscille à l’intérieur de la bulle centrale de rayon R 0 (R0 est un
« cœur » qui bat) et ceci est très important car cela veut dire qu'il y a des échanges permanents entre 2 mondes
d'une même masse. La fréquence d'échange est extrêmement élevée.
A l’intérieur (ou à côté, ou de l'autre côté) de cette bulle centrale, il y aurait un autre monde qui n’a rien à voir
avec le nôtre (un trou noir par exemple). Mais ces 2 mondes sont complémentaires. La bulle d'expansion ne
peut être que la porte de communication entre les 2 mondes.
Revenons à l’équation de départ où D diminue pour que R grossisse (voir plus loin avec les équations de R et
D). Nous avons vu qu’il fallait un temps qui soit commun aux 2 dimensions (R et D). Aucune restriction, pour
le moment pour que ce paramètre soit de -∞ à +∞. A part que le temps positif représente l’univers 1 (le futur),
et le temps négatif représente l’univers 2 (le passé). La pulsation ω0 modifie les 2 univers en même temps ; et
les 2 univers existent ensemble (l'univers 1 ne peut pas exister sans l'univers 2 et vice et versa)
Le futur n’existe pas s’il n’y a pas de passé. Le présent sera le point milieu. Nous reviendrons sur cette repré-
sentation temporelle de passé, présent, futur.
La modification (rétraction) de l'espace fluidique, grâce à cette pulsation, a pour conséquence de faire grossir
la sphère d'expansion grâce à un fluide. Ce fluide est inter-dimensionnel, puisqu'il passe d'un monde à l’autre,
et d’un univers à l’autre ! Ce fluide sera développé en partie 3 de ce document.
Que se passerait-il, si on rentrait en résonance avec cette fréquence ou une harmonique avec de la puissance
nécessaire pour modifier cette fréquence ?
D'après RV, il serait extrêmement dangereux de rentrer en résonance avec cette fréquence ou une harmonique
avec une puissance suffisante sous peine de perturber notre univers, notre réalité, notre temps.
En effet, cette perturbation peut modifier les dimensions de la bulle d’expansion R0 qui doit être constante
pour une masse m0, on créerait systématiquement un déséquilibre entre la bulle et la masse. Donc la réalité
(notre réalité que nous vivons au temps présent) serait changée.
Si nous calculons le R0 de la terre, il est égal à 9 mm !!! et sa fréquence f0 est de 3,8 Ghz.
La dimension de cette bulle R0 et la fréquence de pulsation f0 n'est fonction que de la masse au repos m0.
D'après l’équation de départ de RV, la sphère d'expansion évolue sans cesse, donc si nous considérons que la
sphère d'expansion de rayon R (t) grossit (ce qui sera démontré avec son équation et sa représentation gra-
4 3
phique), alors l'espace fluidique D(t) diminue pour que l'hypothèse de départ 3 𝜋𝑅(𝑡) . 𝐷(𝑡) = 𝐺 soit respectée.
3𝑐 6
Cependant, l'espace fluidique D(t) doit partir de sa valeur limite 𝐷0 = qui est une constante limite (à
32𝜋𝐺 2 𝑚03
vitesse critique) pour une masse m0 (et qui est très grand en valeur), pour diminuer sans aucune limite jusqu'à
0 ; ce qui aura pour conséquence de faire gonfler la sphère d'expansion de rayon R (t) sans limite, jusqu'à l'infini.
Donc, l'espace fluidique D(t) rentre à l'intérieur de la bulle d'expansion R0 (trou noir) qui bat comme un cœur
à une fréquence constante. Cette rétraction a pour conséquence de faire grossir la sphère R(t). La question qui
se pose maintenant : Comment ? : En donnant naissance (en expulsant du trou noir) un fluide qui vient « com-
bler » le manque qui s'est créé. On se rapproche de la définition de l'éther qui a été abandonné au début du
XXème siècle. Mais ceci ne sont que des suppositions, on y reviendra plus tard dans la 3ème partie.
Milieu hypothétique (et dont l'existence est actuellement infirmée) extrêmement ténu, élastique, universelle-
ment répandu dans le vide comme dans la matière et que l'on croyait lié à l'apparition ou à la transmission des
phénomènes lumineux, électriques, calorifiques, magnétiques.
http://www.cnrtl.fr/definition/ether
Mais, revenons à notre masse représentée par un ensemble de sphères d'énergie. Pour agir sur cette masse
énergétique, il faut agir sur l'espace fluidique D(t), et donc, trouver son équation.
Ensuite, il est important de se faire une représentation des sphères d’expansion dans des univers à temps
positifs et à temps négatifs.
ou
3 2
3 3
𝑅(𝑡)= ( √2𝐺𝑚0 𝑇𝑐 + 𝑅02 )
2
1
nous pouvons réécrire sous forme d'un Mouvement Rectiligne Uniformément Accéléré 2 𝛾𝑡 2 + 𝑣0 𝑡 + 𝑥0
3 1 2
12𝐺 2 𝑚02 8𝐺 3 𝑚03
𝑅(𝑡) = 9𝐺𝑚0 𝑇𝑐 + 𝑇𝑐 +
2 𝑐3 𝑐6
et nous déterminons, ainsi, une forme générale de l'équation du rayon de la sphère d'expansion
3 9 2 (1
4𝐺𝑚0 2
𝑅(𝑡) = 𝐺𝑚0 𝑇𝑐 + 3 )
2 3𝑐 𝑇𝑐
4𝐺𝑚 2
et en simplifiant car (1 + 3𝑐 3 𝑇0 ) est proche de 1 pour des masses de notre échelle
𝑐
3 9
𝑅(𝑡) = 𝐺𝑚0 𝑇𝑐2
2
Au niveau des unités, nous avons une remarque importante :
3 9
Dans cette équation 𝑅(𝑡) = 2 𝐺𝑚0 𝑇𝑐2, nous sommes homogène m3
3 1 12𝐺 2 𝑚2 8𝐺 3 𝑚3
Dans cette équation 𝑅(𝑡) = 2 9𝐺𝑚0 𝑇𝑐2 + 𝑐 3 0 𝑇𝑐 + 𝑐 6 0, nous trouvons une accélération γ en m3/s2, une
vitesse v0 en m3/s et une origine x0 en m3.
Cela veut dire que nous avons une expansion de la sphère totalement homogène dans toutes les directions !
3
En effet, l’équation de 𝑅(𝑡) est de la forme d’un MRUA, mais il ne s’agit pas d’un élément en translation ; il
s’agit de l’évolution d’un volume. Donc nous avons une accélération volumique, une vitesse volumique et un
volume :
Nous confirmons, ainsi, l’expansion de R(t) comme une sphère parfaite.
RV utilise la forme simplifiée pour l'étude de la théorie avec des masses de notre échelle
Nous avons là, l'équation de la sphère d'expansion en fonction de la masse au repos considérée. Cette équation
évolue en fonction d'un temps qui reste à définir. Comme ce temps est inter-dimensionnel, RV l'a nommé le
temps cosmologique Tc. Or comme le Tc est au carré, alors quel que soit son signe, avec l’évolution du temps
(positif ou négatif), alors la sphère R(t) grossit : on est en accord avec ce qui a été annoncé par RV depuis le
début. Nous sommes d’accord, qu’il n’y a pas de restriction sur ce temps. Il peut être aussi bien positif que
négatif.
http://grapheur.cours-de-
math.eu/
a: ).
Si D=0, le trinôme est proportionnel à : il est toujours du signe de a au sens large, et est
l’unique solution de l’équation.
Si D>0, le nombre D/4a2 est strictement positif, donc a des racines carrées, par exemple . Grâce à la for-
mule u2-v2=(u-v)(u+v), le trinôme s’écrit :
L’équation a
deux solutions, .
Les différentes allures possibles pour la courbe sont esquissées fig. 10 :
http://www.math.unicaen.fr/
Donc comme ∆=0, alors le sommet sera toujours sur l’axe des temps (x) et les branches seront toujours vers
9
le haut car 𝑎(= 2 𝐺𝑚) sera toujours >0
Dans ce cas le Foyer (à partir de l’équation générale)
−4𝐺𝑚 1
𝐹=( 3
; )
3𝑐 18𝐺𝑚
Et la droite directrice
1
𝑦= −
18𝐺𝑚
Notons également, pour avoir une représentation visible, j’ai changé la valeur de G. Comme c’est une cons-
tante, elle n’agira pas sur la forme de la courbe ; ceci est fait pour avoir une représentation visible.
Comme la position en x (temps cosmologique) du foyer F n’est pas nul, cela veut dire que la courbe est décalée
sur la gauche dans des temps négatifs !
Attention, je parle de parabole, car nous prenons un domaine de définition qui va de -∞ à +∞. Mais l’axe des
x est un axe temporel, où dans notre univers, les temps négatifs n’existent pas ! On pourrait donc imaginer 2
demi-paraboles. Dans ce cas la conséquence serait un miroir, une symétrie par rapport à l’axe des y. Cepen-
dant, notons qu’il y a un léger décalage ; le sommet de la parabole se trouve dans les temps négatifs
C’est donc bien une parabole complète avec un axe des temps définit de -∞ à +∞.
Un temps négatif existe ! Quand la sphère va passer dans notre temps positif, elle aura la dimension du R0.
Retenons ceci pour faire une représentation de la sphère dans un temps positif et un temps négatif.
II.8 Explication sur les temps et l’existence des 2 univers à partir du rayon de la sphère
Si nous prenons la racine cubique de cette courbe, nous aurons une représentation du grossissement du rayon
4 3
de la sphère R(t), car nous avons posé au départ 3 𝜋𝑅(𝑡) . 𝐷(𝑡) = 𝐾
Notons cependant que, pour faire une représentation visible, j’ai changé aussi les paramètres de G.
Sur cette courbe, nous voyons bien l’expansion de la sphère R (t), même si les pentes sont faussées, puisque
nous n’avons pas les bonnes valeurs des constantes.
On rappelle que les racines carrées, et autres racines n-èmes, sont des puissances. La racine carrée est notée
comme la puissance 1/2, n’est définie que sur R+, et est positive. Son graphe est représenté fig. 12. Plus géné-
ralement pour tout réel A positif et tout entier n non nul, il existe un unique réel positif t tel que t n=A, on
l’appelle racine n-ème de A, et on le note A1/n. On peut ainsi définir les puissances rationnelles d’un réel A
positif : si n et m sont deux entiers non nuls, Am/n est le nombre (Am)1/n=(A1/n)m. Les graphes des fonctions
racines n-èmes ont tous la même allure, de plus en plus « basse » quand n augmente (cf. fig. 12). Par ailleurs
si n est impair, la racine n-ème des nombres négatifs est définie (cf. fig. 12), mais c’est un cas marginal, et on
ne peut pas, en général, définir des puissances rationnels Am/nquand A<0. Quand n est pair, les puissances n-
èmes sont toujours positives dans R, donc si A<0 l’équation tn=A ne peut avoir de solution. Dans ce cas, si A
est positif, l’équation tn=A a deux solutions opposées, A1/n et –A1/n.
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Les valeurs réelles de la variation volumique de la sphère pour une masse de 1 Kg sont :
pour 1sec = 0,3 mm3
pour 5sec = 7,508 mm3
pour 10sec = 30,034 mm3
Rappel : 1 litre = 1000000 mm3
Dans notre cas, des rayons des sphères, nous sommes symétriques à l’axe des y. La conséquence est que nous
avons vraiment l’existence de ces 2 univers et une symétrie dans les 2 univers.
La symétrie indique que ces 2 univers sont inséparables. Ils existent ensembles ; c’est pour cette raison que
RV avait parlé d’une représentation du passé, présent, futur !
Il reste le point 0, qui est mal défini. Pour cela, nous allons employer les équations non simplifiées et grossir
l’échelle graphique, puis jouer sur les constantes.
Imaginons, un instant, que Nicolas Tesla n’ai pas existé : Aujourd’hui, nous n’aurions pas le courant alterna-
tif !
Imaginons, que RV n’ai pas existé, aujourd’hui, je ne serai pas en train d’écrire ce mémo !
Imaginons que n’importe quelle personne ayant eu une influence politique dans un pays n’ai pas existé, au-
jourd’hui, nous serions dans un autre monde, une autre réalité …
Dans ces cas, nous serions dans un autre futur, mais Vous et moi existons, puisque nous n’avons pas de lien
de parenté avec ces personnes. Le futur que nous aurions pu vivre, aurait donc changé. Mais si je me retrouve
en 2015 d’un autre futur, à ce moment-là, j’aurai un autre passé qui appartiendrait à ce futur !
Maintenant, allons encore plus loin, si Vous n’aviez pas existé, on se retrouverait dans un autre futur, et donc
dans un autre passé.
Conclusion : tous les temps (passé, présent, futur) existent dans le présent ; c’est donc les décisions que nous
allons tous prendre aujourd’hui, qui vont construire le futur et le passé que nous allons vivre.
Certaines personnes ne comprendront pas l’importance de ce constat, mais d’autres comprendront la dimen-
sion que cela peut prendre.
Si nous prenions les équations générales, avec une adaptation des constantes, nous aurions
Le calcul de ces temps ne peut se faire qu'à partir de l'équation générale de R(t)
Nous apercevons très bien, la représentation de ces valeurs particulières sur le graphique si dessus !
NB : Nous avons 3 valeurs remarquables de temps ; 1 nulle et 2 autres négatives. Ce n’est pas parce que le
temps négatif n’existe pas dans notre univers qu’il faut le supprimer !
Quand nous représentons les 2 sphères (R0 et R(t)) imbriquées dans une représentation spatiale, leurs centres
sont confondus.
Mais quand nous regardons une représentation temporelle, dans notre univers (univers 1), nous n’avons que
le bord du R0. Par contre, on s’aperçoit que le centre de R 0 est dans l’autre univers (univers 2), où les temps
sont négatifs. Nous y reviendrons plus loin.
Tout ceci est confirmé par la représentation graphique de R3. Le foyer de la « parabole », se trouve décalé de
4𝐺𝑚 1
− 3𝑐 30 sur l’axe des temps (x). Il faut trouver une explication pour l’autre valeur 18𝐺𝑚 qui se trouve sur l’axe
des valeurs du volume de R(t) (y) (voir chapitre 3)
Quand nous regardons cette valeur, elle est très grande pour une masse à notre échelle. G étant de l’ordre de
10-11 au dénominateur, la valeur est de l’ordre de 1011. Retenons ceci, et continuons.
Gardons tout ceci, et continuons à avancer pour voir si des détails pourraient se répéter.
Nous pourrions représenter l’expansion de la sphère ainsi :
Cette interprétation sur une ligne temporelle horizontale est embarrassante justement à cause du R 0.
Reste le R0, nous avons vu qu’il était dans des temps néga-
tifs, mais l’expansion de la sphère dans l’univers négatif
8𝐺𝑚
commence à 𝑇𝑐 = − 3𝑐3 0
Nous trouverons cependant des résultats intermédiaires qui serviront plus tard.
′2
𝐷(𝑡)
3 = 24𝜋𝑚0
𝐷(𝑡)
et
′′
𝐷(𝑡)
2 = 36𝜋𝑚0
𝐷(𝑡)
A partir de là, par intégration, nous trouvons
1 2
−1 −
𝐷(𝑡) = (√6𝜋𝑚0 𝑇𝑐 + 𝐷0 2 )
sous la forme d'un Mouvement Rectiligne Uniformément Accéléré
−1 1 16𝜋𝐺𝑚02 32𝜋𝐺 2 𝑚03
𝐷(𝑡) = 12𝜋𝑚0 𝑇𝑐2 + 𝑇𝑐 +
2 𝑐3 3𝑐 6
et la forme générale de l'espace fluidique
1
𝐷(𝑡) =
4𝐺𝑚 2
6𝜋𝑚0 𝑇𝑐2 (1 + 3 0 )
3𝑐 𝑇𝑐
4𝐺𝑚 2
et en simplifiant à notre échelle car (1 + 3𝑐 3 𝑇0 ) est proche de 1
𝑐
1
𝐷(𝑡) =
6𝜋𝑚0 𝑇𝑐2
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Cette courbe n’est pas une conique, donc on ne peut pas la rattacher à quelque chose de connu
Citons les inverses des fonctions puissances, les puissances négatives : si n est un entier naturel non nul, l’in-
verse 1/xn de la fonction x a xn est notée x a x -n. Toutes ces fonction ont le même domaine de définition, R*,
c’est-à-dire ]-∞,0[ et ]0,+∞[. Les graphes de toutes ces fonctions ont même allure sur la partie R+*, et aussi
sur la partie R-*, mais la fonction est positive si n est pair (l’axe des y est un axe de symétrie) et négative si n
est impair (l’origine du repère est centre de symétrie). Se reporter à la fig. 11. Sur la partie x>0, plus n est
grand et plus la courbe monte « vite » en 0, et plus elle est vite collée à l’axe des x en +∞.
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Ici la fonction D(t) est une fonction positive et symétrique à l’axe des y ; cela conforte les 2 univers avec temps
positifs et temps négatifs.
Représentons D(t) sous sa forme généralisée et essayons de voir ce qui se passe dans le voisinage de 0
Les constantes sont également faussées, mais on remarque un décalage vers les temps négatifs et nous confir-
mons la symétrie. Mais cette symétrie, ne se fait pas par rapport à y,
4𝐺𝑚
mais par rapport à une droite 𝑇𝑐 = − 3𝑐 30
Calculons quelle serait les valeurs de D(t) pour les différentes valeurs remarquable de Tc :
8𝐺𝑚
Pour 𝑇𝑐 = − 30 alors 𝐷(𝑡) = 𝐷0
3𝑐
4𝐺𝑚0
Pour 𝑇𝑐 = − 3𝑐 3 alors 𝐷(𝑡) = ∞
Pour 𝑇𝑐 = 0 alors 𝐷(𝑡) = 𝐷0
Le calcul de ces temps ne peut se faire qu'à partir des équations générales de D(t)
RV utilisera aussi la forme simplifiée pour les études de masse à notre échelle.
Nous avons ici, l'expression de D(t) en fonction de la masse au repos.
Notons que D(t) sera toujours fonction de m0. D(t) est une énergie appelée « corde spatiale ». Cette énergie ne
modifie la masse énergétique uniquement si nous modifions son état de rétraction ; donc en agissant sur l'ac-
célération ou la vitesse de rétraction ; c'est ainsi que nous faisons apparaître M(D)
Quand nous regardons les équations de R(t) et D(t), comme le Tc est au carré, donc quel que soit le signe de T c,
alors R(t) grossit, et D(t) diminue !
Ce qui est remarquable, ce sont les valeurs autour de R 0. En superficie du R0, on est à D0 ; par contre, quand
nous sommes dans R0, D(t) va de D0 à ∞. Cela prouve que D(t) rentre dans R0
Faisons une représentation de la sphère d’expansion avec sa vitesse et son accélération à partir des équations
Pour avoir une dimension des constantes et une représentation possible, nous les calculerons pour une masse
m0 de 1.1010 𝐾𝑔 pour la sphère d'expansion.
Pour les équations générales : Expansion du rayon de la sphère fonction du temps
1
9 12𝐺 2 𝑚02 8𝐺 3 𝑚03 3
𝑅(𝑡) = ( 𝐺𝑚0 𝑇𝑐2 + 𝑇𝑐 + )
2 𝑐3 𝑐6
Valeur des constantes pour une m0 =1.1010 𝐾𝑔
9 9 9
𝐺𝑚0 = 6,67384 . 10−11 1.1010 = 3,003 ordre de grandeur 𝐺𝑚0 = 3
2 2 2
12𝐺 2𝑚02 12∗(6,67384 .10−11 )2∗(1.1010)2 −25 12𝐺2 𝑚02
= = 1,984. 10 ordre de grandeur = 2.10−25
𝑐3 𝑐3 𝑐3
8𝐺 3 𝑚30 8∗(6,67384 .10−11 )3 ∗(1.1010)3 8𝐺 3 𝑚03
= = 3,276. 10−51 ordre de grandeur = 3.10−51
𝑐6 2997924586 𝑐6
R=f(Tc) nous obtenons une symétrie par rapport à l’axe des y (temps positif – temps négatif)
R’=f(Tc) nous obtenons une symétrie par rapport à l’origine 0 (temps positif – temps négatif)
R’’=f(Tc) nous obtenons une symétrie par rapport à l’axe des y (temps positif – temps négatif)
y représentant la valeur de R(t) R’(t) et R’’(t) et x représentant la valeur du Tc
Les premières constatations à faire, est que la vitesse de la lumière est infranchissable dans l’univers 1 ou 2.
Nous sommes en accord avec la relativité. Par contre, à l’intérieur du R 0 la vitesse minimum ; c’est la vitesse
de la lumière, et elle va à l’infini, plus on se rapproche de la « singularité » du R0. Donc la vitesse de la lumière
peut être dépassée.
Ce constat est extrêmement important ; voilà pourquoi, nous ne voyons rien dans un trou noir ! La vitesse
étant toujours supérieure à la vitesse de la lumière, nous ne verrons jamais rien !
En ce qui concerne l’accélération R’’ ; d’abord, elle se trouve toujours dans un domaine de valeurs négatives.
1
Ensuite elle décélère très fort dès le début (−3,025. 1043 𝑚 m/s2), pour ensuite s’adoucir très rapidement de
0
façon à obtenir une expansion de R toujours positive et croissante. Il y a le cas, à l’intérieur du R0, mais le
signe n’étant pas déterminé, nous ne pouvons pas savoir si l’accélération est dans le même sens que la vitesse
ou dans un sens opposé. Nous pouvons supposer qu’ils sont orientés de la même façon ainsi, la vitesse est
infini dans R0.
Cela veut dire que l’on passe d’un monde à l’autre en passant par la porte R 0, d’une façon quasiment instan-
tanée. Cela veut dire que le temps a une autre dimension, une autre consistance.
4𝐺𝑚
Quand on part des équations simplifiées, on ne trouve qu'un seul 𝑇𝑐 = 3𝑐 3 0 et il est positif ! Peut-être qu'il ne
faudra pas utiliser ces équations simplifiées et rester en permanence sous une forme générale.
Revenons à ces valeurs particulières de temps et comparons avec la fréquence de pulsation à l’intérieur du R 0
Nous avons vu que la pulsation ω0 correspond à une pulsation à l'intérieur de la bulle d'expansion R 0, donc les
8𝐺𝑚
pulsations se trouveront entre 2 temps cosmologiques 𝑇𝑐 = − 3𝑐 30 et 𝑇𝑐 = 0.
4𝐺𝑚
Le point milieu de la pulsation sera 𝑇𝑐 = − 3𝑐 30 mais à ce point milieu, la pulsation devra être nulle,
puisque𝑅(𝑡) = 0 Donc la pulsation est une fonction sinusoïdale !
Univers 2 0 Univers 1
Tc
8𝐺𝑚0
𝑇𝑐 = − 𝑜𝑛 𝑎 𝑅(𝑡) = 𝑅0 𝑇𝑐 = 0 𝑜𝑛 𝑎 𝑅(𝑡) = 𝑅0
3𝑐 3
4𝐺𝑚0
𝑇𝑐 = − 𝑜𝑛 𝑎 𝑅(𝑡) = 0
3𝑐 3
𝑐3 4𝜋√2𝐺𝑚0 𝜔
Si nous considérons une période de 𝜔0 = 2 en rouge elle s'étend sur 𝑇0 = , puisque 𝑓0 = 2𝜋0 et
√2𝐺𝑚0 𝑐3
1 8𝐺𝑚0 2
𝑇0 = 𝑓 . Or, le diamètre temporel de R0 est nous trouvons une constante = 3𝜋 . Il faudra trouver quel
0 3𝑐 3 √2
𝛽 1
est le rôle de ce décalage qui correspond à 2 = 3𝜋 2 = 0,07502636 de chaque côté de la bulle. Nous revien-
√
drons plus tard sur une étude plus complète du Tc. (retour chap 3)
pour la terre
8𝐺𝑚0 8 ∗ 6,67384 . 10−11 ∗ 5,9722. 1024
𝑇𝑐𝑇𝑒𝑟𝑟𝑒 =− 3
=− 3
= −3,944725. 10−11 𝑠
3𝑐 3 ∗ 299792458
pour 1 Kg
8𝐺𝑚0 8 ∗ 6,67384 . 10−11 ∗ 1
𝑇𝑐𝑇𝑒𝑟𝑟𝑒 =− =− = −6,605146. 10−36 𝑠
3𝑐 3 3 ∗ 2997924583
Donc comme ces temps sont très petit à notre échelle, nous pourrons utiliser les équations de D (t) et de R(t)
sous la forme simplifiée pour des masses de notre échelle de grandeur. Ceci est à revérifier car les représenta-
tions graphiques et le calcul des temps origines sont différents : Attention !
Le temps, qui rentre dans les équations de R(t) et D(t), est appelé, par RV, temps cosmologique, il est calculé à
partir de R(t).
3 4
Si on égalise les 2 Tc simplifiés, nous retrouvons tout de même 3 𝜋𝑅(𝑡) . 𝐷(𝑡) = 𝐺
Ce temps cosmologique permettra de relier D(t) et R(t).
2 1
Comme ou sont constants pour une masse m0, et comme R(t) et D(t) sont variables, et comme en
3√2𝐺𝑚0 √6𝜋𝑚0
agissant sur D(t), on modifie l’expansion naturelle de la sphère, alors Tc est variable. Cela veut dire que le
temps peut être perturbé.
3 4
On a vu que 𝑅(𝑡) 𝑒𝑡𝐷(𝑡) évoluaient en dimension pour que 3 𝜋𝑅(𝑡) . 𝐷(𝑡) = 𝐺 = 𝑐𝑡𝑒 . Donc, comme 𝐷(𝑡) dimi-
3 1
2 2
nue, alors 𝑅(𝑡) augmente et par conséquent 𝑅(𝑡) augmente aussi, et 𝐷(𝑡) diminue aussi, donc le temps augmen-
tera.
En conclusion, si nous modifions la rétraction de l'espace fluidique D(t), c'est à dire que nous modifions sa
vitesse de rétraction alors nous modifions aussi le temps.
Mais attention, la modification se fera proportionnellement à la modification de la sphère.
Ce temps cosmologique est fonction de la masse mais aussi du volume de la sphère d'expansion dans notre
univers (ou de la « longueur » de l'espace fluidique). Il va donc interférer et modifier la valeur de notre vrai
temps physique, mais uniquement pour la sphère impliquée. Donc les variations temporelles seront locales.
Attention : Dans toutes les équations, le paramètre temporel est le temps cosmologique Tc.
se reporter à l'annexe 7
Retour au chapitre 3
Pour avoir une représentation, nous calculerons pour une masse m0 de 100 grammes (0,1 Kg)
réécrire
′ 16𝜋𝐺𝑚02
𝐷(𝑡) = − [2(6𝜋𝑚0 )𝑇𝑐 + ( )] D2(𝑡)
𝑐3
Pour l'accélération
′′ ′ ′ ′ 𝑈 𝑈 ′ 𝑈 ′ 𝑉−𝑈𝑉 ′
C’est identique 𝐷(𝑡) = (𝐷(𝑡) ) et 𝐷(𝑡) est de la forme 𝑉 . La dérivée de (𝑉 ) = 𝑉2
′
16𝜋𝐺𝑚02 𝐷(𝑡)
avec 𝑈 = 2(6𝜋𝑚0 )𝑇𝑐 + = − 𝐷2 donc 𝑈′ = 12𝜋𝑚0 = 2(6𝜋𝑚0 )
𝑐3 (𝑡)
2
16𝜋𝐺𝑚02 32𝜋𝐺 𝑚30
2
−2
et 𝑉 = (6𝜋𝑚0 𝑇𝑐2 + 𝑇𝑐 + ) = 𝐷(𝑡) de la forme 𝑊 𝑛 dont la dérivée est (𝑊 𝑛 )′ = 𝑛𝑊 𝑛−1 𝑊 ′
𝑐3 3𝑐 6
′
16𝜋𝐺𝑚02 32𝜋𝐺 2 𝑚03 16𝜋𝐺𝑚02 −1 𝐷(𝑡)
−3 ′
donc 𝑉 ′ = 2 (6𝜋𝑚0 𝑇𝑐2 + 𝑇𝑐 + ) (2(6𝜋𝑚0 )𝑇𝑐 + ) = 2𝐷(𝑡) (− 2 ) = −2𝐷(𝑡) 𝐷(𝑡)
𝑐3 3𝑐 6 𝑐3 𝐷 (𝑡)
𝐷′(𝑡)
−2
(2(6𝜋𝑚0 ))(𝐷(𝑡) −3 ′
)−[(− 2 )(−2𝐷(𝑡) 𝐷(𝑡) )] −2 −3 ′2
2𝐷(𝑡) ((6𝜋𝑚0 )−(𝐷(𝑡) 𝐷(𝑡) ))
′′ 𝑈 ′ 𝑉−𝑈𝑉 ′ 𝐷(𝑡)
donc 𝐷(𝑡) = = −4 = −4 = 2 ((6𝜋𝑚0 ) −
𝑉2 𝐷(𝑡) 𝐷(𝑡)
−2
−3 ′ 2 𝐷(𝑡) 2 −3 ′ 2
2 (6𝜋𝑚 ) −1 ′ 2
(𝐷(𝑡) 𝐷(𝑡) )) −4 = 2𝐷(𝑡) ((6𝜋𝑚0 ) − (𝐷(𝑡) 𝐷(𝑡) )) = 2𝐷(𝑡) 0 − 2𝐷(𝑡) 𝐷(𝑡)
𝐷(𝑡)
2
2 [𝐷′(𝑡) − (6𝜋𝑚0 )𝐷(𝑡)
3
]
′′
𝐷(𝑡) =
𝐷(𝑡)
Nous observons parfaitement la rétraction de l’espace fluidique avec une vitesse et une accélération accentuées
au voisinage du R0.
Cette 4-sphère est formée par l’assemblage de sphères et d’un espace fluidique :
Cet espace à 4 dimensions se modifie en fonction d’un temps commun appelé « temps cosmologique » (Tc).
Excepté la bulle d’expansion de rayon R0 qui elle est constante dans le temps
2𝐺𝑚0
𝑅0 =
𝑐2
Ainsi, nous pouvons déjà, réduire le système MKSA en système MSA
Et nous pouvons assimiler cette bulle d’expansion à une porte de communication avec un autre univers.
Ce temps cosmologique va de -∞ à +∞, créant ainsi 2 univers indissociables que nous pouvons rattacher au
Passé, Présent et Futur.
3
2R2(𝑡)
𝑇𝑐 =
3√2𝐺𝑚0
A l’origine de la masse prise en considération, il existe une bulle d’expansion de rayon R 0 constant qui est une
porte vers un autre monde. De ce monde sort un fluide avec une fréquence de pulsation ω0 constante également
pour une masse considérée. Une alternance positive pour l’univers 1 et une alternance négative pour l’univers
2. Il y a donc, des échanges permanents entre 2 univers rythmés à cette pulsation.
𝑐3
𝜔0 =
2√2𝐺𝑚0
Ce fluide fait grossir la sphère d’expansion d’une façon homogène dans les 2 univers, car la quantité de fluide
qui va sortir est proportionnelle à la quantité de corde spatiale qui va rentrer dans R 0
Nous pouvons agir sur la modification de l’expansion de la sphère, en agissant sur la rétraction de l’espace
fluidique, en agissant soit sur sa vitesse, soit sur son accélération
−1 1 16𝜋𝐺𝑚02 32𝜋𝐺 2 𝑚03
𝐷(𝑡) = 12𝜋𝑚0 𝑇𝑐2 + 𝑇𝑐 +
2 𝑐3 3𝑐 6
Ou d’une façon simplifiée pour les petites masses
1
𝐷(𝑡) =
6𝜋𝑚0 𝑇𝑐2
Et en appliquant la relativité pour rester dans un cas généraliste
1
𝐷(𝑡)𝑅𝑒𝑙 =
𝑣2
6𝜋𝑚0 𝑇𝑐2 √1 − 2
𝑐
En agissant donc sur la vitesse ou l’accélération de cet élément, nous modifions une masse appelée masse
énergétique.
′′ ′2
𝐷(𝑡) 𝐷(𝑡)
𝑀(𝐷) = [ 2 − 3 ]
4𝜋𝐷(𝑡) 3𝜋𝐷(𝑡)
Cette théorie permet de donner une explication à l'expansion de notre univers cosmologique, et même à son
accélération
https://fr.wikipedia.org/wiki/Expansion_de_l'Univers
Et de sortir, ainsi, de la théorie de l'énergie sombre qui n'a jamais pu être démontré ; tout comme nous pour-
rions donner une autre explication avec l’effet Vialle.
https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89nergie_sombre
Donc, en agissant sur un ΔR(t) on obtient ΔTc , mais nous verrons qu'un ΔTc correspond à une variation de
notre temps réel ; donc 𝛥𝑇𝑐 = 𝛥𝑡
Nous allons voir dans le prochain chapitre comment construire un raisonnement à partir de variations de
sphères et comment agissent les interactions.
par contre, les applications de cette théorie peuvent être énormes et peuvent donner des résolutions à
des phénomènes encore non expliqués jusqu'à aujourd'hui
Nous n'en sommes qu'au début, cette théorie réserve encore beaucoup de surprises !
Nous allons voir dans le prochain chapitre comment agir sur cet espace fluidique pour engendrer une masse
énergétique qui va influer la masse volumique.
2𝑥6,67384 .10−11𝑥5,9722.1024
𝑅0 = = 0,0088694915 𝑚 = 9 mm
2997924582
L'unité du Vialle n'existe pas ; c'est une proposition de ma part (comme le hertz, le tesla, ...)
Le changement de repère ; se poster sur la périphérie de la sphère 1 : elle continue à grossir, mais nous gros-
sissons avec elle, c'est donc transparent pour nous (comme un ballon qui rebondie de haut en bas dans un
train ; l'observateur dans le train va voir une trajectoire rectiligne d'aller-retour et l'observateur à l'extérieur du
train va voir une trajectoire sinusoïdale : c’est la position de l’observateur qui modifie la trajectoire de la balle).
Si on assimile la sphère 1 à la terre, nous pouvons déterminer une origine temporelle quand la sphère énergé-
tique était égale au rayon de la terre. Le but recherché est d’avoir une référence commune aux 2 sphères. La
référence commune sera le rayon de la terre ; cela impliquera 2 références temporelles.
Ces calculs de temps sont abordés et expliqués plus loin.
Le temps cosmologique n'a pas d'origine réelle, mais la variation de temps cosmologique = variation de notre
temps réel.
En effet, quand nous regardons les graphes de la sphère (partie 1), dans notre univers, où les temps sont posi-
tifs, 1 seconde de notre temps correspond à 1 seconde du temps cosmologique. Mais, le temps cosmologique
n'a pas d'origine, par contre, notre temps réel en a une (t = 0). Le temps réel négatif n'existe pas, mais une
variation de notre temps réel peut être négative !
Nous pouvons donc prendre uniquement la variation d'une sphère par rapport à l'autre au commencement
d'une expérience ; c'est à dire au moment où nous modifierons la vitesse de rétraction de l'espace fluidique de
la sphère 2. Ce moment deviendra le temps origine (t0m) qui est attaché à la masse. Mais le seul paramètre
connu actuellement, c’est le rayon terrestre ; donc, nous calculerons un t0T pour la sphère énergétique terre
arrêté au rayon terrestre et un t0m pour la sphère énergétique de la masse arrêté en fonction du même rayon
terrestre. Il est tout à fait probable que nous allons trouver un temps origine t0m qui n’a pas encore été vécu ;
mais ce n’est pas grave, le but est de chercher des référence commune et exploitable.
Étant donné que la masse énergétique M(D) n'est fonction que de l'espace fluidique D(t), c'est sur cet espace
fluidique qu'il faudra agir pour faire subir le changement d'état de la sphère d'expansion R (t) de la masse.
Si nous augmentons la sphère d'expansion (en réduisant la corde spatiale), nous allons, dans un premier temps,
modifier la masse énergétique et dans un deuxième temps, la sphère 2 devrait pénétrer la sphère 1 pour créer
en son intersection un ellipsoïde. Le retour est possible en diminuant la sphère d’expansion (rallongement de
la corde spatiale), ce qui implique une disparition de l’ellipsoïde (voir plus loin ; cet ellipsoïde peut ne pas
exister).
En effet, quand nous allons fixer le début de l’expérience (qui va modifier l’état futur de la sphère 2), nous
allons fixer une juxtaposition des sphères. Cette juxtaposition est établie avec les temps t 0 calculés (pour
chaque masse) pour un rayon terrestre fixe.
Cette interprétation temporelle ouvre des voies sur les voyages intemporels, car le temps n’est plus considéré
comme une variable immuable !
Ceci est dû à la représentation du quadri-volume : Einstein avait considéré le temps comme un élément de
constitution du quadri-volume ; Le quadri-volume imaginé par RV, rentre le temps comme un paramètre ex-
térieur au quadri-volume pour sa constitution, mais également commun au quadri-volume pour son évolution :
ceci est extrêmement important !
Si tout se passe ainsi, nous pouvons nous retrouver sous cette configuration :
Cet ellipsoïde est entièrement énergétique, mais il est dû à la réunion de 2 sphères
d'expansion, il a donc un comportement d'une « sphère » d'expansion Re avec un
espace fluidique De et une bulle d'expansion R0e. La seule particularité, c'est qu'il
est éphémère, entièrement énergétique et qu’il n’a pas de masse propre.
Quand les sphères reprendront leur état normal d’évolution, il devrait disparaître.
Les sphères peuvent reprendre leur position d'origine, car avec les conditions po-
sées, nous ne verrons que les variations de sphère. Seulement, ici, comme la
sphère 1 c'est la terre, seule la sphère 2 se modifiera et nous garderons un contrôle
sur sa modification, pour ne pas changer l’état futur qui a déjà été vécu.
Par contre, le R0e qui n'est pas fonction du temps peut perdurer énergétiquement,
puisque nous avons vu que le R0 est constant pour une masse, et pour l’ellipsoïde
isolé, nous n’avons pas de masse. La masse fictive de l’ellipsoïde sera notée m e.
Ce retour sera étudié plus loin. Il faudra tout de même garder à l’esprit qu’il n’est
possible que si nous prenons les chemins inverses.
Attention : une autre interprétation est possible, si nous ne considérons que 2 sphères énergétiques ; elles
peuvent se repousser !
Un internaute « chercheur » a eu une bonne image pour représenter la sphère d'expansion : il l'imagine comme
un oignon qui a plusieurs couches et qui augmente ces couches à l'infini.
Je propose, tout simplement, de s'arrêter sur une couche n du passé, et de continuer à évoluer avec cette couche,
mais pour nous c'est transparent. Et à partir de cet endroit, nous tentons une expérience de masse énergétique,
et nous regardons ce qui se passe, en prenant le début de l'expérience comme origine du temps. Et à l'origine
du temps, nous pourrons toujours considérer la sphère 1 au rayon terrestre.
Le premier constat à faire ici : la modification ne se fait pas sur un volume de masse mais sur une énergie ou
un volume énergétique ! Et n’oublions pas que énergie = masse par vitesse2. A ce stade, nous pouvons faire
une remarque : Le fait d’appliquer une énergie extérieure, modifie l’expansion de la sphère. Donc l’énergie
apportée se substitue à une énergie intérieure qui, normalement, fait gonfler la sphère.
Le deuxième constat est qu’ainsi, l’état futur de la sphère d’expansion (2) sera modifié par cette « compensa-
tion ». Cependant, il faut considérer que cet état est un état qui peut ne pas être encore vécu, mais qu’il aurait
été vécu s’il n’y a pas de modification de ligne temporelle.
Le troisième constat : en choisissant ce changement de repère et une origine temporelle au moment de l'expé-
rience, nous pourrons voir un changement positif ou négatif de la sphère d'expansion, mais aussi du temps.
Nous considérons un temps passé, et dans ce temps passé, nous modifions le présent qui a été vécu (ou qui
pourrait être vécu). Nous changeons donc, le futur de ce présent vécu (ou à vivre).
Ainsi, si nous ne revenons pas dans la ligne temporelle déjà vécu, nous créerons un nouveau futur !
Les conséquences du changement de cette voie temporelle seront étudiées plus loin. Mais cela ouvre des ho-
rizons gigantesques.
III.2 La théorie sur les masses équivalentes (masse grave et masse inerte)
III.2.a Définition des temps cosmologiques origines
Faisons une représentation schématique des énergies ainsi posée (nous garderons une représentation avec el-
lipsoïde :
La partie blanche représente la terre à l’origine
temporelle t0 de la Terre = 𝑡0𝑇 .
Si nous remplaçons R(t) par le rayon de la terre et m0 par la masse de la terre, nous trouverons
𝑡0𝑇 = 380,348751 𝑠 à Mont de Marsan. Si nous prenons l’équation non simplifiée, cela ne changera le temps
qu’à 10-11 ; c’est donc négligeable à cette échelle de grandeur.
Ce temps est une constante pour un lieu déterminé, on pourrait dire que c’est le temps que met la gravité pour
venir du centre de la terre jusqu’à nous. C’est le temps qu’il faut pour que la terre ait une sphère énergétique
de rayon identique au rayon terrestre à l’endroit où l’on se trouve.
3 9
Quand on réinjecte ce temps t0T dans 𝑅(𝑡) = 2 𝐺𝑚 𝑇 𝑡02𝑇 on trouve le volume de la sphère d’expansion, et en
prenant la racine cubique, on trouve R = 6378162 m = Rayon terrestre à Mont de Marsan.
9 4𝐺𝑚 2
3
Si nous prenons l’équation non simplifiée 𝑅(𝑡) = 2 𝐺𝑚0 𝑇𝑐2 (1 + 3𝑐 3 𝑇0 ) , nous devrions multiplier le R par
𝑐
1,000000000000103753549744080873 ; c’est donc négligeable.
Ensuite, il faut calculer le deuxième temps t 0m, celui qui correspond à la masse qui va subir l’énergie extérieure.
C’est la sphère 2 et elle doit être tangente à la terre. Par contre, nous ne connaissons ni le volume, ni le temps
cosmologique de la masse. Or, pour pouvoir faire des calculs cohérents, il faut des éléments communs ; ΔR et
Δt. Donc, si nous voulons des ΔR et Δt communs aux 2 sphères, il faut qu’au départ elles soient tangentes,
mais aussi égales en volume. Ainsi, nous aurons les sphères 𝑅𝑇3 = 𝑅𝑚 3
0
𝑒𝑡 ∆𝑅𝑇 = ∆𝑡 = 0 à 𝑙 ′ 𝑜𝑟𝑖𝑔𝑖𝑛𝑒, ce qui
est tout à fait possible, puisque l’origine temporelle est fixé dans des temps déjà vécu (ou à vivre) ! Dans ce
cas nous connaissons le volume de la sphère énergétique de la masse m0.
Mais, aussi, nous aurons 2 temps cosmologiques origines 𝑡0𝑇 ≠ 𝑡0𝑚 . Pour cela, il faut reprendre la même
équation du calcul du temps cosmologique avec R(t) = rayon de la terre et m0 = masse à la surface de la terre
𝑡0𝑚 = 929499512797870,626461 𝑠 à Mont de Marsan pour une masse de 1 Kg.
Il est difficile de s’imaginer ces sphères énergétiques, car 𝑡0𝑚 = 29 454 062 𝑎𝑛𝑠 pour une masse de 1Kg. Si
en plus nous devons concevoir que c’est un temps déjà vécu, nous allons avoir du mal à se faire une représen-
tation cohérente. C’est pourquoi, nous pouvons considérer que cela peut être un temps qui pourrait être vécu
s’il n’y avait pas de modification de ligne temporelle par application d’une énergie extérieure.
Si nous raisonnons en référence temporelle, il faudrait 29 millions d’années pour que la sphère énergétique
d’une masse de 1 Kg soit aussi grosse que la Terre. Il faut donc faire abstraction de nos repères et imaginer
uniquement des sphères énergétiques. C’est pour cela que RV parle de temps cosmologique. Nous ne sommes
plus dans les mêmes références.
Voici une représentation de l’évo-
lution d’une sphère, avec les vraies
valeurs des constantes pour une
masse de 100 Kg en fonction du
temps (cosmologique).
L’axe des x est un axe temporel en
secondes.
L’axe des y est l’axe du volume de
la sphère en m3 pour la courbe
bleue ou le rayon de la sphère en m
pour la courbe en rouge.
3 9
Quand on réinjecte ce temps t0m dans 𝑅(𝑡) = 2 𝐺𝑚0 𝑡02𝑚 on trouve le volume de la sphère d’expansion d’une
masse m0, et en prenant la racine cubique, on retrouve R = 6378162 m = Rayon terrestre à Mont de Marsan.
Cela veut dire que les 2 sphères sont identiques et tangente au départ, à l’origine temporelle. Mais attention ;
l’origine temporelle serait plutôt une origine volumique énergétique. Avec les équations non simplifiées, il
n’y a aucun changement.
A Δt correspondra la variation de volume que va subir la sphère d'expansion de la masse (qui subit
l’énergie extérieure : sphère 2) dans son état futur.
tn = résultante temporelle, de façon à retranscrire le système dans un nouveau repère en tenant compte
de cet état futur. Mais comme nous avons 2 t0, alors il y aura 2 tn : 𝑡𝑛𝑇 ≠ 𝑡𝑛𝑚
Comme nous avons immobilisé les expansions, alors les t0 correspondent au temps cosmologiques de telle
sorte de rendre les sphères énergétiques égales et tangentes et ils sont constants (c’est l’origine du système).
Or, ce qui nous intéresse c’est tn. En effet, ce que nous voulons observer, c’est les interactions sphère 1 –
sphère 2, mais surtout l’action de la sphère 2 sur la sphère 1, après (ou pendant) un changement d’état futur.
De plus, nous avons vu que pour agir sur la masse énergétique, il faut agir sur D(t).
En fonction du graphique qui suit, nous pouvons poser la première équation de la résultante temporelle
𝑡𝑛𝑇 = 𝑡0𝑇 − 𝛥𝑡
𝑡𝑛𝑚 = 𝑡0𝑚 + 𝛥𝑡
En posant l’équation de la résultante temporelle ainsi et en fonction des graphiques que nous avons établi
précédemment, tnT ramène notre nouveau système modifié dans le système référentiel terre ; c’est en quelque
sorte, le transfert de repère. De plus, comme nous avons rendu la sphère énergétique de la terre identique au
volume de la terre, tnT sera un temps cosmologique identique à notre temps réel : celui que l’on mesure avec
nos chronomètres !
Nous avons le même raisonnement en considérant 𝑡𝑛𝑚 qui sera rapporté à la masse m.
Il m’a été difficile d’arriver jusqu’ici, il faut donc rappeler que les sphères énergétiques de chaque masse
4 3
constituant l'univers « grossit » en permanence selon l'équation 3 𝜋𝑅(𝑡) . 𝐷(𝑡) = 𝐺. Cette équation s'applique à
chaque masse, même au niveau atomique. Donc toutes les sphères énergétiques de toutes particules atomiques
sont déjà au fond de l’univers (depuis que le temps existe). Le fait de considérer une sphère énergétique avec
un certain volume n’est que théorique, pour permettre des calculs. N’oublions pas que nous pouvons considé-
rer un ensemble de particules en une seule sphère ; dans ce cas, la sphère n’a pas vécu le volume que l’on veut
lui imposer, mais c’est un volume qu’elle peut acquérir s’il n’y a pas de modification de ligne temporelle avec
l’application d’une énergie extérieure.
Bien sûr, si nous apparentons une sphère à une masse volumique, cette sphère ne se trouve pas encore au fond
de l’univers, elle n’a même pas le volume de la terre puisqu’il faut attendre 29 454 062 ans pour qu’une
masse de 1 Kg est le même volume énergétique que la terre. Mais, si cette masse de 1 Kg ne subit aucune
perturbation énergétique, elle aura le volume énergétique de la terre dans 29 454 062 ans. Par contre, si elle
subit une perturbation énergétique, dans 29 454 062 ans, elle n’aura pas le même volume énergétique de la
terre, ou quand elle aura le même volume énergétique de la terre, il ne se sera pas écoulé le même temps. Donc
nous modifions un état futur qui n’a pas encore existé !
Mais si nous modifions un état futur sans revenir sur la référence temporelle ancienne, nous modifierons aussi
le passé de cette sphère. Cette façon d’aborder peut expliquer les variations de vitesses de l’expansion de
l’univers. Mais nous y reviendrons plus tard. Et nous n’aurons pas de paradoxes temporels, puisque nous
serions sur une autre ligne temporelle.
Dans ce cas DRelativiste devient, car nous avons vu que l'on pouvait utiliser les formes simplifiées
1
𝐷𝑟𝑒𝑙 =
𝑉2
6𝜋𝑚0 𝑡𝑛2𝑚 √1 − 2
𝑐
Déterminons les termes de Drel
Le tn correspond à 𝑡𝑛𝑚 car il s’agit de la masse m0 qui modifie son espace fluidique
RV pose une hypothèse sur la cr de la sorte
𝑥
𝑉2 𝑡𝑛𝑚
√1 − = ( )
𝑐2 𝑡0𝑚
Au départ, nous avions posé une relation de temps de la sorte que 𝑡𝑛𝑇 = 𝑡0𝑇 − 𝛥𝑡 mais là, il s’agit de consi-
dérer la masse m0 ; donc 𝑡𝑛𝑚 = 𝑡0𝑚 + 𝛥𝑡 nous en avons déduit que
𝑡𝑛𝑚 𝛥𝑡
=1+
𝑡0𝑚 𝑡0𝑚
Voir l'annexe 9 pour la vérification de l'hypothèse
Nous avons défini que : « Quand nous appliquons une énergie extérieure à la masse m0, elle va modifier sa
sphère d'expansion (sphère 2) en modifiant sa masse énergétique M (D). Cette variation va avoir une répercus-
sion sur la sphère de la terre (sphère 1)».
Dessinons les courbes V = √𝐾𝑡 en bleu, sa dérivée en rouge, la dérivée seconde en vert
Nous constatons que nous sommes de la même forme que le graphique de la sphère d’expansion dans l’univers
1 (notre univers des temps positifs) partie 1.
Rappel de la partie 1 :
Faisons une représentation de la sphère d’expansion avec sa vitesse et son accélération à partir des équations
Pour avoir une dimension des constantes et une représentation possible, nous les calculerons pour une masse
m0 de 1.1010 𝐾𝑔 pour la sphère d'expansion.
R=f(Tc) nous obtenons une symétrie par rapport à l’axe des y (temps positif – temps négatif)
R’=f(Tc) nous obtenons une symétrie par rapport à l’origine 0 (temps positif – temps négatif)
R’’=f(Tc) nous obtenons une symétrie par rapport à l’axe des y (temps positif – temps négatif)
L’axe des (y) représentant la valeur de R(t) R’(t) et R’’(t) et l’axe des (x) représentant la valeur du Tc.
Donc la loi racine carré V = √𝐾𝑡 permet de modifier l’état futur de la sphère (dans l’univers 1) avec un con-
trôle de l’augmentation de la sphère.
Je vais faire, ici, un petit aparté mathématique concernant les nombres complexes :
(partie développée par RV qui lui a valu les félicitations d'un mathématicien !)
Un nombre complexe s'écrit 𝑧 = 𝑎 + 𝑖𝑏 : a est la partie réelle et b est la partie imaginaire
Pour rester dans la notation de RV, nous appellerons i = j
La propriété de j (partie imaginaire) est 𝑗 2 = −1
1 1 2
Donc 𝑗 = √−1 = (−1)2 dans ce cas 𝑗 2 = ((−1)2 )2 = −12 = −11 = −1 = solution complexe
mais les puissances se multiplient et la multiplication est commutative donc
1 1 1
𝑗 2 = ((−1)2 )2 = ((−1)2 )2 = 12 = √1 = 1 = solution réelle
Maintenant posons −√−𝐴 avec A réel positif. La solution d'une racine carrée négative ne peut être que com-
plexe, donc on peut dire
1 1 3
3
−√−𝐴 = −√𝑗 2𝐴 = −√𝑗 2 √𝐴 = −𝑗√𝐴 = −(−1)2 √𝐴 = (−1)(−1)2 √𝐴 = (−1)2 √𝐴 posons 2 = 2𝑥 = 𝑥2
On peut écrire
3
−√−𝐴 = (−1)2 √𝐴 = (−1)2𝑥 √𝐴 = ((−1)2 )𝑥 √𝐴 = 1𝑥 √𝐴 = √𝐴 = solution réelle
Et maintenant
1 5
5 3 2
+√−𝐴 = √𝑗 2𝐴 = (−1)(−1)√𝑗 2 √𝐴 = (−1)(−1)(−1)2 √𝐴 = (−1)2 √𝐴 or 2 = 2 + 2 = 2𝑥 + 1
On peut écrire
+√−𝐴 = (−1)2𝑥+1 √𝐴 = (−1)2𝑥 (−1)1 √𝐴 = ((−1)2 )𝑥 (−1)√𝐴 = (1)𝑥 (−1)√𝐴 = −√𝐴 = solution réelle
Nous nous occuperons de cette partie reconstruisant l’univers 2 plus tard, si nous en avons besoin, car, ce qui
nous intéresse pour le moment, c’est notre partie physique réelle ; c’est-à-dire l’univers 1.
Gardons en mémoire, cependant, qu’il y a des échanges permanents entre univers 1 et univers 2 grâce à ω0
d’une même masse. A chaque alternance de cette pulsation, nous avons un passage d’un univers à l’autre.
Revenons à nos moutons : V = √𝐾𝑡 et donc 𝑉 2 = 𝐾𝑡
La quantité d’énergie sera fonction de la masse à déplacer. Donc cette quantité d’énergie peut être déterminée
par le temps plus ou moins rapide qui fixera en fait la valeur de la quantité d’énergie à appliquer.
Rappel : L'énergie fournie par l'action d'une force sur une distance donnée est appelée travail.
Autrement dit E(J) = M.V2 (M . L2T-2) avec F(N) = M.a (M . LT-2) et W(J) = F.D (MLT-2 . L = ML2T-2)
∆𝑡
Donc, pour prendre en considération ce que nous venons de voir, nous allons agir sur un rapport temporel 𝜏
où Δt sera l’incrémentation temporelle (elle commencera à 0 = début de la phase) et terminera à τ qui sera la
fin de phase. Donc τ déterminera la quantité d’énergie (plus τ sera petit et plus la quantité d’énergie sera
élevée).
Attention, nous n’avons pas fait de relation entre le Δt réaction de la sphère et le Δt incrémentation temporelle
de l’énergie extérieure, pour le moment.
A partir de ce moment il y a 2 possibilités à étudier :
Soit on cherche à avoir une énergie contrôlée et dans ce cas nous sommes sous une loi racine carré : V = √𝐾𝑡
L’effet recherché sera une rétraction de corde spatiale et un gonflement de la sphère constant pendant tout le
temps où on applique l’énergie de modification (modification de l’état futur de la sphère de la masse m 0).
Cette façon de poser l’équation permet de revenir à un état origine. En d’autres termes, nous substituons une
partie de l’énergie qui fait gonfler la sphère (le fluide) par l’apport d’une énergie extérieure.
Soit, nous n’avons pas de contrôle sur la vitesse d’application de l’énergie et dans ce cas nous serons sous une
loi quelconque où V = 𝐾𝑡. Ce cas sera développé plus loin. Mais nous n’aurons aucun contrôle sur la modifi-
cation de l’état futur.
Nous démontrerons, un peu plus loin, l’existence (ou la non existence) de cet ellipsoïde.
∆𝑡
La loi racine carré sera 𝑉𝑎𝑐𝑐 = 𝑉𝑀𝑎𝑥 √ 𝜏
Où Δt commence à 0 (début accélération) et termine à τ et VMax étant la vitesse cible atteinte en fin de phase
accélération. En respectant cette loi, nous faisons un retrait de la corde spatiale contrôlé.
𝑉2
𝑚𝑎𝑐𝑐 = 𝛼𝑎𝑐𝑐 𝑚0 √1 −
𝑐2
2
𝑥2 𝑥 𝑣𝑀𝑎𝑥
𝑎𝑣𝑒𝑐 𝛼𝑎𝑐𝑐 = − − + 1 𝑒𝑡 𝑥 =
2 2 2𝐾 √𝑚0 𝜏
m0 étant la masse au repos.
Cela veut déjà dire quand on apporte une énergie à une masse m0, cette masse m0 est affectée par un coefficient
α : l'effet Vialle provoque une « variation de masse » !
Mais attention à la compréhension : ce n’est pas la masse volumique ; c’est la masse énergétique !
Nous retombons sur les mêmes équations de RV mais en changeant l'hypothèse de départ, en cherchant le
quadri-volume d'une sphère : ce qui est plus compréhensif (à mon avis).
Cela veut dire que quel que soit la forme de la sphère d'expansion nous retomberons toujours sur les mêmes
résultats.
Attention : Pour en arriver jusque-là, j’ai décodé les notes de RV en passant par les vitesses d’application de
l’énergie extérieure. J’ai en plus changé le postulat de départ dans la forme de l’équation de départ pour une
4
meilleure compréhension ( 𝜋𝑅3 . 𝐷 = 𝐾 𝑎𝑢 𝑙𝑖𝑒𝑢 𝑑𝑒 𝑅3 . 𝐷 = 𝐾). Mais, une autre personne peut essayer une
3
autre méthode pour en arriver là.
𝑉2
Nous pouvons changer M(D) que nous avons vu dans la première partie par 𝑚𝑎𝑐𝑐 = 𝛼𝑎𝑐𝑐 𝑚0 √1 − 𝑐 2
Le constat à faire ici : la masse énergétique relativiste n'est pas similaire à la masse relativiste d'Einstein et en
plus cette masse est affectée d'un coefficient α.
Comme x est fonction d'éléments positifs, alors x sera positif et la fonction α = f(x) sera négative et partira de
α = 1 pour x = 0.
Nous verrons plus tard quelles sont les conséquences de ce constat (très important).
Retour table des matières
Je vous propose de faire un graphique et de comparer avec d’autres expériences qui ont été réalisée avec une
énergie thermique (http://promtecno.org/Fichier/Relation_masse_energie.pdf)
0,0282775
0,028277
0,0282765
0,028276
0,0282755
0,028275
0,0282745
0,028274
0 5 10 15 20 25 30 35
L’axe des abscisses est le temps, l’axe des ordonnées est la valeur de M(D) théorique, mais nous avons vu que
cela était proche de l’expérimentation. Nous nous apercevons qu’à partir de 4 secondes, la masse énergétique
est pratiquement stable. Ce temps de stabilisation n’est pas remarqué par l’expérience, mais il est remarquable
avec l’énergie thermique.
Quand nous regardons ces courbes, elles sont similaires, et pourtant les
énergies ayant provoqué l’effet Vialle ne sont pas les mêmes !
Il a fallu tout de même attendre plus d’une journée, pour avoir une
stabilité de lecture. A partir du 7ème jour, nous avons une stabilité des
pesées. Cette remarque importante permet d’enlever le doute d’arra-
chement ou d’éjection de matière.
Il y a donc une relation entre l’énergie et le temps. L’effet est visible
sur des temps courts.
Cette constatation de non stabilisation de la lecture est importante, car
elle valide l’effet Vialle : il n’y a pas eu d’éjection de matière !
Au départ, la notion de masse vise à caractériser la quantité de matière contenue dans un objet. Mais en fonc-
tion du lieu, de l'altitude, des conditions extérieures ... le poids est différent (le poids est une force) mais la
quantité de matière est toujours la même. Donc il faudra définir plusieurs types de masse pour que la quantité
de matière soit toujours la même.
Masse pesante ou grave :
Cette masse a été défini par Newton comme « l'attraction universelle » car il a remarqué que 2 objets de masses
𝑚 𝑚
m1 et m2 s'attirent avec une force 𝐹 = 𝐺 𝑑1 2 2
Tout d'abord le poids 𝑃⃗ = 𝑚𝑔 la masse prise en considération est la masse pesante (ou masse grave ou gravi-
tationnelle).
la gravitation étant supposée « universelle », tous les corps s'attirent les uns les autres, la force de gravitation
est donc proportionnelle à la quantité de matière.
𝑚𝑝 𝑀𝑇
Le calcul de cette force est 𝑃 = 𝐺 𝑅2 où G = 6,67384.10-11 N.m²/Kg² (ou m3/Kg.s²)
𝑇
MT = 5,9722.1024 Kg
RT = 6378110 m (à bordeaux ou MdM)
Quand on regarde les unités, P est bien une force en N (ou m.Kg/s²)
𝐺𝑀
Quand on calcule 𝑅2𝑇 , 𝑜𝑛 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒 9,8 = 𝑔 l'unité est m/s²
𝑇
2
𝑃𝑅𝑇
Donc 𝑚𝑝 = 𝐺𝑀 .
𝑇
C’est-à-dire qu’une masse de 1 Kg n’est plus attirée par la terre à une altitude de 13588812 m
Masse inertielle ou inerte :
En accord avec la mécanique classique, selon la seconde loi de Newton, si une force agit sur un corps, celui-
ci acquerra une accélération directement proportionnelle à la force appliquée, où la constante de proportion-
nalité serait sa masse inertielle (mi). Bien sur, il est d'autant plus difficile de bouger un objet que sa masse est
élevée. Par conséquent, une force constante pourrait augmenter la vitesse d’un objet de manière illimité. Cet
aspect serait en contradiction avec l’impossibilité de dépasser la vitesse de la lumière de la mécanique relati-
viste. De là est née la relativité
𝐹
Donc 𝑚𝑖 = ⃗𝛾
𝑝 𝑚0
masse transversale (ou masse relativiste) : 𝑣 = 2
√1−𝑣2
𝑐
V
𝑐2 1
masse cinétique (définie plus loin) : 𝑚𝑐 = 2𝑚0 𝑣2 ( 2
− 1)
√1−𝑣2
𝑐
Masse au repos (ou masse propre) (m0) n'est autre que la masse de la mécanique Newtonienne à la limite de
petites vitesses par rapport à celle de la lumière. Ne perdons pas de vue que la masse est constante puisque
c'est une quantité de matière.
D’ailleurs, m0 = mp = mi = mrel à vitesse faible par rapport à c
D’ailleurs, il semble que ce fut Olinto de Pretto, un industriel et mathématicien Vénitien, qui publia la première
fois la formule E = m c² dans une revue scientifique appelée Atte, en 1903.
Nous savons qu’Einstein est arrivé à cette équation suite à sa Théorie de la Relativité et à son étape antérieure
déduite de la formule de la masse relativiste :
𝑚0
𝑚𝑟𝑒𝑙 =
2
√1 − 𝑣2
𝑐
1 𝑣2
Masse cinétique : 𝑚𝑐 = 𝑚𝑟𝑒𝑙 − 𝑚0 ou bien 𝑚𝑐 = 2 𝑚0 𝑐 2
En changeant de point de vue, la masse prend de la vitesse quand on lui applique une force.
De là, on peut conclure que : la masse globale sera composée de la masse au repos et de l’augmentation de la
masse due à l’augmentation de la vitesse. Cette augmentation de masse peut être appelée masse cinétique et
elle est équivalente à l’énergie cinétique divisée par c².
Masse globale (ou masse Totale) : 𝑀𝑇 = 𝑚0 + 𝑚𝑐
Référence : http://fr.wikipedia.org/wiki/Masse#Masse_au_repos
http://www.molwick.com/fr/relativite/235-masse-energie.html
http://www.scientiaestudia.org.br/associac/paty/pdf/Paty,M_1999n-MassNewtEinst.pdf
http://o.castera.free.fr/pdf/Masse.pdf
𝑥2 𝑥
Nous allons faire une représentation de α = f(x) 𝛼=− −2+1
2
𝑉2
Comme 𝑥 = 2𝐾𝑀𝑎𝑥 il est fonc-
𝑚 𝜏
√ 0
tion de paramètres toujours posi-
tifs, alors le domaine exploitable
sera x > 0 (courbe rouge).
http://grapheur.cours-de-math.eu/
Si nous remplaçons α par sa valeur et comme nous sommes à petite vitesse on prendra la cr = 1, nous trouve-
rons
𝑚𝑔𝑎𝑐𝑐 = 𝑚0 − 𝛥𝑚𝑎𝑐𝑐
𝑥2 𝑥
𝛥𝑚𝑎𝑐𝑐 = 𝑚0 ( + )
2 2
𝛥𝑚𝑎𝑐𝑐 = 𝑚0 (1 − 𝛼𝑎𝑐𝑐 )
Or ce Δmacc = ΔM(D)
𝑉2
Δmacc est fonction de x (qui est sans unité) mais toujours positif. Je rappelle que 𝑥 = 2𝐾𝑀𝑎𝑥 et comme VMax,
𝑚 𝜏
√ 0
𝑥2 𝑥
K, m0 et τ sont positifs donc le signe de Δm acc sera fonction du signe de ( + ) qui sera toujours posi-
2 2
tif puisque x sera positif ; donc la masse gravitationnelle énergétique aura un effet de dégravitation permanent.
Je rappelle que VMax est une vitesse cible, donc une vitesse fixée, que K est fixée pour un lieu, que m0 est la
masse volumique au repos qui est intrinsèque, donc fixe, et que τ est un temps fixée qui détermine la valeur
de l’accélération pour atteindre VMax ; donc Δmacc est fonction de la puissance de l’énergie extérieure qui agit
sur la masse pour modifier sa sphère d’expansion (sphère 2), et donc, le ∆𝑚𝑎𝑐𝑐 = ∆𝑀(𝐷) .
A toutes masses correspond un centre de gravité qui a une position dans l’espace bien définie. Donc, m0, au
repos, a un centre de gravité avec des coordonnées fixes par rapport à la représentation spatiale de la masse.
Quand on « énergise » la masse m0, on détecte un Δmacc. Donc, ce Δmacc est la quantité de masse énergétique
dû à la variation de volume de la sphère d’expansion de la masse m0 pour devenir la sphère de la masse mgacc
qui est une sphère dans un état futur qui n’aurait pas dû être atteint au moment de l’observation.
Je ne parle plus d’ellipsoïde, car nous allons voir plus loin que la distance qui sépare les 2 centres des sphères
énergétiques (masse et terre) n’est pas constante.
Tout ceci ne sont que des suppositions que l’on va essayer de démontrer.
Il reste encore à bien visualiser comment agissent ces modifications de masse énergétique.
Cependant, un point n’est pas développé dans cette théorie ; c’est le déplacement des centres de gravité ou
centres de masse. Quand nous restons dans un cas relativement général, nous n’avons pas suffisamment de
données pour explorer cette voie. Il faudra garder ceci en mémoire, et rentrer dans le détail lors d’expérimen-
tations. Nous essayerons tout de même une approche avec les sphères énergétiques.
Cela a été le résonnement de RV, en utilisant des vecteurs gravitationnels et des réactions Terre/masse et
masse/Terre … J’avoue avoir des incompréhensions dans son résonnement et nous allons essayer de continuer
d’un autre point de vue.
𝑥2 𝑥
Voyons comment réagit Δmacc en fonction de x 𝛥𝑚𝑎𝑐𝑐 = 𝑚0 ( 2 + 2 )
Dans ce graphique les bornes
n’ont pas été représentées pour la
courbe en bleu. Mais la courbe en
rouge représente la partie où x est
positif. C’est la partie qui sera ex-
ploitée puisque x est toujours po-
sitif.
Nous voyons donc que Δmacc est
toujours positif dès le départ.
Comme
𝑚𝑔𝑎𝑐𝑐 = 𝑚0 − 𝛥𝑚𝑎𝑐𝑐
Alors mgacc sera toujours inférieur
à m0.
𝑥2 𝑥
Comme 𝛥𝑚𝑎𝑐𝑐 = 𝑚0 ( 2 + 2)
dès que nous passons la valeur 1,
nous devrions avoir une masse m0 en « lévitation ».
2
𝑣𝑀𝑎𝑥
Faisons une représentation de x en fonction du temps τ avec une vitesse cible (V Max) fixé 𝑥 =
2𝐾√𝑚0 𝜏
Attention : l’axe des x est l’axe
temporel et l’axe des y est l’axe de
la valeur de x en fonction de τ.
Fixons VMax = 15m/s, K=96m2/s3,
m0=0,5kg
Comme le temps réel de notre uni-
vers (univers 1) est toujours posi-
tif, c’est donc la courbe rouge qui
sera exploitée.
Attention : la forme de l’hyperbole
est fonction de la vitesse cible et
de la masse m0.
http://grapheur.cours-de-math.eu/
Nous retiendrons que plus le temps τ augmente, plus x diminue. En d’autres termes, si τ augmente ; cela veut
dire que l’accélération est de moins en moins forte, donc l’énergie apportée est moins importante, donc x
diminue ; nous avons moins d’effet de masse énergétique.
𝑥2 𝑥
Pour que ∆𝑚𝑎𝑐𝑐 ≥ 𝑚0 , puisque 𝛥𝑚𝑎𝑐𝑐 = 𝑚0 ( 2 + 2), nous nous apercevons que pour dégraviter, il faut que
x>1
Théoriquement, on pourrait dégraviter à l’infini. Seulement, nous sommes limités mécaniquement.
Par exemple :
Influence de la masse pour une vitesse cible déterminée
Pour dégraviter, il faut x > 1 (x est l’axe des y et τ est l’axe des x)
Pour dégraviter, il faut x > 1 (x est l’axe des y et τ est l’axe des x)
Cela veut dire qu’une masse de 1 Kg tractée avec une Porsche serait capable de rentrer en lévitation. Je n’ai
pas la possibilité de le vérifier !
Attention ; avis aux amateurs ; il faut que la sphère d’expansion de la masse de 1 Kg soit à l’extérieur de la
sphère d’expansion de la Porsche. Il faut donc que la masse soit tractée !
Je rappelle que ce cas étant tout de même un cas général, n’est applicable que pour une configuration de
disposition spatiale particulière de 2 masses. Il n’est donc généralisable que pour des cas particuliers de prise
en compte et de disposition.
Si un heureux possesseur d’une voiture type Porsche, Ferrari, Lamborghini, Bugatti, … veut tenter une expé-
rience ; qu’il me contacte, je fournirai la masse de 1 kg et la longueur de corde nécessaire !
Il faut noter cependant que mgacc n’est pas le seul paramètre à prendre en considération pour faire de la lévita-
tion. Même si mgacc est inférieur à m0 il peut ne rien se passer, car ce qui provoque la lévitation, c’est une force
qui doit contrer la pesanteur pour mettre une masse m 0 en lévitation.
Donc, les forces de poussée qui tente à remettre le système en équilibre sont dues
Soit à l’énergie qui se trouve dans cet ellipsoïde s’il existe
Soit tout simplement avec la loi universelle de gravitation de Newton (2 masses s’attirent)
Dans la première partie, nous avions déterminé l’équation qui définit la sphère d’expansion
3 9
𝑅(𝑡) = 𝐺𝑚0 𝑇𝑐2
2
Nous resterons sur les équations simplifiées puisque nous sommes avec des petites masses.
Equation de la sphère Terre (RT) :
9
𝑅𝑇3(𝑡) = 𝐺𝑚𝑇 𝑡02𝑇
2
N’oublions pas que nous avons fixé le temps pour déterminer une sphère d’expansion égale au rayon terrestre
(temps déjà vécu) ; donc, la masse sera la masse de la terre (mT) et le temps cosmologique sera le temps fixé
et calculé pour ces conditions (t0T = 380,299 s à Mont de Marsan).
Equation de la sphère de la masse m0 (Rm0) :
9
𝑅𝑚3
= 𝐺𝑚0 𝑡02𝑚
0 (𝑡)
2
Cette sphère d’expansion est l’état de la sphère 2 avant l’application de l’énergie extérieure. Jusqu’à mainte-
nant, on s’en était passé parce que nous raisonnions sur des variations de sphères. Donc, la masse sera la masse
au repos (m0), mais nous devrons prendre le temps cosmologique approprié à l’égalité des volumes des sphères
(t0m = 9,295.1014 s). N’oublions pas que nos sphères sont tangentes et égale en volume. C’est aussi un temps
déjà « vécu » ou qui sera vécu si rien ne se passe.
Nous pouvons remarquer que ces 2 équations sont constantes, nous sommes toujours en accord avec ce qui a
été posé au début : Arrêter un temps déjà vécu pour observer les interactions des sphères. Et
𝑅𝑇3(𝑡) = 𝑅𝑚3
0 (𝑡)
Notons que Δt est très petit devant t 0m, de même que V est petit devant c, donc nous pouvons nous représenter
R3mgacc = α𝑎𝑐𝑐 𝑅𝑇3(𝑡) en prenant en compte que αacc < 1
(t)
Quand on essaye de faire des applications numériques, nous pouvons nous trouver sous des configurations
particulières.
Par contre, nous avons un souci par rapport au postulat de départ : La sphère devrait gonfler en permanence.
Or, quand nous regardons le graphique cela ne fonctionne pas correctement pour 1 < 𝛼𝑎𝑐𝑐 < −1.
Maintenant, nous avons une sphère de la masse m 0 qui augmente de ΔR : C’est la nouvelle sphère de rayon
𝑅𝑚𝑔𝑎𝑐𝑐 = 𝑅𝑚0 + ∆𝑅
En remplaçant
3
𝑅𝑚𝑔𝑎𝑐𝑐 = 𝑅𝑚0 + (1 − 𝛼𝑎𝑐𝑐 )𝑅𝑚0
4
En factorisant
7 3
𝑅𝑚𝑔𝑎𝑐𝑐 = 𝑅𝑚0 ( − 𝛼𝑎𝑐𝑐 )
4 4
Prenons quelques valeurs de 𝛼𝑎𝑐𝑐 :
7 3 4
Si 𝛼𝑎𝑐𝑐 = 1, alors 𝑅𝑚𝑔𝑎𝑐𝑐 = 𝑅𝑚0 ( − ) = 𝑅𝑚0 ( ) = 𝑅𝑚0 : cela correspond à la condition de départ
4 4 4
1 7 3 11
Si 𝛼𝑎𝑐𝑐 = , alors 𝑅𝑚𝑔𝑎𝑐𝑐 = 𝑅𝑚0 ( − ) = 𝑅𝑚0 ( ) = 1,375 𝑅𝑚0 : la sphère grossit
2 4 8 8
7
Si 𝛼𝑎𝑐𝑐 = 0, alors 𝑅𝑚𝑔𝑎𝑐𝑐 = 𝑅𝑚0 (4) = 1,75 𝑅𝑚0 : la sphère grossit un peu plus
1 7 3 17
Si 𝛼𝑎𝑐𝑐 = − 2, alors 𝑅𝑚𝑔𝑎𝑐𝑐 = 𝑅𝑚0 (4 + 8) = 𝑅𝑚0 ( 8 ) = 2,125 𝑅𝑚0 : la sphère grossit un peu plus
7 3 10
Si 𝛼𝑎𝑐𝑐 = −1, alors 𝑅𝑚𝑔𝑎𝑐𝑐 = 𝑅𝑚0 ( + ) = 𝑅𝑚0 ( ) = 2,5 𝑅𝑚0 : la sphère grossit un peu plus
4 4 4
7 6 13
Si 𝛼𝑎𝑐𝑐 = −2, alors 𝑅𝑚𝑔𝑎𝑐𝑐 = 𝑅𝑚0 (4 + 4) = 𝑅𝑚0 ( 4 ) = 3,25 𝑅𝑚0 : la sphère grossit un peu plus
Nous sommes toujours en accord avec le postulat de départ. C’est ainsi que nous allons continuer !
α agit sur l’accélération volumique de la sphère d’expansion.
Nous allons maintenant développer une équation qui définit la distance d qui sépare le centre des 2 sphères
énergétiques
11 3
𝑑𝑎𝑐𝑐 = 𝑅𝑚0 ( − 𝛼𝑎𝑐𝑐 )
4 4
Si nous faisions une représentation des sphères énergétiques pour les différentes valeurs de 𝛼𝑎𝑐𝑐
Avec cette représentation dessinée à l’échelle, nous nous apercevons que l’ellipsoïde n’existe pas !
Au fur et à mesure que nous changeons la valeur de 𝛼𝑎𝑐𝑐 , nous remarquons bien une augmentation de la sphère
d’expansion de la masse énergétique 𝑅𝑚𝑔𝑎𝑐𝑐 . Nous sommes bien en concordance avec le postulat de départ.
Soit deux sphères de rayons R et r situés le long d’un axe x-centré à (0,0,0) et (d, 0,0), respectivement.
L'analyse est similaire au cas de l'intersection cercle-cercle. Les équations des deux sphères sont
(1)
(2)
A partir de (1) on déduit que 𝑦 2 + 𝑧 2 = 𝑅2 − 𝑥 2 que l’on combine dans (2) pour donner
(3)
Développement et isolement des rayons
(4)
Les x2 s’annulent. On peut en déduire x
(5)
L'intersection des sphères est donc une courbe située dans un plan parallèle au plan (yz) à une seule coor-
donnée x. A partir de la solution (5), on peut la réintroduire dans (1) pour donner
(6)
(7)
(9)
Passer de la ligne (8) à la ligne (9) n’est pas développé, ici, mais on y arrive avec une succession de
a2 – b2 = (a + b) (a - b) Attention la ligne 9 est fausse ! Elle devrait s’écrire :
1 1
𝑎= [(𝑅 + 𝑑 + 𝑟)(𝑅 + 𝑑 − 𝑟)(𝑅 + 𝑑 + 𝑟)(−𝑅 + 𝑑 + 𝑟)]2
2𝑑
Le volume de la lentille tridimensionnel commun aux deux sphères peut être trouvé en ajoutant les deux ca-
lottes sphériques. Les distances effectuées par les centres des sphères pour les bases des bouchons sont
(10)
(11)
de sorte que les hauteurs des bouchons sont
(12)
(13)
Le volume d'une calotte sphérique d'une hauteur h’ pour une sphère de rayon R’ est
http://www.editions-petiteelisabeth.fr/calculs_volume_calotte_spherique.php
(14)
Laisser R1 = R et R2 = r et en additionnant les deux calottes, cela donne
(15)
(16)
Il en est de même pour le passage de la ligne (15) à (16) avec (12), (13) et (14) ; le développement serait trop
long à faire ici, mais je vous invite à le refaire
Cette expression donne V = 0 pour d = r + R car les sphères seraient tangentes.
Dans le cas r = R, c’est-à-dire que les 2 sphères sont identiques, le volume se simplifie
(17)
http://mathworld.wolfram.com/Sphere-SphereIntersection.html
Représentons ceci à nos variables en
considérant un cas général de croise-
ment :
La distance qui sépare le centre des 2
11 3
sphères 𝑑𝑎𝑐𝑐 = 𝑅𝑚0 ( 4 − 4 𝛼𝑎𝑐𝑐 )
Considérons la petite sphère à la terre,
car à l’origine les 2 sphères sont égales
et c’est la sphère de la masse qui grossit
𝑟 = 𝑅𝑇
Donc la grosse sphère de rayon R, sera
notre masse énergétique dans son état
7 3
futur 𝑅 = 𝑅𝑚𝑔𝑎𝑐𝑐 = 𝑅𝑚0 (4 − 4 𝛼𝑎𝑐𝑐 )
Notons que nous utilisons les équations
sans la condition relativiste. C’est
comme si nous considérions les sphères
à un temps figées.
𝑑2 −𝑟 2+𝑅2
Le plan de croisement des sphères, se situe à une distance 𝑥 = 2𝑑
En remplaçant, nous trouvons
𝑅𝑇 (7 − 3𝛼𝑎𝑐𝑐 ) 𝑅𝑇
𝑥= = (7 − 3𝛼𝑎𝑐𝑐 ) = 𝑅𝑚𝑔𝑎𝑐𝑐 = 𝑅
4 4
Cela veut dire qu’il ne peut pas y avoir d’ellipsoïde ! C’est donc confirmé.
Cependant, notons qu’une masse « volumique » a un centre de gravité, donc une masse énergétique a aussi un
centre de gravité. Au départ, quand les sphères énergétiques sont égales en volume, la distance qui sépare les
centres de gravité c’est 𝑑0 = 2 𝑅𝑚0 (quand 𝛼𝑎𝑐𝑐 = 1).
Quand nous appliquons une énergie (𝛼𝑎𝑐𝑐 < 1) pour faire apparaître une 𝑚𝑔𝑎𝑐𝑐 , le centre de gravité de la
11 3
sphère énergétique va être déplacé d’une distance 𝑑𝑎𝑐𝑐 = 𝑅𝑚0 ( 4 − 4 𝛼𝑎𝑐𝑐 ). Comme la masse « volumique »
ne change pas, les centres de gravité vont tendre à se rejoindre ; nous aurons
∆𝑑 = 𝑑𝑎𝑐𝑐 − 𝑑0
En remplaçant les valeurs
11 3
∆𝑑 = 𝑅𝑚0 ( − 𝛼𝑎𝑐𝑐 ) − 2 𝑅𝑚0
4 4
Factorisation
11 3
∆𝑑 = 𝑅𝑚0 ( − 𝛼𝑎𝑐𝑐 − 2)
4 4
Mise en facteur
3
∆𝑑 = 𝑅𝑚0 (1 − 𝛼𝑎𝑐𝑐 )
4
Quand 𝛼𝑎𝑐𝑐 = 1, c’est-à-dire au départ, nous avons ∆𝑑 = 0, ensuite ∆𝑑 augmente selon la valeur de 𝛼𝑎𝑐𝑐
Nous sommes toujours en accord avec le départ.
Regardons et comparons 2 cas (𝛼𝑎𝑐𝑐 = 1 𝑒𝑡 0)
La force 𝐹1 diminue si 𝛼𝑎𝑐𝑐 continue à augmenter (dans les négatifs) (entre -2 et -6) !
Comprenons bien cette équation : La force F1 agit comme le poids sur la terre, elle est dirigé vers la terre, à
part qu’ici, le poids d’une masse est multiplié par un coefficient fonction de 𝛼𝑎𝑐𝑐 .
Cette force va tendre à « déplacer » la terre : Si je me pèse sur un pèse personne (80kg), je prends un poids de
2kg dans la main, la balance indiquera 82kg. Maintenant je fais subir une accélération vers le haut en montant
le poids de 2kg, la balance indiquera un poids supérieur à 82kg. Donc, si j’ai une valeur de poids qui augmente,
j’ai une accélération qui est opposé à la gravitation. Donc si 𝐹𝑚𝑔𝑎𝑐𝑐/𝑚𝑇 est positive, alors, je dois avoir une
accélération opposée à la gravitation !
Dans ce tableau, nous remarquons le changement de signe. Mais traçons la fonction représentée par la cons-
16𝛼
tante [7−3𝛼𝑎𝑐𝑐 ]2 :
𝑎𝑐𝑐
L’axe des x représente la valeur de 𝛼𝑎𝑐𝑐 et l’axe des y
représente la valeur de la constante.
La courbe du domaine utilisé par 𝛼𝑎𝑐𝑐 < 1 est en bleu
Chose intéressante, nous avons un point d’inflexion.
Pour chercher ce point d’inflexion, il faut passer par
les dérivées secondes.
Je propose une méthode empirique non scientifique ;
c’est de faire confiance aux outils informatiques :
Cette constante (ou cette valeur de 𝛼𝑎𝑐𝑐 ) donnera la force maximale de dégravitation.
Les expériences devront démontrer que soit si nous recherchons un 𝛼𝑎𝑐𝑐 = 0, nous pourrions être en apesan-
teur, soit il faut générer une force F1 égale au moins au poids de la masse m0 mais de signe contraire pour se
trouver en apesanteur. Obtenir un 𝛼𝑎𝑐𝑐 = 0 est relativement facile, par contre générer un 𝛼𝑎𝑐𝑐 de telle sorte
que la force soit égale au moins au poids d’un objet mais de signe contraire ; n’est pas possible en effet pure-
ment mécanique !
Cependant, théoriquement, nous devrions dégraviter
Il est donc primordial de passer à des expérimentations, car il est certain que nous allons rencontrer des sur-
prises qui vont surement modifier les affirmations théoriques. Mais nous devons auparavant continuer la théo-
rie pour comprendre la base de fonctionnement.
Rappelez-vous, nous sommes en phase accélération terminé, nous avons changé le volume de la sphère éner-
gétique de la masse. Nous avons donc modifié un état futur. Il faut voir comment revenir sur la ligne tempo-
relle ; car si nous en restons là, nous changeons également son passé.
Mais comme nous avons appliqué une loi d’accélération en racine carré, cela permet d’avoir un 𝛼𝑎𝑐𝑐 constant
et donc maîtrisé. Il faut donc étudier le comportement de la masse lors de la restitution d’énergie.
Nous étudierons également d’autres configurations (pas ou plus d’énergie extérieure et apport d’énergie exté-
rieure non contrôlé)
Le temps s’écoule ; donc la sphère énergétique de la terre augmente son volume, mais c’est transparent pour
notre repère puisque nous évoluons avec elle (couche n de l’oignon). Mais par contre, la sphère de la masse
va grossir naturellement.
Nous avions calculé le 𝑡0𝑚 = 929499512797870,6264𝑠 pour une masse de 1 Kg. Dans ce cas, nous retrou-
vons le rayon de la sphère énergétique R = 6378162 m, donc si nous appliquons une accélération pour modifier
la sphère énergétique de la masse, Nous devons raisonner sur des variations de sphère par rapport à des varia-
𝛥𝑅 2𝐺𝛥𝑀(𝐷)
tions de temps, donc à partir de =√
𝛥𝑡 𝑅𝑇
Comme nous regardons uniquement le gonflement naturel de la sphère de la masse, alors ΔM(D) = m0
2𝐺𝑚0
La variation de sphère devient ∆𝑅 = √ ∆𝑡 ; ce qui donne pour une masse de 1 Kg
𝑅𝑇
Pour un Δt = 1 s, alors ΔR = 4,5747.10-9 m c’est-à-dire 1/1000ème de micromètre
Pour un Δt = 10 s, alors ΔR = 4,5747.10-8 m c’est-à-dire 1/100ème de micromètre
Nous pouvons, supposer que l’énergie qui sera modifiée par le gonflement naturel de la sphère peut être né-
gligeable, car les temps d’accélération seront relativement courts.
Il faut cependant retenir, que, l’énergie qui sera récupérable sera fonction de l’accélération énergétique ; plus
l’accélération sera forte, plus l’énergie emmagasinée sera grande. Donc, plus le temps sera court, mieux ce
sera.
3
Ainsi, le gonflement naturel de 𝑅𝑚𝑔 𝑎𝑐𝑐
peut être négligé.
Un autre point n’a pas été exploré ; c’est l’utilisation des équations sous leur forme générale. La conclusion
est que nous pouvons utiliser les équations simplifiées pour des masses raisonnables.
′ 2𝐺𝑀(𝐷) ′ 2𝐺𝑚0
L’équation de la vitesse volumique de la nouvelle sphère d’expansion 𝑅(𝑡) =√ redevient 𝑅(𝑡) =√
𝑅(𝑡) 𝑅(𝑡)
avec m0 étant la nouvelle masse de référence.
Cela veut dire, qu’à vitesse constante, il n’y aura aucun effet de la masse énergétique, mais aussi que la masse
énergétique reste à sa dernière valeur acquise.
Ainsi, au niveau des sphères énergétiques, nous restons dans la dernière configuration acquise.
En d’autres termes, si nous changeons l’état futur d’une sphère, nous changeons la ligne temporelle,
puisqu’ensuite le temps normal s’écoule.
Nous ne reviendrons dans la ligne temporelle d’origine uniquement si nous restituons l’énergie qui a provoqué
la modification.
En conclusion, les effets n’apparaissent que lorsqu'il y a modification des sphères d'expansion. Attention cette
modification peut apparaître sur des sphères à vitesse constante mais sur des trajectoires non constantes
(ellipse, par exemple), dans ce cas, il peut apparaître une modification des sphères à cause des trajectoires non
constantes (voir application sur les planètes, dans la synthèse).
La masse énergétique n'intervient que si l'objet est en mouvement accéléré (positif ou négatif).
Attention : quand j'écris modification des sphères d'expansion, il faut comprendre modification des variations
des sphères d'expansion !
Retour au chapitre 3
A la décélération (restitution de l’énergie qui a provoqué le changement de l’état futur), le phénomène con-
traire doit se passer : la variation de la sphère d'expansion de la masse doit revenir dans sa position origine,
pour ne pas modifier la ligne temporelle. Ce qui a pour conséquence de revenir dans la position d'origine des
2 sphères :
Donc, l’état futur (par exemple) devient la nouvelle origine temporelle de la masse (𝑡0𝑑é𝑐𝑚 ),nous restituons
l’énergie qui a modifié l’état futur selon un temps Δtdéc, dans les mêmes conditions, c’est-à-dire avec une loi
racine carré, pour revenir sur la ligne temporelle d’origine qui deviendra le 𝑡𝑛𝑑é𝑐𝑚 . Donc
𝑡𝑛𝑑é𝑐𝑚 = 𝑡0𝑑é𝑐𝑚 − ∆𝑡𝑑é𝑐
Attention : ce 𝑡𝑛𝑑é𝑐𝑚 correspondra au 𝑡0𝑚 à l’origine. Nous allons voir si les Δt sont les mêmes.
La loi racine carré de décélération sera :
∆𝑡
𝑉𝑑é𝑐 = 𝑉𝑀𝑎𝑥 √1 −
𝜏
où Δt commence à 0 (début phase de décélération) et termine à τ. V Max étant la vitesse cible de départ de la
phase décélération pour terminer à 0 en fin de phase.
Ainsi, nous respectons la loi racine carré, mais avec un rapport temporel négatif donc en décélération.
∆𝑡
Rappel, la loi d’accélération était 𝑉𝑎𝑐𝑐 = 𝑉𝑀𝑎𝑥 √ 𝜏 . Quand la phase d’accélération est terminée, nous avons
𝑉𝑎𝑐𝑐 = 𝑉𝑀𝑎𝑥 . Donc, quand nous décélèrerons, nous partirons de VMax et nous aurons un rapport temporel né-
∆𝑡
gatif. Ainsi la loi de décélération sera 𝑉𝑑é𝑐 = 𝑉𝑀𝑎𝑥 √1 − . Le rapport temporel peut être différent de l’accé-
𝜏
lération.
En posant les mêmes conditions que l'accélération, nous partons du même D rel soit
1
𝐷𝑟𝑒𝑙 =
𝑉2
6𝜋𝑚𝑡𝑛2𝑚 √1 − 2
𝑐
Le 𝑡𝑛𝑚 n'est pas le même qu'à l'accélération, mais son écriture est identique et la masse m peut être soit la m 0,
soit la dernière masse-énergie (mgacc) atteinte en fonction du repère choisi.
𝑥−2
𝑡𝑛
1 𝑚
Et nous trouvons 𝐷𝑟𝑒𝑙𝑑é𝑐 =
2 𝑡0𝑥𝑚
𝑉
6𝜋𝑚√1− 𝑀𝑎𝑥
2
𝑐
Notons que 𝐷𝑟𝑒𝑙 = 𝐷(𝑡𝑛𝑚 ) comme à l'accélération (mais le 𝑡𝑛𝑚 n'est pas le même).
Nous ne retombons pas sur les mêmes équations de RV mais, après un travail en collectif avec Richard
VIALLE, la décélération était une phase qu'il n'avait pas développée. On est tombé d'accord sur l'expression
de la mdéc. Cette phase de décélération peut paraître complexe, mais elle devrait réagir sur les énergies d'une
façon très intéressante.
Il est cependant important de noter la valeur de m qui est soit la masse au repos, soit la dernière masse acquise
lors de la dernière phase. Tout dépend du référentiel pris en considération.
𝑚
𝑚𝑑é𝑐 = 𝛼𝑑é𝑐 2
dans un cas général, quand la VMax ne sera pas connue, mais cela impliquera une modifi-
√1−𝑉2
𝑐
cation d'origine temporelle.
Par contre, ici, la masse énergétique relativiste est similaire à la masse relativiste d'Einstein.
Nous verrons plus tard quelles sont les conséquences de ce constat (très important).
Définition du type de masse (cas général changement de repère).
Attention cette énergie n'est pas l'énergie totale réelle de la décélération ; nous n'avons pas pris en compte,
qu'à l'origine, nous ne partons pas d'une vitesse nulle, mais d'une vitesse déjà accélérée. Cette équation est là
pour démontrer le type de masse.
Or, nous savons que 𝐸𝑇 = 𝛴𝐸 et, ici, nous avons l'énergie totale qui est égale à l'énergie au repos + l'énergie
cinétique. Or, ce signe positif permet de dire que nous avons consommation d'énergie. Le raisonnement est
identique qu'à l'accélération.
Quand on a 𝐸𝑇𝑑é𝑐 = 𝛼𝑑é𝑐 (𝐸0 + 𝐸𝑐 ) comme nous respectons une somme en faisant abstraction de α, si nous
mettons en concordance énergie et masse alors il faut
𝑀𝑎𝑠𝑠𝑒 à 𝑐ℎ𝑒𝑟𝑐ℎ𝑒𝑟 = 𝑀𝑎𝑠𝑠𝑒 𝑎𝑢 𝑟𝑒𝑝𝑜𝑠 + 𝑀𝑎𝑠𝑠𝑒 𝑐𝑖𝑛é𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒
La masse cinétique est fonction de vitesse ; donc la masse à chercher est perturber par une vitesse, et la masse
qui est perturber par un changement de vitesse : c'est la masse inertielle (inerte) :
𝑚
Donc pour la décélération, c'est bien la masse inerte qui est affectée : 𝑚𝑖𝑑é𝑐 = 𝛼𝑑é𝑐 2
(retour chapitre 3)
√1−𝑉2
𝑐
Ce raisonnement permet de démontrer que la masse affectée lors de la décélération est une masse inerte,
cependant, quand une masse décélère, elle part à l'origine avec une vitesse, pour finir à 0, en fin de phase,
donc, du côté des énergies cumulées, nous ne pouvons pas raisonner comme pour l'accélération. En effet, le
phénomène est inversé. Nous partons d'une masse qui a finie d'accélérer pour revenir à 0. Même, si nous avons
déterminé l'équation de mdéc , elle est modifiée quand nous raisonnons sur les énergies cumulées : la masse m
est la masse macc sans son coefficient αacc , puisque nous partons en fin de phase accélération, comme si nous
étions en phase vitesse constante.
Donc, si nous ne changeons pas d'origine du temps 0, alors, 𝑥 = 0 donc 𝛼𝑎𝑐𝑐 = 1 donc, à l’origine de la phase
de décélération, nous avons
𝑣2 𝑚𝑎𝑐𝑐
𝑚𝑎𝑐𝑐 = 𝑚0 √1 − 𝑐 2 et donc 𝑚𝑑é𝑐 = 𝛼𝑑é𝑐 2
√1−𝑣2
𝑐
Par contre, dans ce cas, nous avons continué sans changer d'origine, il y a donc aussi la constante C à prendre
en compte également (voir l'annexe 16, pour la définition de cette constante C)
2
𝑉2 𝑉
𝑚0 √1− 2 √1− 𝑀𝑎𝑥
𝑐 𝑐2 2
𝑉𝑀𝑎𝑥
Donc 𝑚𝑖𝑑é𝑐 = 𝛼𝑑é𝑐 après simplification 𝑚𝑖𝑑é𝑐 = 𝛼𝑑é𝑐 𝑚0 √1 −
2 𝑐2
√1−𝑉2
𝑐
Rappel : le VMax est la vitesse de départ de la phase de décélération
Et dans ce cas
𝐸𝑇𝑑é𝑐 = 𝛼𝑑é𝑐 (𝐸0 − 𝐸𝑐1 )
Ici, 2 points importants sont à souligner :
L'énergie cinétique est constante et maximum pendant toute la phase
de décélération, donc l'énergie totale n'est pas fonction d'une énergie due à la vitesse de décélération, mais à
une vitesse de départ de la phase de décélération. Nous appellerons cette énergie cinétique Ec1
L'énergie totale est égale à une soustraction ; donc nous avons aussi
la possibilité de gain d'énergie comme à l'accélération.
Nous avons les 2 mêmes paraboles à concavité négative, mais nous avons un décalage sur l’axe des x
http://notesdecours.drivehq.com/courspdf/MatParabole.pdf
Nous pouvons déjà annoncer, que le retour à l’état origine risque d’être modifié par la décélération.
Si nous remplaçons α par sa valeur et comme pour l'accélération, nous supposons la cr = 1, puisque la vitesse
VMax est très petite devant c, et donc, nous ne prenons pas en compte la constante C
Nous trouvons, pour une même masse ayant subie une accélération
𝑥2 𝑥
𝑚𝑖𝑑é𝑐 = 𝑚0 − 𝛥𝑚𝑑é𝑐 avec 𝛥𝑚𝑑é𝑐 = 𝑚0 ( 2 − 2) ou bien 𝛥𝑚𝑑é𝑐 = 𝑚0 (1 − 𝛼𝑑é𝑐 )
Or ce Δmdéc est fonction de x (qui est sans unité), donc le signe de 𝛥𝑚𝑑é𝑐 = 𝑓(𝑥)
les solutions sont
𝑥1 = 0 𝑒𝑡 𝑥2 = 1
Je pense qu'ici, nous avons un sérieux problème, cela voudrait dire qu'en fonction des paramètres de
décélération, on pourrait ne pas revenir à l'état d'origine ?
En théorie, nous pouvons dégraviter à l'infini. Le principe de Lavoisier, n'est pas complètement vrai, à moins
que, en fonction des configurations, nous rajoutons un facteur supplémentaire qui n'était pas là au départ : à
développer expérimentalement.
Identification de chaque terme : Em est l'énergie mécanique du fluide à la décélération que l'on appelle E Fdéc
Ec est l'énergie cinétique de la masse m, et elle est fonction d'une masse inerte,
1
mais c'est celle de la masse donc 𝐸𝑐 = 𝑚0 𝑉 2 (cela peut être la masse de début de la phase de décélération,
2
donc, la dernière masse accélération. Mais comme en début de phase x = 0 => α = 1, c'est la même masse).
Puisque V est petit devant c, alors cr = 1.
Ep est l'énergie potentielle à la décélération, c'est l'énergie due à l'effet Vialle
inversé, RV appelle cette opération « le rendu de masse à la terre », donc elle est due à la masse énergétique
1
𝐸𝑝 = 2 𝑚𝑖𝑑é𝑐 𝑉 2 mais le signe de cette énergie est fonction du αdéc, ou bien de la valeur de x ; si 0<x<1, le
signe sera positif (c'est une restitution), si x>1, alors le signe est négatif (réaction comme la phase
accélération).
pour 0<x<1
1
𝐸𝐹𝑑é𝑐1 = 2𝐸𝑐 − 𝛥𝑚𝑑é𝑐 𝑉 2
2
pour x>1
1
𝐸𝐹𝑑é𝑐2 = 𝛥𝑚𝑑é𝑐 𝑉 2
2
Nous pouvons déjà annoncer que la phase décélération est plus complexe que l'accélération.
Il y a la possibilité de 2 énergies du fluide en fonction de la valeur du x.
Nous remarquons que αacc est strictement négatif dès le départ ce qui donne de suite une masse énergétique
négative à l'accélération.
Par contre, en décélération, αdéc est croissant pour 0 <x < ½ donc masse positive puis décroissant pour ½ < x
< 1 donc une masse décroissante mais supérieur à m, puis pour x > 1 le comportement sera identique à l'accé-
lération avec une masse négative.
Nous allons développer ces constatations un peu plus loin avec les énergies.
Il faut bien intégrer que nous parlons de masse énergétique : la masse en tant que quantité volumique de
matière ne change pas, ce qui change c'est la pesanteur de la masse c'est à dire son poids.
Nous avons trouvé la valeur maxi de restitution de masse. Nous voyons que la restitution de masse énergétique
n'est pas très élevée (1,125 fois la masse au repos), nous risquons d'avoir des cumuls de masse énergétique à
cause de cette limite. Cette restitution ne peut se faire que lors de la décélération.
Il est cependant important de noter que ces cumuls sont énergétiques, mais comme nous avons posé la relation
masse-énergie, cette énergie devrait se transformer en poids.
Une autre remarque, cette énergie à la décélération est fonction de la valeur de x qui détermine α. D'après le
graphique, les courbes α sont décalées, donc, il faut prendre des α différents entre l'accélération et la décélé-
ration pour un 0 < x < 1, si nous ne voulons pas cumuler de masse énergétique. Le facteur sur lequel nous
intervenons ne peut être que le temps d'accélération ou de décélération. Ces temps sont différents, mais il faut
tout d'abord calculer le temps de décélération qui déterminera le temps d'accélération pour ne pas cumuler de
masse énergétique ; donc les Δt sont différents.
Si nous prenons des α quelconques, mais avec un 0 < x < 1, nous cumulerons tout de même de l'énergie, car
la sphère d'expansion ne reviendra pas dans son état originel.
Il restera donc un « volume » de sphère d'expansion non réintégrer : Ce volume sera une rémanence énergé-
tique qui modifiera l’état futur.
Voilà pourquoi, lors des expériences d’échauffement et refroidissement des tubes en cuivre, je ne suis jamais
revenu au poids initial (même après plus de 100 jours après) : échauffement = apport de l’énergie extérieure
et refroidissement = restitution de l’énergie. La restitution est faite de 2 manières différentes : une lente donne
une variation de poids et une rapide qui donne une autre variation de poids. Mais comme l’échauffement et le
refroidissement n’est absolument pas contrôlé, je ne reviendrai jamais sur le poids origine de l’échantillon.
Ces échantillons ont changés leur état futur qui a changé leur poids.
http://promtecno.org/Fichier/Relation_masse_energie.pdf
Il en est de même pour les répliques des balances de Richard Vialle, où les « réplicateurs » n’ont pas pris soin
de contrôler les accélérations et les décélérations des disques.
http://richard.clubvitrine.fr/index.php/articles/systemes-exprmt/6-balance-disque-tournant-richard-vialle
Regardons, maintenant, les temps différents à appliquer à chaque phase, pour les 2 cas
cas 0<x<1
Si nous fixons xacc (ou αacc) par l'intermédiaire de τacc , nous fixons le Δmacc , et dans ce cas, il faut
𝛥𝑚𝑎𝑐𝑐 − 𝛥𝑚𝑑é𝑐 = 0 donc 𝛥𝑚𝑎𝑐𝑐 = 𝛥𝑚𝑑é𝑐
2 2
𝑥𝑑é𝑐 𝑥𝑑é𝑐 𝛥𝑚𝑑é𝑐 𝑥𝑑é𝑐 𝑥𝑑é𝑐 𝛥𝑚𝑑é𝑐 𝛥𝑚𝑎𝑐𝑐
nous savons que 𝛥𝑚𝑑é𝑐 = 𝑚0 ( − ) donc =( − ) nous devons avoir − =0
2 2 𝑚0 2 2 𝑚0 𝑚0
Les solutions de xdéc sont
1 1 𝛥𝑚𝑎𝑐𝑐
𝑥𝑑é𝑐 = ± √1 + 8
2 2 𝑚0
9
pour xdéc1 dans ce cas 𝛼𝑎𝑐𝑐 < 8 Or c'est le cas, puisqu'à l'accélération, αacc < 1 ; attention, cependant à la valeur
2
9 1 𝑉𝑀𝑎𝑥
de > 𝛼𝑎𝑐𝑐 > 1, le xacc est négatif − < 𝑥𝑎𝑐𝑐 < 0, mais comme 𝑥𝑎𝑐𝑐 = , je ne vois pas comment il
8 2 2𝐾√𝑚0 𝜏𝑎𝑐𝑐
peut être négatif. Notons cependant qu'une solution complexe peut exister. Cette solution n'est pas dévelop-
pée !
Ces configurations sont à tester expérimentalement.
𝛥𝑚𝑎𝑐𝑐
pour xdéc2 dans ce cas la solution est purement complexe √1 − 8 < −1 Or, comme αacc est un réel < 1,
𝑚0
si nous prenons un x positif (ce qui est le cas), donc, il n'y a pas de solution pour x déc2 dans le domaine des
réels. Cela veut dire qu'il n'y a pas de solution pour x > 1.
Les expériences doivent démontrer tout ça ! Ce qui peut être considérer comme démonstration, est la pesée
des tubes en cuivre chauffés et refroidis. Mais nous étions sous des α non contrôlés.
2
𝑉𝑀𝑎𝑥
Il est vrai que le calcul de Δmdéc est calculé sans la constante 𝐶 = √1 − 𝑐2
voyons ce que cela peut changer
𝑚𝑑é𝑐 = 𝛼𝑑é𝑐 𝑚0 𝐶
remplacement du α
𝑥2 𝑥
𝑚𝑑é𝑐 = 𝑚0 𝐶 (1 − + )
2 2
réécriture
𝑚𝑑é𝑐 𝑥2 𝑥
= 𝑚0 − 𝑚0 ( − )
𝐶 2 2
𝑥2 𝑥
nous pouvons toujours dire que 𝛥𝑚𝑑é𝑐 = 𝑚0 ( 2 − 2) donc
𝑚𝑑é𝑐
= 𝑚0 − 𝛥𝑚𝑑é𝑐
𝐶
remplacement du mdéc
𝛼𝑑é𝑐 𝑚0 𝐶
= 𝑚0 − 𝛥𝑚𝑑é𝑐
𝐶
simplification
𝛼𝑑é𝑐 𝑚0 = 𝑚0 − 𝛥𝑚𝑑é𝑐
pour finir par
𝛥𝑚𝑑é𝑐 = 𝑚0 − 𝛼𝑑é𝑐 𝑚0 = 𝑚0 (1 − 𝛼𝑑é𝑐 )
Nous avons vu pour l’accélération que α agissait sur l’accélération volumique de la sphère ; nous supposons
qu’il en est de même pour la décélération.
Par contre, comme la phase de décélération est beaucoup plus complexe, elle oblige des limitations si nous
voulons revenir sur la même ligne temporelle. C’est-à-dire, si nous voulons que la sphère énergétique re-
3
diminue pour revenir comme elle était (𝑅𝑚 0
), il faudra des limitations que nous venons d’aborder.
Essayons de reprendre le même raisonnement mais en changeant l’origine de la phase de décélération
Si nous reprenons l’équation simplifiée de la sphère volumique :
3
9
𝑆𝑣 = 𝑅𝑚 = 𝐺m𝑡𝑐2
(𝑡)
2
Sa vitesse volumique :
3
𝑑𝑅m (𝑡)
𝑉𝑣 = = 9𝐺m𝑡𝑐
𝑑𝑡
Son accélération volumique :
𝑑 2 𝑅𝑚 3
(𝑡)
𝛾𝑣 = 2
= 9𝐺m
𝑑𝑡
Par contre, 𝑚 = 𝑚𝑔𝑎𝑐𝑐 , et 𝑡𝑐 est le temps cosmologique pour la décélération. Par contre, nous avons toujours
𝑥𝑑𝑒𝑐 constant et 𝛼𝑑𝑒𝑐 constant aussi. Donc
𝑑 2 𝑅m 3
(𝑡)
𝛼𝑑𝑒𝑐 = 9𝐺𝛼𝑑𝑒𝑐 m (1)
𝑑𝑡 2 2 3
𝑑 𝑅𝑚(𝑡)
Or, 𝑚𝑖𝑑é𝑐 = 𝛼𝑑𝑒𝑐 𝑚𝑔𝑎𝑐𝑐 𝑜𝑢 𝛼𝑑𝑒𝑐 𝑚 . Donc, 𝑚𝑖𝑑é𝑐 = 𝑚 − ∆𝑚𝑑𝑒𝑐 . Comme 𝛾𝑣 = et que l’énergie exté-
𝑑𝑡 2
𝑑2 𝑅𝑚
3
(𝑡)
rieure apporte une variation de masse pour revenir à m0, alors (1) = − 𝜕𝛾𝑣𝑑𝑒𝑐 . Au niveau accélération
𝑑𝑡 2
volumique, nous sommes dans la même configuration que pour l’accélération
6∆𝑅3
𝜕𝛾𝑣𝑑𝑒𝑐 =
𝑑𝑡 2
Comme nous avons posé des limitations (sur x) pour revenir dans la configuration d’origine, le temps suivra
𝑅𝑚
le même concept que pour l’accélération ; donc 𝑑𝑡 2 = 2𝐺m 𝛥𝑅2
Dans ce cas
3
∆𝑅 = (1 − 𝛼𝑑𝑒𝑐 )𝑅𝑚
4
Mais, attention 𝑅𝑚 est le rayon de la sphère de départ, c’est-à-dire 𝑅𝑚𝑔𝑎𝑐𝑐 , donc (vu dans le chapitre accélé-
ration)
3
∆𝑅 = (1 − 𝛼𝑑𝑒𝑐 )𝑅𝑚𝑔𝑎𝑐𝑐
4
Maintenant, nous pouvons calculer la diminution de la sphère jusqu’à son état final, et nous pourrons déduire
une relation entre 𝛼𝑑𝑒𝑐 et 𝛼𝑎𝑐𝑐
𝑅𝑚0 = 𝑅𝑚𝑔𝑎𝑐𝑐 − ∆𝑅
3 + 𝛼𝑎𝑐𝑐
𝛼𝑑𝑒𝑐 =
7 − 3𝛼𝑎𝑐𝑐
1
Le domaine de 𝛼𝑎𝑐𝑐 = ]−∞ ; 1]. La limite lim 𝛼𝑑𝑒𝑐 = − 3
𝛼𝑎𝑐𝑐 →−∞
http://etab.ac-poitiers.fr/lyc-cordouan/IMG/pdf/lim_poly.pdf
Mais le seul paramètre commun à 𝛼𝑎𝑐𝑐 et 𝛼𝑑𝑒𝑐 ; c’est x. Donc, cherchons la relation mathématique qui unifie
−3𝑥 4 + 3𝑥 2 + 16𝑥 = 0
ou
𝑥 (−3𝑥 3 + 3𝑥 + 16) = 0
Quand nous traçons cette courbe, nous pourrons trouver les valeurs de x
Toutes ces valeurs donnent le vertige car cela ne peut pas être relié avec quelque chose de déjà vu !
J’arrête là l’exploration théorique de la phase de décélération, car il va falloir passer à l’expérimentation pour
vérifier d’une part les équations et voir, d’autre part, ce que cela peut introduire comme nouvelles voies.
Cependant, une chose n’a pas été exploitée ; c’est le placement des centres de gravité.
Nous savons placer le centre de gravité d’une masse volumique, dans l’espace, en utilisant la pondération des
différentes parties constituant cette masse.
La question qui se pose, est ce que ce centre de gravité est-il confondu avec le centre de la sphère énergétique ?
Je n’ai pas trouvé encore de moyen pour répondre à cette question ; et pourtant, elle est très importante, car
cela voudrait dire que le centre de gravité et le R 0 seraient confondu !
III.6 Cas n°4 : Application d’une énergie sous une loi quelconque
Donc 𝑉 ≠ √𝐾𝑡 en fait nous prenons 𝑉 = 𝐾𝑡 RV appelle ce cas : la « chute libre »
Nous n’étudierons uniquement le cas accélération
A partir de là
𝛥𝑡
𝑉𝑎𝑐𝑐 = 𝑉𝑀𝑎𝑥
𝜏
2 2 𝛥𝑡 2
Dans ce cas 𝑉𝑎𝑐𝑐 = 𝑉𝑀𝑎𝑥 2
𝜏
Quand 𝜏 = 𝛥𝑡 alors 𝑉𝑎𝑐𝑐 = 𝑉𝑀𝑎𝑥
Par contre la réaction fluidique de l'effet Vialle ne change pas donc 𝑐 2 = 𝐾 ′𝑡0 avec 𝐾 ′ = 𝐾 √𝑚0
𝑉2
Dans ce cas, la condition relativiste √1 − 𝑐 2 avec Taylor, la cr devient
𝛥𝑡 2
2
𝑉𝑀𝑎𝑥
𝑐𝑟 = 1 − 𝜏2
′
2𝐾 𝑡0
réécriture pour faire apparaître x
2
𝑉𝑀𝑎𝑥 𝛥𝑡 𝛥𝑡
𝑐𝑟 = 1 −
2𝐾 √𝑚0 𝜏 2 𝑡0
à partir de là, nous posons
2 2
𝑉𝑀𝑎𝑥 𝛥𝑡 𝑉𝑀𝑎𝑥 𝛥𝑡
𝑥𝛥𝑡 = = ∗
2𝐾 √𝑚0 𝜏 2 2𝐾 √𝑚0 𝜏 𝜏
𝛥𝑡
donc ce 𝜏 rend le x non constant et donc fonction du temps ; par conséquent, il est impossible de fixer un α
constant.
Je ne continue pas la démonstration, mais les Drel sont identiques aux Drel trouvés pour un pilotage en racine
carré.
Les effets sont identiques, mais ils ne sont pas mesurables !
Cette partie𝑉 ≠ √𝐾𝑡sera développée dans la 3ème partie, car nous considérerons la vitesse des électrons avec
une vitesse non contrôlée.
Nous allons confirmer plus loin, dans la synthèse, qu'il y a un effet mémoire : donc, si nous ne maîtrisons pas
les x, nous allons avoir un effet de cumul de masse.
III.7 Synthèse
III.7.a Généralité
A partir de là, beaucoup de choses à voir :
Pour remarquer les effets sur la masse, il faut considérer l’interaction entre 2 masses.
Pour cela, nous avons considéré l’action d’une masse sur la terre et vice et versa en faisant des changements
de repères et de références temporelles :
Ainsi, nous ne pouvons pas généraliser les équations, mais nous pouvons étendre le concept, ou le principe de
raisonnement d’une façon générale.
Dans un premier temps, si nous appliquons une énergie extérieure sur une masse quelconque, nous modifie-
rons l’état futur de sa sphère d’expansion. Cette modification sera réversible en fonction de la manière dont
nous appliquerons l’énergie.
Le quadri-volume imaginé par RV, rentre le temps comme un paramètre extérieur au quadri-volume, mais en
même temps commun aux 2 dimensions énergétiques. Einstein, avait considéré son quadri-volume en faisant
la somme de 4 vecteurs, dont le 4ème était « c.dt » ; cela impliquait l’existence d’un espace-temps. Dans le
système de RV, il n’y a pas d’espace-temps !
Cela veut dire que depuis que le temps existe, la sphère d’expansion de la première particule qui s’est échappée
du « big bang » (s’il a eu lieu) est toujours en train de pousser l’univers. Les particules suivantes provoquent
les modifications d’accélération. Tout comme, nous pouvons considérer l’univers tout entier comme une seule
sphère d’expansion.
L’astuce réside sur la manière d’imaginer la sphère énergétique d’une masse dans un repère temporel (qu’elle
a déjà vécu où qu’elle devrait vivre à un certain temps). Si nous modifions le volume de la sphère énergétique
avec une énergie extérieure (qui agira sur la vitesse de rétraction de l’espace fluidique de la masse), nous
modifierons la voie temporelle de cette masse
1
𝑅𝑇2
𝛥𝑡 = 𝛥𝑅
√2𝐺𝛥𝑀(𝐷)
Toutes les sphères énergétiques de toutes particules atomiques sont déjà au fond de l’univers (depuis que le
temps existe). Le fait de considérer une sphère énergétique avec un certain volume n’est que théorique, pour
permettre des calculs, mais c’est une étape par où est passée notre sphère à un certain temps de son existence
ou c’est une étape qu’elle vivra si rien ne vient perturber sa ligne temporelle !
Bien sûr, si nous apparentons une sphère à une masse volumique, cette sphère ne se trouve pas encore au fond
de l’univers, elle n’a même pas le volume de la terre puisqu’il faut attendre 29 454 062 ans pour qu’une
masse de 1 Kg ait le même volume énergétique que la terre. Mais, si cette masse de 1 Kg ne subit aucune
perturbation énergétique, elle aura le volume énergétique de la terre dans 29 454 062 ans. Par contre, si elle
subit une perturbation énergétique, dans 29 454 062 ans, elle n’aura pas le même volume énergétique de la
terre, ou quand elle aura le même volume énergétique de la terre, il ne se sera pas écoulé le même temps. Donc
nous modifions un état futur qui n’a pas encore existé !
Mais si nous modifions un état futur sans revenir sur la référence temporelle ancienne, nous modifierons aussi
le passé de cette sphère. Cette façon d’aborder peut expliquer les variations de vitesses de l’expansion de
l’univers. En réalité, comme tout est en mouvement, n’importe quelle masse subira une modification tempo-
relle ; cela veut dire qu’il existe une infinité de futur, et par conséquence une infinité de passé !
Donc, en modifiant la sphère énergétique, nous modifierons le temps environnant attaché à cette masse, mais
nous modifierons aussi sa masse énergétique.
Ce n’est pas évident à se l’interpréter, mais imaginez l’application possible de cette théorie !
Les 2 facteurs énergétiques seront : une vitesse d’application et une quantité d’énergie extérieure :
ΔV définira la vitesse d’application et ΔM(D) définira la quantité.
2𝐺𝛥𝑀(𝐷) 2𝐺
Dans 𝛥𝑉 = √ comme 𝑅 est constant et ΔM(D) est fonction du temps, nous pouvons écrire V = √𝐾𝑡
𝑅𝑇 𝑇
Nous l’appellerons loi racine carré.
Par contre, nous avons vu qu’il est possible de se passer de cette loi racine carré. C’est un cas que nous déve-
lopperons dans le prochain chapitre.
La masse énergétique se comporte différemment entre l'accélération et la décélération pour une même masse
sans changement de repère
𝑉2
𝑚𝑔𝑎𝑐𝑐 = 𝛼𝑎𝑐𝑐 𝑚0 √1 −
𝑐2
Et
2
𝑉𝑀𝑎𝑥
𝑚√1 −
𝑐2
𝑚𝑖𝑑é𝑐 = 𝛼𝑑é𝑐
2
√1 − 𝑉2
𝑐
m0 étant la valeur de la masse au repos et
m est la masse de début de phase de décélération.
Il est cependant, important de prendre en considération, que cette masse énergétique correspond à l'effet
Vialle. A l'accélération c'est la masse grave qui est affectée, à la décélération c'est la masse inerte qui est
affectée : Nous considèrerons que nous traitons la partie mécanique de l’effet Vialle
Le cas de la décélération est extrêmement particulier, puisque nous partons à l'origine avec une certaine vi-
tesse, donc la masse m correspond à la masse m gacc atteinte en fin de phase d'accélération, puisque nous restons
dans le même repère. Et la masse sera fonction d’une condition relativiste constante pendant tout le temps de
la phase.
Si nous faisons abstraction de l’état précédent ; à l’accélération, nous avons une masse grave
𝑉2
𝑚𝑔𝑎𝑐𝑐 = 𝛼𝑎𝑐𝑐 𝑚0 √1 −
𝑐2
A la décélération, nous avons une masse inerte
𝑚0
𝑚𝑖𝑑é𝑐 = 𝛼𝑑é𝑐
2
√1 − 𝑉2
𝑐
Remarquons en physique, par expérimentation, nous avons relevé le rapport d’erreur entre une masse grave
et une masse inerte : ce rapport est appelé le principe d’équivalence faible et c’est sur ce principe que s’appuie
la physique relativiste (aujourd’hui, nous avons une précision empirique de 10-12) :
http://o.castera.free.fr/pdf/Masse.pdf
Pour ce calcul, nous modifions les repères origines de chaque masse m0, car nous cherchons l’influence d’une
masse sur l’autre masse (mi/mg) :
Comme V<<c, avec Taylor, pour un α constant, on peut écrire avec simplification
𝑚0
√1 − 𝑉2
2 1 𝑉2 1 𝑉2
𝑚𝑖 𝑚0 (1 + 2 ) 1 + 1 𝑉2 1 𝑉2
−1
𝑐 2𝑐 2 𝑐2
= = = = (1 + ) (1 − )
𝑚𝑔 𝑉 2 1 𝑉2 1 𝑉2 2 𝑐2 2 𝑐2
𝑚0 √1 − 2 (1
𝑚0 − 2 2 ) 1−2 2
𝑐 𝑐 𝑐
Nous connaissons c = vitesse de la lumière et une masse grave ou inerte se calcule pour la terre donc V a un
lien avec la rotation de la terre : Donc 𝑉 = 𝑅𝜔
Prenons le rayon de la terre calculé en annexe 10 (R = 6378162 m)
2𝜋
Le jour stellaire est 𝜔 = 86164,1 𝑟𝑑/𝑠 https://fr.wikipedia.org/wiki/Rotation_de_la_Terre
2𝜋
Donc 𝑉 = 𝑅𝜔 = 6378162 86164,1 = 465,10291136576794329469861454561 𝑚/𝑠
𝑉2 (465,1029)²
Donc = (299792458)² = 2,4068925918729927980425669159107. 10−12
𝑐2
Ainsi l’effet Vialle démontre par le calcul le principe d’équivalence faible :
𝑚𝑖
= 1 + 2,407. 10−12
𝑚𝑔
Bien entendu, nous travaillons en masses transversales.
Il est à noter que la théorie de l’effet Vialle met en évidence, par calcul, ce principe d’équivalence et ceci est
primordial !
Notons qu’en physique traditionnelle, la valeur de 10−12 est une valeur expérimentale. Aucun calcul théorique
ne permet ceci !
A vitesse constante (pas ou plus d’énergie), nous restons stabilisés dans le dernier état précédent.
𝑉2
A grande vitesse(𝑉 → 𝑐), la condition relativiste √1 − 𝑐 2 = 0
𝑉2
A petite vitesse, la condition relativiste √1 − 𝑐 2 = 1
quand nous respectons les conditions d'accélération (loi de vitesse en racine carré).
Sinon
2
𝑉𝑀𝑎𝑥 𝛥𝑡
𝑥𝛥𝑡 = ∗
2𝐾 √𝑚0 𝜏 𝜏
Et nous pouvons représenter les α en fonction de la valeur de x qui, là, est commun entre l’accélération et la
décélération
αacc αdéc
1
1 2 3
x
0
De plus, nous avons démontré que les sphères considérées, restaient toujours tangentes en un point.
La distance entre les sphères d’expansion Terre / Masse
11 3
𝑑𝑎𝑐𝑐 = 𝑅𝑚0 ( − 𝛼𝑎𝑐𝑐 )
4 4
Donc, tout ce qui a été supposé avec un ellipsoïde est faux ! Cela ne peut pas se concrétiser. Donc, toute
l’énergie qui peut être remarquée, ne peut pas provenir de cette hypothétique mémoire de 𝑅0𝑒 puisque juste-
ment, cet ellipsoïde n’existe pas.
Ces masses énergétiques donneront naissance à des forces énergétiques, mais nous avons vu que les valeurs
de ces forces ne donnent rien de significatif. Il faudra pousser lors des expérimentations. Par contre, l’effet
Vialle va provoquer des perturbations temporelles, mais en plus, nous avons vu qu’il y avait des modifications
de l’état futur, donc, il peut y avoir des cumuls d’effet.
Les résolutions à toutes ces questions ne peuvent se faire que par l’expérimentation !
Pour ne pas cumuler de masse, il faudra adapter le temps de décélération en fonction des paramètres de l’ac-
célération
2
𝑉𝑀𝑎𝑥
𝜏𝑑é𝑐 =
𝐾√𝑚0 (1 + √9 − 8𝛼𝑎𝑐𝑐 )
Si nous ne calculons pas les α de telle sorte que la masse énergétique créée à l'accélération, soit réintégré
totalement à la décélération (en jouant sur les temps d'accélération ou de décélération), il y aura une rémanence
énergétique qui perdure puisque la masse énergétique ne sera pas intégralement consommée.
Cette rémanence, risque d'être accrochée à la masse qui l'a créée, mais aussi sur le lieu de la modification.
Mais comme ce fluide appartient à une autre dimension, cette rémanence n'est pas physique, elle est énergé-
tique : il n'y a pas de changement de masse.
En conclusion finale, pour rentrer en lévitation, il faudra surement cumuler plusieurs effets.
Nous allons apprendre, dans le prochain chapitre, à connaître ce fluide. Ainsi nous serons l’utiliser.
Mais, les calculs de x et α sont à prendre différemment, puisque nous devons raisonner sur les énergies ; nous
sommes sur un cycle complet d'une même masse :
Le raisonnement à la vitesse de la lumière doit se faire avec la physique quantique (surtout pour de petites
masses), mais ce qu'il faut voir ici, c'est le principe.
à l'accélération : nous partons d'une vitesse nulle pour arriver à la vitesse de la lumière constante
2
𝑣𝑀𝑎𝑥 2997924582
𝑥= ≈ ≈ 4,6476. 1023
−6
2𝐾 √𝑚0 𝜏 (2 ∗ 96,69 ∗ √1.10 ∗ 1.10 ) −6
𝑥 𝑥2
ce qui donne 𝛼𝑎𝑐𝑐 = 1 − 2 − = −1,08001. 1047 Donc
2
𝑉2
𝑚𝑎𝑐𝑐 = 𝛼𝑎𝑐𝑐 𝑚0 √1 − ≈ −1,08. 1047 𝑥𝑚𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑐𝑢𝑙𝑒 𝑥0 = 0
𝑐2
La masse énergétique = 0, à cause de la condition relativiste.
à vitesse constante :
la masse énergétique reste stabilisée sur sa valeur précédente. mcst = 0
à la décélération :
Il faut prendre en considération que c'est la même masse, donc à l'origine de la décélération, la masse m est la
masse énergétique de la phase précédente (on prendra la dernière masse acc), donc
𝑉2
𝑚𝑎𝑐𝑐 √1 − 𝑀𝑎𝑥
𝑚𝑑é𝑐 = 𝛼𝑑é𝑐 𝑐2
2
√1 − 𝑉2
𝑐
Comme 𝑚𝑎𝑐𝑐 = 0 alors 𝑚𝑑é𝑐 = 0
Je précise que nous ne sommes pas sur une forme indéterminée, puisqu’il y a simplification des cr ; et donc
Il faut également noter que la masse énergétique d'un photon est extrêmement élevée si on fait abstraction de
la condition relativiste : le photon a un potentiel énergétique très élevé.
Si on accélère une particule du poids d'un photon, jusqu'à la vitesse de la lumière, en 1 seconde, sa masse
énergétique = -1,08.1029 Kg (même si nous augmentons le temps d'accélération) => Si nous prenons la valeur
absolue de cette masse, elle est énorme, supérieure à la masse de la terre, heureusement qu'il y a la condition
relativiste !
Je répète que le raisonnement doit se faire avec la physique quantique, mais ce qu'il faut voir là, c'est le
principe.
Mais peut être que nous pouvons nous passer de la physique quantique ?
Il y a un domaine que nous n’avons pas exploré, c’est la propagation du photon, qui pourrait très bien se faire
avec un graviton : Le graviton est une particule élémentaire (hypothétique avec le filtre de la masse volumique,
mais tout à fait concevable avec le filtre de la masse énergétique).
https://fr.wikipedia.org/wiki/Graviton
Conséquence :
Nous savons que la lumière est à la fois une onde électromagnétique et à la fois une émission de particules
appelées photons (que l'on a défini comme particule de ? masse nulle ? pour être en concordance avec la
relativité) en fait ceci n'est qu'une supposition certes pratiquement vérifiée mais jamais confirmé
expérimentalement. C'est un peu comme l'hypothèse d'équivalence des masses grave et inerte … La physique
relativiste est construite à partir de cette hypothèse.
Nous savons que la lumière se dévie quand elle passe à proximité d'un corps massif (expliqué avec la relativité
générale et les courbures d'espace-temps) http://www.tangentex.com/Photon.htm
… / ...
Tous ces doutes et contradictions amènent des théories supplémentaires comme les théories des cordes et super
cordes pour tenter de lier les physiques Newtonienne et relativiste … On se perd dans les labyrinthes des
théories ! Et en plus, nous rajoutons de la matière noire quand nous ne pouvons pas expliquer certains
phénomènes ...
Généralement les vitesses seront bien plus petites que c, donc dans la plupart des cas, la condition relativiste
𝑉2
√1 − =1
𝑐2
Prenons la masse de la terre pour exemple : MT = 5,97342.1024 Kg avec sa vitesse tangentielle à l'équateur
VT = 463 m/s
𝑣2 4632
donc 𝑥 = 2𝐾𝑀𝑎𝑥 ≈ ≈ 4,54. 10−10 pour un τ de 1 s
𝑚 𝜏
√ 0 (2∗96,69∗√5.9722.1024 )
𝛼𝑎𝑐𝑐 ≈ 0,999999999773 et 𝛼𝑑é𝑐 ≈ 1,000000000227donc les α sont ≈ 1
Si nous augmentons le τ due au moment d'inertie de la masse considérée, alors x diminue encore plus, et donc
α se rapproche encore plus de 1.
Dans ce cas, les masses énergétiques sont sensiblement égales aux masses au repos que ce soit à l'accélération
ou à la décélération. Il n’y aura donc pas de changement de trajectoire, car aucun effet. Nous expliquerons,
dans le chapitre suivant, la raison pour laquelle les planètes tournent sur elle-même ! Si nous trouvons
pourquoi une planète tourne sur elle-même, par répercussion, nous comprendrons pourquoi une planète tourne
autour d’une étoile, et pourquoi un système est en mouvement dans une galaxie, … En fait, l’immobilisation
ne peut pas exister. Le mouvement est obligé d’exister en permanence.
Mais on peut aller encore plus loin dans ce raisonnement : Prenons la trajectoire de la lune autour de la terre ;
elle est elliptique. Mais les vitesses de rotation de la terre et de la lune sont constantes, donc la variation de
leurs sphères d'expansion est nulle, mais comme la trajectoire de la lune est elliptique, il se crée une
modification d'accélération à cause de la trajectoire. Et il en est de même pour toutes trajectoires de toutes les
planètes.
Ainsi, à cause de la trajectoire, il se crée un effet Vialle pouvant expliquer les marées, mais aussi la stabilité
des orbites des planètes, …
Mon père, quand il avait un jardin, plantait les plantes qui poussent en hauteur lors des phases lunaires
montantes et les plantes racinaires lors des phases lunaires descendantes ; il avait ainsi, de meilleurs
rendements. Cette méthode est très connue des jardiniers. Il existe 213000 résultats sur internet (avec Google)
pour : « jardiner avec la lune ».
Cette théorie, peut expliquer les anomalies remarquées par RV sur la croissance des différentes graines à
germer qu'il avait expérimenté, il a en plus rajouté la réaction de l'eau (masse liquide) qui, par modification
des sphères énergétiques, a créé un effet Vialle supplémentaire modifiant ainsi la croissance des plantes (voir
les vidéos sur les applications de la théorie).
Imaginez un instant, appliquer cette théorie à la médecine.
Nous verrons dans la troisième partie que la rotation des planètes peut être contrôlée aussi par l’apparition
d’une vitesse tangentielle constante.
Mais je ne développe pas l'expansion de l'univers ; A partir de notre repère d'observation (couche n de l'oignon
Terre), nous voyons la sphère d'expansion de l'univers qui continue de grossir, et donc, voilà pourquoi nous
parlons d'expansion de l'univers !
et à dire qu'en 1985, la communauté scientifique ne voyait aucun intérêt à cette théorie !
(parce que Richard VIALLE était un autodidacte ?)
Maintenant il ne reste plus qu'à expérimenter, en mettant un protocole de tests afin de vérifier la véracité des
équations théoriques.
(Et de trouver un financement nécessaire à la réalisation de prototypes pouvant vérifier ces équations)
Quand, nous aurons répondu à ces questions, nous devrions trouver l’immense réserve d’eau inépuisable der-
rière les collines, pour que tous les villageois aient accès à cette corne d’abondance. Restera tout de même le
travail à réaliser pour construire tout le réseau devant transporter cette énergie éternelle.
Je répète pour une fois de plus, les applications de cette théorie sont énormes, inimaginables !!!
4 3
Maintenant, si nous résumons l'équation de départ 3 𝜋𝑅(𝑡) . 𝐷(𝑡) = 𝐺
Nous avons défini chaque terme. R(t) est une sphère énergétique à 3 dimensions (= nos 3 dimensions spatiales),
D(t) est une corde spatiale à 1 dimension pour faire le volume 4-sphères constant.
Les questions qui se posent : A quoi ressemble cette corde spatiale ? A quoi peut-on la comparer ? Quelle est
sa forme ? Comment, et avec quoi la sphère d'expansion gonfle ? … Les réponses à ces questions se trouvent
dans l'analyse du fluide au niveau de l'atome (3ème partie de ce document).
De plus, nous avons vu que la variation de masse est énergétique et Energie=Force*Longueur, mais
Force=Masse* Accélération, donc Energie=Masse*Accélération*Longueur.
Ceci est extrêmement important, car, cela veut dire que la pesanteur en un lieu accroché à une masse peut être
modifiée !
Les lois physiques actuelles que nous aurons à notre disposition sur l'atome sont :
- La loi de Coulomb qui définit la Force électrostatique
1 𝑞1 𝑞2
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐹 1−2 = 𝑢
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
4𝜋𝜀0 𝑟 2 1−2
avec 4𝜋𝜀 constante de coulomb = 8,987 551 787 368 176 4 × 109 kg.m3/s4A2
1
0
q1 et q2 sont les charges électriques avec
𝑞 = (𝑁𝑝 − 𝑁𝑒 )𝑒
avec Np = Nombre de protons
Ne = Nombre d'électrons
e = charge élémentaire = 1,602 176 565 × 10-19 C
r est la distance qui sépare les 2 particules
u est le vecteur unitaire de direction
- Ensuite, on a le champ électrostatique 𝐸⃗ créée par la charge Q. Ce champ agit tout autour de la charge donc
en 3 dimensions. Et toutes charges q placée dans ce champ subit une force 𝐹 électrostatique tel que
1 𝑄
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐸(𝑥,𝑦,𝑧) = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐸(𝑟,𝜃,𝜙) = 𝑢
⃗
4𝜋𝜀0 𝑟 2
1
avec 4𝜋𝜀 = constante de Coulomb
0
Q = charge électrique concernée
r = distance entre les 2 charges Q et q
u = vecteur unité de direction
𝐹 = 𝑞𝐸⃗
- Comme le courant électrique est due à des mouvements de charges, l'action exercée sur la particule va
produire un champ magnétique d'où la loi de Lorentz
⃗
𝐹 = 𝑞𝑣 ∧ 𝐵
souvent la force de Lorentz s'écrit 𝐹 = 𝑞(𝐸⃗ + 𝑣 ∧ 𝐵
⃗)
avec q = charge électrique
𝑣 = vitesse de la particule
⃗ = champ magnétique
𝐵
Dans cette partie, nous allons essayer de comprendre cette dimension dont on n'a pas accès, mais, en fait c'est
cet espace fluidique qui crée l'effet Vialle par le biais des modifications des accélérations ; il faut donc ap-
prendre à le connaître pour l’apprivoiser. C’est même capital !
Nous avons vu également que la symétrie dans les 2 univers était faite par rapport à une droite
parallèle à l'axe des ordonnées, mais dans un domaine temporel négatif. Cette caractéristique permet de
valider l’existence des 2 univers et d’introduire les notions de passé, présent, futur.
Nous avons vu qu'il y a une pulsation à l'intérieur du R0, mais qu'à l'origine de la masse m0, il y a un
coefficient de forme qui dit que R(t) est contenu dans R0. Ce léger décalage permet d'expulser à chaque
pulsation une quantité de fluide qui vient faire gonfler la sphère R(t). Et ce phénomène est entretenu par la
quantité de corde D(t) qui se donne à R0. Il y aura une alternance positive de la pulsation pour l’univers 1, et
une alternance négative pour l’univers 2. Cela veut dire qu’il y aura un passage d’un univers à l’autre à
chaque période de la pulsation. Du moins, c’est une hypothèse, mais c’est la plus logique des interprétations,
à moins qu’une personne propose autre chose.
Nous avons vu aussi que si nous agissons sur la vitesse de rétraction de cette corde (D’(t)), nous
pouvons modifier la vitesse d’expansion de la sphère R’(t). Par répercussion, nous transformerons une masse
volumique m0 en une masse énergétique M(D). Le verbe transformer est peut être mal approprié ; car il n’y a
pas de transformation, mais il y a tout de même une action ! Mais aussi, nous modifions l’état futur d’une
sphère, donc, si nous ne revenons pas dans une ligne temporelle normale, alors nous modifions aussi le passé
de cette sphère. Ce processus ouvre des voies inimaginables !
Toute masse m0 possède son propre R0 de volume constant avec une pulsation ω0 constante, comme
si R(t) avait un « cœur » (R0) qui bat régulièrement.
R0 est assimilé à un trou noir qui est une porte vers l'univers 2, « miroir » de l'univers 1.
Cette expansion est visible en fonction du repère cartésien et de l'origine temporelle que nous
prendrons. Grâce à ces changements, nous pouvons ne remarquer qu'une variation de modification
d'expansion d'une sphère par rapport à une autre. Cela veut dire que nous pouvons agir sur l'expansion de
R(t) en positif mais aussi en négatif. Cette action, est une action de variations d'accélération qui a pour
conséquence de modifier la rétraction de D(t) et donc qui modifie l'expansion de R(t).
La masse grave ou la masse inerte (2 masses fonction d'accélérations), sont affectées et changent
l'équilibre de la masse au repos. Il peut y avoir, aussi bien, une dé-gravitation qu'une gravitation
supplémentaire. Cependant, à cause de la limite de restitution de masse énergétique, il peut y avoir un cumul
de masse si on ne respecte pas certaines conditions.
Une partie qui n'a pas été développé dans ce document est le déplacement des centres de gravité due
à l'apparition de la masse énergétique. Cette partie est primordiale pour la dé-gravitation, mais ne peut être
étudiée uniquement sur des cas concrets. Nous ne pouvons pas généraliser. En effet, si nous cumulions
suffisamment de masse énergétique, nous pourrions espérer rentrer en lévitation. Or, ce n’est pas le cas, car
les effets se répercutent sur le centre de gravité, et quand nous aurons le centre de masse énergétique
confondu avec le centre de gravité, nous n’aurons plus d’effet ; il y aura saturation du système !
A vitesse constante, nous restons dans la dernière configuration atteinte : Il n'y a aucun changement
d'état.
Une rémanence énergétique peut exister en fonction des perturbations que l'on va faire subir à D(t).
En conclusion : La théorie de l'effet Vialle explique beaucoup de choses ; de l'infiniment petit (photon de
lumière) à l'infiniment grand (stabilisation des planètes et même expansion de l'univers).
L'effet Vialle peut être remarqué au-delà de la physique ; nous pourrions donner, également, des explications
sur la métaphysique en considérant le passé, présent, futur.
Nous pourrions appliquer la théorie de la masse négative sur l'atome en considérant que le noyau aurait sa
sphère d'expansion et l'électron la sienne. Il y aurait interaction entre les sphères et nous pourrions récupérer
de l'énergie. Nous le ferons ainsi à un moment, mais nous n’avons pas assez de données au départ pour
appliquer l’effet Vialle de cette manière.
De plus, nous sommes dans une échelle extrêmement petite, donc, les sphères d'expansion de chaque
élément (noyau - électron) sont très petites et en plus très éloignée puisque la distance entre le noyau et la
première couche K est de 105 fois le rayon du noyau (l'atome est formé de 99,99 % de « vide »).
Un sujet extrêmement détaillé donne l'histoire de l'atome jusqu'à l'utilisation de la physique quantique pour
expliquer son fonctionnement : http://jac_leon.perso.neuf.fr/index_atome.html
En plus, un électron a une masse, certes, mais il a aussi une charge électrique, et, il possède la
propriété quantique d'être aussi bien onde et corpuscule. Il faut prendre en considération que c'est l'électron
de la couche supérieure (couche N pour le cuivre) qui transmet l'énergie (électrique), donc encore plus
éloigné du noyau. Nous savons que le système des couches « K, L, M, N » ne sont plus d’actualité. Nous
prendrons le dernier standard des couches et sous couches quantiques, qui sont abordées en physique
quantique quand le moment sera venu.
… Il va donc falloir trouver une relation entre la charge électrique (q), le champ électrique (E), la force
électrostatique (Fé), et aussi le champ magnétique (B).
N’oublions pas, non plus, le but de ce chapitre, qui est de déterminer le fluide et son action sur la sphère
d’expansion avec les forces de poussée internes.
Cette configuration est peu probable ; car, nous avons vu que R(t) grossissait proportionnellement à la
rétraction de D(t), donc, plus R(t) est gros et plus D(t) est petit ; dans ce cas D(t) ne peut pas être le support du
fluide. De plus, R(t) est le rayon d’une sphère, et son gonflement doit être homogène ; or D(t) est assimilé à
une corde. Il faudrait qu’elle soit partout !
Nous prendrons donc le cas 2, une représentation de D(t) quelconque. La seule chose que nous retiendrons
c'est sa forme énergétique et sa rétraction ! Et c’est sa rétraction, qui expulse une quantité de fluide.
Le même Albert Einstein qui a dit l’Éther ? Qu'il existe ou pas, on peut s'en passer ! Et que les autres
physiciens qui lui succédèrent ont carrément enterré.
Avec la théorie de RV, nous pouvons aller plus loin :
Ce fluide ne peut être qu'une onde purement énergétique provenant de l'intérieur du R0 et qui se
propage « par » toute la surface de la bulle d'expansion (un peu comme un liquide qui transpire d'une
éponge).
Je serai tenté de dire que l'onde du fluide serait une onde de torsion ; c'est à dire une combinaison des 2 qui
donnerait une formation en spirale que l'on retrouve très souvent dans la nature. Mais rien ne permet de
l’affirmer, et RV suggère : onde électromagnétique de forme longitudinale et avec une évolution en 3
dimensions. L’onde de torsion se retrouve en mécanique, et là, le fluide a une action mécanique puisqu’il
pousse la sphère de par l’intérieur (comme l’air dans un ballon). Mais ni la sphère, ni le fluide ne sont
matériels, ils sont énergétiques ; donc les 2 interprétations sont possibles ! Cependant, l’onde de torsion (ou
onde scalaire) n’est pas accepté dans le milieu des sciences traditionnelles.
Une onde peut être transversale (rayonnement électromagnétique, onde à la surface de l'eau,...) ou
longitudinale (propagation du son dans l'eau, une onde dans un ressort,...) ou, plus rarement les 2 combinées,
on parlera d'ondes de torsion ou d’ondes scalaires:
http://www.spirit-science.fr/Matiere/spirale.html
http://patrick.kohl.pagesperso-orange.fr/spectro_oem/spectro_oem_1.htm
http://fr.wikipedia.org/wiki/Onde_m%C3%A9canique_progressive#Ondes_transversales_et_ondes_longitud
inales
où :
représente la phase qui tient compte d’une double périodicité (temporelle et spatiale)
t représente le temps, T la période
x est la position de l’onde, λ est la longueur d’onde. La longueur d’onde est la plus petite distance séparant
deux points dans le même état vibratoire
http://patrick.kohl.pagesperso-orange.fr/spectro_oem/spectro_oem_1.htm
C'est exactement le type d'onde qui nous intéresse dans notre cas : il faut un champ électrique 𝐸⃗ et un champ
magnétique 𝐵 ⃗ , et notre onde est donc sur 3 dimensions.
Il faut déterminer les caractéristiques de cette onde : amplitude de 𝐸⃗ et 𝐵
⃗
vitesse de propagation
longueur d'onde
Maintenant nous avons plusieurs interprétations possibles pour déterminer la force qui pousse le tissu de la
sphère d’expansion en sachant que nous avons une pulsation et une rentrée de la corde spatiale dans R0 :
1 – l'amplitude des champs est constant mais ce qui caractérise la puissance de l'onde (pour faire
grossir la sphère d'expansion R(t)) c'est la vitesse de propagation qui est définie par la vitesse de rétraction de
l'espace fluidique D(t) . La longueur d'onde est donnée par la pulsation ω0 de la bulle d'expansion R0.
𝑣 = 𝑓(𝐷(𝑡) ) 𝐸⃗ 𝑒𝑡 𝐵 ⃗ = 𝑐𝑡𝑒 𝜆 = 𝑓(𝜔0 )
2 – l'onde électromagnétique a une vitesse de propagation constante (vitesse de la lumière), mais la
valeur de l'espace fluidique D(t) définit l'amplitude des champs qui caractérise la force de poussée sur la
sphère d'expansion R(t). La longueur d'onde est donnée par la pulsation ω0 de la bulle d'expansion R0.
𝑣 = 𝑐𝑡𝑒 = 𝑐 𝐸⃗ 𝑒𝑡 𝐵 ⃗ = 𝑓(𝐷(𝑡) ) 𝜆 = 𝑓 (𝜔0 )
3 - l'onde électromagnétique a une vitesse de propagation constante (vitesse de la lumière), et
l'amplitude des champs sont constant également ; ce qui fait grossir la sphère d'expansion, c'est la longueur
d'onde qui est déterminée par la quantité d'espace fluidique D(t) qui est rentré dans la bulle d'expansion R0
éjectée à des intervalles rythmés par ω0.
𝑣 = 𝑐𝑡𝑒 = 𝑐 𝐸⃗ 𝑒𝑡 𝐵 ⃗ = 𝑐𝑡𝑒 𝜆 = 𝑓(𝜔0 𝑒𝑡 𝐷(𝑡) )
Le cas 1 suppose une amplitude des champs constants ; cela veut dire que le fluide est homogène partout. Ce
serait la vitesse de rentrée de la corde spatiale qui déterminerait la vitesse de sortie du fluide, donc la force
avec laquelle le fluide pousse sur le tissu interne de la sphère. Mais dans ce cas, ce serait l’accélération de
rentrée de la corde qui interviendrait pour déterminer la force de poussée. La pulsation ω0 de la bulle d'expan-
sion R0 déterminerait l’appartenance du fluide : tel fluide appartient à telle masse. C’est donc la reconnaissance
de la sphère d’expansion. Cette appartenance à une masse particulière implique que le fluide est complètement
malléable. Sa longueur d’onde est façonnée en fonction de la pulsation ω0 d’une masse m0. Ce cas est diffici-
lement envisageable, puisque nous considérons le fluide comme une onde électromagnétique ; son déplace-
ment devrait être la vitesse de la lumière, mais nous ne rejetons pas ce cas ! (Retour Pxx)
Le cas 2 suppose bien le fluide comme une onde électromagnétique à vitesse de propagation constante et égale
à « c ». Donc le fluide serait homogène dans n’importe quel point de l’univers 1 ou 2. Ce qui déterminerait la
puissance de la force serait l’amplitude des champs électriques et/ou magnétique comme une tension élec-
trique qui entraine un moteur ; plus la tension est élevée, plus le moteur tourne vite. Ce serait une caractéris-
tique l’espace fluidique D(t) (quantité de « corde spatiale », ou vitesse, ou accélération) qui fixerait cette am-
plitude. La pulsation ω0 de la bulle d'expansion R0 déterminerait l’appartenance du fluide. Comme détaillé
dans le cas 1. (Retour Pxx)
Le cas 3 est comme le cas 2, mais considère le fluide comme une matière homogène partout. Donc, ce qui
provoquerait les forces de poussées devrait être uniquement la pulsation ω0. Comme une seringue qui expul-
serait une quantité de fluide à espace régulier et qui irait pousser le tissu de la sphère. En fait, il y aurait 2
facteurs, la fréquence d’expulsion qui serait donné par ω0 et la quantité de fluide qui serait déterminé par la
quantité de corde spatiale qui rentre dans R0. Ce cas est extrêmement complexe et peu probable. De plus, cela
voudrait dire que le fluide serait une matière !
Il faudra, tout de même, introduire, un facteur de forme f si nous voulons que la mf soit une masse
électrostatique équivalente d’une particule m de fluide.
Donc, le calcul du coefficient de forme va se déduire à partir de la gravitation à l'intérieur d'une sphère, car,
nous calculons la « quantité » de fluide (mf) qui circule à l'intérieur de la sphère d'expansion.
−𝐺𝑚𝑓
𝑅 ′′ = 𝑅3 𝑅 qui est de la forme 𝑅 ′′ = −𝜔𝑓2 𝑅
0
de là nous pouvons déduire
𝐺𝑚𝑓
𝜔𝑓2 =
𝑅03
2𝐺𝑚𝑓
Mais comme le fluide sort de la bulle, nous savons que la bulle d’expansion a un rayon constant 𝑅0 = 𝑐2
A partir de cette équation, nous pouvons dire que
2𝐺𝑚𝑓 𝑅0 𝑐 2
𝑅0 = => 𝐺𝑚 𝑓 =
𝑐2 2
2
si nous remplaçons dans ωf
2
𝐺𝑚𝑓 𝑅0 𝑐 2 𝑐2
𝜔𝑓 = 3 = =
𝑅0 2𝑅03 2𝑅02
ωf est la pulsation du fluide et elle est constante puisque c et R0 sont constants
Par contre, si nous remplaçons la valeur de R0, nous voyons que
𝜔𝑓 = 𝜔0
Puisque la fréquence ω0 est constante pour une masse m0
alors le fluide a une fréquence constante qui répond soit à l'interprétation 1 ou 2
De cette constatation nous déduirons un NB important lors de la synthèse à propos du « pont » entre les phy-
siques.
Le fluide élimine le cas 1 puisqu’on utilise une masse non volumique (équivalence énergie) qui se propage à
la vitesse de la lumière.
Donc, nous pouvons écrire l'égalité énergétique
𝑚𝑓 𝑐 2 = ℎ𝜈
reste à définir 𝜈 = 𝑓𝑟é𝑞𝑢𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑢 𝑝ℎ𝑜𝑡𝑜𝑛 mais, c'est aussi la fréquence de la particule de fluide de masse
électrostatique mf
𝜔𝑓
Mais comme 𝜔𝑓 = 2𝜋𝑓𝑓 alors 𝑓𝑓 = 2𝜋 = 𝜈
maintenant, l'égalité énergétique devient
𝜔𝑓
𝑚𝑓 𝑐 2 = ℎ
2𝜋
Nous pouvons donc déduire la mf
ℎ𝑐
𝑚𝑓 = √
2𝐺2𝜋√2
IV.3.d Conséquence
Donc, nous aurons 2 valeurs de mf :
1 - La mf = masse électrostatique équivalente d’un électron 𝑚𝑓é = 1,859273085918. 10−09 𝐾𝑔
2 - La mf = masse électrostatique équivalente d’une particule de fluide 𝑚𝑓𝑝 = 1,294160144438. 10−08 𝐾𝑔
La deuxième étant la première corrigée du coefficient de forme.
De ce résultat, nous pouvons tout de suite remarquer que R0 est plus grand que R(t) ou plutôt que R(t) est plus
4𝐺𝑚
petit que R0. Mais ce résultat n'est valable qu'au « temps origine » (qui est négatif − 3𝑐 3 0 ), ensuite R(t)
grossit à cause de la rétraction de D(t) pour être supérieur à R0 qui lui est constant. R(t) = R0 quand Tc = 0.
Nous verrons dans la synthèse, quelle conclusion nous pouvons tirer de cette égalité.
La mf est maintenant définie et quantifiée : elle est constante, que l'on soit en accélération ou
décélération quel que soit la masse considérée.
La mf peut être considérée comme une masse au repos d'une masse-énergie. Elle peut donc recevoir l'effet
Vialle comme développée dans la partie 2.
Comme tous ces éléments sont communs, nous pouvons relier H0 et D et comme 𝐻0′′ est orienté de la même
′′
façon que 𝐷(𝑡) alors ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐻0′′ = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐷(𝑡)′′
Donc, le fluide sortira de la même façon que la rentrée de la « corde spatiale ». C’est donc bien la quantité
de « corde » rentrant dans R0 qui détermine la quantité de fluide expulsé.
Comme nous avons un coefficient de forme qui définit 𝑚𝑓é par rapport à 𝑚𝑓𝑝 , et comme 𝑚𝑓𝑝 est une sphère,
puisque c’est une particule énergétique, alors l’électron n’est pas forcément sphérique (à cause du coefficient
de forme). Retenons ceci pour plus tard.
Retour table des matières
Nous connaissons m f (que ce soit l’électron ou la particule de fluide, c’est identique), c et on a des
probabilités de vitesse v ; il manque que le α pour cela, il faut trouver x.
′′ 𝑚𝑓
Dans 𝑅(𝑡) = −𝐺 𝑅2 , G et mf sont connus, et R(t) : c'est le rayon atomique de l'atome de cuivre c'est à dire
(𝑡)
135 pm (picomètre) ; on assimile le RT au R(t) de l'atome de cuivre (Ra) (= partie 2 : on fixe le rayon de la
sphère de l'atome constant).
Le rayon atomique est une mesure de la taille des atomes qui correspond à la distance moyenne entre le
noyau et la frontière du nuage électronique qui l'entoure.
Quand nous voulons calculer la masse énergétique de la mf il faut compter avec la condition relativiste.
𝑐
La vitesse d'un électron est de l'ordre 𝑣 = 137,036 (137,036 étant l’inverse de la constante de structure fine).
𝑐
Il y a des cas où 𝑣 = 100 Il est difficile de déterminer la vitesse d'un électron autour du noyau, car elle est
fonction de la grosseur de l'atome (elle serait de l'ordre de 0,66.10 16 t/s) et de la position de l’électron
Nous pouvons tout de même noter que la vitesse d'un électron n'est pas stable, elle dépend de son degré
d'excitation.
En physique quantique, on ne peut pas calculer la vitesse et la position d'un électron (c'est soit l'un soit
l'autre) c'est pourquoi il y a des probabilités de vitesse. Avec le modèle de Bohr 𝑣 = 𝛼. 𝑐
Attention ; cette vitesse est une vitesse moyenne de Bohr pour un rayon atomique moyen de Bohr. Le rayon
ℎ 2 𝜀0
atomique de l’atome de Bohr 𝑅𝑎0 = 𝜋𝑚 2 = 5,2917721092 . 10−11 𝑚 (avec mé = masse de l’électron)
é𝑞
Quand nous appliquerons un raisonnement sur la particule de fluide 𝑚𝑓𝑝 , nous prendrons ce rayon.
Un site explique très bien le modèle atomique : http://villemin.gerard.free.fr/Science/PaElectr.htm
Cependant, nous avons des doutes sur l’annonce de cette vitesse. Je n’ai pas trouvé d’éléments pour valider
𝑐
ce calcul. D’ailleurs, nous verrons plus loin que cette vitesse 𝑣 = 𝛼 = 137,036 . 𝑐 (avec le calcul du moment
cinétique de l’électron).
Sur ce graphique
Et donc la cr = 0,99995
𝑐
Nous pouvons pratiquement considérer que cr = 1 pour une vitesse 𝑣 = 100
Le mouvement d'un électron autour d'un noyau correspond au cas d'un mouvement avec accélération non
contrôlée (nous ne sommes pas en √) donc 𝑣 = 𝑘𝑡 ce cas a été abordé dans la partie 2 (la masse)
Donc, x n'est pas contrôlable et α ne sera pas constant. Ils seront tributaire du temps
Nous trouvons
′′2 2
𝑅(𝑡) 𝑅𝑎 𝛥𝑅
𝑥(𝛥𝑡) =
6𝑐 2 𝐺𝑚𝑓
2
(𝑚𝑠 −2 ) .𝑚2.𝑚 𝑚2 𝑠−4 𝑚2𝑚
Côté unité : (𝑚𝑠 −1 )2 .𝑚3 𝑘𝑔−1 𝑠−2 .𝑘𝑔 = 𝑚3 𝑠−2 𝑚3𝑠−2 = sans unité : c’est homogène !
Traçons la courbe de x(Δt) en modifiant des paramètres pour avoir une représentation exploitable :
𝑣2
Dans la partie 2, 𝑥 = 2𝐾𝑀𝑎𝑥 et il était constant pour une valeur de temps fixé. En effet, si nous passions à
𝑚 𝜏√ 0
vitesse constante (plus d’énergie), alors x était constant. Or ici le x n’est plus constant. Mais tout est relatif ;
𝑚2
𝑓
𝑚𝑓
′′2 2
𝑅(𝑡) 𝑅𝑎 𝛥𝑅 𝐺 2 4 𝑅𝑎
2 𝛥𝑅
𝐺𝑚𝑓
′′ 𝑅
L'ordre de grandeur de x avec 𝑅(𝑡) = −𝐺 2 alors 𝑥(𝛥𝑡) = 2 = 𝑎
= 6𝑐 2 𝑅2 𝛥𝑅
𝑅𝑎 6𝑐 𝐺𝑚𝑓 6𝑐 2 𝐺𝑚𝑓 𝑎
en prenant G = 6,67384.10-11 m3 Kg-1 s-2
mf = 1,294160144438.10-8 Kg
c = 299732458 m/s
et R étant le rayon de l'atome de cuivre = 135 pm = 135.10-12 m
6,67384.10−11 ∗1,294160144438.10−8 𝛥𝑅 𝛥𝑅
nous trouvons un 𝑥(𝛥𝑡) = = 1,602304346.10-36
6∗2997324582 𝑅2 𝑅2
Si nous rentrons le rayon de l'atome de cuivre dans le calcul, ou si nous rentrons le rayon atomique de
l’atome de Bohr, nous trouvons 𝑥(𝛥𝑡) = 8,791793.10-17 ΔR ou 5,725767.10-16 ΔR, mais comme le ΔR
(variation de la sphère d'expansion) sera toujours très petit devant le R (rayon de la sphère d'expansion) alors
𝛥𝑅
le 𝑅2 sera toujours très petit et cela donnera toujours un 𝑥(𝛥𝑡) très petit ; de l'ordre de 10-36 et comme 𝛼𝑎𝑐𝑐 =
𝑥2 𝑥 𝑥2 𝑥
− 2 − 2 + 1 ou 𝛼𝑑é𝑐 = − 2 + 2 + 1 dans ce cas α ≈ 1.
Pour les valeurs numériques, nous ne faisons pas de distinguo sur la mf impliquée, mais les ordres de
grandeur sont identiques.
Donc comme la cr = 1, et que α = 1, alors
𝑚𝑓𝑎𝑐𝑐 = 𝑚𝑓𝑑é𝑐 = 𝑚𝑓
Ainsi nous pouvons annoncer que les conséquences de la masse énergétique sur l'atome sont identiques en
accélération ou décélération et égale à la masse électrostatique ; le comportement est identique aux planètes.
Nous verrons dans la synthèse ce que nous pouvons tirer de ces constatations.
Il va donc falloir approfondir le cas où 𝑣 = 𝐾𝑡. RV a baptisé ce cas la « chute libre ».
Nous devons choisir un modèle atomique, je me suis basé sur l’atome de Bohr avec le postulat des orbites
qui considère une vitesse linéaire constante de l’électron sur son orbite.
http://www.lnw.lu/Departements/Physique/personnel/larje/1iere/Cours%20Mousset%202010-
1011/C.%20Physique%20moderne/10%20Atome%20de%20Bohr.pdf
Il est vrai que ce modèle n’est valable que pour l’atome d’hydrogène. Nous allons nous basé sur ces
postulats et voir si l’effet Vialle n’apporte pas des informations contradictoires.
Nous nous baserons sur le modèle de la physique quantique plus tard.
Ici, nous sommes en fin de phase d'accélération ; nous sommes en vitesse constante, donc nous pouvons
remplacer m0 par mf dans l'équation de Drel
pour trouver finalement
−2−𝑥
1 𝑡𝑛 (𝛥𝑡)
𝐷𝑅𝑐𝑙 =
6𝜋𝑚𝑓 𝑡02 𝑡 −2−𝑥(𝛥𝑡)
0
(DR cl = D relativiste de la « chute libre »).
Dans ce cas x(Δt) n'est pas constant, il est fonction du temps et donc pour chercher D (t)' et D(t)'', nous avons 2
variables fonction du temps (tn et x(Δt))
−3−𝑥(𝛥𝑡)
1 𝑡
′
𝐷𝑅𝑐𝑙 = (−2 − 𝑥(𝛥𝑡) ) 𝑛 −𝑥(𝛥𝑡)
6𝜋𝑚𝑓 𝑡 0
Or, je rappelle que
′
1 𝑡0𝑥
𝐷𝑅𝑎𝑐𝑐 =− (2 + 𝑥 ) 3+𝑥
6𝜋𝑚𝑓 𝑡𝑛
C’est la même écriture !
′ ′ ′′
Nous finissons par trouver que 𝐷𝑅𝑐𝑙 = 𝐷𝑅𝑎𝑐𝑐 donc, nous considèrerons les 𝐷(𝑡) identiques aussi. Les dé-
′
monstrations ne sont pas faites, mais comme cela est démontré pour les 𝐷(𝑡) , j’ai supposé identique pour les
′′
𝐷(𝑡) .
Il en est de même pour la mf, tout dépend sur quelle énergie nous travaillons ; soit l’électron, soit la particule
de fluide. Donc cela ne changera rien sur l’écriture.
𝛥𝑡
Je rappelle que dans l’annexe 28 nous prenons la relation temporelle 𝑡𝑛 = 𝑡0 − 𝛥𝑡 = 𝑡0 (1 − 𝑡 )
0
Souvenez-vous cette équation dans le chapitre 2 :
Il s’agit du temps cosmologique origine pour rendre la sphère énergétique de rayon R (t) identique au rayon
atomique de l’atome de cuivre.
Nous pouvons travailler sur cette référence temporelle car nous n’utilisons les simplifications de Taylor uni-
𝑣2 𝑡𝑛
quement pour le rapport des vitesses 𝑐 2 et les conditions > 0 et Δt = cste, sont respectées. (retour équa dif)
𝑡0
Attention : Dans ce cas la mf pris en compte est celle de l’électron
Dans le chapitre 2 de la masse, nous avons vu que
– Nous avons un gain d'énergie à cause du signe négatif puisque 𝐸𝑇𝑎𝑐𝑐 = 𝛼𝑎𝑐𝑐 (𝐸0 − 𝐸𝑐 ) ; ici, pour
l'atome, nous avons α = 1, et nous sommes à vitesse constante. Donc l’énergie a été acquise lors de
l’accélération de l’électron ; ainsi, l’énergie est conservée !
– Nous avons vu aussi que 𝛥𝑚𝑔𝑎𝑐𝑐 = 𝑚0 (1 − 𝛼𝑎𝑐𝑐 ) mais ici comme α = 1, alors nous n'avons pas
de cumul de masse, ni d'énergie mécanique et donc pas d'action mécanique de modification de forces. Donc
ce n’est pas l’effet Vialle sur la masse qui crée l’expansion de la sphère. (effet mécanique)
– Il y avait aussi une rémanence fluidique qui allait induire un cumul de masse énergétique 𝛥𝑀 =
𝑚𝑥. Au niveau atomique, puisque 𝑥(𝛥𝑡) ≈ 10−36 ≈ 0 alors, il n'y aura pas de rémanence fluidique.
RV a continué ses calculs en appliquant sa théorie sur le calcul de la masse de la Galaxie pour trouver une
masse de 8,534.1041 Kg, or la masse totale de la voie lactée est de 2.1042 Kg (masse controversée, mais
calculé sur des statistiques de dénombrement).
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ordres_de_grandeur_de_masse
http://passeurdesciences.blog.lemonde.fr/2013/01/16/bagarre-astronomes-sur-la-masse-de-la-voie-lactee/
Car pour continuer, il a eu besoin de connaître la masse d'un univers.
Cette méthode est particulièrement difficile à comprendre, et les conséquences que cela amène sont
embarrassantes. Après de longues discussions que j’ai eues avec lui, cela impliquerait l’existence d’une
seule galaxie ! Cela voudrait dire que les autres galaxies que nous observons dans le cosmos, seraient la
même galaxie dans des temps différents.
La mf est la masse électrostatique équivalente de l'électron (en mouvement), mais c'est aussi la masse
électrostatique d’une particule de fluide (quand elle est corrigée avec le facteur de forme) éjectée à une
accélération ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐻0′′ = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐷(𝑡)′′
fonction de la quantité de D(t) qui rentre dans R0, elle oscille (longueur d'onde) à
𝜔𝑓 = 𝜔0
Richard Vialle a supposé que le fluide sortait avec une vitesse D 0'. Si nous considérons cette hypothèse, cela
′
oblige un changement de signe 𝐷0′ = −𝐷(𝑡)
voir annexe 29
De plus, la force résultante qui est la force qui doit pousser le tissu de la sphère d'expansion, est dirigée vers
l'intérieur, donc vers la bulle d'expansion. Ce n'est pas ainsi que cela doit se passer. La seule composante sur
laquelle nous pouvons corriger cette anomalie : c'est la sortie du fluide. Donc le fluide sort avec une
accélération qui est la même en module et en sens que l'espace fluidique D (t).
J'ai donc repris cette hypothèse en supposant une sortie du fluide avec une accélération, ce qui change la
représentation graphique de la force qui pousse le tissu spatial de la sphère d'expansion.
Et cela permettrait de rester dans une configuration classique = la vitesse de propagation de l'onde
électromagnétique est la vitesse de la lumière : dans ce cas c'est bien l'interprétation 2 de la (page xx) qui
sera retenue.
voir annexe 30
Dans cette annexe, nous allons découvrir des choses extrêmement importantes :
Nous avons vu, avec la deuxième loi de Newton que ⃗⃗⃗ 𝐹𝑐 = 𝑚𝑓 ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐷0′′ car nous avons vu que la vitesse de sortie
du fluide est directement proportionnelle à l'accélération de rentrée de la corde spatiale.
Ensuite ⃗⃗⃗
𝐹𝑒 = 𝑚𝑓 𝐷′𝐸⃗ et ⃗⃗⃗ 𝐹𝐿 = 𝑚𝑓 𝐷′𝐷 ⃗⃗⃗⃗⃗′ ∧ 𝐵
⃗
𝑂
Le point d'application de ⃗⃗⃗ 𝐹𝐿 est m, le sens est fonction de ⃗⃗⃗⃗
𝐷0′ (c'est à dire dirigé vers 0), sa direction s'obtient
par un produit vectoriel, ⃗⃗⃗ 𝐹𝐿 est donc perpendiculaire à ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐷0′ 𝑒𝑡 𝐵⃗ Quand nous appliquons la règle des 3 doigts
de la main droite ; la 𝐹 ⃗⃗⃗𝐿 est orienté dans la direction de 𝐸⃗
donc
𝐹𝑅 = 𝑚𝑓 ⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗ 𝐷0′′ + 𝑚𝑓 𝐷′𝐸⃗ + 𝑚𝑓 𝐷′𝐷 ⃗⃗⃗⃗⃗𝑂′ ∧ 𝐵
⃗
Avec 𝑚𝑓 𝐷′𝐸⃗ étant la définition de la force électrostatique
Et 𝑚𝑓 𝐷′𝐷 ⃗⃗⃗⃗⃗𝑂′ ∧ 𝐵
⃗ étant la définition de la force magnétique
𝑚𝑓 ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐷0′′ est la force de coulomb ; c'est une force mécanique, mais c'est aussi une force électrostatique.
mf est une masse équivalente qui représente une particule de fluide éjectée avec une accélération D0'', mais
elle a le même comportement qu’une masse électrostatique équivalente de la charge de l'électron ⃗⃗⃗ 𝐹𝑐 = 𝑞𝐸⃗
Du côté des unités voir l’annexe 30, nous avons la dimension d’une force
Cependant, notons que si nous restons purement en système MKSA ⃗⃗⃗ 𝐹𝑐 = 𝑚𝑓 ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐷0′′ = 𝑘𝑔. 𝑘𝑔−1 𝑠 −4 = 𝑠 −4, parce
que 𝑘𝑔−1 𝑠 −4 est l’unité de l’accélération de D’’ dans le système MKSA
Nous allons voir un peu plus loin que cette unité (𝑠 −4 ) correspond à une force dans le système MS
Remarque : D’ ne peut être qu’un scalaire, car si c’était un vecteur, le produit d’un scalaire par un vecteur
serait un vecteur, et dans ce cas la charge « q » serait un vecteur orienté. Dans ce cas ⃗⃗⃗
𝐹𝑐 = 𝑞𝐸⃗ serait faux, car
nous ferions 𝑞. 𝐸⃗ = 𝐹𝑐 . Ainsi, Fc ne serait pas un vecteur mais un scalaire : cela ne marcherait pas ! Par
contre, si D’ est un scalaire cette vitesse peut prendre n’importe quelle direction.
Nous reviendrons plus tard sur cette remarque extrêmement importante et comment nous pouvons expliquer
son existence. Retenons, qu’elle peut prendre n’importe quelle direction. Nous pouvons, donc considérer
qu’elle s’applique à la mf et donc elle peut faire tourner la mf sur elle-même.
e FR
Dans la synthèse, nous verrons une application aux rotations des planètes, étoiles, galaxie, …
Dans ce dessin, nous avons supposé une rotation de la particule mf à cause de ⃗⃗⃗⃗
𝐷0′ avec la règle du tire-bouchon.
Cette affirmation est fausse : Oui, il y a rotation, mais cette rotation est due au scalaire D’. On ne peut pas
donner encore de sens de rotation ; il faut d’abord travailler et définir cette vitesse D’.
Notons au passage que dans l’équation 𝐷0′′ = √𝑓4𝜋𝜀0 𝐺𝐸 = 𝑚𝑠 −2 : nous avons une accélération dans le
système MKSA ; mais dans l’équation 𝐷 ′ = √𝑓4𝜋𝜀0 𝐺 = 1,238. 10−11 𝑚𝑠 −1 : nous avons une vitesse dans
le système MS. Il y a donc dans cette équation un transfert de système de mesure !
Nous pouvons représenter un tableau qui pourra être complété par la suite
Pour le moment, nous n’avons consacré l’effet Vialle uniquement pour quelques effets mécaniques et
électriques, mais cet effet s’applique pour toute la physique, voire même la métaphysique !
Notons tout de même qu’à partir de 𝑞 = 𝑚𝑓 √𝑓4𝜋𝜀0 𝐺, nous avons déduit que √𝑓4𝜋𝜀0 𝐺 = 𝐷 ′ donc une vi-
tesse. Nous avons démontré l’unité correcte 𝑚𝑠 −1 dans le système MS. Cependant, nous pouvons écrire 𝐷 ′ =
𝑞
. Côté unité 𝐷 ′ = 𝑠𝐴. 𝑘𝑔−1 dans le MKSA. Or, 𝐷0′′ = √𝑓4𝜋𝜀0 𝐺𝐸 = 𝑚𝑠 −2 dans le système MKSA. Par
𝑚𝑓
contre 𝐷0′′ doit avoir la dimension d’un espace fluidique dans le système MKSA, c’est-à-dire 𝑘𝑔−1 𝑠 −4. Ainsi,
on peut bien déduire que 𝑘𝑔−1 𝑠 −4 = 𝑚𝑠 −2 donc
𝑘𝑔 = 𝑚−1 𝑠 −2
Mais cela veut dire aussi que 𝐷0′′ = 𝐷 ′𝐸 = 𝑠𝐴𝑘𝑔−1 . 𝑘𝑔𝑚𝑠 −3 𝐴−1 = 𝑚𝑠 −2 = 𝑘𝑔−1 𝑠 −4 Cela n’amène rien de
𝐹𝑐 = 𝑚𝑓 ⃗⃗⃗⃗⃗
plus. Par contre, dans ⃗⃗⃗ 𝐷0′′ nous avons 𝑘𝑔𝑚𝑠 −2 = 𝑘𝑔. 𝑘𝑔−1 𝑠 −4 dans MKSA : il y a incompatibilité
dans le système MKSA, mais nous avons l’expression d’une force dans le système MS (𝑠 −4 ). Ensuite, nous
avons ⃗⃗⃗
𝐹𝑒 = 𝑚𝑓 𝐷′𝐸⃗, pour que l’addition de forces soit homogène, il faut que ⃗⃗⃗
𝐹𝑒 = 𝑠 −4 dans MKSA. Si ⃗⃗⃗𝐹𝑒 =
𝑘𝑔. 𝑠𝐴. 𝑘𝑔 . 𝑘𝑔𝑚𝑠 𝐴 = 𝑘𝑔𝑚𝑠 ≠ 𝑠 . Si ⃗⃗⃗
−1 −3 −1 −2 −4 −1 −3 −1 2 2 −4
𝐹𝑒 = 𝑘𝑔. 𝑚𝑠 . 𝑘𝑔𝑚𝑠 𝐴 = 𝑘𝑔 𝑚 𝑠 𝐴 . Pour que−1
⃗⃗⃗
𝐹𝑒 = 𝑠 , il faut que 𝑘𝑔 𝑚 𝑠 𝐴 = 𝑠 => 𝐴 = 𝑘𝑔2 𝑚2 𝑒𝑡 𝐷 ′ = 𝑚𝑠 −1 dans un système MKSA. Donc,
−4 2 2 −4 −1 −4
comme 𝑘𝑔 = 𝑚−1 𝑠 −2 dans MS, alors 𝐴 = 𝑘𝑔2 𝑚2 = 𝑚−2 𝑠 −4 𝑚2 = 𝑠 −4 . Nous avons démontré que
𝐴 = 𝑠 −4
Si le vecteur vitesse D’ est un scalaire, il peut prendre n’importe quelle orientation et donc le champ
magnétique 𝐵 ⃗ devient un champ magnétique sur 3 dimensions ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐵3𝐷 et par réciprocité, une charge « q » se
déplaçant dans un champ magnétique créera un champ électrique à 3 dimensions ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝐸3𝐷
Soit une charge ponctuelle q située en un point O. Soit un point de l'espace M. La force induite par le champ
𝑞 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑂𝑀
électrique provoqué par q en M vaut : 𝐸⃗ = 2
4𝜋𝜀0 𝑂𝑀 𝑂𝑀
https://fr.wikipedia.org/wiki/Champ_%C3%A9lectrique
Donc par analogie
𝑚𝑓 𝐷 ′. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑂𝑚𝑓
⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐸3D =
4𝜋𝜀0 ∥ 𝑂𝑚𝑓 ∥3
𝑘𝑔.𝑚𝑠 −1 .𝑚
Côté unité : il faut que 𝐷 ′ = 𝑚𝑠 −1 dans MKSA, ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐸3D = 2 4 −1 −3 = 𝑚2 𝑘𝑔2 𝑠 −5 𝐴−2 = ? Mais dans le
𝐴 𝑠 𝑘𝑔 𝑚 .𝑚3
MS = s-1. Cela a la dimension d’un champ électrique dans le système MS !
Cependant, notons que 𝑚2 𝑘𝑔2 𝑠 −5 𝐴−2 = 𝑚𝑘𝑔𝑠 −3 𝐴−1. 𝑚2 𝑘𝑔𝑠 −2 𝐴−1 . 𝑚−1
Φ
Cela veut dire que le champ électrique ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐸3𝐷 = 𝐸⃗ 𝑑 en d’autres termes ; c’est un champ électrique orienté mul-
tiplié par un scalaire de flux magnétique sur une certaine distance : ceci est capital !
𝑞
Attention : Ici, comme il s’agit d’une charge la mf n’est pas corrigée du facteur de forme : 𝑚𝑓 = 4𝜋𝜀 𝐺
√ 0
Nous en sommes à l’orée d’une découverte capitale que nous expliquerons dans la synthèse.
Souvenez-vous de la parabole donnée en début de ce document (avant la table des matières : information
importante), nous sommes au bord de la réserve d’eau inépuisable et nous commençons à observer les mul-
tiples sources qui alimentent cette réserve.
Pour le moment, rien n’est prouvé, nous allons donc essayer de le faire par les équations.
Nous pouvons remarquer que cette vitesse n’est fonction que du temps. Mais elle est orientée. D0’ est orientée.
Ensuite, nous avons la mf, sur laquelle nous avons une autre vitesse qui est constante.
Cette vitesse n’est pas orientée car c’est un scalaire. D’ n’est pas orienté. Elle s’applique à la mf mais, comme
nous avons 2 mf, nous aurons 2 D’ :
√4𝜋𝜀0 𝐺 = 8,6172. 10−11 𝑚⁄𝑠 = 𝐷 ′𝑑𝑒 𝑙 ′ é𝑙𝑒𝑐𝑡𝑟𝑜𝑛. Nous la nommerons 𝐷é′
√𝑓4𝜋𝜀0 𝐺 = 1,2380. 10−11 𝑚⁄𝑠 = 𝐷 ′𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑐𝑢𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑓𝑙𝑢𝑖𝑑𝑒. Nous la nommerons 𝐷𝑝′
La question qui se pose est : dans quel plan agit cette vitesse ? On pourrait supposer dans tous les plans
puisque c’est un scalaire ; mais dans ce cas quel en seraient les conséquences ?
De par les unités, nous avons vu qu’il y avait une composante magnétique (induction ou flux), quand nous
écrivions une équation de champ électrique ; ensuite, nous avons assimilé au départ, et tous les calculs se
déroulent selon l’hypothèse que le fluide aurait l’aspect d’une onde électromagnétique. Dans ce cas, 𝐵 ⃗ ⊥ 𝐸⃗ .
Ainsi, le scalaire D’ pourra intervenir sur 𝐸⃗ dans la force électrostatique ⃗⃗⃗ 𝐹𝑒 = 𝑚𝑓 𝐷′𝐸⃗, mais aussi sur 𝐵 ⃗ dans
la force magnétique 𝐹 ⃗⃗⃗⃗⃗𝑂′ ∧ 𝐵
⃗⃗⃗𝐿 = 𝑚𝑓 𝐷′𝐷 ⃗ . Par contre, elle n’intervient pas dans l’écriture de la force de Coulomb
𝑚𝑓 ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐷0′′ c'est une force mécanique, mais c'est aussi la force électrostatique ⃗⃗⃗ 𝐹𝑒 = 𝑚𝑓 𝐷′𝐸⃗ (𝐹 ⃗⃗⃗𝑒 = q𝐸⃗ ). Donc, cette
vitesse scalaire peut avoir aussi une influence sur la force mécanique ; dans ce cas, elle donne une raison
𝛽 1
d’existence à 2 = 3𝜋 2 = 0,07502636 qui est le décalage temporel entre la pulsation et R 0 que nous avions
√
représenté dans la partie 1 (page xx), parce que justement, cette valeur est constante.
L’électron est défini par un objet quantique à 3 nombres quantiques, mais Uhlenbeck, aidé par un autre doc-
torant, Samuel Goudsmit, en 1925, proposa un quatrième nombre quantique qui permit de définir le spin d’un
électron ; « En d’autres mots, l’électron doit tourner sur lui-même. »
http://www.cnrs.fr/sciencespourtous/abecedaire/pages/uhlenbeck.htm
Donc cette vitesse scalaire s’applique dans tous les plans : c’est ce scalaire qui fait tourner la mf !
Mais dans ce cas, cela veut dire que la force résultante décrit un cône de pression sur l’intérieur de la sphère
d’expansion, et que le fluide est une onde scalaire (ou onde de torsion).
Cette théorie expliquerait le spin des électrons, mais aussi, pourquoi les planètes tournent sur elle-même,
puisque cette théorie unifie les 3 physiques !
Mais si les champs sont tournants et fonction de la corde spatiale (vitesse et accélération) pour l’amplitude
des champs, mais que la propagation soit constante (= c), alors nous devrions avoir cette représentation, pour
un état normal :
Essayons d’écrire ce champ E en faisant une division vectorielle. Car c’est ce champ électrique qui est
intéressant
Division vectorielle
On considère un plan ( )
⃗
Expression des solutions de l’expression vectorielle : 𝐴 ∧ 𝑋 = 𝐵
⃗
𝐵 ⃗ sont des vecteurs connus non nuls et non coli-
dans laquelle 𝐴 𝑒𝑡 𝐵
⃗⃗⃗⃗
𝑋0 néaires.
⃗⃗⃗⃗0 + 𝛿. 𝐴 où ⃗⃗⃗⃗
Les solutions sont de la forme : 𝑋 = 𝑋 𝑋0 est une solution
𝐴 𝛿𝐴
𝑋 particulière portée par la perpendiculaire commune au support de
𝐴 𝑒𝑡 𝐵⃗.
π
La solution générale :
1 𝐴. 𝑋 ⃗ ∧𝐴
𝐵 𝐴. 𝑋
𝑋=− ⃗)+(
. (𝐴 ∧ 𝐵 ) . 𝐴 𝑜𝑢 𝑋 = + 𝛿. 𝐴 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝛿 = ( )
⃗⃗⃗⃗
𝐴2 ⃗⃗⃗⃗
𝐴2 ⃗⃗⃗⃗
𝐴2 ⃗⃗⃗⃗
𝐴2
La solution particulière : (quand les 3 vecteurs sont orthogonaux)
⃗ ∧𝐴
𝐵
𝑋= 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝛿 = 0
⃗⃗⃗⃗
𝐴2
http://www2c.ac-lille.fr/eiffel/cpge/DocSI/outils%20vectoriels.pdf
nous trouvons
⃗⃗⃗⃗⃗
𝐷0′′ ∧ ⃗⃗⃗⃗
𝐷′ ⃗⃗⃗⃗
𝐷 ′. 𝐸⃗
𝐸⃗ = 2
⃗⃗⃗⃗′ 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝜆 =
+ 𝜆𝐷 2
⃗⃗⃗⃗
𝐷′ ⃗⃗⃗⃗
𝐷′
Il est vrai que le dessin au-dessus porte à confusion, il faudrait pouvoir le tourner, pour correspondre à la
figure de l’annexe 30
e
D’
0 D0'' D0' m D0''
(0m)
⃗⃗⃗⃗⃗⃗′′ ∧𝐷
𝐷 ⃗⃗⃗⃗′ ⃗⃗⃗⃗
𝐷′ .𝐸⃗
Décortiquons cette équation : 𝐸⃗ = 0
2
⃗⃗⃗⃗′ 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝜆 =
+ 𝜆𝐷 2
⃗⃗⃗⃗
𝐷′ ⃗⃗⃗⃗
𝐷′
⃗⃗⃗⃗⃗
𝐷0′′ ∧ ⃗⃗⃗⃗
𝐷 ′ est un produit vectoriel, dont le résultat est un vecteur ; quand on regarde le schéma, il s’agit de 𝐸⃗
2
⃗⃗⃗⃗
𝐷 ′ = ⃗⃗⃗⃗𝐷 ′. ⃗⃗⃗⃗
𝐷 ′ c’est un produit scalaire, dont le résultat est un scalaire
⃗⃗⃗⃗⃗⃗′′ ∧𝐷
𝐷 ⃗⃗⃗⃗′
0
2 = un vecteur multiplié (divisé) par un scalaire. Mais ce scalaire, qui est constant, est de l’ordre de
⃗⃗⃗⃗
𝐷′
(1. 10−11 )2 = 1. 10−22 : c’est donc le champ 𝐸⃗ qui est multiplié par 1. 1022 !
⃗⃗⃗⃗
𝐷′ .𝐸⃗ 𝑝𝑟𝑜𝑑𝑢𝑖𝑡 𝑠𝑐𝑎𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒
𝜆= 2 = 𝑝𝑟𝑜𝑑𝑢𝑖𝑡 𝑠𝑐𝑎𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒 = 𝑠𝑐𝑎𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒 et ⃗⃗⃗⃗ ⃗)
𝐷 ′ est un vecteur (scalaire orienté selon 𝐵
⃗⃗⃗⃗
𝐷′
Notons que si ⃗⃗⃗⃗ ⃗ , alors ⃗⃗⃗⃗
𝐷 ′ est orienté sur 𝐵 𝐷 ′. 𝐸⃗ = 0 et dans ce cas 𝜆𝐷
⃗⃗⃗⃗′ = 0. Mais s’il est égal à 0, ce n’est pas
parce que ⃗⃗⃗⃗
𝐷′ = 0⃗ , c’est parce que λ = 0 !
⃗⃗⃗⃗ est donc le produit d’un scalaire par un vecteur, c’est donc un vecteur.
𝜆𝐷 ′
⃗⃗⃗⃗
𝐷′ .𝐸⃗
⃗⃗⃗⃗′ n’est pas représenté, mais comme 𝜆 =
Dans notre schéma, 𝜆𝐷 2
⃗⃗⃗⃗′ devrait être colinéaire au
, donc 𝜆𝐷
⃗⃗⃗⃗
𝐷′
champ électrique 𝐸⃗ , ainsi λ est un scalaire magnétique
D’ π
λD’
0 D0'' D0' m D0''
(0m)
𝑚𝑠 −2 .𝑚𝑠 −1 𝑚𝑠 −1 .𝑠−1
Il reste à déterminer les unités : Dans MS : (𝑚𝑠 −1 )2
+ 𝜆. 𝑚𝑠 −1 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝜆 = (𝑚𝑠 −1)2
, donc cela fait
𝑚2 𝑠 −3 . 𝑚−2 𝑠 2 + 𝑚2 𝑠 −3 . 𝑚−2 𝑠 2 = 𝑠 −1 : qui est bien un champ électrique dans le système MS.
𝑚𝑠 −1.𝑠−1
Mais 𝜆 = (𝑚𝑠 −1 )2
= 𝑚−1 : ceci est l’unité de l’induction magnétique : λ est une induction magnétique !
𝑚𝑠 −2.𝑚𝑠 −1 𝑚𝑠 −1 .𝑠−1
Dans MKSA : (𝑚𝑠 −1 )2
+ 𝜆. 𝑚𝑠 −1 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝜆 = (𝑚𝑠 −1 )2
, donc cela fait
2 −3 −2 2 2 −3 −2 2 −1 −1 −3 −1
𝑚 𝑠 . 𝑚 𝑠 + 𝑚 𝑠 . 𝑚 𝑠 = 𝑠 : Et pour que 𝑠 = 𝑚𝑘𝑔𝑠 𝐴 , il faut multiplier par
1
𝑚𝐾𝑔𝑠 −3 𝐴−1. 𝑚−1 𝑘𝑔−1 𝑠 2 𝐴, et 𝑚−1 𝑘𝑔−1 𝑠 2 𝐴 = 𝑘𝑔𝑠 −2 𝐴−1 .𝑚 C’est l’inverse d’une induction magnétique
1
pendant une distance 𝐵.𝑑 Ceci est extraordinaire, car nous faisons apparaître la perte de charge linéique !
Nous pouvons annoncer que la perte linéique dans un câble électrique http://entraidelec.com/calcul-chute-
de-tension.html est due au frottement des électrons sur un champ magnétique et ainsi, nous pouvons faire
une analogie avec la mécanique des fluides.
Dans la physique classique, il est nécessaire de faire intervenir les complexes pour faire apparaître (dans la
partie imaginaire) cette réactance linéique.
https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9actance_%28%C3%A9lectricit%C3%A9%29
Il suffit d’apporter une énergie magnétique intelligemment orientée pour récupérer une énergie électrique sans
rien perturber ; nous nous rapprochons d’une énergie sans limite !
Mais cette partie est l’objet des expérimentations, dont les idées devront écoulées des déductions théoriques
Si nous résonnons sur une particule de fluide, il n’y a aucune limitation, car la particule de fluide pousse la
sphère d’expansion de par l’intérieur avec la force FR. La sphère continue à gonfler tant que de l’espace flui-
dique rentre dans la bulle, faisant sortir le fluide. La seule chose, pour le moment, pouvant perturber ce gon-
flement est l’apport d’une énergie extérieure.
Si nous appliquons ce résonnement à l’électron, celui-ci a une limitation ; un électron ne peut s’éloigner indé-
finiment du noyau. Ceci est une limitation importante que nous allons développer plus loin.
Par contre, nous pouvons répondre à la rotation de l’électron. En physique quantique, cette rotation est noté
spin (+1/2 ou -1/2). Les physiciens ont défini des modèles quantiques de telle sorte que sur une couche saturée,
les électrons fonctionnent par paires avec des spins opposés pour annuler le moment magnétique
http://sq3d.chimie.free.fr/liaison.html
Nous pouvons donc déterminer cette vitesse de rotation et son sens de rotation. De plus, nous avons défini
que D’ agit dans un plan π, nous définissons donc bien le spin up ou le spin down de l’électron.
Le changement de sens de rotation ne peut être fait uniquement à cause du couple d’électrons et d’un champ
magnétique scalaire qui s’orientera dès que le scalaire vitesse sera orienté. Mais ceci est une interprétation
géométrique. Nous allons nous forcer de garder une interprétation due à une déduction logique des équa-
tions, pour ne pas repartir dans des fausses routes (ellipsoïde).
Ce signe ± confirme l’hypothèse de départ ; le fluide transpire de R0 parce que la corde spatiale D(t) rentre
dans R0 par 2 endroits diamétralement opposés
Attention de ne pas confondre les vitesses. Ici, la vitesse D’ n’est pas la même vitesse D(t)’ de la corde
spatiale ! Mais nous posons tout de même une relation entre cette vitesse scalaire D’ et la corde spatiale D(t)
Notons que D’ est constant, mais gardons à l’esprit qu’il peut y avoir 2 valeurs de D’ en fonction de la mf
𝑘
prise en considération. Mais, tout de même 𝐸(𝑡) = 𝐷 : cela veut dire que le champ électrique est fonction
(𝑡)
de la rétraction de l’espace fluidique. Et là, nous pouvons reboucler avec la partie 1 et 2 : Si nous modifions
la rétraction de D(t), nous modifions le champ électrique environnant (c’est énorme !).
Cependant une autre chose est à définir ; c’est la quantité de fluide disponible !
Nous savons que ce fluide transpire du R0, donc, il provient de l’autre univers !
Mais dans l’autre univers, il se passe la même chose, nous avons une expansion de la sphère R(t) dans l’univers
des temps négatifs. Ce qui fait gonfler la sphère ; c’est aussi ce même fluide !
Ainsi, nous pouvons déduire que le fluide est inter-univers.
Mais, s’il est inter-univers, il est aussi partout ; il est au-delà de la sphère d’expansion R(t)
C’est ainsi qu’il boucle dans les 2 univers, et il est donc, par conséquent, inépuisable !
Autre réflexion, puisqu’il est partout, si nous le prélevons comme énergie pure, il ne manquera pas à un sys-
tème, le prélèvement sera de suite remplacé, il est donc infini !
Maintenant, imaginons un système qui vienne prélever ce fluide (que je rappelle est une onde électromagné-
tique et scalaire donc mécanique aussi)
De plus, tout le système que nous développons actuellement n’est appliqué qu’à une seule particule (assimilé
à un électron avec un coefficient de forme). Imaginons si nous prenions un paquet de particules donc un paquet
d’électrons, les calculs sont à refaire mais l’énergie récupérable est multipliée !
Continuons le modèle sur une seule particule, nous verrons par la suite la généralisation.
La sphère blanche est la sphère énergétique qui correspond au rayon atomique Ra.
La sphère verte est la sphère énergétique qui va subir l’effet Vialle. Dans notre cas,
nous considérons l’électron de la couche externe ou une particule de fluide de masse
mf (à un coefficient de forme prêt).
La sphère bleu est la sphère qui a subi l’effet Vialle. Elle est constante puisque nous
considérons la vitesse de l’électron constante. C’est le volume énergétique qu’oc-
cupe l’électron après avoir subi son accélération.
NB : Nous avons vu, dans la partie 2, que les sphères ne se croisaient pas, donc l’ellipsoïde n’existe pas,
mais cela ne change rien. Sauf peut-être le déplacement des centres de sphère qui risque de faire apparaître
une force de rappel. (A voir plus tard)
Or, nous avons fait apparaître une masse fluidique mf (= 1,294160144438. 10−08 𝐾𝑔) si c’est une particule
de fluide ou (= 1,859273085918. 10−09 𝐾𝑔) si c’est un électron. Cette mf est animée d’une vitesse cons-
tante D’ (= 1,238. 10−11 𝑚⁄𝑠 ) ou (= 8,6172. 10−11 𝑚⁄𝑠 ). Cette vitesse fait tourner la mf sur elle-même.
Si nous allons jusqu’au bout de la théorie, cette vitesse D’ crée un effet Vialle secondaire qui n’a pas été pris
en compte.
Nous avons une masse constante qui tourne à vitesse constante, donc au départ, même si cette vitesse est ex-
trêmement faible, elle a subi une accélération.
La grosse différence, est que cette énergie est constante dans le temps. Elle devrait suivre la même évolution
que le postulat de départ. Mais une question se pose : a-t-elle un espace fluidique ?
- Si elle a un espace fluidique, cela veut dire que les effets se répètent à l’infini. Autre dilemme, si
elle a un espace fluidique qui se rétracte, il y a un autre fluide qui sort pour faire grossir la sphère d’expan-
sion de la mf. Cela implique une infinité de fluide dont la provenance est douteuse ! Nous nous retrouverons
dans un environnement de fractales.
- Autre possibilité, le fluide est unique et omniprésent (comme l’Ether), et dans ce cas la mf est la
particule origine. Cela veut dire qu’il y a une sphère d’expansion, mais il n’y a pas (ou plus) d’espace flui-
dique ; les conséquences sont que la sphère d’expansion 𝑅𝑚𝑓 existe, mais elle est constante. Déjà, cela peut
−4𝐺𝑚 1
donner une explication à la deuxième valeur trouvée pour le foyer de la parabole 𝐹 = ( ; ) quand
3𝑐 3 18𝐺𝑚
3
on a représenté 𝑅(𝑡) dans la première partie (mais je n’ai pas encore vérifié). Ensuite, cela veut dire que le
temps n’agit pas sur le fluide. Que nous soyons dans un passé, présent ou futur, la sphère 𝑅𝑚𝑓 est toujours
identique et de même volume. N’oublions pas qu’elle est apparentée à une masse m0 via la pulsation ω0. Si
le temps n’agit pas sur le fluide, cela conforte l’hypothèse de son omniprésence et de son intarissabilité.
Comme mf est constante, nous avons vu aussi que cette mf tourne à une vitesse D’ constante aussi. Nous nous
retrouvons dans le cas d’une masse en rotation à vitesse constante (voir chapitre 2).
Nous avons vu que dans ce cas, la sphère d’expansion (𝑅𝑚𝑓 ) reprenait son évolution normale dans le temps.
Mais, comme nous sommes sur des particules élémentaires, il n’y aura jamais de variations de la sphère car
elle n’a pas d’espace fluidique. Donc la sphère 𝑅𝑚𝑓 est constante !
Ce paragraphe est une répétition, car j’ai eu du mal à l’admettre, mais pourtant cela ne peut se passer qu’ainsi.
Par contre, si la sphère d’expansion 𝑅𝑚𝑓 n’a pas d’espace fluidique, mais qu’elle existe, il a bien fallu, que
pour exister, à l’origine (création de l’univers ou de l’atome), un espace fluidique existe pour la créer.
Pour cela, il faut auparavant remettre tout dans le contexte du postulat de départ.
3 4
Ensuite, à partir de l’hypothèse de départ 3 𝜋𝑅(𝑡) . 𝐷(𝑡) = 𝐺, nous trouverons la 3ème équation de D’
3
Mais attention, ici le temps n’existe uniquement pour atteindre la vitesse D’, ensuite 𝑅(𝑡) deviendra constant,
𝛽 1
et le temps n’agira plus. Il faudra peut-être vérifier pour le 2 = 3𝜋 = 0,07502636 de la partie 1 qui cor-
√2
respondait à un décalage temporel : espace temporel entre la fréquence ω0 et la limite du R0.
Attention : à ce niveau, il faudra bien différencier 𝑚𝑓𝑝 pour la particule dont sa sphère d’expansion n’a au-
cune retenue et 𝑚𝑓é dont la sphère d’expansion a une limitation qui ne peut être que la force magnétique
avec le proton.
Essayons d’appliquer la méthode de Olinto de Pretto (c’est le physicien italien qui aurait trouvé l’équation
d’Einstein (E=mc²), en ayant un raisonnement uniquement sur les unités des énergies) :
L’unité de la masse électrostatique mf : c’est le kg (système MKSA) et m-1 s-2 (système MS)
Attention, on ne le répètera jamais assez, cette mf n’est pas une masse volumique ; c’est une équivalence
énergétique et elle peut prendre 2 valeurs constantes en fonction de la particule élémentaire considérée !
x(Δt) et α n’ont pas d’unité. Les masses énergétiques de la mf : c’est le kg (système MKSA) (m-1 s-2 en MS)
L’unité de l’espace fluidique DRcl de la mf : c’est kg-1 s-2 (Vialle) (système MKSA) et m (système MS)
L’unité de la force résultante FR qui pousse la mf : c’est m kg s-2 qui est une force (système MKSA) et s-4
(système MS)
C’est à ce moment qu’apparait la vitesse scalaire D’ ; unité : kg-1 s A (système MKSA)
Par contre, l’unité est : m s-1 (système MS). A partir de ce moment, on réécrit le MKSA en MS
Or, cette vitesse va faire tourner la mf dans un plan π (orienté champ magnétique)
Cette mf de la particule de fluide a un comportement d’une onde électromagnétique de torsion
L’unité du champ magnétique B : s-2 kg A-1 (= T) (système MKSA) et m-1 (système MS)
L’unité du champ électrique E : m kg s-3 A-1 (système MKSA en utilisant la charge q)
m2 kg2 s-5 A-2 (système MKSA en utilisant mf D’) et s-1 (système MS)
C’est ainsi que l’on met en évidence (par division vectorielle) l’existence du champ magnétique
scalaire (λ)
La vitesse de torsion ; c’est D’ qui fait tourner mf de E vers B (pour une particule)
Or, pour que tout cela prenne forme, il faut que l’espace fluidique D (t) de la mf puisse rentrer dans R0 selon
′ ′′
le postulat de départ ; il y a donc un 𝐷(𝑡) et un 𝐷(𝑡) de la mf.
′′
L’unité de 𝐷(𝑡) c’est le m kg s A (système MKSA) et m s-2 (système MS) = 𝐷0′′ du fluide
2 -4 -1
′
L’unité de 𝐷(𝑡) c’est : ? On ne s’en est pas servi ici !
Par contre nous avons déjà vu dans la partie 1 que
′
𝐷(𝑡) unité : kg-1 s-3 (système MKSA) et m s-1 (système MS)
′′
𝐷(𝑡) unité : kg-1 s-4 (système MKSA) et m s-2 (système MS)
′′
Il faut déjà faire une remarque : Le 𝐷(𝑡) est le même ; c’est l’accélération qui retient la rétraction de l’espace
fluidique dans R0. L’unité officielle (pour une masse m0) dans le système MKSA est kg-1 s-4. Par contre,
nous avons (pour la mf) m2 kg s-4 A-1 (système MKSA).
Dans le système MS, il n’y a pas de différence ; c’est m s-2.
𝑘𝑔−1 𝑠−2
Pour avoir la même unité (kg-1 s-4), il faut multiplier m2 kg s-4 A-1 par 𝑚−2 𝑘𝑔−2 𝐴 (= 𝑚2 𝑘𝑔𝑠 −2 𝐴−1 ), ce qui
𝐷(𝑡)
correspond Φ ; c’est-à-dire un espace fluidique sur un flux magnétique (dans le MKSA).
Donc l’énergie qui va entourer la mf, n’est pas de la même « consistance » que le fluide qu’il y a dans (et
autour) de la sphère d’expansion ; il est identique, puisque les unités dans MS sont identiques, mais aussi, il
est « différent » puisque les unités dans MKSA sont différentes : c’est un fluide secondaire avec une portée
limitée !
Cette constatation confirme l’énonciation : fluide secondaire = « énergie de l’énergie »
′
Par contre, on se sert de D’ (= cte) dans les calculs. Mais cette vitesse n’a rien à voir directement avec 𝐷(𝑡)
de la corde spatiale. Ainsi, l’existence de D’ dépend de l’origine. Pour cela, nous faisons apparaître une
masse m1 que nous nommerons « masse particule élémentaire » ou « masse origine ».
L’unité de la masse particule élémentaire m1 : m-1 s6 A2 (système MKSA) et m-1 s-2 (système MS)
Dans le système MS, nous avons bien la dimension d’une masse, mais si nous voulons faire un pont
avec les 2 systèmes d’unité, il faut 𝑚−1 𝑠 6 𝐴2 . 𝑠 −8 𝐴−2 = 𝑚−1 𝑠 −2 et 𝑠 −8 𝐴−2 = (𝑠𝐴)−2 . 𝑠 −4 Ce qui
𝐹(𝑀𝑆)
correspond à une F(MS) divise le carré d’une charge q(MKSA) 𝑞2
(𝑀𝐾𝑆𝐴)
𝑘𝑔
mais dans MKSA 𝑚 𝑠 𝐴 = 𝑚 𝑘𝑔 𝑠 𝐴 . 𝑚𝑘𝑔𝑠 2 = 𝑚−2 𝑘𝑔−1 𝑠 4 𝐴2. 𝑚−1 𝑠−2
−1 6 2 −2 −1 4 2
Quand on regarde comment est formée l’unité de m1 (système MKSA) : c’est la dimension d’une capacité
𝑀𝑎𝑠𝑠𝑒(𝑀𝐾𝑆𝐴)
électrique multiplié par un rapport de masse MKSA sur masse MS (𝐶. 𝑀𝑎𝑠𝑠𝑒(𝑀𝑆)
)
Définition d’une capacité :
La capacité représente la quantité de charge électrique stockée pour un potentiel électrique donné. Elle est
définie comme étant la somme des charges électriques d'un élément divisée par le potentiel de cet élément :
Si nous décodons, la masse particule m1 est la quantité de charge électrique stockée dans la particule de fluide :
Voilà le début de l’énergie libre intarissable ! (retour exponentielle)
« … À travers tout l’univers il y a de l’énergie: est-elle statique ou cinétique? Dans le premier cas nos espoirs
sont vains, dans le second – et cela nous le savons avec certitude – il ne s’agit seulement que d’une question
de temps pour que les hommes réussissent à attacher leurs machines aux engrenages de la nature »
Nikola Tesla
Il est important de souligner qu’en 1986, nos savants n’ont rien vu d’exploitable dans la théorie de R. Vialle !
Où est-ce de la manipulation ?
Pour pouvoir continuer dans le même esprit de logique, il est important de faire un point à ce stade :
Nous savons que la sphère d’expansion d’une masse grossit grâce à un fluide dont on cherche les caractéris-
tiques ; pour cela nous comparerons une particule de fluide avec un électron.
Nous avons donc assimilé un électron à une particule de fluide en lui attribuant une masse électrostatique.
Nous définissons et quantifions donc 2 masses électrostatiques : Une pour l’électron 𝑚𝑓é et une pour la parti-
cule de fluide 𝑚𝑓𝑝 qui est la même corrigée d’un coefficient de forme. Ces masses sont constantes.
Ainsi, cette masse électrostatique a les mêmes caractéristiques quantiques qu’un électron. Elle peut être aussi
bien particule que champ électromagnétique.
Pour le moment la pulsation 𝜔0 n’intervient que pour l’appartenance de tel fluide pour telle masse.
La masse électrostatique étant une masse, elle devrait recevoir les effets mécaniques de l’effet Vialle. Or ce
n’est pas le cas : Le gonflement de la sphère n’est pas dû à un effet mécanique, donc ce ne peut être qu’un
effet électromagnétique !
A partir de ce moment, nous avons fait une représentation vectorielle des 3 forces électromagnétiques impli-
quées. Cette représentation oblige l’apparition d’une vitesse scalaire constante D’ en fonction de la mf consi-
dérée : Si 𝑚𝑓é => 𝐷é′ , si 𝑚𝑓𝑝 => 𝐷𝑝′ . Ces 2 vitesses sont différentes (liées tout de même avec le coefficient
de forme), mais elles sont scalaires et constantes !
Nous avons une force résultante fonction de 3 forces :
Force mécanique électrostatique = force de coulomb fonction de l’accélération de rentrée de corde
spatiale D(t)
Force magnétique fonction de la vitesse de rentrée de corde spatiale D(t)
Force électrostatique fonction d’un champ électrique E
Comme la vitesse D’ est un scalaire, elle peut prendre n’importe quelle direction ;
La conséquence 1, est que l’électron (ou la particule de fluide) tourne sur lui-même. Mais comme c’est les 3
forces électromagnétiques qui poussent le tissus de la sphère d’expansion, ces forces vont tourner : ce sont des
champs scalaires (ou de torsion) et comme ils sont fonction de l’état de la corde spatiale D (t), nous donnons
une explication à l’existence de la modification temporelle.
La conséquence 2, est une modification du système d’unité international (USI) MKSA en MS. L’homogénéité
des unités (MKSA vs MS) est intéressante à regarder ; on voit ainsi l’intervenant qui est impliqué dans une
équation. A ce moment, il est possible de calculer la vitesse de rotation d’un électron, c’est-à-dire son spin.
Nous venons de voir (page précédente) que nous avons une masse m f qui a le comportement d’un circuit LC.
Nous avons aussi pu déterminer le domaine d’action de cette vitesse D’ qui agit dans un plan (π) qui est défini
par les vecteurs 𝐸⃗ 𝑒𝑡 𝐵
⃗ . Mais cette vitesse scalaire donne naissance à un scalaire magnétique orienté selon le
champ 𝐸⃗ .
⃗⃗⃗⃗⃗
𝐷 ′′ ∧ ⃗⃗⃗⃗
𝐷′ ⃗⃗⃗⃗
𝐷 ′. 𝐸⃗
⃗𝐸 = 0 2 + 𝜆𝐷 ⃗⃗⃗⃗′ 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝜆 = 2
⃗⃗⃗⃗
𝐷′ ⃗⃗⃗⃗
𝐷′
A partir de cette équation, nous avons déduit que λ était un scalaire magnétique
Mais la progression de la particule de fluide est fonction des perturbations temporelles dues aux modifications
𝑘
de rentrée de la corde spatiale modifiant ainsi l’état futur (voir chapitre 1). Comme 𝐸(𝑡) = 𝐷 , alors une va-
(𝑡)
riation de D(t) donnera une variation de E(t) (par l’intermédiaire de D0).
Nous avons démontré, aussi, que le fluide est infini et reboucle dans les 2 univers et que la mf ne peut être
qu’une particule élémentaire (c’est une particule originelle). Sa sphère d’expansion est constante dans le
temps. Donc le temps n’agit pas sur le fluide.
Cependant, il faudra faire attention à cette notion temporelle ; il ne faudrait pas reproduire l’expérience « Pro-
ject Rainbow » : https://fr.wikipedia.org/wiki/Exp%C3%A9rience_de_Philadelphie
Normalement, tant que nous ne touchons pas à la pulsation ω0, nous ne devrions pas créer de décalage entre
pulsation et masse (car une pulsation appartient à une masse propre) voir chapitre 1.
Mais pour que la sphère 𝑅𝑚𝑓 existe, il a fallu, à l’origine, introduire une nouvelle masse (masse particule
élémentaire ou masse origine) m1. Cela va impliquer l’existence d’un fluide secondaire, parce que, pour que
mf existe, il faut l’existence de m1, ces 2 masses sont complémentaires. Mais comme D’ est une vitesse cons-
tante qui existe uniquement grâce à l’espace fluidique D (t), alors en fin de phase (quand D’ sera constante),
𝑚1 = 𝑚𝑓 .
Par rapport à cette sphère d’expansion, il faudra différencier particule de fluide et électron. La particule de
fluide n’a aucune retenue, par contre l’électron en a une ; c’est le proton !
Une autre remarque étaye cette hypothèse c’est l’unité de m 1 :
dans le système MS, c’est bien une masse,
dans le système MKSA ; c’est la dimension d’une capacité électrique multiplié par un rapport de masse MKSA
sur masse MS.
En d’autre terme la m1 est la quantité de charge électrique stockée dans la particule de fluide.
RV a continué dans une voie basée sur l’expérimentation ; le but étant de développer un auto-générateur sur-
unitaire. Pour cela, il a mesuré, sur des montages, une fréquence d’oscillations de tous les électrons liés due
au déséquilibre relativiste de tous les atomes de l’univers. Cette fréquence mesurée est de 16,666500 Mhz.
Elle est déduite d’une pseudo période (mesurée) qui est une fréquence amortie et qui correspond au passage
de l’univers 1 à l’univers 2 toutes les 9 µs et qui correspond à 111,110 Khz et qui correspond à l’harmonique
300 de la fréquence 16,666 Mhz. Cette fréquence, il l’a mesuré à l’oscilloscope, et il l’a divisé par 2 pour
différentier les 2 univers. C’est pour cela qu’il utilise la fréquence de 55,555 Khz.
Attention : ces valeurs sont expérimentales.
Tout ceci est extrêmement complexe, puisque nous faisons des parallèles constamment avec la physique
quantique classique reconnue et l’effet Vialle (non reconnue). J’ai à peine compris la condition de stationna-
rité. Il faudrait revoir la thèse de De Broglie (Recherches sur la théorie des quanta) et venir l’introduire dans
l’effet Vialle. Pour ceux qui sentent le courage de s’orienter vers cette voie, voici un bon début
http://www.promenades-quantiques.com/. RV utilise cette onde amortie pour l’amplifier et venir capter de
l’énergie.
Cette approche est toutefois difficile à retranscrire, elle est basée aussi sur une référence empirique. Nous
allons donc essayer de continuer le développement d’un point de vue théorique, en prenant comme objectif
de résultat, les valeurs trouvées par RV. Seulement, cette mesure est très contestée car elle est difficile à re-
produire et cette fréquence est proche d’une fréquence marine (bande des 16MHz) https://fr.wikipe-
dia.org/wiki/Bandes_marines.
Revenons donc à notre masse m1 qui se transforme en masse mf en fin de cycle, et qui produit cette sphère
𝑅𝑚𝑓 . Ce qui est intéressant c’est cette sphère d’expansion 𝑅𝑚𝑓 en cours de formation.
Et retenons que nous avons un comportement de circuit LC. Ainsi la fréquence de l’électron pourra être cal-
culée. Et nous pourrons comparer avec la fréquence mesurée de RV.
Pour répondre à la question 1, il va falloir maintenant considérer la 𝑚𝑓é ; c’est-à-dire celle de l’électron, donc
sans application du coefficient de forme. Si nous prélevons de l’énergie de l’électron, il va faire un bond en
arrière dans le temps, comme si nous étions à l’origine. Donc pour rééquilibrer l’atome, et comme le fluide
est omniprésent et inépuisable, il va venir remettre l’atome dans sa position d’équilibre en réutilisant la masse
m1, donc cela ne devrait rien faire de particulier si ce n’est qu’une modification de sa trajectoire. Mais ce
phénomène est déjà connu de la physique traditionnelle, donc cela ne devrait rien modifier si nous prélevons
cette énergie. De plus, comme le résonnement se fait sur une équivalence masse, il n’y aura pas de saut de
l’électron, uniquement une oscillation (pouvant expliquer le nuage électronique).
Pour répondre à la question 2, je pense que si nous rentions en résonnance avec cette fréquence de l’électron
(ou une harmonique), nous pourrions provoquer ce bond en arrière dans le temps. Ainsi, cette résonnance
serait l’apport d’énergie extérieure pour faire revenir la mf dans un état origine m1. Il suffit de calculer cette
fréquence. Je tiens à préciser que RV n’a jamais calculé cette fréquence, il l’avait mesuré !
Continuons à avancer avec prudence et logique.
Nous avons la première équation qui définit la m f de l’électron (sans le coefficient de forme) :
𝑞
𝑚𝑓é = = 1,859273085918. 10−09 𝐾𝑔
√4𝜋𝜀0 𝐺
De cette équation, nous avons définit la vitesse 𝐷é′ = √4𝜋𝜀0 𝐺 = 8,6172. 10−11 𝑚/𝑠. Cette vitesse correspond
à la vitesse scalaire de l’électron (vitesse tangentielle).
Nous pouvons à partir de ce constat, calculer la vitesse de rotation d’un électron.
𝐷 ′ 8,61722 . 10−11
𝜔é = é = = 30579,85345 𝑟𝑑/𝑠
𝑟é 2,81794 . 10−15
Ce qui correspond à
𝜔é
𝑁é = = 4866,9348 𝑡𝑟/𝑠 𝑠𝑜𝑖𝑡 ~ 4867 𝐻𝑧
2𝜋
Tous les électrons doivent tourner à cette vitesse ! Le sens de rotation dépendra de l’orientation du scalaire 𝐷é′
dans le plan π. Notons que pour respecter le standard de la physique quantique, si nous avons des couples
d’électrons, comme leur charge électrique est identique, ils devront tourner en sens inverse de l’un par rapport
à l’autre ; ainsi le couple magnétique est annulé.
Mais cette vitesse (𝐷é′) correspond aussi à un espace fluidique. Donc si on multiplie par un temps cosmolo-
gique, nous aurons la quantité de corde spatiale pour cette vitesse.
Définissons le temps cosmologique. L’équation du temps cosmologique a été calculé en annexe 6 :
3
2R2(𝑡) 1
𝑇𝑐 = 3 ou 𝑇𝑐 = 1 . Nous allons prendre la première équation en l’adaptant à nos variables. Ainsi,
√2𝐺𝑚0 2
𝐷(𝑡) √6𝜋𝑚0
nous aurons 𝑅(𝑡) = 𝑅𝑚𝑓 qui va donner la portée de la sphère énergétique (au passage). Mais 𝑚0 = 𝑚𝑓 . Le
choix de la mf est délicat ; mais comme 𝑅𝑚𝑓 va donner la portée de l’énergie (du fluide d’un électron), nous
allons prendre la mf corrigée du coefficient de forme 𝑚𝑓𝑝 = 1,294160144438. 10−08 𝐾𝑔 (raisonnement sur
les énergies).
Donc 𝐷é′ . 𝑇𝑐 = 𝐷é, ainsi l’espace fluidique de la sphère énergétique d’un électron devient
3
2R2𝑚𝑓
𝐷é′ . = 𝐷é
3√2𝐺𝑚𝑓𝑝
−08
Avec 𝑚𝑓𝑝 = 1,294160144438. 10 𝐾𝑔
𝐺 = 6,67384. 10−11 𝑚3 𝑘𝑔−1 𝑠 −2
𝜀0 = 8,854187817620. 10−12 𝑚−3 𝑘𝑔−1 𝑠 4 𝐴2
(Pour rappel ; le R0 de la terre = 0,0088694915 m)
Il est important de considérer que nous sommes dans une sphère énergétique R (t) d’une même masse m0 et que
nous sommes à la périphérie de cette sphère sur une particule de fluide qui elle-même à une sphère énergétique
secondaire. Nous devons appliquer à 𝑅𝑚𝑓 un rayon de giration, puisqu’on se trouve à une distance 𝑅(𝑡)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Rayon_de_giration
https://fr.wikipedia.org/wiki/Moment_d'inertie
Mais pour calculer le rayon de giration 𝑅𝑚𝑓𝑔 , il nous faut le bon coefficient de forme K.
Attention : ce coefficient de forme K n’a rien avoir avec le coefficient de forme f. La seule façon d’avoir ce
coefficient de forme, c’est de l’appliquer à l’électron. Si on considère l’électron comme une sphère, ce coef-
2
ficient de forme est 𝐾 = √5 = 0,6324555, si on considère le coefficient de forme d’une particule de plan
𝐾 = √2 = 1,41421356. Nous ne rentrons pas dans les détails, mais une racine carrée rentre en jeu
https://fr.wikipedia.org/wiki/Rayon_de_giration
Cette racine carré est introduite à cause du rapport moment quadratique / aire de section. Mais, ceci est du
domaine de la RDM. (Nous l’accepterons ainsi sans la vérifier).
Après quelque temps à éplucher la physique quantique, nous pouvons trouver des données sur le calcul de la
quantification du moment cinétique
𝑛ℎ̅ = 𝑚 𝑣 𝑟
http://profs.cmaisonneuve.qc.ca/svezina/nyc/note_nyc/NYC_XXI_Chap%205.5.pdf
https://fr.wikipedia.org/wiki/Mod%C3%A8le_de_Bohr
Mais cette équation s’applique sur une interaction proton / électron pour la libération d’un photon. Or dans
notre cas, nous avons isolé l’électron, donc le résonnement doit se faire sur un ½ spin. De plus nous n’avons
pas d’interaction, nous cherchons juste un comportement de l’un par rapport à l’autre.
https://www-fourier.ujf-grenoble.fr/~faure/enseignement/meca_q/cours_chap4.pdf
Dans ce cas l’équation devient
ℎ̅
𝑛 =𝑚𝑣𝑟
2
𝑣
Petite démonstration de vérification avec 𝜔 =
𝑟
ℎ̅
𝑛 = 𝑚 𝑟2 𝜔
2
Multiplication par une portion de vitesse angulaire 𝛿𝜔
ℎ̅
𝑛 𝛿𝜔 = 𝑚 𝑟 2 𝜔 𝛿𝜔
2
Intégration pour extraire l’énergie
𝜔 ̅ 𝜔
ℎ
∫ 𝑛 𝛿𝜔 = ∫ 𝑚 𝑟 2 𝜔 𝛿𝜔
0 2 0
Primitive pour l’intervalle
ℎ̅ 1
𝑛 𝜔 = 𝑚 𝑟 2 𝜔2
2 2
Simplification
𝑛ℎ̅ = 𝑚 𝑟 2 𝜔
𝑣
Réécriture avec 𝜔 =
𝑟
𝑛ℎ̅ = 𝑚 𝑣 𝑟
Ainsi la quantification du moment cinétique est correcte avec la physique quantique, mais pour un électron, il
faudra bien prendre une équation énergétique ainsi
ℎ̅
𝑛 =𝑚𝑣𝑟
2
En aparté ; il en est de même pour le magnéton de Bohr si nous devons l’utiliser
https://fr.wikipedia.org/wiki/Mod%C3%A8le_de_Bohr
C’est là où la physique quantique devient problématique. La difficulté que nous avons rencontré jusqu’à main-
tenant est de jongler en permanence avec les artifices de la physique quantique et le résonnement logique de
la mécanique classique appliqué à cette théorie. Un physicien m’a envoyé une démonstration avec le rapport
gyromagnétique de l’électron qui met en évidence ce coefficient ½ ; cela n’amènera rien de plus !
Une remarque supplémentaire sur l’incohérence quantique :
̅
𝑛ℎ
A partir de 𝑛ℎ̅ = 𝑚 𝑣 𝑟, nous pourrions calculer la vitesse de l’électron ; 𝑣é = 𝑚é 𝑟é
ℎ
En prenant ℎ̅ = 2𝜋 = 1,0545717253362893979631332573497 . 10 −34 2
𝑚 𝑘𝑔𝑠 −1
𝑚é = 9,109382902843942 . 10−31 𝐾𝑔
𝑟é = 2,81794092 . 10−15 𝑚
𝑛=1
̅
𝑛ℎ 1,0545717253362893979631332573497 .10−34
Nous trouvons 𝑣é = 𝑚 = 9,109382902843942 .10−31 . = 41082350348,848 𝑚𝑠 −1
é 𝑟é 2,81794092 .10−15
Ce qui correspond à 137,03597 * c : ce qui est impossible bien sûr !
Donc, soit la mesure de RV est non recevable (elle a été, tout de même, mesurée plusieurs fois), soit l’électron
n’est pas sphérique !
Nous nous rapprochons d’un coefficient de forme d’un objet ovoïde. Cette constatation est intéressante
puisque nous avions liés les physiques grâce à cette théorie, et dans ce cas l’électron aurait une forme plus
aplatie que la terre ou une autre planète, comme si la rotation d’une sphère avait tendance à aplatir les pôles.
Pour lever le doute sur ces mesures, il serait intéressant de trouver une méthode théorique pour y arriver.
Cette vérification est primordiale car il a été admis dernièrement, que l’électron serait sphérique
http://cordis.europa.eu/news/rcn/33456_fr.html
Nous confirmons cette remarque (c’est le principe des régulateurs des machines à vapeur). Cependant ce prin-
cipe est validé pour une accélération de vitesse angulaire. Notre vitesse de rotation est constante (c’est un spin
à 4867 tr/s). Il faudra donc se référer aux forces gravitationnelles expliquées dans la relativité générale.
http://phymain.unisciel.fr/quelques-experiences-autour-de-la-force-centrifuge/
https://fr.wikipedia.org/wiki/Relativit%C3%A9_g%C3%A9n%C3%A9rale
et dans ce cas, l’électron en orbite autour du noyau ne peut pas être sphérique !
Par contre il est tout à fait recevable que la forme de l’électron peut être sphérique à partir d’une certaine
distance, ou pour un électron libre.
Seulement au-dessus de n = 7, nous n’avons pas d’éléments connus et nous n’avons pas non plus d’élément
au-dessus de 4 types d’orbitales atomiques (blocs s, p, d et f) et de plus pour n > 6, nous avons une radioactivité
des isotopes après le 83𝐵𝑖 (le Bismuth). Donc toute cette partie est à approfondir par des spécialistes chimistes,
par exemple.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Tableau_p%C3%A9riodique_des_%C3%A9l%C3%A9ments
2
Comme le facteur de forme pour une sphère est 𝐾 = √ = 0,6324555, nous nous apercevons que le coeffi-
5
cient de forme de l’électron se rapproche de la sphère quand le nombre quantique augmente et à n = 5, le
coefficient de forme (K = 0,584) se rapprochant de 0,632. Il est donc tout à fait possible, quand un électron
libre est arraché de son orbite, il peut devenir complètement sphérique.
Notons cependant, qu’un nombre quantique n’étant pas limité mathématiquement, l’est quantitativement.
Nous avons une limite physique pour n = 8.
Par contre quand il se trouve dans l’environnement du noyau, il est de plus en plus aplati, plus il s’approche
du noyau.
C’est-à-dire que l’électron aurait une forme différente en fonction de la distance au noyau. N’ayant pas suffi-
samment de connaissances dans la RDM, je laisse le soin à d’autres personnes d’explorer cette voie. Peut-être
en cherchant du côté des sous couches quantiques…
Une autre valeur qui est importante dans le tableau ci-dessus ; c’est 𝑅𝑚𝑓𝑔
Cette valeur correspond au rayon de la portée de la sphère énergétique d’un électron (puisque c’est la portée
de la sphère énergétique secondaire de la masse m 1 quand elle devient mf ; énergie de l’énergie de la particule
élémentaire) !
Nous avons vu dans les pages précédentes que le comportement de la sphère d’expansion assimilée à l’électron
1 1
a un comportement d’un circuit LC, donc le calcul de la fréquence 𝑓é = 2𝜋 𝐿𝐶
√
A ce stade, je n’ai trouvé qu’un résonnement avec une identification des unités
1 1
Dans le système MKSA : 𝑓é = 1 =
𝑠
(𝑘𝑔𝑚2 𝑠−2 𝐴−2 .𝑘𝑔−1𝑚−2𝑠 4𝐴2 )2
1 1
Dans le système MS : 𝑓é = 1 =
(𝑚𝑠 4 .𝑚−1 𝑠−2 )2 𝑠
N’oublions pas la logique qui nous a menés jusqu’ici : ce qui permet d’avoir un flux magnétique, ce ne peut
être que la sphère d’expansion de l’électron. Mais cette sphère est en mouvement autour d’elle-même d’une
part, mais aussi autour du noyau ; il faudra prendre un rayon de giration 𝑅𝑚𝑓𝑔 !
Ce qui permet d’avoir un effet capacitif : c’est la m1. Or cette masse est en formation pour finir soit 𝑚𝑓é , soit
𝑚𝑓𝑝 . Ce sera cette dernière que nous prendrons, car nous sommes sur un résonnement énergétique, et c’est la
transformée de 𝑚1 en 𝑚𝑓𝑝 qui fait l’effet capacitif.
L’équation du calcul de la fréquence devient :
1 1
𝑓é =
2𝜋
√𝑅𝑚𝑓𝑔 𝜇0 𝑚𝑓𝑝
1 1
Côté unité, nous sommes homogènes : 𝑓é = 1 =
(𝑚.𝑠 4 .𝑚−1 𝑠−2)2 𝑠
Par contre, nous aurons plusieurs fréquences en fonction du nombre quantique principal
Nous allons faire un petit rappel pour des personnes qui pourraient être sceptique sur l’interprétation de cette
théorie. Nous choisissons un modèle orbital de l’électron, comme un modèle planétaire de Rutherford ou de
Bohr, car nous restons dans un contexte de physique mécanique classique. Nous n’avons jamais eu besoin,
pour le moment de changer de principe physique ; nous sommes toujours avec la gravitation Newtonienne.
Mais nous devons faire en permanence des parallèles avec la physique quantique. Par conséquent, nous pou-
vons considérer une trajectoire de l’électron autrement que planétaire. Elle peut être quelconque avec un nuage
de probabilité de présence. La grosse différente, c’est que nous pouvons quantifier sa vitesse de rotation, sa
trajectoire, sa position, … ce que ne fait pas la physique quantique !
Par analogie avec la physique traditionnelle, nous pouvons appliquer l’effet Vialle à l’électron par rapport au
noyau en utilisant la masse électrostatique 𝑚𝑓 .
La question qui se pose ; laquelle ? : 𝑚𝑓𝑝 ou 𝑚𝑓é ?
De toute façon, nous allons avoir des simplifications, nous resterons donc sur une masse électrostatique géné-
rale : 𝑚𝑓
De plus rappelons que la sphère d’expansion de l’électron de rayon 𝑅(𝑡) a été assimilée au rayon atomique 𝑅𝑎
Revoir ici
Attention : comme nous avons plusieurs couches pour l’atome de cuivre, nous prendrons un rayon atomique
moyen (𝑅𝑎𝑚 ). Nous aborderons ces calculs de rayon atomique un peu plus loin.
(retour au rayon atomique)
Donc pour l’équilibre de l’électron sur une trajectoire (quel qu’elle soit), il faut un équilibre des forces. Et
nous restons sur un résonnement purement mécanique avec une orientation conservé identique depuis le début
Une force gravitationnelle, selon le sens conventionnel positif que nous avons choisi
𝐹𝑔 = −𝑚𝑓 𝛾
Ici, la force est une force « gravitationnelle » (l’électron est attiré par le noyau).
(attention : cette force est dirigée vers le noyau (force gravitationnelle). Mais l’accélération de la sphère d’ex-
pansion de la masse 𝑚𝑓 est déterminée par 𝐻0′′). Rappel de mémoire : 𝛾 = 𝐻0′′ et 𝐻0′′ est dans un domaine
négatif, mais son évolution est dans le même sens que l’expansion de la sphère R.
Et de la même manière, nous avons
Une force électrostatique (revoir annexe 24 ; je précise que dans l’annexe 24 cette force est négative, parce
que nous n’avions pas tenu compte du sens conventionnel positif)
𝐺𝑚𝑓2
𝐹é = 2
𝑅𝑎𝑚
Et là, le signe est positif à cause de l’analogie mf et charge q (une charge positive et une négative) qui donne
une signe ⊝. Mais la force est électrostatique donc dirigée vers le noyau. Donc ⊝*⊝=⊕
𝑅𝑎𝑚 correspond au rayon atomique moyen, ou aussi, au rayon de la sphère d’expansion (nous y reviendrons).
Nous pouvons faire l’égalité des forces (effet Vialle) pour rester en équilibre 𝐹𝑔 = 𝐹é
𝐺𝑚𝑓2
−𝑚𝑓 𝛾 = 2
𝑅𝑎𝑚
𝐺𝑚𝑓
Nous pouvons déjà déduire que 𝛾 = − 𝑅2 ; mais c’est aussi, l’accélération de la sphère d’expansion
𝑎𝑚
′′ 𝐺𝑀(𝐷)
𝑅(𝑡) =− 2 de la masse 𝑚𝑓 . Donc 𝑀(𝐷) = 𝑚𝑓 et 𝑅(𝑡) = 𝑅𝑎𝑚 (chapitre 1), ou, aussi, la sortie du fluide 𝐻0′′
𝑅(𝑡)
𝑚3 𝐾𝑔−1𝑠−2 .𝐾𝑔
Côté unité MKSA ≡ MS : 𝛾 = = 𝑚𝑠 −2
𝑚2
Nous sommes toujours en accord en signe et en valeur avec le postulat de départ, puisque nous avons pris le
même sens conventionnel positif.
Donc
′′
𝐺𝑚𝑓
𝛾 = 𝑅(𝑡) =− 2
𝑅(𝑡)
′
Nous pouvons multiplier par 𝑅(𝑡) de chaque côté
′ ′′
𝐺𝑚𝑓 ′
𝑅(𝑡) 𝑅(𝑡) = − 2 𝑅(𝑡)
𝑅(𝑡)
1 𝑘𝑢′ 𝑘
nous sommes sous la forme ∫ 𝑢′′𝑢′ → 2 𝑢′2 et ∫ → − 𝑢 L’intégration est possible
𝑢2
′2 ′ ′
𝑅(𝑡) 𝑓 𝐺𝑚
Or le terme de gauche, c’est ( ) et le terme de droite c’est ( 𝑅 ) .
2 (𝑡)
′
′2 ′
𝑅(𝑡) 𝐺𝑚𝑓
∫( ) = ∫( )
2 𝑅(𝑡)
Ce qui donne
′ 2
𝑅(𝑡) 𝐺𝑚𝑓
=
2 𝑅(𝑡)
Ou bien
′
2𝐺𝑚𝑓
𝑅(𝑡) =√
𝑅(𝑡)
Or cette vitesse est la vitesse d’expansion de la transformation de la sphère de la masse « particule élémen-
taire » 𝑚1 en sphère d’expansion de la masse électrostatique 𝑚𝑓 . Dans ce cas, il n’y a pas à hésiter, il s’agit
de la masse 𝑚𝑓𝑝 . Mais nous avions assimilé cette sphère d’expansion au rayon atomique moyen, il faut donc
la différentier et nous la noterons 𝑉0 de telle sorte que nous pouvons écrire
2𝐺𝑚𝑓
𝑉0 2 =
𝑅𝑎𝑚
Nous avons, maintenant 2 équations intéressantes :
𝐺𝑚𝑓
𝛾=− 2 (1)
𝑅𝑎𝑚
et
2𝐺𝑚𝑓
𝑉0 2 = (2)
𝑅𝑎𝑚
𝑉0 2 𝑅𝑎𝑚
A partir de (2), on peut écrire que 𝐺𝑚𝑓 = que l’on réinjecte dans (1)
2
𝑉0 2 𝑅𝑎𝑚
𝛾=−
2𝑅𝑎2𝑚
Donc
𝑉0 2
𝛾=−
2𝑅𝑎𝑚
Côté unité ; cela fait 𝑚2 𝑠 −2 . 𝑚−1 = 𝑚𝑠 −2
Dans cette équation, nous avons 2 variables : 𝑉0 et 𝑅𝑎𝑚 , et donc nous pouvons dériver (à 2 variables) pour
𝛿 1 𝛿 𝑉0 2 1
différentier l’accélération. Nous utiliserons les dérivées partielles : Δ𝛾 = − (𝛿𝑉 (2𝑅 𝑉0 2 ) + 𝛿𝑅 ( ))
𝑎𝑚 2 𝑅𝑎𝑚
1 𝑉0 2 ∆𝑅
Δ𝛾 = − ( 2𝑉0 ∆𝑉 + (− 2 ))
2𝑅𝑎𝑚 2 𝑅𝑎𝑚
En simplifiant et réécriture
𝑉0 ∆𝑉 𝑉0 2 ∆𝑅
∆𝛾 = − +
𝑅𝑎𝑚 2𝑅𝑎𝑚 𝑅𝑎𝑚
𝑉2
Or, nous reconnaissons 𝛾 = − 2𝑅0
𝑎𝑚
𝑉0 ∆𝑅
∆𝛾 = − ∆𝑉 − 𝛾
𝑅𝑎𝑚 𝑅𝑎𝑚
′ ′′
Cependant, vectoriellement, 𝑅(𝑡) et 𝑅(𝑡) sont opposés en signes donc 𝑉0 sera ⊝ par rapport à 𝛾, donc
𝑉0 𝛾
∆𝛾 = ∆𝑉 − ∆𝑅
𝑅𝑎𝑚 𝑅𝑎𝑚
Analysons ce résultat : nous nous sommes intéressés qu’à la partie effet Vialle ; elle met en évidence une
variation de force par l’intermédiaire d’une variation d’accélération causant une variation de vitesse et une
variation de trajectoire
La vitesse V(t) d'un objet à la position x(t) a une composante radiale VR(t)
par rapport à l'observateur qui peut varier grandement avec la trajectoire
de l'objet (en pointillés rouges)
Comme nous avons posé l’analogie du départ sur les forces, nous pouvons
égaler les forces. Dans le même sens conventionnel de signes.
𝑉é2 𝑞2 𝐺𝑚𝑓2
𝑚é = = −𝑚𝑓 𝛾 = 2
𝑅𝑎 4𝜋𝜀0 𝑅𝑎2 𝑅𝑎𝑚
Nous pouvons égaler des termes séparément (physique traditionnelle en analogie avec effet Vialle)
𝑉2
𝑚é é = −𝑚𝑓 𝛾 (1)
𝑅𝑎
Par contre, si nous posons une égalité relativiste en respectant ce que nous avons vu jusque-là, ou si nous
regardons le type de masses impliquées, comme Vé est une vitesse tangentielle, c’est une masse inerte à gauche
de l’égalité, or, à droite de l’égalité, comme l’accélération γ est identique à l’attraction, c’est une masse grave
qui intervient comme définie dans l’accélération d’une masse (chapitre 2).
Les masses impliquées étant différentes, ce sont les équations généralisées qui seront retenues. C’est d’ailleurs
le raisonnement que nous avons adopté pour démontrer que le rapport
𝑚𝑖
= 1 + 2,407. 10−12 = 1,000000000002407
𝑚𝑔
𝑐
Nous en profitons pour rappeler que la vitesse 𝑉é = 137,036 (=𝑐𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑠𝑡𝑟𝑢𝑐𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑓𝑖𝑛𝑒) est une vitesse tangentielle
de l’électron qui est en mouvement autour du noyau. Or, nous avons vu également, avec la quantification du
moment cinétique que cette vitesse pourrait être
𝑛ℎ̅ 1,054571725336289397963133257 . 10−34
𝑣é = = = 41082350348,848 𝑚𝑠 −1 = 137,036 . 𝑐 !
𝑚é 𝑟é 9,10938290284 . 10−31 . 2,81794092 . 10−15
Il y a un problème, non ?
D’ailleurs, c’est pour cela qu’en physique quantique, nous parlons de ½ spin de l’électron et vous ne trouverez
pas le rayon de l’électron comme constante physique fondamentale (on parlera de rayon classique, mais on
parlera de masse mesurée https://fr.wikipedia.org/wiki/Constante_physique ) : cela veut dire qu’ils savent
qu’il y a problème, mais qu’il faut le contourner avec ce que j’appelle « les artifices de la physique quan-
tique » !
Gardons ceci en mémoire et continuons notre raisonnement basé sur la physique Newtonienne et la relativité
restreinte (avec quelques modifications tout de même ; mais elles sont justifiées).
𝑚é 𝑉é2 𝑉é2
√
= −𝑚𝑓 1 − 2 𝛾
2 𝑅𝑎 𝑐
√1 − 2𝑉é
𝑐
Il reste à définir correctement la vitesse impliquée dans cette égalité. Pour cela il faut revenir au chapitre 1 et
à l’annexe 8 : La vitesse impliquée dans la condition relativiste est la vitesse de déplacement de la masse m 0.
Comme la 𝑚𝑓 est une masse électrostatique équivalente, donc la vitesse appliquée à la condition relativiste de
𝑚𝑓 est Vé (vitesse tangentielle).
Pour donner
𝑉é2
𝑚é = 𝑚𝑓 𝛾 (2)
𝑅𝑎
Détail des calculs en annexe 34
Je rappelle
𝑚é = masse de l’électron = 9,1093829 . 10−31 𝐾𝑔 et elle est différente de 𝑚𝑓é = 1,859273 . 10−09 𝑘𝑔 ou
𝑚𝑓𝑝 = 1,2941601 . 10−08 𝐾𝑔 qui sont des masses équivalentes électrostatiques.
Notons que la différence de signe entre les équations (1) et (2) apparaît à cause de la condition relativiste et
de l’égalité masse inertielle – masse grave.
Pour le moment, la seule vitesse tangentielle que nous avons calculé pour l’électron : c’est 𝐷é′ ; qui correspond
à la vitesse de rotation de l’électron, c’est-à-dire son spin. Mais dans ces calculs, cette vitesse n’intervient pas
car elle est constante pour tous les électrons. Nous essayerons de définir cette vitesse Vé un peu plus tard.
Donc, avec ce résultat (2) par rapport à (1), nous avons un déséquilibre relativiste.
𝐹𝑐é = −𝐹𝑐é
Donc si nous faisons apparaître la variation de force déterminée précédemment
𝐹𝑐é(𝑡) + ∆𝐹𝑐(𝑡) = − (𝐹𝑐é(𝑡) + ∆𝐹𝑐(𝑡) )
Nous garderons le principe d’équivalence qui dit qu’une variation de force sera due à une variation d’accélé-
ration, et donc nous pouvons simplifier de suite par 𝑚𝑓
𝑉0 𝛾
𝛾+( ∆𝑉 − ∆𝑅) = −(𝛾 + ∆𝛾 )
𝑅𝑎𝑚 𝑅𝑎𝑚
Enlèvement des ( )
𝑉0 𝛾
𝛾+ ∆𝑉 − ∆𝑅 = −𝛾 − ∆𝛾
𝑅𝑎𝑚 𝑅𝑎𝑚
Rassemblement
𝑉0 𝛾
2𝛾 + ∆𝑉 − ∆𝑅 + ∆𝛾 = 0
𝑅𝑎𝑚 𝑅𝑎𝑚
Réécriture
𝑉0 𝛾
∆𝛾 + ∆𝑉 + 2𝛾 − ∆𝑅 = 0
𝑅𝑎𝑚 𝑅𝑎𝑚
Factorisation
𝑉0 ∆𝑅
∆𝛾 + ∆𝑉 + 2𝛾 (1 − )=0
𝑅𝑎𝑚 2𝑅𝑎𝑚
Réécriture
𝑉0 𝛾 2𝑅𝑎𝑚
∆𝛾 + ∆𝑉 + ( − 1) ∆𝑅 = 0
𝑅𝑎𝑚 𝑅𝑎𝑚 ∆𝑅
Rappelons que cette équation différentielle est mise en place pour l’équilibre de l’électron sur sa trajectoire.
Nous sommes orientés ⊕ sur un axe « noyau –> électron ».
N’oublions pas que nous avons commencé ce résonnement à partir de la « masse particule élémentaire » 𝑚1
qui finit par se transformer en 𝑚𝑓 en fin de phase de transformation (que nous pouvons accréditer à une
oscillation amortie d’une équation différentielle)
Que ce soit γ ou Δγ qui correspond à une accélération gravitationnelle avec sa variation (axe noyau -
′′
électron) ; c’est aussi l’accélération de la sphère d’expansion 𝑅(𝑡) de la masse 𝑚1 qui se transforme en 𝑚𝑓
avec sa variation.
Que ce soit V0 ou ΔV qui correspond à une vitesse radiale avec sa variation (axe noyau - électron) ;
′
idem c’est aussi la vitesse de la sphère d’expansion 𝑅(𝑡) de la masse 𝑚1 qui se transforme en 𝑚𝑓 avec sa
variation.
Que ce soit 𝑅𝑎𝑚 ou ΔR qui correspond à un rayon de trajectoire avec sa variation (axe noyau - élec-
tron) ; c’est aussi le rayon de la sphère d’expansion 𝑅(𝑡) de la masse 𝑚1 qui se transforme en 𝑚𝑓 avec sa
variation.
Mais il faut arranger cette équation pour être sous la forme d’une équation différentielle d’ordre 2 de la forme
𝑎𝑦 ′′ + 𝑏𝑦 ′ + 𝑐𝑦 = 0
http://uel.unisciel.fr/mathematiques/eq_diff/eq_diff_ch03/co/apprendre_ch3_04.html
Tout d’abord à quoi assimiler « y » : Nous avons ∆𝛾 = variation d’accélération radiale = dérivée seconde d’une
𝑑2 (∆𝑅(𝑡) )
distance par rapport au temps : donc ∆𝛾(𝑡) = 𝑑𝑡 2
Ensuite, ∆𝑉 = variation de vitesse radiale = dérivée d’une dis-
𝑑(∆𝑅(𝑡) )
tance par rapport au temps : donc ∆𝑣(𝑡) = 𝑑𝑡
Et finalement, nous avons ∆𝑅 = variation de distance radiale =
variation du rayon moyen de l’atome de Bohr (= y). Car c’est la distance du noyau à l’électron qui varie en
fonction du temps. C’est la variable que nous chercherons.
Nous avons liés ces 3 variables et en plus elles sont dans le même axe ; donc l’équation différentielle est
homogène.
Nous pouvons faire apparaître une équation qui nous servira plus tard 𝜔é ∗ ∆𝑅é a une dimension de vitesse.
Cette vitesse ne peut être que 𝑉0 (vitesse origine au temps t0)
A cette étape le calcul commence à devenir complexe, si nous voulons rester dans un cas général. Il faudra
retenir que le discriminant de l’équation caractéristique est
𝑉02 𝑉0 𝑉0
𝑠 = ( 2 − 4𝜔é2 ) = ( + 2𝜔é ) ( − 2𝜔é )
𝑅𝑎𝑚 𝑅𝑎𝑚 𝑅𝑎𝑚
Les solutions dépendront du signe du discriminant « s »
Si s > 0 ; il y a 2 solutions réelles, mais le système est amorti = le mouvement de l’électron est
en régime apériodique.
Si s = 0 ; il y a 1 solution double, mais le système est aussi amorti = le mouvement de l’électron
est en régime critique.
Si s < 0 ; il y a 2 solutions complexes, et le système est en oscillations amorties = le mouvement
de l’électron est périodique à amortissement exponentiel. C’est ce cas qui est intéressant !
Seulement le calcul de 𝑅𝑎𝑚 doit correspondre à un rayon moyen. Il faudra donc calculer le rayon moyen de
chaque couche quantique « n » et travailler sur une moyenne de toutes les couches (voir ici)
𝑛∗ 2
𝑅𝑎𝑛 = ∗ 𝑅𝑎𝐵𝑜ℎ𝑟
𝑍𝑒𝑓𝑓
https://fr.wikipedia.org/wiki/Rayon_atomique
Dans cette équation, on peut quantifier n* = couche quantique (apparent) que l’on veut atteindre
𝑅𝑎𝐵𝑜ℎ𝑟 = 5,2917721092 . 10−11 𝑚
∗
Et 𝑍𝑒𝑓𝑓 = Charge électrique effective
Cette charge électrique effective est calculée par la règle de Slater
https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A8gle_de_Slater
Cela demande aussi une connaissance de la configuration électronique de l’atome considérée
https://fr.wikipedia.org/wiki/Configuration_%C3%A9lectronique
Par exemple pour le Cuivre 29 électrons 1s2 2s2 2p6 3s2 3p6 3d10 4s1
∗
Dans ce cas, pour la couche 4s : 𝑍𝑒𝑓𝑓 = 29 − 𝜎4𝑠
∗
Avec 𝜎4𝑠 = 2𝜎1𝑠→4𝑠 + 8𝜎2𝑠,2𝑝→4𝑠 + 8𝜎3𝑠,3𝑝→4𝑠 + 10𝜎3𝑑→4𝑠 = 25,3 Donc 𝑍4𝑠 = 3,7
http://chimiefsaccasa.e-monsite.com/medias/files/exercices-complementaires-n-6.pdf
Nous allons détailler sur un exemple pour mieux comprendre :
(J’avoue ce n’est pas évident)
σij 1s 2s 2p 3s 3p 3d 4s 4p 4d 4f 5s 5p
1s 0,30 0 0 0 0 0 0 0
niveau 2s 2p 0,85 0,35 0 0 0 0 0 0
de 3s 3p 1 0,85 0,35 0 0 0 0 0
3d 1 1 1 0,35 0 0 0 0
l'électron
4s 4p 1 1 0,85 0,85 0,35 0 0 0
considéré 4d 1 1 1 1 1 0,35 0 0
4f 1 1 1 1 1 1 0,35 0
(j)
5s 5p 1 1 1 1 0,85 0,85 0,85 0,35
σij ou σi→j est le coefficient d’écran d’un électron i sur l’électron j.
Pour améliorer la correspondance entre les valeurs expérimentales et calculées, Slater a introduit
un nombre quantique apparent (𝑛∗)
pour n = 1 2 3 4 5 6
Mais pour calculer le discriminant de l’équation différentielle, il faudra prendre la moyenne de tous ces rayons
atomiques. Donc
𝑅𝑎𝑚 = 0,000000000060877083690398428244 = 6,0877. 10−11 𝑚
Il reste la vitesse d’attraction 𝑉0 et la fréquence de pulsation 𝜔é
Rappelons que 𝑉0 est une vitesse constante ; c’est donc la vitesse de l’expansion de la sphère quand 𝑚1 = 𝑚𝑓𝑝
2𝐺𝑚𝑓
C’est ainsi que nous l’avions défini au départ. Donc 𝑉0 = √ 𝑅
𝑎𝑚
La 𝑚𝑓 à prendre en compte est la 𝑚𝑓𝑝 . Car même si nous résonnons sur un électron, nous sommes en énergie.
Rappelez-vous, c’est cette masse équivalente que nous avions pris pour calculer la portée de la 𝑅𝑚𝑓 . Donc, 𝑉0
sera une valeur moyenne, puisque nous la calculons pour un 𝑅𝑎𝑚
2𝐺𝑚𝑓𝑝
𝑉0𝑚 = √ = 1,6844959993739650772308608555586. 10−04 𝑚/𝑠
𝑅𝑎𝑚
Et 𝜔é est sur la même démarche, nous prendrons une pulsation moyenne de toutes les fréquences des couches
𝜔é𝑚 = 2𝜋19749388,356102864556714633164365 𝑟𝑑/𝑠
Ces moyennes sont calculées pour les 4 couches quantiques : calcul ici
Maintenant revenons à l’étude de l’équation différentielle qui commande l’électron en prenant en considéra-
tion ces valeurs moyennes
𝑉0
∆𝛾 + 𝑚 ∆𝑉 + 𝜔é2𝑚 ∆𝑅 = 0
𝑅𝑎𝑚
Le discriminant de cette équation est
𝑉0 𝑉0
𝑠 = ( 𝑚 + 2𝜔é𝑚 ) ( 𝑚 − 2𝜔é𝑚 )
𝑅𝑎𝑚 𝑅𝑎𝑚
𝑉0𝑚 𝑉0
Le signe de s sera fonction de 𝑅 − 2𝜔é𝑚 ou 2𝑅 𝑚 − 𝜔é𝑚
𝑎𝑚 𝑎𝑚
𝑉0
Or, 2𝑅 𝑚 = 1 383 522,2 et 𝜔é𝑚 = 124 089 066,7, donc s sera négatif :
𝑎𝑚
nous sommes en régime pseudopériodique
Mais nous avons calculé pour une moyenne. La question qui se pose : Est-ce identique pour chaque couche
quantique ?
2𝐺𝑚𝑓𝑝 ℎ𝑐
Le calcul de 𝑉0𝑛 = √ Et le calcul de 𝑚𝑓𝑝 = √2𝐺2𝜋 = 1,2941601444386. 10−08 𝐾𝑔 Donc,
𝑅𝑎𝑛 √2
Pour la couche quantique n = 1 (1s) :
𝑉01 9,679151453296553947178985083795. 10−04
= = 262 475 065,98
2𝑅𝑎1 2 ∗ 1,84382303456446. 10−12
𝜔é1 = 2 ∗ 𝜋 ∗ 23881922,98 = 150 054 547,59
s sera positif, donc nous sommes en régime apériodique
Uniquement la couche quantique n = 1 est en régime apériodique ! Toutes les autres couches quantiques seront
en régime pseudopériodique.
Cela veut dire que pour la couche quantique n = 1, l’électron ne vibre pas ! Le système est amortie et les
𝑉0 𝑉02 𝑉0 𝑉02
solutions de l’équation caractéristique sont : 𝑟1a = − 2𝑅 1 + √4𝑅21 − 𝜔é21 et 𝑟1b = − 2𝑅 1 − √4𝑅21 − 𝜔é21
𝑎1 𝑎1 𝑎1 𝑎1
Pour les autres couches, nous sommes en régime pseudopériodique, cela veut dire que l’électron vibre sur sa
trajectoire
Les solutions de l’équation caractéristique sont : 𝑟2−3−4𝑎 = −𝜆 + j√𝜔02 − 𝜆2 et 𝑟2−3−4𝑏 = −𝜆 − j√𝜔02 − 𝜆2
Et une pseudo pulsation : 𝜔1 = √𝜔02 − 𝜆2
La solution générale est :
∆𝑅(𝑡) = 𝐴𝑒 −𝜆𝑡 cos(𝜔1𝑡 + 𝜑)
Mais nous pouvons écrire différemment
∆𝑅(𝑡) = 𝐴𝑒 −λ𝑡 sin(𝜔1𝑡 + 𝜓)
Ou bien
∆𝑅(𝑡) = 𝑒 −λ𝑡 (C cos 𝜔1 𝑡 + 𝐷 sin 𝜔1 𝑡)
http://psychosmose.free.fr/physics/ondes/Syst%C3%A8mes%20oscillants.pdf
Ainsi, nous sommes toujours en accord avec la physique quantique et les ondes de De Broglie
Maintenant comparons les courbes en fonction des couches en gardant une proportionnalité entre 𝜔0 et λ de
telle sorte que 𝜔0 ≈ 5𝜆 pour la couche 2, 𝜔0 ≈ 24𝜆 pour la couche 3 inférieure, 𝜔0 ≈ 82𝜆 pour la couche 3
supérieure et 𝜔0 ≈ 479𝜆 pour la couche 4.
Superposition des 4
fréquences
La calculatrice graphique a saturé. Mais j’ai gardé l’échelle pour se rendre compte
Traitons le cas d’un atome à une seule couche quantique comme l’hydrogène ou l’hélium. Car si l’électron ne
vibre pas, nous ne serions plus en accord avec les expériences physiques déjà reconnues
Je rappelle que pour avoir un système pseudopériodique, il faut :
𝑉0𝑛
𝜆𝑛 = < 𝜔 é𝑛
2𝑅𝑎𝑛
𝑉0𝑛
Ou bien le taux d’amortissement 𝜁 = doit être compris entre 0 et 1
2𝑅𝑎𝑛 𝜔é𝑛
Cas de l’hydrogène :
1 électron sur la couche quantique 𝑛 = 1
𝑅𝑚𝑓𝑔1 = √𝐾𝑅𝑚𝑓 = 0,00273088738562222814537485194391 𝑚
𝑓é1 = 23881922,983641194586874915284778 𝐻𝑧 𝑠𝑜𝑖𝑡 23,881 𝑀𝐻𝑧
Avec Slater
∗ ∗
𝜎1𝑠 = 0 ∗ 0,30 = 0 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑍1𝑠 = 1 − 0 = 1 𝑒𝑡 𝑛1𝑠 =1
∗
𝑛1𝑠
𝑅𝑎ℎ𝑦𝑑𝑟𝑜 = ∗ 𝑅𝑎𝐵𝑜ℎ𝑟 = 𝑅𝑎𝐵𝑜ℎ𝑟 = 5,2917721092. 10−11 𝑚
𝑍1𝑠
Donc
2𝐺𝑚𝑓𝑝
𝑉0ℎ𝑦𝑑𝑟𝑜 = √ = 1,80674281836 . 10−4 𝑚/𝑠
𝑅𝑎ℎ𝑦𝑑𝑟𝑜
Calcul du coefficient d’amortissement et de la pulsation propre
𝑉0ℎ𝑦𝑑𝑟𝑜
𝜆ℎ𝑦𝑑𝑟𝑜 = = 1 707 124,552
2𝑅𝑎ℎ𝑦𝑑𝑟𝑜
𝜔éℎ𝑦𝑑𝑟𝑜 = 2𝜋𝑓é1 = 150 054 547,598
𝜔éℎ𝑦𝑑𝑟𝑜 > 𝜆ℎ𝑦𝑑𝑟𝑜 nous sommes en régime pseudopériodique
Cas de l’hélium :
2 électrons sur la couche quantique 𝑛 = 1
𝑅𝑚𝑓𝑔1 = √𝐾𝑅𝑚𝑓 = 0,00273088738562222814537485194391 𝑚
𝑓é1 = 23881922,983641194586874915284778 𝐻𝑧 𝑠𝑜𝑖𝑡 23,881 𝑀𝐻𝑧
Avec Slater
∗ ∗
𝜎1𝑠 = 1 ∗ 0,30 = 0,30 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑍1𝑠 = 1 − 0,30 = 0,70 𝑒𝑡 𝑛1𝑠 =1
∗
𝑛1𝑠
𝑅𝑎ℎé𝑙 = ∗ 𝑅𝑎𝐵𝑜ℎ𝑟 = 𝑅𝑎𝐵𝑜ℎ𝑟 = 3,70424047644. 10−11 𝑚
𝑍1𝑠
Donc
2𝐺𝑚𝑓𝑝
𝑉0ℎé𝑙 = √ = 2,1594707062 . 10−4 𝑚/𝑠
𝑅𝑎ℎé𝑙
Calcul du coefficient d’amortissement et de la pulsation propre
𝑉0ℎé𝑙
𝜆ℎé𝑙 = = 2 914 863,006
2𝑅𝑎ℎé𝑙
𝜔éℎé𝑙 = 2𝜋𝑓é1 = 150 054 547,598
𝜔éℎ𝑦𝑑𝑟𝑜 > 𝜆ℎ𝑦𝑑𝑟𝑜 nous sommes en régime pseudopériodique
C’est extraordinaire, nous sommes en accord avec les expériences menées avec la physique quantique mais
en adoptant cette théorie.
Nous ne changeons toujours pas de standard physique ! Nous restons sur une physique Newtonienne !
Dans l’annexe 36, nous passons également par une solution trigonométrique, mais elle simplifie l’équation
générale :
𝐶 = 𝐴 𝑐𝑜𝑠𝜑 = ∆𝑅(0)
𝐷 = − 𝐴 𝑠𝑖𝑛𝜑 = − ∆𝑅(0) 𝑡𝑎𝑛𝜑
𝑠𝑖𝑛𝜑 𝐷
𝑡𝑎𝑛𝜑 = =−
𝑐𝑜𝑠𝜑 𝐶
Ce qui équivaut à
∆𝑅(0) −𝜆𝑡
∆𝑅(𝑡) = 𝑒 cos(𝜔1 𝑡 + 𝜑)
𝑐𝑜𝑠𝜑
Je fais une représentation graphique des 2 équations générale en décalant de 0,3 la courbe bleue pour la voir
∆𝑅(𝑡) = 𝑒 −λ𝑡 (∆𝑅(0) cos 𝜔1 𝑡 − ∆𝑅(0) 𝑡𝑎𝑛𝜑 sin 𝜔1 𝑡)
Et
∆𝑅(0) −𝜆𝑡
∆𝑅(𝑡) = 𝑒 cos(𝜔1 𝑡 + 𝜑)
𝑐𝑜𝑠𝜑
𝜋
J’ai pris 𝜑 = 4 , 𝜆 = 2 et 𝜔0 ≈ 5𝜆 et ∆𝑅(0) = 3 et ∆𝑅(0) = 3,3. Cette représentation est valable pour la couche
n = 2 du cuivre.
http://fr.numberempire.com/graphingcalculator.php
𝜋
Pour 𝜑 = , 𝜆 = 2 et 𝜔0 ≈ 48𝜆 et ∆𝑅(0) = 3 et ∆𝑅(0) = 3,5. Cette représentation est valable pour la couche
4
n = 3 du cuivre.
http://fr.numberempire.com/graphingcalculator.php
Sur ces 2 graphiques l’échelle temporelle est respectée. Nous avons un amortissement, pratiquement complet
à 𝑡 = 𝑡0 + 5. Mais ceci reste à vérifier.
Cependant, nous avons gardé l’échelle de temps négatifs en étant conscient que le temps négatif n’existe pas
pour cet univers.
Notons que pour ces valeurs, l’axe des ordonnées est coupé à la valeur du Δ𝑅0 (= 3), mais le sommet de la
courbe se trouve à Δ𝑅𝑀𝑎𝑥 = 3,06271967795 pour un temps négatif = −0,020551. Nous pourrions trouver
la valeur exacte en passant par les dérivées ; mais je reste sur un résultat approximatif, tant que nous n’utilisons
pas les vraies valeurs expérimentales.
𝛽
Cependant, quand nous faisons Δ𝑅𝑀𝑎𝑥 − Δ𝑅0 , nous tombons très proche de la valeur de 2 = 0,075, trouvée
dans le chapitre 1. Ceci doit être vérifié pour les autres couches.
http://fr.numberempire.com/graphingcalculator.php
Je suis allé jusqu’au maximum de grossissement de la calculatrice graphique, pour s’apercevoir que pour
𝑡0 = 0,0000000, nous avons un Δ𝑅𝑀𝑎𝑥 = 3,0000000. Donc ce n’est pas de ce côté qu’il faut chercher.
Pour l’atome de cuivre, nous avons la couche quantique n = 1 qui est apériodique et la couche n = 2 qui est
pseudopériodique, nous devrions avoir un régime transitoire appelé régime critique.
C’est quand 𝜆 = 𝜔0
Rien d’exceptionnel :
Pas d’oscillations.
A t = 0, nous avons bien ∆𝑅(0) = 3, mais comme nous
ne sommes pas en oscillation, alors Δ𝑅 augmente à l’in-
fini pour des temps négatif
Passons tout de même par la dérivée d’une équation simplifiée, c’est-à-dire sans déphasage
∆𝑅(𝑡) = ∆𝑅0 𝑒 −𝜆𝑡 cos(𝜔1 𝑡)
𝐷 ∆𝑅′ −𝜆∆𝑅
Notons que si 𝜑 = 0, alors 𝑡𝑎𝑛𝜑 = − = 0, donc 𝐷 = 0 0
= 0, donc ∆𝑅0′ = 𝜆∆𝑅0 . Nous allons vérifier
𝐶 𝜔1
𝑑(∆𝑅(𝑡) )
= −∆𝑅0 𝜆𝑒 −𝜆𝑡 cos(𝜔1 𝑡) − ∆𝑅0 𝜔1 𝑒 −𝜆𝑡 𝑠𝑖𝑛(𝜔1 𝑡)
𝑑𝑡
Mise en facteur
′
∆𝑅(𝑡) = −∆𝑅0 𝑒 −𝜆𝑡 (𝜆 cos(𝜔1 𝑡) + 𝜔1 𝑠𝑖𝑛(𝜔1 𝑡))
𝑎 cos(𝑥−𝜑) 𝑏
La factorisation de 𝜆 cos(𝜔1 𝑡) + 𝜔1 𝑠𝑖𝑛(𝜔1 𝑡) est identique à 𝑎 cos 𝑥 + 𝑏 𝑠𝑖𝑛𝑥 = 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑡𝑎𝑛𝜑 =
𝑐𝑜𝑠𝜑 𝑎
Donc
′ ∆𝑅0 𝜆𝑒 −𝜆𝑡 cos(𝜔1 𝑡 − 𝜃) 𝜔1
∆𝑅(𝑡) =− 𝑎𝑣𝑒𝑐 tan 𝜃 =
cos 𝜃 𝜆
Ainsi à 𝑡 = 0, nous avons
∆𝑅0 𝜆(1)
∆𝑅0′ = − [cos(0) cos 𝜃 + sin(0) sin 𝜃]
cos 𝜃
Simplification
∆𝑅0′ = −∆𝑅0 𝜆
Déjà, nous avons une inégalité par rapport à ce qui a été posé au départ, ensuite, pour trouver un extremum,
c’est le moment où la dérivée est = 0, donc
′
∆𝑅(𝑡) =0
Comme 𝑒 −𝜆𝑡 , ne s’annule jamais, l’équation dépend uniquement de cos(𝜔1 𝑡 − 𝜃 ). Ainsi
cos(𝜔1 𝑡 − 𝜃 ) = 0
Cela revient à dire que
𝜋
𝜔1 𝑡 − 𝜃 = + 𝑘𝜋
2
Donc
𝜋
+ 𝜃 + 𝑘𝜋
𝑡=2
𝜔1
𝑟𝑑
Côté unité : 𝑡 = 𝑟𝑑 = 𝑠 : c’est cohérent ! retour amortissement du signal
𝑠
𝜔1 𝜔
Rappelons que tan 𝜃 = ou 𝜃 = tan−1 ( 𝜆1 ) et 𝜔1 = √𝜔02 − 𝜆2
𝜆
Vérification : pour 𝜆 = 2, 𝜔0 = 5𝜆 et ∆𝑅(0) = 3, nous avions trouvé un ∆𝑅𝑀𝑎𝑥 pour un temps 𝑡 =
−0,020551 ; avec le calcul, cela donne pour 𝑘 = −1 :
𝜋
+ 1,3694384060045658277761961394221 − 𝜋
𝑡=2 = −0,0205510067335026216632334137754
9,7979589711327123927891362988236
Qui donnera un ∆𝑅𝑀𝑎𝑥 (𝑘=−1) = 3,0627196779537311057489806416395
En réinjectant cette valeur temporelle dans l’équation de base, nous trouverons tous les extrémums de la
courbe en fonction du k.
Par exemple pour 𝑘 = 0, alors 𝑡 = 0,30008645080696340222277567614235 qui donne ∆𝑅𝑀𝑎𝑥 (𝑘=0) =
−1,612891272384706461255813661432
Pour 𝑘 = 1, alors 𝑡 = 0,6207239083474294261087847660601 qui donne ∆𝑅𝑀𝑎𝑥 (𝑘=1) =
0,84938176851784909799286934690712
Je vous laisse l’opportunité de vérifier les autres valeurs.
Remarquons une chose qui va surement nous servir plus tard : Les ∆𝑅(𝑡) seront positif pour des valeurs de k
impairs et ∆𝑅(𝑡) seront négatif pour des valeurs de k pairs.
Attention : aucune relation avec les coefficients de forme ; ici « k » est une occurrence.
Notons cependant, que nous avons pris un déphasage 𝜑 = 0. Or voici différentes représentations avec 6 dé-
phasages différents, pour les mêmes valeurs 𝜆 = 2, 𝜔0 = 5𝜆 et ∆𝑅(0) = 3
𝜋 𝜋 𝜋 𝜋
Déphasage 𝜑 = 0, 𝜑 = 3 , 𝜑 = 4 , 𝜑 = 5 , 𝜑 = 6 ,
𝜋 𝜋
𝜑 = 7, 𝜑 = 8
Faisons quelques calculs avec les valeurs réelles pour se faire une idée
Nous allons nous baser sur la couche quantique n = 3 supérieure, c’est-à-dire la couche 3d
𝑉0
𝜆3𝑑 = 2𝑅 3𝑑 = 1 390 611,86 𝑠 −1 et 𝜔é3𝑑 = 𝜔03𝑑 = 114 016 800,02 𝑠 −1
𝑎3𝑑
𝜔
Nous pouvons calculer 𝜔1 = √𝜔02 − 𝜆2 = 114 008 319,37 𝑠 −1 et 𝜃(𝑟𝑑) = tan−1 ( 𝜆1 ) = 1,5586 𝑟𝑑
𝜋
+𝜃+𝑘𝜋
Ensuite, nous avons la relation temporelle de l’amortissement 𝑡 = 2
Donc le temps est fonction des
𝜔1
occurrences « k »
𝜋
+𝜃−𝜋
Pour 𝑘 = −1, alors 𝑡𝑘=−1 = 2
− 1,0698214597624834696081325980121. 10−10 𝑠
𝜔1
𝜋
+𝜃
Pour 𝑘 = 0, alors 𝑡𝑘=0 = 2
= 2,7448837209575692357545366877915. 10−8 𝑠
𝜔1
𝜋
+𝜃+𝜋
Pour 𝑘 = 1, alors 𝑡𝑘=1 = 2
= 5,500466. 10−8 𝑠 donne une différence de 0,00000002755586
𝜔1
𝜋
+𝜃+2𝜋
Pour 𝑘 = 2, alors 𝑡𝑘=2 = 2
= 8,256048. 10−8 𝑠 donne une différence de 0,00000002755582
𝜔1
𝜋
+𝜃+3𝜋
Pour 𝑘 = 3, alors 𝑡𝑘=3 = 2
= 1,101163. 10−7 𝑠 donne une différence de 0,00000002755582
𝜔1
𝜋
+𝜃+4𝜋
Pour 𝑘 = 4, alors 𝑡𝑘=4 = 2
= 1,37672. 10−7 𝑠 donne une différence de 0,0000000275557
𝜔1
Déjà, nous pouvons vérifier la constance dans la fréquence : 𝜏 = 2,7555. 10−8 𝑠
Calculons maintenant la valeur de l’amplitude du signal, ou plutôt la valeur de la variation de l’amplitude,
puisque nous avons une modulation amortie autour du rayon atomique moyen de l’électron étudié.
Ici 𝑅𝑎3𝑑 = 6,067. 10−11 𝑚. Donc à partir de ∆𝑅(𝑡) = ∆𝑅0 𝑒 −𝜆𝑡 cos(𝜔1 𝑡), nous trouverons tous les extrémums
Pour 𝑘 = −1, alors ∆𝑅𝑀𝑎𝑥 = ∆𝑅0 𝑒 −𝜆𝑡 cos(𝜔1 𝑡) = 1,0000743899316505461708532426612. ∆𝑅0
Pour 𝑘 = 0, alors ∆𝑅𝑀𝑎𝑥 = ∆𝑅0 𝑒 −𝜆𝑡 cos(𝜔1 𝑡) = −0,96247704539678704015655855055875. ∆𝑅0
Pour 𝑘 = 1, alors ∆𝑅𝑀𝑎𝑥 = ∆𝑅0 𝑒 −𝜆𝑡 cos(𝜔1 𝑡) = 0,926293156. ∆𝑅0
Pour 𝑘 = 2, alors ∆𝑅𝑀𝑎𝑥 = ∆𝑅0 𝑒 −𝜆𝑡 cos(𝜔1 𝑡) = −0,8914695836. ∆𝑅0
Pour 𝑘 = 3, alors ∆𝑅𝑀𝑎𝑥 = ∆𝑅0 𝑒 −𝜆𝑡 cos(𝜔1 𝑡) = 0,85795518768. ∆𝑅0
Notons, que nous avons réellement l’exponentielle amortie. Il faudrait continuer les calculs pour savoir à
combien de taux, nous aurions l’amortissement du signal. Il serait intéressant de calculer pour taux = 5 (qui
correspond à la charge ou décharge d’un condensateur).
Cependant, nous n’avons toujours pas quantifié ∆𝑅0 . En effet sur ce schéma nous avons pris un ∆𝑅0 = 𝑅𝑎3𝑑 =
6,067 (nous avons juste enlevé 10-11 pour que ce soit représentatif). Si nous prenons le coefficient de l’expo-
nentielle amortie égal au rayon atomique de l’électron étudié, alors l’électron va osciller autour de cette valeur,
cela voudrait dire que l’électron va passer très proche du noyau. Ce n’est pas le cas !
Il reste à quantifié toujours ce ∆𝑅0 . Pour le moment, rien ne le permet !
Gardons tout ceci en mémoire et essayons de redessiner une maquette de l’atome
Amplitude Max pour 𝑘 = −1 En bleu, nous avons la trajectoire de l’électron. Cela veut
dire que l’axe horizontal, à 0, correspond au rayon atomique
de l’électron.
Donc la modulation maxi sera comprise sur une demi pé-
riode : entre k = -1 et k = 0
𝑅𝑎𝑥𝑑 Si nous ramenions l’oscillation autour du rayon atomique
Pour notre exemple,
Amplitude min pour
nous connaissons 𝑅𝑎3𝑑 = 6,067. 10−11 𝑚
𝑘=0
pour 𝑘 = −1, alors ∆𝑅𝑀𝑎𝑥 = 𝑅𝑎3𝑑 𝑒 −𝜆𝑡 cos(𝜔1 𝑡) = 6,06745. 10−11 𝑚
pour 𝑘 = 0, alors ∆𝑅𝑚𝑖𝑛 = 𝑅𝑎3𝑑 𝑒 −𝜆𝑡 cos(𝜔1 𝑡) = −5,8393. 10−11 𝑚
6,06745.10−11 +5,8393.10−11
Ainsi, la variation maximale ∆𝑅0 = = 5,9534. 10−11 𝑚, donc, pour que la valeur du
2
∆𝑅0 soit correcte, il faut que le signal s’amortisse sur une valeur de 6,067. 10−11 − 5,9534. 10−11 =
1,136002185048992294811198118413. 10−12 𝑚 à une altitude égale au rayon atomique 𝑅𝑎3𝑑 .
Il faut tout de même vérifier qu’il n’y ait pas d’interférences avec les couches :
Pour la couche 𝑛 = 1, le 𝑅𝑎1 = 1,84382303456446. 10−12 𝑚, mais il n’y a pas d’oscillation ; donc pas d’in-
terférence !
Pour la couche 𝑛 = 2, le 𝑅𝑎2 = 8,517943032917505. 10−12 𝑚, ce qui nous laisse un espace entre les 2
rayons atomiques de 𝑅𝑎2 − 𝑅𝑎1 = 6,674119998353045. 10−12 𝑚. Or la modulation de l’électron pour cette
couche est calculé un peu plus loin sur le même principe qui donne un ∆𝑅𝑀𝑎𝑥2 = 1,02304. ∆𝑅0 et
𝑘=−1
∆𝑅𝑚𝑖𝑛2 = −0,521887. ∆𝑅0 . Sur le même calcul que précédemment, cela nous laisse 1,93813. 10−12 𝑚
𝑘=0
d’espace occupé autour du rayon atomique : donc il n’y a pas d’interférence entre la couche 1 et 2.
Pour la couche 𝑛 = 3 𝑖𝑛𝑓é𝑟𝑖𝑒𝑢𝑟𝑒, le 𝑅𝑎3𝑖𝑛𝑓 = 2,683152055369014. 10−11 𝑚, ce qui nous laisse un espace
entre les 2 rayons atomiques de 𝑅𝑎3𝑖𝑛𝑓 − 𝑅𝑎2 = 1,8313577520772635. 10−11 𝑚. Or la modulation de l’élec-
tron pour cette couche est calculé un peu plus loin sur le même principe qui donne un ∆𝑅𝑀𝑎𝑥3𝑖𝑛𝑓 =
𝑘=−1
1,000861. ∆𝑅0 et ∆𝑅𝑚𝑖𝑛3𝑖𝑛𝑓 = −0,8785067. ∆𝑅0 . Sur le même calcul que précédemment, cela nous laisse
𝑘=0
−12
1,6183677. 10 𝑚 d’espace occupé autour du rayon atomique : donc il n’y a pas d’interférence entre la
couche 2 et 3 inférieure.
Pour la couche 𝑛 = 3 𝑠𝑢𝑝é𝑟𝑖𝑒𝑢𝑟𝑒, le 𝑅𝑎3𝑠𝑢𝑝 = 6,066999870420382. 10−11 𝑚, ce qui nous laisse un espace
entre les 2 rayons atomiques de 𝑅𝑎3𝑠𝑢𝑝 − 𝑅𝑎3𝑖𝑛𝑓 = 3,383847815051368. 10−11 𝑚. Or la modulation de
l’électron pour cette couche est calculé un peu plus loin sur le même principe qui donne un ∆𝑅𝑀𝑎𝑥3𝑠𝑢𝑝 =
𝑘=−1
1,0000744. ∆𝑅0 et ∆𝑅𝑚𝑖𝑛3𝑠𝑢𝑝 = −0,962477. ∆𝑅0 . Sur le même calcul que précédemment, cela nous laisse
𝑘=0
−12
1,140517. 10 𝑚 d’espace occupé autour du rayon atomique : donc il n’y a pas d’interférence entre la
couche 3 inférieure et 3 supérieure.
Pour la couche 𝑛 = 4, le 𝑅𝑎4 = 2,0652213312661621622. 10−10 𝑚, ce qui nous laisse un espace entre les
2 rayons atomiques de 𝑅𝑎4 − 𝑅𝑎3𝑠𝑢𝑝 = 3,383847815051368. 10−11 𝑚. Or la modulation de l’électron pour
cette couche est calculé un peu plus loin sur le même principe qui donne un ∆𝑅𝑀𝑎𝑥4 = 1,0000022. ∆𝑅0
𝑘=−1
et ∆𝑅𝑚𝑖𝑛4 = −0,9934677. ∆𝑅0 . Sur le même calcul que précédemment, cela nous laisse
𝑘=0
6,743088. 10−13 𝑚 d’espace occupé autour du rayon atomique : donc il n’y a pas d’interférence entre la
couche 3 supérieure et la couche 4.
Nous pouvons tracer une représentation de l’atome de cuivre qui donne une proportionnalité :
Pour respecter l’échelle, un repère « I » est tracé sur chaque couche qui
représente la modulation d’amplitude maximale de l’électron de la
couche considéré.
Nous avons respecté le signal apériodique de la couche n = 1
Ensuite plus l’électron s’éloigne du noyau (proton) et plus la modula-
tion est faible ; ce qui est tout à fait compréhensible avec la perte des
forces électrostatiques en fonction de l’éloignement.
Et plus l’électron s’éloigne et plus la modulation dure longtemps. Ce
qui est normal pour les même raisons.
Revenons sur une représentation de la couche n = 3 (par exemple) avec cette modification
Cette origine temporelle changera comme « un interrupteur ». C’est donc un signal carré qui servira d’inter-
rupteur quand une valeur d’amplitude limite de l’électron sera atteinte ; c’est-à-dire un ∆𝑅(𝑡) mini, ou autre
chose. (retour à l’impulsion)
Seulement, la fréquence de vibration de l’électron est fonction de la couche quantique auquel il appartient.
Comme les fréquences des électrons sont différentes en fonction des couches et comme sur la couche n = 1
(du cuivre), l’électron ne vibre pas, il est fort probable que ce soit un évènement extérieur qui relance le
processus.
De toute façon, il faut un évènement qui relance toutes les modulations de toutes les couches pour provoquer
le nuage électronique remarqué en physique quantique.
Supposons que la fréquence de répétition de l’exponentielle amortie soit due à un signal carré. Comment peut-
il apparaître ?
Comme nous avons déduit la fréquence de l’électron par analogie avec un circuit LC, nous allons calculer les
différentes amplitudes jusqu’à 5 τ ; ce qui correspond à la charge - décharge d’un condensateur à travers une
résistance.
http://ressource.electron.free.fr/ref/FicheRef30_Condensateur.pdf
Amplitude Max pour 𝑘 = −1 Nous remarquons que pour l’évolution de chaque k, nous
Amplitude Max pour 𝑘 = 1 avons une demi-période. Donc pour atteindre 5τ, il faut cal-
culer l’amplitude pour 𝑘 = 9
𝜋
+𝜃2 −𝜋
𝑡2𝑘=−1 = 2
= −1,7106. 10−9 𝑠 qui donnera
𝜔1 2
Pour 𝑘 = 10
𝜋
+𝜃2 +10𝜋
𝑡2𝑘=10 = 2
= 2,78379. 10−7 𝑠 qui donnera ∆𝑅𝑀𝑎𝑥2 = ∆𝑅0 𝑒 −𝜆2 𝑡2 cos(𝜔12 𝑡2 ) = −0,000623. ∆𝑅0
𝜔1 2 𝑘=10
Il faut donc chercher le signal carré qui donne la pulsation secondaire qui va entretenir le nuage électronique
masse 𝑚𝑓 ) qui est assimilé au 𝑅𝑎 et 𝑚𝑓 qui est en relation avec 𝑚1 . Nous retombons ainsi en
relation avec les caractéristiques de la bulle d’expansion 𝑅0 (à un coefficient de forme prêt).
Cependant, souvenons-nous que cette sphère 𝑅𝑚𝑓 est limitée. Cette limitation correspondra au
rayon d’action du champ électromagnétique d’un électron.
Univers 2 Univers 1
0
Tc
8𝐺𝑚0
𝑇𝑐 = − 𝑜𝑛 𝑎 𝑅(𝑡) = 𝑅0 𝑇𝑐 = 0 𝑜𝑛 𝑎 𝑅(𝑡) = 𝑅0
3𝑐 3
4𝐺𝑚0
𝑇𝑐 = − 𝑜𝑛 𝑎 𝑅(𝑡) = 0
3𝑐 3
Rien ne nous oblige de prendre un signal sinusoïdal ; nous pourrions tout à fait concevoir un signal carré !
Dans ce cas, le signal carré serait une porteuse de la vibration de l’électron.
Nous avons aussi fait des similitudes entre univers 1 et futur, univers 2 et passé. Le point milieu étant le
présent.
4𝐺𝑚
Par contre, nous savons qu’au temps 𝑇𝑐 = − 3𝑐 3 0, nous avons 𝑅(𝑡) = 0. Nous allons donc considérer un signal
sinus.
Une autre raison qui peut nous orienter à faire une transposition au système solaire c’est l’annexe 15.
Nous retranscrivons le tableau. (Revoir l’annexe 15 pour l’explication).
Masse 1E-03 1 1E03 1E10 1E20 5,9734E24 1,989E30 1,991E30 4,294E33 3,98E42 1E60
6πm 0,01885 18,849 18849 1,88E11 1,8E21 1,126E26 3,75E31 3,754E31 8,095E34 7,5E43 1,88E61
a t0m est élevé à la puissance x qui représente l’apport d’énergie, donc a ne peut pas se calculer
b 5,71E-6 5,71E-6 5,71E-6 5,71E-6 5,71E-6 5,71E-6 5,71E-6 5,71E-6 impos 4,536E21 7,2E73
c 8,1E-12 8,1E-12 8,1E-12 8,1E-12 8,1E-12 8,1E-12 8,1E-12 8,1E-12 impos 5,143E42 1,3E147
t0 2,93E16 9,29E14 2,939E13 9,295E9 9,295E4 380,29 0,659046 0,658566 0 -1,3138E7 -3,3E24
R0 1,5E-30 1,5E-27 1,48E-24 1,5E-17 1,48E-7 0,0088718 2954,082 2958,389 6378162 5,908E15 1,48E33
1 8𝐺𝑚0 1 4𝐺𝑚0 2 1
Je rappelle que : 𝑎 = 6𝜋𝑚0 𝑡 𝑥 , 𝑏 = et 𝑐 = ( )
0 3𝑐 3 𝑡0−2 3𝑐 3 𝑡0−4
3 3
2R2𝑇 𝑅02 2𝐺𝑚0
Et que 𝑡0 = 3 (1 − 3 ) et que 𝑅0 =
√2𝐺𝑚0 2 𝑐2
𝑅𝑇
Gardons en mémoire, nous sommes au niveau de l’électron, donc à des masses très faibles et des 𝑅0 très
faibles.
Pour avoir un 𝑅0 exploitable, nous devons aller à la terre. Mais si nous voulons contenir la sphère d’expansion
de l’électron dans la sphère de la terre, il faut qu’il soit contenu dans la sphère d’expansion de la terre. Ce qui
ne peut pas être le cas tout le temps. En effet, nous sommes à la superficie de la terre donc non inclus dans la
sphère de la terre.
Nous ne pouvons pas prendre non plus la sphère d’expansion du soleil, car la terre est juxtaposée au soleil.
Comme nous sommes en superficie de la terre, la seule sphère d’expansion qui pourra contenir la sphère
électron en superficie de la sphère terre ; c’est la sphère d’expansion du système solaire complet !
Il serait possible de définir un système aléatoire, mais il serait difficile de quantifier sa masse. Par contre, la
masse du système solaire est connu.
Nous aurions pu transférer à la galaxie, mais il faudrait tout recommencer car nous passons la valeur qui
annule le temps cosmologique et nous passons en temps cosmologique négatif.
Nous n’avons pas encore pu trouver une explication à ce changement de signe.
Il est peut être probable qu’à chaque changement de système solaire, il faille changer de référent.
Nous n’avons pas encore exploité cette vision. Nous savons que cela peut marcher jusqu’à des masses infé-
rieures à 1E10 Kg en ce qui concerne les bulles d’expansion et les temps cosmologiques associés. Donc nous
pouvons continuer pour l’électron et nous avons à expérimenter pour valider déjà pas mal de points qui réser-
vent surement beaucoup de surprises.
𝑐3
A partir de l’équation de la pulsation de la bulle 𝜔0 =
2√2𝐺𝑚0
La seule variable qui intervient, c’est 𝑚0 . Ici, il s’agit de la masse d’un électron qui est constante quelque soit
sa position.
Nous pouvons considérer, pour un élément donné (un électron d’une couche quelconque de l’atome X), une
fonction sinus, pour sa bulle d’expansion
𝑓𝑎 (𝑡) = 𝑄 sin(𝜔0𝑎 𝑡)
Si nous transposons à un élément plus gros (un atome), nous retrouvons le même signal avec une harmonique
𝑄
𝑓𝑏 (𝑡) = sin(3𝜔0𝑎 𝑡)
3
Ensuite transposons à un ensemble d’atomes (une molécule), et nous retrouvons, en plus des autres signaux,
toujours une harmonique de notre signal de départ
𝑄
𝑓𝑐 (𝑡) = sin(5𝜔0𝑎 𝑡)
5
Ainsi de suite jusqu’à arriver au 𝑅0∑𝑠𝑜𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒 , et donc avec le 𝜔0∑𝑠𝑜𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒
Toutes ces fréquences vont s’additionner pour donner une transformée de Fourier pour tous les électrons
transposés au système solaire
http://www.silicium628.fr/cours/serie_fourier/page1.php
Faisons une petite remarque auparavant ; pour qu’il y ait une série de Fourier, il faut que le signal réponde aux
conditions de Dirichlet
http://gosse.chez-alice.fr/maths/ana/capes/node109.html
Mais comme la pulsation ω0 est constante, alors le signal qui en découle est une fonction définie, périodique,
continue et dérivable …
Maintenant, calculons le R0 et le ω0 du système solaire :
2𝐺𝑚0∑𝑠𝑜𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒
𝑅0∑𝑠𝑜𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒 = = 2958,23 𝑚
𝑐2
30
Avec 𝑚0∑𝑠𝑜𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒 = 1,9919. 10 𝐾𝑔
𝑐3
𝜔0∑𝑠𝑜𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒 = = 71659,5 𝑟𝑑/𝑠
2√2𝐺𝑚0∑𝑠𝑜𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒
Ce qui représente une fréquence de 𝑓0∑𝑠𝑜𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒 = 11,405 𝐾ℎ𝑧
Mais ceci n’est pas la pulsation de l’électron. C’est la pulsation du système solaire, mais elle contient la pul-
sation de notre électron de départ !
Il faut donc que toutes les fréquences des bulles d’expansion de chaque masse m0 soient distinctes, et nous
confirmons ainsi que ω0 détermine l’appartenance du fluide : tel fluide pour telle masse (cas n°2) au début de
ce chapitre.
Reste à définir et quantifier chaque terme en gardant en mémoire qu’à chaque demi période, nous changeons
𝑇 𝜋
d’univers c’est-à-dire à 2 = 𝜔. Dans ce cas la série de Fourier devient pour l’univers 1
∞
𝑎 2𝑎 1
𝑓 (𝑡 ) = + ∑ sin[(2𝑛 + 1)𝜔𝑡]
2 𝜋 (2𝑛 + 1)
𝑛=0
Et pour l’univers 2
∞
𝑎 2𝑎 1
𝑓 (𝑡 ) = − + ∑ sin[(2𝑛 + 1)𝜔𝑡]
2 𝜋 (2𝑛 + 1)
𝑛=0
Car nous devons décaler la courbe soit dans l’univers positif, soit dans l’univers négatif ; elle sera décalée par
4𝑎 2𝑎
rapport au 0, et pour que l’amplitude soit identique, nous faisons 2𝜋 = 𝜋 .
Ce qui donnera
𝜋 1
Le graphique de droite permet de faire un grossissement autour de la valeur de 𝑡 = 𝜔 (𝑘 + 2)
pour k = 0 (qui serait la première oscillation), (t = 0,15707963267948966192313216916398). A cette valeur
temporelle, nous devrions avoir la moitié du signal carré avec une amplitude égale à la fondamentale (c’est-
à-dire 4 pour notre exemple).
Ensuite faisons une analyse ; l’unité de f(t) est le m et l’unité de f’(t) c’est m/s. Donc f’(t) est une vitesse, mais
cette vitesse est à l’intérieur du R0 du système solaire, et nous avons vu dans le chapitre 1 que le comportement
de la vitesse à l’intérieur de la bulle d’expansion allait de « c » à l’infini. Comme nous avons transposé l’élec-
tron au système solaire, le nombre n sera immensément grand ! Nous additionnons tous les électrons compris
dans le système solaire. Comme un électron (quelque soit l’atome) a une masse fixe m 0, il est fort probable
que ce soit tous les électrons de tous les atomes inclus dans le système solaire ! Ce qui confirme que le signal
carré rythme le glissement temporel pour le recommencement des différentielles de tous les électrons.
Faisons une représentation
Dans cette représentation, nous avons représenté
uniquement l’univers 1.
Nous avons la fondamentale avec les mêmes para-
mètres que depuis le début
Le signal carré pour n = 99
Le signal carré pour n = 9
Première remarque très importante, l’amplitude
maximale du phénomène de Gibbs, n’est pas fonc-
tion de n !
Deuxième remarque, nous observons
une sorte de modulation sur la partie
plane du signal carré (pour n = 99)
′ ′
Nous ne présenterons pas le graphe pour n = 9, mais à 𝑡 = 0, 𝑓(0) ≈ 127,3 et à 𝑡 = 𝑡 + ∆𝑡, 𝑓(𝑡+∆𝑡) ≈ 28,6
avant de redescendre à ≈ −127,3
Si nous augmentons l’échelle temporelle, nous avons un signal impulsionnel
Résumons : Nous avons trouvé l’équation différentielle qui fait vibrer l’électron due au déséquilibre relativiste
des forces d’équilibre.
Ensuite, nous avons défini l’équation de la trajectoire oscillatoire amortie. Seulement, pour être en accord avec
les ondes de De Broglie, nous devons avoir un réamorçage du phénomène.
Ce réamorçage ne peut être dû qu’à un phénomène extérieur qui donne un « top départ » pour faire un glisse-
ment temporel pour réamorcer une nouvelle séquence.
L’oscillation se fait par le déséquilibre relativiste des forces électromagnétiques, mais c’est le système solaire
qui détermine la cadence de réamorçage.
Pour chercher la fréquence de récurrence qui entretien le phénomène, nous faisons une transposition au sys-
tème solaire. Car nous supposerons que l’origine du glissement temporel d’un électron sera un signal carré
qui sera calculé à partir d’une série de Fourier qui additionnera toutes les sinusoïdes de tous les R0 de tous les
électrons qui seront transposées dans la bulle d’expansion du R 0 du système solaire. Car pour avoir des valeurs
exploitables à notre niveau, nous devons prendre une référence qui est le système solaire.
Cependant, en faisant ainsi, on voit que nous traitons les 2 univers en fonction de l’alternance de l’électron.
Alternance positive, univers 1 et alternance négative univers 2. Cette procédure permet d’affirmer que les
deux univers sont imbriqués l’un dans l’autre.
Quand nous cherchons l’amplitude du signal carré, nous passons par la valeur qui annule la dérivée, mais
quand on fait une représentation schématique de la vitesse, nous avons un signal impulsionnel qui ressemble
à l’impulsion de Dirac. C’est l’impulsion qui fait le changement d’univers.
Cependant, notons que nous transposons un modèle électronique à la théorie « énergétique » de l’effet Vialle.
Nous avons, pour ceci, émis un coefficient de forme (K) puisque la sphère 𝑅𝑚𝑓 était en giration, de telle sorte
que 𝑅𝑚𝑓𝑔 = √𝐾𝑅𝑚𝑓 (revoir ici)
Calculons cette fréquence :
3 2𝐺𝑚0∑𝑠𝑜𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒
Comme 𝑉𝑚𝑜𝑦 = 2 𝑐 = √ , nous pouvons calculer la valeur de 𝑅0𝑚𝑜𝑦
𝑅0𝑚𝑜𝑦
4
𝑅0𝑚𝑜𝑦 = 2𝐺𝑚0∑𝑠𝑜𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒 = 1314,768813132445274664770954718 𝑚
9𝑐 2
La seule relation que nous pouvons remarquer ; c’est pratiquement 4 fois la fréquence 𝑓0∑𝑠𝑜𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒 = 11,405 𝐾ℎ𝑧
Seulement, nous avons calculé la fréquence en tenant compte d’un seul univers.
Or, nous avons vu que les 2 univers sont imbriqués, mais l’électron est aussi, une particule élémentaire.
Dans ce cas, nous avons un effet temporel à chaque changement d’univers.
En effet, il est tout à fait pensable que l’électron reçoive un ordre de « reprise d’oscillations » à chaque top
envoyé par la fréquence du R0 du système solaire.
Il faut donc doubler la fréquence c’est-à-dire 89,802 Khz.
Ce qui correspond à un temps 𝑡0𝑚𝑜𝑦 = 1,1135614870630515621554132265052 . 10−5 𝑠
N’oublions pas que cette étude de l’électron est faite dans le but de provoquer un glissement temporel en
injectant une énergie. L’objectif est de décaler ce « top » dans le temps, ou de rentrer en résonnance.
Ainsi, nous devrions récupérer le surplus d’énergie de chaque couche, qui serait largement plus élevé que
l’énergie donné au départ.
Cette partie de l’étude d’un auto-générateur n’est pas l’objectif de ce document, mais il est tout à fait possible
de venir récupérer de l’énergie. RV a réalisé des prototypes qui mettaient en évidence des « artefacts » non
expliqués avec la physique traditionnelle mais tout à fait compréhensible avec cette vision !
En cours
Phénomène de Gibbs
Au point de discontinuité x, 𝑆𝑁 (𝑓) subit une forte oscillation, une sorte de « ressaut » qui se mesure en com-
𝜋 𝜋
parant les valeurs en 𝑥 − 𝑁 et + 𝑁 . En effet, toujours d'après le théorème de Dirichlet, la série de Fourier de f
converge aussi simplement aux points de discontinuités mais vers la régularisée de Dirichlet, i.e. la demi-
somme des valeurs de f de part et d'autre du point de discontinuité. Lorsque N devient grand, l'amplitude de
ces oscillations tend vers une limite strictement plus grande que l'amplitude de la discontinuité, alors que la
largeur de la zone d'oscillation tend vers 0.
Il est remarquable que le phénomène s'exprime quantitativement de façon indépendante de la fonction consi-
dérée. Si la fonction a une discontinuité d'amplitude ∆𝑦, alors 𝑆𝑁 (𝑓), tout en restant continue, connaîtra un
« ressaut » en ordonnée valant de l'ordre de 9 % de plus au voisinage de la discontinuité.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ph%C3%A9nom%C3%A8ne_de_Gibbs
IV.11 Synthèse
L’objectif de ce chapitre est de déterminer en premier lieu la « consistance » du fluide. Mais cela nous a amené
bien plus loin !
Pour trouver une relation pouvant lier une charge électrique « q », un champ électrique « E », un champ ma-
gnétique « B » et une force électrostatique « Fé », cela nous oblige de faire apparaître une masse équivalente
électrostatique mf.
Cette mf (en fait, ce sont 2 masses), représenteront soit une particule de fluide, soit un électron qui sont par
définition des particules élémentaires.
ℎ𝑐
𝑚𝑓𝑝 = √ = 1,294160. 10−08 𝐾𝑔
2𝐺2𝜋√2
𝑞
𝑚𝑓é = = 1,859273. 10−09 𝐾𝑔
√4𝜋𝜀0 𝐺
Ces masses électrostatiques sont constantes ! Elles sont liées par un coefficient de forme
𝑚𝑓é = 𝑚𝑓𝑝 √𝑓 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑓 = 0,02064
Ces masses électrostatiques ne subissent pas l’effet mécanique de l’effet Vialle !
𝑚𝑓𝑎𝑐𝑐 = 𝑚𝑓𝑑é𝑐 = 𝑚𝑓
Or, si nous considérons un électron, aujourd’hui, nous savons que sa trajectoire n’est pas circulaire autour du
noyau ; il y a donc des effets Vialle qui peuvent intervenir à cause de cette trajectoire. Ces effets permettraient
de garder l’électron dans un domaine de probabilité de trajectoire comme le dit la physique quantique, mais
aussi expliqueraient pourquoi il y a libération d’une énergie (photon) quand il y a perturbation de cette trajec-
toire.
Nous pouvons voir que l’effet Vialle, en fait se partage en 2 effets : un effet mécanique et un effet électroma-
gnétique.
Toutefois, comme 𝑚𝑓é est lié à 𝑚𝑓𝑝 avec un coefficient de forme et comme 𝑚𝑓𝑝 est une sphère, puisque c’est
une particule énergétique, alors l’électron n’est pas forcément sphérique.
Quand on résonne sur une particule de fluide, nous déterminons la force de poussée de la sphère d’expansion
𝐹𝑅 = 𝑚𝑓 ⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗𝑂′ ∧ 𝐵
𝐷0′′ + 𝑚𝑓 𝐷′𝐸⃗ + 𝑚𝑓 𝐷′𝐷 ⃗
Cette force, qui pousse vers l’extérieur est aussi en rotation sur elle-même
De cette équation beaucoup de conséquence :
D’ est une vitesse scalaire tangentielle qui fait tourner la particule de fluide à vitesse constante, ce qui
permet de rendre la force de poussée totalement homogène
𝐷𝑝′ = √𝑓4𝜋𝜀0 𝐺 = 1,2380. 10−11 𝑚⁄𝑠
Mais comme nous avons une analogie entre particule de fluide et électron, alors, D’ est aussi une
vitesse scalaire tangentielle qui agit sur l’électron
𝐷é′ = √4𝜋𝜀0 𝐺 = 8,6172. 10−11 𝑚⁄𝑠
Qui donnera une rotation constante d’un électron (c’est-à-dire le spin) puisque tous les électrons sont
identiques
𝑁é = 4866,9348 𝑡𝑟/𝑠
Comme D’ est un scalaire, son orientation peut être quelconque, mais dans un plan (π) défini par le
champ 𝐸⃗ - 𝐵⃗ ; ce qui donne une explication au spin up et spin down du couple d’électrons.
Simplification du système international de mesure ; le système MKSA se simplifie en MS.
Le transfert d’unité sur les équations permet de voir ce qui rentre en jeu
e FR
Quand nous appliquons à une particule de fluide (𝑚𝑓𝑝 ), nous n’avons aucune limitation sur la poussée de cette
force. C’est ainsi que nous pouvons en déduire que le fluide est omniprésent. Il se trouve à l’intérieur de la
sphère, mais aussi à l’extérieur. Il se trouve dans les 2 univers et se translate d’un univers à l’autre sans aucuns
soucis. Il n’est pas matériel, mais il a des conséquences sur la matière.
Par contre quand nous appliquons à l’électron (𝑚𝑓é ), nous avons une limitation électromagnétique qui est le
proton. Il va donc y avoir une zone où l’électron devrait être en équilibre qui sera déterminé par une équation
différentielle.
Comme la vitesse D’ est constante, cela veut dire que la sphère d’expansion qui lui est associé (particule de
fluide ou électron) est constante dans le temps. Mais cela veut dire, aussi, que 𝑚𝑓𝑝 ou 𝑚𝑓é sont des « masses »
origines (ou élémentaires).
Pour que la sphère 𝑅𝑚𝑓 existe, il faut une masse origine (𝑚1 ) qui se transformera en masse équivalente (𝑚𝑓𝑝
ou 𝑚𝑓é ) en fin de phase. Nous avons le même comportement qu’un circuit LC.
2 4 3
6𝜋𝜀0 𝑅𝑚 1 3
𝜋𝑅(𝑡)
𝑚1 =
𝐺
Les conséquences sont extraordinaires puisque cette sphère énergétique est l’énergie de l’énergie, elle est
inépuisable et elle se reconstitue éternellement. En d’autre terme la m1 est la quantité de charge électrique
stockée dans la particule de fluide.
Mais comme cette sphère est en rotation sur la périphérie d’une autre sphère, nous devons appliquer un coef-
ficient de forme. Et quand nous revenons sur l’électron, nous avons différents rayons de portée maximum de
la sphère énergétique en fonction du nombre quantique principal d’un électron :
𝑛 = 1 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝐾 = 0,11678954321804876653031370279005
𝑅𝑚𝑓𝑔1 = √𝐾𝑅𝑚𝑓 = 0,00273088738562222814537485194391 𝑚
𝑛 = 2 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝐾 = 0,2335790864360975330606274055801
𝑅𝑚𝑓𝑔2 = √𝐾𝑅𝑚𝑓 = 0,00386205797806055941425786453672 𝑚
𝑛 = 3 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝐾 = 0,35036862965414629959094110837015
𝑅𝑚𝑓𝑔3 = √𝐾𝑅𝑚𝑓 = 0,00473003570164664028119564245553 𝑚
𝑛 = 4 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝐾 = 0,4671581728721950661212548111602
𝑅𝑚𝑓𝑔4 = √𝐾𝑅𝑚𝑓 = 0,00546177477124445629074970388781 𝑚
𝑛 = 5 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝐾 = 0,58394771609024383265156851395024
𝑅𝑚𝑓𝑔5 = √𝐾𝑅𝑚𝑓 = 0,00610644983314798395264858247897 𝑚
𝑛 = 6 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝐾 = 0,70073725930829259918188221674029
𝑅𝑚𝑓𝑔6 = √𝐾𝑅𝑚𝑓 = 0,00668928063977761731834195435778 𝑚
Les conséquences sont que l’électron est un objet ovoïde quand il est dans l’environnement de l’atome. Par
contre il peut être parfaitement sphérique quand il est libre.
(Ce coefficient de forme a une grande importance car il interviendra également, quand nous changeons de système : par
exemple (particule électron – sphère énergétique). Sa manipulation m’échappe un peu et les erreurs pourront être vite
cumulables.)
Comme nous avons un comportement d’un circuit LC, nous pouvons calculer la fréquence de chaque couche
1 1
𝑓é =
2𝜋
√𝑅𝑚𝑓𝑔 𝜇0 𝑚𝑓𝑝
𝑛=1 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑅𝑚𝑓𝑔1 = 0,00273088738562222814537485194391 𝑚
𝑓é1 = 23881922,983641194586874915284778 𝐻𝑧 𝑠𝑜𝑖𝑡 23,881 𝑀𝐻𝑧
𝑛 = 2 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑅𝑚𝑓𝑔2 = 0,00386205797806055941425786453672 𝑚
𝑓é2 = 20082223,426309175350919580703225 𝐻𝑧 𝑠𝑜𝑖𝑡 20,082 𝑀𝐻𝑧
𝑛 = 3 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑅𝑚𝑓𝑔3 = 0,00473003570164664028119564245553 𝑚
𝑓é3 = 18146337,324953533915214398933977 𝐻𝑧 𝑠𝑜𝑖𝑡 18,146 𝑀𝐻𝑧
𝑛 = 4 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑅𝑚𝑓𝑔4 = 0,00546177477124445629074970388781 𝑚
𝑓é4 = 16887069,689507554373849637735481 𝐻𝑧 𝑠𝑜𝑖𝑡 16,887 𝑀𝐻𝑧
𝑛 = 5 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑅𝑚𝑓𝑔5 = 0,00610644983314798395264858247897 𝑚
𝑓é5 = 15970804,459503635071726151372387 𝐻𝑧 𝑠𝑜𝑖𝑡 15,971 𝑀𝐻𝑧
𝑛 = 6 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑅𝑚𝑓𝑔6 = 0,00668928063977761731834195435778 𝑚
𝑓é6 = 15259190,006538106392973943764628 𝐻𝑧 𝑠𝑜𝑖𝑡 15,259 𝑀𝐻𝑧
Maintenant que nous avons calculé la fréquence d’un électron, nous nous intéresserons à sa trajectoire, et nous
remarquons que l’électron est en déséquilibre relativiste en permanence. Ainsi nous trouvons l’équation dif-
férentielle qui tracera la trajectoire de l’électron :
𝑉0
∆𝛾 + ∆𝑉 + 𝜔é2 ∆𝑅 = 0
𝑅𝑎𝑚
C’est dans cette équation que nous ferons intervenir les acquis de la physique quantique pour le calcul de 𝑅𝑎𝑚
Nous tiendrons compte des couches et sous couches quantiques pour étudier la trajectoire d’un électron spé-
cifique.
Chaque constante (𝑅𝑎𝑚 , 𝑉0 𝑒𝑡 𝜔é ) étant définie et calculée pour un électron en particulier ou pour un ensemble
d’électrons, nous pouvons calculer la solution de l’équation différentielle qui donne la trajectoire de l’électron.
Cette trajectoire est le plus souvent en régime pseudopériodique
𝑉0𝑛
𝜆𝑛 = < 𝜔 é𝑛
2𝑅𝑎𝑛
Et dans ce cas, la solution est
∆𝑅(0) −𝜆𝑡
∆𝑅(𝑡) = 𝑒 cos(𝜔1 𝑡 + 𝜑)
𝑐𝑜𝑠𝜑
Chaque variable calculée, nous obtenons ce type de trajectoire
Or, pour être en accord avec les ondes de Broglie, il faut une répétition de cette oscillation.
Cette répétition peut venir du déséquilibre relativiste des forces qui agissent sur l’électron, mais l’action qui
permettra ceci, sera un glissement de l’origine temporelle qui agira comme un interrupteur
Mais comme le comportement de l’électron est déduit de la théorie de RV qui dans ce cas, est la transformation
de la masse 𝑚1 en 𝑚𝑓 , nous avons la théorie qui s’applique sur des masses énergétiques avec des sphères
énergétiques.
L’idée géniale de RV est de transposer toutes ces sphères contenue dans les sphères du système solaire et plus
particulièrement dans la bulle d’expansion du système solaire 𝑅0∑𝑠𝑜𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒 . Ainsi nous trouvons un signal carré
qui est du à la somme de toutes les pulsations 𝜔0 des 𝑅0 de tous les électrons, grâce aux séries de Fourier.
Ainsi, pour l’univers 1
∞
𝑎 2𝑎 1
𝑓 (𝑡 ) = + ∑ sin[(2𝑛 + 1)𝜔𝑡]
2 𝜋 (2𝑛 + 1)
𝑛=0
Et pour l’univers 2
∞
𝑎 2𝑎 1
𝑓 (𝑡 ) = − + ∑ sin[(2𝑛 + 1)𝜔𝑡]
2 𝜋 (2𝑛 + 1)
𝑛=0
Le signal qui en découlera sera fonction de l’univers considéré
Univers 1
Univers 2
Ce signal carré est la pulsation de tous les électrons contenu dans le système solaire.
Pour différentier les univers, nous passerons par la dérivée de ce signal qui sera une vitesse contenue dans le
𝑅0∑𝑠𝑜𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒 , donc supérieur à la vitesse de la lumière.
Cette dérivée donne la forme d’un signal impulsionnel de la forme impulsion de Dirac
Pour pouvoir calculer une fréquence à ce signal carré, nous revenons dans un raisonnement à l’intérieur de la
bulle d’expansion du système solaire pour trouver
𝑓0𝑚𝑜𝑦 = 89,802 Khz
Quand nous re-transposons cette fréquence qui sert de « top » à l’électron, nous nous apercevons que tous les
électrons ne vibrent pratiquement plus
en cours de développement
Cette analyse sera le domaine, déjà bien entamé, de l’expérimentation. Il faut, par des expériences menées
proprement, prouver la véracité des équations. Cette étape n’est pas chose aisée, car cela demande de l’ima-
gination, du matériel et des moyens financiers.
Jusqu’à maintenant nous sommes en mode « bricolage » mais, en plus des « chercheurs amateurs » (comme
je les ai baptisé), nous avons espoir d’intéresser des laboratoires de physiques.
Nous avons espoir que la décision, prise dans les années 1985, n’est qu’une erreur et une incompréhension de
cette théorie et qu’enfin des scientifiques vont se pencher sur le potentiel inimaginable de cette grande réserve
d’eau inépuisable ; parce que le temps presse !
En effet, une information de très grande importance est passée presque inaperçue dans les grands médias :
Le 08 Août 2016, la Terre (plutôt les terriens) aura consommée la totalité de ce qu’elle peut produire en 1 an !
En d’autres termes, la Terre vit à crédit sur 2017 : question primordiale :
Quel est la planète Banque pour négocier des agios ?
Je vous laisse méditer sur cette question !
Dans les années 70 – 80, nous avions peur que les terriens s’autodétruisent avec cette course effrénée à l’ar-
mement ; c’était qui avait le plus de têtes nucléaires (nous avons de quoi faire exploser la terre plusieurs fois :
c’est complètement idiot !).
Aujourd’hui ce n’est même plus la peine de craindre cette autodestruction ; les terriens sont comme des crus-
tacés dans une marmite d’eau froide : ils sont bien ! Ensuite on monte en température : et ils sont toujours
bien, ils n’ont même pas envie d’en sortir. Pourtant ce serait si simple en s’aidant mutuellement. C’est pour-
quoi, pour que l’agonie dure moins longtemps, on les plonge dans un bouillon en ébullition !
Par contre si vous vous sentez bien dans votre marmite, faites passer ce mémo à un autre crustacé, car pour
vous, il n’est d’aucune utilité !
Nous avons, par l’intermédiaire de cette théorie, accès à une énergie inépuisable : le Ploutos !
Il faut apprendre à l’apprivoiser et à l’utiliser à bon escient, car, nous ne pouvons pas faire n’importe quoi
avec cette énergie. Elle vient d’un autre univers et notre existence en dépend. Il faut la respecter !
Je rappelle cette énergie est partout : de l’électron au fin fond de l’univers et au-delà puisqu’elle boucle 2
univers.
Nous avons vu son potentiel d’antigravitation, d’énergie oscillatoire en onde de torsion et le potentiel de sa
distorsion temporelle. Je passe sur le transfert d’univers à des vitesses superluminiques …
Maintenant, donnons-nous les moyens de travailler intelligemment. Travaillons avec sagesse si vous le per-
mettez et travaillons en unissant nos efforts et nos idées. Travaillons en cerveau collectif.
Pour tout complément d’informations, pour toutes questions, pour toutes idées, pour toutes suggestions ou
corrections … n’hésitez pas à me contacter : [email protected]
Annexes
http://fr.mt.com/fr/fr/home/products/Laboratory_Weighing_Solu-
tions/Analytical/XPE_Analytical_Balance.html
Précision 0,1 mg
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𝑢 ′
Dérivons (2) pour chercher une accélération de la forme (𝑢. 𝑣)′ = 𝑢′ . 𝑣 + 𝑢. 𝑣 ′,(𝑎𝑢𝑛 )′ = 𝑎𝑛𝑢𝑛−1 𝑢′ et (𝑣 ) =
𝑢′ .𝑣−𝑢.𝑣 ′
𝑣2
À partir de (2)
′ ′
𝐷 ′′𝐷 2 − 𝐷 ′2𝐷𝐷 ′
2 ′′
4𝜋2𝑅𝑅 𝑅 + 4𝜋𝑅 𝑅 = −𝐾 [ ]
𝐷4
Simplification
−𝐾 𝐷 ′′ 2𝐷 ′2 2𝐾 𝐷 ′2
𝑅2 𝑅′′ = [ 2 − 3 ]−
4𝜋 𝐷 𝐷 3.4𝜋 𝐷 3
−𝐾
Mise en facteur avec 4𝜋 et rassemblement des dénominateurs communs
2 ′′
−𝐾 𝐷 ′′ 6𝐷 ′2 2𝐷 ′2
𝑅 𝑅 = [ − + ]
4𝜋 𝐷 2 3𝐷 3 3𝐷 3
Simplification
𝐷 ′′ 4𝐷 ′2
𝑅2 𝑅′′ = −𝐾 [ − ]
4𝜋𝐷 2 3.4𝜋𝐷 3
Simplification
2 ′′
𝐷 ′′ 𝐷 ′2
𝑅 𝑅 = −𝐾 [ − ]
4𝜋𝐷 2 3𝜋𝐷 3
Pour arriver au résultat final
𝐷 ′′ 𝐷 ′2
[ 2 − ]
4𝜋𝐷 3𝜋𝐷 3
𝑅′′ = −𝐾
𝑅2
En faisant réapparaître le facteur temps
′′ ′2
𝐷(𝑡) 𝐷(𝑡)
[ 2 − 3 ]
4𝜋𝐷(𝑡) 3𝜋𝐷(𝑡)
′′
𝑅(𝑡) = −𝐾 2
𝑅(𝑡)
Pour le moment, nous n’avons pas d’unité, nous ne pouvons pas encore vérifier l’homogénéité de cette équa-
tion !
Retour au texte
Ceci est le carré de la vitesse d'expansion de la sphère R (t). Mais il est cependant important de noter que nous
n’avons intégré qu'un seul paramètre fonction du temps parce qu’il y a une différence de dimension ; en faisant
cette écriture, nous avons considéré la masse énergétique M (D) constante. La M(D) ne varie qu'en fonction de
la variation de D(t). Bien sûr si D(t) varie, la sphère varie aussi.
Cela veut dire que si nous rendons la masse M(D) variable avec le temps, en agissant sur l'espace fluidique D (t),
on modifie l'accélération et non le volume de masse !
Une autre remarque importante ; les énergies R(t) et D(t) se modifie en permanence avec le temps, donc, si on
laisse ces énergies évoluer naturellement, alors 𝑀(𝐷) = 𝑚0 mais si on modifie l'énergie de D(t), on modifiera
R(t), mais cette modification sera différente de l'évolution naturelle, et dans ce cas 𝑀(𝐷) ≠ 𝑚0 .
Côté unités : M(D) est une masse énergétique, mais cela reste une masse en Kg et R (t) est un rayon de sphère
énergétique, il sera donc en m.
1⁄2
𝑚3 𝑚3
𝐾𝑔 ( ) 𝐾𝑔1⁄2 𝑚3⁄2 𝐾𝑔1⁄2 𝑚3⁄2−1⁄2
𝑅′ = √
𝐾𝑔𝑠2 𝐾𝑔𝑠2 𝑚
= = 𝐾𝑔1⁄2 𝑠2⁄2 𝑚1⁄2 = = c'est une vitesse
𝑚 𝑚1⁄2 𝑠 𝑠
Comme il y a une vitesse qu'on ne peut pas atteindre en physique conventionnelle, c'est la vitesse de la lumière,
′
alors à vitesse critique, quand v tend vers c, on peut dire que 𝑅(𝑡) = 𝑐, 𝑀(𝐷) = 𝑚0 et 𝑅(𝑡) = 𝑅0 d’où
2𝐺𝑚0
𝑅0 =
𝑐2
Cela veut dire que pour une vitesse limite (qui ne peut pas être dépassée), nous avons un rayon critique de la
sphère. Ce rayon critique devient le rayon d’une sphère origine que l’on a appelé « bulle d’expansion ».
Et à ce R0 correspondra un D0 (dimension fluidique à l'origine)
4 3𝐺 2𝐺𝑚
Comme 3 𝜋𝑅03 . 𝐷0 = 𝐺 alors 𝐷0 = 4𝜋𝑅3 avec 𝑅0 = 𝑐 2 0 Donc
0
3𝐺𝑐 6
𝐷0 =
4𝜋8𝐺 3 𝑚03
Simplification
3𝑐 6
𝐷0 =
32𝜋𝐺 2 𝑚03
𝑚6
𝑠6 𝑚6 𝐾𝑔2 𝑠4 1
Du côté unité 𝐷0 = 2 = = = 𝐾𝑔−1 𝑠 −2
𝑚3 𝑠 6 𝑚6 𝐾𝑔3 𝑠 2𝐾𝑔
( 2 ) 𝐾𝑔3
𝐾𝑔𝑠
Et voici le « mksA » (unité de système international = mètre, kilo, seconde, Ampère) de D
J'ai proposé de le baptiser le « Vialle » (comme on utilise le « Hertz » ou le « Tesla » …)
Si on calcule le R0 de la terre :
En prenant c = 299792458 m/s
G = 6,67384.10-11 m3/kg.s²
MT = 5,9722.1024 kg
2𝑥6,67384.10−11𝑥5,9722.1024
On trouve un 𝑅0 = = 0,00886949153472894058740103743435 𝑚 = 9 mm !!!
2997924582
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Réécriture
1
′
𝑅(𝑡) 𝑅(𝑡) 2 = √2𝐺𝑚0
En intégrant pour extraire R(t)
Nous sommes obligés de prendre la masse au repos, puisque la vitesse d'expansion R'(t) est calculée pour une
masse m0
Et le temps doit être commun à toutes les dimensions ; nous l'appellerons temps cosmologique Tc
𝑢𝑛+1
de la forme ∫ 𝑢′𝑢𝑛 → 𝑛+1 et ∫ k par rapport au temps donne kt + c
On obtient (on appelle A : la constante d'intégration)
1
𝑅2+1
= √2𝐺𝑚0 𝑇𝑐 + 𝐴
1
+ 1
2
Arrangement des fractions
2 3
𝑅2 = (√2𝐺𝑚0 𝑇𝑐 + 𝐴)
3
Isolement du R
3 3
𝑅 2 = (√2𝐺𝑚0 𝑇𝑐 + 𝐴)
2
Réapparition du R³ en mettant 3 à l’intérieur des parenthèses
3 1 2
𝑅(𝑡) = (3√2𝐺𝑚0 𝑇𝑐 + 3A)
4
2 1 2 3 2
3 3 3 3 3 2
3 𝑚3 𝑚3 2 𝑚2
Côté unités 𝑅 = (√𝐾𝑔𝑠 2 𝐾𝑔. 𝑠 + 𝑚 ) = (( 𝑠 2 ) . 𝑠 + 𝑚 ) = (
2 2 2 . 𝑠 + 𝑚 ) = (𝑚2 + 𝑚2 ) = 𝑚3 c'est
2
𝑠2
bien un volume
3
0 √18𝐺𝑚
De la forme (𝑎𝑥 + 𝑏)2 = 𝑎2 𝑥 2 + 2abx + 𝑏2 avec 𝑎 = et 𝑏 = 𝑅02
2
Développement
Après simplification
3
3 1
𝑅(𝑡) = 9𝐺𝑚0 𝑇𝑐 + √18𝐺𝑚0 𝑅02 𝑇𝑐 + 𝑅03 (1)
2
2
1
Et c’est de la forme 2 𝛾𝑡 2 + 𝑣0 𝑡 + 𝑥0 qui est l’équation d'un Mouvement Rectiligne Uniforme Accéléré en
physique Newtonienne
Sous cette forme les unités sont intéressantes
3
avec 𝛾 = 9𝐺𝑚0 , 𝑣0 = √18𝐺𝑚0 𝑅0 = 3𝑅0 √2𝐺𝑚0 𝑅0 car √𝑎√𝑏 = √𝑎𝑏 et 𝑥0 = 𝑅03
2
Nous devrions avoir une accélération en m.s-2, une vitesse en m.s-1 et une distance en m
𝛾 = 9𝐺𝑚0 = m3.Kg-1.s-2 . Kg = m3.s-2
𝐺 2 𝑚20
𝑣0 = 12 = (m3.Kg-1.s-2)2 . (Kg)2 . (m.s-1)-3 = m6.Kg-2.s-4 . Kg2 . m-3.s3 = m3.s-1
𝑐3
Et 𝑥0 = 𝑅03 =
m3
Cela veut dire que le comportement de la sphère est comme le comportement d’un élément sur une seule
dimension ; donc, la sphère a une expansion homogène dans tout son volume !
𝑚0 𝑚0 6𝐺𝑚0 4𝐺 2𝑚02 6𝐺𝑚0 2𝐺𝑚0
Si on remplace R0 par sa valeur, alors 𝑣0 = 3 ∗ 2𝐺 √2𝐺𝑚0 ∗ 2𝐺 = √ = ∗ =
𝑐2 𝑐2 𝑐2 𝑐2 𝑐2 𝑐
𝐺 2 𝑚2 2𝐺𝑚 3 𝐺 3 𝑚3
12 𝑐 3 0 et 𝑥0 = ( 𝑐 2 0 ) = 8 𝑐 6 0
Maintenant si on réinjecte dans (1)
3 1 12𝐺 2 𝑚02 8𝐺 3 𝑚03
𝑅(𝑡) = 9𝐺𝑚0 𝑇𝑐2 + 𝑇𝑐 +
2 𝑐3 𝑐6
Préparation pour mise en facteur
3 9 12𝐺 2 𝑚02 9⁄2 𝐺𝑚0 𝑇𝑐2 8𝐺 3 𝑚03 9⁄2 𝐺𝑚0 𝑇𝑐2
𝑅(𝑡) = 𝐺𝑚0 𝑇𝑐2 + ( ) 𝑇𝑐 +
2 𝑐 3 9⁄2 𝐺𝑚0 𝑇𝑐2 𝑐 6 9⁄2 𝐺𝑚0 𝑇𝑐2
Mise en facteur
3 9 2
12𝐺 2 𝑚02 8𝐺 3 𝑚03
𝑅(𝑡) = 𝐺𝑚0 𝑇𝑐 (1 + 3 𝑇 + )
2 𝑐 9⁄2 𝐺𝑚0 𝑇𝑐2 𝑐 𝑐 6 9⁄2 𝐺𝑚0 𝑇𝑐2
Simplification
3 9 4𝐺𝑚0 16𝐺 2 𝑚02
𝑅(𝑡) = 𝐺𝑚0 𝑇𝑐2 (1 + 2 3 + )
2 3𝑐 𝑇𝑐 9𝑐 6 𝑇𝑐2
4𝐺𝑚0
entre ( ) de la forme 𝑎2 + 2𝑎𝑏 + 𝑏 2 = (𝑎 + 𝑏)2 avec 𝑎 = 1 et 𝑏 = 3𝑐 3 𝑇𝑐
Factorisation
3 9 2 (1
4𝐺𝑚0 2
𝑅(𝑡) = 𝐺𝑚0 𝑇𝑐 + 3 )
2 3𝑐 𝑇𝑐
4𝐺𝑚 2
A notre échelle, (1 + 3𝑐 3 𝑇0 ) = (1 + (4 ∗ 6,67384. 10−11 ∗ 1)⁄(3 ∗ 2997924583 ))2 = 1 en prenant une
𝑐
masse de 1 kg pour un temps de 1 s (attention toujours temps cosmologique), donc
3 9
𝑅(𝑡) = 𝐺𝑚0 𝑇𝑐2
2
15
10
0
Tc
-10
-15
R3
−𝑏 1−∆ −1+∆
A partir d’une équation 𝑦 = 𝑎𝑥 2 + 𝑏𝑥 + 𝑐 on détermine foyer 𝐹 = ( 2𝑎 ; ) et la droite directrice 𝑦 =
4𝑎 4𝑎
avec ∆= 𝑏2 − 4𝑎𝑐
122 𝐺 4 𝑚4 72𝐺 4 𝑚4
∆= − 2
𝑐6 𝑐6
Simplification
144𝐺 4 𝑚4 144𝐺 4 𝑚4
∆= − =0
𝑐6 𝑐6
Donc
1−∆ 1
=
4𝑎 18𝐺𝑚
Dans ce cas le Foyer pour l’équation générale
−4𝐺𝑚 1
𝐹=( 3
; )
3𝑐 18𝐺𝑚
Le foyer pour l’équation simplifiée
1
𝐹 = (0 ; )
18𝐺𝑚
Et la droite directrice
1
𝑦= −
18𝐺𝑚
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9 12𝐺 2 𝑚2 8𝐺 3 𝑚3
de la forme 𝑎𝑥 2 + 𝑏𝑥 + 𝑐 = 0 avec 𝑎 = 2 𝐺𝑚0 , 𝑏 = 𝑐 3 0 et 𝑐 = 𝑐 6 0
calcul du 𝛥 = 𝑏2 − 4𝑎𝑐
122 𝐺 4 𝑚04 9 8𝐺 3 𝑚03
𝛥= − 4 ( 𝐺𝑚0 )
𝑐6 2 𝑐6
simplification
144𝐺 4 𝑚04 72𝐺 4 𝑚04
𝛥= − 2 ( )=0
𝑐6 𝑐6
𝑏
Solution double 𝑥 = − 2𝑎
12𝐺 2 𝑚02
𝑇𝑐 = − 𝑐3
9
2 2 𝐺𝑚0
Simplification
12𝐺 2 𝑚02
𝑇𝑐 = −
9𝐺𝑚0 𝑐 3
Simplification
4𝐺𝑚0
𝑇𝑐 = −
3𝑐 3
3 8𝐺 3𝑚03
Si 𝑇𝑐 = 0, alors 𝑅(𝑡) =
𝑐6
Racine cubique
2𝐺𝑚0
𝑅(𝑡) = = 𝑅0
𝑐2
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−1 2𝐺𝑚0 𝜋 𝜋
𝐷(𝑡) = (3√ 𝑇𝑐 + 3𝐴√ )
3𝐺 3𝐺
Enlèvement des carrés et simplification
1
− 2𝜋𝑚0 𝜋
𝐷(𝑡)2 = 3√ 𝑇𝑐 + 3𝐴√
3 3𝐺
Simplification
1
− 3𝐴2 𝜋
𝐷(𝑡)2 = √6𝜋𝑚0 𝑇𝑐 + √
𝐺
′′ ′2 ′′
𝐷(𝑡) 𝐷(𝑡) 𝐷(𝑡)
A partir de la « masse énergétique » [4𝜋𝐷2 − 3𝜋𝐷3 ] = 𝑀(𝐷) on déduit 𝐷2
(𝑡) (𝑡) (𝑡)
Mais pour cela, il faudra respecter la condition qui a été posée en annexe 2 : 𝑀(𝐷) = 𝑚0 dans le cas général
Remplacement des valeurs
′′
𝐷(𝑡) 24𝜋𝑚0
𝑀(𝐷) = 2 −
4𝜋𝐷(𝑡) 3𝜋
Simplification
′′
𝐷(𝑡)
2 = 𝑚0 + 8𝑚0 = 9𝑚0
4𝜋𝐷(𝑡)
Donc
′′
𝐷(𝑡)
2 = 36𝜋𝑚0
𝐷(𝑡)
1 1 ′′
𝐷′′ 𝑠4 𝐾𝑔 𝑠4 𝐾𝑔 𝑠 4 𝐾𝑔2 𝐷(𝑡) 𝐷 ′2 (𝑡)
Côté unité = 2 = 1 = = 𝐾𝑔 donc − 3𝜋𝐷3 = 𝑀(𝐷) a bien la dimension d'une
𝐷2 1 𝑠 4𝐾𝑔 4𝜋𝐷2 (𝑡) (𝑡)
(2 ) 𝑠4 𝐾𝑔2
𝑠 𝐾𝑔
masse
A partir de là, pour pouvoir intégrer (on multiplie par D(t)' de chaque côté)
On peut écrire
′′ ′ ′ 2
𝐷(𝑡) 𝐷(𝑡) = 36𝜋𝑚0 𝐷(𝑡) 𝐷(𝑡)
1 2 𝑢𝑛+1
de la forme ∫ 𝑢′′𝑢′ → 2 𝑢′ et ∫ 𝑢′ 𝑢𝑛 → 𝑛+1
Intégration
3
1 ′2 𝐷(𝑡)
𝐷(𝑡) = 36𝜋𝑚0
2 3
Simplification
′2 3
𝐷(𝑡) = 24𝜋𝑚0 𝐷(𝑡)
′2
𝐷(𝑡)
Au passage, on vérifie 𝐷3 = 24𝜋𝑚0
(𝑡)
Simplification
1 2
−1 −
𝐷(𝑡) = (√6𝜋𝑚0 𝑇𝑐 + 𝐷0 2 )
−1
2 2 2 2 2
De la forme (𝑎𝑥 + 𝑏) = 𝑎 𝑥 + 2abx + 𝑏 avec 𝑎 = √6𝜋𝑚0 et 𝑏 = 𝐷0
1
−1 −
𝐷(𝑡) = 6𝜋𝑚0 𝑇𝑐2 + 2√6𝜋𝑚0 𝐷0 2𝑇𝑐 + 𝐷0−1
3𝑐 6
Or 𝐷0 = 32𝜋𝐺 2 𝑚3 donc
0
1
− −1
−1
1 3𝑐 6 2 3𝑐 6
𝐷(𝑡) = 6𝜋𝑚0 𝑇𝑐2 + 2(6𝜋𝑚0 )2 ( ) 𝑇𝑐 + ( )
32𝜋𝐺 2 𝑚03 32𝜋𝐺 2 𝑚03
1 1 1
On sait que (3𝑐 6 )2 = 32 (𝑐 6 )2 = √3𝑐 3
1 1 1 1 1 1 1 1
Et (32𝜋𝐺 2 𝑚03 )2 = 322 𝜋 2 (𝐺 2 )2 (𝑚03 )2 = 4(2)2 𝜋 2 𝐺𝑚0 𝑚02 = 4𝐺𝑚0 √2𝜋𝑚0
Donc
−1
4𝐺𝑚0 √2𝜋𝑚0 32𝜋𝐺 2 𝑚03
𝐷(𝑡) = 6𝜋𝑚0 𝑇𝑐2 + 2√6𝜋𝑚0 ( ) 𝑇𝑐 + ( )
√3𝑐 3 3𝑐 6
Simplification
−1
2√3√2𝜋𝑚0 4𝐺𝑚0 √2𝜋𝑚0 32𝜋𝐺 2 𝑚03
𝐷(𝑡) = 6𝜋𝑚0 𝑇𝑐2 + 𝑇𝑐 +
√3𝑐 3 3𝑐 6
Simplification
−1 2
16𝜋𝐺𝑚02 32𝜋𝐺 2 𝑚03
𝐷(𝑡) = 6𝜋𝑚0 𝑇𝑐 + 𝑇𝑐 +
𝑐3 3𝑐 6
Mise en facteur
−1 2
16𝜋𝐺𝑚02 32𝜋𝐺 2 𝑚03
𝐷(𝑡) = 6𝜋𝑚0 𝑇𝑐 (1 + 3 𝑇 + )
𝑐 6𝜋𝑚0 𝑇𝑐2 𝑐 3𝑐 6 6𝜋𝑚0 𝑇𝑐2
Simplification
−1 8𝐺𝑚0 16𝐺 2 𝑚02
𝐷(𝑡) = 6𝜋𝑚0 𝑇𝑐2 (1 + 3 + )
3𝑐 𝑇𝑐 9𝑐 6 𝑇𝑐2
4𝐺𝑚0
Arrangement pour mettre à la forme a² + 2ab + b² = (a+b)² avec 𝑎 = 1 et 𝑏 = 3𝑐 3 𝑇𝑐
−1 4 𝐺𝑚0 4 𝐺𝑚0 2
𝐷(𝑡) = 6𝜋𝑚0 𝑇𝑐2 [1 + 2 + ( ) ]
3 𝑐 3 𝑇𝑐 3 𝑐 3 𝑇𝑐
Donc
1
𝐷(𝑡) =
4𝐺𝑚0 2
6𝜋𝑚0 𝑇𝑐2 (1 + )
3𝑐 3 𝑇𝑐
Représentation de la rétraction de D
1,5
0,5
0
0,00E+00 1,00E+00 2,00E+00 3,00E+00 4,00E+00 5,00E+00 6,00E+00
-0,5
-1
-1,5
−1 32𝜋𝐺 2 𝑚03
𝐷(𝑡) =
3𝑐 6
Donc
𝐷(𝑡) = 𝐷0
4𝐺𝑚0
2ème 𝑇𝑐 = − 3𝑐 3
−1 16𝜋𝐺𝑚02 32𝜋𝐺 2 𝑚03
𝐷(𝑡) = 6𝜋𝑚0 𝑇𝑐2 + 𝑇𝑐 +
𝑐3 3𝑐 6
Remplacement des temps cosmologiques
−1 4𝐺𝑚0 2 16𝜋𝐺𝑚02 4𝐺𝑚0 32𝜋𝐺 2 𝑚03
𝐷(𝑡) = 6𝜋𝑚0 (− ) + (− ) +
3𝑐 3 𝑐3 3𝑐 3 3𝑐 6
Développement
−1 16𝐺 2 𝑚02 64𝜋𝐺 2 𝑚03 32𝜋𝐺 2 𝑚03
𝐷(𝑡) = 6𝜋𝑚0 − +
9𝑐 6 3c6 3𝑐 6
Développement simplification et mise sous même dénominateur
−1 32𝜋𝐺 2 𝑚03 64𝜋𝐺 2 𝑚03 32𝜋𝐺 2 𝑚03
𝐷(𝑡) = − +
3𝑐 6 3c6 3𝑐 6
Simplification
−1
𝐷(𝑡) =0
Donc
𝐷(𝑡) = ∞
3ème 𝑇𝑐 = 0
−1 16𝜋𝐺𝑚02 32𝜋𝐺 2 𝑚03
𝐷(𝑡) = 6𝜋𝑚0 𝑇𝑐2 + 𝑇𝑐 +
𝑐3 3𝑐 6
Remplacement des temps cosmologiques
−1 16𝜋𝐺𝑚02 32𝜋𝐺 2 𝑚03
𝐷(𝑡) = 6𝜋𝑚0 02 + 0 +
𝑐3 3𝑐 6
Simplification
−1 32𝜋𝐺 2 𝑚03
𝐷(𝑡) =
3𝑐 6
Donc
𝐷(𝑡) = 𝐷0
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Retour au texte
1 2
−1 −
A partir de 𝐷(𝑡) = (√6𝜋𝑚0 𝑇𝑐 + 𝐷0 2 ) on peut dire
Enlèvement du carré
1 1
− −
𝐷(𝑡)2 = √6𝜋𝑚0 𝑇𝑐 + 𝐷0 2
Rassemblement des D
1 1
− −
𝐷(𝑡)2 − 𝐷0 2 = √6𝜋𝑚0 𝑇𝑐
Réécriture
1 1
− −
𝐷(𝑡)2 − 𝐷0 2
𝑇𝑐 =
√6𝜋𝑚0
Mise en facteur
1
2
𝐷(𝑡)
1
𝑇𝑐 = 1 (1 − 1 ) mais comme D0 est très grand devant D(t), alors ( ) = 1
2
𝐷(𝑡) 𝐷02
√6𝜋𝑚0
Et donc
1
𝑇𝑐 = 1
2
𝐷(𝑡) √6𝜋𝑚0
Vérification
3
2R2(𝑡) 1
𝑇𝑐 = = 1
3√2𝐺𝑚0 2
𝐷(𝑡) √6𝜋𝑚0
Réécriture
3 1
2 2
2R(𝑡) 𝐷(𝑡) √6𝜋𝑚0 = 3√2𝐺𝑚0
Réécriture
1
3
(𝑅(𝑡) 𝐷(𝑡) )2 2√6𝜋𝑚0 = 3√2𝐺𝑚0
Rassemblement des constantes
1 3√2𝐺𝑚0
3
(𝑅(𝑡) 𝐷(𝑡) )2 =
2√6𝜋𝑚0
Réécriture et simplification
1 3√2√𝐺
3
(𝑅(𝑡) 𝐷(𝑡) )2 =
2√6√𝜋
Réécriture avec les racines carrés
1 18𝐺
3
(𝑅(𝑡) 𝐷(𝑡) )2 = √
24𝜋
Simplification des puissances
3 3𝐺
𝑅(𝑡) 𝐷(𝑡) =
4𝜋
Réécriture
4𝜋 3
𝑅 𝐷 =𝐺
3 (𝑡) (𝑡)
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Du côté des unités, comme la cr est sans unité, on est toujours correct.
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4 3 𝛿𝐷 𝛿𝑄𝑣
𝜋𝑅 . =
3 𝛿𝑅 𝛿𝑅
𝐺 3𝐺
En partant de l'hypothèse de départ, on peut écrire 𝐷 = 4 3 = 4𝜋𝑅3
𝜋𝑅
3
𝑎 ′
Quand on dérive D on est sous la forme (𝑢𝑛 ) = (𝑎𝑢−𝑛 )′ = −𝑎𝑛𝑢−𝑛−1 𝑢′
Donc
3𝐺 −3−1
(𝐷)′ = 𝛿𝐷 = − 3𝑅 𝛿𝑅
4𝜋
Donc
𝛿𝐷 9𝐺
=−
𝛿𝑅 4𝜋𝑅4
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12𝐺2 𝑚2
0)
(9𝐺𝑚0 )𝑇𝑐 +(
𝑐3 4𝐺𝑚0 8𝐺𝑚0
𝑅′ = 3 possibilités : soit Tc = 0, 𝑇𝑐 = − ou 𝑇𝑐 = −
3𝑅2 3𝑐 3 3𝑐 3
1
9 12𝐺 2 𝑚20 8𝐺 3 𝑚30 3
Avec 𝑅 = (2 𝐺𝑚0 𝑇𝑐2 + 𝑇𝑐 + )
𝑐3 𝑐6
Première solution : Si Tc = 0
12𝐺 2 𝑚02
( )
′ 𝑐3
𝑅(0) =
3𝑅2
Remplacement de R
12𝐺 2 𝑚02
( )
′ 𝑐3
𝑅(0) = 2
8𝐺 3 𝑚03 3
3( )
𝑐6
Développement
2
′
(12𝐺 2 𝑚02 )(𝑐 6 )3
𝑅(0) = 2
𝑐 3 3(8𝐺 3 𝑚03 )3
Simplification car 8𝐺 3 𝑚03 = (2𝐺𝑚0 )3
′ 12𝐺 2 𝑚02 𝑐 4
𝑅(0) = 3
𝑐 3(2𝐺𝑚0 )2
Simplification et développement
′ 12𝐺 2 𝑚02 𝑐
𝑅(0) =
3(4𝐺 2 𝑚02 )
Simplification
′
𝑅(0) =𝑐
Ce qui correspond à la vitesse de la sphère dans l'univers 1 (notre univers) en limite de la bulle
4𝐺𝑚0
Deuxième solution : Si 𝑇𝑐 = − 3𝑐 3
4𝐺𝑚0 12𝐺 2 𝑚02
(9𝐺𝑚0 ) (− ) + ( )
′ 3𝑐 3 𝑐3
𝑅(𝑇0)
= 2
3𝑅(𝑇 0)
Et 𝑅(𝑇0 ) = 0 (déjà vu en annexe 4-1) donc
4𝐺𝑚0 12𝐺 2 𝑚02
(9𝐺𝑚0 ) (− 3 )+( )
′ 3𝑐 𝑐3
𝑅(𝑇0)
=
3(0)2
Simplification
4𝐺𝑚0 12𝐺 2 𝑚02
(3𝐺𝑚0 ) (− ) + ( )
′ 𝑐3 𝑐3
𝑅(𝑇0)
=
3(0)2
Développement
′ (9𝐺𝑚0 )
𝑅(𝑇0)
= 2
1
4𝐺𝑚0 −3 9 6𝐺 2 𝑚02 3
3 (𝑇𝑐 + ) ( 𝐺𝑚0 𝑇𝑐 + )
3𝑐 3 2 𝑐3
4𝐺𝑚0
En remplaçant avec 𝑇𝑐 = − 3𝑐3
′ (9𝐺𝑚0 )
lim𝑅(𝑡→𝑇0)
= = +∞
0
Cela veut dire, entre autre, que la vitesse de la lumière est franchissable
Elle peut même aller à l'infini ! Quand on est dans la bulle d'expansion
8𝐺𝑚0
Troisième solution : Si 𝑇𝑐 = − 3𝑐 3
8𝐺𝑚0 12𝐺 2 𝑚02
9𝐺𝑚0 (− ) + ( )
′ 3𝑐 3 𝑐3
𝑅(𝑇02 )
= 2
9 8𝐺𝑚0 2 12𝐺 2 𝑚02 8𝐺𝑚0 8𝐺 3 𝑚03 3
3 [2 𝐺𝑚0 (− ) + (− ) + ]
3𝑐 3 𝑐3 3𝑐 3 𝑐6
Développement
24𝐺 2 𝑚02 12𝐺 2 𝑚02
(− ) + ( )
′ 𝑐3 𝑐3
𝑅(𝑇02 )
= 2
9 64𝐺 2 𝑚02 96𝐺 3 𝑚03 8𝐺 3 𝑚03 3
3 [2 𝐺𝑚0 ( 6 )− + ]
9𝑐 3𝑐 6 𝑐6
Simplification
12𝐺 2 𝑚02
−
′
𝑅(𝑇 = 𝑐3
02 ) 2
32𝐺 3 𝑚03 32𝐺 3 𝑚03 8𝐺 3 𝑚03 3
3[ − + ]
𝑐6 𝑐6 𝑐6
Simplification
12𝐺 2 𝑚02
−
′
𝑅(𝑇 = 𝑐3
02 ) 2
(8𝐺 3 𝑚03 )3
3 2
(𝑐 6 )3
Simplification et réécriture
′ 12𝐺 2 𝑚02 𝑐 4
𝑅(𝑇02 )
=− 3 2 2
3𝑐 4𝐺 𝑚0
Simplification
′
𝑅(𝑇02 )
= −𝑐
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Première solution : Si Tc = 0
Quand Tc = 0 alors R = R0 et R' = c ; donc en remplaçant
′′ 3𝐺𝑚0 − 2𝑅0 𝑐 2
𝑅(0) =
𝑅02
2𝐺𝑚
Et en remplaçant 𝑅0 = 𝑐 2 0
2𝐺𝑚
3𝐺𝑚0 − 2 2 0 𝑐 2
′′
𝑅(0) = 𝑐
2𝐺𝑚0 2
( 2 )
𝑐
Simplification
′′ 3𝐺𝑚0 − 4𝐺𝑚0
𝑅(0) =
4𝐺 2 𝑚02
𝑐4
Simplification
′′ 𝑐4
𝑅(0) =−
4𝐺𝑚0
Ordre de grandeur
1
′′
𝑅(0) = −3,025. 1043 𝑚 m/s2
0
La décélération est énorme en limite de R0 dans l'univers 1
4𝐺𝑚
Deuxième solution : Si 𝑇𝑐 = − 3𝑐 30
Alors R = 0 et R' = +∞ ; donc en remplaçant dans
3𝐺𝑚0 − 2𝑅𝑅′2
𝑅′′ =
𝑅2
On se retrouve avec une forme indéterminée
′′
3𝐺𝑚0 − 2(0∞2 )
𝑅 =
02
1
2
4𝐺𝑚0 9 6𝐺 2 𝑚02 3 4𝐺𝑚0
3𝐺𝑚0 − 2 ([(𝑇𝑐 + ) ( 𝐺𝑚 𝑇
0 𝑐 + )] [(𝑇𝑐 + ) (9𝐺𝑚0 )] )
3𝑐 3 2 𝑐3 3𝑐 3
𝑅′′ = 2
4𝐺𝑚0 9 6𝐺 2 𝑚02 3
[(𝑇𝑐 + ) ( 𝐺𝑚 𝑇
0 𝑐 + )]
3𝑐 3 2 𝑐3
Réécriture
3𝐺𝑚0
𝑅′′ = 2
4𝐺𝑚0 9 6𝐺 2 𝑚02 3
[(𝑇𝑐 + ) ( 𝐺𝑚 𝑇
0 𝑐 + )]
3𝑐 3 2 𝑐3
1
2
4𝐺𝑚0 9 6𝐺 2 𝑚02 3 4𝐺𝑚0
2 ([(𝑇𝑐 + ) ( 𝐺𝑚 𝑇
0 𝑐 + )] [(𝑇𝑐 + ) (9𝐺𝑚0 )] )
3𝑐 3 2 𝑐3 3𝑐 3
− 2
4𝐺𝑚0 9 6𝐺 2 𝑚02 3
[(𝑇𝑐 + ) ( 𝐺𝑚 𝑇
0 𝑐 + )]
3𝑐 3 2 𝑐3
Simplification
2 1
4𝐺𝑚0 3 9 6𝐺 2 𝑚02 3
3𝐺𝑚0 2 (𝑇𝑐 + ) ( 𝐺𝑚0 𝑇𝑐 + ) (9𝐺𝑚0 )2
′′ 3𝑐 3 2 𝑐3
𝑅 = 2 − 2 2
4𝐺𝑚0 9 6𝐺 2 𝑚02 3 4𝐺𝑚0 3 9 6𝐺 2 𝑚02 3
[(𝑇𝑐 + ) (2 𝐺𝑚0 𝑇𝑐 + )] (𝑇𝑐 + ) (2 𝐺𝑚0 𝑇𝑐 + )
3𝑐 3 𝑐3 3𝑐 3 𝑐3
Simplification
3𝐺𝑚0 2(9𝐺𝑚0 )2
𝑅′′ = 2− 1
2
4𝐺𝑚0 3 9 6𝐺 2 𝑚02 3 9 6𝐺 2 𝑚02 3
(𝑇𝑐 + ) (2 𝐺𝑚0 𝑇𝑐 + ) ( 𝐺𝑚0 𝑇𝑐 + )
3𝑐 3 𝑐3 2 𝑐3
4𝐺𝑚0
Quand nous remplaçons 𝑇𝑐 = − 3𝑐 3
′′ 3𝐺𝑚0 2(9𝐺𝑚0 )2
𝑅 = 2 2 − 1 = ∞ − ∞ qui est encore une forme indéterminée
(0)3(0)3 (0)3
3𝐺𝑚0 1
𝑅′′ = 1 2 − 2(27𝐺𝑚0 )
2
9 6𝐺 2 𝑚02 3 (𝑇 4𝐺𝑚0 3 9 6𝐺 2 𝑚02
+ ) ( 𝐺𝑚0 𝑇𝑐 + )
[(2 𝐺𝑚0 𝑇𝑐 + 𝑐3
) ][ 𝑐 3𝑐 3 2 𝑐3 ]
4𝐺𝑚0
Quand nous remplaçons 𝑇𝑐 = − 3𝑐 3
3𝐺𝑚0 1
𝑅′′ = [ 1 ][ 2 − 54𝐺𝑚0 ] = [∞]. [∞] = ∞
(0)3 (0)3 (0)2
Mais le signe n'est pas parfaitement déterminer
8𝐺𝑚0 2𝐺𝑚0
Troisième solution : Si 𝑇𝑐 = − alors 𝑅 = 𝑅0 = et 𝑅′ = −𝑐
3𝑐 3 𝑐2
Donc
3𝐺𝑚0 − 2𝑅𝑅′2
𝑅′′ =
𝑅2
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Ou bien en développant
https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9veloppement_limit%C3%A9
𝛥𝑡 𝑣2 1
Si le rapport 𝑜𝑢 = le reste sera de 0,0299. Donc plus l’écart entre le numérateur et le dénominateur
𝑡0 𝑐2 10000
est grand, mieux sera la précision des simplifications
Si je calcule l’erreur pour un DL3, il faudrait un rapport entre le numérateur et le dénominateur 1/10000
Application numérique :
Prenons un t0 = 100 s et un Δt = 10 s (j’ai pris des valeurs de puissance de 10, pour voir l’erreur, que l’on
fait apparaître) et posons un DL3
∆𝑡 3 ∆𝑡 3 ∆𝑡
(𝑡0 − ∆𝑡)3 = [𝑡0 (1 − )] = 𝑡03 (1 − ) = 𝑡03 (1 − 3 )
𝑡0 𝑡0 𝑡0
10 3 10 3 10
(100 − 10)3 = [100 (1 − 3
)] = 100 (1 − ) = 1003 (1 − 3 )
100 100 100
729000 = 729000 = 729000 = 700000
Donc l’erreur est de 29000 pour un rapport de 1/10
Pour Δt = 1 s
∆𝑡 3 ∆𝑡 3 ∆𝑡
(𝑡0 − ∆𝑡)3 = [𝑡0 (1 − )] = 𝑡03 (1 − ) = 𝑡03 (1 − 3 )
𝑡0 𝑡0 𝑡0
1 3 1 3 1
(100 − 1 )3 = [100 (1 − 3
)] = 100 (1 − ) = 1003 (1 − 3 )
100 100 100
970299 = 970299 = 970299 = 970000
Donc l’erreur est de 299 pour un rapport de 1/100
Pour Δt = 0,1 s
∆𝑡 3 ∆𝑡 3 ∆𝑡
(𝑡0 − ∆𝑡)3 = [𝑡0 (1 − )] = 𝑡03 (1 − ) = 𝑡03 (1 − 3 )
𝑡0 𝑡0 𝑡0
Pour Δt = 0,01 s
∆𝑡 3 ∆𝑡 3 ∆𝑡
(𝑡0 − ∆𝑡)3 = [𝑡0 (1 − )] = 𝑡03 (1 − ) = 𝑡03 (1 − 3 )
𝑡0 𝑡0 𝑡0
𝑡𝑛 −𝑡0 𝑡𝑛 𝑡 𝑡𝑛
Mais = − 𝑡0 = − 1 donc
𝑡0 𝑡0 0 𝑡0
𝑡𝑛𝑚 𝑣2
1+𝑥( − 1) = 1 − 2
𝑡0𝑚 2𝑐
𝑡𝑛 𝑚
Comme Δt est très petit devant t0m, alors, 𝑡𝑛𝑚 (= 𝑡0𝑚 + ∆𝑡) est proche de t0m, donc 𝑡 est proche de 1 et donc,
0𝑚
𝑡𝑛 𝑚
(1 − ) est très proche de 0, et nous pouvons simplifier avec Taylor
𝑡0 𝑚
1
𝑥
𝑡𝑛 𝑣2 2
[1 + ( 𝑚 − 1)] = (1 − 2 )
𝑡0𝑚 𝑐
Simplification
𝑥
𝑡𝑛 𝑣2
( 𝑚 ) = √1 − 2
𝑡0𝑚 𝑐
Donc l'hypothèse sur la cr est en corrélation avec la relation de temps posée au départ
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Application numérique :
Un moyen de calculer le RT
Prendre les coordonnées latitude (uniquement) des points Z1 et Z2
δ2 Relever la distance r sur un site
Z2 http://pgj.pagesperso-orange.fr/latlong.htm
Puis calculer θ en rd = π(δ2-δ1)/180 (il faudra transformer δ1 et 2 en degrés et millième)
r δ1
Et calculer R=r/θ
Exemple : coord Bdx = 44°50'25''N(44,8403°) coord MdM = 43°53'24''N(43,8900°)
θ Z1 r = 105784m => R = 6378110 m (à MdM). Il faudrait rajouter l'altitude du lieu 52m pour être
R puriste.
RV a pris un rayon Terre à Bordeaux = 6378165 m (donnée perso)
Il faudra tout de même faire le calcul avec un r petit, car on considère r comme une droite, alors
que c’est un arc.
http://pgj.pagesperso-orange.fr/latlong.htm
Calcul numérique
𝑇𝑐 = 380,34875138746865606576632890739 𝑠
0,99999999999994814331307154115961 ≈ 1
On peut dire que ce Tc est le temps que met la gravitation pour venir du centre de la terre jusqu'à la surface de
la terre
𝑇𝑐 = 𝑡0𝑇 = 380,348751 s
Calcul numérique
𝑇𝑐 = 𝑡0𝑚 = 929499512797870,62646112390037257𝑠
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Donc, par exemple, si on programme un temps cible τ = 5 s, on part avec une vitesse Vacc = 0, pour atteindre
une vitesse cible VMax = 20 m/s
Les valeurs sont totalement arbitraires
∆𝑡 0
Quand Δt = 0, alors 𝑉𝑎𝑐𝑐 = 𝑉𝑀𝑎𝑥 √ 𝜏 = 20√5 = 0
∆𝑡 1
Quand Δt = 1 s, alors 𝑉𝑎𝑐𝑐 = 𝑉𝑀𝑎𝑥 √ 𝜏 = 20√5 = 8,94427 𝑚⁄𝑠
∆𝑡 2
Quand Δt = 2 s, alors 𝑉𝑎𝑐𝑐 = 𝑉𝑀𝑎𝑥 √ 𝜏 = 20√5 = 12,64911 𝑚⁄𝑠
∆𝑡 3
Quand Δt = 3 s, alors 𝑉𝑎𝑐𝑐 = 𝑉𝑀𝑎𝑥 √ 𝜏 = 20√5 = 15,49193 𝑚⁄𝑠
∆𝑡 4
Quand Δt = 4 s, alors 𝑉𝑎𝑐𝑐 = 𝑉𝑀𝑎𝑥 √ 𝜏 = 20√5 = 17,88854 𝑚⁄𝑠
∆𝑡 5
Quand Δt = 5 s, alors 𝑉𝑎𝑐𝑐 = 𝑉𝑀𝑎𝑥 √ 𝜏 = 20√5 = 20 𝑚⁄𝑠
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Annexe 11 – Calcul de x
𝑉2
En partant de la condition relativiste √1 − 𝑐 2
Avec la série de Taylor car V << c
𝑉2 𝑉2
√1 − ≈1− 2
𝑐2 2c
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Il ne reste plus qu'à dériver Drel et déterminer la masse énergétique (c'est l'équivalent du « poids » de l'énergie
de la masse qui est créée par l'effet Vialle)
Attention t0m est une constante (condition de repère du départ) et x est constant pour une accélération, donc la
dérivée se fait uniquement sur tnm
𝑎 ′ 𝑎𝑛
de la forme (𝑥𝑛 ) = − 𝑥𝑛+1
′ 1 𝑡0𝑥𝑚
𝐷𝑟𝑒𝑙𝑎𝑐𝑐 (𝑡𝑛𝑚 )
=− (2 + 𝑥) 3+𝑥
6𝜋𝑚0 𝑡𝑛𝑚
Et
′′ 1 𝑡0𝑥𝑚
𝐷𝑟𝑒𝑙𝑎𝑐𝑐 (𝑡𝑛 )
= (2 + 𝑥)(3 + 𝑥) 4+𝑥
6𝜋𝑚0 𝑡𝑛𝑚
′′ ′2
𝐷(𝑡) 𝐷(𝑡)
La masse énergétique est calculée à partir de 4𝜋𝐷2 − 3𝜋𝐷3
(𝑡) (𝑡)
1re fraction
1 𝑡0𝑥𝑚
𝐷 ′′ 6𝜋𝑚0 (2 + 𝑥)(3 + 𝑥) 𝑡𝑛4+𝑥
𝑚
= 2
4𝜋𝐷 2 1 𝑡0𝑚
𝑥
4𝜋 (6𝜋𝑚 2+𝑥 )
0 𝑡𝑛𝑚
Développement du dénominateur
1 𝑡0𝑥𝑚
(2 + 𝑥)(3 + 𝑥)
𝐷 ′′ 6𝜋𝑚0 𝑡𝑛4+𝑥
𝑚
= 2𝑥
4𝜋𝐷 2 1 2 𝑡0𝑚
4𝜋 (6𝜋𝑚 ) ( 4+2𝑥 )
0 𝑡𝑛𝑚
Simplification
𝑡0𝑥𝑚
(2 + 𝑥)(3 + 𝑥) 4 𝑥
𝐷 ′′ 𝑡𝑛𝑚 𝑡𝑛𝑚
2
= 2𝑥
4𝜋𝐷 2 𝑡0𝑚
3𝑚0 𝑡𝑛𝑚 𝑡𝑛2𝑥𝑚
4
Arrangement
𝐷 ′′ (2 + 𝑥)(3 + 𝑥) 𝑡0𝑥𝑚 𝑡𝑛4𝑚 𝑡𝑛2𝑥𝑚
= 3𝑚0
4𝜋𝐷 2 2 𝑡02𝑥𝑚 𝑡𝑛4𝑚 𝑡𝑛𝑥𝑚
Simplification
′′ 𝑥
𝐷(𝑡) (2+𝑥)(3+𝑥) 𝑡𝑛 𝑚
2 = 3𝑚0 au passage = 9 m0
4𝜋𝐷(𝑡) 2 𝑡0𝑥𝑚
2ème fraction
2
1 𝑡0𝑥𝑚
(− (2 + 𝑥) 3+𝑥 )
𝐷 ′2 6𝜋𝑚0 𝑡𝑛𝑚
= 3
3𝜋𝐷 3 1 𝑡0𝑚
𝑥
3𝜋 (6𝜋𝑚 2+𝑥 )
0 𝑡𝑛𝑚
Développement des puissances
1 2 𝑡 2x
2 0𝑚
(− ) (2 + 𝑥)
𝐷 ′2 6𝜋𝑚0 𝑡𝑛6+2x
𝑚
= 3 𝑡 3x
3𝜋𝐷 3 1 0𝑚
3𝜋 (6𝜋𝑚 ) 6+3x
0 𝑡𝑛𝑚
Simplification
𝑡02x𝑚
(2 + 𝑥)2
𝐷 ′2 𝑡𝑛6𝑚 𝑡𝑛2x𝑚
=
3𝜋𝐷 3 1 𝑡03x
(2𝑚 ) 6 𝑚3x
0 𝑡𝑛𝑚 𝑡𝑛𝑚
Réécriture
𝐷 ′2 𝑡 2x 𝑡 6 𝑡 3x
2 0𝑚 𝑛𝑚 𝑛𝑚
= 2𝑚0 (2 + 𝑥) 3x 6 2x
3𝜋𝐷 3 𝑡0𝑚 𝑡𝑛𝑚 𝑡𝑛𝑚
Simplification
′2 𝑥
𝐷(𝑡) 𝑡𝑛
3
3𝜋𝐷(𝑡)
= 2𝑚0 (2 + 𝑥)2 𝑡 𝑥𝑚 au passage = 8 m0
0𝑚
On peut calculer maintenant la masse énergétique à l'accélération
𝐷 ′′ 𝐷 ′2 (2 + 𝑥)(3 + 𝑥) 𝑡𝑛𝑥𝑚 𝑡𝑥
2 𝑛𝑚
− = 3𝑚0 − 2𝑚0 (2 + 𝑥) 𝑥
4𝜋𝐷 2 3𝜋𝐷 3 2 𝑡0𝑥𝑚 𝑡0𝑚
Mise en facteur
𝐷 ′′ 𝐷 ′2 𝑡𝑛𝑥𝑚 3
− = 𝑚 0 (2 + 𝑥) [ (3 + 𝑥) − 2(2 + 𝑥)]
4𝜋𝐷 2 3𝜋𝐷 3 𝑡0𝑥𝑚 2
Mise au même dénominateur dans les [ ]
𝐷 ′′ 𝐷 ′2 𝑡𝑛𝑥𝑚 3 4
2
− 3
= 𝑚0 (2 + 𝑥) 𝑥 [ (3 + 𝑥) − (2 + 𝑥)]
4𝜋𝐷 3𝜋𝐷 𝑡0𝑚 2 2
𝑉2 𝑥2 𝑥 𝑣2
𝑚𝑎𝑐𝑐 = 𝛼𝑎𝑐𝑐 𝑚0 √1 − 𝑐 2 avec 𝛼𝑎𝑐𝑐 = − − 2 + 1 et 𝑥 = 2𝐾𝑀𝑎𝑥 m0 étant la masse au repos.
2 𝑚 𝜏
√ 0
2
𝑣𝑀𝑎𝑥
Vérification des unités 𝑥 = 2𝐾 où v est en (m/s), 𝐾 √𝑚 = 𝐾 ′ en (m2/s3) et τ en (s)
√𝑚𝜏
𝑚2
𝑠2
𝑥= 𝑚2
Après simplification x est vraiment sans unité et donc α aussi
𝑠
𝑠3
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Quand on a 𝐸𝑇𝑎𝑐𝑐 = 𝛼𝑎𝑐𝑐 (𝐸0 − 𝐸𝑐 ) si on veut respecter une somme en faisant abstraction de α, il faut que
𝐸0 = 𝐸𝑐 + 𝐸?
La masse cinétique est fonction de vitesse ; donc pour respecter le principe d'équivalence, il faudra que cette
masse cinétique soit égale à 0. Donc la masse qui est égale à la masse au repos ne peut pas être fonction de
vitesse. Elle ne peut être fonction que de la gravité :
Donc à l'accélération, c'est bien une masse grave (ou pesante):
𝑉2
𝑚𝑔𝑎𝑐𝑐 = 𝛼𝑎𝑐𝑐 𝑚0 √1 −
𝑐2
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Mais comme la sphère masse, au départ, est identique à la sphère terre, on peut écrire aussi
𝑥+2
3 3
𝛥𝑡
Rmgacc = 𝑅𝑇(𝑡) α𝑎𝑐𝑐 (1 + )
(t) 𝑡0𝑚
∆𝑡 𝑡𝑛 𝑚
A partir de (1), nous savons que (1 + )= donc
𝑡0𝑚 𝑡0 𝑚
𝑥+2
9 𝑡𝑛
R3mgacc = G𝑚0 𝑡02𝑚 α𝑎𝑐𝑐 ( 𝑚 )
(t) 2 𝑡0𝑚
Développement des puissances
𝑥 2
9 𝑡𝑛 𝑡𝑛
R3mgacc = G𝑚0 𝑡02𝑚 α𝑎𝑐𝑐 ( 𝑚 ) ( 𝑚 )
(t) 2 𝑡0𝑚 𝑡0𝑚
𝑥 2
𝑡𝑛 𝑚 𝑉2 𝑡 𝑉2
Or, ( 𝑡 ) = √1 − 2 et ( 𝑛𝑚 ) = 1 − 2 donc
0𝑚 𝑐 𝑡 𝑐
0𝑚
9 𝑉2 𝑉2
R3mgacc = G𝑚0 𝑡02𝑚 α𝑎𝑐𝑐 √1 − 2 (1 − 2 )
(t) 2 𝑐 𝑐
Donc
3
9 2
𝑉2 2
R3mgacc = G𝑚0 𝑡0𝑚 α𝑎𝑐𝑐 (1 − 2 )
(t) 2 𝑐
Autre écriture
3
9 𝑉2
R3mgacc = G𝑚0 𝑡02𝑚 α𝑎𝑐𝑐 √(1 − 2 )
(t) 2 𝑐
3 -1 -2 2 3
Pour les unités : m Kg s .Kg.s = m
𝑉2 3
Apparition de la masse longitudinale relativiste mais sous une autre forme que celle d’Einstein 𝑚0 √(1 − 𝑐 2 )
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Pour les unités : Comme αacc est sans unité, et que 𝑅𝑚0 est en m, nous sommes en m
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Si nous considérons la petite sphère apparentée à la terre et la grosse sphère à la masse 𝑅𝑚𝑔𝑎𝑐𝑐
Nous avons comme données
𝑟 = 𝑅𝑇
7 3
𝑅 = 𝑅𝑚𝑔𝑎𝑐𝑐 = 𝑅𝑚0 ( − 𝛼𝑎𝑐𝑐 )
4 4
11 3
𝑑𝑎𝑐𝑐 = 𝑅𝑚0 ( − 𝛼𝑎𝑐𝑐 )
4 4
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Du côté des unités, comme 𝛼𝑎𝑐𝑐 est sans unité, nous sommes sur la dimension d’une force
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Calcul numérique
32216125936,666
𝑡0𝑇 =
84712478,1689215
𝑡0𝑇 = 380,29965163367333935733176973625 𝑠
0,99999999999994812322512805273443 ≈ 1
Calcul numérique
32216125936,666
𝑡0𝑚 =
3,46605827995. 10−5
𝑡0𝑚 = 929474444299613,37 𝑠
Et là, c’est encore plus flagrant car le R0 d’une masse de 1 Kg
2𝑥6,6742. 10−11 𝑥1
𝑅0𝑚 = = 1,4852098. 10−27 𝑚
2997924582
et la sphère d’expansion, à ce temps, est identique à la terre.
𝑅0𝑚
Donc le rapport sera très proche de 0 (1.10-33)
𝑅𝑇
On peut donc utiliser les équations simplifiées pour le temps sans aucun changement notoire
Pour la valeur de x :
𝑉2
En partant de la condition relativiste √1 − 𝑐 2
Avec la série de Taylor car V << c
𝑉2 𝑉2
√1 − ≈ 1 −
𝑐2 2c2
3𝑐 2 √2𝐺
𝐾= 3
2𝑅𝑇2
𝐾 = 96,6949854563978
Comme la loi d’accélération est calculée ainsi :
« Les 2 facteurs énergétiques seront : une vitesse d’application et une quantité d’énergie extérieure :
ΔV définira la vitesse d’application et ΔM(D) définira la quantité.
2𝐺𝛥𝑀(𝐷)
Nous savons aussi que la vitesse est sous cette forme 𝛥𝑉 = √ .
𝑅𝑇
′′ ′2
𝐷(𝑡) 𝐷(𝑡)
Je rappelle que 𝑀(𝐷) = [ 2 − 3 ] donc M(D) est fonction uniquement de l’espace fluidique (ou corde
4𝜋𝐷(𝑡) 3𝜋𝐷(𝑡)
1
spatiale) ; sa longueur, sa vitesse et son accélération ; de plus, 𝐷𝑟𝑒𝑙𝑎𝑐𝑐 = et comme on pose
2 √1− 𝑉2
6𝜋𝑚0 𝑡𝑛 𝑚 𝑐2
𝑥
𝑉2 𝑡𝑛 𝑚
√1 − =( ) alors, on peut marquer que D est fonction uniquement du temps, puisque 6πm0 est constant.
𝑐2 𝑡0 𝑚
Ainsi, M(D) est fonction uniquement du temps et donc ΔM(D) sera fonction du temps.
2𝐺𝛥𝑀(𝐷) 2𝐺
Dans 𝛥𝑉 = √ comme 𝑅 est constant et ΔM(D) est fonction du temps, nous pouvons écrire V = √𝐾𝑡
𝑅𝑇 𝑇
2
et donc que 𝑉 = 𝐾𝑡 : Nous l’appellerons loi racine carré. »
1
Quand nous prenons l’équation complète de 𝐷(𝑡) = 4𝐺𝑚
2 , elle est fonction aussi uniquement du
6𝜋𝑚0 𝑇𝑐2 (1+ 3 0 )
3𝑐 𝑇𝑐
1
𝐷𝑟𝑒𝑙 = 2
𝑚0
4𝐺
2
2 √1 − 𝑉2
𝑚0 𝑉2 𝑐
6𝜋 (𝑡√1 − ) 1+
2 𝑐2 𝑉2
√1 − 𝑉2 3𝑐 3 𝑡√1 − 2
𝑐 𝑐
( )
Simplification et arrangement
1
𝐷𝑟𝑒𝑙 = 2
𝑉2 4𝐺𝑚0
6𝜋𝑚0 𝑡 2 √1 − (1 + )
𝑐2 𝑉2
3𝑐 3 𝑡 (1 − )
𝑐2
𝑥 2
𝑉2 𝑡𝑛 𝑚 𝑉2 𝑡
Or, nous avions posé √1 − =( ) et donc (1 − 2 ) = ( 𝑛𝑚 ) en plus le temps 𝑡 = 𝑡𝑛𝑚 = 𝑡0𝑚 + 𝛥𝑡
𝑐2 𝑡0 𝑚 𝑐 𝑡 0𝑚
1
𝐷𝑟𝑒𝑙 = 2
𝑡𝑛 𝑥 4𝐺𝑚0
6𝜋𝑚0 𝑡𝑛2𝑚 (𝑡 𝑚 ) 1 +
0𝑚 𝑡𝑛 2
3𝑐 3 𝑡𝑛𝑚 (𝑡 𝑚 )
0𝑚
( )
2 2 2 4𝐺𝑚0
( )
De la forme 𝑎 + 𝑏 = 𝑎 + 2𝑎𝑏 + 𝑏 avec 𝑎 = 1 et 𝑏 = 𝑡𝑛 2
3𝑐 3 𝑡𝑛𝑚 ( 𝑚 )
𝑡 0𝑚
1
𝐷𝑟𝑒𝑙 =
𝑡𝑛 𝑥 4𝐺𝑚0 16𝐺 2 𝑚0 2
6𝜋𝑚0 𝑡𝑛2𝑚 ( 𝑡 𝑚 ) 1 + 2 +
0𝑚 𝑡𝑛 2 𝑡𝑛 4
3𝑐 3 𝑡𝑛𝑚 (𝑡 𝑚 ) 9𝑐 6 𝑡𝑛2𝑚 (𝑡 𝑚 )
0𝑚 0𝑚
( )
Développement et arrangement des puissances
1
𝐷𝑟𝑒𝑙 =
𝑡𝑛𝑥 𝑡𝑛𝑥𝑚
6𝜋𝑚0 𝑡𝑛2𝑚 𝑥𝑚 4𝐺𝑚0 6𝜋𝑚0 𝑡𝑛2𝑚 16𝐺 2 𝑚0 2
𝑡𝑛𝑥𝑚 𝑡0𝑚 𝑡0𝑥𝑚
6𝜋𝑚0 𝑡𝑛2𝑚 + 2 +
𝑡0𝑥𝑚 𝑡𝑛2 𝑡𝑛4
3𝑐 3 𝑡𝑛𝑚 2𝑚 9𝑐 6 𝑡𝑛2𝑚 4𝑚
𝑡0𝑚 𝑡0𝑚
Simplification des constantes et arrangement des fractions
1
𝐷𝑟𝑒𝑙 = 2 𝑥
𝑥
𝑡𝑛 2
8 𝑡𝑛 𝑡0 𝑡𝑛 16 𝑡𝑛2 𝑡𝑛𝑥 𝑡04
6𝜋𝑚0 𝑡𝑛2𝑚 𝑥𝑚 + 6𝜋𝑚02 3 𝐺 𝑚𝑥 𝑚3 𝑚 + 6𝜋𝑚03 6 𝐺 2 𝑚𝑥 𝑚6 𝑚
𝑡0𝑚 3𝑐 𝑡0𝑚 𝑡𝑛𝑚 9𝑐 𝑡0𝑚 𝑡𝑛𝑚
Simplification
1
𝐷𝑟𝑒𝑙 = 𝑥 𝑥
𝑡𝑛 8 𝑡𝑛 𝑡𝑛−1 16 𝑡𝑛𝑥 𝑡𝑛−4
6𝜋𝑚0 𝑥𝑚 𝑡𝑛2𝑚 + 6𝜋𝑚02 3 𝐺 𝑥𝑚 −2 𝑚
+ 6𝜋𝑚03 6 𝐺 2 𝑥𝑚 −4 𝑚
𝑡0𝑚 3𝑐 𝑡0𝑚 𝑡0𝑚 9𝑐 𝑡0𝑚 𝑡0𝑚
Mise en facteur
1
𝐷𝑟𝑒𝑙 =
𝑡𝑛𝑥 8𝐺𝑚0 𝑡𝑛−1 4𝐺𝑚0 2 𝑡𝑛−4
6𝜋𝑚0 𝑥𝑚 (𝑡𝑛2𝑚 + 𝑚
+ ( 3 )
𝑚
−4 )
𝑡0𝑚 3𝑐 3 𝑡0−2
𝑚
3𝑐 𝑡0𝑚
Je rappelle que
4𝐺𝑚
« Le point milieu de la pulsation sera 𝑇𝑐 = − 3𝑐 30 mais à ce point milieu, la pulsation devra être nulle,
puisque𝑅(𝑡) = 0 Donc la pulsation est une fonction sinusoïdale !
Univers 2 Univers 1
0
Tc
8𝐺𝑚0
𝑇𝑐 = − 𝑜𝑛 𝑎 𝑅(𝑡) = 𝑅0 𝑇𝑐 = 0 𝑜𝑛 𝑎 𝑅(𝑡) = 𝑅0
3𝑐 3
4𝐺𝑚0
𝑇𝑐 = − 𝑜𝑛 𝑎 𝑅(𝑡) = 0
3𝑐 3
𝑐3 4𝜋√2𝐺𝑚0 𝜔0
Si nous considérons une période de 𝜔0 = en rouge elle s'étend sur 𝑇0 = , puisque 𝑓0 =
2√2𝐺𝑚0 𝑐3 2𝜋
1 8𝐺𝑚0 2
et 𝑇0 = 𝑓 . Or, le diamètre temporel de R0 est nous trouvons une constante = 3𝜋 . Il faudra trouver
0 3𝑐 3 √2
𝛽 1
quel est le rôle de ce décalage qui correspond à 2 = 3𝜋 = 0,07502636 de chaque côté de la bulle. Nous
√2
tion puisqu’on néglige les termes en bleu dans l’équation générale (b et c proche de 0)
′
(𝑥 + 2)𝑡𝑛 1 𝑡𝑛 𝑡0𝑥 1 𝑡0𝑥
𝐷𝑟𝑒𝑙 = −( )=− (𝑥 + 2) 𝑥 4 = − (𝑥 + 2) 𝑥 3
1 6𝜋𝑚0 𝑡𝑛 𝑡𝑛 6𝜋𝑚0 𝑡𝑛 𝑡𝑛
6𝜋𝑚0 𝑥 𝑡𝑛𝑥 (𝑡𝑛2 )2
𝑡0
′′ 1𝑚
𝑡0𝑥
Pour rappel 𝐷𝑟𝑒𝑙𝑎𝑐𝑐 (𝑡𝑛 )
= 6𝜋𝑚 (2 + 𝑥)(3 + 𝑥) 𝑡 4+𝑥 avec les équations simplifiées
0 𝑛𝑚
Si on remplace la constante « a » et en faisant des simplifications, on retombe sur les mêmes équations. En
prenant bien sûr les constantes b et c proche de 0.
Il devient très difficile de calculer la masse énergétique 𝑀(𝐷) à partir des équations non simplifiées car
′′ ′2
𝐷(𝑡 ) 𝐷(𝑡 )
𝑀(𝐷) = 4𝜋𝐷2𝑛 − 3𝜋𝐷3𝑛
(𝑡𝑛 ) (𝑡𝑛)
′′ ′2
𝐷(𝑡 𝑛)
𝐷(𝑡 𝑛)
𝑀(𝐷) = 2 − 3
4𝜋𝐷(𝑡 𝑛)
3𝜋𝐷(𝑡 𝑛)
1re fraction
6πm 0,01885 18,849 18849 1,88E11 1,8E21 1,126E26 3,75E31 3,754E31 8,095E34 7,5E43 1,88E61
a t0m est élevé à la puissance x qui représente l’apport d’énergie, donc a ne peut pas se calculer
b 5,71E-6 5,71E-6 5,71E-6 5,71E-6 5,71E-6 5,71E-6 5,71E-6 5,71E-6 impos 4,536E21 7,2E73
c 8,1E-12 8,1E-12 8,1E-12 8,1E-12 8,1E-12 8,1E-12 8,1E-12 8,1E-12 impos 5,143E42 1,3E147
t0 2,93E16 9,29E14 2,939E13 9,295E9 9,295E4 380,29 0,659046 0,658566 0 -1,3138E7 -3,3E24
R0 1,5E-30 1,5E-27 1,48E-24 1,5E-17 1,48E-7 0,0088718 2954,082 2958,389 6378162 5,908E15 1,48E33
le temps origine de la terre, mais aussi les 929474444299613,37 𝑠𝑒𝑐 représentant le temps origine pour
une masse de 1 Kg.
Nous avons 2 choses à observer : Ce temps origine peut être nul pour une masse de
4,29445186563363E+33 Kg (qui ne correspond pas à quelque chose de particulier ou connu). En plus, pas-
ser cette masse, le temps devient négatif !
7ème ligne correspond aux R0 des masses correspondantes. On retrouve le R0 de la terre (= 9mm). Notons que
le R0 du soleil ou du système solaire fait tout de même 3Km. Par contre pour la masse particulière il est égal
au rayon terrestre.
Toutes ces réflexions sont normales puisqu’elles sont calculées à partir d’équations qui prennent en compte
ces paramètres. Cela voudrait dire que la théorie aurait des limitations. Parce qu’on aurait fixé la Terre
comme référentiel ?
Or cette théorie (du moins le principe énergétique) s’applique de l’infiniment grand à l’infiniment petit. Si
on ne valide pas pour l’infiniment grand, on ne pourra pas appliquer la théorie au niveau atomique et donc
toute la troisième partie tombe à l’eau.
Il faut tout de même remettre tout dans son contexte : Tous ces calculs sont partis pour une masse recevant
une énergie en surface de la terre. Il est tout à fait probable qu’il faille changer de repère origine quand on
suppose des masses énormes. Donc les valeurs, trouvées pour des masses supérieures 1 E10 Kg ne sont peut-
être et surement pas recevables.
Cependant, la valeur qui annule le temps t0, 4,29445186563363E+33 Kg, ne correspond à rien de connu !
La conclusion est qu’il est tout à fait possible d’utiliser les équations simplifiées pour des masses inférieures
à 1E10 Kg.
Mais cela veut peut être dire aussi, qu’en prenant un référentiel Terre, nous trouvons que la porte de passage
de l’univers négatif n’est pas le centre de la galaxie !
Je rappelle que nous avions assimilé la bulle d’expansion à un trou noir ; nous n’avons jamais dit que c’était
un trou noir !
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1
𝐷𝑟𝑒𝑙𝑑é𝑐 =
∆𝑡 2 𝛥𝑡
6𝜋𝐶𝑚𝑡02𝑚 (1 − 𝑡 ) [1 + 𝑥 (𝐶𝑡 )]
0𝑚 0𝑚
𝛥𝑡 𝛥𝑡 𝛥𝑡
intéressons nous à 𝐶𝑡 , il faudrait, pour nous arranger, il faut que 1 + 𝐶𝑡 =1+𝑡
0𝑚 0𝑚 0𝑚
𝛥𝑡 𝛥𝑡
donc =1+ −1
𝐶𝑡0𝑚 𝑡0 𝑚
2
𝑉𝑀𝑎𝑥 𝛥𝑡 𝛥𝑡
Comme 𝐶 = √1 − =𝑡
𝑐2 𝐶𝑡0𝑚 0𝑚
Ceci est possible puisque C est une constante, qui en fin de décélération = 1, puisque V Max = 0
Donc
1
𝐷𝑟𝑒𝑙𝑑é𝑐 =
∆𝑡 2 𝛥𝑡
6𝜋𝐶𝑚𝑡02𝑚 (1 − ) [1 + 𝑥 ]
𝑡0𝑚 𝑡0𝑚
avec Taylor
1
𝐷𝑟𝑒𝑙𝑑é𝑐 =
∆𝑡 2 𝛥𝑡 −𝑥
6𝜋𝑚𝐶𝑡02𝑚 (1 − 𝑡 ) (1 − 𝑡 )
0𝑚 0𝑚
𝛥𝑡 𝑡𝑛 𝑚
Comme 1 − 𝑡 = alors
0𝑚 𝑡0 𝑚
1
𝐷𝑟𝑒𝑙𝑑é𝑐 =
𝑡𝑛 2 𝑡𝑛 −𝑥
6𝜋𝑚𝐶𝑡02𝑚 (𝑡 𝑚 ) ( 𝑡 𝑚 )
0𝑚 0𝑚
Développement des puissances
1
𝐷𝑟𝑒𝑙𝑑é𝑐 =
6𝜋𝑚𝐶𝑡02𝑚 𝑡𝑛2𝑚 𝑡0−2 𝑡 −𝑥 𝑡 𝑥
𝑚 𝑛𝑚 0𝑚
Simplification
1
𝐷𝑟𝑒𝑙𝑑é𝑐 =
6𝜋𝑚𝐶𝑡𝑛2−𝑥 𝑡𝑥
𝑚 0𝑚
Réécriture
1 𝑡𝑛𝑥−2
𝑚
𝐷𝑟𝑒𝑙𝑑é𝑐 = 𝑥
𝑉 2 𝑡0𝑚
6𝜋𝑚√1 − 𝑀𝑎𝑥
𝑐2
Je rappelle que VMax est la vitesse à laquelle on commence la phase de décélération, mais c'est aussi la dernière
vitesse atteinte lors de la phase précédente.
Il est cependant important de noter que la masse m n'est pas définit, nous le ferons plus tard !
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′′ ′2
𝐷(𝑡 ) 𝐷(𝑡 )
La masse énergétique est calculée à partir de 4𝜋𝐷2𝑛 − 3𝜋𝐷3𝑛
(𝑡𝑛 ) (𝑡𝑛 )
1re fraction
𝑥−4
1 𝑡𝑛
(𝑥 − 2)(𝑥 − 3) 𝑥𝑚
𝐷 ′′ 6𝜋𝑚𝐶 𝑡0𝑚
= 2
4𝜋𝐷 2 1 𝑡𝑛𝑥−2
4𝜋 (6𝜋𝑚𝐶 𝑥𝑚 )
𝑡0𝑚
Développement
1 𝑡𝑛𝑥𝑚 𝑡𝑛−4
𝑚
(𝑥 − 2)(𝑥 − 3)
𝐷 ′′ 6𝜋𝑚𝐶 𝑡0𝑥𝑚
= 2 𝑡 2x 𝑡 −4
4𝜋𝐷 2 1 𝑛 𝑛
4𝜋 (6𝜋𝑚𝐶 ) 𝑚2x 𝑚
𝑡0𝑚
Simplification
𝑡𝑛𝑥𝑚
(𝑥 − 2)(𝑥 − 3)
𝐷 ′′ 𝑡0𝑥𝑚
=
4𝜋𝐷 2 2 𝑡𝑛2x𝑚
3𝑚𝐶 𝑡02x
𝑚
Simplification
𝐷 ′′ 3𝑚𝐶 𝑡0𝑥𝑚
= (𝑥 − 2)(𝑥 − 3) 𝑥
4𝜋𝐷 2 2 𝑡𝑛𝑚
2ème fraction
𝑥−3 2
1 𝑡𝑛
(6𝜋𝑚𝐶 (𝑥 − 2) 𝑥𝑚 )
𝐷 ′2 𝑡0𝑚
= 3
3𝜋𝐷 3 1 𝑡𝑛𝑥−2
3𝜋 (6𝜋𝑚𝐶 𝑥𝑚 )
𝑡0𝑚
Développement
1 2 𝑡𝑛2x 𝑡𝑛−6
( ) (𝑥 − 2)2 𝑚2x 𝑚
𝐷 ′2 6𝜋𝑚𝐶 𝑡0 𝑚
= 3 𝑡 3x 𝑡 −6
3𝜋𝐷 3 1 𝑛 𝑛
3𝜋 (6𝜋𝑚𝐶 ) 𝑚3x 𝑚
𝑡0𝑚
Simplification
𝑡 2x
2 𝑛𝑚
(𝑥 − 2) 2x
𝐷 ′2 𝑡0𝑚
= 3x
3𝜋𝐷 3 1 𝑡𝑛𝑚
2𝑚𝐶 𝑡03x
𝑚
Simplification
𝐷 ′2 𝑡𝑥
2 0𝑚
= 2𝑚𝐶(𝑥 − 2) 𝑥
3𝜋𝐷 3 𝑡𝑛𝑚
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Pour une même masse sans changement de repère, la masse énergétique à la décélération est
2
𝑉𝑀𝑎𝑥
𝑚𝑖𝑑é𝑐 = 𝛼𝑑é𝑐 𝑚0 √1 − Rappel : le VMax est la vitesse de départ de la phase de décélération
𝑐2
(ceci est développé dans la théorie)
Multiplication de tous les termes par c2
2
𝑉𝑀𝑎𝑥
𝑚𝑖𝑑é𝑐 𝑐 2 = 𝛼𝑑é𝑐 𝑚0 𝑐 2 √1 −
𝑐2
Avec Taylor
2
𝑉𝑀𝑎𝑥
𝑚𝑖𝑑é𝑐 𝑐 2 = 𝛼𝑑é𝑐 𝑚0 𝑐 2 (1 − )
2𝑐 2
Développement
2
𝑉𝑀𝑎𝑥
𝑚𝑖𝑑é𝑐 𝑐 2 = 𝛼𝑑é𝑐 𝑚0 𝑐 2 − 𝛼𝑑é𝑐 𝑚0 𝑐 2
2𝑐 2
Simplification
1 2
𝑚𝑖𝑑é𝑐 𝑐 2 = 𝛼𝑑é𝑐 𝑚0 𝑐 2 − 𝛼𝑑é𝑐 𝑚0 𝑉𝑀𝑎𝑥
2
On aura finalement
𝐸𝑇𝑑é𝑐 = 𝛼𝑑é𝑐 (𝐸0 − 𝐸𝑐1 )
Ici, un point important est à souligner : à la décélération, l'énergie cinétique est constante et maximum pendant
toute la phase de décélération, donc l'énergie totale n'est pas fonction d'une énergie due à la vitesse de décélé-
ration, mais à une vitesse de départ de la phase de décélération
On appellera cette énergie cinétique Ec1
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Or ce Δmdéc est fonction de x (qui est sans unité), donc le signe de 𝛥𝑚𝑑é𝑐 = 𝑓(𝑥)
𝑥2 𝑥
− =0
2 2
En faisant une mise en facteur
𝑥
(𝑥 − 1) = 0
2
Donc 2 solutions :
𝑥
= 0 → 𝑥1 = 0 𝑒𝑡 𝑥 − 1 = 0 → 𝑥2 = 1
2
Or, on a vu que x est strictement positif, mais entre 0 et 1, la fonction x-1 sera négative pour x < 1 donc le
Δmdéc sera négatif pour 0 < x < 1, dans ce cas on aura un effet de gravitation supplémentaire (midéc > m ) et
positif pour x > 1, où là, on aura aussi un effet de dégravitation (midéc < m ).
Pour qu'il y ait gravitation supplémentaire, c'est à dire revenir à l'origine et respecté le principe de Lavoisier,
il faut
que x < 1
Comme
2
𝑉𝑀𝑎𝑥
𝑥=
2𝐾 √𝑚0 𝜏
Donc pour que midéc > m il faut que x < 1 (gravitation supplémentaire)
2
𝑉𝑀𝑎𝑥
<1
2𝐾 √𝑚0 𝜏
Réécriture
2
𝑉𝑀𝑎𝑥 < 2𝐾 √𝑚0 𝜏
Isolement du τ
Pour 0<x<1
𝐸𝐹𝑑é𝑐1 = 𝐸𝑐 + 𝐸𝑝
Remplacement des valeurs
1 1
𝐸𝐹𝑑é𝑐1 = 𝑚0 𝑉 2 + 𝛼𝑑é𝑐 𝑚0 𝑉 2
2 2
Donc
1
𝐸𝐹𝑑é𝑐1 = 𝑚 𝑉 2 (1 + 𝛼𝑑é𝑐 )
2 0
Mais comme 𝛥𝑚𝑑é𝑐 = 𝑚0 (1 − 𝛼𝑑é𝑐 ) alors 𝑚0 𝛼𝑑é𝑐 = 𝑚0 − 𝛥𝑚𝑑é𝑐
Donc
1 1 1 1 1 1 1
𝐸𝐹𝑑é𝑐1 = 𝑚0 𝑉 2 + 𝛼𝑑é𝑐 𝑚0 𝑉 2 = 𝑚0 𝑉 2 + (𝑚0 − 𝛥𝑚𝑑é𝑐 )𝑉 2 = 𝑚0 𝑉 2 + 𝑚0 𝑉 2 − 𝛥𝑚𝑑é𝑐 𝑉 2
2 2 2 2 2 2 2
Donc
1
𝐸𝐹𝑑é𝑐1 = 2𝐸𝑐 − 𝛥𝑚𝑑é𝑐 𝑉 2
2
Pour x>1
𝐸𝐹𝑑é𝑐2 = 𝐸𝑐 − 𝐸𝑝
Remplacement des valeurs
1 1
𝐸𝐹𝑑é𝑐2 = 𝑚0 𝑉 2 − 𝛼𝑑é𝑐 𝑚0 𝑉 2
2 2
Donc
1
𝐸𝐹𝑑é𝑐2 = 𝑚 𝑉 2 (1 − 𝛼𝑑é𝑐 )
2 0
𝛥𝑚
Comme 𝛥𝑚𝑑é𝑐 = 𝑚0 (1 − 𝛼𝑑é𝑐 ) alors (1 − 𝛼𝑑é𝑐 ) = 𝑚𝑑é𝑐
0
Donc
1 1 𝛥𝑚𝑑é𝑐
𝐸𝐹𝑑é𝑐2 = 𝑚0 𝑉 2 (1 − 𝛼𝑑é𝑐 ) = 𝑚0 𝑉 2 ( )
2 2 𝑚0
Donc
1
𝐸𝐹𝑑é𝑐2 = 𝛥𝑚𝑑é𝑐 𝑉 2
2
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𝑥2 𝑥 𝑥2 𝑥
𝛼𝑑é𝑐 = − + 2 + 1 que l'on peut réécrire ainsi − 2 + (𝛼𝑑é𝑐 − 1) = 0
2 2
1 1
on est de la forme 𝑎𝑥 2 + 𝑏𝑥 + 𝑐 = 0 avec 𝑎 = 2 , 𝑏 = − 2 𝑒𝑡 𝑐 = 𝛼𝑑 − 1
−𝑏+√𝛥 −𝑏−√𝛥
et dont les solutions sont 𝛥 = 𝑏2 − 4ac 𝑒𝑡 𝑠𝑖 𝛥 > 0 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑥1 = 2a 𝑒𝑡 𝑥2 = 2a
Donc
1 2 1
𝛥 = (− ) − 4 ∗ (𝛼𝑑 − 1)
2 2
1
𝛥 = − 2(𝛼𝑑 − 1)
4
1
𝛥 = − 2𝛼𝑑 + 2
4
9
𝛥 = − 2𝛼𝑑
4
9 9 9
Pour que Δ > 0 il faut 4 − 2𝛼𝑑 > 0 c'est-à-dire 4 > 2𝛼𝑑 donc 𝛼𝑑é𝑐 < 8 (= 1,125)
9 −𝑏 −(−1⁄2) 1
Par contre si 𝛼𝑑é𝑐 = il y aura une solution double 𝑥 = donc 𝑥 = = (ce qui vérifie le graphique)
8 2𝑎 2(1⁄2) 2
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𝛥𝑚𝑎𝑐𝑐
√1 + 8 > −1
𝑚0
Comme une racine carré est positive
𝛥𝑚𝑎𝑐𝑐
√1 + 8 >0
𝑚0
Élévation au carré
𝛥𝑚𝑎𝑐𝑐
1+8 >0
𝑚0
Ou bien
𝛥𝑚𝑎𝑐𝑐 1
>−
𝑚0 8
Donc
1
1 − 𝛼𝑎𝑐𝑐 > −
8
1 9
Dans ce cas 𝛼𝑎𝑐𝑐 < 1 + 8 cela revient à 𝛼𝑎𝑐𝑐 < 8 or c'est le cas, puisqu'à l'accélération, αacc < 1 ; attention,
2
9 1 𝑉𝑀𝑎𝑥
cependant à la valeur de 8 > 𝛼𝑎𝑐𝑐 > 1, le xacc est négatif − 2 < 𝑥𝑎𝑐𝑐 < 0, mais comme 𝑥𝑎𝑐𝑐 = 2𝐾 , je
√𝑚0 𝜏𝑎𝑐𝑐
ne vois pas comment il peut être négatif
Ces configurations sont à tester expérimentalement. Il est cependant, intéressant de retenir que nous pouvons
avoir une solution complexe
𝛥𝑚𝑎𝑐𝑐 𝛥𝑚𝑎𝑐𝑐
√1 + 8 > −1 équivalent à √1 + 8 > 𝑖2
𝑚0 𝑚0
Pour xdéc2
1 𝛥𝑚𝑎𝑐𝑐
(1 − √1 + 8 )>0
2 𝑚0
Cela revient à dire que
𝛥𝑚𝑎𝑐𝑐
(1 − √1 + 8 )>0
𝑚0
Ou bien
𝛥𝑚𝑎𝑐𝑐
√1 + 8 <1
𝑚0
Élévation au carré
𝛥𝑚𝑎𝑐𝑐
1+8 <1
𝑚0
Ou bien
𝛥𝑚𝑎𝑐𝑐
<0
𝑚0
Donc
1 − 𝛼𝑎𝑐𝑐 < 0
Dans ce cas
−𝛼𝑎𝑐𝑐 < −1
Ou
𝛼𝑎𝑐𝑐 > 1
Pour l'accélération, nous avons vu que quelque soit x > 0, on a 𝛼𝑎𝑐𝑐 < 1
On voit avec les courbes, que la solution x déc2 ne peut pas exister ; donc on prendra, pour calculer le temps de
décélération et pour ne pas cumuler de masse, la solution xdéc1
1 1 𝛥𝑚𝑎𝑐𝑐
Calculons le temps pour 𝑥𝑑é𝑐1 = + √1 + 8
2 2 𝑚0
On sait que
2
𝑉𝑀𝑎𝑥
𝜏𝑑é𝑐 =
2𝐾 √𝑚0 𝑥𝑑é𝑐
En remplaçant
2
𝑉𝑀𝑎𝑥
𝜏𝑑é𝑐 =
1 𝛥𝑚𝑎𝑐𝑐
2𝐾 √𝑚0 (1 + √1 + 8 )
2 𝑚0
Mais aussi
2
𝑉𝑀𝑎𝑥
𝜏𝑑é𝑐 =
𝐾 √𝑚0 [1 + √1 + 8(1 − 𝛼𝑎𝑐𝑐 )]
Ou bien
2
𝑉𝑀𝑎𝑥
𝜏𝑑é𝑐 =
𝐾√𝑚0 (1 + √9 − 8𝛼𝑎𝑐𝑐 )
1 1 𝛥𝑚𝑎𝑐𝑐
𝑥𝑑é𝑐 = ± √1 − 8
2 2 𝑚0
2 2
𝑉𝑀𝑎𝑥 𝑉𝑀𝑎𝑥
Mais comme 𝑥𝑑é𝑐 = alors 𝜏𝑑é𝑐 =
2𝐾√𝑚0𝜏𝑑é𝑐 2𝐾√𝑚0 𝑥𝑑é𝑐
On a vu que le domaine d'application de x est un domaine positif, mais nous sommes dans le cas où x > 1,
donc, il faut que
1 𝛥𝑚𝑎𝑐𝑐 1 𝛥𝑚𝑎𝑐𝑐
𝑥𝑑é𝑐1 = 2 (1 + √1 − 8 ) > 1 et 𝑥𝑑é𝑐2 = (1 − √1 − 8 )>1
𝑚0 2 𝑚0
Pour xdéc1
1 𝛥𝑚𝑎𝑐𝑐
(1 + √1 − 8 )>1
2 𝑚0
Cela revient à dire que
𝛥𝑚𝑎𝑐𝑐
1 + √1 − 8 >2
𝑚0
Simplification
𝛥𝑚𝑎𝑐𝑐
√1 − 8 >1
𝑚0
Élévation au carré
𝛥𝑚𝑎𝑐𝑐
1−8 >1
𝑚0
Ou bien
𝛥𝑚𝑎𝑐𝑐
<0
𝑚0
Donc
1 − 𝛼𝑎𝑐𝑐 < 0
Dans ce cas 𝛼𝑎𝑐𝑐 > 1 or, comme αacc < 1, si on prend un x positif (ce qui est le cas), donc, il n'y a pas de
solution pour xdéc1
Pour xdéc2
1 𝛥𝑚𝑎𝑐𝑐
(1 − √1 − 8 )>1
2 𝑚0
Cela revient à dire que
𝛥𝑚𝑎𝑐𝑐
−√1 − 8 >1
𝑚0
Ou bien
𝛥𝑚𝑎𝑐𝑐
√1 − 8 < −1
𝑚0
Cela veut dire que la solution ne peut exister que dans le domaine complexe, car une racine carré ne peut pas
être négative dans le domaine des réels
Cela veut dire qu'il n'y a pas de solution pour x > 1 dans le domaine des réels
Le cas complexe n'est pas abordé à voir si on doit en avoir besoin
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𝑥2 𝑥 𝑥2 𝑥
Nous savons que 𝛼𝑑é𝑐 = − 2
+ 2 + 1 et 𝛼𝑎𝑐𝑐 = − 2
−2+1
Remplacement des valeurs
𝑥2 𝑥
𝑥 2
𝑥 3 + (−
− + 1)
2 2
− + +1=
2 2 𝑥2 𝑥
7 − 3 (− 2 − 2 + 1)
Développement
−𝑥 2 − 𝑥 + 2 + 6
−𝑥 2 + 𝑥 + 2 2
=
2 3𝑥 2 + 3𝑥 − 6 + 14
2
Simplification
−𝑥 2 + 𝑥 + 2 −𝑥 2 − 𝑥 + 8
= 2
2 3𝑥 + 3𝑥 + 8
Réécriture
(−𝑥 2 + 𝑥 + 2)(3𝑥 2 + 3𝑥 + 8) = 2(−𝑥 2 − 𝑥 + 8)
Développement
−3𝑥 4 − 3𝑥 3 − 8𝑥 2 + 3𝑥 3 + 3𝑥 2 + 8𝑥 + 6𝑥 2 + 6𝑥 + 16 = −2𝑥 2 − 2𝑥 + 16
Réécriture et simplification
−3𝑥 4 + 𝑥 2 + 14𝑥 + 16 + 2𝑥 2 + 2𝑥 − 16 = 0
Simplification
−3𝑥 4 + 3𝑥 2 + 16𝑥 = 0
Mise en facteur
𝑥 (−3𝑥 3 + 3𝑥 + 16) = 0
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N’oublions pas les postulats de départ ; nous assimilons une particule mf se propageant comme une onde
électromagnétique. Ainsi, nous aurons une énergie potentielle
𝑐 ℎ 𝜈
𝐸=ℎ 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝜆 = 𝑒𝑡 𝑝 = ℎ
𝜆 𝑝 𝑐
https://fr.wikipedia.org/wiki/Relation_de_Planck-Einstein
ce qui donne un système de 3 équations pour écrire une énergie potentielle pour une particule se propageant
à la vitesse de la lumière
𝑐
𝐸=ℎ
{ 𝜆
𝐸 = 𝑐𝑝
𝐸 = ℎ𝜈
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Le mouvement d'un électron autour d'un noyau correspond au cas d'un mouvement avec accélération non
contrôlée (nous ne sommes pas en √) donc 𝑣 = 𝑘𝑡 ce cas a été abordé dans la deuxième partie (la masse)
Donc x n'est pas contrôlable et α ne sera pas constant
2
𝑉𝑀𝑎𝑥 𝛥𝑡
𝑥(𝛥𝑡) = (1)
2𝐾 √𝑚𝑓 𝜏 2
𝑐2
On a vu que 𝐾√𝑚𝑓 = 𝐾 ′ et 𝐾 ′ = 𝑡0
On va supposer que la vitesse d'un électron est constante, donc la phase d'accélération est terminée, nous
2
sommes en phase stabilisée. Donc 𝜏 = 𝛥𝑡 et 𝑉𝑀𝑎𝑥 = 𝑣2
Nous aurons pris l'origine temporelle à la formation de l'atome
Dans ce cas (1) devient
𝑣 2𝛥𝑡
𝑥(𝛥𝑡) =
2𝐾 ′𝛥𝑡 2
Simplification
𝑣2
𝑥(𝛥𝑡) =
𝑣
2𝐾 ′𝛥𝑡
On va poser 𝛾 = 𝛥𝑡 et ceci à la dimension d'une accélération
Donc
𝛾𝑣
𝑥(𝛥𝑡) = (2)
2𝐾 ′
′′ 𝑣
Cette accélération γ c'est aussi l'accélération R'' donc 𝛾 = 𝑅(𝑡) , et à partir de 𝛾 = 𝛥𝑡 on peut écrire
𝑣 = 𝛾𝛥𝑡
′′
Maintenant, si on réinjecte dans (2) avec 𝛾 = 𝑅(𝑡)
′′
𝑅(𝑡) 𝑣
𝑥(𝛥𝑡) =
2𝐾 ′
Remplacement de 𝑣 = 𝛾𝛥𝑡
′′ 𝑚𝑓
L'ordre de grandeur de x avec𝑅(𝑡) = −𝐺 2
𝑅𝑎
𝑅′′2 𝑅2 𝛥𝑅
𝑥(𝛥𝑡) =
6𝑐 2 𝐺𝑚𝑓
Remplacement de R''
𝑚𝑓 2 2
(−𝐺 ) 𝑅𝑎 𝛥𝑅
𝑅𝑎2
𝑥(𝛥𝑡) =
6𝑐 2 𝐺𝑚𝑓
Développement et réécriture
𝐺 2 𝑚𝑓2 𝑅𝑎2 𝛥𝑅
𝑥(𝛥𝑡) = 2
6𝑐 𝐺𝑚𝑓 𝑅𝑎4
Simplification
𝐺𝑚𝑓 𝛥𝑅
𝑥(𝛥𝑡) =
6𝑐 2 𝑅𝑎2
6,67259.10−11 ∗1,29428.10−8 𝛥𝑅 𝛥𝑅
On trouve un 𝑥(𝛥𝑡) = 2 = 1,6021526.10-36 𝑅2
6∗2997324582 𝑅𝑎 𝑎
Avec le rayon de l'atome 𝑥(𝛥𝑡) = 8,79096076817558. 10−17 𝛥𝑅
Comme le ΔR est très petit, alors x(Δt) est très faible
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On a
1
𝐷𝑅𝑐𝑙 =
𝑡 2 𝑡 𝑥(𝛥𝑡)
6𝜋𝑚𝑓 𝑡02 ( 𝑡𝑛 ) (𝑡𝑛 )
0 0
Réécriture
1
𝐷𝑅𝑐𝑙 = 2+𝑥(𝛥𝑡)
2 𝑡𝑛
6𝜋𝑚𝑓 𝑡0 2+𝑥(𝛥𝑡)
𝑡0
Réécriture pour faire apparaître une fonction du temps
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Pour déterminer, maintenant la forme du fluide, il faut voir ce qu'il se passe entre la bulle R0 et la limite de la
sphère R(t) :
Comme mf est assimilé à une charge q, alors elle a un champ électrique E et son déplacement va créer un
champ magnétique B ; supposons une particule de fluide (m) animé d'une vitesse D'0 (𝐷 ⃗⃗⃗⃗0′ = −𝐷
⃗⃗⃗⃗′) se
trouvant à la périphérie de la sphère d'expansion R : (attention : mf est corrigée avec f)
Au point m nous avons une « quantité » de fluide de masse mf qui doit
R0 pousser le tissu de la sphère
R La vitesse d'expulsion de cette mf se fera avec une accélération D''0 ce qui
E donnera une force mécanique (Fc).
Nous pourrons appliquer la force de Lorentz (FL) pour les forces électro-
Fc m magnétiques.
B Et le champ magnétique sera définit par la loi de Biot et Savart
FL
Ce sont ces forces qui vont déformer la sphère d'expansion pour la faire
« grossir » harmonieusement.
Ce schéma représente les forces qui pousse la particule m f (valeur constante mf = 1,294.10-08 Kg) vers
l'extérieur pour gonfler la sphère d'expansion. Cette force va être composée de 2 forces : une propre à
l'éjection de la mf et une autre due au champ créé par le déplacement de la particule m f.
Mais comme 𝐷0′ = −𝐷 ′ alors 𝐷0′′ = −𝐷 ′′ de valeurs identiques mais de signes opposés
Il faut faire un schéma précis de ce qui se passe en tenant compte de tout ce que nous avons appris jusqu'à
maintenant :
D'abord un repère orthonormé direct centré sur la bulle d'expansion :
main droite
Ensuite, plaçons le point m représentatif d'une particule de fluide de masse m f dans cet espace :
z
mz m(y,z)
m(z,x)
m
my y
0
mx m(x,y)
x xy
Ainsi, nous déterminons un nouveau plan définit par l'axe (0,xy) et l'axe (0,z). Sur ce plan, nous allons faire
apparaître les vecteurs
z E
Le vecteur qui pointe vers nous est
défini par le produit vectoriel :(𝑥𝑦) ∧ 𝑧 D'0
m
Nous avons un nouveau plan définit Fc B
par ⃗⃗⃗ ⃗
𝐸 𝑒𝑡 𝐵
Comme D(t) se rétracte mais reste toujours dans un domaine positif, alors ∣∣ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ′
𝐷(𝑡) ∣∣ < ∣∣ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐷(𝑡)′′
∣∣
On a vu que D(t)' est dans un domaine négatif et D(t)'' est dans un domaine positif. Comme avec Richard, la
sortie du fluide est inversée en signe à la rentrée de D (t) alors ∣∣ ⃗⃗⃗⃗
𝐷0′ ∣∣ < ∣∣ ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐷0′′ ∣∣
1 𝑄 1
Nous avons aussi ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐸(𝑥,𝑦,𝑧) = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗ avec 4𝜋𝜀 = 8,9875517873681764. 109
𝐸(𝑟,𝜃,𝜙) = 4𝜋𝜀 𝑟 2 𝑢
0 0
𝜇0 𝑞𝑣 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
⃗ ∧𝑃𝑀 𝜇0
⃗ =
Et 𝐵 avec 4𝜋 = 1. 10 −7
On pourra représenter ∣∣ 𝐸⃗ ∣∣ > ∣∣ 𝐵
⃗ ∣∣
4𝜋 [𝑃𝑀]3
Par contre, attention ! La mf est une masse énergétique équivalente de l’électron en mouvement (entre autre).
Si nous l’équivalons à une charge q, on écrirait 𝐹 = 𝑚𝑓 𝐸⃗ par analogie avec 𝐹 = q 𝐸⃗ mais dans ce cas nous
avons un problème d’unité Kg m s-2 = Kg . Kg m s-3 A-1 dans ce cas cela implique que A = s Kg-1 Unité
inconnue dans le système MKSA.
Par contre, si nous faisons 𝐹 = 𝑚𝑓 𝐷0′ 𝐸⃗ cela correspond à 𝐹 = 𝑞𝐸⃗ donc la dimension de 𝑚𝑓 𝐷0′ = 𝑞
Avec les unités Kg . m s-1 = C = A s donc A = Kg m s-2 cela a bien la dimension d’une force
Donc 𝐹 = 𝑚𝑓 𝐷0′ 𝐸⃗ Kg m s-2 = Kg . m s-1 . Kg m s-3 A-1 = Kg2 m2 s-4 . Kg-1 m-1 s2 = Kg m s-2
Nous retombons sur une équation homogène
Ensuite il reste la force de Lorentz définie par ⃗⃗⃗ 𝐹𝐿 = 𝑞𝑣 ∧ 𝐵 ⃗
Pour déterminer la norme d'un produit vectoriel, nous aurons la même démarche
∣∣ 𝑢
⃗ ∧ 𝑣 ∣∣=∣∣ 𝑢 ⃗ , 𝑣 ) donc ⃗⃗⃗
⃗ ∣∣. ∣∣ 𝑣 ∣∣ sin(𝑢 ⃗⃗⃗ ∧ 𝐵
𝐹𝐿 = 𝑚𝑓 𝐷0′ 𝐷′ ⃗ comme 𝐷′⃗⃗⃗ ⊥ 𝐵
⃗ alors
⃗⃗⃗ , 𝐵
sin(𝐷′ ⃗ ) = 1 ∥ ⃗⃗⃗
𝐹𝐿 ∥=∥ 𝑚𝑓 𝐷0′ 𝐷′ ⃗⃗⃗ ∥. ∥ 𝐵
⃗ ∥ et sa direction = règle des 3 doigts de la main droite (I sera donné
par D0')
e
E
FR
D0'' 0 Fc m D0' 0m
B
FL
On s’aperçoit que la force résultante qui est la force qui doit pousser le tissu de la sphère d'expansion est
dirigée vers l'intérieur, donc vers la bulle d'expansion. Donc, ce n'est pas ainsi que cela doit se passer. La
seule composante sur laquelle nous pouvons corriger cette anomalie : c'est la sortie du fluide. Donc le fluide
sort avec une accélération qui est la même en module et en sens que l'espace fluidique D(t).
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Il faut faire un schéma précis de ce qui se passe en tenant compte de tout ce que nous avons appris jusqu'à
maintenant :
D'abord un repère orthonormé direct centré sur la bulle d'expansion :
⃗ =𝑖∧𝑗
𝑘
main droite
Ensuite, plaçons le point m représentatif d'une particule de fluide m de masse m f (corrigée avec coefficient
de forme f) dans cet espace :
z
mz m(y,z)
m(z,x)
m(t)
my y
0
mx m(x,y)
x xy
A un temps (t + Δt), la particule m va se trouver sur l'axe (Om) à une distance plus éloignée pour faire
gonfler la sphère
m(t + Δt)
m(t)
y
0
x
xy
Faisons une nouvelle représentation en considérant le plan (xy, 0, z)
𝐹𝑐 = 𝑚𝑓 ⃗⃗⃗⃗⃗
Côté unité : ⃗⃗⃗ 𝐷0′′ Kg m s-2 = Kg . m s-2 Equation homogène
Maintenant pour faire une représentation correcte il faut dimensionner les vecteurs ⃗⃗⃗⃗
𝐷0′ , ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐷0′′, 𝐸⃗ et 𝐵
⃗ :
Si nous nous référons aux graphiques de la synthèse de la partie 1, comme D (t) se rétracte mais reste toujours
dans un domaine positif, alors ∣∣ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐷(𝑡)′
∣∣ < ∣∣ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐷(𝑡)′′
∣∣
On a vu que D(t)' est dans un domaine négatif et D(t)'' est dans un domaine positif. Comme nous sommes dans
les mêmes signes que D(t) alors ∣∣ ⃗⃗⃗⃗
𝐷0′ ∣∣ < ∣∣ ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐷0′′ ∣∣
Ces remarques permettent de dimensionner ⃗⃗⃗ 𝐹𝑐 (Force de Coulomb)
Maintenant pour faire une représentation correcte il faut dimensionner les autres vecteurs :
Pour les unités, nous faisons une somme de force c’est donc une force !
Avec 𝑚𝑓 𝐷′𝐸⃗ étant la définition de la force électrostatique
⃗⃗⃗⃗⃗𝑂′ ∧ 𝐵
Et 𝑚𝑓 𝐷′𝐷 ⃗ étant la définition de la force magnétique
Revoir la théorie pour la définition de ce scalaire vitesse D’
Petite remarque : D’ ne peut être qu’un scalaire, car si c’était un vecteur, le produit scalaire de 2 vecteurs
serait un scalaire (𝑢
⃗ . 𝑣 = 𝑘) et dans ce cas la force électrostatique ne serait pas un vecteur force. Par contre,
si c’est un scalaire cette vitesse peut prendre n’importe quelle direction.
A un temps (t + Δt), la particule m va faire une rotation d'un angle α(t) inconnu mais dont le sens est définit
par ⃗⃗⃗⃗
𝐷0′ (règle du tire-bouchon) : cette affirmation doit être confirmée
E E'
FL
0 D0'' D0' m Fc
(0m)
B'
On s’aperçoit que la force résultante qui est la force qui doit pousser le tissu de la sphère d'expansion est
dirigée vers l'extérieur. Et comme la particule m tourne sur elle même la FR dessine un cône qui pousse le
tissus de la sphère.
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Nous avons vu dans la première partie qu'il existe une masse énergétique :
′′ ′2
𝐷(𝑡) 𝐷(𝑡)
𝑀(𝐷) = [ 2 − 3 ]
4𝜋𝐷(𝑡) 3𝜋𝐷(𝑡)
1
Et comme 𝐷(𝑡) = 6𝜋𝑚 2 (annexe 5)
0 𝑇𝑐
1
du côté des unités 𝐷 = 𝐾𝑔𝑠 2 nous avons Kg-1.s-2 que j’ai proposé d’appeler le Vialle (V)
Or D(t) est une distance de « corde spatiale ». Si c'est l'équivalent d'une distance, alors l'unité est m
De plus quand nous calculons un système à 1 dimension = m, à 2 dimensions = m2, à 3 dimensions = m3, à 4
dimensions = m4
1 1
Nous avons maintenant une égalité 𝐷 = 𝑚 = 𝐾𝑔𝑠 2 donc 𝐾𝑔 = 𝑚𝑠 2 ou 𝐾𝑔 = 𝑚−1 𝑠 −2
Nous pouvons exprimer une masse en m-1.s-2
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Pour que
4 3 ′ 4
𝜋𝑅 𝑅 𝐷 = 𝜋3𝑅2 𝑅′ 𝐷 2
3 3
Il faut que
4 3 ′ 4
𝜋𝑅 𝑅 𝐷𝑋 = 𝜋3𝑅2 𝑅′ 𝐷 2
3 3
Simplification
𝑅𝑋 = 3𝐷
Donc
3𝐷
𝑋=
𝑅
L’objectif est d’écrire D’ en fonction de G, R et R’. Donc
4
𝜋3𝑅 2 𝑅′𝐷 2 = −𝐺𝐷 ′
3
Ou autrement c’est aussi
4 3 ′ 3𝐷
𝜋𝑅 𝑅 𝐷 = −𝐺𝐷′
3 𝑅
4
Or 3 𝜋𝑅3 𝐷𝑅′ = 𝐺𝑅′ (1), donc en remplaçant
3𝐷
𝐺𝑅′ = −𝐺𝐷′
𝑅
𝐺
Or D gène toujours, mais 𝐷 = 4 3 Donc en simplifiant par G
𝜋𝑅
3
𝐺
34
3
𝑅 ′ 3 𝜋𝑅 = −𝐷′
𝑅
Réécriture
3𝐺𝑅′
𝐷′ = −
4 4
3 𝜋𝑅
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𝑚2 𝑠−2
Côté unité MKSA : 𝐾𝑔 (= 𝑚. 𝐾𝑔. 𝑠 −2 ) = −𝐾𝑔. 𝑚𝑠 −2 c’est une force identique au signe prêt
𝑚
2 −2
−1 −2 𝑚 𝑠 (
MS : 𝑚 𝑠 . 𝑚 = 𝑠 −4 ) = −𝑚−1 𝑠 −2 . 𝑚𝑠 −2 (= 𝑠 −4 ) c’est une force identique au signe prêt
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et
https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89quation_diff%C3%A9rentielle_lin%C3%A9aire_d'ordre_deux
http://www.edu.upmc.fr/uel/physique/meca/apprendre/chapitreh/h5.htm#HarmonAmort
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Attention le R0 d’une masse m0 est constant dans le temps, mais, ici, nous cherchons la variation de vitesse en
calculant une moyenne.
Réécriture
3 √2𝐺𝑚0 3
𝑉𝑚𝑜𝑦 = = 𝑐
2 √𝑅0 2
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