La Politique de Communication
La Politique de Communication
La Politique de Communication
2. Processus de la communication
Conclusion
Introduction :
I : ISLAHATE
1. Présentation de l’entreprise ISLAHATE
2. Analyse et critique
II : Entreprise Solgaard
1. Présentation du produit
2. Stratégie de communication
Conclusion
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INTRODUCTION GENERALE
L’échec d’une activité ou d’une entreprise en général ne se traduit pas toujours par les problèmes de
financement ou de positionnement. Il peut être s’expliquer par une mauvaise mise en œuvre du marketing
opérationnel autrement dit un problème qui touche un des instruments du marketing mix qui sont en nombre
de quatre (produit, prix, communication et distribution).
La combinaison entre ces éléments permet à l’entreprise d’attendre ces objectifs et d’améliorer son
attractivité sur le marché.
Toutes les entreprises peuvent avoir une bonne politique soit de produit, de prix, de distribution qu’on peut
l’avoir partout surtout avec la mondialisation le seul moyen qui peut créer la différenciation et valorisé ou
dévalorisé une activité c’est la communication et ses protocoles ce qui permet de la faire connaitre par le
consommateur et influence sur la vision de ce dernier d’une manière négative ou positive. La publicité est
alors l’outil dominant, voire unique de la communication marketing. Les techniques de média-planning
voient le jour en 1957, avec la création du Centre d’Étude des Supports Publicitaires qui fait les premières
études d’audience. Le développement de la télévision et son utilisation pour la publicité de marque font
exploser le marché publicitaire. À la fin des années 1960 et au début des années 1970, une nouvelle
génération d’agences apparaît.
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Chaque moyen de communication présente des caractéristiques pour l’annonceur, plus ou moins adaptées à
l’effet recherché.
« Alors comment l’entreprise peut améliorer sa compétitivité sur le
marché à partir de la politique de communication ? »
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Axe 1 : cadre conceptuel sur la communication marketing :
1. Généralités sur la communication marketing :
1.1.La communication marketing :
« Pour une entreprise, ne pas réaliser de publicité c’est comme faire de l’œil à une fille dans le noir. Vous
savez ce que vous faites, mais personne d’autre ne le sait » (Stuart H.Britt).
La prise en compte de tous les partenaires de la communication (actionnaire, fournisseurs, force de vente…),
de toute les formes de messages qui peuvent leur être adresses ainsi que toutes les actions possibles,
implique d’avoir une vision « globale »de la communication en concevant des mix de communication
efficaces.
Le mix de communication est l’arbitrage sur les outils de communication à employer. C’est l’ensemble des
moyens que l’entreprise va sélectionner. Le mix de communication est analogue a la notion de marketing
mix et signifie que l’on cherche a faire le meilleur choix entre les différents moyens de communication
disponibles. Autrement dit, il faut savoir combiner les actions medias et les actions hors medias.
Une fois le produit est fabriqué, il s’agit maintenant de « faire savoir » que le produit existe et de le « faire
valoir », d’où vient le rôle de la politique de communication dont les actions doivent atteindre et convaincre
le marche ciblé.
La réunion des conditions matérielles et immatérielles de l’échange ne suffit pas à assurer un ajustement
entre l’offre et la demande. Pour que la confrontation entre « les offreurs » et « demandeurs » puisse
s’effectuer ,des flux de communications doivent être mis en place entre les différents acteurs dans le
processus de libre échange ,notamment a l’initiative de l’entreprise, en vue de faire connaitre au marche la
marque ou l’entreprise autrement dit ,réussir un bon positionnement.
Au niveau cognitif (faire savoir) : c'est le niveau de la connaissance. La communication a pour but la prise
de conscience, l'attention, la notoriété et l'information de la cible au suet d'une marque, d'un produit, d'une
idée ou d'une entreprise.
Au niveau affectif (faire aimer) : c'est le niveau de l'appréciation. La communication agit sur les attitudes.
Elle a pour objet d'éveiller l’intérêt, le désir et la préférence des individus.
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Au niveau comportemental (faire agir) : c'est le niveau de l'action. Le but est d'entraîner une action se
traduisant par un achat ou l'adoption d'un nouveau comportement.
2. LE PROCESSUS DE COMMUNICATION :
Communiquer c'est mettre en commun, une idée, une information, une attitude.
Le feedback prévoit une réaction de la cible. Si cette réaction va dans le sens recherché par l'émetteur, la
communication a atteint son objectif (on dit que le feed-back est positif). Sinon, (si le feedback et négatif), il
convient d'identifier et d'analyser les causes d’échec
D'après le célèbre schéma issu des travaux de Shannon et Weaver, le processus de transmission de
l'information suit le schéma suivant :
Qui ? Qui communique ? Quelle source ? Quels sont l'impact et l'image de ces sources ?
À qui ? Quelles sont les cibles ? le cœur de cible ? Existe-il des leaders d'opinion ?
Quoi ? Quel est le message à transmettre ? Quel est celui qui a été réellement perçu ?
Comment ? Avec quels canaux ? Ces canaux valorisent-ils le message ?
Avec quels effets ? Avec quels résultats ? Les objectifs de communication ont-ils été atteints ?
Comment modifier les écarts ? Que faut-il modifier pour être plus efficace ?
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Axe 2 : l’élaboration d’une stratégie de communication
* la stratégie « push »: ellea pour but de pousser le produit vers les consommateurs, au moyen de la
force de vente ou d’actions promotionnelles menées par le producteur ou le distributeur.
Par exemple :
– participation foire et salon
– distribution d’échantillon
– opérations promotionnelles en distribution avec mises en avant produit
– tournée des plages, animations autoroutes
– déploiement de forces de vente terrain…
* la stratégie « pull »: elle a pour but de tirerles consommateurs vers le point de vente et le produit au
moyen d’une campagne publicitaire.
Bien souvent la stratégie « push » est associée aux jeunes entreprises. Inconnues du grand public, les
jeunes entreprises se rendent au contact de leurs prospects et leurs font découvrir leurs produits. Pour
ces entreprises, la stratégie « push » présente l’avantage d’être moins coûteuse que la stratégie « pull ».
À l’inverse, la stratégie « pull » est associée aux grands groupes qui disposent d’une grande notoriété
sur le marché et d’un important budget marketing.
1
Dunod, Paris, 2008, ISBN 978-2-10-0536511
2
CommunicationcommercialeCM(2).doc
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La stratégie de communication s’élabore en sept étapes essentielles:
La cible intermédiaire correspond aux individus ayant une influence sur l’achat à savoir: les prescripteurs,
les distributeurs et les utilisateurs. Alors que, la cible finale correspond aux acheteurs actuels ou potentiels
des produits de l’entreprise.
L’essentiel pour l’entreprise est de bien connaître les besoins et désirs ainsi que les habitudes et les
comportements de sa cible.
A titre d’exemple :
* Que dire ? (contenu du message): le message doit contenir trois axes: - un axe rationnel, un axe
émotionnel et un axe éthique.
* Commentle dire ? (structure du message) : le message doit être construit de façon intelligente et
doit être articulé autour d’une introduction, d’un enchaînement convaincant des arguments et d’une
conclusion.
* Comment le dire au plan symbolique? (format du message): il s’agit d’un amalgame approprié
de formes symboliques, de couleurs, d’images et de décors formant l’ambiance nécessaire à la
communication.
* Qui doit le dire ? (source du message) le message doit être véhiculé par une source crédible.
Cette étape consiste à réfléchir aux différents canaux qui seront utilisées pour transmettre le message.
Ces canaux peuvent être classés en deux catégories: canaux personnels et canaux impersonnels.
Les canaux personnels permettent des contacts individualisés et directs avec la cible visée, l’avantage de ce
type de canal est de produire un feed-back efficace. Et les canaux impersonnels rassemblent les médias qui
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acheminent le message sans contact direct avec la cible. Parmi ceux-ci on peut citer les mass-médias et les
événements.
Il existe plusieurs méthodes pour déterminer le budget de communication parmi lesquelles on peut citer:
Dans la réalité, l’élaboration du budget se fait en utilisant simultanément ces méthodes, et en tenant compte
de certains critères tels que : le cycle de vie du produit, les objectifs marketing et de communication,
l’analyse de la concurrence, la part relative du CA, etc.
L’entreprise doit répartir son budget de communication entre les différents moyens de communication média
et hors média puis, à l’intérieur de chaque moyen, une répartition partielle doit être réalisée.
* les pré-tests: il s’agit de monter le message à un échantillon de clients potentiels, puis de mesurer leurs
réactions. Ces pré-tests permettent d’analyser les éléments de la qualité du message et son impact en se
référant aux objectifs assignés à la communication avant la diffusion effective de la campagne. Ils sont
nécessaires pour améliorer la création du message.
* les post-tests: ils ont lieu après la diffusion du message, ce qui permet de mesurer réellement ses effets. La
cible est interrogée pour vérifier: l’exposition de la cible au message, l’impact et la mémorisation du
message ainsi que la compréhension et la crédibilité du message et finalement pour examiner le changement
d’attitude de la cible vis-à-vis de l’entreprise et de ses produits.
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Axe3 : les moyens de la communication
L’entreprise dispose d’une panoplie de moyens de communication média et hors-média. Entre tous ces
moyens, l’entreprise doit adopter un dosage de communication (mix communication) ; c'est-à-dire choisir la
meilleure combinaison, celle qui lui permettra d’attendre les objectifs qu’elle s’est fixés.
La publicité est une forme de communication de masse, dont le but de fixer l’attention d’une cible visée afin
de l’inciter a acheter un produit déterminé.
On peut la définir aussi par l’ensemble des moyens destinés à informer et convaincre une cible d’acheter un
produit ou un service:
- Messages à but promotionnel véhiculés, à titre onéreux par l’un des grands médias qui leurs délivrent en
contre partie leur audience.
- Elle se distingue de la publicité non payante comme le contenu rédactionnel d’une revue;
- Elle n’est pas seulement informative mais contribue à la réalisation des objectifs marketing de
l’entreprise; - Elle s’insère dans le cadre d’une stratégie de communication d’aspiration qui vise à favoriser
la coopération des distributeurs par la stimulation de la demande finale.
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Les décisions publicitaires s'intègrent dans un processus qui met en jeu plusieurs éléments. Ceux-ci sont
récapitulés
B La création publicitaire
le briefing,
la création du message,
l'évaluation de celui-ci.
Le briefing
Le briefing est la phase durant laquelle l'annonceur expose son problème de communication, ses objectifs
publicitaires et propose un cahier des charges. Dans son « brief » à l'agence, l'annonceur doit fournir une
stratégie marketing. Il doit rappeler les faits marketing de base :
le briefing,
la création du message,
l'évaluation de celui-ci.
Le briefing
Le briefing est la phase durant laquelle l'annonceur expose son problème de communication, ses objectifs
publicitaires et propose un cahier des charges. Dans son « brief » à l'agence, l'annonceur doit fournir une
stratégie marketing. Il doit rappeler les faits marketing de base :
Le problème à résoudre doit être clairement spécifié : un problème mal posé est un problème qui sera mal
traité ! Chacun des éléments importants de la stratégie marketing doit être traduit en termes de stratégie
publicitaire. Une fois le problème posé, la phase de création commence en suivant la démarche de la copy
stratégie, du plan de travail créatif ou de la star système...
C. LA COPY-STRATÉGIE
La copy-stratégie est un cahier des charges sur lequel vont travailler les rédacteurs, les dessinateurs, les
média-planneurs. Elle a pour but d'établir une cohérence entre la stratégie marketing et la stratégie de
communication.
Les rubriques d'une copy-stratégie peuvent varier, mais globalement les principales rubriques sont résumées
ci-dessous :
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Ton et ambiance : ambiance qui doit transparaître au travers du message
Contraintes : ce peut être des contraintes légales, médias, de distribution... La Copy-stratégie
indique ce que le message doit être. Elle est l'expression directe de la stratégie marketing.
D. L’évaluation d’un message
- Les pré-tests
Les premiers « rushs » sont ensuite présentés à l'annonceur pour être évaluer. Le projet de message est
présenté à un échantillon du marché potentiel. C'est la phase de pré-test qui fait appel à différents outils
(comme le folder test, le slipt run, le tachitoscope...) dont le but est de vérifier : l'adéquation entre les
objectifs initiaux du briefing et la copy-stratégie réalisée, la compréhension et la crédibilité du message, son
impact et sa mémorisation, la valeur d'incitation de l'annonce, la faisabilité technique, financière et juridique.
A. Planning media
le plan média
Une fois que l'on a déterminé la cible à atteindre, le message à transmettre et le budget publicitaire, il reste à
définir le plan média. Le plan média est la combinaison de médias et de supports choisis pour satisfaire au
mieux les objectifs de l'entreprise. Élaborer un plan média, c'est choisir un ensemble de médias puis
sélectionner des supports dans lesquels seront programmées un certain nombre d'insertions. Le média
planning sert à trouver le meilleur média, le meilleur support, au meilleur moment et au meilleur coût pour
une campagne de publicité donnée.
Pour faire un choix rationnel entre les médias et les supports, le média-planneur doit tenir compte de 3
indications :
L'adaptation du ou des médias à la cible se caractérise par le taux de couverture de la cible et le degré de
sélectivité du média.
• la couverture : c'est le pourcentage ou le nombre de personnes qui peuvent être touchées par le plan de
publicité et qui appartiennent à la cible, on parle alors de couverture utile qui est la couverture sur la cible.
• l'affinité : mesure la proximité entre l'audience du média (ou du support) et la cible. L'affinité est
maximum si les 2 populations se recouvrent complètement.
• le pouvoir de répétition : c'est la possibilité d'obtenir une grande fréquence d'exposition dans un minimum
de temps.
• le délai : il est différent en fonction du média. L'accessibilité est également fonction des délais de
conception et de production des messages.
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• Les contraintes : Il existe des contraintes liées à la rapidité de fabrication ou aux délais de réservation de
différents médias. Il reste à classer les médias retenus et à estimer le budget.
NB. : Une fois les médias et les supports choisis, il faut acheter l'espace : c'est l'étape de l'achat d'espace.
On appelle supports tout véhicule publicitaire : par exemple, pour le média presse, le Monde constitue un
support. TF1 ou France 2 sont des supports du média télévision... Pour un média donné, il s'agit de
sélectionner des supports : il faut donc établir un plan de support.
• choisir une combinaison de supports sur des critères quantitatifs (comme la couverture et l'économie) et
sur des critères qualitatifs en rapport avec la qualité de transmission du message (comme le contexte
rédactionnel du support étudié, la tendance de ventes du support, l'image du support auprès du public ou de
la distribution, le contexte publicitaire (volume publicitaire dans le support, présence ou absence de publicité
concurrente...)
• et construire un calendrier d'insertions : nombre d'insertion dans chaque support, périodes et rythme
d'insertion. Les critères quantitatifs peuvent être :
• La diffusion : c'est le nombre d'exemplaire réellement diffusés : Diffusion = tirage - invendus (brouillon)
La diffusion peut être gratuite ou payante. Elle est contrôle par l'OJD (Office de justification de la diffusion).
• L'audience est le nombre total de lecteurs, d'auditeurs ou de spectateurs pour un support à un moment
donné. L'audience est le produit de la diffusion par le taux de circulation. L’audience utile : c'est la partie de
l'audience qui appartient à la cible.
• L'ODV (occasion de voir) ou l'ODE (occasion d'entendre) ou Contact : le nombre d'ODV d'un plan
d'insertion est l'addition du nombre de contacts délivré pour chaque insertion. C'est la probabilité de contact
avec le support. NB. : Le contact avec le message dépend de son emplacement, de son format et de la qualité
de la création.
• La couverture : c'est le nombre ou pourcentage de personnes qui sont exposées au moins une fois à une
campagne. On parle de couverture brute.
• La répétition moyenne ou fréquence : c'est le nombre moyen de contacts pour une personne de la cible
exposée à la campagne.
• Le GRP (Gross Rating Point) ou Point de couverture brute : représente le nombre moyen de personnes
(exprimé en %) touchées par un support à un moment précis. Il est le produit du pourcentage de pénétration
de la cible par la fréquence moyenne de contacts : 1 point de GRP est donné par 1% de pénétration sur la
cible suivant la valeur de GRP d'un plan.
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Par exemple : la pénétration d'un journal est de 23% sur les plus de 25 ans. Calculez le GRP pour 3
insertions dans ce journal. Le GRP du journal est = 23 x 3 = 69% Ce qui signifie que pour un GRP de 69%
la couverture sera de 23% et la fréquence de 3.
• Le coût pour mille : est le coût pour 1000 contacts distribué par un support (sur la cible utile). • La
duplication d'audience : est l'audience commune à deux médias (ou supports).
• le nombre de contacts : c'est le nombre total d'expositions au message, calculé à partir de l'ODV ou ODE.
• la couverture nette : évaluée par le nombre de personnes ayant été au moins une fois en contact avec le
message (une même personne peut avoir été plusieurs fois en contact avec le message). Les duplications sont
ici éliminées.
• le taux de répétition
• La couverture maximum
Affichage
A utiliser dans le cadre de produits nouveaux et pour asseoir rapidement une notoriété. Il sert de
média
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d‘appui et est souvent relayé par la presse et la TV.
Presse quotidienne
Fidélisation de la cible
Magazine :
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Points positifs Points négatifs
Média à fort aspect visuel qui permet Hyper ciblé
un argumentaire
Sa durée de vie est plus longue que
la PQN/PQR (Presse
Quotidienne Régionale/Nationale)
Permet une bonne sélectivité
TV
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Radio
Bonne pénétration si on choisit bien Demande une forte répétition pour obtenir un
la tranche horaire bon taux de mémorisation Média fugace
Pénétration rapide des foyers Absence de visualisation
Qualité du contact est question
d‘heure et d‘émission Bonne
représentativité des radios locales
Accoutumance et ritualisation avec
ce média
Bonne relation avec les réseaux de
vente
Faible coût
Plus manipulable que les autres
médias
Cinéma
La plus grande mémorisation de tous Sa cible (15/35 ans) l‘interdit à certains annonceurs
les média Couverture faible
Souplesse d‘emploi Cible trop spécifique
Meilleure qualité contact Frais techniques importants
Sélectivité géographique précise Répétition faible
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Internet, un nouveau média :
Au cours des années 90, avec la progression du taux d’équipement en informatique, un nouvel outil de communication
publicitaire a émergé, c’est l’internet dont l’expansion crée de nouvelles perspectives pour la publicité.
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1.2 Les moyens de communication hors media
1.2.1. La force de vente :
De nos jours, la force de vente et la communication apparaissent comme des fers de lance de toute
entreprise. En effet leur prise en compte engendre des chiffres d'affaires notoires.
La force de vente peut être définie comme étant la composition des collaborateurs de l'entreprise chargés de
l'action commerciale auprès des prospects et clients avec lesquels ils sont en contact direct (vendeurs..) et du
personnel chargé de leur encadrement (directeur commercial, chef des ventes....) tandis que la
communication peut être comprise comme étant le fait de transmettre des informations au public par
différents moyens dans le but ultime d'accroître ses ventes.
En générale elle sert :
Au développement de la notoriété du produit ;
A l’éveil de l’intérêt et de la préférence ;
A la négociation des prix et des conditions d’achat ;
A la conclusion du contrat.
Une opération de promotion des ventes consiste à associer un avantage supplémentaire provisoire à un
produit dans le but d'obtenir une augmentation, une stimulation, rapide (mais temporaire) des ventes. Elle
agit donc sur le comportement du consommateur en proposant un avantage supplémentaire par rapport à
l'offre normale. Il s'agit de mettre le produit en avant par le biais d'action « push ».
Il faut distinguer :
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- LES OBJECTIFS DE LA PROMOTION
La promotion poursuit des objectifs commerciaux : augmenter les ventes en facilitant l'essai ou l'acquisition
du produit (stade comportemental).
L'essai gratuit : a pour but de faire essayer gratuitement aux clients potentiels le produit. Cela peut
se faire par le biais de :
l'échantillon gratuit,
a dégustation
ou la démonstration.
Les réductions temporaires de prix : consistent à offrir un avantage financier au consommateur.
La réduction peut être immédiate ou différée. Il peut s'agir :
de réduction immédiate du prix
d'offres spéciales qui consistent à diminuer le prix d'un produit temporairement par le biais
par exemple d'un pourcentage de réduction.
d'une vente par lot : vente groupée, 3 pour 2, vente jumelée (plusieurs produit différents par lot).
la reprise de l'ancien produit contre l'achat d'un nouveau
les offres de remboursement différé (ODR) : donnent la possibilité aux consommateurs de se
faire rembourser en adressant la « preuve d'achat » à une adresse indiquée. Il existe plusieurs
techniques associées à l'ODR :
l'offre de remboursement simple,
le « money-refund offer » ou « cash refund » (offre de remboursement contre plusieurs
preuves d'achat),
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l'essai qualité (qui se fait, via un encart presse, en présentant, en une seule proposition, 5 à
10 produits différents qui proposent une offre de remboursement),
le cross-couponing (coupon croisé) (qui propose de bénéficier de l'offre en la rapportant
sur un autre produit que celui acheté),
le buy-back (achat remboursé) (permet de rembourser un achat plusieurs années plus tard).
le couponing simple à mi-chemin entre la réduction de prix immédiate et différée.
Le remboursement se trouve soit sur le conditionnement du produit (à valoir sur un nouvel
achat), soit distribué dans les boites aux lettres. Le consommateur muni du coupon, lors du
passage en caisse, ne paie que la différence entre le prix indiqué et la réduction inscrite sur
le coupon.
le couponing électronique : lors de son passage en caisse, on remet au client, en même
temps que le ticket de caisse, des coupons édités par l'équipement de caisse à valoir sur ses
prochains achats. La machine sélectionne les coupons en fonction : de la nature des achats
effectués par le client, de ses centres d'intérêts, de ses habitudes de consommation...
La charity promotion : promotion associée à une œuvre humanitaire. Ce type de promotion
répond à des valeurs montantes dans la société et confère à la marque une valeur ajoutée
affective et sociale. Le principe est simple : l'achat d'un produit génère l'envoi de fonds à
une association caritative. L'objectif est de donner une dimension humanitaire à la marque
(un supplément d'âme).
les primes et cadeaux associés à l'achat d'un produit. Ils peuvent accompagner l'achat
unitaire du produit ou être subordonnés à plusieurs achats successifs.
Il existe :
la prime directe : la prime est faite en même temps que l'achat. Elle est in-pack (contenue dans le
produit), on-pack (fixée sur le conditionnement), ou encore remise à la caisse au moment du
paiement.
La promotion « girafe » ou prime produit en plus : qui offre une quantité supplémentaire de
produits au même prix.
La prime auto-payante où le client est invité à ajouter une certaine somme d'argent pour bénéficier
des cadeaux offerts en plus de la cumulation des preuves d'achat.
La prime parrainage : consiste à promettre au « parrain » un cadeau s'il trouve de nouveaux clients
« filleuls »).
Le conditionnement réutilisable très utilisé pour les pots de moutarde par exemple qui peuvent être
utilisés comme verres après usage.
les jeux et concours : Le concours repose sur une obligation d'achat.
Il existe:
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Stratégie promotionnelle :
les cibles de la promotion : cette cible est répartie en 80% consommateurs et 20% aux
réseaux de définir les objectifs spécifiques de promotion
distribution (force de vente, distributeurs...)
la technique promotionnelle envisagée avec ses descriptifs précis choisir les avantages
proposés
définir la copy-stratégie (promesse de la promotion, preuve, ton...)
choisir les supports de présentation pour faire connaître la promotion
le budget et le calendrier
les moyens de contrôle de l'action promotionnelle
Les moyens de promotion doivent être choisis en fonction des objectifs promotionnels. On peut dire que
chaque objectif implique des moyens promotionnels précis.
Les relations publiques regroupent l’ensemble des activités de communication menées par l’entreprise en
vue d’établir, d’entretenir ou de développer de bonnes relations avec ses différents publics.
La démarche stratégique des relations publiques doit être intégrée dans le cadre d’une stratégie globale de
communication.
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- Définition des objectifs précis attribués aux relations publiques
- Choix et description des cibles - Choix des moyens spécifiques les mieux adaptés
- Objectifs
- créer des relations privilégiées et de sympathie avec toutes les personnes présentant un intérêt pour
l’entreprise
- véhiculer une image positive et valoriser l’image de l’entreprise et de ses produits - améliorer la
connaissance de l’entreprise et de ses produits
- Cibles
- Les publics externes : clients, fournisseurs, distributeurs, actionnaires, partenaires financiers…ainsi que
journalistes, grand public…
- Les publics internes : l’ensemble des salariés, ou certaines catégories de salariés (délégués syndicaux,
représentants du personnel..)
- organisation d’évènements
- journées portes-ouvertes
- visites de l’entreprise
- cadeaux d’affaire : de valeur plus élevée que l’objet publicitaire il est destiné à quelques privilégiés et à
remercier les clients fidèles et les principaux partenaires de l’entreprise
- les journaux d’entreprise destinés aux clients ou les « webzines » ou « consumers magazine en ligne »
- visite d’exposition…
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1.2.4. L’événementiel :
- DÉFINITION ET OBJECTIFS
- accroître la notoriété
- attirer l’attention
- susciter l’intérêt
- susciter des rédactionnels sur l’entreprise, ses marques, ses produits, ses projets…
- LES CIBLES
Les cibles doivent être des personnes qui représentent pour l’entreprise un intérêt stratégique :
- les fournisseurs
- les distributeurs
Par le biais des médias et d’autre relais, l’événementiel va également toucher un public plus large (clients,
prospects, grand public). Il est possible d’y associer tout ou partie du personnel.
Le parrainage :
C’est une technique de communication par laquelle une entreprise ou une marque apporte son soutien à une
personne ou à une organisation afin de lui permettre de réaliser son projet (soutien d’un sportif, d’une
équipe, d’un club, d’une manifestation sportive, culturelle, humanitaire ou sociale…) en contrepartie d’une
prestation publicitaire clairement définie dont les modalités sont souvent détaillées dans un contrat.
Le mécénat :
C’est une technique de communication par laquelle une entreprise apporte son soutien à une personne ou à
une organisation ans qu’il soit prévu de contrepartie promotionnelle.
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La contribution de l’entreprise doit être considérée comme un don : elle doit paraître désintéressée et toute
référence à l’entreprise doit être discrète.
Il faut viser également : les journalistes, les meneurs d’opinion, les distributeurs et la force de vente
externe, les pouvoirs publics, la communauté financière, les actionnaires, les fournisseurs…
Distinction La différence entre les deux techniques réside dans l’existence ou non d’une contrepartie
publicitaire précise et préétablie.
Pour approfondir la réflexion en affinant les choix spécifiques, on peut avoir recours à des études et
recherches supplémentaires afin d’analyser les opérations de parrainages ou de mécénat réalisé sur le marché
pour compléter le diagnostic. Il est ainsi possible de dégager un problème spécifique à résoudre au
parrainage et au mécénat et d’élaborer une stratégie de parrainage ou de mécénat.
- un rappel du positionnement
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- éventuellement l’exploitation par d’autres moyens de communication
CIBLES
Ce sont souvent les clients et le grand public. Il faut viser également : les journalistes, les meneurs
d’opinion, les distributeurs et la force de vente externe, les pouvoirs publics, la communauté financière, les
actionnaires, les fournisseurs…
Pour vérifier l’efficacité d’une opération de parrainage ou de mécénat et vérifier si les objectifs fixés sont
atteints, l’entreprise peut : - réaliser des études de notoriété et d’image avant et après la mise en œuvre de ces
moyens - chiffrer le nombre de personnes en contact avec le nom de la marque ou de l’entreprise et calculer
un coût pour mille contacts. - Tenter d’évaluer la valeur des retombées médiatiques : temps de présence de la
marque sur les médias, nombre de citations dans la presse.
DÉFINITION
Le marketing direct c’est l’ensemble des moyens de communication directs, individuels et interactifs ayant
pour but de déclencher, de la part des personnes visées, une action immédiate.
Pour mettre en place une opération de marketing direct, il faut réunir plusieurs éléments :
Le fichier est une liste d’éléments contenant des informations de même nature (nom, numéro de
téléphone…). Une base de données regroupe l’ensemble des fichiers reliés entre eux et organisés de manière
logique.
- Le mailing ou publipostage Le mailing est un courrier personnalisé envoyé à des prospects auxquels une
offre ou une information est destinée.
– Le « Bus Mailing » Le « bus mailing » est la réunion sous la forme de paquets de cartes de plusieurs offres
ou de services en direction d’une cible de prospects. Plusieurs entreprises se réunissent pour présenter leurs
offres partageant ainsi les frais liés à l’exploitation d’un même fichier location, routage…
Le format est celui de la carte postale « T » avec un coupon-réponse où le prospect peut indiquer ses nom et
adresse et demander plus d’information si l’offre l’intéresse.
– L’imprimé sans adresse ou prospectus L’ISA est un imprimé commercial distribué dans les boites-aux-
lettres pas forcément de façon ciblée. Il présente une offre promotionnelle et est assorti d’un coupon réponse
ou d’un coupon de réduction incitant le prospect à se déplacer sur lieu de vente.
Remarque : La distribution de l’ISA est améliorée grâce au géomarketing qui permet de cibler les
prospects en fonction de leur niveau de vie et de leur quartier d’habitation.
– L’asile colis ou l’encart-courrier L’asile colis est un imprimé publicitaire glissé dans un colis de vente par
correspondance qui vend un « droit d’asile ».
L’encart-courrier est une offre commerciale ou un document publicitaire que l’entreprise émettrice glisse
dans l’enveloppe de son propre courrier (avec les factures ou les relevés de comptes dans le cas des
banques).
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– Les encarts sur lieu de vente Les encarts sur lieu de vente sont des fiches au format carte postale placées
dans des présentoirs sur lieu de vente.
– Les Masse Médias Si l’entreprise ne dispose pas d’un fichier exploitable, elle peut recourir aux grands
médias pour prospecter des clients.
La presse par le biais d’un encart presse : qui consiste à insérer des annonces comportant une offre
spécifique assortie d’un coupon réponse ou d’une invitation à appeler un numéro de téléphone.
La télévision et la radio par le biais d’un numéro vert ou de l’adresse d’un site Internet intégré à un
spot. Ou dans le cadre d’émission de télé-achat.
L’affichage en intégrant un numéro de téléphone ou une adresse Internet mais se pose le problème de
la mémorisation.
– La télématique : le téléphone (serveur vocal) et internet La télématique est constituée d’outils alliant
informatique et télécommunication et permettant le traitement et la transmission, à distance, de
l’information. L‘interactivité est immédiate. Le téléphone permet de faire des relances après l’envoi d’un
publipostage par exemple ou dans le cadre d’opérations de rachat ou de réabonnement.
Par exemple, les entreprises de pose de fenêtres qui prospectent les clients à leur domicile. Cela exige de la
part du téléprospecteurs une bonne connaissance de l’argumentaire du produit et la capacité à répondre aux
objectifs des clients. Par le biais du serveur vocal, le client dialogue avec un ordinateur soit pour avoir des
renseignements soit pour passer une commande.
– Les bornes interactives Les bornes interactives sont de petites structures télématiques composées d’un
écran, d’un clavier éventuellement d’un lecteur de carte et parfois d’une imprimante. Installées dans les lieux
publics comme les gares ou les galeries marchandes, elles délivrent des informations comme les tarifs, les
produits…et peuvent permettre de procéder à des règlements.
Comme pour la promotion, la décision d’entreprendre une action de marketing direct impose une démarche
stratégique précise. Il faut, au préalable, déterminer le problème posé à l’entreprise. Il faut également tenir
compte des autres choix en matière de communication : ceux-ci devant être cohérents avec le marketing
direct en matière d’objectifs de cibles de promesse…
En premier lieu, des objectifs de comportement le but premier étant de faire réagir le prospect à
l’action.
Ensuite, un autre objectif est de fidéliser le client par le dialogue établi entre la marque et lui.
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Enfin, le marketing direct agit également sur la notoriété et l‘image en ce que la marque tente de se
faire connaître du prospect (dans le cadre de la prospection) et que par le biais des documents qu’elle
adresse aux clients elle transmet son image et par ricochet l’image de ses produits et de ses marques.
La publicité sur le lieu de vente (ou PLV) regroupe « l'ensemble des moyens utilisés par les fabricants ou
les distributeurs pour valoriser les marques (ou plus élémentairement les produits) au sein du magasin » La
PLV est le média le plus ancien qui a pour objectif d’attirer l’attention du client vers un produit ou une offre
proposée. Elle permet d’encourager l’achat en se basant sur un argumentaire commercial et un discours
publicitaire. Elle peut également avoir un rôle d’orientation dans le point de vente ou de l’offre elle-même
(écran interactif pour trouver la référence d’un livre dans une librairie par exemple).
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L’entreprise
I. Présentation de l’entreprise :
ISLAHAT est une start-up et la seule enseigne marocaine qui offre la possibilité aux
clients de réparer leurs téléphones en toute sécurité, a été lancé par T-Man Groupe pour
répondre à la demande de clients de plus en plus exigeants, ce nouveau-né ambitionne, au début
de l'année 2017, de créer près de 200 emplois répartis sur un réseau de cent kiosques basés dans
les grandes surfaces des différentes 12 villes du royaume ont fait savoir lors
d’une conférence de presse, le directeur général d'ISLAHATE Al Maghreb, Fahd Bennani.
Toute réparation est précédée par un diagnostic complet et gratuit de l’appareil. À la fin du
diagnostic, le réparateur pourra déterminer la bonne réparation que nécessite de
l’appareil d’une durée moyenne de 20 minutes, offrent aux leurs clients une garantie de 3 mois
sur toutes les réparations et valable dans tous les points de service qui sont disponibles 7j/7
selon les régions.
II. Etude d’Islahate :
1. Le marché :
2. La clientèle :
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3. Marketing et politique commercial :
ISLAHATE dépend du marketing mix comme une aide à la décision, il lui permet aussi de définir la
combinaison ( mix) optimale des caractéristiques du service pouvant à répondre à ces attentes des
consommateurs de la manière la plus profitable possible et il lui permet aussi de favoriser le contrôle des
résultats au regard des objectifs initiaux, à partir des quatre P (produit, prix, distribution,
communication).
- Le produit :
Ex :
Marque Model
S1, S2, S3, S4, S5, J1, J2, J3, Note1, Note2, Note3…
Lumia 638, N1, Lumia 730 Dual SIM, Lumia 735, Lumia
830…
One m8, Desire 12+, U11 Eyes, U11+, U11 Life, One X10…
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Xperia XA2, Xperia X Compact, Xperia E5, Xperia L1…
Plus ce service il y a une autre activité, c’est la vente des accessoires des smartphones (Câbles,
Chargeurs, Coques, Kit écouteurs, Mémoires et stockages, Power Bank, Supports et accessoires).
- Le prix :
Le service de la réparation des Smartphones estun service spécial, le prix se détermine à partir du genre
de problème détecté sur l’appareil soit qu’il s’agit HARDWARE ou SOFTWARE, et pour chaque
erreur corrigée, il y a un seul prix qui déjà fixé par l’entreprise. Mais pour la vente des accessoires c’est le
contraire, il y a qui ce que l'on appelle la différenciation des prix, la différenciation est une stratégie
d’entreprise visant
à différencier son produit vis-à-vis de ceux des concurrents. Il s’agit d’intervenir au niveau du rapport qualité-
prix du produit (les accessoires) fourni. Il existe plusieurs techniques de différenciation, variant selon le
critère sur lequel on agit. La stratégie peut, en effet, se faire par le haut (augmentation de la qualité), par le
bas (diminution de la qualité) ou de manière retardée. Elle donne généralement lieu à des prix de vente plus
ou moins élevés.
En offrant des promotions pour les clients fidèles et parfois des remises de 20%.
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- La distribution :
- La communication :
Afin d’attirer ses consommateurs vers son offre ISLAHATE utilise une
communication directe ou indirect avec sa clientèle ; directe il s’agit d’une
communication dans les stands en direct pour avoir bien définir les services et les
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promotions et lorsqu’on parle d’une
Communication indirecte il s’agit de l’intervention des social media (Facebook,
YouTube, etc.).
• Les faiblesses :
-mauvaise communication avec les clients
• les opportunités:
- la clientèle de grandes surfaces
• les menaces :
-l'apparition d’un nouveau concurrent sur le marché
Non seulement pour faire connaître le produit, mais également pour fidéliser ses
clients, l’entreprise doit adopter une stratégie de communication marketing.
Cela doit pourtant s’effectuer en fonction de la situation de l’entreprise. Pour
réussir un plan de communication marketing, il est recommandé de pratiquer
certaines techniques.
Bien que la communication vise à diffuser un message aux clients, elle requiert
en premier lieu la fixation des objectifs à atteindre. Avant même d’établir un
plan de communication ou une feuille de route (roadmap), il convient de savoir
les enjeux de cette communication. L’entreprise doit donc se demander
quelques questions comme :
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– Ou s’agit-il d’une stratégie de fidélisation de clients ?
En fonction des objectifs à atteindre et selon les clients cibles, l’entreprise doit
choisir le support de communication adéquat lors de l’établissement du plan de
communication. Cela dépend essentiellement des clients cibles. En effet, il faut
déterminer clairement la clientèle cible avant de choisir le support de
communication à utiliser (TV, affichage, radio, Internet, etc.). La création d’un
film d’entreprise garantit une belle initiative pour présenter les activités de la
société (à lire sur www.hdproductions.fr/). Si, par exemple, le public cible est
un ensemble d’internautes, l’Internet serait le moyen de communication adéquat
à la diffusion de message. Dans le cas où l’entreprise cible le grand public (tout
le monde), elle peut utiliser plusieurs supports de communication. Ici, le but est
de faire passer le message à travers toute une population.
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Etude de cas II : Entreprise Solgaard
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L’objectif de cette partie sera de montrer l’intérêt de la publicité sur internet ainsi que les
différentes synergies qu’existent entre les différents moyens de communication fournis par ce
dernier (réseaux sociaux, moteurs de recherche…). Pour se faire, on va étudier le cas de
l’entreprise Solgaard.
I. Présentation de l’entreprise :
Fondée par Adrian Solgaard, l’entreprise Solgaard est une startup qui a commencé à chercher son
financement sur le site Kickstarter. Elle fabrique des produits pour les amateurs de voyages. Elle
cherche à rendre les voyages plus amusants en offrant des produits innovants qui facilitent la vie
aux voyageurs tel que des balises, des cartables et même des montres…
Elle est aussi équipée d’une serrure à combinaison pour un maximum de sécurité ainsi qu’un port
USB pour recharger son portable.
Ce profil est le cœur de la cible, le produit peut être bien entendu consommé par toute personne
qui veut voyager tout simplement, et elle ne doit pas forcement entre les 25 et 45 ans. Mais c’est
en ciblant le cœur qu’on sera les plus efficient.
Dans la vidéo on trouve le fondateur du projet qui montre les différentes qualités et
fonctionnalités du produit ainsi que leur utilité en utilisant un langage très simple et en bien
articulant ces idées tout en suivant une logique très saine pour les présenter en allant des
fonctionnalités les plus importantes aux moins importantes.
4. Le mix de communication :
Pour mener à bien la campagne publicitaire plusieurs canaux ont été utilisés pour véhiculer le
message conçu.
a. Facebook :
Facebook était le canal primordial sur lequel la campagne a été menée. Facebook permet de
montrer la vidéo ou les photos de votre choix à la cible souhaitée. De plus vous pouvez cibler en
fonction de l’âge, la location, les centres d’intérêts etc… pour un ciblage efficace tout cela selon
le budget et la période qui vous vont.
Ceci nous permet d’atteindre directement le cœur de la cible et grâce au pixel de Facebook, qui
détecte les traits communs entre les différentes personnes qui ont eu la réaction souhaitée et
cherche dans la base de données de Facebook des personnes manifestant les mêmes intérêts, on
peut élargir notre ciblage sans trop risquer de se tromper.
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Comme on peut voir dans la photo si dessus, Facebook permet un ciblage très précis. On peut
même cibler les gens qui viennent de retourner d’un voyage et qui sont, dans notre cas, les plus
susceptibles d’acheter le produit vu qu’ils viennent de manifester le besoin qui nous intéresse
assez récemment.
Ces traits font de Facebook la plateforme idéale pour faire connaitre son produit et susciter une
réaction immédiate chez la cible.
b. Google :
Google jouera un rôle plutôt complémentaire dans cette campagne publicitaire. On l’utilisera
primordialement pour du retargeting (reciblage) vu qu’en moyenne l’individu doit être exposé 7
fois à la publicité pour qu’il prenne une action. Du coup grâce à Google on pourra cibler les gens
qui ont visité notre site mais avec des photos cette fois à cause de la nature des publicités que
Google supporte.
La description du produit a été élaborée de façon à être optimisée pour les moteurs de recherche
(Search Engine Optimisation -SEO-) en utilisant des mots qui seront probablement utilisé par la
cible durant ses recherches sur Google ou tout simplement quand elle parle avec un micro à coté
tel que (attraper l’avion, valises, billet d’avion, voyage etc…). Ceci permet au site de figurer
parmi les premiers qui sortent quand la cible fait des recherches sur Google. C’est du trafic
gratuit, autant en profiter.
c. Les influenceurs :
Contacter des influenceurs avait pour objectif de faire connaitre la marque et d’améliorer sa
notoriété. Dans la catégorie d’influenceurs on trouve :
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- Les personnes publiques et pages Instagram :
On a contacté des personnes connus par leurs voyages fréquents, que ça soit pour du business ou
simplement pour s’amuser, ainsi que des pages Instagram qui rassemblaient des fans du voyage.
On a toujours mis l’accent sur une mise en valeur furtif du produit et de la marque. Les gens sont
de plus en plus sensible envers la publicité et les personnalités publiques sont mal vu quand ils
sont entrain de promouvoir un produit de façons direct contre de l’argent. Du coup c’est la
manière la plus efficace pour exploiter l’influence des personnalités publiques sur leurs fans.
- Les magazines :
Le produit a été très bien perçus par plusieurs magazines et a été classé très haut parmi plusieurs
autres produits promus dans la même catégorie de biens.
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Suite à ces efforts, Solgaard a maintenant une page avec 16.000 abonnés bien filtrés et qui sont
très susceptibles d’acheter ses produits.
Après cette étude de cas, il est maintenant claire que la publicité sur les différents moyens de
communication offerts par internet sont complémentaires et synergiques, et que chacun offre des
particularités uniques à lui qui doivent être assimilées pour pouvoir les exploiter à bon escient
pour réaliser les objectifs fixés.
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CONCLUSION GENERALE
Pour éviter toute confusion, et pour répondre à la problématique posée, il faut
différencier le marketing de la communication. Si le premier a pour finalité la
vente, le second concept (la communication) tend uniquement à diffuser un
message à un public. Les objectifs d’une action de communication se mesurent
donc en notoriété, en mémorisation, en attribution, etc …. Alors que les retours
d’une action marketing se mesurent toujours au final en retombées sur le chiffre
d’affaires.
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TABLE DE MATIERES
Introduction générale……………………………………………………………………….1
Partie1 : étude théorique
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Bibliographie
MERCATOR.8eme edition LONREVIE-LIONDON .theorie et pratique du management
Le marketing etudes strategies 2éme edition transversale collection dirigée par ALAIN NONJON
de YVES CHIROUZE
Webographie :
Islahate.ma – Date de consultation: 14/03/2019
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