Culture Generale Cote Divoire
Culture Generale Cote Divoire
Culture Generale Cote Divoire
L'histoire de la Côte d'Ivoire antérieure aux premiers contacts avec les Européens est
quasiment inconnue du grand public. Ces premiers contacts restèrent limités avec seulement
quelques missionnaires européens au XVIe siècle. Une culture néolithique existait cependant,
mais est mal connue à cause d'un manque de découvertesarchéologiques.
Sommaire
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1Histoire pré-coloniale
2L'entrée des Européens
3XIXe siècle
o 3.1Une carte de la région à l'aube de la colonisation
4Colonisation française
5L'indépendance
o 5.1Les étapes
o 5.2L'ère Houphouët-Boigny
o 5.3Politique extérieure
o 5.4Politique intérieure d'Houphouët-Boigny
o 5.5Les successeurs
6La crise de l'ivoirité et la guerre civile
o 6.1Les milices
7Notes et références
8Voir aussi
o 8.1Bibliographie
o 8.2Filmographie
o 8.3Article connexe
Au XVIIIe siècle la région est envahie par deux ethnies appartenant au groupe des "Akans" : les
Agnis dans le sud-est et les Baoulés dans le centre. Les explorateurs, missionnaires,
commerçants et soldats étendirent progressivement le territoire sous contrôle français à partir de
la région de la lagune. Cependant la colonisation ne fut pas achevée avant 1915.
Une carte de la région à l'aube de la colonisation [modifier | modifier le code]
Le territoire de l'actuelle Côte d'Ivoire et environs, tel qu'ils étaient connus en 1889
Sur cette carte allemande de 1889 (cliquer pour agrandir), où la région est considérée comme
faisant partie de l'« Ober Guinea » (Haute-Guinée, s'étendant du Liberia au Cameroun), on
remarque combien l'intérieur des terres restait à l'époque « terra incognita » des géographes. Les
établissements français se limitent à une étroite bande de terre, entre Lahou et Assinie,
avec Grand-Bassamau centre (et Fort Nemours, construit en 1843). Les légendaires Monts de
Kong, dont Binger démontra l'inexistence, y apparaissent encore (avec un point d'interrogation).
En dehors de quelques localités comme Krindjabo, Bondoukou, Kong, Tingrela, la carte de
l'intérieur du pays est quasiment vide.
En décembre 1958, la Côte d'Ivoire devient une république autonome par le référendum, qui crée
la Communauté française entre la France et ses anciennes colonies. Elle est alors dirigée par
un premier ministre, Auguste Denise, auquel succèdera Félix Houphouët-Boignyen avril 1959.
Avec cette autonomie la Côte d'Ivoire ne devait plus partager ses richesses avec les autres
colonies pauvres du Sahel, le budget de l'administration ivoirienne augmenta ainsi de 152%.
Le 7 août 1960 l'indépendance prend effet. Le pays reste cependant très lié à la France :
Cependant, la définition de la citoyenneté, dite crise de l'ivoirité, et les crises qu'elle provoque
(dont celles de la propriété) aboutissent à la tentative de coup d'État du19 septembre 2002. Bien
que cette tentative ait échoué, une rébellion (qui prend le nom de Forces nouvelles) se forme
dans le nord du pays, et occupe bientôt 60 % du territoire selon une ligne tracée d'avance par
l'armée française en Cote d'ivoire.
La France s'interpose, officiellement en application d'accords de défense (envoi de la Force
Licorne). La situation se stabilise, et en janvier 2003, l'ensemble des forces politiques ivoiriennes,
rebelles compris, négocient en France à Linas-Marcoussis afin de mettre fin à la crise. Ce sont
les accords Kléber (signés avenue Kléber à Paris), plus connus sous le nom d'accords de
Marcoussis. Dès son retour à Abidjan, Laurent Gbagbo les remet en cause, bien qu'il les fasse
d'abord mettre en application. Un gouvernement de réconciliation, réunissant des représentants
de tous les partis, est mis en place. Le climat politique continue cependant d'être pollué par la
violence endémique, entretenue par les milices (dont celles des Jeunes patriotes), couvertes par
le gouvernement.
Devant les lenteurs de l'application des Accords, de nouvelles réunions ont lieu à Accra durant
l'été 2004, qui relancent le processus de DDR (Désarmement, Démobilisation, Réintégration).
Cependant, le désarmement des rebelles ne peut avoir lieu en octobre, la contrepartie politique
(modification de la constitution, notamment) n'ayant pas été mise en place.
Début novembre, les forces gouvernementales lancent une offensive contre les rebelles, et s'en
prennent également aux troupes françaises de la force Licorne qui sont la cible de tirs aériens de
la part de l'armée de la Côte d'Ivoire, et font une dizaine de victimes parmi les soldats français.
En représailles, la France détruit les forces aériennes ivoiriennes et évacue ses ressortissants.
Des membres des Jeunes patriotes se rassemblent devant la Tour Ivoire à Abidjan et, pour des
motifs non élucidés, les troupes françaises ouvrent le feu à plusieurs reprises. La Fédération
internationale des droits de l'homme estime que ces tirs feront 60 morts et 1 000 blessés, la
plupart causés par les bousculades, mais aussi, tués par les militaires de l'armée française en
Côte d'Ivoire (Force Licorne).
Courant décembre, le président Laurent Gbagbo engage le processus de réforme de la
constitution au moment où paraissent plusieurs rapports sur les évènements de novembre.
À la suite de la qualification de l'équipe nationale de football pour la coupe du monde 2006, tous
les joueurs, eux-mêmes issus de plusieurs ethnies différentes du pays, appellent à la fin de la
guerre civile et au retour au calme.
Les milices[modifier | modifier le code]
La guerre civile a favorisé l'apparition de milices armées, qui ont pris le contrôle d'une partie du
territoire ivoirien. Le MPCI de Guillaume Soro est historiquement la première de ces milices à
sévir sur le territoire ivoirien. Cette milice agit en étroite collaboration avec le Mouvement pour la
justice et la paix (MJP) et le Mouvement populaire ivoirien pour le grand ouest (MPIGO), réunis
sous le vocable de "Forces Nouvelles". Outre le Groupement des patriotes pour la paix (GPP), à
Abidjan, on peut aussi évoquer les Scorpions guetteurs, qui sévissent à Yamoussoukro et ses
environs. Ils sont dirigés par Zambi Antoine Ansèlme, et seraient accusés, comme le MPCI, le
MPIGO et le MJP, au nord, de nombreux enlèvements et assassinats, en plus du racket
quotidien.
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G
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Histoire de la colonisation
de l’Afrique (1) : le
contexte
Accueil»Culture»Histoire de la colonisation de l’Afrique (1) : le contexte
Les Européens sont
longtemps restés aux frontières de l’Afrique, sur les côtes océanes, ne s’aventurant
pas à l’intérieur des terres, mis à part quelques aventuriers audacieux. Ce n’est qu’à
partir de la fin du XIX° siècle qu’ils s’engagent dans la conquête territoriale du
continent. Si en 1880, à peine un dixième du continent noir était sous contrôle
européen, vingt ans plus tard, seuls l’Ethiopie, le Maroc (conquis en 1912) et le petit
Libéria y échappaient. Entre temps, les puissances occidentales se sont entendues
lors de la conférence de Berlin (1884-1884) sur la répartition du gâteau. Des facteurs
liés aux avancées techniques et au contexte économique de l’époque expliquent
cette nouvelle étape des relations Europe-Afrique au tournant des années 1880.
Techniquement, les maladies tropicales ne représentent plus un obstacle
insurmontable pour les Européens: l’usage de la quinine permet de résister au
paludisme, et d’autres médicaments et vaccins rendent désormais possible leur
séjour prolongé à l’intérieur des terres africaines. Des innovations en matière
d’armement, notamment avec le développement d’armes légères, mobiles et semi-
automatisés (canons à répétition) donnent un avantage militaire décisif aux forces
européennes, particulièrement dans les batailles à découvert. Enfin, l’invention du
télégraphe permet de mieux connecter les postes avancées de leurs bases arrière
sur les côtes océaniques ou en métropole. Concrètement, les troupes européennes
resteront peu nombreuses durant cette phase de conquête, les états-majors
occidentaux s’appuyant principalement sur des auxiliaires autochtones, issus
d’ethnies anciennement marginalisées ou souhaitant tout simplement bénéficier des
retombées de pouvoir de la nouvelle puissance du moment, au détriment des
anciennes.
Mais au-delà de ces aspects techniques, c’est un nouveau contexte économique
international qui incite à la colonisation. La décennie 1880 marque une nouvelle
phase de l’industrialisation de l’Europe et, au-delà, un nouveau chapitre de l’histoire
du capitalisme global. La mécanisation de l’industrie du textile arrive à maturité et
cette industrie doit se trouver de nouveaux débouchés commerciaux ; les machines à
vapeur permettent de nouveaux gains de productivité, et l’agriculture commence
aussi à utiliser des machines qui diminuent les besoins en main d’œuvre. Les
grandes plantations d’Amérique n’ont plus autant besoin d’esclaves qu’auparavant.
L’économie est en pleine mutation, ce que reflète la confrontation brutale de la
guerre de Sécession aux Etats-Unis, entre un Nord industrialisé qui cherche avant
tout de nouveaux débouchés pour ses produits et un Sud rural et pro-esclavagiste.
L’Afrique est amenée à jouer un rôle nouveau dans cette évolution du contexte
économique global. Elle doit tout d’abord être un fournisseur régulier et important de
matières premières pour les industries des pays occidentaux. La baisse de la
production américaine de coton pour cause de guerre de Sécession se trouve ainsi
suppléée par la production égyptienne, évitant à l’économie mondiale de se gripper.
Les matières premières agricoles et minérales du continent africain alimentent les
besoins monstrueux de l’économie industrielle occidentale. Les terres agricoles
africaines sont converties à des monocultures d’exportation qui perturbent
dangereusement l’équilibre écologique et alimentaire des populations locales.
Les échanges ne se font pas que dans un seul sens et le continent noir devient un
marché parmi d’autres de l’industrie européenne où sont vendus des produits
textiles, les outils mécaniques et différents accessoires manufacturés symboles de la
« way of life » occidentale. C’est l’âge d’or des grandes compagnies commerciales
européennes dans le monde, les « compagnies des indes ». Plusieurs s’implantent
durablement en Afrique : c’est le cas par exemple de la Compagnie française pour
l’Afrique Occidentale, fondée en 1887 par des commerçants marseillais et qui existe
toujours de nos jours avec un chiffre d’affaires de 2,6 milliards d’euros. Côté
anglophone, la British South Africa Company fondée en 1888 par Cecil Rhodes,
s’imposa rapidement comme un intermédiaire incontournable des relations entre le
Royaume-Uni et ses colonies au Sud du continent. Ces compagnies commerciales
coloniales organisent concrètement les échanges entre les produits africains
exportés en Europe et les produits industriels européens vendus en Afrique. Pour ce
faire, elles s’appuient sur un réseau de comptoirs et de représentants commerciaux
sans nul autre pareil, et sur des moyens de transport des marchandises (rails,
bateaux, pistes routières) et de télécommunication (télégraphe) qu’elles financent
parfois sur fonds propres. Au final, elles dégagent de très confortables bénéfices,
d’autant plus qu’elles sont souvent en situation de monopole ou de duopole.
Comme à l’accoutumée,
l’Afrique s’inscrit dans une dynamique globale qui voit les sociétés agraires
complexes violemment intégrées à un système capitaliste global dominé par les
puissances d’Europe de l’Ouest et d’Amérique du Nord qui captent l’essentiel de la
plus-value sur les échanges commerciaux et industriels mondiaux. Ces échanges ne
relevaient d’ailleurs souvent plus du registre du commerce mais de celui du pillage
pur et simple. A la fin du XIX° siècle, des régions comme la Chine, l’Inde, l’Indonésie,
les pays du Proche et Moyen Orient, vivent toutes plus ou moins une situation de
domination similaire à celle que subissent les pays africains. Mais bien que le cadre
général soit le même, il existe bien entendu des spécificités propres aux expériences
historiques de colonisation de l’Afrique par le Royaume-Uni, la France, le Portugal, la
Belgique et dans une moindre mesure l’Allemagne, l’Italie et les Pays-Bas. Au sein
même du continent africain, la colonisation a pris des colorations très différentes
suivant les spécificités régionales et les hasards du destin, qu’ils soient heureux ou
malencontreux.
La France était ainsi réputée privilégier un contrôle direct des territoires sous son
imperium, à savoir un énorme bloc de cinq millions de km² d’un seul tenant en
Afrique de l’Ouest (l’Afrique occidentale française, AOF) et un territoire de 2,5
millions de km² en Afrique équatoriale (Afrique équatoriale française, AEF)
regroupant les actuels Gabon, Congo-Brazzaville, Tchad et Centrafrique. Au total,
ces deux territoires coloniaux représentaient 14 fois la taille de la France. A l’échelle
de ces régions d’Afrique, il s’agit de regroupements territoriaux d’une ampleur
rarement égalé dans l’histoire. Les autres zones de domination française en Afrique
comptaient le protectorat du Cameroun, du Maroc, de la Tunisie, la
départementalisation de l’Algérie, ainsi que les colonies françaises de l’Océan indien
(Madagascar, les Comores) et le petit territoire de Djibouti sur la Mer Rouge. Mis à
part les protectorats, dont le principe est de laisser les autorités traditionnelles en
place gérer les affaires courantes du territoire, la France a privilégié la gouvernance
directe et la vassalisation ou l’élimination des autorités autochtones traditionnelles.
Le rôle de l’administration coloniale est d’étendre et de renforcer le contrôle militaire
des colonies, de protéger les ressortissants de la métropole, d’épauler parfois le
travail de « civilisation » des missionnaires, mais surtout de faciliter l’exploitation
économique menée par les grandes compagnies commerciales. Pour ce faire, de
grands travaux d’infrastructures sont menés et construits à la main par la mobilisation
forcée des autochtones, au prix de la vie de nombre d’entre eux. Ces tronçons de rail
(le Dakar-Niger passant par Bamako et Koulikoro ; le Conakry-Kankan ; le Congo-
Océan reliant Brazzaville à Pointe-Noire), ces routes et les ports qui leur servent de
débouché (principalement le port de Dakar et de Pointe-Noire) sont créés dans la
seule optique de faciliter les circuits de l’économie de traite, c'est-à-dire la sortie des
matières premières et de la production agricole africaine.
En 1930, les quelques 20 millions d’Africains de l’AOF et de l’AEF ont le statut de «
sujets français », et non celui de citoyens, réservé seulement à deux mille cinq cent
Africains originaires de quatre communes sénégalaises (Saint-Louis, Dakar,
Rufisque, Gorée). Ces « sujets français » sont corvéables à merci et soumis à l’impôt
de capitation (impôt par tête), qui devait être versé en argent, ce qui obligeait les
populations à effectuer des échanges monétarisés. En cas de non paiement de cet
impôt, ce qui était fréquent, le contribuable récalcitrant pouvait être soumis à des
travaux forcés particulièrement pénibles voire à des peines punitives corporelles.
L’administration coloniale française était épaulée dans toutes ses tâches par des
auxiliaires africains, ce qui permettait au faible nombre de colons présents sur le
territoire d’asseoir concrètement leur pouvoir.
Emmanuel Leroueil
Articles liés
[Brochure] L'Afrique au regard de ses romanciers
39 commentaires
1.
Jacques
FÉV 22, 2012
o
Guasin
DÉC 11, 2013
shamsadine
AVR 17, 2014
Répondre
SAMASOKO
DÉC 13, 2014
Commentaire
Répondre
shamsadine
AVR 17, 2014
toi aussi
Répondre
chris nàsrinéé breezy
AVR 17, 2014
o
Guasin
DÉC 11, 2013
Répondre
o
shamsadine
AVR 17, 2014
je pense rien mais je crois que Afrique a été fait par france au maximale.
Répondre
o
shamsadine
AVR 17, 2014
je pense rien mais je crois que Afrique a été fait la colonie par france au maximale.
Répondre
keita
SEP 22, 2014
Commentaire
Répondre
o
sangare
AOÛT 8, 2014
Commentaire
Répondre
o
AHMED
JAN 2, 2015
Pour être juste et honnête , le mot colonisation est mot trompeur, il doit être
remplacé par un autre mot qui est l'OCCUPATION, ou encore le pillage la
"barbarie" parfois même des génocides (même, le mot "barbarie" découle de
l'esprit colonialiste; Cf: Le peuple Berbère ) ou que sais-je encore.
Il s'agit d'une époque noire et honteuse dans l'histoire de l'humanité, les
puissance occupant qui ont causé le malheur de ces pays ont un devoir
moral de justice de componsation. Elles sont, aujourd'hui redevable à ces
pays sur tous les plans économique(il faut rendre à césar ce qui lui appartient,
dans le cas éch&ant ces puissances sont tout simplement des voleurs au sens
propre du mot) , mais aussi sur le plan infrastructure, éducatif, social, …
Répondre
Josselin
SEP 28, 2015
Même si les puissances européennes n'ont pas fait que des bonnes choses, les pays
actuels tiennenet leurs sociétés,économies et histoire de ces pays là. Exemple idiot à
Madagascar, avant l'arrivée des français, les peuplades malgaches ne possédaient
pas la roue. Donc avant de dire des choses sans vérification historique, on se
renseigne un minimum.
Répondre
o
SEYDOU ALASSANI
JUIL 10, 2016
2.
Emmanuel
FÉV 27, 2012
@Jacques : j'avoue ne pas savoir spécifiquement quelles sont les raisons qui ont
poussé à accorder la citoyenneté française aux ressortissants des 4 communes.
Comme tu le soulignes, il y a sans doute le fait que ce sont parmi les premières
populations africaines qui aient été en contact avec les Français, mais est-ce la seule
raison ? Il y a eu aussi beaucoup de mélange de population, avec les "signares",
notamment à Saint-Louis…
Si un lecteur en sait plus, je serais heureux qu'il éclaire notre lanterne à ce sujet.
Répondre
3.
Patrick Idriss Soavina
JUIN 6, 2013
4.
Bergès Mietté
JUIN 17, 2013
L'histoire coloniale de l'Afrique à cette particularité de susciter à tous ceux qui s'y
interessent, un sentiment de revolte et d'indignation envers les Colons et leurs
decendants. Il est difficile de faire table rase sur le passé car son lui, que sommes
nous? Des marionnettes sans doute! Mais au delà de cet aspect, je pense qu'il s'agit
d'une histoire qui mérite aujourd'hui d'etre revisitée tout simplement parce qu'il y a
des faits qui n'ont pas été restitués comme il se devrait. Dans tous les cas, j'ai lu
l'article et j'avoue en tant qu'Africain, avoir trouvé quelques réponses à certaines de
mes préoccupations. Disons merci à l'auteur pour ce brillant exposé.
Répondre
5.
eva
SEP 7, 2013
Répondre
6.
paul
OCT 16, 2013
Répondre
7.
Rabah
FÉV 18, 2014
8.
Raphaël
MAR 10, 2014
MERCI!
court, bien ficelé, plaisant à lire…
Je vais utiliser, en partie, quelques lignes de ce bel article, pour parler de l'époque de
9.
charli tiam
AVR 17, 2014
pourqoi le roi belge leopold2 a utilise les missionnaire pour venir en afrique
Répondre
10.
Unicorn
MAI 6, 2014
11.
sangare
AOÛT 8, 2014
Commentaire
Répondre
12.
Floribert ASIANE BAMUKWIYEMI
AOÛT 29, 2014
Répondre
13.
Mohamed Siby
OCT 3, 2014
Les europeenes ont divise nos continant sa nous cause beaucoup de dificulte si on
ete ensemble comme les Etats Unis.Si l’afrique etait regroupe depuis ce jour la en se
temps il y’avait beaucoup des industries des infractrutures mais l’afrique est le
continent le plus pauvre au monde.Merci bonne comprehension
Répondre
14.
salifou arouna
OCT 30, 2014
15.
Makemoney klaus
NOV 5, 2014
wesh merci! pour vous européen pour ce que vous nous avaiez traiter merci encore
mais rien que je suis heureux pour mon pays la République démocratique du Congo
( RDC) en sigle
Répondre
17.
Ntabuzi
NOV 13, 2014
wesh merci! pour vous européen pour ce que vous nous avaiez traiter merci encore
mais rien que je suis heureux pour mon pays la République démocratique du Congo
( RDC) en sigle qui a obtenu sa liberté ou indépendance dire-je en 1960 est première
pays noir a adhéré a l’histoire du football mondiale vivez la première participent noir (
RDC )
Répondre
18.
Abdoulaye
NOV 22, 2014
19.
mina
NOV 25, 2014
20.
SAMASOKO
DÉC 13, 2014
Commentaire
Répondre
21.
Billy
JAN 19, 2015
22.
Melone
FÉV 9, 2015
Je suis très attendrie par cet article qui en long et en large me donne encore une
connaissance plus approfondie de l’histoire de l’Afrique. Un grand merci à auteur et
bon vent à lui.
Répondre
23.
josue
AVR 8, 2015
24.
Sankhare
AOÛT 21, 2015
26.
Koly Traoré
MAR 12, 2016
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