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RAPOR DE Stage Hamza B

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CHAFI HAMZA

INSTITUE SPÉCIALISÉ DU BÂTIMENT

2TSGO.G3
REALISE PAR : CHAFI HAMZA
ENTREPRISE : DIAR BELGHIAT SARL
RSPONSABLE DU STAGE : MR NOURDIN YAFIDI
ENCADRE PAR :

CYCLE : TECHNICIEN SPÉCIALISÉ GROS OEUVRES 2ÈME ANNÉE


2018/2019

RAPPORT DE STAGE 1 2TSGO. G3


CHAFI HAMZA

SOMMAIRE

I - DEDICACE
II - REMERCIEMENT
III - INTRODUCTION
IV - PRESENTATION D’ENTREPRISE
V - INSTALLATION DU CHANTIER
VI - MATERIELS NECESSAIRES POUR LA SECURITE DU CHANTIER
VII - MODE OPERATOIRE
VIII - HYGIENE ET SECURITE SUR CHANTIER
IX - LE PLAN D’ASSURANCE QUALITE
X - LE CONTROLE ET AUTO-CONTROLE
XI - METRE-ETUDE DR PRIX DE FONDATION
XII -
XIII - MATERIELS NECESSAIRES POUR L’EXECUTION DU PROJET
XIV - CONCLUSION

RAPPORT DE STAGE 2 2TSGO. G3


CHAFI HAMZA
I - DEDICACE

A nos parents. A tous les membres de nos familles. A tous nos amis.

A tous ceux qui ont collaboré à l’accomplissement de ce travail

Que vous receviez cet ouvrage avec le même cœur que nous le vous envoyons.

II- REMERCIEMENT

Avant d’entamé les différent partie de ce rapport, je tient a remercier mon encadrent
Mme pour son aide durant ce stage.

Mes remerciements vont également a mes formateur et a tout les formateur de l’institut
qui nous aide beaucoup durant notre formation.

En fin je dois signaler ma profonde gratitude à Mr ADNAN RAKKI les Gérons de


l’entreprise Diar Belghiat Sarl

Ainsi que tout le personnel de cette dernier et tout ce qui mon soutenu durant cet période.

RAPPORT DE STAGE 3 2TSGO. G3


CHAFI HAMZA
III- INTRODUCTION

Le stage en chantier et une période pendent laquelle les stagiaire


développent leur compétence, et se prépare a s’engager dans le
vie professionnelle après les études.
La formation théorique est pratique que j’ai reçu dans l’INSTITUE
SPÉCIALISÉ DU BÂTIMENT m’en beaucoup aidé pour
s’introduire dans Les milieux du travaille
Dans cette période j’ai essayer d’accumuler le plus grande nombre
possible d’information, et je me suis basé sur le coté technique plus que
sur celle de gestion
Ce rapporte sera diviser a plusieurs chapitre selon
Le milieux et la nature du travail effectuer.

IV- PRESENTATION D’ENTREPRISE

Présentation de l’entreprise : Diar Belghiat Sarl


Il s’agit d’une entreprise moyen a responsabilité limité. Même sa nature des travaux
quelle exécute et le nombre des chantier quelle dirige, cette entreprise est constituer de deux
gérants de l’entreprise
Un d'eux est en même temps le conducteur de travaux. (NOURDIN YAFIDI, ADNAN
RAKKI)
Le rôle d’un conducteur de travaux est d'assurer l’avancement des travaux sur tout les coté
qu’il soit administratif ou technique

La date de création de l'entreprise Diar Belghiat Sarl est le 28/02/2010

RAPPORT DE STAGE 4 2TSGO. G3


CHAFI HAMZA

Le nombre d'effectif : 148 ouvrier


Activité de l'entreprise : promotion immobilière et bâtiment

RAISON SOCIAL : ##### société : Diar Belghiat Sarl


Tel : 0661090648 / 644294598
LE RSPONSABLE DU STAGE : Mr Nourdin Yafidi
ACTIVITE DE LA SOCIETE : BTP / promotion immobilière
HORAIRE DE TRAVAIL : Matin : de 07H30 à 12H
Soir : de 13H à 18H
Les heurs de travaille
Dans le chantier le travail commence de 7h30 jusqu'à 18h00 du soir
Méthode de travail
Le travail est organisé selon des équipes, chaque équipe est dirigée
par un chef, ce dernier reçois des ordres de la pare du chef chantier
Dans le chantier il existe plusieurs équipes ;
Ferrailleur _ coffrage _maçon _ plombier ...etc.
Selon son choix Chaque équipe peut travailler soi par tache soi par
service, la 1er consiste a réaliser un travail quelconque déterminer par le
chef chantier, dans ce cas l’équipe soit libre des quelle termine sans
travaille a n’importe quel heure, la 2éme consiste a travailler jusqu'à
l’arriver de 18h.
L’organisation
Chaque matin le chef chantier désigne les travaux a exécuté ainsi que les
équipe qui vont travailler est aussi les matériaux utiliser.

RAPPORT DE STAGE 5 2TSGO. G3


CHAFI HAMZA

V - INSTALLATION DU CHANTIER

Installation du chantier :

Dès la réception de l’ordre de service du maitre d’ouvrage,


l’entreprise sera inviter à la réalisation de l’installation du
chantier, à cet effet le personne chargé de la réalisation du PIC
devra dénombrer ses besoins en terme de surface nécessaire pour le stockage ou pour le travail
sur chantier, la consommation des fluides (eau, électricité, approvisionnement par véhicule) ainsi
que leurs dates d’occupation. Une fois, ces donnés sont collectées, l’étude est faite en fonction de
la surface disponible sur chantier, du tracé et des disponibilités des réseaux. L’installation de
chantier contient toutes les constructions auxiliaires et les engins nécessaires à l’exécution du
projet à savoir :

Plan d’installation :
Le P.I.C est réalisé par l’entreprise de construction à parti du plan de masse qui décrit
toutes les dispositions retenues pour la bonne exécution de l’ouvrage.
On dessine sur ce plan les renseignements suivants :
- L’ouvrage à réaliser et son environnement.
- L’emprise du terrain.
- Les différentes phases de terrassements.
- Les accès et les voies existantes.
- Les installations des matériels nécessaires.
- Les installations relatives au personnel.
- Les installations réalisant l’interface avec l’extérieur (panneau de chantier, clôture,
réseaux …)

Clôture du chantier :
Pour diverses raisons de sécurité, ce chantier
doit être entouré d’une clôture réalisée en
plaques de tôle nervurés de deux mètres
de hauteur et six mètres de longueur,
assemblées par des pointes des cheverons
de 2,50 mètres de longueur ancrés dans
le sol par des socles en béton de 30x30x30 cm.

Panneau de chantier :
Un panneau obligatoire de 2,00x2.00 mètres, lisible de la voie publique, détaillé les
informations suivantes :
- Objet du projet : la construction d’une école primaire.
- N° de marché
- Entreprise de construction Tous Corps d’Etat
- Bureau de coordination
- Maitre d’ouvrage
RAPPORT DE STAGE 6 2TSGO. G3
CHAFI HAMZA

- Architecte
- Bureau Etude Technique
- Laboratoire
- Bureau de contrôle
- Date et numéro de permis de construction
Bureau de réunion :

Ce bureau de réunion est mis en place dès l’ouverture du


chantier, sur une surface de 20m² réalisé en maçonnerie d’agglos
de 15, dallage en béton de10cm, couverture en tôle nervesco,
enduits et peinture sur les murs, avec une porte et deux fenêtre,
équipé : d’une table avec des chaises en nombre suffisant, des
panneaux en contre plaqué pour afficher les plans, le
planning d’avancement travaux, cahier des réceptions
(Réceptions des fouilles, ferraillage et autorisation de coulage)
et un placard pour le classement des plans.

Cantonnement pour logement des ouvriers :


Ce sont des baraques préfabriquées ou en agglos de 15 cm couvertes en tôle de zinc a
cotés des blocs sanitaires, 14 m² pour 3 ouvriers.

Sanitaires :

Pour tout chantier, des équipements sanitaires sont obligatoires, qui contient :
- Lavabo avec un point d’eau.
- WC à la turque, branché provisoirement à l’égout.
- Une douche.

Ateliers et magasins :
Ce sont des magasins pour ranger l’outillage individuel et collectif, mini-station de
distribution de carburant, et magasin d’outillage et pièces de rechange.

Poste de fabrication de coffrage :

Ce poste est installé dans un local couvert de (10 x 5) m² comprenant :


Air de stockage du bois de commerce
Matériels divers :
- Scie circulaire
- Scie à ruban
- Raboteuse
- Combine (machine à plusieurs fonctions)
- Outillage divers (serre – joint…)
- Un établi de traçage
- Un établi de montage
- Aire de stockage de panneaux terminés
située à l’intérieur des champs de balayage de la grue.

RAPPORT DE STAGE 7 2TSGO. G3


CHAFI HAMZA

Poste de ferraillage :
Ce poste contient :
- Une aire de stockage (10 x4) des aciers commerciaux en barres
 Stockage à faire sur les madriers
 Séparer les aciers selon leur nature et leur Ø.

- Matériel de coupe des aciers et de mesure à longueur


(banc de coupe gradué et la cisaille électrique)
- Un établi de façonnages doté de cintreuses électriques
et de griffes.
Cet établi comprend des clous enfoncés dans le bois
pour matérialiser les longueurs des armatures et
le Ø des coudes.
- Une aire de montage (10 x 4) pour assembler les
éléments façonnés.
- Une aire de stockage (10 x 4) des armatures
terminées posées sur des madriers située à l’intérieur du champ de balayage.

POSTE DE BETONNAGE :

- L’engin de malaxage : bétonnière de 500l.


- Aire de stockage des matériaux (sable, ciment, gravier
, hydrofuge…).
- Matériel d’évacuation et distribution du béton vers les
points d’utilisation.
- Alimentation d’énergie (eau, électricité).

Réseau Eau Usé :


Pour garder l’hygiène il faut brancher provisoirement l’assainissement du chantier au
réseau public.

LES RESEAUX :

Electricité : il faut prévoir la puissance et les tensions à installer


provisoirement pour satisfaire les besoins des chantiers,
l’équipement nécessaire pour le branchement comporte le
compteur électrique, l’armoire et les câbles d’alimentation ainsi
que ses canalisations.

Eau : l’alimentation en eau pour le chantier doit servir tous


les points qui seront besoin de l’eau, l’équipement de ce réseau
contient le compteur d’eau, les robinets, et les tuyaux en
polyéthylène de différents diamètres selon le débit.

Téléphone et fax : le chantier doit avoir une ligne


Téléphonique mise à la disposition du maître d’ouvrage et du maître d’œuvre.

RAPPORT DE STAGE 8 2TSGO. G3


CHAFI HAMZA

Parking :
Il faut garder un espace d’un parking pour le stationnement
des voitures du maitre d’ouvrage, du maitre d’œuvre et les
autre principaux intervenants.

Matériels utilisées :

Matériels des terrassements :

- Pelle hydraulique en rétro et en butte.


- Pelle chargeuse sur pneus.

Matériel pour déblais rocheux :

- Compresseur.
- Marteau à main (dégageur).

Matériel de levage :

- Monte matériaux avec groupe moto-treuil, installés en étage ou en terrasse.


- Chariot élévateur hydrauliques.
- Grue à tour fixe avec flèche de 45 ML.

Matériels de fabrication et mise en œuvre du béton :

- Bétonnière.
- Brouette.
- Dumper.
- Camion toupie.
- Camion benne équipé d’une goulotte pour orienter le vidage du béton.
- Vibrateur : aiguille vibrante de 38 à 46 cm de longueur et 26 à70 mm de diamètre à aire
comprimé ou électrique.

Matériel pour façonnage acier :

- Cisaille manuelle, à levier ou électrique.


- Griffes, coudeuses à main, cintreuse
électrique.

Matériel divers :

- Echafaudage métallique tubulaire: tubes et


accessoires (fourches, embase, raccords)
- Ponceuses : machines (électrique
ou à essence) avec meule pour
polir le granito.
- Projecteurs d’enduit.

RAPPORT DE STAGE 9 2TSGO. G3


CHAFI HAMZA

VI- MATERIELS NECESSAIRES


POUR LA SECURITE DU CHANTIER

Gilets

Bottes

Casque de chantier Gants

Chaussures de sécurité Bandes de signalisation

Cônes
Plaques de signalisation

RAPPORT DEGrillage
STAGE de délimitation 10 Avis au public 2TSGO. G3
CHAFI HAMZA

VII - MODE OPERATOIRE

A - Implantation :

Elle permet de matérialiser sur le terrain les grandes lignes de la construction par l'intermédiaire
des chaises d’implantation
Son but est de déterminer l'emplacement du bâtiment, de situer les murs de façades, de refends,
etc.
De repéré un ou plusieurs points fixes d'après le plan de masse.
Placez des jalons (suivant les plans) aux angles et rejoignez les par des cordeaux
Placez la chaise (fig. 1) en alignement du bâtiment à 1,50 m minimum des jalons
Les chaises doivent être très solides, indéformables et de niveau sur elles même et entre elles
Repérez d'une pointe les axes ou les nus extérieurs de la construction sur les planches puis les
relier avec des cordeaux.
Vérifiez les équerrages
Dans un carré ou un rectangle, les diagonales sont égales, si elles ne le sont pas le bâtiment n'est
pas d'équerre.
Vous pouvez également utiliser la méthode 3 4 5 (théorème de Pythagore)
On commence par l’implantation pour tracer sur le terrain la situation exacte de notre ouvrage.
Les points importants donnés par les plans généralement les angles de la construction tracés et
repérés sur le terrain par des jalons ou des piquets fixent définitivement la situation de la future
construction.
Les alignements passant par ces points permettent de tracer le nu ou face extérieure des murs de
façade.
Afin que ce tracé demeure durant l’exécution des travaux,
il importe de remplacer les piquets par des points situés dans le
même alignement mais en dehors de l’emprise de la construction.
Le repérage s’effectue au moyen de chaises ou banquettes,
formées d’une traverse en planches maintenue par des piquets
fichés en terre d’au moins 50 cm, la chaise ou banquette fait une
saillie d’environ 60 cm au dessus du sol.
Sur la face supérieure des traverses on fait une entaille à la
scie ou on plante des clous qui correspondent à l’alignement des murs de façade ou à l’axe de
l’implantation des piliers.
Entre les repères, d’une chaise à l’autre, on place des fils de
fer, maintenus en tension par des contres poids. Sur ces fils de
fer, les maçons pourront suspendre leur fil à plomb en vue du traçage
des semelles et pour l’exécution des murs.
Les axes sont repérés par les numéros et les lettres, et le
traçage des fouilles se fait par la chaux.

B- Terrassement :
Les terrassements consistent à effectuer, surtout à l’aide d’engins telles pelles mécaniques, des :
Déblais : Creuser dans le sol et dégager les terres exemple : creuser une fouille Remblais :
Prélever des terres et combler les cavités : exemple remblayer au dessus d’une canalisation
Décapage : Enlever toute terre végétale pour la stocker provisoirement sur l’emprise du bâtiment
FOUILLES Une fouille est dite en rigole, quand celle-ci n’excède pas 2 m en largeur et 1 m en
profondeur. Elle est dite en tranchée quand elle n’excède pas 2 m en largeur, mais est supérieure

RAPPORT DE STAGE 11 2TSGO. G3


CHAFI HAMZA

à 1 m en profondeur. Une fouille en excavation est un terrassement sur une surface


de plus de 2 m de côté et ayant une hauteur inférieure à 1/2 largeur Les travaux de
terrassement sont effectués après l’implantation suivant les indications portées sur
les plans.
REMBLAIS Ces remblais doivent être stabilisés. Ils s’effectuent : Contre les murs de fondation en
général après la pose du drainage en pied de mur Contre les murs de soutènement. Par couches
horizontales pilonnées Entre les murs de fondation d’un bâtiment
COMPACTAGE Pilonneuse vibrante Plaque vibrante Compacteur vibrant
INFILTRATION Les moyens utilisés pour maîtriser les eaux peuvent être Dirigé l’eau en fond de
fouille dans un puisard et la pomper au fur et à mesure des besoins Rabattre la nappe avoisinante
par des puits ceinturant la fouille : avec
Matériaux filtrants raccordés à une pompe Ceinture en palplanches Congélation du sol
GRILLAGES AVERTISSEURS Le grillage avertisseur se positionne au moment du remblai d’une
fouille dans laquelle se place les gaines et réseaux divers. Il doit se trouver à environ 20 à 30cm
au dessus des gaines.
Conduite d’eau : couleur BLEU Gaine téléphone : couleur VERT Gaine électrique : couleur
ROUGE Conduite de gaz : couleur JAUNE
ATTENTION : Au moment du terrassement, veillez à conserver toutes les terres végétales et
évacuer les autres terres. A la fin du chantier, vous en aurez besoin.

Les fouilles de toutes natures seront descendues aux cotes reconnues et acceptées par
l'architecte et le BET. Elles seront exécutées aux largeurs strictement nécessaires et feront l'objet
d'un procès-verbal de réception. Aucun travail de béton ou de maçonnerie ne sera entrepris avant
l'accord de l'architecte et Le BET.

Les fouilles en tranchées ou en trous seront


exécuter à l’aide d’un tractopelle et prises d'après les
plans de béton armé. Lorsque l'entrepreneur au cours de
ses travaux de démolition rencontrera des canalisations
d'eau, d'électricité, téléphone, égouts, etc.. Il devra
immédiatement en aviser l'architecte et interviendra
directement auprès des services intéressés.
Les remblais seront exécutés par couches
successives de 0,20 m immergées à refus et
compactées, la compacité obtenue sur 0,20 m ne sera
pas inférieure à 95 % de la densité Optimum Proctor
modifiée.
C- Fondation :

La fondation est une partie maitresse, elle crée une surface stable et homogène qui permet
de résister aux charges exercés par l’ouvrage en évitant son affaissement. Bien souvent, elle est
ferraillée quand elle doit supporter des charges conséquentes, mais dans nombre cas, le
ferraillage n’est pas nécessaire, un gros béton suffit.

D- Canalisations et regards :
Le réseau d'assainissement sera réalisé d'après les plans d’exécution, aucun remblai ne
sera mis en place avant les essais d’étanchéité.

RAPPORT DE STAGE 12 2TSGO. G3


CHAFI HAMZA

1 - Regards
Les regards seront exécutés en béton B1,
reposant
sur un radier de 15 cm d'épaisseur. Les parois intérieures
seront enduites au mortier hydrofuge avec gorge à la bouteille.
L'arrivée et départ des buses se feront à 10 cm au dessus
du radier, ces regards seront couverts par les tampons en
BA avec anneaux de levage rabattables en fer galvanisé.
Tampons de couverture extérieurs seront soit en fonte,
conformes aux normes de ville, en béton, selon la situation des regards sur plans d'exécution.
Tampons de couverture intérieurs aux bâtiments pour les regards visitables ou sous siphon de
cours seront coulés dans un cadre en cornières galvanisées.
Ces dallages amovibles qui seront munies d'un crochet de levage en fer galvanisé reposeront sur
un cordon bitumineux qui assurera l'étanchéité.
2 - Canalisations
Les buses en béton comprimé reposeront sur un lit de sable de 10 cm d'épaisseur, les joints
seront bien traités de façon à ne pas permettre une fuite des EU et EP.

E - Gros béton :
Le gros béton sera exécuté en béton N° 2 dosé à 300 kg
de ciment CPJ45. Le gros béton sera fabriqué mécaniquement
par la bétonnière sur notre chantier, transporté à l’aide des
brouettes qui se déplacent sur un passage réalisé par des madriers
et versé dans les fouilles jusqu’au niveau marqué sur les parois
du sol. Le béton sera étalé à l’aide des pelles et vibrés du
moyen de l’aiguille vibrante.

F- Béton de propreté :
Exécuté en béton B5 sous tous les ouvrages en fondation,
maçonnerie, béton armé pour semelles, chaînages, et longrines,
épaisseur suivant plans, compris pilonnage. La largeur du
béton de propreté dépassera de 0,10 m de chaque côté de
l'aplomb des ouvrages qu'il supporte.

G- Semelles :

1- Traçage :
Il faut effectuer le traçage quand le béton aura fait sa prise, cette étape consiste à tracer les
limites des semelles sur le béton de propreté en projetant les axes présentés dans la phase
d’implantation.

2- Coffrage :
Il faut coffrer les semelles soigneusement pour qu’elles auraient des formes régulières et
surtout pour qu’il ne puisse avoir de mélange entre le béton frais et terre.Le coffrage sera en bois,
en utilisant des panneaux posés sur l’alignement tracé, en gardant la verticalité et
l’horizontalité à l’aide du niveau à bulle d’air.
RAPPORT DE STAGE 13 2TSGO. G3
CHAFI HAMZA

3- Ferraillage :
Les armatures des semelles seront façonnées dans
l’aire de ferraillage et transportées par le grutier vers les lieux
de mise en place.
Pour l’accrochage entre les semelles et les poteaux
de fondation on devra laisser des barres d’attentes.
Des côtes à béton seront prévues dans les faces
latérales et postérieures dans des semelles pour garder
l’enrobage.

4- Bétonnage :
Avant toute chose, humidifier le coffrage, le béton des
semelles sera réalisé en béton armé N° 2 dosé de 350 kg de
ciment CPJ 45, 350L de sable, 700L de gravette 15/25, et 300L
de gravette 5/15.
Le béton sera vibré par l’aiguille vibrante.

H- Fut des poteaux:


1- Traçage :
Tracer les limites des poteaux sur les semelles en projetant les axes présentés dans
l’implantation au moyen de cordex, pour les longrines, on les trace sur le béton de propreté.

2- Coffrage :

Confectionner les trois quarts du coffrage, (c’est-à-dire


un coffrage constitué de trois faces). Utiliser des
panneaux de coffrage d’une longueur adéquate
(suffisamment longue pour réaliser la hauteur de poteau
désiré) et deux planches de coffrage.
Tout d’abord, tracer la largeur de poteau sur le panneau
de coffrage.

Réaliser-le en partie haute et basse de chaque panneau. Ensuite, utiliser le cordeau à


tracer (bleu) et tracer sur toute la longueur de panneau (deux tracés par panneau). Clouer sur la
craie déposée : deux en partie haute, deux à mi-longueur et deux en partie basse (6 clous par
panneau). Ces clous vont servir de guide, lors de l’assemblage panneau – planche.
Pour l’assemblage, faites vous assister. Maintenez fermement panneau et planche de
coffrage à la verticale tout en contrôlant, le temps du clouage, que la planche suive bien le tracé.
N’enfoncer pas les clous à fond, ce sera plus facile au décoffrage et cela vous évitera de
casser les arêtes.
Ensuite, prendre une deuxième planche et effectuer la même opération.
La mise en place du coffrage peut commencer. Positionner le coffrage sur la fondation,
bloquer- le en partie basse sur ces trois cotés, à l’aide de planchettes et de clous.

RAPPORT DE STAGE 14 2TSGO. G3


CHAFI HAMZA

3- Ferraillage :

Les armatures seront façonnées sur le chantier, insérés et attachés à l’aide d’une pince russe et
du fil de fer recuit avec les barres d’attentes de semelles et d’autre barres d’attente seront prévues
pour la liaison avec les voiles et les poteaux de RDC.
Puis, fermer la boite avec un deuxième panneau de coffrage, en le clouant et le bloquant à
sa base, pour éviter l’éclatement des planches lors de la clouée.
Le coffrage doit être plombé correctement.
Pour assurer l’enrobage, on mettra des calles à béton entre les panneaux et les armatures.

4- Bétonnage :

Avant toute chose, humidifier la coffrage, le


bétonnage sera en béton transporté par des brouettes, versé
dans le moule, coulé progressivement jusqu’au niveau voulu
et vibré par l’aiguille vibrante.

I – Mur en fondation :

La maçonnerie sera réalisée conformément aux plans


d’exécution établis par le BET.
Elle sera en moellons hourdés au mortier n°1, joints
soigneusement bourrés et serrés à la truelle et les boutisses
judicieusement placés.

J – Longrine , chainage et mise à la terre :

Les longrines et chainages seront réalisés en béton n°4


entièrement vibré, suivant le tableau de dosage

La mise à la terre sera réalisée par un ceinturage à fond


de fouille intéressant le périmètre du bâtiment, la section de
conducteur sera 28 mm² en cuivre nu. La retombée jusqu’aux
droit des tableaux de protection se fera par le même
conducteur ainsi que pour ferraillage du bâtiment.

RAPPORT DE STAGE 15 2TSGO. G3


CHAFI HAMZA

K - Dallage :

Le dallage est destiné pour :


 Isoler de l’humidité du sol.
 Recevoir les divers revêtements.
 Supporter les ouvrages.
Et réalisé comme suit :
 Compactage de la terre.
 Arrosage et compactage du tout venant de 20 cm.
 La pose de polyane sur TV.
 mise en place d'une armature en simple
quadrillage de T6 esp de 20 cm sur les cales à béton.
 Bétonnage, réalisé en béton N° 4 dosé à 350 kg
de ciment, 450L de sable et 1000L de gravette 15/25.

L – Les poteaux en élévation:

Tracer les limites des poteaux sur le dallage en respectant le mode opératoire du fut poteau
définit au dessous.

M– Planchers en dalle creuse :

 Les poutrelles et les entre-vous seront transportés par une monte charge.
 La réalisation du plancher s’effectue en suivant les étapes suivantes :
- Pose de coffrage
- Pose des madriers, en s’appuyant sur le coffrage
des poutres, selon la grande portée.
- Mise en place et réglage des échafaudages.
- Pose des poutrelles selon le sens de la petite portée.
- Pose des hourdis sur les talons des poutrelles.
- Garder les réservations pour les gaines.
- Pose des armatures des poutres et de la dalle de
compression.
- Pose des chapeaux de rives dans l’axe des poutrelles et au dessus des armatures de la
dalle de compression ainsi que les chapeaux sur appuis intermédiaire.

N – Les murs :
 Tracer l’extrémité du mur sur le dallage par des cordex.
 Fixer les profils verticalement à l’extérieur de mur.

RAPPORT DE STAGE 16 2TSGO. G3


CHAFI HAMZA

 Tender deux cordeaux une à l’extérieur et l’autre à


L’intérieur de cloison.
 Poser la première assise de gauche vers la droite.
 Régler la brique horizontalement à l’œil.
 Lever les bavures de mortier et lisser les joints à la truelle.
Le cordeau à la deuxième assise.
 Suivre la même méthode pour l’autre assise.

O – Linteaux et appuis de fenêtres :


1 - Linteaux :
Ces éléments seront réalisés en béton peu armé dosé
de 350 kg , et intégrés dans les murs en maçonnerie de 15
chaque côté. Le coffrage sera réalisé par un petit monté posé
sur mur et serré par une serre- jointe au fond de ce moule,
armé par trois barres d’acier.

2 – Appuis :
Le coffrage sera réalisé en bois dans les côtés latéraux.
 Le bétonnage se fera manuellement avec une légère
pente vers l’extérieur pour l’évacuation des eaux pluviales.
 L’appui de fenêtre se trouve à un endroit très sensible,
alors il sera soigné contre les risques d’infiltrations d’eau.

P – Les enduits :

 Poser l’échafaudage pour la circulation des ouvriers.


 Préparer le support en éliminant les éléments. Apparents de mortier arroser le support.
 Poser un grillage galvanisé entre les éléments en béton et ses éléments en maçonneries.
 Poser aux extrémités de mur des règles bien vertical.
 Poser les repères intermédiaires.
 Projeter le gobetis.
 Après 24 H projeter la couche dressage.
 Faire la dernière couche de finition avec un
mouvement circulaire de la tâche.

RAPPORT DE STAGE 17 2TSGO. G3


CHAFI HAMZA

VIII – HYGIENE ET SECURITE SUR CHANTIER


Hygiène et sécurité sur chantier :
De nombreux accidents se produisent au cours d’activités banales telles que marcher,
monter les escaliers ou porter des charges. Le risque d’accident durant ces activités est volontiers
sous estimé car il prévaut l’idée qu’il ne m’est encore rien arrivé, et on peut définir l’accident de
travail comme un événement soudain ou violent provenant d’une cause extérieure qui provoque
chez la personne accidentée des lésions corporelles, des troubles fonctionnels ou même la mort.
Pourtant, selon les statistiques, un assuré sur dix est victime chaque année d’un accident
du travail provoqué par des causes humaines et matérielles tel que la négligence, la fatigue, la
distraction, l’erreur de raisonnement, les mauvaises conditions de travail ou l’encombrement du
matériel et outillage. Ces accidents pourraient être évités en respectant les règles de sécurité et
en faisant attention à la santé.

Règles de base concernant la sécurité et l’hygiène au travail pour l’ouvrier :


Les accidents ne se produisent pas par hasard. Les principaux conseils :
- Vérifier, avant de commencer à travailler, si les outils, les matériaux, les voies empruntés et
les lieux de stockage sont surs.
- Ne prendre aucun risque et éliminer tout danger sans délai. Si cela n’est pas possible, en
informer son supérieur hiérarchique pour qu’il s’en charge.
- Ne pas hésiter à s’informer et à poser des questions en cas d’incertitude.
- N’utiliser que des outils et des machines dont le fonctionnement est bien connu afin de
travailler en toute sécurité.
- Contrôler les points dangereux : les vides
(bordures de plancher, trémies, les cages
d’escalier et ascenseurs) les échelles, les
plates formes de travail (échafaudage)
- Assurer la propreté du chantier par nettoyage
et évacuation à la décharge publique.
- Respecter les règles d’accrochages
à un engin de levage (grue, monte charge)

- Organiser les opérations de chargement de stockage,


de levage (banches métalliques, les pré-dalles)
- Nettoyer et déclouer les bois de coffrage sitôt décoffrés
pour éviter les piqures.
Il faut mettre aussi l’ouvrier à contribution pour la
démarche sécurité, l’avertir du danger, lui imposer de porter
les gants, le casque, le botte, les chaussures de sécurité,
gilet …

RAPPORT DE STAGE 18 2TSGO. G3


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IX – LE PLAN D’ASSURANCE QUALITE
Le plan d’assurance qualité :

Le PAQ sert à décrire l’ensemble des dispositions spécifiques prises pour assurer la qualité du
produit fourni dans le cadre d’un projet ainsi que la qualité du processus de développement.
Le PAQ (Position Analysis Questionary) est aussi un questionnaire permettant l’analyse du travail.
Ce document décrit ce que l’entreprise va effectuer. C’est l’une des bases des actions suivantes :

- ECRIRE CE QUE L’ON FAIT : définir QUI, QUOI, OU, COMMENT, QUAND,(cf
QQOQCCP)
- FAIRE CE QUE L’ON A ECRIT : conformément à ce que l’on a écrit.
- ECRIRE CE QUE L’ON A FAIT : vérifier la conformité de ce que l’on a fait par rapport à ce
que l’on a écrit.
- VALIDER

Dans le domaine du Bâtiment, le PAQ est le document de base qui définit l’organisation spécifique
mise en place sur le chantier par l’entreprise et que remet l’entreprise au représentant technique
du client ( MOE : Maitrise d’ouvre) ou bien au client (MO : la maitrise d’ouvrage ou pouvoir
adjudicataire).

X- LE CONTROLE ET AUTO-CONTROLE
Le contrôle:
Action de mesurer, d’examiner, d’essayer les caractéristiques d’un produit ou service et de
le comparer aux exigences spécifiées en vue d’établir leur conformité.
Le contrôle implique un jugement (conforme ou non conforme) puis une décision.
Il n’ya pas de contrôle possible sans une référence.

Auto-contrôle :
C’est un mode de contrôle selon lequel une personne physique exerce son propre contrôle
sur le résultat de son travail.
Plan de contrôle :
Document décrivant les dispositions spécifiques mise en œuvre pour effectuer le contrôle
de produit ou de service considéré.
Point critique :
Un point de contrôle présentant une importance particulière en raison de risques en cours.
Point d’arrêt :
Le maitre d’ouvrage peut exiger que la poursuite des opérations soit subordonnée à
l’accord sans réserve des contrôles extérieurs

RAPPORT DE STAGE 19 2TSGO. G3


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Fiche de contrôle :
Document définissant pour une tache donnée les spécifications et procédures des contrôles
décidés. Sur ce document sont fixés notamment les points critiques et d’arrêt.

Exécution

Recherche
Finition Détection Correction des causes

Acceptation Refus Fréquent


Evaluation

RAPPORT DE STAGE 20 2TSGO. G3


CHAFI HAMZA

XI-METRE-ETUDE DR PRIX DE FONDATION

1-METRE
N° Désignation Unité Nbre Dimensions Quantité
Longueur Largeur Hauteur Partiel Total
m m m
₊ ₋
1 TERRASSEMENT
1-a Décapage général m² 1 8 10 80 80
LOGEMENT DU DIRECTEUR
1-b fouilles en tranchée m³ 54.544
sous maçonnerie m³ 31,68
1 m³ 2 8 0,5 1,2 20,64 ***
2 m³ 2 9,2 0,5 1,2 11,04 ***

sous longrine
1 m³ 2 3,6 0,4 0,4 1,152 ***
2 m³ 2 7,2 0,4 0,4 2,304 *** 5,152
3 m³ 2 3,3 0,4 0,4 1,056 ***
4 m³ 2 2 0,4 0,4 0,64 ***

1-c fouilles en puits m³


semelle : S1 m³ 4 1,5 1,5 1,2 10,8 ***
semelle : S2 m³ 4 1,2 1,2 1,2 6,912 *** 17.712
semelle : S3 m³ 8 1,2 1,4 1,2 16,128 ***

2 MACONNERIE EN FONDATIONS
béton de propreté m³ 5,828

2- sous maçonnerie 1,72


a
1 m³ 2 8 0,5 0,1 0,8 ***
2 m³ 2 9,2 0,5 0,1 0,92 ***
2- sous longrine 1,288
b
1 m³ 2 3,6 0,4 0,1 0,288 ***
2 m³ 2 7,2 0,4 0,1 0,576 ***
3 m³ 2 3,3 0,4 0,1 0,264 ***
4 m³ 2 2 0,4 0,1 0,16 ***
2-c sous semelle 2,82
semelle : S1 m³ 4 1,5 1,5 0,1 0,9 ***

RAPPORT DE STAGE 21 2TSGO. G3


CHAFI HAMZA

semelle : S2 m³ 4 1,2 1,2 0,1 0,576 ***


semelle : S3 m³ 8 1,2 1,4 0,1 1,344 ***

2-d maçonnerie de m³ 5,888


moellons
1 m³ 2 5,6 0,4 0,8 3,584 ***
2 m³ 2 3,6 0,4 0,8 2,304 ***

3 BETON ARME EN
FONDATIONS
béton pour béton m³ 12,5524
armé en fondation

3-a béton pour béton armé m³ 4,128


chainage
CH1 m³ 2 8 0,4 0,3 1,92 ***
CH2 m³ 2 9,2 0,4 0,3 2,208 ***
3-b béton pour béton armé m³ 1,944
longrine
LG1 m³ 2 3,6 0,2 0,3 0,432 ***
LG2 m³ 2 3,2 0,2 0,3 0,384 ***
LG3 m³ 2 2,2 0,2 0,3 0,264 ***

LG4 m³ 2 7,2 0,2 0,3 0,864 ***


3-c béton pour béton armé m³ 7,475
semelle
semelle : S1 m³ 4 1,3 1,3 0,35 2,366 ***
RECTANGLE
semelle : S2 m³ 4 1 1 0,25 1 ***
RECTANGLE
semelle : S3 m³ 8 1 1,2 0,3 2,88 ***
RECTANGLE
SEMELLE S1 m³ 4 0,15/3(1,69+0,04+0,26) 0,0995 ***
PYRAMIDLE
SEMELLE S2 m³ 4 0,15/3(1+0,04+0,2) 0,062 ***
PYRAMIDLE
SEMELLE S3 m³ 8 0,15/3(1,2+0,04+0,22) 0,0729 ***
PYRAMIDLE

4-d forme de béton de m² 59,84


0,10 y c a
1 m² 2 2,3 2 *** 9,2 ***
2 m² 1 2 2,2 *** 4,4 ***
3 m² 2 3,6 2,3 *** 16,56 *** ***
4 m² 2 3,2 2,3 *** 14,72 ***

RAPPORT DE STAGE 22 2TSGO. G3


CHAFI HAMZA

5 m² 1 3,6 2,2 *** 7,92 ***


6 m² 1 3,2 2,2 *** 7,04 *** ***

2- ETUDE DE PRIX

a- SDP de 1 m³ de béton arme


C U Q PU CP MX MO

Ciment T 0.350 1150 1.02 410.55

Graville m³ 0.520 160 1.045 86.944

Grain de riz m³ 0.250 185 1.055 48.794

sable m³ 0.310 220 1.050 71.61

eau m³ 0.180 4.55 1.065 0.1351

mo H 2 25 50

668.033 dh / m³

b- SDP de 1 m³ de béton de propreté

C U Q PU CP MX MO

Ciment T 0.300 1150 1.02 351.9

Grin de riz m³ 0.350 185 1.055 68.32

sable m³ 0.750 220 1.05 173.25

eau m³ 0.160 4.55 1.065 0.775

mo H 1.5 25 37.5

631.75 dh / m³

RAPPORT DE STAGE 23 2TSGO. G3


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c- SDP de 1 m³ de mortier
C U Q PU CP MX MO

Ciment T 0.250 1150 1.02 293.25

Grain de m³ 0.530 185 1.055 103.44

riz

Sable m³ 0.570 220 1.05 131.67

Eau m³ 0.120 4.55 1.065 0.585

Mo H 1.5 25 37.5

566.445 dh/ m³

Les informations nécessaires

RAPPORT DE STAGE 24 2TSGO. G3


CHAFI HAMZA

d-temps unitaires

Les temps Unitaires appliqués à l'études des prix

DESIGNATION TU

Décapage à l'engins (Chargeuse 300m³/j) 0,01 h/m²

Fouille en tranchés ( tracto-pelle) 0,08 h/m³

M.O pour Evacuation au remblaiment 1,00 h/m³

Fabbrication des béton à la bétonnière 2,00 h/m³

Mise en œuvre de béton 2,50 h/m³

M.O de coffrage et décoffrage 3,50 h/m³

Acier 0,21 h/Kg

Maçonnerie en moellon 3,25 h/m³

M.O de Maçonnerie 1,15 h/m²

M.O de fabrication Mortier 1,50 h/m²

RAPPORT DE STAGE 25 2TSGO. G3


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RAPPORT DE STAGE 26 2TSGO. G3


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RAPPORT DE STAGE 27 2TSGO. G3


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XIII - MATERIELS NECESSAIRES POUR L’EXECUTION DU


PROJET

RAPPORT DE STAGE 28 2TSGO. G3


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RAPPORT DE STAGE 29 2TSGO. G3


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XIV- CONCLUSION

Un stage est une opportunité à saisir en vue de comprendre et vivre la réalité des
entreprises. Ce voyage momentané est censé permettre au stagiaire de mettre en
pratique toutes les théoriques acquises.
A l’issue de cette petite expérience il est demande de rédiger un rapport. Ce
dernier représente la base dévaluation pour l’encadrant pédagogique.
Un bon rapport est celui dont les informations sont riches la structure est
faciliter, le style est direct et simple mais pour pouvoir élaborer un travail de
qualité impérativement, il faut disposer de ressources assez suffisantes, de la
collaboration des membres de la société ou le stage est effectué, de la
transparence, et surtout, de considérer un stagiaire comme assistant et nom pas
un intrus gêne les employés, les perturbe, et leur fait perdre leur temps précieux.
Au contraire le stagiaire est venu, certes, pour apprendre et se Potter a la vie
professionnelle, mais aussi pour donner, aider et faciliter le travail des autres, et
pourquoi pas, si certaines conditions sont réunies, innover, créer, étudier,
analyser, proposer, etc.…

RESUME
Le but de se stage et revêt une grande importance pour la formation.
Il est le trait d’union indispensable entre la théorie et les travaux
pratique.
L’information est un domaine spéciale ou se meuvent des forces impalpables
souvent considérables, est un nécessitent des connaissances
professionnelles particulièrement étendues.
Ce stage qui nous a été offert est un point de départ, une base qui nous
sera loisible détendre.

FIN…
RAPPORT DE STAGE 30 2TSGO. G3
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RAPPORT DE STAGE 31 2TSGO. G3

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