Machine Asynchrone Du Schema Equivalent Finale
Machine Asynchrone Du Schema Equivalent Finale
Machine Asynchrone Du Schema Equivalent Finale
II.1. Introduction :
Sous le vocable schéma équivalent, on désigne un circuit électrique composé de
dipôles linéaires permettant de modéliser la machine réelle. Le schéma équivalent le plus
pertinent est fonction du domaine d'utilisation et du degré de précision nécessaire. Dans le cas
des machines asynchrones, il comprend, au minimum, une association de résistances et
d'inductances.
Le modèle à fuites secondaires avec l'ensemble ramené au stator est le plus fréquent
dans la littérature car il comporte des éléments que l'on peut identifier relativement
simplement et de manière suffisamment précise et il est simple d'emploi.
On a considéré que le circuit magnétique était sans pertes, ce qui n'est pas le cas. Pour
rendre compte des pertes fer qui dépendent du carré de l'alimentation, on ajoute dans ce
modèle une résistance fictive Rµ en parallèle avec l'inductance statorique Xµ.
Après avoir établi que le schéma équivalent correspondait à une phase de la machine
asynchrone, on peut identifier le modèle correspondant à une machine quelconque en réalisant
trois essais. Dans notre chapitre en va déterminer les éléments du schéma équivalent de la
machine asynchrone dans l’hypothèse du flux constant avec la prédéterminer et relever les
caractéristiques T(g), cos Φ(g) , η (g),Pu (g) ,en fonction moteur et génératrice dont en
figurant le couplage du moteur asynchrone pour une fonction sur le réseau 3Φ.
(g=0) et préciser le mode opératoire, puis en donnent les expressions littérales des puissances
active Ps et Réactive Q s absorbées par la machine en fonction de Rµ, Xµ et V.
Aprés avoir vérifiee les polarités de la machine a c-c par rapport à Uc, on ajoute
la tension Uc pour que la vitesse de rotation soit 1500tr /min, Uc= ?
- Le modèle de la machine asynchrone ne tient pas des pertes fer ni des pertes
mécaniques, on complète le modèle proposé en a ajoute 3résistance Rfer qui
modélisent les pertes fer et une charge mécanique. Tp qui matérialise les pertes
mécaniques du groupe Rfer=165Ω etTp=1.1+1.91.10Ω (Type MLOAD)
- Pour prendre en compte les pertes mécaniques et les pertes dans le fer de la
MCC. On à ajoute une charge (Mechanical L oad), (bibliothéque : power
Mouteur drive) qui oppose un couple Tp modélisant Ces pertes.
- Tp= Sing(Wm)*(Tc+K1)Wm*(K2Wm2+K3Wm3 )
- Avec Tc=1.1N.m , k1=1.91.10^-3,K2=K3=0
I2 =12.4A g=5.87%
D’où tous les élément du schéma équivalent sont maintenant détermines Il suffit
d’ajouter sur Uc pour obtenir divers de fonction en moteur (Uc<226)ou G
(Uc>226).
Uc(v) 180 190 200 210 220 230 240 250 260 270
I(A) 18,1 15 12,2 10 8,5 8,2 9,1 11 13,4 16,1
P(w) 5543 4441 3321 2198 1083 -15 -1089 -2131 -3132 -4084
Q(VAR) 4612 3988 3561 3308 3216 3275 3425 3824 2315 4958
n(tr/min) 1404 1429 1451 1471 1490 1507 1525 1542 1560 1578
Tu(Nm) 28,7 22,7 16,3 9,6 2,7 -4,2 -11,3 -18,3 -25,4 -32,3
g(%) 6,4 4,73 3,27 1,93 0,67 -0,47 -1,67 -2,8 -4 -5,2
CosΦ 0,769 0,744 0,682 0,553 0,319 -0,005 -0,299 -0,487 -0,587 -0,636
Pu(w) 4420 3397 2477 1479 421 -663 -1805 -2955 -4149 -5338
Η 0,761 0,765 0,746 0,673 0,389 0,023 0,603 0,721 0,755 0,765
Moteur Génératrice
I
18
16
14
12
10
8 I
6
4
2
0
-6 -5 -4 -3 -2 -1 0
Tu
0
-6 -5 -4 -3 -2 -1 0
-5
-10
-15
Tu
-20
-25
-30
-35
cos(Φ)
0
-6 -5 -4 -3 -2 -1 0
-0.1
-0.2
-0.3
cos(Φ)
-0.4
-0.5
-0.6
-0.7
Pu(g)
0
-6 -5 -4 -3 -2 -1 0
-1000
-2000
-3000 Pu(g)
-4000
-5000
-6000
η2
0.9
0.8
0.7
0.6
0.5
0.4 η2
0.3
0.2
0.1
0
-6 -5 -4 -3 -2 -1 0
Génératrice
Université Kasdi Merbah Ouargla Page 7
CHAPITRE II Machine Asynchrone-Schéma Equivalent
η1
0.9
0.8
0.7
0.6
0.5
0.4 η1
0.3
0.2
0.1
0
0 2 4 6 8
Moteur
Il est possible de les calculer à partir d’un essai à rotor calé sous tension réduire
.on règle la tension d’alimentation à une valeur telle que le circuit absorbé soit
de l’ordre du circuit nominal tout en empêchant la machine asynchrone de
tourner grâce à la machine à c-c.
R2=0.783Ω ,l2w=3.16 Ω
Un essai supplémentaire peut etre effectué afin de recouper les résultat on fait
fonctionner la MAS à une vitesse proche de la vitesse de synchronisme on ouvre
le curcuit d’alimentation statorique et on reléve l’évolution de la tension induit
entre 2 phase de la machine, la vitesse de la machine restait constanté.
La tension entre phase U12 à l’allure d’une sinusoïde amortie, on mesure sur
cette courbe l’amplitude de 2 extrême VS1 et Vs2 et l’intervalle de temps .ΔT
séparant ces 2 points.
II.10. Conclusion :
L’essai à rotor calé conduit à des résultats nettement moins précis (25%
d’impression sur le courant nominal).