BPM

Support de cours
Urbanisation et BPM
Option SI
Filière Génie Informatique – EMI
Préparé par : Pr. Fatima-Zahra BELOUADHA
Objectifs du cours
  Comprendre le concept de processus, les
concepts BPM et s’initier au standard BPMN de
modélisation des processus
  Connaître le but d’urbanisation des SI
  Connaître le lien entre l’urbanisation et BPM
  Comprendre la démarche d’urbanisation et ses
différents volets stratégiques, métiers,
fonctionnels, et techniques
  S’initier à la pratique d’urbanisation par
l’exemple et par l’utilisation de la suite MEGA
en TP
Fatima-Zahra BELOUADHA. Urbanisation et BPM. Option SI. 3ème année GINF. EMI. 2
Plan
  Processus et BPM
  Introduction à l’urbanisation
  De la stratégie à la vue métier
  De la vue métier à la vue fonctionnelle
  De la vue fonctionnelle à la vue

applicative et technique
  Architecture logicielle et technique
CH1. Processus et BPM
  Motivations de l’approche processus

  Processus : concept et types
  Processus métier/Processus collaboratif
  L’approche processus dans la pratique
  BPM
  Workflow Vs BPM
  BPMN pour la modélisation des processus
  BPEL pour l’exécution des processus
  Urbanisation, BPM et SOA
Motivations de l’approche Processus
Défis
Productivité Compétitivité Flexibilité Adaptabilité

Production/ Part marché Partenariats Changements sans
investissement perte d’efficacité
Solution
L’approche processus
(ISO 9000, V2000)
Définition d’un processus
Oxford A series of actions or steps taken in order to achieve a particular end
Ensemble d’activités reliées entre elles par des flux d’information qui se
Lorino, combinent pour fournir un produit matériel ou immatériel important et
1995
bien défini
Brandenburg Enchaînement d’activités ou d’ensembles d’activités, qui est alimenté

& Wojtyna, par des entrées, qui dispose des ressources et qui ajoute de la valeur
2003 par rapport au but pour créer des sorties
Ensemble d’activités structurées, menées dans un objectif déterminé,

Morley et
attribuées à un acteur ou plusieurs acteurs correspondant à des rôles
al., 2011
différents et exécutées en utilisant des ressources et suite peut être à
des événements
Ensemble d’activités corrélées ou interactives qui transforme des

ISO 9000
éléments d’entrée en éléments de sortie
Définition synthétique d’un processus
Rôles Ressources
Objectif
Satisfaction du client
Besoins du client
Produit
Sorties
Entrées
Processus
Evènement
Ensemble d’activités qui interagissent et qui à partir d’un ensemble d’entrées

produisent un ensemble de sorties pour atteindre un objectif donné. Ses activités sont
exécutées par des machines ou des acteurs humains auxquels sont assignés des rôles,
et peuvent susciter des ressources et sont parfois conditionnées par des événements.
Le processus part des besoins du client avec comme but ultime la satisfaction de
celui-ci
Terminologie
  Activité : Ensemble de tâches élémentaires
  Entrée : Objet sur lequel opère une activité
  Sortie : Résultat produit par une activité
  Objectif : ce que le processus vise à atteindre
pour répondre aux orientations de l’entreprise
  Rôle : Responsabilité
  Ressource : Moyen requis pour effectuer une
activité (ex : BD ou outil logiciel).
  Evènement : Fait qui se produit et qui peut
déclencher une activité (ex : échéance
temporelle ou résultat qui se produit).
Types de processus
Besoins du Mesures Processus

client de mesure
de décision
Processus
Décisions
Produit
Ressources
Processus Processus de
de support réalisation
Objectifs des processus
  Processus de support :
–  Mettre à la disposition des processus métier les
ressources utiles pour assurer leur bon déroulement
–  Ex: gestion RH ou financière, admin. syst, formation…
  Processus de réalisation (opérationnels / métiers) :
–  produire un produit ou un service ou encore
contribuer à sa réalisation
  Processus de mesure :
–  contrôler et mesurer la performance des activités
menées pour l’amélioration continue des processus
  Processus de décision (de management) :
–  Diriger, piloter, prendre et valider des décisions qui
peuvent affecter les processus métier
Processus métier
  Agencement d’activités confiées à différents
participants, qui met en relief les interactions
entre ces derniers sous forme d’échange
d’informations et qui apporte une valeur
ajoutée pour le client et/ou l’entreprise.
  Les participants peuvent être :

–  Des applications / services du SI
–  Des acteurs humains
–  D’autres processus métiers
D’autres processus métiers
Exemple de processus métier :

Voici par exemple une partie d’un processus métier de gestion des bons de
3
commande, modélisé avec Intalio|n Designer. Cet exemple fait intervenir deux
Gestion de commandes
participants : Le département marketing de l’entreprise, et un processus automatisé de
gestion des bons de commande.
Fatima-Zahra BELOUADHA. Urbanisation et BPM. Option SI. 3 12

métier peut être interne à une entrepriseannée GINF. EMI.
ème
Un processus (gestion des demandes de
congés par exemple), ou mettre en jeu des entreprises partenaires – on parle alors de
Processus collaboratif (B2B)*
  Processus métier mettant en jeu n partenaires,
composé d’1 interface publique et n
implémentations (1 par partenaire)
  L’interface définit le contrat entre les partenaires
–  Documents métiers échangés
–  Séquencement des activités
–  Rôles et responsabilités de chaque partenaire
  Implémentations :
–  Définissent le comportement interne de chaque
partenaire pour réaliser le processus, et respecter les
contraintes définies dans l’interface publique
activités, des rôles et responsabilités de chaque partenaire. L’exécution spécifique de
chaque partenaire est abstraite grâce à cette interface. Voici la représentation de
Exemple de processus collaboratif*
3
l’interface d’un processus collaboratif de gestion de commande sous Intalio|n
Designer, mettant en jeu trois partenaires – un client, un fournisseur et un sous
traitantGestion
: de commande
Les implémentations – une pour chaque partenaire – définissent le comportement

interneFatima-Zahra
de chaqueBELOUADHA.
partenaireUrbanisation
pour réaliser
et BPM.le processus,
Option SI. 3
ème et respecter
année GINF. EMI. les contraintes
14
définies dans l’interface publique. Voici un exemple d’implémentation, pour le

Les implémentations – une pour chaque partenaire – définissent le comportement
Exemple d’implémentation d’un

interne de chaque partenaire pour réaliser le processus, et respecter les contraintes
définies dans l’interface publique. Voici un exemple d’implémentation, pour le
partenaire*
partenaire « sous traitant » du processus ci-dessus (les activités en bleu
correspondent aux activités présentes dans l’interface), modélisé sous Intalio|n3
Designer :
Copyright © 2003 Intalio, Inc. www.intalio.com Page 11 / 45

L’approche processus selon ISO 9001
Identifier les
processus
Décrire les
processus
Assurer l’efficacité de
fonctionnement des
processus
Analyser les
processus
Améliorer les
processus
L’approche processus dans la pratique
Cartographier •  Mettre en relief les éléments, séquence et

les processus interaction
Piloter les •  Définir les méthodes adéquates, mettre à

disposition les ressources et assurer les flux
processus pour garantir la cohérence des processus
Améliorer •  Surveiller, mesurer, corriger

pour avoir des processus
les opérationnels, efficaces et
processus efficients
Problématique de la gestion des
processus dans la pratique
  Usage d’outils différents par les équipes
méthode, métier et techniques
–  Modélisation technique et implémentation (à la main)
sans pouvoir capitaliser sur la modélisation métier
  Conséquences
–  Collaboration difficile
–  Time to Market élevé: de la modélisation à l’exécution des
processus & de la modification des processus à son
implémentation
–  Incohérence entre les modélisations fonctionnelle et
technique
–  Décalages entre les besoins exprimés au départ et
les applications réalisées
BPM : Business Process Management
  Enjeu
–  Unifier sous un seul outil toutes les visions des

processus : métier, fonctionnelle et technique
  Objectif
–  Permettre aux décideurs, analystes métiers,

équipes fonctionnelles et équipes techniques de
collaborer pour la définition et l’évolutivité des
processus métiers via un seul outil agrégeant les
différentes visions
Avantage du BPM
  Permet de gérer le cycle de vie des processus

métier
–  Modélisation
•  Modèles des processus et règles de gestion
–  Exécution
•  Exécution des processus modélisés en
orchestrant l’intervention d’acteurs humains et
d’applications
–  Pilotage (Monitoring) : BAM
•  Activité pilotée via des indicateurs et points de
contrôle associés aux processus (performance)
Workflow VS BPM*
  Workflow :
–  Modélisation et gestion informatique de l’ensemble
des tâches à accomplir par différents acteurs
impliqués dans la réalisation d’un processus métier
–  Considère des participants humains (+applications
pour BPM)
–  Considère uniquement des documents et tâches
pour l’automatisation des processus métiers
(niveau d’abstraction supplémentaire pour BPM :
services et informations)
Qui est derrière BPM ?
  BPMI.org : BPM Initiative
–  Modélisation de processus : Aris, MEGA, Rational,

Popkin
–  EAI : WebMethods, SeeBeyond, Vitria
–  Applicatif : IBM, BEA
–  Workflow : Fujitsu, FileNet, Staffware
–  ERP : SAP, PeopleSoft, Siebel
Standards BPM
  Modélisation, exécution et interrogation
–  BPMN : Business Process Modeling Notation (OMG)

–  BPML : Business Process Modeling Language/BPEL :
Business Process Execution Language (standard
OASIS)
–  BPQL : Business Process Query Language
Modélisation des processus
CIMOSA Event
driven
Réseaux
process
de Petri
chain
Modélisation
IDEF
BPMN
des processus
UML OSSAD
Merise
Standard BPMN
  Notation graphique pour la modélisation des

processus (V1.0 en 2004, V2.0 Jan 2011)
  Définit un BPD où le processus est un réseau
d’objets graphiques représentant des activités
et le contrôle sur leur enchaînement
  Avantages :
–  Notation compréhensible par des analystes, des
techniciens et des organisateurs
–  Mapping complet vers les langages d’exécutions :
génération automatique du processus BPEL à
exécuter par le moteur de processus.
BPMN : Evènements (1/3)
  Evènement
–  Fait (qqe chose) qui se produit au cours d’un
processus métier et affecte son flux
–  A généralement une cause et un effet
  Types d’évènements
–  None : sans type particulier
–  Message : réception ou envoi d’un message
–  Temporisateur : délai écoulé, date, instant ou
cycle ayant lieu
–  Conditionnel : règle validée
–  Signal : réception ou envoi d’un signal
(différent de message car n’a pas de
processus destinataire spécifique)
  Types d’évènements (suite)
–  Multiple : seule une cause ou seul un résultat
parmi plusieurs est suffisant pour démarrer ou
terminer un processus
–  Multiple parallèle : plusieurs causes ou
résultats sont nécessaires pour démarrer ou
terminer un processus
–  Escalation : mécanismes pour accélérer
l’achèvement de l’activité doivent être
exécutés ( suite à contrainte sur son exécution
(ex: deadline))
–  Error : une exception a terminé ou devrait être
générée pour terminer le processus
  Types d’évènements (suite)
–  Compensation : Mécanismes de
compensation doivent être exécutés
–  Annulation : une transaction doit être annulée
–  Terminaison : Termine le processus (arrêt de

toutes les activités sans compensation ni trait.
d’exceptions)
–  Lien : mécanisme pour connecter 2 sections
d’1 Processus. Utilisé pour créer des boucles
ou éviter de long lines d’un flux de séquence
BPMN: contextes des évènements (1/2)
  Représentation des évènements selon
différents contextes de création
–  Début/Start : marquer le début d’un processus
–  Fin/Terminate : marquer la fin du processus
–  Intermédiaire/Intermediate : affecter le
déroulement du processus sans être de début ou
de fin
BPMN: contextes des évènements (2/2)
  Représentation des évènements selon
différents contextes de création
–  Sans interruption : indiquer que l’activité en
cours ne sera pas interrompue. L’événement
concerné est un événement intermédiaire de
frontière ou un sous-processus événement
–  Capture/Catching : marquer qu’un processus
doit attendre jusqu’à la capture de l’événement
(intermédiaire)
–  Déclenchement/Throwing : marquer que
l’événement (intermédiaire) créé est déclenché
par un processus qui continue à le déclencher
jusqu’à sa capture
BPMN : Liste synthétique des évènements
Table 10.93 – Types of Events and their Markers
Types Start Intermediate End

Top- Event Event Catching Boundary Boundary Throwing
Level Sub-Process Sub-Process Interrupting Non-
Interrupting Non- Interrupting
Interrupting
None
Message
Timer
Error
Escalation
Cancel
Compensation
Conditional
Link
Signal
Terminate
Multiple
Table 10.93 – Types of Events and their Markers
Parallel
MultipleProcess Model and Notation, v2.0
Business 261
Fatima-Zahra BELOUADHA. Urbanisation et BPM. Option SI. 3 année GINF. EMI.

ème and the specific attributes for the
The following sections will present the attributes common to all Event Definitions 31
Event Definitions that have additional attributes. Note that the Cancel and Terminate Event Definitions do not have
additional attributes.
Event Definition Metamodel

BPMN : Activités
  Activité
–  Travail qu’une entreprise effectue au cours d’un

processus
–  Peut être atomique (tâche) ou composite (sous-
processus)
  Sous-processus
–  Composé de tâche et/ou d’autres sous-processu
atomic (compound). The types of Activities
Process/Sub-Process A Sub-Process is a compound Activity that is
that are a part of a Process Model are: Sub-
(non-atomic) included within a Process
Process (see
and Task, page
which are173) or
rounded
Choreography
Table 7.2 - BPMN Extended (see page
Modeling 328). are
Elements It isused
compound See Next Four Figures
BPMN : représentations des activités

rectangles. Activities in both
in that it can standard
be broken down into
Processes and ainfiner level
Choreographies.
Process/Sub-Process A Sub-Process is a compound Activity that is
of detail (a Process or Choreography) through
(non-atomic)
Task (Atomic) A included within
Task is an atomica Process
Activity(see
that page 173) or
is included
a set of sub-Activities.
Choreography (see page 328). It is compound See Next Four Figures
within a Process (see page 156). A Task is
Collapsed Sub-Process –  Tâche : in that
used
The details of of
the
it can
when thebe
Sub-Process
detail (a
broken
work
Process orare
down
in the into aisfiner
Process not level
not visible through
Choreography)
broken down to a finer level of Process detail.
Task
in the Diagrama (see
set ofpage 173). A “plus” sign
sub-Activities. Name
in the lower-center of the shape indicates that
Collapsed Sub-Process The details of the Sub-Process are not visible
the Activity is a Sub-Process and has a lower- Sub-Process
–  Sous-processus (collapsed) :
in the DiagramTable 7.2 - BPMN
(see pageExtended
173). Modeling
A “plus” Elements
sign
level
Choreography Task of detail.
A in the lower-center
Choreography ofis the
anshape
Sequence Flow Looping
Task indicates
Activitythat
Loops can be created by connecting a
atomic in
Name
the Activity is a (see
a Choreography Sub-Process
page 323). andIt has a lower-
represents
Sub-Process
Sequence Flow to an “upstream” object. An
Participant A
•  Sans détail visible
object is considered to be upstream if that
levelofofone
a set detail.
(1) or more Messageleads
object has an outgoing Sequence Flow that
exchanges.
to a series of other Sequence Flows, Name
Choreography
the last of which is an incoming Sequence
Each Choreography Task involves Flowtwo
for the(2)
original object. Task Name
Expanded Sub-Process The boundary of the Sub-Process
Participants. TheMultiple
name ofis
the
Instances Choreography
The attributes of Tasks and Sub-Processes Sequential
–  Sous-processus (expanded) :
expanded and theand
Task details
each of (athe
Process) arewill
Participants are all
determine if they are repeated or
performed once (see page 191). A set of three
Expanded Sub-Process The boundary of the Sub-Process is lines will be displayed at the Participant B
visible withindisplayed
its boundaryin the (see
differentpage bands
expanded and the details (a Process)
that
173). make up
horizontal
bottom-centerareof the activity for sequential
the shape’s graphical notation. There are (see
twoupper figure to the right).
•  Avec détail
Note that Sequence Flows itscannot cross the 173).
Multi-Instances
visible within boundary (see page
A set of three vertical lines will be displayed at
(2) or more Participant Bands and the one Taskof the activity for sequential
boundary of a Note
Sub-Process.
that Sequence Flows cannot bottom-center
cross the
Name Band. Multi-Instances (see lower figure to the right). A Sub-Process is marked as being
•  Flux de séquences ne
boundary of a Sub-Process. Parallel
(see Figure 10.35 and Figure 10.36).
traversent pas ses limites The marker for an Ad-Hoc

The Ad-Hoc Marker M
Process Break A Process Break is a location in the Process
Collapsed Sub-
– Collapsed
Sous-processus
Sub-
The details of The
ad-hoc
the details
: are not are not
(something out of the
control of the process
of the Sub-Choreography
Sub-Choreography makes the process
that shows where an expected delay will
occur within a Process (see page 249). An
Intermediate Event is used to show the actual
Announce
Issues for Vote
Voting
Increment
Tally
pause) behavior (see top-right figure). In addition, a Response
•  Groupe
visible in thed’activités
Choreography 32 Choreography visible in the
Diagram (see sans
Diagram
page (see séquencement
328).page
A 328). A
“plus” sign in the lower-center of the Task (àBusiness Participant
Process
Participant
Process Break Artifact, as designed by a
modeler or modeling tool, can be associated
Sub-
A A and Notation, v2.0
Model
“plus” sign in the lower-center of the Task
~
with the Event to highlight the location of the
définir par celui
Name Band devant
of the shape donner
indicates that son the détail)
delay within the flow. Sub-
Choreography
Name Band ofActivity
the shape indicates
is a Sub-Process
Transaction
that the
and has a lower-
A transaction is a Sub-Process that is Choreography
Name
Activity is a Sub-Process
level of detail.and has a lower-
supported by a special protocol that insures
–  Transaction :
Figure 10.35 - A collapsed Ad-Hoc
that all parties involved have complete Name
level of detail. agreement that the activity should be
completed or cancelled (see page 178). The Participant B
attributes of the activity will determine if the
activity is a transaction. A double-lined Participant B
Expanded Sub- The boundary of the Sub-Choreography is that the Sub-Process is a
boundary indicates
Transaction. Participant A
Choreography expanded and the details (a Choreography) 33
Expanded Fatima-Zahra
Sub- BELOUADHA.
The boundaryUrbanisation et BPM. Option
of the Sub-Choreography is SI. 3
are visible within its boundary (see page 328).
ème année GINF. EMI. Participant C
Sub-ChoreographyParticipant
Name A
Choreography expanded and the details (a Choreography) Participant C
are visible within its boundary (see page 328). Sub-Choreography Name
Participant C Participant A
level of detail. Name Name
Task (Atomic) Alevel
Taskofisdetail.
an atomic Activity that is included
within a Process (see page 156). A Task is
used when the work in the Process is not
brokenofdown to a finer level
is of Process detail.
Task
BPMN : Activités de chorégraphie*
Expanded Sub-Process The boundary the Sub-Process
Expanded Sub-Process The boundary of the Sub-Process is
expanded and the details (a Process) are
expanded and the details (a Process) are
Name
visible within its boundary (see page 173).
Note that Sequence Flows cannot cross the
Note that Sequence Flows cannot cross the
boundary of a Sub-Process.
Choreography Task Aboundary
Choreography Task is an atomic Activity in
of a Sub-Process.
–  Tâche de chorégraphie :
a Choreography (see page 323). It represents Participant A
a set of one (1) or more Message exchanges. Choreography
•  Représente 1 ou +eurs
Each Choreography Task involves two (2) Task Name
Participants. The name of the Choreography
échanges de messages entre 2
Task and each of the Participants are all
Participant B
displayed in the different bands
arethat
not make up
Collapsed Sub-
Choreography participants
Collapsed Sub-
The details of the Sub-Choreography
The details of the Sub-Choreography are not
visible inthe
theshape’s
Diagramgraphical
(see page notation.
328). A There are two Participant A
Choreography visible in the Diagram (see page 328). A Participant A
(2)inorthe
“plus” sign more ParticipantofBands
lower-center and one Task
the Task Sub-
“plus” sign in the lower-center of the Task Sub-
–  Sous-chorégraphie : collapsed
Name Band Name Band.
of the shape indicates that the
Name Band of the shape indicates that the
Activity is a Sub-Process and has a lower-
Choreography
Choreography
Activity is a Sub-Process and has a lower- Name Name
•  Sans détail visible
level of detail.
level of detail.
Participant B
Participant B
ExpandedExpanded
Sub- Sub- The boundary of the Sub-Choreography
The boundary is
of the Sub-Choreography is Participant A
Choreography expandedexpanded
and the details (a Choreography)
–  Sous-chorégraphie : expanded
Choreography
are visibleare
within its
and the details (a Choreography)
boundary (see page 328). Sub-Choreography Name
Participant
Sub-Choreography
C Participant A
Name
Participant C
32 Business Process Model and Notation, v

•  Avec détail visible
Note that Note
Sequence Flows cannot
that Sequence cross
Flows thecross the
cannot
boundaryboundary
of a Sub-Choreography.
of a Sub-Choreography. Choreography Choreography
•  Flux de séquences ne Task Name
Choreography
Task Name
Task Name
Choreography
Task Name
Participant B Participant C
traversent pas ses limites

Participant B Participant C
Participant B
Participant B
Table 7.2 - BPMN Extended Modeling Elements
Sequence Flow Looping Loops can be created by connecting a
BPMN : Activités et boucles *

Table 7.2 - BPMN Extended
Looping Modeling
BPMN
object Elements
isprovides
considered twoto mechanisms
be upstream forif looping
that
within a The
Process. marker for
object has an outgoing Sequence Flow that a Task that is a standard loop MUST be a small line with an ar
Sequence Flow Looping Loops can be created by connecting a See Next Two Figures
leads to a series See page
of other189Sequence
for more information
Flows, on loop Activities.
Activity Looping the
The last of whichofisTasks
attributes an incoming Sequence
object is considered to and
Theobject.
loop Sub-Processes
beMarker
upstream MAY if thatbe used in combination with the compensation mar
Flow
will for the
determine original
if they are repeated or
–  Tâche de type boucle :
Multiple Instances
performed
leads
The attributes The
to a once of marker
series (see page
of other
Tasks and a Task
forSequence
190). Therethat
Sub-Processes is a multi-instance MUST be a set of three vertical
are
Flows,
two types
thedetermine of loops:
last of which Standard
is an and Multi- Sequential
will information
if they areincoming
on Sequence
multi-instance
repeated or Activities.
•  Répétition déterminée par les attributs de la
Instance.
Flow for the
performed
A small
once
displayed at the If
originallooping
object.
(see page
the
indicator will be
191). A set of three
multi-instance
bottom-center instances are set to be performed in sequence rather th
of the activity.
horizontal lines will be displayed at the
tâche Multiple Instances The attributes
bottom-center
ofrotated
will determineofif the
Multi-Instances
Tasks and
theyactivity
(see
Sub-Processes
90 degrees
are repeated
upper
or
(see Figure 10.49).
for sequential Sequential
performed once The
(see pagefigure
191). to
multi-instance theofright).
A set marker MAY be used in combination with the compens
three
–  Tâche multi-instances :
38 A set of three
bottom-center
vertical
The of
marker
lines
the
will
horizontal lines will be displayed at the
the activity
for a
be
Task
bottom-center of the activity for sequential
displayed
for sequential
that is
at
used for
Business Process Model and Notation,
compensation MUST be a pair of left fa
Multi-Instances (see lower figure to the right).
•  Se produit +eurs fois Multi-Instances“rewind”(see button).
upper figureSee topage
A set of three vertical lines will be displayed at
the 302 for more informationParallel
right). on compensation.
the bottom-center TheofCompensation
the activity for sequentialMarker MAY be used in combination with the loop
•  Ses instances seAll produisent de de
the markers that are present MUSTfaçon
Multi-Instances (see lower figure to the right).
be grouped and the whole group centered at t
Parallel
séquentielle ou parallèle
–  Tâche de compensation Loop de type boucle Multi-Instance: Compensation
•  Se produit +eurs foiswhere an expected delay will

Process Break A Process Break is a location in the Process
(something out of the that shows Announce Increment
control of the process occur within a Process (see page 249). An Issues for Vote Tally
•  Implique
Process
(something
pause)
Break
makes the processune
out of the
sorte
A Process
that
de
Intermediate
shows
behavior (see
compensation
Break
Event
where
is a location in the Process
is used to show the actual
an
top-right expected
figure). Indelay will a
addition,
Voting
Response
Table 7.2 - BPMN Extended Modeling Elements Announce Increment
control of the process occur within a Process as designed by aAn
(see page 249).
–  Flux
Sequence Flow Looping
demakesséquence
the process de
Process
type
FigureBreak
Intermediate
modeler
Loops can be created by connecting a
Event
or modelingboucle
10.9 Artifact,
- Task markers
is used
tool, to be
can show the actual
associated
Issues for Vote Tally
Voting
pause) behavior
with (seetotop-right
the Event highlightfigure). In addition,
the location of thea Response
Sequence Flow to an “upstream”Figure
Process
delay
10.10
object.
Break
within
displays the class
An as designed by a
Artifact,
the flow.
diagram for the Task element.
modeler or modeling
object is considered to be upstream if that tool, can be associated
Transaction A with
transaction
the Event is atoSub-Process that is of the
highlight the location
supported by a
delay within special
the flow. protocol that insures
leads to a series of other that
Sequence
all partiesFlows,
involved have complete
Fatima-Zahra BELOUADHA.
Transaction Urbanisation et BPM.
A transaction Option SI.that 3ème année GINF. EMI. 35
the last of which is an incoming
agreement thatisthe
Sequence a Sub-Process
activity should beis
supportedorbycancelled
a special(seeprotocol
pagethat insures
Flow for the original object.
completed 178). The
that all parties involved have complete
BPMN : Liste synthétique d’activités
BPMN : pools/lanes (Couloirs)
  Pool
–  Comprend les activités d’un participant (acteur
physique ou entité) dans un processus collaboratif
–  Conteneur graphique (swimlane) pour la répartition
des activités dans un contexte B2B
  Lane
–  Sous-partition verticale ou horizontale d’un
processus utilisée pour organiser et catégoriser les
activités
–  Peut être utilisée au sein d’un pool pour
représenter un participant de l’entité désignée par
le pool qui intervient dans ses activités
BPMN : Notation des pools et lanes
BPMN : Connections
  Flux de séquence
–  Indique l’ordre d’exécution des activités dans un
processus
  Flux de message
–  Indique le flux de messages entre 2 participants
d’un processus (2 pools)
  Association
–  Associe une information ou des artifacts (ex :
annotations textuelles) aux éléments graphiques
du BPMN
–  Peut être orientée : indiquer la direction du flux
BPMN : Types de flux de séquence
Extended Modeling Elements
A Sequence Flow can have a condition

Expression that are evaluated at runtime to
–  Flux Normal/incontrôlé : attaché directement à 1
determine whether or not the Sequence Flow
will be used (i.e., activité/sans
will a token travelqu’il downsoit the impacté par 1 condition
Sequence Flow – see page 97). If the
–  Flux conditionnel
from an Activity,: pris en compte quand une
Extended conditionalElements
Modeling flow is outgoing
Conditional flow A Sequence Flow can have a condition
then the SequenceExpression Flow will have a mini-
Adiamond
Sequence at the
Flow
condition
determine whether
beginning
can have
will be usedofathe
associée
that are
connector
condition
(i.e.,
est validée
evaluated at runtime to
or not the Sequence
will a token travel down the
Flow (débute par un
(see figure tothat
Expression thelosange)
Sequence Flow – see page 97). If the
right).
are If the
evaluated
conditional flow conditional
atoutgoing
is runtimefrom flow
to an Activity,
is outgoing
determine from a or
whether Gateway,
not the
diamond
then
Sequence
at the
the line
then the Sequence Flow will have a mini-
beginning Flow
will
of the connector
notbe
will have
used –  Flux
a mini-diamond
(i.e., will(see
is a par
figure
token
outgoing
(see défaut
to the figure
travel
from
right).
down
a Gateway, :thethe
inIfthe pris enlinecompte
conditional flow
then the will quand aucune des
row above). not have a mini-diamond (see figure in the
Flow –conditions 97).associées
Sequence see
rowpage
above). If the à d’autres flux alternatifs n’est
conditional flow is outgoing from an Activity,
Default
Data-Basedvalidée
Forflow For Data-Based
Exclusive (exprime
Gateways
Inclusive Gateways,
Exclusive
oneor sinon)
Gateways or
type of flow is the
then the Sequence Default Flow will haveflow
condition a mini-
(see page 97). This flow
Inclusive Gateways, one type of flow is the
will be used only if all the other outgoing
diamond at the
Default condition –  Flux
beginning
flow d’exception
(see
conditional ofpage
the is not true :atflux
flow connector
97). This flow
Sequence Flows will have a diagonal slash
exceptionnel
runtime. These suite à 1
(see figure to the right). If the conditional flow
isconditional
outgoing from flow
événement
will be used only if will all be
aisGateway,
not
theadded
true atthen
connector (see the intermédiaire
otherto outgoing
the beginning of the
the
runtime. line
Thesewill
figure to the right). survenant lors de l’exécution
Exception Flow Exception flow occurs outside the normal flow
not have a mini-diamond
Sequence Flows Intermediate will
of thehave(seea figure
Process and isin
diagonal the
basedslash upon an
Event attached to the boundary
row
will above).
be added to theofbeginning
an Activity that of occurs
the during the
performance of the Process (see page 287).
connector (see the figure to the right).
For Data-Based Exclusive Gateways or Exception
Flow
Inclusive Gateways, one type of flow
Exception flow occurs outside the normal flow is the
Default
of the
Message conditionand
Process
Flow flowAis(see page
based
Message upon
Flow97). Thistoflow
is an
used show the flow of
40
be usedFatima-Zahra BELOUADHA. Urbanisation et BPM. Option SI. 3ème année GINF. EMI.
Messages between two Participants that are
will
Intermediate only if all
Event the other
attached
prepared tooutgoing
to sendthe
and boundary
receive them (see page
120). In BPMN, two separate Pools in a
conditional flowthat
of an Activity is not true during
occurs at runtime.
Collaboration the These
Diagram will represent the two
BPMN : Liste synthétique des connections
BPMN : Passerelles (Gateway)
  Objets de contrôle permettant de contrôler

l’aiguillage du flux du processus
–  Utilisées pour contrôler la convergence ou la

divergence des flux de séquence
–  Déterminent le type de comportement du contrôle
de flux : branchement, forking, fusion ou jointure…
(i.e., it MUST merge or split the flow).
A Gateway with a gatewayDirection of unspecified MAY have bot
outgoing Sequence Flows.
BPMN : Types de passerelles (1/7)

A Gateway with a gatewayDirection of mixed MUST have both multip
Sequence Flows.
A Gateway with a gatewayDirection of converging MUST have mu
Flows, but MUST NOT have multiple outgoing Sequence Flows.
A Gateway with a gatewayDirection of diverging MUST have multi
Flows, but MUST NOT have multiple incoming Sequence Flows.
  Choix exclusif XOR : Exclusive data-based
10.5.2 Exclusive Gateway
decision gateway
A diverging Exclusive Gateway (Decision) is used to create alternative paths within a P
–  Point de fusion (Merge) XOR : point de

the “diversion point in the road” for a Process. For a given instance of the Process, onl
A Decision can be thought of as a question that is asked at a particular point in the Proce
branchement donnant lieu à des flux sortants
set of alternative answers. Each answer is associated with a condition Expression that i
outgoing Sequence Flows.
alternatifs conditionnels,
The Exclusive Gateway mutuellement
MAY use a marker that exclusifs
is shaped like an “X” and is plac
diamond (see Figure 10.106) to distinguish it from other Gateways. This marker is
–  1 seul chemin sera choisi quand la condition qui lui

(see Figure 10.105).
A diagram SHOULD be consistent in the use of the “X” internal indicator. Tha
est associée est validée
have some Gateways with an indicator and other Gateways without an indic
Condition 1
Condition 2
Default
Figure 10.105 - An Exclusive Data-Based Decision (Gateway) Example without the Int
outgoing Sequence Flows (see page 292).
In some sense it is a grouping of related
independent Binary (Yes/No) Decisions.
Since each path is independent, all

combinations of the paths MAY be taken, from
Modeling Elements zero to all. However, it should be designed so
that at least one path is taken. A Default
This Decision represents a branching point Condition could be used to ensure that at Condition 2
where Alternatives are based on conditional least oneCondition 1
path is taken.
Expressions contained within the
 
outgoing Sequence Flows (see page 292).Choix exclusif OR : Exclusive data-based
There are two versions of this type of
Decision:
Condition 1

Since each path is independent, all decision gateway• The first uses a collection of conditional
Sequence Flows, marked with mini-
combinations of the paths MAY be taken, from diamonds (see top-right figure).
–  Point de• The
zero to all. However, it should be designed so
synchronisation
second uses an Inclusive Gateway (Join) OR : point de
Condition 2
(see bottom-right picture).

Condition could be used to ensure that at
least one path is taken. Merging
branchement Condition 2
donnant lieu à une combinaison
BPMN uses the term “merge” to refer to the
There are two versions of this type of exclusive de plusieurs flux entrants (1 seul est
exclusive combining of two or more paths into
Condition 1
one path (also known as an OR-Join).
Decision:
nécessaire
• The first uses a collection of conditional the merging pour déclencher
A Merging Exclusive Gateway is used to show
of multiple Sequence Flows (see le flux sortant)
Sequence Flows, marked with mini- upper figure to the right).
diamonds (see top-right figure). –  Pas de If allgateway
the incoming flow isquand les
alternative, then a flux entrants sont
Gateway is not needed. That is, uncontrolled
Condition 2
• The second uses an Inclusive Gateway
(see bottom-right picture). alternatifs
flow provides the same behavior (see lower
figure to the right).
BPMN uses the term “merge” to refer to the
exclusive combining of two or more paths into
one path (also known as an OR-Join).
A Merging Exclusive Gateway is used to show
the merging of multiple Sequence Flows (see
upper figure to the right).
If all the incoming flow is alternative, then a
Gateway is not needed. That is, uncontrolled
flow provides the same behavior (see lower
figure to the right).
Looping BPMN provides two mechanisms for looping
within a Process.
See Next Two Figures
Activity Looping The attributes of Tasks and Sub-Processes
will determine if they are repeated or
The Exclusive Gateway element inherits the attributes and model associations of Gateway (see Table 8.46). Table
10.123 presents the additional attributes and model associations of the Exclusive Gateway element.
  Choix multiple : Inclusive decision gateway

Table 10.123 – ExclusiveGateway Attributes & Model Associations
Attribute Name Description/Usage

– default
Point de fusion The
: SequenceFlow [0..1]
(Merge) OR : point de branchement
Sequence Flow that will receive a token when none of the
qui donne lieu àtoconditionExpressions des flux conditionnels parallèles
on other outgoing Sequence Flows evaluate
true. The default Sequence Flow should not have a
(concurrents) conditionExpression. Any such Expression SHALL be ignored.
–  Tous
10.5.3 lesGateway
Inclusive flux dont les conditions associées sont
validées seront choisis
A diverging Inclusive Gateway (Inclusive Decision) can be used to create alternative but also parallel paths within a
Process flow. Unlike the Exclusive Gateway, all condition Expressions are evaluated. The true evaluation of one
condition Expression does not exclude the evaluation of other condition Expressions. All Sequence Flows with
–  Conditions
a true portant
evaluation will be traversed sureachdes
by a token. Since données
path is considered to be independent, all combinations of the
paths MAY be taken, from zero to all. However, it should be designed so that at least one path is taken.
–  Une Gateway
exception
The Inclusive Gateway MUST
diamond (see Figure
d’exécution
use a marker that is in these
10.108) to distinguish it from other
produit
shape of
Gateways.
siandaucune
a circle or an “O” is placed within the
Inclusive
condition n’est validée
This Decision represents a branching point
whereCondition
Alternatives
1 are based on conditional Condition 1
Expressions contained within the
outgoing Sequence Flows (see page 292).
Since each path is independent,
Condition 2 all
combinations of the paths MAY be taken, from
zero to all. However, it should be designed so
Default
Condition could be used to ensure that at Condition 2
least one path is taken.
Fatima-Zahra BELOUADHA.
Figure 10.108 Urbanisation
- An example using an InclusiveetGateway
BPM. Option SI. 3ème année GINF.
Condition 1 EMI.
45
There are two versions of this type of
Decision:
A default path can optionally be identified, to be taken in the event that none of the conditional Expressions evaluate
of objects. Data Input and Data Output
provide the same information for Processes.
Data Objec (Collection)

Data Input Data Output
  Synchronisation (Join) et Branchement

parallèle (Fork) : Parallel gateway
Message A Message is used to depict the contents of a
communication between two Participants (as
–  Synchronise (combine) ou crée des flux parallèles

defined by a business PartnerRole or a
business PartnerEntity—see on page 93).
Fork BPMN usesinformation

the term “fork”about
to referwhat
to the
–  Join : attend tous les flux parallèles entrants avant
Data Object Data Objects provide Data Object
dividing
Activities require toofbe
a path into two and/or
performed or more what
parallel
they produce paths
(see (also known
page 205),as an
DataAND-Split).
ObjectsIt is a
de déclencher le flux sortant

can represent a singular
place object
in the Process or aactivities
where collectioncan be
of objects. Data Inputconcurrently,
performed and Data Output
rather than
provide the same information for Processes.
sequentially.
Data Objec (Collection)
–  Fork : les flux sortants s’exécutent simultanément
There are two options:
• Multiple Outgoing Sequence Flows can
Join be used (see figure top-right). This Fork Data Output

Data Input
represents “uncontrolled” flow is the
preferred method for most situations.
ended Modeling Elements • A Parallel Gateway can be used (see
figure bottom-right). This will be used
BPMN uses the term “join” to refer to the rarely, usually in combination with other
combining of two or more parallelMessage
paths into A Message is used to depict the contents of a
Gateways.
one path (also known as an AND-Join or communication between two Participants (as
defined by a business PartnerRole or a
synchronization).
business PartnerEntity—see on page 93).
A Parallel Gateway is used to show the joining

Fork BPMN uses the term “fork” to refer to the
of multiple Sequence Flows. dividing of a path into two or more parallel
paths (also known as an AND-Split). It is a
place in the Process where activities can be
performed concurrently, rather than
sequentially.
Decisions are Gateways within a Process
(see page 287) or a Choreography (see page There are two options:
See next five rows.
344) where the flow of control can take one or
more alternative paths. • Multiple Outgoing Sequence Flows can
be used (see figure top-right). This
Fatima-Zahra
This Decision represents a branching point BELOUADHA. Urbanisation et BPM. Option
represents “uncontrolled” flow is the SI. 3ème année GINF. EMI. 46
where Alternatives are based on conditional preferred method for most situations.
36 Condition 1 Business Process Model and Notation, v2.0
Expressions contained within the • A Parallel Gateway can be used (see
outgoing Sequence Flows (see page 290 or figure bottom-right). This will be used
FigureEvent
Only the following Intermediate 10.118 – Exclusive
triggers are valid:Ev
M
and Multiple (which can only include the previous triggers
triggers are not valid: Error, Cancel, Compensation, an
When the first Event in the Event In Gateway
order for an Event Gatew
configuration is
BPMN : types de passerelles (5/7)

Target elements in an Event Gateway configuration MUST NOT
(a token will (other
Flows be sent down
than the Event’s
that from theIn some
Event outgoing
situations
Gateway). Sequence
a modelerF
configuration will no longer be valid.
Event-Based Gateways are configured by having outgoing Sequence Flows
Basically,
requiring theEvent
ofthe Message
target anallIntermediate
Gat
Eve
Event that is triggered wins. of the Event Gateway.
or a Receive Task in any combination (see Figure 10.116 and Figure 10.117) except that:
  Choix à base d’événements : Event-based
If Message Intermediate Events are There
used inare
thevariations
configuration,
Gateway will change.
Event
of thethen Gateway
Receive
Message
1
If that
Tasks can be
Event
theMUST usedbeatu
Gatewa
NOT
Parallel, then the
in that configuration and vice versa.
gateway Receive Tasks used in an Event Gateway configuration
Event Gateways can MUST
be usedNOT
have any aattached
to instantiate Process. Intermed
By def
Request
Events. The
set to true, then the Process is instantiated when the first
ifResponse Event GateE
–  Point de branchement où les flux alternatifs sortants
Only the following Intermediate Event triggers If arethe
valid: Message,
Message
Signal,
attribute to be se
Timer,Exclusive—a
Conditional
Event Gateway’s 2
instantiate attribute is se
sont exécutés quand des évènements associés
and Multiple (which can only include the previous triggers). Thus, the following
like a Multiple Start Event (see Figure Intermediate
10.118).
Process). Event
triggers are not valid: Error, Cancel, Compensation, and Link.
surviennent
Target elements in an Event Gateway configuration MUST NOT have any additional incoming Sequence
1 Day
–  LeFlows
choix (other peut
than that être
from theexclusif
Event Gateway). ou parallèle
Figure 10.116 - An Event-Based Gateway example using Message Inte
Figure 10.118 – Exclusive Event-Based Gateway

Figure 10.119 to startEven
– Parallel aP
Message Receive
1 Message 1
In order for an Event Gateway to Theinstantiate Process,
Parallel aEvent it M
Gatewa
and the Process is instantiate
In some situations a modeler might want the Process to be in
still waiting and are expected
Request requiring all of the Messages for the working of the same Pro
Response
Request that trigger the Events of the
Receive
Message
the Event Gateway.
of Reponse Message 2
2
If the Event Gateway’s instantiate attribute is se
Parallel, then the marker for the Event Gateway l
The Event Gateway’s 1 Day
instantiate attribute M
1 Day attribute to be set to Parallel (i.e., for Event Ga
Exclusive—a
Figure 10.117 - An
Fatima-Zahra BELOUADHA. Urbanisation et BPM. Option SI. 3ème EMI. Parallel47Gateway can b
année GINF.standard
Event-Based Gateway example using Receive Task
Figure 10.116 - An Event-Based Gateway example using Message Intermediate
Process). Events
Business Process Model and N
of the outgoing branches is activated afterwards (branching behavior)

configuration is first triggered. The choice of the branch to be taken
Events completes. The first to complete causes all other branches to
  BranchementWhen
complexe : Complex gateway
used at the Process start as a Parallel Event Gateway, onl
Message triggers that are part of the Gateway configuration MUS
–  Modélise une combinaison
correlation deAfter
information. synchronisation et
the first trigger instantiates the Proces
fusion complexe
of the Process instance that is already active (rather than creating n
–  Indique que les flux sortants sont des flux concurrents,

Table 13.4 – Event-Based Gateway Execution Semantics
1 ou +eurs parmi eux seront choisis si leurs conditions
associées sont validées
Exception et que leur choixThe
Issues dépend
event-based gateway c
uniquement de ces conditions
Workflow et ne requiert
Patterns Support pasChoice (WCP-16)
Deferred
obligatoirement d’attendre tous les flux entrants
–  Certains parmi les Complex
13.3.5 flux entrants sont nécessaires
Gateway (related to Complexpour Cond
déclencher des flux sortants conditionnels concurrents
C o nd 1
x1 y1
C on dn
yn
xm D efa ult
Figure 13.7 - Merging and branching Sequence Flows for a Comp
Figure 10.112 - Parallel Gateway class diagram
The Parallel Gateway element inherits the attributes and model associations of Gat
additional attributes or model associations.
10.5.5 Complex Gateway
The Complex Gateway can be used to model complex synchronization behavior. A

activationCondition is used to describe the precise behavior. For example, th
tokens on three out of five incoming Sequence Flows are needed to activate the G
Branchement complexe (suite) :

by the Gateway is determined by conditions on the outgoing Sequence Flows as in
 
Gateway. If tokens arrive later on the two remaining Sequence Flows, those token
new token can be produced on the outgoing Sequence Flows. To determine whethe
tokens before it can reset, the Gateway uses the synchronization semantics of the In
–  Pattern équivalent au choix multiple (Inclusive gateway)

The Complex Gateway MUST use a marker that is in the shape of an asteris
diamond (see Figure 10.113) to distinguish it from other Gateways.
Alternative 1
Alternative 2
Alternative 3
Alternative 4
Figure 10.113 - An example using a Complex Gateway
–  Demande de crédit à faire approuver par l’1 de 3

Business Process Model and Notation, v2.0
responsable
BPMN : Liste synthétique des passerelles
Exclusive Data-based : XOR

Merge/OR Join
Exclusive or
X
Exclusive Event-based : XOR
Event-Based
Merge
Parallel
Parallel Event-Based
Event-Based
Inclusive : OR (Merge)
Inclusive
Complexe (Merge)Complex
Parallel : AND (fork/Join)

Parallel
Figure 10.103 – The Different types of Gateways
The Gateway controls the flow of both diverging and converg
have multiple input and multiple output flows. Modelers and m
BPMN : Artifacts
  Objet de données (Data object)
–  Ressource de données requises et/ou produites par
le processus (ex : BD)
–  Peut être un simple objet ou une collection d’objets
  Data input et Data Output
–  Données entrées et sorties du processus
  Annotation
–  Fournit une information textuelle additionnelle pour
décrire un diagramme BPMN
  Groupe
–  Regroupement d’éléments graphiques appartenant à
1 même catégorie qui constitue le label du groupe
–  Utilisé pour des fins de documentation ou d’analyse
tegory name appears on the diagram
mation about what
group label. Categories can be used for
entation or analysis purposes. Groups
Data ObjectData Data Objec (Collection)
Objec (Collection)
formed and/or what
e way in which Categories of objects
BPMN : Liste synthétique des artifacts

visually displayed on the diagram.
05), Data Objects
bject or a collection
Data
lly usedOutput
for printing, this object will
here a Sequence Flow leaves one
ion
nd forrestarts
then Processes.
on the next page. A
ermediate Event can be used as an Data Data Data Input Data
what
ge Connector.
Object
Data Data Objec
Object
Data
Data Input
(Collection)
Collection
Input Data Output
DataOutput
Output
what
cts
ociation is used to link information and
s with BPMN graphical elements (see
ction
7). Text Annotations (see page 71) and
rtifacts (see page 66) can be
ated with the graphical elements. An
ses.
ead on the Association indicates a
n of flow (e.g., data), when
sage
riate.
Message is used to Data
is used depict Objec Data
the contents
to depict the Input
(Collection)
of
contents Data Output
a of a Annotation
unication
ommunication between
notations are a mechanism for a
two Participants
between two Participants (as (as
r to provide additional text information
Nested/Embedded Sub- Descriptive Text
A nested (or embedded) Sub-Process is an
d by aofby
efined
reader business
a business
a BPMN Diagram PartnerRole
PartnerRole
(see page
Process (Inline Block) or a or a
activity that shares the same set of data as its
Here
parent process (see page 173). This is There is no special indicator for nested Sub-
PartnerEntity—see
Processes
ess
usiness PartnerEntity—see on page 93). 93).
opposed to a Sub-Process that is
on page
independent, re-usable, and referenced from
the parent process. Data needs to be passed
Group
to the referenced Sub-Process, but not to the
nested Sub-Process.
Nis uses
PMN the
uses
the graphicalterm
the “fork”
term
representation to
“fork”refer to the
of ato refer to the
Group (a box around a A Group is a grouping of graphical
ant in a Collaboration (see page 112). Data Output

Data Input
group of objects within elements that are within the same Category
g of
ict the
ividing
acts
a path
as acontents
into of
of a path
“swimlane”
twoaaorgraphical
the same category)
into
and twomore parallel
(see page 68). This type of grouping does not
or more parallel
affect the Sequence Flows within the Group.
Name
The Category name appears on the diagram

(also
wo
er
aths
for known
Participants
partitioning
(also as
known
a an
set AND-Split).
(ascontext
of Activities It is a It is a
as the group label. Categories can be used for
her Pools, usually in theas an AND-Split).
of B2B
documentation or analysis purposes. Groups
in
ns.the
rtnerRole
A PoolProcess
MAY or
have where
a internalactivities can be
are one way in which Categories of objects
details,
lace in the Process
orm of the Process that will be where activities can be
can be visually displayed on the diagram.
med
y—see
ed. Or concurrently,
on page
a Pool MAY have 93).rather than
no internal
erformed concurrently,
Off-Page Connector rather than
Generally used for printing, this object will
ntially.
i.e., it can be a "black box." show where a Sequence Flow leaves one
equentially.
” to refer to the
page and then restarts on the next page. A
Link Intermediate Event can be used as an
Off-Page Connector.
s of a
Exemple en BPMN
Fatima-Zahra BELOUADHA. Systèmes d'exploitation. Master CISE. EMI. 53

BPMN : Outils de modélisation
  Free MicrosoftVisio BPMN

  BPMN Modeler Eclipse
  BPMN Studio Pro
  Intalio…
Processus métier : de la modélisation
à l’exécution
  Processus abstrait (équipe métier)
–  Définit le comportement du processus
(agencement des activités) sans informations
techniques
  Processus concret (équipe technique)
–  Activités du processus abstrait liées aux
applications/services du SI
–  Format des messages échangés, Protocoles de
transport utilisés, Applications impliquées dans le
processus par le biais de leurs connecteurs,
Transformations de données effectuées,
Intégration des utilisateurs comme participants au
processus…
Exemple : Processus de Procurement*
  Réception d’une demande de devis de la part d’un
utilisateur ayant les droits adéquats
  Transmission de la demande de devis au fournisseur,
et attente de sa réponse.
–  Si la réponse n’arrive pas après 2 jours, le
fournisseur est relancé par email
  Transmission du devis à l’utilisateur, et attente de sa
validation
  Transmission du devis au manager de l’utilisateur et
attente de sa validation
  Si l’utilisateur et le manager valident le devis, un bon
de commande est envoyé au fournisseur et l’utilisateur
est notifié.
4. Transmission du devis au manager de l’utilisateur et attente de sa validation ;
5. Si l’utilisateur et le manager ont validé le devis, un bon de commande est
envoyé au fournisseur et l’utilisateur est notifié.
Procurement : Processus abstrait*
Ce processus de haut niveau peut être représenté de la façon suivante :
L’activité «Fatima-Zahra
Receive BELOUADHA.
RFQ fromUrbanisation
User » démarre leSI.processus.
et BPM. Option Les
3ème année GINF. EMI. étapes57suivantes
sont des sous-processus plus ou moins complexes :
1. La demande de devis, reçue de la part de l’utilisateur dans l’étape
est transmise au fournisseur.
Exemple : Sous-processus de
2. Le processus attend la réception d’un devis de la part du fournisse
Procurement (détail fonctionnel)*

3. Si les éléments demandés par l’utilisateur ne sont pas disponible
est notifié et le processus se termine. Sinon, le processus suit son
  Send RFQ to supplier and receive

Quote
–  Transmettre la demande au
fournisseur.
–  Attendre la réception du devis
de la part du fournisseur.
–  Si les éléments demandés ne
sont pas disponibles,
l’utilisateur est notifié et le
processus se termine. Sinon, le
processus suit son cours.
A ce niveau on définit des règles métiers conditionnant le déroulement d

Ici, le choix est simple : les produits demandés par l’utilisateur sont ils
Mais il est possible d’utiliser des règles métiers plus complexes, ba
donc un message XML, contenant des informations sur le contact client (nom,
Exemple
prénom, :téléphone,
Sous-processus dedemandés (référence de
email), des informations sur les produits
Procurement (détail
produit, nom du produit, technique
quantité demandée, prix proposé), etc. : 1)*
  Participation d’applications aux
processus
  Supplier : Service Web .Net du
fournisseur
–  Reçoit une demande (Receive RFQ),
transmet un devis (Send Quote), ou
transmet un bon de commande.
  Autres applications :
–  Classes Java (ex: API d’accès à 1
progiciel), EJB, BD (ex: requêtes
SQL), connecteurs d’accès aux
ERPs, MOMs...
Exemple : Sous-processus de Business Process Management
Procurement (détail technique 2)*

donc un message XML, contenant des informations sur le contact client (nom,
  Manipulation de données XML: Devis (Contact + Produit)
prénom, téléphone, email), des informations sur les produits demandés (référence de
produit, nom du produit, quantité demandée, prix proposé), etc. :
Fatima-Zahra
Toutes BELOUADHA.
les données Urbanisation
entrantes et BPM. sont
/ sortantes Optionstockées
SI. 3ème année
dansGINF. EMI.
l’état 60
du processus.
Intalio|n3 fournit un outil, appelé le « Mapper », permettant d’effectuer les
Business Process Management
  Mapping de données réutilisées
DeFatima-Zahra
la même façon, il est Urbanisation
BELOUADHA. possible d’introspecter et 3ème
et BPM. Option SI. d’utiliser comme
année GINF. EMI. participants
61 /
activités aux processus des classes Java – par exemple une API propriétaire
permettant d’accéder à un progiciel – des EJB – Intalio|n3 Designer introspecte les
  Participation d’utilisateurs actifs: tâche wokflow assignée
–  Widget (activité) décrite en XML Business Process Management
Lorsque le processus
Fatima-Zahra envoie Urbanisation
BELOUADHA. le devis reçu
et BPM.de la part
Option du
SI. 3ème fournisseur
année GINF. EMI. à l’utilisateur,
62 ce
dernier a la possibilité d’accepter ou de rejeter ce devis. Cette tâche lui est proposée
dans son espace de travail, une fois authentifié auprès de l’annuaire LDAP :
des outils permettent en effet de modéliser facilement le comportement « normal » du
processus, mais que faire lorsqu’une erreur intervient ?
Une exception peut être technique (timeout, un service ne répond pas, etc.), ou

métier (lever une erreur lorsque le coût total d’un bon de commande est trop élevé par
exemple). Dans tous les cas, il doit être possible de définir des actions à effectuer en
cas d’erreur. L’erreur peut être déléguée à un autre processus, ou traitée dans le
Gestion
 processus desDans
même. erreurs
notre processus de Procurement, si le devis n’est pas reçu de
la part du fournisseur sous deux jours après l’envoi de la demande de devis, on le
–  alors
notifie Technique
par email : (timeout…)/Métier ( coût calculé élevé…)
envoie l’ordre de commiter leurs résultats. L’exemple classique utilisé
Exemple
expliquer ce type de : Gestion
transactions des
est un transactions
virement bancaire : le débit s
comptecourtes*
origine ne doit se faire que si le crédit sur le compte destin
réussit. Ces deux activités doivent être simultanées, il ne peut y avo
  1 coordinateur demande aux participants leur état
période transitoire où un compte est débité sans que l’autre soit crédité
–  Si l’activité
transactions courtes asont
réussi), il leurdans
adaptées envoie
le l’ordre de commiter
cas d’utilisation de connec
leurs résultats,
transactionnels (bases desinon les activités
données, sont
EJB, etc.). rollbackées.
Dans l’exemple suivant, s
  Adapté
activité échoueau (ajouter
cas de connecteurs transactionnels:
bon de commande, ajouterBD, EJB… l’autre
facture),
rollbackée.
les transactions longues : le coordinateur envoie l’ordre à tous les partici

Exemple : Gestion des transactions
longues*
  1 coordinateur envoie l’ordre aux participants de réaliser
l’activité et de commiter les résultats.
–  Si 1 participant échoue, le coordinateur demande aux
autres d’annuler leurs traitements.
  Adapté au cas d’applications accessibles via des
connecteurs non transactionnels (ex: services Web). Business Process Management
Déploiement et exécution
Processus exécutable*
  Processus métier qui peut orchestrer :
–  des applications
–  des services du SI
–  des actions utilisateurs pour rendre une tâche
automatisée
  Exemple
–  Processus de gestion de bons de commande : reçoit
les bons du client via des messages XML, les
transmet aux agents concernés, se renseigne sur la
disponibilité des éléments commandés dans les BD
de l’entreprise…
BPEL
  BPEL4WS – Business Process Execution
Language for Web Services
  Représentation XML d’un processus exécutable,
déployée sur n’importe quel moteur BPMS (serveur)
Business Process Management
  Repose sur les capacités d’extension de WSDL

pour orchestrer tout type de ressources techniques
Web Services. Un processus peut donc être utilisé pour orchestrer tout type de
ressources techniques : on capitalise sur les applications du SI.
Procédure Processus
JDBC SOAP Web Service
stockée BPEL
R
M
I
EJB
Il n’est pas nécessaire de rentrer plus en détails dans la spécification. BPEL est le
format d’exécution du processus, un document BPEL est généré à partir d’une
Un processus BPEL définit, en XML, les activités réalisées dans le cadre de
l’exécution du processus métier. Toutes les informations techniques nécessaires sont
Eléments
décrites. d’un processus BPEL
<process>
<partners/> Définition des partenaires (WebServices)
<containers/> Définition des conteneurs de données
<sequence>
<receive/> Réception d’une requête
<assign/> Transformation de données
<invoke/> Appel de Web Service
<assign/> Transformation de données
<reply/> Envoi de la réponse
</sequence>
</process>
Urbanisation, BPM et SOA
  L’urbanisation du SI vise à le rendre optimisé et agile,
construit autour des processus et fondé sur une
architecture ouverte et à base de composants :
–  Le couple BPM/SOA constitue pour l’urbanisation un
socle qui contribue à l’atteinte de ses objectifs
–  La combinaison BPM/SOA est source d’optimisation et
d’agilité pour le SI
–  Les processus métiers déployés sur l’architecture SOA
sont implémentés par des composants réutilisables,
contribuant à l’optimisation du SI
–  Le fait que les processus métier soient implémentés
sous forme de services dans le contexte de
l’architecture SOA, fait que leur implémentation et le SI
soit faiblement couplés, et que le SI soit par la suite
flexible
CH2. Introduction à l’urbanisation
  Motivations, principes et origine

  Définition, objectifs et retombées
  Propriétés du SI urbanisé
  Enjeux et Fondements (découpage, règles
d’urbanisation, mutualisation, cartographie)
  Métamodèle, processus
  PKI et facteurs de succès et d’échec
  Acteurs
  Urbanisation Vs Architecture
Motivations de l’urbanisation
  Evolution du contexte de l’entreprise

–  Les activités, les processus et les besoins
stratégiques, tactiques, fonctionnels, métier et
techniques évoluent
–  Les systèmes deviennent de + en + complexes
  Cependant, le patrimoine SI imbriqué (mal

connu, hétérogène) est non flexible et non
adapté aux changements et SI complexes
–  Leagacy system, grandes applications centrales ou
client/serveur, ERP et petites applications
communicant via des interfaces bricolées.
Conséquences d’un SI non évolutif
  Données et objets redondants

  Intégration difficile (hétérogénéité)
  Incohérence
  Mauvaise communication
  Insertion difficile de nouveaux projets
  Production informatique coûteuse
  Evolution et maintenance coûteuses en temps
et charge
  Contrôle quasi-impossible du SI…
Pérennité du SI? Solution : Urbanisation
Urbanisation : principes et origine
  Principes :
–  Décrire la structuration du SI cible et la façon de
l’atteindre pour permettre de faire évoluer le SI de
façon alignée avec la stratégie et l’organisation
–  Simplifier et trouver un découpage et des grands
principes de construction qui permettront de faire
évoluer le SI au même rythme que l’organisation
–  Structurer et organiser le SI pour l’aligner avec la
stratégie de l’entreprise
  Origine :
–  Urbanisme de l’habitat (de la cité)
des établissements humains. » Jacques Sassoon in Urb
Dictionnaire de l’urbanisme de P. Merlin et F. « L’urbanisation vise à pl
Choay applicatif, à promou
Urbanisme de la cité POS

et à accompagner les
réduction des coûts,
Le POS fixe entre autres :
(Plan d’
d’occupation l’apport de l’informa
• La localisation des emplacements des sols)
nécessaires aux équipements et
par une meilleure fle
  Planification et organisation
infrastructures connaissance accrue
Définition issu du CLUB
L’organisation des milieux urbains
spatiale de la cité par la mise
•
(destination des constructions)
en œuvre des politiques Zone Une zone du
Une Zone d’aménagement est une zone
urbaines (habitat, zones
d’affectation du sol selon l’usage qui y sera
autorisé et la nature des activités dominantes
corresp
temps
économique, transport…) Quartier
Une zo
Un Quartier est une fraction de territoire d’une
pour une harmonie des propre et
ville, dotée d’une physionomie
Un quartier
inform
usages et caractérisée
du bien-être.
par des traits distinctifs lui
conférant une certaine unité et une
subdiv
–  POS fixeindividualité.
les emplacements
Un quartier peut se
subdiviser en îlots
Un bloc est
traitem
réservés aux infrastructures et Ilot
Un Ilot est la plus petite unité de l’espace de l’en
organise urbain,
les constructions
entièrement délimité par des de bas
traitem
(Zones, Quartiers…)
voies, souvent appelé pâté de maisons ou
d’agré
‘bloc’
Edifice
Urbanisme du SI
  Réutilise les concepts de l’urbanisme de

l’habitat
  Proposé par Jacques Sassoon dans les
années 1990 pour formaliser ou modéliser
l'agencement du SI du secteur bancaire
  Démarche qui consiste à définir le SI cible
pouvant s'adapter et anticiper les différents
changements (stratégiques, organisationnels,
juridiques...) touchant l’entreprise
–  Plan d’urbanisme du SI : définition du SI cible, des
règles d'urbanisme et de la façon d’atteindre ce SI
Urbanisation du SI
  Démarche stratégique, fonctionnelle et technique
qui vise à maîtriser l’intégration des composants
d’un SI et normaliser leurs échanges pour
garantir leur cohérence et efficacité
  Mise en œuvre d’un ensemble d’activités pour la

transformation du SI en un SI cible défini dans un
plan d'urbanisme
–  Elaboration de la cartographie du SI
–  Etablissement des règles d'urbanisation
–  Mise en conformité du SI existant
–  Gestion des besoins d’évolution
Objectifs et retombées de l’urbanisation
  Objectifs :
–  Flexibilité : Agilité et évolutivité du SI (simplicité
d’extensions ou changements métier, de données
ou de traitements…)
–  Mutualisation : réutilisation du logiciel et partage
d’infrastructures
–  Maintenabilité : capacité de faire évoluer un parc
applicatif à coût modéré
–  Scalabilité : passage à l’échelle (volume important
de traitements) sans remise en cause l’architecture
  Retombées :
–  Taille réduite du parc applicatif et technique
–  Coûts réduits
Propriétés du SI urbanisé*
  Organisé autour des processus métier
–  Pilotage stratégique et opérationnel faciles+flexibilité
  Fondé sur une architecture modulaire à base
de composants hiérarchiques
–  Autonomie, indépendance et interactions limitées
  Construit sur une architecture ouverte
–  Modification de composants sans impact sur les
autres (mécanismes : interfaces, adaptateurs…)
  Fondé sur des technologies et formats
d’échanges normalisés
–  Capacité d’échange avec de nouveaux composants
hétérogènes (ex : bus de communication)
Enjeux de l’urbanisation
  A la fois :
–  Mettre en œuvre plus rapidement de nouveaux
systèmes
–  Améliorer l’efficacité globale du SI
–  Introduire les changements liés aux évolutions
réglementaires
–  Préserver la cohérence du SI et éviter les redondances
  Mais sans :
–  Reconstruire entièrement le SI en remettant en cause
l’existant : les changements organisationnels, métier…
sont permanents
Fondements de l’urbanisation
  Découpage du SI
  Règles de l’urbanisme
  Moyens et mécanismes de mutualisation
  Cartographie
Découpage du SI
  Découpage récursif en modules autonomes

pouvant évoluer séparément tout en
conservant leur capacité d’interagir les unes
avec les autres :
–  Zone : correspond à un besoin métier, opérationnel
ou de gestion de données de référence ou de
production, à un type de processus (décisionnel ou
de support), ou au besoin d’échange avec
l’extérieur
–  Quartier : défini par la nature des informations
traitées (découpé en îlots ou blocs)
–  Bloc : composant de base de l’entreprise composé
de données et traitements homogènes
Exemple de découpage
  SI bancaire :
–  Zone : Gestion des opérations bancaires

–  Quartier : Gestion des crédits
–  Ilot : Gestion des crédits immobiliers
–  Bloc fonctionnel : Gestion d’un impayé
Exemples de règles d’urbanisme (1/2)
  Règles de jeu pour atteindre le SI cible :
–  Toute architecture fonctionnelle comporte une zone

référentielle de données
–  Toute architecture fonctionnelle comporte une zone

par métier principal
–  Un bloc appartient à un seul quartier, un quartier à

une seule zone
–  Un bloc est autonome : il doit présenter une

cohérence fonctionnelle interne forte et un couplage
faible avec les autres blocs
Exemples de règles d’urbanisme (2/2)
–  Un bloc a deux points d’ancrage (Evènement à

traiter + Compte rendu d’exécution)
–  Une donnée ne peut être màj que par un seul bloc
–  Un bloc fournit des résultats normalisés
–  La communication entre blocs transite par le syst.

de gestion de flux: pas d’échange direct
–  Un bloc est asynchrone…
Mécanismes de mutualisation
  Mise en place de référentiels partagés

  Déploiement d’une infrastructure
d’intégration (échange) : EAI
  Mise en œuvre de sous-systèmes
interopérables
  Mise en œuvre progressive d’une
approche orientée service
Cartographie du SI
  Inventaire des processus, des applicatifs, de
leurs destinations et des relations entre les
applicatifs, des données et de leurs flux, des
matériels, des typologies de réseaux…du SI
existant ou cible
  Utilité
–  Pilotage et suivi des évolutions du SI
–  Aide pour l’accompagnement et cadrage de
nouveaux projets (identification du périmètre,
répartition des fonctionnalités, choix applicatifs et
technique)
La cartographie est un outil vivant pour la maîtrise et la mise à jour du
nformation, c’est pour cela qu’elle doit être pérennisée de façon à être une imag
xacte et la plus exhaustive du système d’information à tout moment.
Cartographie et visions des SI
  Alignée avec la vision stratégique du SI

Figure 2.1. Les visions du S.I. et les types de cartographie. [CLUB URBA RE05]
Cartographie métier
  Vue de l’ensemble des processus décrivant :
–  Activités métier (opérationnel, support,

stratégique) contribuant aux objectifs stratégiques
de l’entreprise
–  Acteurs externes concernés
–  Échanges entre processus
–  Événements déclencheurs et enchaînement
d’activités
Concepts métier d’urbanisation
  Macro-processus
  Processus métier (de haut niveau,
intermédiaire, élémentaire)
  Activité
  Tâche
  Action
  Structure organisationnelle
Cartographie fonctionnelle
  Vue structurant le SI en blocs fonctionnels

communicants (messages)
–  Fonctions permettant de supporter les processus
métiers
  Répond à la question « quoi ? » sans tenir

compte de la dynamique des processus
–  Sans tenir compte des acteurs et de l’organisation
Concepts fonctionnels d’urbanisation
  Zone fonctionnelle (Gestion de vente)

  Quartier fonctionnel (Gestion de paie)
  Ilot fonctionnel (Facturation)
  Bloc fonctionnel / BF (Gestion de paie
échelonnée)
  Fonction / Service fonctionnel
  Processus fonctionnel (décrit l’agencement
de fonctions relatives aux métiers sans avoir à
préciser les acteurs ou organisations)
Cartographie applicative
  Représente l’architecture applicative du SI

–  Applications logicielles, leur organisation, et les
messages échangés entre ces applications
  Illustre la transformation du modèle

fonctionnel en modèle technique
–  Répond à la question « comment automatiser les
fonctions? » : préciser qui (BA) prend en charge
une fonction, où (application) & quand (message)
–  NB : une application peut correspondre à +eurs BF
(relation non bijective)
Concepts applicatifs d’urbanisation
  Application (RH)
  Bloc applicatif / BA : Gestion de paie,
Gestion des promotions…)
  Bloc applicatif : module logiciel exécutable

ayant une identité, proposant des services et
ayant une prise bien définie
–  1 BA peut implémenter 1 à n BF
–  1 BF peut donner lieu à 1 à n BA (ERP+modules
spécif.)
® EAI = Enterprise Application Integration
Cartographie technique
(Intégration des Applications d’Entreprise)
® Rôle d’un EAI : gestion des interfaces et des échanges inter-
  Décrit l’infrastructure technique
applicatifs
–  Matériel (serveurs + réseaux)
§ Synchronise et fait communiquer des applications hétérogènes
–  (développements
Logiciels despécifiques
base (OS, SGBD…)
ou progiciels) par échange d’informations
–  indépendamment
Technologies desutilisées (ex
plates-formes et :duEAI/ESB, ETL…).
format des données
Concepts techniques d’urbanisation
  Base de données
  Logiciel de base (OS, SGBD)
  Serveurs et Réseaux
  Gestionnaires de flux (composants
spécialisées : EAI/ESB, ETL, messagerie...)
  Avec 1 gestionnaire de flux, les blocs applicatifs
communiquent sans se préoccuper de :
–  Localisation physique des applications
–  Moyens physiques et protocoles de communication
utilisés
–  Format attendu par le destinataire
Autres cartographies
  Cartographie des flux (dynamique

protocolaire)
  Cartographie de production
  Cartographie de la sécurité du SI
  Cartographie des projets
  Cartographies de déploiement…
suivi budgétaire quadriennal, dématérialisation et Gestion électronique de documents (GED),
technologies de dernière génération…) impliquent la nécessité de penser à une optimisation des
ressources informatiques (infrastructures, données et applications), mises en place pour produire les
résultats attendus par l’OIF.
Métamodèle d’urbanisation*
Le méta-modèle des concepts d’urbanisation est matérialisé sur le schéma suivant :
2-5: La Démarche:
Les missions de l’urbanisation
Processus d’urbanisation*
Urbaniser le système d’information de l’entreprise
Pilotage
Piloter l’urbanisation du SI
Participer aux comités d’arbitrage projets
Mettre les référentiels de

données sous contrôle
Faire le lien avec la
Participer aux études
Opérationnel
stratégie business et la
amont des projets
gouvernance du SI Standardiser et simplifier
les échanges inter-
Elaborer et réviser le applicatifs
cadre d’urbanisme et Suivre et accompagner
d’architecture du SI Faire le lien avec les les projets informatiques
infrastructures
techniques
communication
Maintenir & diffuser les référentiels de cartographie du SI existant & cible

Support &
Développer les compétences en urbanisme du SI
Plan d’urbanisme Construction du SI optimal Relation avec les projets

2-4 : La Démarche:
Les Indicateurs qualité
six activités clefs de l’urbanisme de l’urbanisation*
Gérer les référentiels de données
Activité
Activités Support
majeurs pour l’entreprise
• Définition des données clef
Activité
Activités de Pilotage • Responsabilité MOA sur les référentiels
• Dispositif de gestion des référentiels et fonctions transverses
Activité
Activités Opé
Opérationnelles 2
Disposer de cibles pour

Connaître le SI existant les évolutions SI
• Cartographie applicative 1 3 • Impact de la stratégie sur le SI
• Cartographie des processus métiers • Cible fonctionnelle du SI
• Diffusion des cartographies • Cible d’architecture applicative
• Gestion des risques • Cible d’architecture technique
Indicateurs • Révision d’approfondissement des cibles
Piloter l’urbanisation du Qualité
Urbanisme
SI et communiquer
Piloter l’urbanisation du SI Maîtriser une construction du

et communiquer 6 4 SI optimal pour l’ensemble de
• Moyens de l’urbanisme l’entreprise
• Pilotage de l’urbanisation
• Plan de migration
• Dispositifs de communication
• Plan d’urbanisme pour les projets
• Formation à l’urbanisation 5 • Suivi de l’application des règles dans les projets
• Urbanisme dans les études amont
Maîtriser la complexité des • Urbanisme et gouvernance des projets
flux d’échanges
• Description des flux inter-applicatifs
• Standardisation des échanges inter-applicatifs
• Mutualisation des échanges inter-applicatifs
Fatima-Zahra BELOUADHA. Urbanisation et BPM. Option SI. 3ème année GINF. EMI. 17 99
Facteurs de succès de l’urbanisation*
  Adhésion des acteurs

  Méthodologie comprise et partagée par tous
  Mode de communication et supports adaptés
aux différentes types d’acteurs
  Equipe pérenne constituée des représentants
de tous les métiers
  Plan d’Assurance Qualité du management et
production du projet d’urbanisation (qui fait
quoi, quand?, Comment?, avec quoi?
Facteurs d’échec de l’urbanisation*
  Mauvaise compréhension du périmètre de

l’étude
  Objectifs métiers contradictoires ou irréalistes
  Equipe projet sous dimensionnée
  Indisponibilité des métiers
  Document sur l’existant très pauvre
  Résistance au changement
  Cible irréaliste au regard de l’existant…
Acteurs de l’urbanisation
  Cellule de l’urbanisation
  MOA
  MOE (Architectes)
  Développeurs/Intégrateur de solutions
technologiques
Cellule de l’urbanisation (1/2)*
  Mission
–  Etude des demandes de mise en place de nouvelles

applications
–  Contrôle de conformité des systèmes livrés
–  Màj du référentiel du SI
–  Préparation de documents de cadrage
–  Accompagnement des projets (conseils à la MOA,
chefs de projet)
–  Màj des règles d'urbanisme.
Cellule de l’urbanisation (2/2)*
  Profil
–  Solide connaissance des SI

–  Bonne connaissance du secteur d’activité de
l’entreprise
–  Expérience des métiers de l’organisation
–  Capacité de conceptualisation et de modélisation
–  Bon esprit de synthèse
–  Bon niveau de communication
–  Sens de la négociation
–  Capacité de travailler en groupe
Autres acteurs de l’urbanisation*
  MOA
–  Mission : Définition des besoins et des financements
–  Profil : Dirigeants ou leurs mandataires, capables
d’appréhender globalement la problématique Métier.
  MOE
–  Mission : conception du SI
–  Profil : Agents opérationnels (ingénieurs architectes)
capables d’aligner le SI sur la stratégie métier
  Développeur/Intégrateur de solutions
technologiques
–  Mission : Mise en place et développement du SI
–  Profil : Informaticiens (prestataires, ingénieurs,
techniciens) capables de rendre le SI opérationnel
Urbanisation Vs Architecture
Architecture Urbanisation
Conçoit les composants du SI Conçoit et organise les briques
cohérentes d’un SI évolutif
Définit la structure interne des Définit la finalité des composants et les
composants fonctionnels, règles d’urbanisme (contraintes
applicatifs, matériels et d’échange et d’interaction entre ces
logiciels du SI ainsi que le composants
mode de relation qu’ils
entretiennent
Respecte des règles de Respecte des contraintes d’évolutivité
l’urbanisme et de flexibilité (pour faciliter la
mutation et l’intégration sans
incohérence, redondance et
interfaçage bricolé)
Elabore une vision détaillée Elabore une vision globale du SI (vue
des composantes du SI transversale de référence pour tous)
CH3.
De la stratégie à la vue métier
  Démarche générale
  Stratégie :
–  Diagrammes d’entreprise et d’Ishikawa
–  Règles de modélisation de la stratégie
  Vue métier :
–  Cartographie des processus et règles
–  Matrice des Processus/Objectifs
–  Diagrammes et règle de modélisation de
processus
Démarche générale :
De la stratégie à la vue métier
  Démarche : de la str
Décrire la stratégie relative au SI cible, et
appliquer les règles d’urbanisme définies pour
modèles de processus
décrire la VM cible en capitalisant sur la VM
actuelle
Démarche
générale Stratégie
Vision Métier Vision Métier

actuelle cible
marche
aillée Fatima-Zahra BELOUADHA. Urbanisation et BPM. Option SI. 3ème année GINF. EMI. 108
Stratégie
  Stratégie : politique adoptée par l’entreprise

pour réaliser l’ensemble des objectifs associés
à la mission de l’entreprise
  Doit être décrite via :

–  Diagramme d’entreprise décrivant les entités,
activités et flux échangés
–  Diagramme d'Ishikawa : modèle des objectifs
décrivant l’hiérarchie d’objectifs et sous-objectifs
Diagramme d’Ishikawa
  Diagramme de causes et effets, d’arêtes de
poisson ou des 5M
–  Décrit les causes (les 5 M) qui conduisent à un
effet
  Décrit les objectifs et sous-objectifs (les

causes) qui conduisent à un objectif central
(effet) dans le cas de l’urbanisation
Diagramme d’entreprise
Cas d’une SSII : Diagramme d’entreprise
Cas d’une SSII Clients
Clients existants Nouveaux clients Appels
Offres Affaires de gré à gré
Extension affaires existantes
Prospect
Partenaires
recrutement Commercial Ventes / Administration Direction
Universités Prospection Négociation Facturation Recouvrement opérationnelle
Écoles
Presse Présentation et suivi communication Stratégie (offre
Web Collaborateurs Logistique interne / et recrutement)
Chasseurs recrutement Cible secteur
Contrôle de gestion
Avant-vente Conseil Reporting collaborateurs Logique
Partenaires d’évolution
techniques Production sur contrats Suivi des contrats
formation Lobbying personnel Approvisionnement Croissance
achat (général et dédié) externe/interne
Éditeurs
Consultants
Formateurs Achat partenariat
achats dédiés approvisionnement
indépendants évaluation
Fournisseurs
Logistique (matériel, logiciel, bureautique), formation
Autres prestataires de services
Exemples de stratégie d’entreprise
Cas
Casd’une SSII : Modèle des objectifs
d’une SSII
Règles de modélisation de la stratégie :
Diagramme d’entreprise
  Règles de bonne pratique

–  Privilégier la clarté et la lisibilité à
l’exhaustivité
–  Indiquer dans le commentaire associé au
diagramme les flux entre processus de 1er
niveau non indiqués sur le diagramme
Règles de modélisation de la stratégie :
Modèle des objectifs
  Règles d’urbanisme
–  1 objectif ne figure qu’1 fois dans le diagramme
–  La liste des sous-objectifs d’un objectif décomposé
doit être exhaustive
–  1 objectif de niveau le + fin doit pouvoir être évalué
par 1 ou +ieurs KPI réalistes et significatifs
  Règles de bonne pratique
–  1 objectif commence par un verbe
–  Le libellé d’un objectif ne comporte pas « et » (être
relatif à 2 objectifs)
Vue métier
  Vue métier : processus issus de la stratégie

–  Opérationnels, de support, de pilotage
  Décrire les processus métiers puis les
procédures
–  1 processus doit contribuer à au moins un objectif ou
sous-objectif
–  1 processus doit être défini indépendamment de
l’organisation (structuration)
–  1 procédure est un processus organisé considérant
la structure et les acteurs internes
Elaborer la vue métier
  Elaborer d’abord la Cartographie des

processus
  Elaborer la Matrice des processus/objectifs

stratégiques
  Modéliser les processus

–  Etablir les Diagramme de processus
–  Annoter le diagramme pour expliquer les choix
Cartographie des processus
  Vue aérienne des processus, dont les objectifs

sont :
–  Permettre à toute l’organisation de se situer,
–  Faciliter la mise en place d’un système
d’amélioration de la performance
  Pour l’élaborer, il faut :

–  Classer les processus et identifier les liens entre
processus,
–  Leur affecter des priorités
Règles de bonnes pratique pour la
cartographie
  Distinguer les processus opérationnels de

ceux de support ou de pilotage
  Décomposer chaque processus opérationnel
en sous-processus
  Ne pas décomposer un processus de support
(ne pas alourdir le schéma)
  Ne représenter les processus de pilotage que
dans l’étude spécifique du domaine Pilotage
de l’entreprise (ou d’une partie de l’entreprise)
Cartographie des processus et lien avec la stratégie
Cas d’une SSII : Cartographie des processus
Exemple : cas d’une SSII
Processus de recrutement
Annonces Négociation
Entretiens
Communication Recrutement Suivi et évolution
Gestion des CV
Presse - Web Intégration
Processus commercial
Présence commerciale Qualification demandes
Négociation - contrat Reclassement
Référencement Choix intervenants
Démarrage et suivi évolution consultants
Prospection, AO propositions
Processus de gestion des missions et projets

Formation - installation Evolution
Suivi de projets Reclassement
Sélection intervenants consultants
Processus de gestion des filières

Processus Veille concurrentielle
R&D
Plan recrutement
offre régie Gestion de carrière
Opérationnels Plan recrutement
conseil - expertise
et formation LT
Qualité Adminis- Compta. Formation Sécurité Finance Marketing

tration
certification
et juridique
logistique
standards paie
Processus de support
CNAM / U & ARSI / Chapitre 3 : Vision Métier 25

Matrice processus/objectifs stratégiques
  Elaborée pour contrôler l’alignement des

processus sur la stratégie, càd identifier :
–  Les processus ne contribuant à aucun objectif
–  Les objectifs n’étant adressés par aucun processus
  Contenu :
–  Colonnes : Objectifs sauf l’objectif central
–  Lignes : Processus
–  Cellules :
•  Pas de contribution
•  Contribution faible si un dysfonctionnement sur le processus
ne met pas en cause à lui seul l’atteinte de l’objectif
•  Contribution forte si un dysfonctionnement sur le processus
peut mettre en cause à lui seul l’atteinte de l’objectif
Diagramme des processus
  Illustre :
–  Les différents Processus

–  Les Acteurs externes (Partenaires)
–  Les Echanges en processus et acteurs
externes
Diagramme d’un processus
  Décrit l’agencement des activités d’un
processus, et est constitué de :
–  Unités organisationnelles ou rôles réalisant les
activités
–  Activités : tâches ou actions (+ pré- et post-
conditions)
–  Evénements déclenchant ou résultats d’activités
–  Données mises en jeu (format papier ou
électronique)
–  Matières premières (marchandises) contribuant à
la fabrication des produits finis
–  Produits fabriqués ou services élaborés
–  Ressources informatiques requis : ordinateurs,
réseaux, logiciels, entrepôts de données...
Diagramme de processus :
Règles d’urbanisme
  1 activité ne doit concerner qu’1 objet dont elle
transforme les propriétés (ex: traiter
commande, et non pas commande et facture)
  1 activité élémentaire ne peut être

interrompue : 1 acteur affecté à 1 activité ne
peut être réaffecté avant la fin d’exécution ou
la fin anormale de celle-ci
  Toutes les activités peuvent avoir une fin

anormale due à une exception ou événements
particuliers (temporels ou d’abandon)
CH4.
De la vue métier à la vue fonctionnelle
  Vue fonctionnelle :
–  Concepts et objectifs
–  Architecture fonctionnelle
  Passage du métier au fonctionnel
–  Principes et Règles d’urbanismes
–  Démarche
  Etude de cas
Vue fonctionnelle
  Organise le SI en blocs fonctionnels
  Son objectif est de :
–  Limiter la portée de maintenance en cas de

changement de structures de données
–  Rendre neutre vis-à-vis du SI une modification dans
les traitements d’un bloc
–  Rendre possible une refonte progressive totale ou
partielle du SI
Bloc fonctionnel
  Correspond à :
–  Zone fonctionnelle : système issu d’un découpage

du SI au + haut niveau de l’organisation informatique
–  Quartier : sous-système regroupant des composants

homogènes quant à la nature de l’information traitée
–  îlot, Bloc, Fonction
Propriété du bloc fonctionnel
  Il est propriétaire des ses données et

traitements
  Il présente une forte cohérence interne et un

couplage faible avec les autres blocs
  Il propose des services (accès aux données ou

traitements) à travers une prise (interface
publique) au monde extérieur (réutilisation et
mutualisation des services)
Architecture fonctionnelle
  Découpe le SI d’une
Structure en différentes
vision ZF incluant +eurs
fonctionnelle
zones opérationnelles (1/métier)
Architecture Z-Échange
Fonctionnelle Z-Référentiel
Q-référentiel
de données
Z- Z-Opération 1
Décisionnelle Z-Opération m
Z-Opération n
Q-référentiel
de règles
Z-Ressource
CNAM U&ARSI Chapitre 4 8
Types de zones fonctionnelles
  Zone Echange : zone d’Acquisition/restitution
reflétant les interactions avec le monde
extérieur (ex: Front office)
  Zone Référentiel : correspond aux données et
règles communes aux éléments du SI
  Zone Opérationnelle : correspond à 1 métier
principal (ex : Back office)
  Zone Décisionnelle : zone relative aux
processus de gouvernance et d’analyse
  Zone Ressource : zone de Support relative aux
systèmes dédiés à la gestion des ressources
internes
Du métier au fonctionnel : Principes
  Remplacer 1 activité du diagramme de

processus par 0 à n BF qui l’automatisent
–  1 activité à 0 à n BF
  Faire correspondre 1 BF à 1 ou N activités si
nécessaire
–  1 BF à 1 à n activités
  Respecter des règles d’urbanisme
  Suivre une démarche de 7 étapes itératives
et d’ordre adapté aux cas particuliers du SI
Du métier au fonctionnel :
Règles d’urbanismes (1/2)
  Unicité des blocs :

–  1 îlot ∈ 1 quartier ∈ zone
  Asynchronisme :
–  1 îlot peut traiter immédiatement un évènement
sans se préoccuper du devenir du compte rendu
de traitement du précédent
  Ancrage:
–  1 bloc doit comporter obligatoirement une prise
capable d’activer ses services et gérer les
communications en E/S
Règles d’urbanismes (2/2)
  Responsabilisation :
–  L’accès (création, modif., supp., consult.) à 1
donnée doit être assuré par 1 seul îlot
  Communication avec un bloc :
–  Toute communication en E/S d’un bloc doit passer
par sa prise.
  Communication avec le gestionnaire de flux
–  Seules les prises communiquent avec le
gestionnaire des flux
Démarche (1/2)
1- Appliquer les règles de bonnes pratiques pour
définir les zones
–  Echanges, référentiel, décisionnel, opérationnelle,
ressource
2- Exploiter les processus afin d’identifier les
classes concepts (de substance/secondaires)
–  Reflétant des concepts métier/complétant la
définition de ces concepts (sous ens. fonctionnels)
3- Recadrer l’ébauche d’architecture fonctionnelle
selon les objectifs stratégiques
–  Analyser les objectifs pour identifier, ajouter
ou confirmer l’intérêt de quartiers/îlots
Démarche (2/2)
4- Identifier les services des blocs fonctionnels

5- Rapprocher les activités des blocs fonctionnels
–  Décomposer encore les BF en sous blocs
relativement aux activités et services nécessaires
6- Recadrer de nouveau la structure selon
objectifs stratégiques pour identifier les apports
de la vue cible
7- Vérifier de nouveau le respect des règles
d’urbanisme
Structure d’une vision fonctionnelle
Etude de cas – Etape 1
Vision Z-Échange
fonctionnelle Z-Référentiel
Q-référentiel
de données
Z-
Z-Opération
Décisionnelle
Qn
Q1
I1 I2
I3
Q-référentiel
de règles
Z-Ressource

(Mode de paiement = CB)
2ème étape: Explorer les processus 2ème étape:

pourExplorer les p
Catalogue
métier
Acompte
Etude de cas – Etape 2.1 identifier les concept
Tarif
2ème identifier les concepts

étape: Explorer de substance:
les processus métier pour
Lieu
Hébergement et type d’hébergement
identifier
Processus les concepts
de marketing: de substance:
Processus paiement Processus de facturation
Client = Personnes Client = Personnes
Processus
Client = Personnes
Agencede marketing: Paiement comptant
Client = Personnes
Catalogue
Paiement échelonné réservation
Agence Dossier réservation
Direction marketing Facture Facture
2ème étape: Explorer
les proce
Catalogue
Tarif Impayé
Direction marketing Échéances
identifier les concepts de
Coordonnées client
Tarif Échéance
Processus de réservation
Coordonnées client Règlement
en agence cible
Client =dePersonnes
Processus réservation en agence cible Processus de e-réservation
Vendeur
Client = Personnes Client = personnes
Vendeur
Réservation Réservation
CNAM U&ARSI Chapitre 4
Réservation
Voyage Voyage
Voyage
Paiement Paiement
Paiement (Mode de paiement = CB)
Modes de paiement
Modes de paiement Catalogue
Catalogue
Catalogue Acompte
Acompte Tarif
Acompte
Paiement échelonné
Paiement échelonné Lieu
Tarif
Tarif Hébergement et type d’hébergement
Processus paiement
Client = Personnes
Paiement comptant
Direction marketing : (S) / Structure organisationnelle
Tarif :
Les concepts de substance + secondaire

Etude de cas – Etape 2.2client (S) / Client
Coordonnées
Vendeur :(S) / Structure organisationnelle
  Concepts de substance et secondaires
Réservation :
Voyage:
Client = Personnes Paiement :
Agence : (S) / Structure organisationnelle Modes de paiement (S) : paiement
Acompte (S) : paiement
Catalogue = Voyage Paiement échelonné (S) : Paiement
Direction marketing : (S) / Structure organisationnelle Lieu (S) : Voyage
Tarif : Hébergement et type d’hébergement (S) : Voyage
Dossier réservation (S) Réservation/Client
Coordonnées client (S) / Client Facture :
Vendeur :(S) / Structure organisationnelle Impayé (S) : paiement
Réservation : Échéance (S) : Paiement
Règlement (S): Paiement
Voyage: Structure organisationnelle
Paiement :
Etude de cas – Etape 2.3
  Structure de base
Elaborer une d’unedevision
ébauche fonctionnelle
vue fonctionnelle
Vision Z-Échange
Fonctionnelle Z-Référentiel
Q-référentiel de
données
•I-Personnes
Z-Opération •I-Struct. Org
•I-voyage
• Q-Gestion des personnes •I-Tarif
Z- •I-calendrier
• Q-Gestion de Réservation •I-nomenclature
Décisionnelle
• Q-Gestion de paiement comptable
• Q-Gestion du tarif
• Q-Gestion voyage
Q-référentiel de règles
Z-Ressource
3-1 : L’optimisation de la valeur des clients
Etude de cas – Etape 3.1
Vision Z-Échange
Fonctionnelle Q- Gestion de la qualité de service
Q- Traitement des demandes
Z-Référentiel
Q- Traitement des problèmes
Q- Marketing Opérationnel Q-référentiel de
données
Optimiser la
•I-Personnes
valeur de client
•I-Struct. Org
Z-Opération •I-voyage
•I-Tarif
Z- Q- Gestion des personnes •I-calendrier
Décisionnelle •I-nomenclature
Q-Gestion de Réservation comptable
Q-Statistiques Q-Gestion de paiement
agences
Q-Gestion du tarif
Q- Statistiques Q-Gestion voyage
voyage
Q- Marketing
stratégique
Z-Ressource
3-2 : L’ouverture à la vente 24h/24, et donc l’accès
Etude de casproduit
aux référentiels – Etape 3.2*
(voyage) et service (client)
Vision Z-Échange
Q- Traitement des demandes Z-Référentiel
Q-Multimédia Q- Traitement des problèmes
Q- Marketing Opérationnel
Q-référentiel de
Ouverture à la données
Vente 24h/24 •I-Personnes
•I-Struct. Org
•I-voyage
Z-Opération •I-Tarif
Q-Gestion de Réservation
comptable
agences Q-Gestion du tarif
Q-Gestion voyage
Q- Statistiques
voyage
Q- Marketing
stratégique
Z-Ressource
Etude de cas
3-3 : La vente – via
directe Etape
internet3.3*
et le centre d’appels
  Vente via Internet et centres d’appel
Vision Z-Échange
Q-Multimédia Q- Marketing Opérationnel
Q-référentiel de
Permettre la données
Vente directe •I-Personnes
•I-Struct. Org
•I-voyage
comptable
agences Q-Gestion du tarif
Q-Gestion voyage
Q- Statistiques
voyage
Q- Marketing
stratégique
Z-Ressource
3-4 : Accepter ou refuser en temps réel les
Etudedemandes
de casde –paiements
Etape échelonnés
3.4*
Vision Z-Échange
Q-Multimédia Q- Marketing Opérationnel
Accepter ou Q-référentiel de
Refuser en TR les données
demandes de paiement •I-Personnes
échelonnés •I-Struct. Org
•I-voyage
Z-
Q- Gestion des personnes •I-Calendrier
Décisionnelle Q-Gestion de Réservation •I-Nomenclature
Q-Gestion de paiement : I-Gestion acceptation comptable
Q-Statistiques
agences paiement échelonné
Q-Gestion du tarif
Q- Statistiques Q-Gestion voyage
voyage
Q- Marketing
•I-Acceptation
stratégique
Z-Ressource Paiement échelonné
  Identifier les services des BF
  Suscite que l’urbaniste ait :
–  Connaissance du SI existant
–  Connaissance des modèles existant sur le marché
–  Expérience en urbanisation
5éme étape:Rapprochement des activités du processus métier par
rapport aux blocs fonctionnels devant les services nécessaires
Vision Z-Échange
Fonctionnelle Q- Multimédia : I-Présentation, I-Personnalisation, I-Routage
Z-Référentiel
Q- Gestion de la qualité de service
Q-référentiel de
Q- Marketing Opérationnel
données
•I-Personnes
•I-Struct. Org
Z-Opération •I-voyage
•I-Tarif
Z- Q- Gestion des personnes
•I-Calendrier
Décisionnelle •I-Nomenclature
Q-Gestion de paiement : I-Gestion échéancier, I-Gestion Acceptation paiement
comptable
échelonné, I-Gestion paiement échelonné, I-Gestion paiement comptant,
Q-Statistiques I-Facturation
agences Q-Gestion du tarif : I-Gestion tarif séjour, I-Gestion tarif transport
Q-Gestion voyage: I-Gestion catalogue, I-Gestion calendrier
Q- Statistiques
voyage Q-référentiel de règles
Q- Marketing •I-Acceptation
stratégique Z-Ressource Paiement échelonné
Q- Ressources Humaines : I-Paye, I-Gestion Personnel, I-Gestion formation
Q-logistique: I-logistique
Q-Comptabilité : I-Comptabilité générale, I-Comptabilité analytique
Etude de cas – Etapes 6 et 7
  Recadrer la structure obtenue avec les

objectifs stratégique
–  Pour chaque objectif d’évolution du SI, se
demander en quoi l’architecture fonctionnelle
obtenue y répond et en quoi elle apporte une
amélioration significative par rapport à l’existant (à
quel niveau?)
  Vérifier le respect des règles d’urbanisme
CH5. De la vue fonctionnelle à la
vue applicative et technique
  Architecture applicative
  Passage du fonctionnel à l’applicatif
–  Règles d’urbanismes
–  Elaboration de l’architecture applicative
existante
–  Elaboration de l’architecture applicative cible
  Etude de cas
Architecture applicative
  Structure le SI en un ensemble de blocs

applicatifs de façon à ce que :
–  1 BA implémente 1 à N BF : 1BAà 1:n BF
–  1 BF soit implémenté par 1 à N BA : 1 BF à 1:n BA
  Elle considère les acteurs et l’organisation :

qui,quand,où?
  Les BA communiquent par messages via un

gestionnaire de flux
Règles liées aux contraintes
  Ecarter des solutions d’architecture pertinentes

au regard des besoins exprimés (ex : budget)
  Adopter une solution d’architecture en fonction
des priorités et compatibilité des contraintes
–  ex : coût financier/haute disponibilité , performance
max/framework de bas niveau
–  Annuler si nécessaire des contraintes
  Prendre en compte les contraintes organisation.,
le patrimoine de l’entreprise et le niveau de
compétence des équipes internes
–  ex : culture procédurale/OO, technologies J2EE, types
SGBD
Du fonctionnel à l’applicatif
  Elaborer l’architecture applicative existante

–  Identifier les quartiers et les îlots et aussi les flux
inter-applicatifs (sens, TR, temps différé, automatisé,
manuel…)
  Identifier les points forts et axes d’amélioration
  Approprier des règles d’urbanisme au niveau

applicatif
  Elaborer l’architecture applicative cible
Règles d’urbanisme de l’architecture
applicative (1/2)
  Rendre les données des référentiels partagées

historisées (qui a modifié et quand?)
–  « Rejouer » un processus sans perte de cohérence
  Associer une date de mise à jour aux données
des référentiels
–  Archiver les valeurs très anciennes des données
  Associer une date d’effet (de publication) aux
données des référentiels
applicative (2/2)*
  Dupliquer si nécessaire au sein d’un bloc, les
données entre les données de contexte (ex:
zone d’opération) et celles de référentiel (car 2
niveaux de partage et de cycle de vie)
–  Données isolées et temporaires pour le contexte/
partagées et permanentes pour les référentiels
  Attribuer la responsabilité de la QoS d’un
service au bloc qui l’offre
  Prévoir 1 zone de pilotage (ordonnancement)
qui assure l’interface entre front office, back
office et middle office.
Elaborer l’architecture applicative
existante
  Etablir une fiche descriptive pour le recueil
d’informations sur les îlots
–  Prévoir 1 lise de valeurs d’éléments existants : acteurs,
entités org., class. concepts, processus, types de sites
  Présenter la fiche aux équipes d’étude et de
développement (EED) pour éviter l’ambiguïté
  Faire remplir les fiches par les EED sous le
contrôle de l’architecte SI
–  Granularité des îlots? Notions comprises? …
  Elaborer la cartographie applicative (Architecte)
  Faire valider la cartographie par les EED
  Organiser les îlots en Quartier et zones
Fiche descriptive des îlotsd’un îlot
Fiche de description
Rédacteur
Nom : xxxxxxxxxxxx
Date : xxxxxxxxxxxx
1ère partie : Description métier
1-1 Contribution aux processus métier : matrice processus / contribution du bloc au processus (X si contribution)
1-2 Entités organisationnelles utilisatrices : matrice unités organisationnelles / UO utilisatrice du bloc (X si UO)
1-3 Acteurs concernés y compris tiers (nombre , type)
2ème partie : Description fonctionnelle
2-1 Objectifs
2-2 Classification (Critique,Important, Utile)
2-3 Entrées
2-4 Sorties
2-5 Fonctions
2-6 Classes concepts gérées (matrice entités gisement de données et référentiel) / Type gestion (Création,Modif. Supp, Visu)
3ème partie : Description applicative et technique
3-1 Année de développement
3-2 Volume traités (Min, Moy, Max)
3-3 Disponibilité
3-4 Fiabilité
3-5 Matériel
3-6 système d’exploitation
3-7 SGBD ou SGF
3-8 Middleware
3-9 Types de sites concernés
4ème partie : Premiers éléments de diagnostic
4-1 Degré d’urbanisation
4-2 Principaux forts
4-3 Principaux problèmes
4-4 Nouveaux besoins

2.6.1.3 Le bloc applicatif Suivi_GAR
Exemple de Cartographie d’un bloc
applicatif
Etude de cas :
Architecture
Architecture applicative
applicative existante
existante
Z-SI-Financier
Q-Gestion de paiement :, I-Gestion des demandes de paiement échelonné,
Architecture I-Gestion paiement échelonné, I-Gestion paiement comptant,
Q-Facturation : I-Facturation
Applicative Q-Comptabilité : I-Nomenclature comptable,Comptabilité générale, I-
Existante Comptabilité analytique, I-Structure Compagnie
Z-SI-Organisation
Z- SI-Statistiques
Q-Statistiques agences : Q-Gestion de Réservation : I-Gestion réservation, I-Édition disponibilité
I-Statistiques agences Q-Gestion de paiement : I-Gestion tarif séjour, I-Gestion tarif transport
Q- Statistiques voyage :
I-Statistiques voyage
Z-SI-Administration
Q- Personnel : I-Gestion Personnel, I-Gestion formation
Q- Logistique : I-Logistique
Q- Paye : I-Paye
Etude de cas :
Points faibles de l’architecture existante
  Absence d’un gestionnaire unique de flux

  Duplication des données à différents endroits
du SI
–  Problèmes de contrôle des données
  Communication par des flux hétérogènes et
multiples prises
–  Pas de standard et de règles prédéfinies
  Pas de responsabilité sur une classe concept
  Absence de zone référentiel
  Appliquer les règles d’urbanisme pour
élaborer l’architecture cible
cible (1/3)
  Préciser les fonctions attendues du gestionnaire

des flux (implémenté par un middleware)
–  Administration des échanges : Identifier l’émetteur,

contrôler les doublons
–  Routage : Analyser, enrichir, transformer (format),
regrouper/éclater un messages
–  Interprétation (stockage, transport…) : Sécurité,
intégrité, Historisation et traçabilité, Gestion des files
d’attente, Recherche du destinataire, Transport
cible (2/3)
1. Réaliser le mapping de la vue fonctionnelle vers
l’architecture applicative
–  1 BF relativement inchangéè BAs existants
–  1 nouveau BF ou BF évolué è1 (s’il suscite un
développement spécifique) ou N (si maintenance ou
progiciel)
–  1 BF de la zone de Référentiel è 1 BA
2. Décrire les fonctions et la prise de chaque BA et
déterminer leurs acteurs et sites
–  Déduire les BA à instancier de façon multiple
3. Construire la cartographie des flux (interne/
externe…) entre les BA : vue statique du SI
cible (3/3)
4. Construire la matrice des flux à partir de la
cartographie applicative des flux
–  Numéro de flux, Description, Sens (depuis le BA X
vers le BA Y), Support physique (LAN, WAN, VPN,
bande magnétique, CD, DVD...), Type de traitement
(TP/batch, synchrone/asynchrone), Format de
données (XML, fichiers ASCII, EDIFACT, SWIFT,
ebXML..), Protocole de transport (HTTP , FTP ,
SMTP...), données échangées, volume et fréquence,
conditions de déclenchement, sécurité, phase projet
5. Identifier qqs cinématique représentatives de
l’utilisation du SI à partir des uses cases (vue
dynamique)
Architecture applicative cible
EtudeArchitecture
de cas : Etape 1 Cible
applicative
  Reprendre les BF eta rajouter l’issue de2lazones 1ère étape (GF implémenté par l’EAI +
Pilotge pour l’ordonnancement du back, middle et front office)
Architecture
Z-Échange
Applicative Q- Multimédia : I-Présentation, I-Personnalisation, I-Routage
Cible Q- Gestion de la qualité de service
Z-Référentiel
Z-Gestion de flux données
•I-Personnes
Q-Administration Q- Workflow Z-Pilotage •I-Struct. Org
échanges •I-voyage
•I-Tarif
Q- Routage Z-Opération •I-Calendrier
Q- Gestion des personnes •I-Nomenclature
Q- Interprétation Q-Gestion de Réservation comptable
échelonné, I-Gestion paiement échelonné, I-Gestion paiement comptant,
Z-Décisionnel I-Facturation
Q-Gestion du tarif : I-Gestion tarif séjour, I-Gestion tarif transport
Q-Statistiques
agences Q-référentiel de règles
Q- Statistiques •I-Acceptation
voyage Z-Ressource Paiement échelonné
Q- Marketing Q-logistique: I-logistique
stratégique Q-Comptabilité : I-Comptabilité générale, I-Comptabilité analytique
Architecture
Architecture applicativecible
applicative Cible
Etude de cas : Etape 2.1
a l’issue de la 2ème étape
N=Nouveau
M=Modifié
Z-Échange
Q- Multimédia : I-Présentation, I-Personnalisation, I-Routage
N
A=Ancien Q- Gestion de la qualité de service
Z-Référentiel
N Q- Traitement des problèmes
•I-Personnes A
Q-Administration Q- Workflow Z-Pilotage N •I-Struct. Org A
échanges •I-voyage M
•I-Tarif M
Q- Routage N Z-Opération •I-Calendrier M
M
Q- Gestion des personnes •I-Nomenclature A
Q- Interprétation Q-Gestion de Réservation N comptable
N
Échelonné , I-Gestion paiement échelonné, I-Gestion paiement comptant,
Z-Décisionnel I-Facturation
Q-Statistiques
M
agences
A Q-référentiel de règles
Q- Statistiques •I-Acceptation N
Z-Ressource Paiement échelonné
voyage
A Q- Ressources Humaines : I-Paye, I-Gestion Personnel, I-Gestion formation
Q- Marketing Q-logistique: I-logistique
stratégique Q-Comptabilité : I-Comptabilité générale, I-Comptabilité analytique A
N

Architecture
Architecture applicativecible
applicative Cible
a l’issue de la 4ème étape
Etude de cas : Etape 2.2
Fo=Front Office
Z-Échange
Mo=Middle OfficeQ- Multimédia : I-Présentation, I-Personnalisation, I-Routage
Fo Bo
Bo=Back Office Q- Gestion de la qualité de service
Z-Référentiel
Mo Q- Traitement des problèmes
•I-Personnes
Q-Administration
échanges
Q- Workflow Z-Pilotage Mo •I-Struct. Org
•I-voyage
•I-Tarif
Q- Routage Z-Opération •I-Calendrier
Q- Gestion des personnes Bo •I-Nomenclature
Q- Interprétation Q-Gestion de Réservation comptable
Échelonné , I-Gestion paiement échelonné, I-Gestion paiement comptant,
Bo I-Facturation
Z-Décisionnel Q-Gestion voyage: I-Gestion catalogue, I-Gestion calendrier
Q-Statistiques
agences •I-Acceptation
Paiement échelonné
Q- Statistiques
Z-Ressource Bo
voyage
Q-logistique: I-logistique
Q-Comptabilité : I-Comptabilité générale, I-Comptabilité analytique
Q- Marketing
stratégique
 La matrice des flux est créée à partir de la cartographie applicative des flux
 Exemple
Exemple : : Etape 4*
  Matrice des flux
l’utilisation du système
Exemple1
Exemple de cinématique : Etape
présentant une vision5dynamique
(1/2) du système
  Cinématique de flux
Fatima-Zahra BELOUADHA. Urbanisation et BPM. Option SI. 3èmeCours

année GINF. 164
EMI.5 - Vision
U&ARSI Informatique
Architecture Applicative - v1.0
 Architecture
Exemple: applicative cible
Exemple1 : Etape 5 (2/2)
  Description de la cinématique
Etape Architecture
2 applicative cible

Exemple2 : Etape 5*
Exemple de cartographie applicative des flux présentant une vision statique du système
  Cartographie des flux (Vue statique)
Cours U&ARSI 5 - Vision Informatique Log
28 Architecture Applicative - v1.0
CH6. Architecture logicielle et
technique
  Architecture Logicielle
–  Objectif et Démarche
–  Motif de conception, Modèle en Couche,
Modèle n-tiers, Architecture
–  Exemples
  Architecture Technique
–  Démarche et Modèle de dimensionnement
–  Règles d’urbanismes
–  Exemples
  Métriques de validation d’architectures et
Migration
Architecture logicielle
  Représente la Vue Logique du SI qui découpe

les applications en couches
–  Introduit les concepts de découpage en

composants, frameworks et design patterns
Architecture logicielle : démarche
  L’architecte doit de façon itéra. & incrément. :

–  Définir le modèle d’architecture en couches et en
tiers pour chaque BA
–  Préconiser des motifs de conception pour les
couches
–  Préconiser les librairies, composants, frameworks
et outils pour l’implémentation des couches, la
fabrication de l’application (concep./dévelop., tests…),
la mise en production et le suivi (déploiement,
configuration, surveillance, suivi de la QoS…)
–  Guider les phases de conception et développement :
assurer le coaching des concepteurs et développeurs
Exemple de Motif de conception MVC*
  Modèle-Vue-Contrôleur
–  Modèle : Composants qui réalisent des appels à la
couche Services et transmettent les résultats à la Vue
–  Vue : Interface utilisateur
–  Contrôleur : gère la synchronisation entre la Vue et le
Le modèle
Modèle (effectue des actionsMVCsur le modèle suite aux
actions de l’utilisateur + surveille les modifications du
modèle et en informe la Vue.
ouches
Modèle de référence en 5 couches*
ations se traduit par une décomposition logique de chaq
  Chaque couche a ses propres responsabilités et
utilise celle en dessous d’elle :
–  Présentation : affichage de l’IHM
–  Contrôleur : coordination
–  Service : logique métier (implé. Trait.)
–  Domaine : objets métier
–  Persistance : données, services de
stockage, création, modif…
  Couches et
res responsabilités transversales
utilise la couche située en dessou
–  Sécurité : services d’authentification…
–  Core services (techniques) : erreurs, monitoring…
rchitectes enrichissent et élaguent le modèle. La
 Modèle
Le modèle N-tiers estN-tiers*
celui mis en œuvre dans le cadre des projets web
  Les couches s’exécutent sur n-tiers

 Exemple : tiers impliqués dans le modèle d’architecture J2EE
Tiers impliqués dans le modèle d’architecture J2EE
 Le code client doit traiter directement avec le modèle objet de la couche Domaine, ce qu
SOA (suite)
conséquence de lier celle-ci très fortement à un modèle spécifique et requiert un nombre
d'appels important entre les deux couches.

Architecture OO Vs SOA*
La multiplication des appels entre couches pose problème lors de la mise à disposition à
 Dans une SOA un niveau d'indirection supplémentaire est introduit sous la forme de la couc
distance des objets métiers. De plus le nombre d'objets à manipuler réduit l'indépendanc
Services.
OO : liens
couches et complexifie (appels)
la prise en main directs
de la couche métier
 La couche Coordination ne manipule plus directement les objets métiers, mais passe par de
appels de services. Les objets métiers se trouvent dans des bibliothèques de classes
directement chargées dans le même processus que les services, le coût des appels aux ob
métiers est alors très faible.
 Les services agissent comme des « boites noires » faisant abstraction de la complexité du
  SOA
modèle objet, : considère
présentant endeplus
un ensemble 1 couche
fonctionnalités services
restreints et permettant
Cours U&ARSI de réduire
5 - Vision Informatique
Architecture Applicative - v1.0
L
échanges entre les couches
Fatima-Zahra BELOUADHA. Urbanisation et BPM. Option SI. 3èmeCours

annéeU&ARSI
GINF. EMI. 173
5 - Vision Informatique Logiq
30 Architecture Applicative - v1.0
Avantages de la SOA*
  Réutilisation et composition : partage de
modules entre applications+ agrégation
  Pérennité : support des technologies existantes
et à venir
  Evolutivité : capacité d’applications à évoluer
pour répondre aux nouveaux besoins
fonctionnels
  Ouverture et interopérabilité : partage des
modules applicatifs entre plateformes et
environnements homogènes ou hétérogènes
  Distribution : utilisation à distance des modules
  Performance
Architecture technique
  Structure et décrit l’ensemble de moyens

d’infrastructure technique à mettre en œuvre
pour informatiser l’activité de l’entreprise
–  Moyens matériels (serveur, poste client ...)
–  Logiciels de base (OS, SGBD, middleware,
annuaires...)
–  Moyens de communication (réseaux LAN/WAN,
routeurs, switchs, proxies, firewalls...)
  Répond à la question Avec quoi mettre en

œuvre le SI?
Architecture technique : démarche (1/2)
  Préciser les moyens d'infrastructure technique

pour chaque BA
  Définir la QoS attendue pour le système à
partir des contraintes et décrire les solutions
–  Performance (ex: temps de réponse, cache),
disponibilité (répartition de charge: load
balancing/fail-over), sécurité (authentif:
Passwd…, contrôle d’accès: firewall…)
  Définir un modèle de dimensionnement
théorique des moyens d’infrastructures à partir
des hypothèses et des contraintes
Architecture technique : démarche (2/2)
  Piloter/participer à l’étude de prototypage et au
benchmark pour valider le modèle de
dimensionnement à tester sur des use cas
  Définir l'architecture de l'exploitation
–  Outils d’administration/supervision du SI
–  Procédures de déploiement, configuration,
exploitation, supervision…
  Déterminer le coût du système en fonction de :
–  RH, Formation, Développement, Administration,
Logiciels, Matériels, Télécom, assistance (support)
  Décrire les fiches et Elaborer la cartographe
technique : une fois que les choix techniques sont faits
Modèle de dimensionnement*
  Détermine des éléments permettant d’atteindre

les performances attendues du SI :
–  Machines (poste, serveurs)
•  Nombre de transactions/seconde
•  Durée et volumétrie des traitements batch
–  Réseau local (LAN) et distant (WAN)
•  Estimation de : bande passante réseau, temps de latence
•  Profils de consommation de BP
–  Espace de stockage (disque, NAS, SAN)
•  Volumétrie des données: nbre d’enregistrements, d’users…
•  Espace disque
•  Nombre de disques (niveau de RAID)
technique (1/2)
  Décomposition en blocs
–  1 BA è N paquetages (N : nombre de couches de
l’architecture logicielle le concernant)
  Intégrité transactionnelle des flux sensibles

–  Communication synchrone entre tous les systèmes
concernés durant la phase de stockage/màj des
gisements de données
–  Gisements : données créées lorsque les acteurs
effectuent leurs tâches quotidiennes : bons pour
paiement, factures...
technique (2/2)*
  Intégrité des gisements de données
–  Toute màj des gisements et toute émission vers
l’extérieur de flux critiques doivent respecter les
principes d’intégrité : Atomicité de màj, Cohérence…
  Concurrence batch/TP
–  Les batchs doivent être construits pour s’exécuter de
manière concurrente aux processus TP, sous le
contrôle des transactions avec respect de la règle
d’intégrité des gisements.
  Code source unique
–  Les composants logiciels qui ne nécessitent pas de
variante ne doivent être écrits qu’1 fois
Architecture technique : Règles de
bonne pratique
  Centralisation des gisements de données

–  Ils doivent être sur une plateforme centrale,
sécurisée, accessible depuis toute autre plateforme.
  Non duplication
–  Ne recourir à la duplication que lorsqu’il y a des
contraintes impératives (performance, sécurité,
charge réseau…) : mais appeler si possible le
composant original
  Contraintes de l’organisme
–  Technologie (Web), Plateformes (Mac OS, Linux…),
Logiciel libre
 Exemple:logicielle
Exemple d’infrastructure Infrastructure
J2EE logicielle / J2EE
Cours U&ARSI 5 - Vision Informatique Log
2.7 Modélisation de l’architecture physique
2.7.1 Liaisons Intersites
Exemple : Cartographie des sites

Le siège est relié aux différentes UHS via des tunnels VPN (Virtual Private Network) s'appuyant sur les liaisons
internet du siège et celles des unités hors siège.
L’architecture physique de l’OIF est récente, due à la récente installation dans ses locaux actu
grand nombre de serveurs ont été remplacés. Le réseau de l’OIF est performant et véhicule égalem
grand nombre de flux d’informations tels que la téléphonie sur IP, la visioconférence, un ensem
chaînes de télévision (TV5 et internationales)
Exemple : Cartographie du flux sur le réseau

Le siège est pourvu de connexions importantes et sécurisés à Internet (2 lignes de 30 Mb). Les acc
gérés par un firewall Checkpoint.
Exemple : Fiche d’un serveur
Exemple : Cartographie de serveurs Web
2.7.3 Cartographie des serveurs dans le réseau DMZ.
dans un réseau
Exemple : Cartographie des serveurs
2.7.4 Cartographie des serveurs applicatifs
applicatifs (salle serveur)*
Métriques de validation d’une
architecture (1/2)*
  Agilité/Extensibilité :
–  Capacité à intégrer rapidement de nouveaux flux
et/ou applicatifs et à supporter +ieurs modes
d’organisations
  Respect des standards applicatifs et
techniques de l’entreprise
–  Utilisation des référentiels, sécurité, plateformes
d’échanges, services communs…pour ne pas
susciter de nouvelles technologies
Métriques de validation d’une
architecture (2/2)*
  Evolutivité :
–  Capacité à intégrer de nouveaux utilisateurs, des
référentiels + larges, montée en charge…
  Sécurité :
–  Sécurisation des échanges, difficulté d’intrusion,
authentification des acteurs…
  Coûts :
–  Meilleur rapport Qualité/prix par rapport à d’autres
(benchmark)
Migration vers l’architecture cible
  2 phases :
–  Migration / refonte des systèmes et des
applications
–  Migration des données
  2 approches :
–  Approche itérative/progressive
–  Approche « big-bang »
Approche de migration itérative*
  Faire cohabiter l’ancien et le nouveau

système provisoirement (des mois à des
années)
  Avantage : Maîtriser la complexité par une
mise en œuvre progressive du nouveau
système
  Inconvénient : Complexité à intégrer et gérer 2
systèmes (double alimentation TP/batch,
complexité, des flux à gérer)
Approche Big-Bang de migration*
  Basculer de l’ancien vers le nouveau système

en une étape
  Inconvénients : complexité de mise en oeuvre
et d’administration, risque de rejet par les
utilisateurs, formation des équipes, tenue à la
charge …
  Avantage : Pas de problématiques de double
alimentation et de complexité de gestion des
flux
Bibliographie
  Brandenburg, H., Wojtyna, J.-P. (2003). L’approche processus,
mode d’emploi (2ème édition), Paris : Editions d’Organisation.
  Jean-Christophe Bonne, Aldo Maddaloni, Convaincre pour urbaniser
le SI, Lavoisier, Paris, 2004, ISBN 2746209772
  Yves Caseau, Urbanisation et BPM, Le point de vue d’un DSI 3ème
édition, Dunod, Paris, 2008
  Gérard Jean, Urbanisation du business et du système d’information,
Hermes 2000
  Bernard Le Roux, Luc Desbertrand, Pascal Guérif, Xavier Tang,
Julien Tixier, Pierre Verger, Urbanisation et modernisation du SI,
Lavoisier, Paris, 2004, ISBN 2746208857
  Bernard Le Roux, Joseph Paumier, La gouvernance de l'évolution du
SI, Lavoisier, Paris, 2006, ISBN 274621293
  Christophe Longépé, Le projet d'urbanisation du S.I : Démarche
pratique avec cas concret. 2e édition, Dunod, Paris, 2004, ISBN
2100073761
Bibliographie (suite)
  Lorino, P. (1995). Le déploiement de la valeur par les processus,
Revue Française de Gestion, 104, 55-71.
  Morley, C., Bia-Figueiredo, M., Gillette, Y. (2011). Processus métiers
et systèmes d’information : Gouvernance, management,
modélisation (3ème édition), Paris : Dunod.
  Jacques Sassoon, L’urbanisation des systèmes d'information,
Hermès Coll. Management et Informatique, 1998
  Club URBA-SI, Pratiques de l'urbanisme des systèmes d'information
en entreprises, Publibook, 2003, ISBN 2748329422
Webographie
Cours :
  Eric AbouChakra, Jean-Claude Carron, Pierre Fares, Cours

Urbanisation et Architecture des SI, CNAM,
http://deptmedia.cnam.fr/new/spip.php?rubrique466
  Tanguy Crusson. Business Process Management : De la
modélisation à l’exécution, Positionnement par rapport aux
Architectures Orientés Services. Intalio. 2003.
http://www.urba-ea.org/telecharge.php?
doc=ref04031258401284.pdf&id=239
  SQLI, Urbanisation des SI. Support de formation.
http://bebert256.free.fr/Download_GSIE/System%20Information/
Urbanisation%20des%20SI.pdf
  Laurent Descamps. Séance urbanisation des SI. www.fil.univ-lille1.fr
Webographie (suite)
Livre Blanc :
  Cyrille Devaux. Urbanisation et architecture orientée service (SOA) :
Quelques bonnes pratiques pour leur mise en œuvre. Livre blanc.
Aubay. 2008. Consulté le 10 Juin 2013.
http://www.aubay.com/en/news/publications/publications/
urbanisation-et-architecture-orientee-service-soa-2008/
Rapports :
  Exemples de cartographie techniques. Organisation internationale
de la francophonie.
http://www.francophonie.org/IMG/pdf/annexe-2-sig2g-
dossier_urbanisation.pdf
  Médiathèque, Dossier d’urbanisation de l’OIF.
http://mediatheque.francophonie.org/IMG/pdf/Annexe-2-SIG2g-
Dossier_Urbanisation.pdf
Webographie (suite)
Références et Handbooks BPMN
  Enterprise Business Architecture Group, BPMN reference V 1.0, July
2013. http://de.slideshare.net/chrismoloney/b-reference
  OMG. (2011). Business Process Model and Notation (BPMN).
Version 2.0. http://www.omg.org/spec/BPMN/2.0/PDF
  Robert Shapiro et al. BPMN2 Handbook 2012.
http://www.conradbock.org/white-bpmn2-process-bookmark-web.pdf
  Julien da Costa. BPMN 2. 2013.
http://edutechwiki.unige.ch/fr/
Bpmn_2.0#Les_diagrammes_de_chor.C3.A9graphie
  Lucidchart. BPMN home. 2013.
https://www.lucidchart.com/pages/bpmn
  SEWO. BPMN. 2011. http://www.sewo.biz/BPMN/BPMNBasics.php

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Support de cours

 De la stratégie à la vue métier

 De la vue métier à la vue fonctionnelle

 De la vue fonctionnelle à la vue

 Motivations de l’approche processus

Productivité Compétitivité Flexibilité Adaptabilité

Brandenburg Enchaînement d’activités ou d’ensembles d’activités, qui est alimenté

Ensemble d’activités structurées, menées dans un objectif déterminé,

Ensemble d’activités corrélées ou interactives qui transforme des

Ensemble d’activités qui interagissent et qui à partir d’un ensemble d’entrées

Besoins du Mesures Processus

 Les participants peuvent être :

Exemple de processus métier :

Fatima-Zahra BELOUADHA. Urbanisation et BPM. Option SI. 3 12

Les implémentations – une pour chaque partenaire – définissent le comportement

définies dans l’interface publique. Voici un exemple d’implémentation, pour le

Exemple d’implémentation d’un

Copyright © 2003 Intalio, Inc. www.intalio.com Page 11 / 45

Cartographier • Mettre en relief les éléments, séquence et

Piloter les • Définir les méthodes adéquates, mettre à

Améliorer • Surveiller, mesurer, corriger

– Unifier sous un seul outil toutes les visions des

– Permettre aux décideurs, analystes métiers,

 Permet de gérer le cycle de vie des processus

 BPMI.org : BPM Initiative

– Modélisation de processus : Aris, MEGA, Rational,

 Modélisation, exécution et interrogation

– BPMN : Business Process Modeling Notation (OMG)

 Notation graphique pour la modélisation des

– Terminaison : Termine le processus (arrêt de

– Début/Start : marquer le début d’un processus

– Fin/Terminate : marquer la fin du processus

Types Start Intermediate End

Table 10.93 – Types of Events and their Markers

Fatima-Zahra BELOUADHA. Urbanisation et BPM. Option SI. 3 année GINF. EMI.

Event Definition Metamodel

– Travail qu’une entreprise effectue au cours d’un

– Composé de tâche et/ou d’autres sous-processu

BPMN : représentations des activités

traversent pas ses limites The marker for an Ad-Hoc

Process Break A Process Break is a location in the Process

pause) behavior (see top-right figure). In addition, a Response

32 Business Process Model and Notation, v

traversent pas ses limites

Sequence Flow Looping Loops can be created by connecting a

BPMN : Activités et boucles *

• Se produit +eurs foiswhere an expected delay will

A Sequence Flow can have a condition

 Objets de contrôle permettant de contrôler

– Utilisées pour contrôler la convergence ou la

BPMN : Types de passerelles (1/7)

– Point de fusion (Merge) XOR : point de

– 1 seul chemin sera choisi quand la condition qui lui

BPMN : Types de passerelles (2/7)

independent Binary (Yes/No) Decisions.

(see bottom-right picture).

 Choix multiple : Inclusive decision gateway

Attribute Name Description/Usage

BPMN : Types de passerelles (4/7)

  De la stratégie à la vue métier

  De la vue métier à la vue fonctionnelle

  De la vue fonctionnelle à la vue

  Motivations de l’approche processus

  Les participants peuvent être :

Cartographier •  Mettre en relief les éléments, séquence et

Piloter les •  Définir les méthodes adéquates, mettre à

Améliorer •  Surveiller, mesurer, corriger

–  Unifier sous un seul outil toutes les visions des

–  Permettre aux décideurs, analystes métiers,

  Permet de gérer le cycle de vie des processus

  BPMI.org : BPM Initiative

–  Modélisation de processus : Aris, MEGA, Rational,

  Modélisation, exécution et interrogation

–  BPMN : Business Process Modeling Notation (OMG)

  Notation graphique pour la modélisation des

–  Terminaison : Termine le processus (arrêt de

–  Début/Start : marquer le début d’un processus

–  Fin/Terminate : marquer la fin du processus

–  Travail qu’une entreprise effectue au cours d’un

–  Composé de tâche et/ou d’autres sous-processu

•  Se produit +eurs foiswhere an expected delay will

  Objets de contrôle permettant de contrôler

–  Utilisées pour contrôler la convergence ou la

–  Point de fusion (Merge) XOR : point de

–  1 seul chemin sera choisi quand la condition qui lui

  Choix multiple : Inclusive decision gateway

  Synchronisation (Join) et Branchement

–  Synchronise (combine) ou crée des flux parallèles

–  Indique que les flux sortants sont des flux concurrents,

–  Pattern équivalent au choix multiple (Inclusive gateway)

–  Demande de crédit à faire approuver par l’1 de 3

  Free MicrosoftVisio BPMN

  Send RFQ to supplier and receive

  Repose sur les capacités d’extension de WSDL

  Motivations, principes et origine

  Evolution du contexte de l’entreprise

  Cependant, le patrimoine SI imbriqué (mal

  Données et objets redondants

  Réutilise les concepts de l’urbanisme de

  Mise en œuvre d’un ensemble d’activités pour la

  Moyens et mécanismes de mutualisation

  Découpage récursif en modules autonomes

–  Zone : Gestion des opérations bancaires

–  Toute architecture fonctionnelle comporte une zone

–  Toute architecture fonctionnelle comporte une zone

–  Un bloc appartient à un seul quartier, un quartier à

–  Un bloc est autonome : il doit présenter une

–  Un bloc a deux points d’ancrage (Evènement à

–  Une donnée ne peut être màj que par un seul bloc

–  Un bloc fournit des résultats normalisés

–  La communication entre blocs transite par le syst.

–  Un bloc est asynchrone…

  Mise en place de référentiels partagés

  Alignée avec la vision stratégique du SI

  Vue de l’ensemble des processus décrivant :

–  Activités métier (opérationnel, support,

  Vue structurant le SI en blocs fonctionnels

  Répond à la question « quoi ? » sans tenir

  Zone fonctionnelle (Gestion de vente)

  Représente l’architecture applicative du SI

  Illustre la transformation du modèle

  Bloc applicatif : module logiciel exécutable

  Cartographie des flux (dynamique

  Adhésion des acteurs