Résumés de Textes
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faire le lendemain. »
1 Paragraphe :
Le premier paragraphe peut répondre à la question comment font-ils leur
travail ? Mais il y a deux réponses : la première, physiquement ils sont
écartés dans une cabine au bord de la salle. Ils portent un casque et un
micro et ils traduisent la conférence. La deuxième réponse est en ce qui
concerne le rôle communicatif : sélon la citation, il est essentiel de
changer le registre dont on parle et ça changera d’une certaine manière
un personnage différent à chaque fois qu’ils interprètent. Après on peut
dire que les interprètes sont une espèce d’acteurs.
Ensuite, le deuxième paragraphe nous montre
tant la forme est simple alors que le fond est riche d’interprétations
Dans le troisième paragraphe il y a les exigences et les requêtes de la
profession. Non seulement sur les connaissances du métier qu’ils
doivent avoir, mais les compétences personnelles aussi. D’un côté
académique l’auteure dit qu’un interprète doit maîtriser et dominer 3
langues et même 4, et puis, ils doivent bien comprendre : le sujet, le
vocabulaire, les termes techniques du métier, et c’est une chose qui au
début ce n’est pas si simple… mais qu’au fur et à mesure qu’ils font des
interprétations, ça devient plus facile.
De l’autre côté l’auteure explique les compétences qui correspondent
aux interprètes… d’abord, avoir une bonne compréhension, intelligence,
une bonne mémoire, connaitre la culture générale et savoir travailler
sous pression. Pour donner de la force aux arguments des exigences de
la profession, l’auteure cite Christopher Thierry qui dit qu’on ne peut pas
oublier le respect du secret professionnel et cela c’est la règle pour
retrouver un emploi.
Mais faire de cette profession un métier uniquement pénible ce n’était
pas l’intention de l’auteure, Par conséquente le paragraphe suivant fait
une analyse des complaicences de cette profession
(4 Paragraphe) je vais faire la liste : ranger les horaires relativement car
si il y a une affaire important elle devrait être faite, voyager par le
monde que c’est une avantage culturelle, acquisition de la connaissance
tout le temps, et ils ne peuvent pas se plaindre de l’économie car ils
reçoivent un bon salaire, malgré qu’ils soient indépendants ou qu’ils
travaillent pour un organisme.
Finalement, dans le 5ème paragraphe l’auteure insiste sur la difficulté
d’être un interprète et il y a une idée qu’il fut souligner et c’est le fait
qu’être un interprète ce n’est pas une chose réglementé, on peut être un
interprète par goût, sans avoir un titre, néanmoins d’après l’auteure
c’est une chose sérieuse et qu’on doit faire avec un bon sens
professionnel
Opinion
Le livre offre d’autres lectures particulièrement intéressantes
Document 4 : En attendant un monde meilleur…
Nous venons de voir quelles sont les strategies qu’une école peut faire
pour commencer. Selon l’auteur on ne peut pas rester en commencer
s’une école veut un niveau international bien développé.. comment
arriver a ce but ? en faisant, non seulement des programmes pour les
étudiantes, mais aussi pour les corps enseignant, les professeurs,
d’echanches de professeurs 2.. diplomes communs. Deux exemples :
L’ESSEC : Cette école a plain de partenaires autour le monde, et
programmes, qu’incluent des programmes d’étudiants ainsi comme de
professeurs.
Lautre exemple : HEC. Qui peut-être a profondi plus sur le thème de
partenariat elle 40, et pour montre un autre progrès, le diplôme
commun, cette école fait partie d’une communauté () c’est une
conformation seize pays qui font tous ensembles un diplôme, voilà le
nom diplôme commun, dans ce cas la le diplôme commun est un
mastère en 5 ans.
Le 2 paragraphe pour les étudiants, le 3 pour les professeurs, et
maintenant dans le 4 nous allons voir ce qui c’est passe avec les
universités. C’est un peu différent, parce que quand l’article a été publié
les universités avaient à peine commencé leur processus et leur
développement et vu qu’elles n’avaient pas une bonne éxperience, elle
commençaient à faire les stratégies le ministère de l’Éducation national
voulait toutes les universités en travaillant pour obtenir le
developpement des programmes d’echanges internationaux.
5
Jusqu’ici l’auteur nous a montré les avantages, les avances en ce qui
concerne les développementss…. Mais il y a une chose avec laquelle on
doit etre attentif, vu qu’il y a plain des écoles, et chaque école veut bien
sûre reçevoir plus des gens, simplement il y a une course sur la table…
et vous vous poserez la question… qu’est qu’on fait avec les
concurrent ? la réponse a 2 options. 1 on fait un accord d’exclusivité
avec un partenaire et ça laisse le concurrent hors compétition ..ou bien
lautre option qui on posées des proffesionnels europeens… un label de
qualité europeen qui s’appelle equis et si l’école a tous les paramètres
bien ça serait suffit
Finalement 6
Il y a une autre peur et c’est la suivante… si au niveau international on
travaille tous ensemble, probablement on va adopter déterminées
connaissances et on va les standariser. En concernant ce point le
directeru de l’ESCP-EAP dit que dû qu’on est en train de travailler avec
des humaines.. les managers, ce n’est pas possible uniformiser la
manière de gérér.. donc il dit qu’il est essentielle que chaque manager
envisage avec un air de difference cette problematqieu