TP Sig Said Ayad
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Table de matières
Généralités........................................................................... 4
I. Le géoréférencement ...................................................... 7
4. Conclusion .................................................................. 13
1. Conclusion .................................................................. 16
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LISTE DES FIGURES
Figure 1 : composantes d'un S.I.G ............................................................................................. 5
Figure 2 : définition du système de coordonnées .................................................................... 8
Figure 3 : Connexion avec Arc catalog ..................................................................................... 9
Figure 4 : Ouverture des images nécessaire pour le géoréférencement ................................... 9
Figure 5 : zoome sur le pexil de l’image non géoréférencier pour ajouter le point de contrôle
................................................................................................................................................. 10
Figure 6 : zoome sur le pixel de l’image géoréférencier pour ajouter le point de contrôle ... 11
Figure 7 : Les méthodes d'enregistrement ............................................................................... 11
Figure 8 : L’image enregistrée après le géoréférencement...................................................... 12
Figure 9 : les étapes de géoréférencement absolue.................................................................. 13
Figure 10 : les étapes de géoréférencement ............................................................................. 14
Figure 11 : création du dossier ................................................................................................ 15
Figure 12 : les étapes de création d'une dataset ...................................................................... 15
Figure 13 : création de différentes classes ............................................................................... 16
Figure 14 : Barre d'outils "EDITOR" ...................................................................................... 17
Figure 15 : Exemple de digitalisation des objets (Polygône, polyligne, point) ....................... 18
Figure 16 : possibilité de modifier le style de l’objet .............................................................. 19
Figure 17 : L'image aérienne de la Faculté des Sciences d'ELJADIDA digitalisée ................ 20
Figure 18 : Exemple des données attributaires des départements de la Faculté des Sciences . 21
Figure 19 : ouverture de la table attributaire ........................................................................... 21
Figure 20:tableau Excel pour la couche Amphi ....................................................................... 22
Figure 21 : tableau Excel pour la couche administration ........................................................ 22
Figure 22 : tableau Excel pour la couche autre entités ............................................................ 22
Figure 23 : tableau Excel pour la couche bibliothèque ........................................................... 23
Figure 24 : tableau Excel pour la couche bloc TD .................................................................... 23
Figure 25 : tableau Excel pour la couche buvettes et toilettes ................................................ 23
Figure 26 : tableau Excel pour la couche département ............................................................ 23
Figure 27 : tableau Excel pour la couche parking ................................................................... 23
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Figure 28 : tableau Excel pour la couche bloc recherche CED ............................................... 24
Figure 29 : glissement des tableaux Excel d’Arc catalog vers l’espace de travail .................. 24
Figure 30 : les étapes de jointure ............................................................................................. 25
Figure 31 : suite des tapes de jointure ..................................................................................... 26
Figure 32 : le résultat de jointure ............................................................................................. 26
Figure 33 : le produit finale du mini-projet sig ....................................................................... 28
Généralités
1) Définition de S.I.G
Un S.I.G est un système de gestion de base de données pour la saisie, le stockage, l’extraction,
l’interrogation, l’analyse et l’affichage de données localisées ;
un S.I.G est un ensemble de données repérées dans l’espace, structuré de façon à pouvoir en
extraire commodément des synthèses utiles à la décision.
En conséquence, un S.I.G n’est pas une simple accumulation de données graphiques sinon un
ensemble organisé de données graphiques et non graphiques constitué en vue d’un objectif.
2) Composantes d'un S.I.G
Un Système d’Information Géographique est constitué par :
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Figure 1 : composantes d'un S.I.G
Matériel:
Actuellement, le traitement des données à l’aide des logiciels ne peut se faire sans un produits par
un S.I.G, on utilise de plus en plus des systèmes client-serveur en intranet, extranet voire Internet.
Ces solutions de diffusion appelées web-mapping ou web-S.I.G utilisent un serveur
cartographique
Logiciels:
Les logiciels de S.I.G offrent les outils et les fonctions pour stocker, analyser et afficher toutes
les informations.
Données:
Les données sont certainement les composantes les plus importantes des S.I.G. Elles doivent
être obligatoirement géoréférencier.
Méthodes :
La mise en œuvre et l’exploitation d’un SIG ne peut s‘envisager sans le respect de certaines
règles et procédures propres à chaque organisation.
Utilisateurs :
Un Système d’Information Géographique (SIG) étant avant tout un outil, c’est son utilisation (et
donc, son ou ses utilisateurs) qui permet d’en exploiter la quintessence.
Les SIG s’adressent à une très grande communauté d’utilisateurs depuis ceux qui créent et
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maintiennent les systèmes, jusqu’aux personnes utilisant dans leur travail quotidien la dimension
géographique. Avec l’avènement des SIG sur Internet, la communauté des utilisateurs de
SIG s’agrandit de façon importante chaque jour et il est raisonnable de penser qu’à brève
échéance, nous serons tous à des niveaux différents des utilisateurs de SIG.
Dans notre mini-projet, qui a pour but la création dans base de données sur la faculté des
sciences, on a commencé tout d’abord par la géoréférencement de l’image de la faculté e puis la
création de base de données, la digitalisation des différentes entités, importe un fichier Excel
qui contient les données et la jointure des tableaux Excel et on a finit avec l’effectuation de
certains requêtes on utilisant « ADRESSE LOCATOR.
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I. Le géoréférencement
En résumé, il consiste à :
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Il consiste à rattacher à une image, des coordonnées X, Y Absolue déjà échantillonner par
GPS sur le terrain.
3. Méthodologie de travail
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deux images sur lesquelles on va travailler a savoir l’image ( FSJdida_Repere.jpg ) non
géoréférencier de Google earth pour sa haute résolution et l’image ( Gmap at zoom 19 )
géoréférencier .
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Etape 3 le Géoréférencement de l’image FSJdida_Repere.jpg
la méthode par calage comme leur nom l’indique, consiste à caler des points identiques
généralement quatre sur les deux images la première non géoréférencier de Google earth avec
celle de Gmap géoréférencier.
Figure 5 : zoome sur le pexil de l’image non géoréférencier pour ajouter le point
de contrôle
La barre de géoréférencement
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Figure 6 : zoome sur le pixel de l’image géoréférencier pour ajouter le point de
contrôle
Cette étape consiste de zoomer sur le même point choisi mais cette fois située dans l’image
Gmap puis utiliser l’outil pour enregistrer le point, la même méthode est utilisé pour les
trois points qui reste, pour terminer on enregistre l’image de deux façons différentes :
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Figure 8 : L’image enregistrée après le géoréférencement
Dans cette méthode comme la définition indique on va géoréférencier l’image a partir des
point connu c'est-à-dire leur coordonnées géographique XY sont connu.
FSjdida_Repere.jpg non géoréférencier et zoomer sur la premier point identifier sur l’image
Jusqu’à que l’image pixélise et utilisé sur le pixel correspondant puis cliquer droit sur input
X Y pour entrer les coordonnées correspondant (voir l’image au dessous), le même chose a faire
pour les autres trois points.
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Figure 9 : les étapes de géoréférencement absolue
4. Conclusion
Le géoréférencement est l'étape préalable à l'utilisation d'une image dans un SIG. Elle pourra
alors servir de référence pour se positionner et créer d'autres données ou la croiser avec d'autres
informations.
2. Méthodologie de travail
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Pour la création de notre base de données nous avons opté pour l’utilisation du
gestionnaire de source de données de la série ArcGIS, ArcCatalog. Ce dernier nous a
permis de créer les tables, et les fichiers de forme de notre géodatabase. Il existe trois
types de géodatabase d’ESRI. Nous devons choisir celui qui convient le mieux à notre
projet avant de le créer. Les Shapefile ou fichiers de forme sont les entités où sont
stockées les données géographiques. Les classes d’entités ayant des relations
topologiques doivent être regroupées dans un jeu de classe d’entités (un feature
dataset). Un jeu de classes d’entités peut aussi être utilisé pour regrouper des classes
d’entités appartenant à une même thématique. Toutes les classes d’entités appartenant
à un même jeu de classes d’entités sont stockées avec la même référence spatiale
(datum, projection, domaines,…). Pour créer une GDB sous ArcCatalog il faut tout
d’abord connecter le dossier où nous voulons la placer puis choisir le type de cette
base de données, dans notre cas c’est une File géodatabase, puis y créer des tables ou
des Shape File. Les figures suivantes illustrent toutes les étapes que nous avons
suivies pour la création de notre base de données (géodatabase) :
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Après la définition du système de référence pour créer la base de données, il faut
d’abord créer un dossier qui va connecter entre le logiciel et le bureau (étapes 1, 2, 3)
et le nommer faculté des sciences puis cliquer droit sur le dossier crée et choisir
nouveau personnel geodatabase
Aprés la création d’une base de données personnelle l’étape suivant c’est de créer
une dataset et la nommer fac sc (étapes 8, 9, 10,11)
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Figure 13 : création de différentes classes
Au niveau de cette dataset on va créer les différentes classes (étapes 12, 13, 14, 15,16)
qui vont avoir des caractéristiques spécifiques qui distique un classe (amphi, buvette,
département) de l’autre.
Remarque : dans cette étape on peut ajouter les colonnes nécessaires pour la base de
données.
Cette procédure généralise toutes les étapes de la création de la géodatabase pour tous
les fichiers de forme
1. Conclusion
Ses deux séances sont destinées de connaitre les méthodes de géoréférencement et les étapes
nécessaires pour créer une base de données dans le but d’utiliser ces connaissances dans le projet
SIG
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III. Digitalisation des données géographiques
Le saisir des données, nécessite de mettre le fichier en mode édition. Pour ce cela, ont
affiche la barre d’outils d’édition. Dans la barre d’outil d’édition « editor » sélectionner
ouvrir une session d’édition par « Editor > start editing ». Toutes les fonctions d’édition
sont contrôlées par la barre d’outils d’édition, qui contient une multitude de contrôles :
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« Edit Vertices » : assurant la modification des
objets crées, d’ajouter ou de supprimer des nouveaux
L’ensemble
nœuds.
d’objets crées.
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Figure 16 : possibilité de modifier le style de l’objet
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Figure 17 : L'image aérienne de la Faculté des Sciences d'ELJADIDA digitalisée
Le rôle du SIG dans cette science est de proposer une représentation plus ou
moins réaliste de l'information spatial des objets terrestres en se basant sur
des éléments géométriques telles que des points, des lignes, des polygones
(forme géométrique=format vectorielle). Les différentes entités de la faculté c.-
à-d. les objets terrestres, sont rattacher à des données attributaires sous forme de
tableaux où sont rangés des informations qualitatives telles que la nature de
l’objet (route, forêt...) ou quantitative (altitude, surface…) ou toute autre
information géographique.
Les données descriptives (qualitatives ou quantitatives) en relation avec
les différentes entités géographiques d’une carte active sont organisées selon un
mode relationnel. Ce mode consiste à placer les données dans des tableaux où
les différentes colonnes constituent un ensemble d’attributs et les lignes
correspondent aux entités géographiques de la carte.
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Lignes des enregistrements : à chaque objet de la couche correspond une ligne
d’attributs dans la table. Pour chaque bâtiment, il est donc facile de connaître ces
informations attributaires.
Pour ouvrir la table attributaire, un clic droit sur la couche pour faire apparaître
le menu contextuel puis choisir la commande « Open Attribue Table ».
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IV. Jointure spatiale entre différentes données
Jointure spatiale est considéré comme une fusion entre deux tables en une : les champs d'une
table externe sont ajoutés à la table attributaire (OBJECTIF) d’une couche à l'aide d'un champ de
contenu commun (pas forcément de même nom. C’est une jointure dynamique et ne modifie pas
les données sources). Elle permet de gagner du temps au lieu de remplir les informations dans la
table attributaire de façon manuelle.
Nous allons utiliser un fichier Excel avec un ID, que nous avons déjà saisi, contenant toutes les
informations (à propos de la Faculté des Sciences) dont nous avons besoin pour compléter notre
base de données.
Nb : les numéros de l’OBJECTIF sont les mêmes que celle de ID
Voici les tableaux Excel qu’on a utilisé pour compléter notre base de données :
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Figure 23 : tableau Excel pour la couche bibliothèque
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Figure 28 : tableau Excel pour la couche bloc recherche CED
Figure 29 : glissement des tableaux Excel d’Arc catalog vers l’espace de travail
Etape 1 : glissement des tableaux Excel à partir du ArcCatalog vers table of contentes qui est
à gauche
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Figure 30 : les étapes de jointure
Dans la table des matières, cliquez droit sur la couche que nous voulons joindre puis cliquez
sur joint (figure 28)
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Figure 31 : suite des tapes de jointure
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Conclusion générale
Nous avons pu réaliser un mini projet sur la faculté des sciences d’El- Jadida, on
suivant les étapes :
-La création d’une base de données, en réparti les différentes données selon des
couches qui facilite la consultation et le rattachement des données.
Pour aboutir en fin à la réalisation d’une carte digitalisée de la faculté des sciences
d’El Jadida (figure 33).
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Figure 33 : le produit final du mini-projet SIG
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