Texte Miljkovic Cervicalgies 2016

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CERVICALGIES ET NCB

Dr Dragan MILJKOVIC

Les cervicalgies sont un motif très fréquent de consultation.


Elles correspondent à des douleurs de nuque (une douleur antérieure n’est
pratiquement jamais d’origine vertébrale).

QUELQUES RAPPELS D’ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE

Le rachis cervical et dorsal est composé de :

- Vertèbres >> tumeur, fracture, tassement, infection sont possibles


- Disques >> entorse, hernie, inflammation, dégénérescence, infection
- Articulations >> inflammation, dégénérescence, « blocage » ou « dérangement »
- Ligaments >> fibrose, déchirure
- Tendons, Muscles >> tension, contracture, point gâchette, dysfonction
- Nerfs >> compression
- Artères >> compression, dissection
- Viscères

Innervation de ces différentes structures :

Ne sont pas innervés :


- l’os
- le cartilage
- le noyau et les fibres proximales de l’annulus des disques inter vertébraux

Est peu innervé : l’os sous chondral

Sont très innervés :


- la peau
- les muscles
- les ligaments
- la capsule
- les vaisseaux
- le périoste

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Mobilité des vertèbres :

- Rachis cervical supérieur : C 0 / C 1 : Flexion Extension (« oui »)


C 1 / C 2 : Rotation (« non »)
- Rachis cervical inférieur : C 2 à C7 : Flexion Extension, et Rotation surtout, moins
Inclinaison
- Rachis dorsal : D 1 à D 10 : Tous les mouvements sont possibles, mais limités par
la cage thoracique
D 11 et D 12 : ne sont pas « bloquées » par la cage thoracique
(fausses côtes), et donc sont beaucoup plus mobiles.

Le rachis cervical est donc une colonne rachidienne très mobile, comparée aux autres
colonnes.
Une souffrance quelconque va retentir facilement sur cette mobilité, et donc entrainer
une gêne fonctionnelle.

Quelques points de biomécanique sont intéressants à connaître :

- C 0 / C 1 : point faible, car souvent en compensation de lésion de chaine descendante


(système mandibulaire, occulo moteur, …)
- C 2: pivot de gravité, supporte la tête
- C 5: pivot de mobilité, car changement de courbure entre C 0 – C 4 (lordose) et C 6 – D
8 (cyphose) >> contrainte mécanique importante
- C 7: point faible, en contrainte permanente entre rachis cervical souple et rachis
dorsal rigide
- D 1: point fort, stable, sur lequel repose le rachis cervical
- D 4: pivot de gravité, supportant le rachis cervical
- D 12: point faible, en contrainte permanente entre
rachis dorsal et rachis lombaire
cyphose dorsale et lordose lombaire

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EXAMEN CLINIQUE

Il est essentiel, et suffit le plus souvent à orienter le diagnostic.


Les vertèbres cervicales sont de petite taille, mobiles, et peu faciles à examiner pour
certaines.

L’INTERROGATOIRE

C’est le temps essentiel de l’examen clinique.


Il permet d’écarter les cervicalgies symptomatiques (d’une affection grave) des
cervicalgies communes.

Nous allons nous intéresser à la douleur cervicale :

- son mode de survenue : brutalité, contexte


- son caractère plutôt mécanique ou inflammatoire
- ses facteurs d’aggravation et de soulagement
- sa topographie
- ses signes associés : céphalée, radiculalgie, signe d’atteinte générale (AEG, fièvre)
- son évolution : douleur permanente, ou évoluant par poussées, ...
- sa réponse aux traitements utilisés
Quels sont les éléments qui orientent vers une cervicalgie symptomatique :

- survenue au décours d’un traumatisme


- fièvre, sueurs >> infection (spondylodiscite)
- douleurs uniquement inflammatoires >> SPA, PR, voire Chondrocalcinose
- signes neurologiques >> tumeur intra rachidienne ou de la fosse postérieure
- antécédents de néoplasie ou immunodépression >> tumeur (métastases,
myélome)
- caractères de la douleur : apparition après 50 ans, douleur augmentée la nuit,
résistante aux antalgiques habituels, douleur inflammatoire

La présence d’un ou plusieurs de ces éléments nous fera systématiquement réaliser des
examens complémentaires (imagerie, biologie), pour affirmer le diagnostic en cause et
entreprendre un traitement (qui ne sera pas mésothérapique).

L’interrogatoire permet aussi d’éliminer

- les cervicalgies par dysfonction des voies de la douleur (dl neuropathique) :


douleur permanente, nocturne et diurne, diffuse, bilatérale, sans systématisation

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anatomique, non calmée par les antalgiques usuels, et augmentées par le
« stress », la dépression.

- les cervicalgies psychogènes, en rapport avec un problème psycho-social :


douleur décrite dans les suites d’un accident souvent professionnel, avec notion
de conflit avec l’employeur, la sécurité sociale ..., et inadéquation entre la
symptomatologie souvent riche (cervicalgies, céphalées, …) et des examens
complémentaires pauvres.

Enfin, dans le cas classique des cervicalgies communes, la douleur :


- sera d’allure mécanique, voire mixte en cas de poussée inflammatoire congestive
de cervicarthrose
- variera de façon cohérente en fonction des stimulations mécaniques et
thérapeutiques
- évoluera par crises ou sur un mode continu
- aura des irradiations compatibles avec nos connaissances anatomiques
- répond aux traitements usuels

L’EXAMEN PHYSIQUE

Après avoir grandement avancé dans notre démarche diagnostique par l’interrogatoire,
l’examen physique va nous permettre d’affiner la recherche étiologique de notre
cervicalgie.

ETUDE DES MOBILITES ACTIVES

En rotation, flexion extension et inclinaison


On recherche une diminution d’amplitude, une sensibilité ou douleur lors du
mouvement.

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PALPATION DE LA PEAU, A LA RECHERCHE DE CELLULOPATHIE

Appelées aussi Dermo Neuro Dystrophie, elles traduisent sur la peau une souffrance
rachidienne, selon une distribution neuro végétative (système nerveux sympathique).

La palpation doit se faire de façon très douce, comme si l’on touchait du papier cigarette
par exemple.

La peau a souvent un aspect épaissi, spongieux, et est sensible à la palpation, friction, ou


au palper rouler (« dermalgie »).

Topographie des cellulopathies :

- C 1 : queue du sourcil
- C 2 : angle de la mâchoire
- C 3 : creux sus claviculaire
- C 4 : trapèze
- C 5 : deltoïde
- C 6 : face externe avant bras
- C 7 : face postérieure bras
- C 8 : face interne avant bras
- D 1 : face interne bras
- D 4 : torse, au niveau des mamelons
- D 6 : abdomen, juste sous l’appendice xyphoïde (épigastre)
- D 10 : ombilic
- D 12 : aine
- L 2 : face antéro supérieure de cuisse

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- L 3 : face antéro inférieure de cuisse
- L 4 : face interne de jambe
- L 5 : face externe jambe
- S 1 : mollet

PALPATION DES MUSCLES

Du rachis cervical et dorsal, de la ceinture scapulaire


Cette palpation se fait généralement sur un patient assis, tête penchée en avant.
4 muscles sont particulièrement à explorer, car souvent « parlant » :
- sous occipitaux
- splénius
- angulaire de l’omoplate
- trapèze
Les muscles peuvent être douloureux, traduisant une souffrance du rachis cervical, mais
peuvent aussi être la cause de la cervicalgie lors des syndromes myofasciaux, avec
présence de point gâchette reproduisant la cervicalgie.

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PALPATION SEGMENTAIRE DU RACHIS CERVICAL

Le patient sera idéalement placé en décubitus.

Quelques repères anatomiques palpatoires :


- 1° épineuse palpée : C2
- épineuse cervicale basse la plus proéminente : C7
- angle de la mâchoire : C4

En décubitus ventral, palpation des points de la SID (Souffrance Intervertébrale


Dégénérative, du docteur Mrejen), statistiquement validés :

- 0 cm : ligne des épineuses, en regard des ligaments inter épineux >> ligamentite
- 1,5 cm : ligne des articulaires postérieures >> souffrance articulaire postérieure
- 3 et 5 cm : lignes musculo tendineuses >> souffrance musculaire.

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En décubitus ventral, palpation et mobilisation antérieure et latérale des épineuses, à la
recherche de restriction de mobilité, douloureuse, traduisant un DIMM (Dérangement
Intervertébral Mécanique Mineur).
Ceci est surtout valable pour la charnière cervico dorsale C7 / D1.

En décubitus dorsal, palpation et mobilisation des articulaires postérieures, à la


recherche de zones douloureuses et / ou de moindre mobilité.
Dans cette position, la musculature puissante du rachis cervical est détendue, facilitant
la palpation des structures cervicales.
C’est peut être la meilleure façon d’appréhender l’état des masses latérales.
Et si on y ajoute une mobilisation en inclinaison, cou en position neutre, puis en flexion
et en extension, nous arrivons à déterminer finement la localisation des lésions et des
souffrances vertébrales.

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PALPATION DES POINTS PLEXIQUES

Ils traduisent la projection des souffrances du rachis cervical par voie neurovégétative :
PP cervical supérieur : il est situé à l’intersection supérieure du SCM et du trapèze
>> Souffrance C0 >> C3
PP cervical inférieur : il est situé à l’intersection inférieure du SCM et du trapèze
>> Souffrance C4 >> D3

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En résumé, l’examen clinique consiste à palper et mobiliser les structures constitutives
du rachis cervical, de façon à déterminer celles qui sont à l’origine de la douleur.

Ainsi, l’interrogatoire nous aura rassuré sur la nature commune de la cervicalgie, et


l’examen physique nous aura permis d’en trouver l’étiologie et d’en comprendre la
physiopathologie pour adapter plus précisément le traitement.

ORIENTATION DIAGNOSTIQUE DEVANT UNE


CERVICALGIE SANS NEVRALGIE
(en écartant les cervicalgies symptomatiques)

LES CERVICALGIES COMMUNES DEGENERATIVES

Les lésions dégénératives sont très fréquentes sur le rachis cervical.


Elles peuvent apparaître dès 30 ans, sont habituelles après 40 ans (plus de 50% de la
population), et sont constantes après 60 ans.

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Il n’y a aucune correspondance clinico radiologique, donc se méfier des interprétations
hâtives de lésions radiologiques.

Plusieurs tableaux cliniques de lésions dégénératives :

LA CERVICALGIE ARTHROSIQUE

C’est la cervicalgie « banale » de cervicarthrose, avec

- Douleur
o d’intensité variable,
o évoluant souvent par poussée,
o mécanique, sans réveil nocturne (sachant que parfois un décubitus
prolongé peut faire mal),
o aggravée par la fatigue, les facteurs météorologiques,
o calmée par le repos.

- Présence des signes radiologiques habituels de l’arthrose :


o pincement discal
o unco discarthrose, prédominant sur le segment cervical inférieur,
o arthrose inter apophysaire postérieure, prédominant sur le segment
cervical moyen

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COMPLICATIONS DE LA CERVICARTHROSE:

la Névralgie Cervico Brachiale, que nous verrons plus loin

la Myélopathie Cervicarthrosique :
la moelle est comprimée par des ostéophytes discaux,
tableau clinique cervico médullaire (quadri parésie incomplète)

l’Insuffisance Vertébro Basilaire :


L’artère vertébrale est comprimée dans le canal vertébral par des ostéophytes,
tableau clinique cervico céphalique avec céphalées, vertiges, acouphènes,
sensation d’instabilité, …

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LA CERVICALGIE COMMUNE MECANIQUE

Cliniquement, il s’agit de sujet plus jeune, ayant une douleur cervicale plus ou moins
aigue.
Différentes étiologies sont possibles :

Discopathie simple

- beaucoup moins symptomatique qu’au niveau lombaire, car le rachis cervical


« porte » moins
- physiopathologie : inflammation discale subaigüe pour réparer une lésion
discale, elle même pouvant être due à une mobilité anormale, une pression locale
excessive,…
- clinique : il s’agit plus d’une sensibilité que d’une vraie douleur, mal localisée et
sans irradiation

Hernie discale

- cause : pas de cause évidente, parfois geste traumatique


- physiopathologie : le hernie comprime le ligament vertébral postérieur
(richement innervé), plus ou moins une racine
- clinique : cervicalgie de début brutal, , éventuellement associée à une radiculalgie
(NCB, voire même sciatique)
- souvent, diminution d’amplitude de la mobilité du rachis cervical, par
contracture musculaire associée
- localisation : la hernie peut être :
. foraminale : elle peut comprimer une racine dans le trou de conjugaison
. latérale : elle peut comprimer une racine dans le canal rachidien
. médiane : elle peut comprimer plusieurs racines ou tout le fourreau dural
(queue de
cheval) dans le canal rachidien

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Dérangement Intervertébral Mécanique Mineur

- physiopathologie : il y a un conflit dans l’articulation qui empêche celle ci de


fonctionner correctement du point de vue mécanique (frange synoviale dans une
articulaire postérieure, subluxation des surfaces articulaires, migration intra
discale…)
- clinique : début aigu, restriction de mobilité aux tests
- le traitement électif est ici manipulatif

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Instabilité vertébrale

- physiopathologie : hyper mobilité d’un segment vertébral, dans les suites d’une
entorse cervicale
- clinique : douleur diffuse, plutôt sourde, dans les suites d’un traumatisme
- le traitement ici est basé sur la rééducation (phase isométrique, puis dynamique,
puis proprioceptive)
Syndrome myofascial

- présence d’un point gâchette reproduisant la cervicalgie


- essentiellement Trapèze et Angulaire de l’Omoplate

SMF du Trapèze

SMF de l’Angulaire de l’Omoplate

Bien évidemment, il y a des formes mixtes : cervicarthrose associées à des DIMM, le plus
souvent.
D’où l’intérêt d’un traitement manipulatif souvent associé.

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ORIENTATION DIAGNOSTIQUE DEVANT UNE
NEVRALGIE CERVICO BRACHIALE
Les patients présentent une névralgie du membre supérieur, selon un territoire
particulier. Peuvent s’y associer des signes neurologiques : hypoesthésie, diminution
d’un réflexe ostéo tendineux, voire déficit moteur

Cette névralgie est reproduite ou augmentée par la mobilisation du rachis cervical (A), et
calmée par l’élévation du membre supérieur homolatéral dans certains cas (NCB C8) (B)

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A B

2 causes sont essentiellement retrouvées :

NCB sur cervicarthrose

- physiopathologie :
o conflit entre la racine et le foramen (ostéophytes unco vertébraux
surtout), avec frottement répétés, et finalement œdème et inflammation
de cette racine,
o ou plus simplement poussée inflammatoire d’arthrose autour de la racine

- on trouve souvent un facteur déclenchant à type de mouvements répétitifs


inhabituels bras en élévation, et surtout cou en extension

- sujets plutôt vers 50 ans, souffrant d’arthrose cervicale précédemment

- clinique : douleur à début plutôt progressif, le trajet radiculaire est incomplet le


plus souvent.

NCB sur Hernie Discale

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- physiopathologie : compression de la racine par la hernie, associée à une
« bouillie inflammatoire »

- sujets plutôt jeunes

- parfois, on retrouve un facteur déclenchant traumatique

- clinique : douleur intense, à début brutal, avec raideur du cou, « douleur de


l’omoplate », « contracture du trapèze »

- le trajet de la radiculalgie est typique et complet

Parfois, NCB sur DIMM

- sujet indemne d'arthrose

- physiopathologie : douleur projetée à partir de la souffrance articulaire, beaucoup


plus que douleur de compression

- facteur déclenchant : accident ou faux mouvement

- clinique : les signes sont moins marqués que dans la hernie discale
l'examen segmentaire retrouve une douleur sur l’étage vertébral
correspondant

- les examens (TDM, IRM) montrent l'absence de lésion discale, ce qui permet un

- traitement manipulatif en « toute sécurité ».


LA NEVRALGIE D’ARNOLD

Anatomie Physiologie

Le nerf d’Arnold, ou nerf grand occipital, correspond à la branche postérieure de C 2,


2° racine cervicale.
Il nait au contact de l’articulation C 1 / C 2.
Il est responsable de l’innervation motrice et sensitive du cuir chevelu.

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Clinique

Douleur allant de la nuque jusqu’au crane, parfois même jusqu’à l’orbite.


Intensité souvent importante
Evolution par crises (brulure, élancement,..), avec plus ou moins fond douloureux.
Aggravation parfois par mouvement de la tête et du cou.
Signe du peigne.
La palpation de la zone d’émergence du nerf (naissance des cheveux) peut reproduire la
douleur.

Physiopathologie

Irritation du nerf d’Arnold par :


- muscle du plan postérieur du cou
- DIMM
- Inflammation rhumatismale
Parfois associée à un syndrome myofascial
LE TRAITEMENT MESOTHERAPIQUE
Les règles habituelles :

- Asepsie rigoureuse
- Matériel stérile à usage unique
- Profondeur d’injection :
o Points retrouvés douloureux à palpation : IDP
o Points plexiques douloureux à palpation : DHD
o Points gâchette: DHD

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o Cellulopathie, irradiations radiculaires : IDS ou IED
- Quantité injectée: 0,1 cc par point en IDP,
 voire jusqu’à 0,3 cc par point en DHD
- Mélange de 3 produits
- Fréquence des séances :
o J1, J8, J15 + - J30 dans les pathologies aigues et subaigües
o J1, J15, J30, J60 dans les pathologies chroniques

Nous serons efficaces en mésothérapie de façon remarquable dans certaines indications


(3 produits parmi ceux cités) :

- Arthrose :
- fond douloureux chronique : Calcitonine, Silicium, Polyvitamines, Vitamine C,
Procaïne (par exemple Calci 1 cc, Conj 2 cc, Cernevit 1 fl)

- poussée inflammatoire : Lidocaïne, Piroxicam, Calcitonine, Etamsylate


(par exemple Calci 1 cc, Piroxicam 1 cc, Etamsylate 2 cc)

- sur le trajet d’une NCB associée : Procaïne, Magnésium, Thiocolchicoside, Polyvit.

- Cervicalgie aigue musculaire : Lidocaïne (1 cc), Magnésium (2 cc), et Thiocolchicoside


(2 cc)

- Syndrome myofasciaux : Lidocaïne, Procaïne, Piroxicam, Thiocolchicoside

- Névralgie d’Arnold : Lidocaïne, Piroxicam, Calcitonine, Etamsylate


(par exemple Calci 1 cc, Piro 1 cc, Etams 2 cc, ou Lido 2 cc, Piro 1 cc Calci 1 cc)

- Contexte psychologique : Magnésium 3 cc, Amitriptyline 1 cc, en technique


épidermique

Nous serons moins efficace dans d’autres indications :

- NCB par Hernie Discale

- DIMM : la mésothérapie pourra avantageusement encadrer la séance d’ostéopathie,


afin de faciliter les manipulations en traitant les phénomènes inflammatoires et tensions
musculaires « parasites »

Nous ne serons bien entendu pas efficaces sur les cervicalgies symptomatiques.

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