CCTPC
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DOSSIER DE CONSULTATION
DES ENTREPRISES
Section : Perpignan Nord / Perpignan Sud
Elargissement des Ouvrages d'Art
Mars 2009 DC E 0 1 2 4 8 0 OA - S T C 2 0 2 0 0 8 B
Echelle : A4
SOMMAIRE
ARTICLE C1 - QUALITE.....................................................................................................4
C1.1 PRINCIPES GENERAUX .................................................................................................4
C1.2 CONSISTANCE DU PMQ : PARTIE RELATIVE AUX DEGAGEMENTS DES EMPRISES .............4
C1.3 POINTS CRITIQUES ET POINTS D'ARRET .........................................................................4
ARTICLE C2 - ENVIRONNEMENT .....................................................................................6
ARTICLE C1 - QUALITE
Les dispositions générales appliquées en matière de qualité sont décrites dans l'article 8 du
livret A du CCTP.
Les délais de préavis pour les points d'arrêt sont valables pour le contrôle externe et pour le
Maître d'Oeuvre.
Points critiques Points d'arrêt Points d'arrêt Délais de
TACHES levés par le levés par le levés par le préavis en jours
contrôle interne contrôle externe Maître d'Oeuvre ouvrés
- Documents d'exécution : voir Article 10
. visa du Maître d'Oeuvre X X X du livret A
- Polygonale secondaire X X X 5j
- Installation de chantier :
. agrément plan d'équipement de
sécurité et de signalisation X X X 5j
temporaire des accès chantier
- Délimitation des zones par types de
travaux X X X 5j
- Clôtures
. Dépose, Pose X X
. Implantation X X X 5j
. Contrôle des fils X X
- Démolition de chaussées : contrôle
du recompactage si scarification X
ARTICLE C2 - ENVIRONNEMENT
Les dispositions adoptées vis à vis du respect de l'environnement devront être conformes
aux recommandations de la Notice de Respect de l'Environnement ainsi qu'aux
spécifications détaillées dans l'article 9 du livret A du CCTP.
Le descriptif des pièces relatives aux ouvrages exécutés est fourni dans l'article 12 du
livret A du CCTP.
Les travaux de dégagement d'emprise sont prescrits par le Maître d'Oeuvre, généralement
sur proposition de l'Entrepreneur qui doit signaler et faire constater toutes les tâches de
dégagement d'emprises nécessaires aux travaux objets du présent dossier.
Les vues en plan des travaux (pièce A4) délimitent les emprises du chantier. Hormis les
zones identifiées sur ces plans, les emprises travaux auront fait l'objet d'un déboisage (sans
désouchage).
Les matériaux mis en décharge ou revalorisés seront soumis aux analyses requises par la
réglementation et par l'organisme les recevant.
L'Entreprise est réputée avoir visité les lieux avec la plus grande attention et pris l'exacte
mesure des travaux à réaliser et des contraintes imposées par l'environnement. Elle ne
pourra prétendre à aucun supplément, sous prétexte d'une méconnaissance quelconque de
l'état des lieux, des abords, du voisinage, des clôtures, accès, ouvrages, réseaux publics et
autres à proximité des travaux.
L'Entrepreneur soumettra au Maître d'Oeuvre et, selon le cas, au Conseil Général, aux
services techniques des communes ou aux propriétaires concernés un état des panneaux,
glissières, candélabres, postes d'appel d'urgence, abri bus, portails et clôtures avant
démontage.
ARTICLE C7 - CLOTURES
C7.1 Généralités
Pour limiter les risques d'accidents et de déprédations diverses, il est fait obligation à
l'entreprise de clôturer de façon rigide les installations de chantier et la totalité des emprises
travaux, et d'en assurer l'entretien et le gardiennage en permanence.
Des clôtures complémentaires seront également mises en place à des emplacements définis
par le Maître d'Oeuvre ou par la NRE, en particulier au droit des emprunts, des zones à
protéger au sens de l'environnement, de certains riverains…
Les zones qui n'auront pas été mises à dispositions de l'Entrepreneur conformément à
l'article 3 de l'acte d'engagement seront clôturées.
Les spécifications relatives aux clôtures autoroutières sont précisées dans le livret H du
présent CCTP
Les clôtures chantier seront grillagées et de même hauteur que les clôtures existantes. Le
grillage sera posé sur des piquets de bois (acacia, chêne ou châtaignier), espacés de deux
mètres (2,00 m) d'axe en axe, et reprises en tension tous les soixante mètres (60 m) par
piquet d'arrêt.
Le fil de ronces sera en acier galvanisé du type 16.2.10B soit deux (2) picots espacés de dix
(10) centimètres, jauge de 16, classe B : Norme AFNOR A.91.131. Ces fils seront fixés aux
piquets par l'intermédiaire de "clous cavaliers" (crampillons de 40 mm) en acier d'au moins
de même qualité. Les fils seront mis en œuvre côté riverain et devront pouvoir coulisser dans
les crampillons.
Le grillage et le fil de ronces seront fixés aux piquets sur la génératrice extérieure de
l'emprise. Les piquets intermédiaires de deux mètres (2,00 m) de hauteur (1,50 m hors sol et
0,50 m de fiche), auront un diamètre d'environ 8 à 12 cm.
Les piquets d'arrêt et d'angle de deux mètres quarante (2,40 m) de hauteur (1,60 m hors sol
et 0,80 m de fiche) auront un diamètre d'environ 20 cm. Ils seront renforcés par des jambes
de force de mêmes caractéristiques (section et nature) que les piquets intermédiaires.
Les passages amovibles auront une ouverture de quatre mètres (4,00 m) et une hauteur de
1,40 m.
Des clôturages spécifiques nécessiteront la pose d’une clôture type URSUS ou similaire sur
laquelle sera fixé un rang de fils de ronce. Le matériel type URSUS ou similaire sera
présenté pour validation préalable à la commande et à la pose auprès du maître d’ouvre.
Toutes les clôtures subsistantes se trouvant à l'intérieur de l'emprise des travaux seront
déposées au démarrage du chantier.
Avant toute dépose ou ouverture de clôtures existantes subsistant dans l'emprise des
travaux, l'Entrepreneur devra s'assurer que la continuité des clôtures a été rétablie.
L'ensemble des matériaux constitué par la dépose de ces clôtures sera évacué sur des
décharges réglementaires situées à l'extérieur du chantier, ou en tout autre lieu proposé par
l'Entrepreneur et agréé par le Maître d'Oeuvre.
Les clôtures qui auront pu être enlevées par les anciens propriétaires, après accord du
Maître d'Oeuvre, ne seront pas prises en compte dans la rémunération de dépose de
clôtures à l'Entrepreneur.
Les clôtures seront implantées, conformément aux indications transmises à l'Entreprise par
le Maître d'Oeuvre.
Le fonçage des piquets sera exécuté soit à la masse, soit par tout autre moyen laissé à
l'initiative de l'Entrepreneur, mais soumis préalablement à l'agrément du Maître d'Oeuvre.
Le défaut de verticalité des piquets ne devra pas excéder cinq centimètres (5 cm) par mètre.
Le défaut d'alignement ne devra pas excéder dix centimètres (10 cm) par rapport à
l'alignement théorique, et la clôture ne devra en aucun cas dépasser l'extérieur des
emprises.
La difficulté des travaux due à la variation de ces caractéristiques ne donnera lieu à aucune
plus-value.
Lors de la pose des clôtures, l'Entrepreneur procédera au raccordement de celles-ci avec les
clôtures existantes (clôtures mises en place par les riverains, par les gestionnaires de voies
publiques, clôtures posées dans le cadre d’autres marchés, etc.).
A l'intersection des deux clôtures, sera mis en place un piquet d'arrêt de deux mètres
quarante (2,40 m) de hauteur, maintenu par des jambes de force orientées suivant l'angle de
raccordement.
C7.4 Contrôle
Le contrôle de la qualité de la couche de zinc sera réalisé à l'aide d'un appareil de type
"KOELHER-BAKAERT" ou équivalent.
Dix (10) prélèvements seront fait par lot de 100 bobines. Ces prélèvements, objet du
contrôle, seront effectués au titre du contrôle externe qui procédera aux mesures
nécessaires.
Le lot sera refusé si la moyenne des mesures fait apparaître une charge de zinc inférieur à
celle définie par la norme NFA 91.131. Les fournitures correspondantes seront évacuées du
chantier aux frais de l'Entrepreneur.
Les frais de manutentions diverses entraînés par ces essais resteront à la charge de
l'Entrepreneur.
C7.5 Entretien
Pendant toute la durée du chantier, l'Entrepreneur devra, à ses frais, procéder par sondage
et de manière périodique à la vérification de l'état des clôtures, raccordements, portes
d'accès ou piquets isolés, et exécuter sans délai les travaux de réparation qui s'avéreraient
nécessaires.
Les clôtures posées par l'Entreprise au début des travaux devenues inutiles à la fin du
marché pourront être déposées sur instruction du Maître d'Oeuvre. Cette dépose est incluse
dans les prix rémunérant la mise en place des clôtures.
Avant tout commencement des travaux, l'Entrepreneur reconnaîtra avec le Maître d'Oeuvre
les surfaces à déboiser et balisera leurs limites. Les arbres et taillis à conserver seront
soigneusement repérés.
Il est rappelé que tout brûlage est interdit (voir CCAP article 8.4).
Les broussailles, taillis, vergers, haies et arbres dont le diamètre du tronc à 1 m du sol est
inférieur ou égal à 0,20 m seront arrachés, dessouchés, débités puis broyés au fur et à
mesure de l'avancement des travaux.
Les arbres dont le diamètre du tronc à 1 m du sol est supérieur à 0,20 m dans la zone des
travaux seront abattus, débités et dessouchés. Les arbres coupés préalablement au
démarrage des travaux seront dessouchés (et débités si les fûts sont encore sur site).
Les produits restent la propriété du Maître d'Ouvrage. Le bois débité sur place sera évacué
en centre de revalorisation ou vers une zone de stockage sur instruction du Maître d'Oeuvre.
Toutes les souches situées dans l'emprise des travaux doivent être arrachées et broyées.
Les résidus de broyage seront stockés puis répandus, uniformément en une couche
n’excédant pas 10 cm, sur les zones de dépôt et modelés destinées à être revégétalisées ;
ces résidus sont ensuite mêlés à la terre végétale par un malaxage de l'épaisseur de terre
végétale suivi d’un chenillage.
Dans le cas où les souches seraient mélangées avec des matériaux de déblais (réalisés par
le TOHRCC ou des marchés extérieurs), un tri préalable pour isoler les souches est à la
charge de l'Entrepreneur et est réputé inclus dans les prix rémunérant le dégagement
d'emprise.
Dans le cas où d'anciennes souches isolées seraient mises à jour par les travaux,
l'Entrepreneur procédera également à leur extraction et leur broyage.
Tous les vides résultant des opérations décrites ci-dessus seront comblés jusqu'au niveau
du terrain naturel décapé par :
Au droit des raccordements avec le réseau routier conservé, les chaussées à démolir
doivent être préalablement découpées avec précaution, sur 0,50 m d'épaisseur moyenne par
sciage pour la couche de roulement, par outils pneumatiques ou hydrauliques pour les
couches de base, de fondation, etc. Un épaulement de la chaussée existante sera
immédiatement réalisé en remplacement de la chaussée démolie au moyen de GNT 0/31,5
compactée sur au moins 1 mètre de large.
Tout procédé de démolition conduisant à des épaufrements des bords de chaussée ou à des
désordres dans les différentes couches de chaussée, est prohibé. En cas de désordres
constatés, l'Entrepreneur aura à sa charge la réfection des structures pour remise en
conformité avec l'état préexistant.
Dans le cas de la scarification, les matériaux seront recompactés pour obtenir la qualité
remblai ou couche de forme tel que précisé dans le CCTP livret D, selon que l'arase
supérieur de la chaussée existante est au niveau du remblai ou de la couche de forme.
Le contrôle du compactage sera réalisé avec des essais de plaque selon les mêmes
principes que ceux définis au CCTP livret D pour le contrôle du compactage des remblais et
couche de forme.
L'ensemble de ces prestations est réputé inclus dans les prix rémunérant la démolition de
chaussée.
- démolition de construction de toute nature située dans l'emprise des travaux, telle que
maçonnerie, béton armé ou non, îlots directionnels, etc. celle-ci sera exécutée jusqu'à
0,50 m sous le niveau de la plate-forme des terrassements.
- démolition des réseaux abandonnés ; celle-ci sera effectuée après accord du Maître
d'Oeuvre et conformément aux dispositions du Règlement Sanitaire Départemental relatif
au comblement et à l'obstruction au ciment des branchements d'assainissement existants.
C10.2.1 Réglementation
Les démolitions seront réalisées conformément aux prescriptions des textes en vigueur au
moment du début des travaux et notamment :
- le décret n° 65-48 du 8 janvier 1965 portant sur le règlement d'administration publique
pour l'exécution des dispositions du livre II du Code du Travail, Titre II Hygiène et Sécurité
des travailleurs,
- la circulaire du 29 mars 1965 relative à l'application du décret n° 65-48,
- les recommandations du 11 juin 1980 de l'OPPBTP concernant les travaux de démolition
de bâtiments et les mesures de prévention et d'hygiène,
- la loi n° 93-1418 du 31 décembre 1993 et ses décrets d'application n° 94-1139 du
26 décembre 1994 et n° 95-543 du 04 mai 1995 concernant l'hygiène et la sécurité sur les
chantiers du BTP,
- textes relatifs aux travaux de démolition des constructions comportant des produits
amiantés et en particulier :
Ö Circulaire DPPR/5DPD/BGTD/LT n°970321 du 12 mars 1997 : Elimination des déchets
contenant de l'amiante (Modification et rappel des annexes des circulaires du 19 juillet
1996 et du 9 janvier 1997).
Ö Circulaire du 19 juillet 1996 (Environnement) relative à l'élimination des déchets
générés lors des travaux relatifs aux flocages et calorifugeages contenant de l'amiante
dans le bâtiment.
- Préfecture de Police,
- services techniques des communes traversées par le projet,
- CRAM,
- Inspection du travail,
- Pompiers.
C10.2.2 Moyens
L'emploi d'explosif est strictement interdit et les démolitions ne peuvent être réalisées que
par des moyens manuels ou, lorsqu'il n'y a pas de risques vis à vis des tiers, mécaniquement
à l'aide d'engins mécaniques (pelles, scies, carotteuses, pinces, etc.).
Tous les gravats, déblais et autres produits de ces démolitions, de quelque nature que ce
soit, doivent être triés et évacués en dépôt provisoire ou définitif ou en décharge, selon
prescriptions du Maître d'Oeuvre au fur et à mesure de l'avancement des travaux, ou
éventuellement stockés en vue de leur réutilisation, à la demande du Maître d'Oeuvre (cas
des superstructures des ouvrages d'art, etc...). L'Entreprise doit s'acquitter de tous les frais,
taxes et redevances nécessaires. Il n'est pas autorisé de dépôt provisoire des produits bruts
de démolition de constructions sur le site : ceux-ci doivent être triés immédiatement et
évacués au fur et à mesure.
Les vides résultant des démolitions seront comblés jusqu'au niveau du terrain naturel
décapé par :
Tous les bâtiments avoisinants non démolis sont occupés par des tiers qui en conservent la
jouissance complète et qui ne doivent, de ce fait, pas subir de nuisances supérieures à
celles que les lois considèrent comme normales, en particulier pour le bruit et la propagation
de la poussière. Pour ce dernier point, l'Entreprise sera tenue de procéder à un arrosage des
gravats.
L'accès pour les voitures particulières à tous les immeubles occupés doit être maintenu
pendant la durée des travaux, et leur largeur ne doit pas être inférieure à 3,00 m.
L'Entrepreneur prendra toutes les dispositions nécessaires au respect des règles de sécurité
liées à ces opérations de démolition (ainsi qu'à la protection contre les émissions de
poussières pouvant nuire à l'environnement ou à la circulation).
C10.2.4 Assainissement
L'évacuation des eaux pluviales ou usées incombe à l'Entreprise pendant toute la durée des
travaux. Cet assainissement doit s'effectuer dans les conditions réglementaires. Les
dispositions techniques doivent être soumises à l'agrément des services techniques des
communes concernées et du Conseil Général. L'Entreprise ne pourra déverser dans les
ouvrages publics que les eaux débarrassées de tous dépôts solides. L'Entreprise ne pourra
arguer de l'absence du réseau d'assainissement desservant le ou les terrains pour se
dérober à ses obligations.
L'Entreprise doit s'assurer avant dépose des réseaux d'alimentation des ouvrages à démolir
(EDF, régies électriques, GDF, eau...) que celles-ci ne sont pas en charge ou qu'elles ne
sont pas à conserver ou à protéger.
Il est précisé que si un réseau n'était pas identifiable de façon certaine d'après les éléments
fournis par les gestionnaires de réseaux en début de chantier et par le piquetage spécial,
l'Entrepreneur convoquera les gestionnaires en présence du Maître d'Oeuvre pour identifier
le réseau sans pour autant pouvoir réclamer pour un éventuel arrêt du chantier.
Toutes les précautions doivent être prises par l'Entreprise pour la protection et le maintien
des canalisations, réseaux et caniveaux techniques ou autres existants en limite de
propriété.
Aucune plus-value n'est accordée pour toutes les sujétions en découlant (étaiement, reprise
en sous-œuvre, remise en état, etc.).
A ce titre, l'état des panneaux directionnels et des candélabres avant dépose fera l'objet d'un
constat contradictoire avec le Maître d'œuvre (point d'arrêt).
Les équipements seront nettoyés puis stockés soigneusement en un endroit sec spécifié par
le Maître d'Oeuvre en vue de leur réutilisation future. En particulier, les panneaux seront
démontés préalablement à la dépose des supports et les faces vues des panneaux de
signalisation seront protégées de manière à éviter toute détérioration.
Par ailleurs, et en vue de les différencier des panneaux fournis par l'Entreprise, les panneaux
déposés seront systématiquement marqués côté envers de l'estampille "ASF", d'une hauteur
d'au moins 10 cm, peinte en rouge au moyen d'un pochoir. Cette opération est à la charge
de l'Entreprise et rémunérée dans les prix rémunérant la dépose.
Par ailleurs, l'Entrepreneur devra prendre toutes les précautions liées aux travaux de dépose
réalisés sous circulation.
L'emprise des travaux sera nettoyée afin d'éliminer tout dépôt incontrôlé de matériaux de
toute nature (ferrailles, carcasses diverses, engins de guerre non explosés, immondices, tas
de terre et de matériaux divers, blocs rocheux, murets en pierres sèches,...). Les produits de
nettoyage seront chargés et évacués en décharge contrôlée, ou éventuellement stockés en
vue de leur réutilisation à la demande du Maître d'Oeuvre (cas de blocs rocheux, par
exemple). Le nettoyage des emprises est inclus dans les prix du marché et notamment dans
les prix rémunérant le débroussaillage, les installations de chantier, les démolitions diverses.
Le phasage des travaux du présent marché implique un étalement dans le temps des
travaux de dégagement d'emprises. Les sujétions liées à ces contraintes sont incluses dans
les prix du marché.
A ……………………………….., le……………………
1
Mention manuscrite "lu et approuvé" à porter par chacun des Entrepreneurs, et signature des Entrepreneurs