Livre Pour Apprendre À Mieux Écrire
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Marketer
L'auteur puise dans son expérience de l’écriture et de
l’enseignement afin de livrer une série de conseils pratiques
et faciles à appliquer pour :
• identifier son public cible et ses objectifs de
son écriture
communication ;
• structurer sa communication ;
• rédiger un texte clair et agréable à lire ;
• trouver le ton juste, adapté au destinataire et au support
(e-mail, communiqué de presse, site Internet ou blog,
réseaux sociaux).
Un guide pratique destiné aux étudiants et professionnels en Rédiger vite et bien pour toucher son public
communication, relations publiques et métiers du web, ainsi
qu’à toute personne amenée à communiquer par écrit dans
le cadre de ses fonctions.
MARECR
ISBN 978-2-8011-1691-3
issn 1374-0881 www.deboeck.com
Marketer
son écriture
Rédiger vite et bien pour toucher son public
on
on
Première partie
Comment écrire .......................................... 17
I. Planifier............................................................................................................. 19
II. Rédiger............................................................................................................. 59
III. Raffiner ............................................................................................................. 71
Deuxième partie
Les différents médias .................................... 97
Troisième partie
Trucs et astuces .......................................... 139
COMMENT ÉCRIRE
PLANIFIER
1. Fixer le contexte
La première étape de la démarche de planification consiste à com-
prendre le contexte dans lequel votre texte verra le jour.
En 1948, le sociologue américain Harold D. Lasswell1 définit le
contexte de la communication dans une formule restée célèbre sous le
nom de « 5 W » : « Who says What to Whom in What Channel with
What Effect (qui dit quoi à qui par quel canal et avec quel effet) ». Nous
nous en inspirerons sous une forme légèrement adaptée, la méthode
des six questions, que l’écrivain anglais Rudyard Kipling appelle dans
un poème2 « les six honnêtes serviteurs » : qui, quoi, quand,
comment, où et pourquoi.
À l’origine, la méthode des six questions sert à évaluer la qualité
d’un article de presse : s’il est correctement rédigé, l’article doit per-
mettre au lecteur de répondre à ces six questions. Par exemple, si le
journaliste rapporte un meurtre, il parlera de la victime, du meurtrier
présumé, du lieu et de la date du crime, et des raisons qui ont poussé
son auteur à commettre cet acte.
Mais cette méthode de questionnement peut aisément s’adapter
au travail de contextualisation de votre écrit :
– qui : votre public cible (le « whom » de Lasswell) ;
– quoi : le sujet de votre texte (le « what » de Lasswell) ;
– pourquoi : les enjeux de la communication (le « what effect »
de Lasswell) ;
– où : votre situation en tant que producteur du message (le
« who » de Lasswell) ;
– comment : la forme et le support de publication (le « what
channel » de Lasswell) ;
– quand : le contexte temporel et l’éventuel historique de
communication.
1.1. Qui ?
Pour qui écrivez-vous ?
Dans un contexte professionnel, écrire implique toujours au moins
un objectif : être lu.
Si le lecteur auquel vous vous adressez abandonne votre texte avant
la fin, ou pire encore, n’y accorde même pas suffisamment d’intérêt
pour en entamer la lecture, vous avez perdu. Vous n’aurez pas pu com-
muniquer. Heureusement, pour séduire votre lecteur et susciter son ad-
hésion, vous disposez d’une arme secrète : lui faire comprendre que
vous lui ressemblez et qu’il vous ressemble. Cette technique est d’ailleurs
enseignée dans les séminaires de vente : depuis de nombreuses années,
les formateurs conseillent aux vendeurs d’adopter les mêmes gestes,
postures et expressions que leur interlocuteur. Cette attitude leur per-
met de gagner plus rapidement sa confiance et augmente les chances
de conclure la vente. Transposée au monde de l’écriture, cette approche
consiste à utiliser un langage, des tournures de phrases et des références
culturelles communes à vos lecteurs. Pour cela, vous devez apprendre
à les connaître. La première étape de votre réflexion consistera donc à
vous pencher sur votre public cible afin de définir et d’identifier ses ca-
ractéristiques :
– Catégorie socioprofessionnelle : vous adressez-vous à une
profession particulière ? À un groupe social ou géographique
particulier ? Quel est le niveau d’éducation de vos lecteurs ?
– Centres d’intérêt : quels sont les hobbies, les passions, les
intérêts communs de votre public cible ? Connaître ces élé-
ments vous permettra de sélectionner des métaphores ou des
exemples qui leur « parleront » plus et les rendront plus récep-
tifs à votre message.
– Connaissance du sujet : vos lecteurs sont-ils familiers avec le
sujet abordé ? À quel point ? Connaissent-ils la terminologie
propre au domaine dont vous allez traiter ? Si vous écrivez un
article dans un magazine de brasseurs amateurs, vous pourrez
utiliser le terme « drêche3 » sans plus de précisions. Par contre,
3 La drêche est le résidu d’orge qui subsiste dans une cuve de brassage après sou-
tirage et filtration du moût. Elle est en général réutilisée comme aliment pour le
bétail.
1.2. Pourquoi ?
Pourquoi écrivez-vous ? Quels sont vos objectifs ?
Écrivez-vous pour informer ? Pour divertir ? Pour convaincre ?
Pour répondre à une situation de crise ? Pour rebondir sur l’actualité
et mettre en avant votre donneur d’ordre ? Pour construire ou entrete-
nir votre image ou celle de votre client ? Pour encourager vos lecteurs
à accomplir une action ?
Soyez conscient des enjeux avant d’écrire. Ils exerceront une
influence prépondérante sur la manière dont vous structurerez votre
texte.
Imaginons par exemple que vous soyez chargé de la supervision
d’un projet important. Votre supérieur hiérarchique vous a demandé de
lui envoyer chaque quinzaine un rapport écrit de l’avancement des tra-
vaux. Or, le projet a rencontré quelques difficultés. Vous avez évalué la
situation, envisagé les différentes solutions, leurs avantages et leurs in-
convénients, et choisi celle qui vous semble la plus appropriée. Vous
pouvez, en rédigeant votre rapport, poursuivre différents objectifs :
– rassurer : confirmer le bon déroulement du projet malgré
quelques difficultés passagères ;
– informer : évoquer les obstacles rencontrés et les solutions
mises en œuvre pour les surmonter ;
– interroger : décrire les difficultés et demander l’avis de votre
supérieur sur la meilleure manière de les résoudre ;
– proposer : communiquer votre analyse de la situation et des
différentes solutions qu’il est possible de mettre en œuvre ;
– suggérer : analyser les solutions envisageables et pointer celle
que vous estimez la plus appropriée ;
1.3. Quoi ?
Qu’allez-vous écrire, ou plus exactement quel est le sujet de votre
texte ?
Au premier abord, la réponse semble évidente : si vous vous pré-
parez à écrire, c’est que vous avez déjà au moins une petite idée de
votre sujet. Mais vous gagneriez sans doute à préciser votre pensée.
Prêtez en particulier attention aux points suivants :
– S’agit-il d’un texte pour lequel vous devez récolter des
informations ? Votre commanditaire éventuel s’est-il engagé
à les fournir ? Si ce n’est pas le cas, ou si vous n’avez pas
de commanditaire, avez-vous déjà réuni ces informations ? Et
sinon, savez-vous où les obtenir ? Vos sources sont-elles fiables
ou ont-elles besoin d’être recoupées ?
– Existe-t-il des éléments qui doivent absolument se retrou-
ver dans le texte ? Si vous écrivez un article, il peut s’agir
d’une référence à l’actualité, d’une ou plusieurs citations, du
contenu d’une interview, ou d’autres éléments imposés par
votre client ou par vous-même. Si vous rédigez un courrier
électronique important au sujet d’un projet en cours, peut-être
souhaiterez-vous rappeler aux destinataires certains éléments
de son historique ou certains enjeux. Si vous préparez un travail
de fin d’études, certaines contraintes s’appliquent sans doute
au contenu. Quelle que soit la nature de ces éléments, dres-
sez-en une liste. Vous serez ainsi certain de ne pas les oublier
lorsque vous commencerez à préparer le plan de votre texte.
– Existe-t-il des éléments qu’il faut au contraire exclure ? Ces
précisions sont d’autant plus cruciales que le sujet est vaste.
N’oubliez pas que vous ne disposerez la plupart du temps que
d’un espace d’expression limité. Parfois, cette limite sera impo-
sée par votre support de communication : les magazines dis-
posent par exemple d’une charte rédactionnelle précise qui
impose une taille minimale et maximale à chaque texte. Mais
ce souci de concision découle aussi de la nécessité de susci-
ter l’intérêt de votre lecteur et de le conserver. Un « tri » sera
donc souvent indispensable. Les exclusions, qu’elles émanent
1.4. Où ?
Dans quel contexte social, professionnel ou personnel vous
trouvez-vous ? Autrement dit, à quel titre écrivez-vous ?
– à titre professionnel. Dans ce cas, vous devrez mettre votre
ego entièrement de côté, même si vous êtes indépendant ou
si vous avez créé une société. Dès le moment où l’acte d’écrire
s’insère dans le cadre professionnel, vous devez inscrire votre
réflexion sur le contenu, le style et le ton dans ce même cadre.
Votre plume est au service de votre fonction et de votre orga-
nisation : vous devrez faire donc vôtres les contraintes et les
objectifs de cette organisation ;
– à titre privé. Votre texte constitue-t-il un projet totalement
séparé de votre vie professionnelle, que vous soyez fonction-
naire, salarié ou indépendant ? Sera-t-il publié sur le web ? Si
vous n’écrivez pas sous pseudonyme, rappelez-vous que la
vitesse de circulation des informations est désormais très grande
sur la toile : votre présence n’y passera pas inaperçue et vos
propos y seront conservés ad vitam aeternam ;
– à titre semi-privé, ou semi-professionnel. L’omniprésence
d’Internet et l’utilisation croissante des réseaux sociaux ten-
dent à estomper la frontière entre privé et professionnel. Si
vous êtes informaticien et que vous animez un blog de cri-
tiques cinématographiques, vous ne pouvez pas pour autant
considérer que ces deux univers sont entièrement cloisonnés.
Un client, un supérieur, un collègue ou un futur employeur
peuvent parfaitement accéder à votre blog, que ce soit parce
qu’ils sont eux-mêmes férus de cinéma, ou parce qu’ils sont
à la recherche de renseignements à votre sujet. Ils peuvent
aussi tomber sur un de vos articles parce qu’un de leurs amis
Facebook ou de leurs contacts LinkedIn l’a recommandé ou
commenté. À partir du moment où vous ne choisissez pas la
protection du pseudonyme, vous resterez donc lié à votre uni-
vers professionnel, ce qui vous imposera sans doute un cer-
tain degré d’autocensure. Par ailleurs, l’émergence du personal
branding pousse aujourd’hui certains à ouvrir un blog (ou un
compte twitter) dédié à leur activité professionnelle. Un chef
1.5. Comment ?
Sur quel support et sous quelle forme votre texte sera-t-il trans-
mis à votre public cible : courrier électronique, blog ou site Internet,
journal, magazine, newsletter électronique, brochure, courrier promo-
tionnel ?
Chaque support possède ses propres codes et contraintes, qui tou-
chent différentes facettes du contenu :
– taille : un article de magazine n’a pas la même longueur qu’un
« post » destiné à un blog. Et un magazine n’est pas l’autre :
il y a plus de texte sur une page de « Cosmopolitan » que sur
une page de « Femme Actuelle », par exemple ;
1.6. Quand ?
Enfin, vous devez être conscient de la place de votre écrit dans le
temps.
Si votre texte est un article publié dans un blog ou un magazine :
– s’insère-t-il dans un ensemble d’articles sur le même thème,
disponibles sur un même support, par exemple un dossier spé-
cial dans un magazine, ou un site Internet ? Dans ce cas, vous
devrez tenir compte du contenu des autres textes pour éviter
les répétitions ou, pire, les contradictions ;
– est-il un épisode d’une série ? Le lecteur est-il supposé avoir
pris connaissance des épisodes précédents ? Devez-vous en
faire un bref rappel ? Si votre média est électronique, vous
pourrez sans doute également renseigner un lien où le lecteur
trouvera les textes précédents ;
– quel sera le délai entre le moment où vous livrez votre texte au
donneur d’ordre et le moment où il paraîtra ? Si vous écrivez
en août un article qui paraîtra fin septembre et que vous faites
référence à des événements censés se dérouler en septembre,
vous devrez écrire au passé et non au futur… pour autant que
vous disposiez de l’information nécessaire !
1.7. Exemple
Une entreprise – appelons-la Jecovoiture.org5 – a développé une
plate-forme électronique d’aide au covoiturage. Cette plate-forme pro-
pose un espace de contact aux travailleurs des entreprises clientes si-
tuées dans une même zone géographique, afin de leur permettre
d’organiser leur covoiturage.
Jecovoiture.org a décidé de créer un blog sur son site Internet et
d’y publier des articles liés à la mobilité. Une grève-surprise des trans-
ports en commun vient d’éclater et le responsable du blog décide d’y
consacrer un article.
Qui ?
Les responsables marketing de Jecovoiture.org ont identifié
quatre cibles :
1. les travailleurs des zones de la ville dans lesquelles l’entreprise
est implantée ou entend s’implanter dans un futur proche, peu
importe leur mode de déplacement pour se rendre au travail ;
2. les dirigeants et responsables des ressources humaines des
entreprises situées dans les zones en question ;
3. les responsables syndicaux de ces mêmes entreprises ;
4. les politiciens et responsables publics actifs dans la ville ou
à des niveaux de pouvoir supérieurs.
Quelles règles d’écriture les responsables de Jecovoiture.org
peuvent-ils définir pour contenter ces différents publics ?
– le niveau de langage doit rester accessible à toutes les classes
sociales et à tous les niveaux d’instruction ;
– la cible connaît suffisamment la géographie de la ville. Les noms
des quartiers, lieux-dits et principales artères lui sont connus
et ne nécessitent pas d’explications ;
Pourquoi ?
L’enjeu est, à travers l’actualité, de faire parler de l’entreprise6 et :
– de mettre en avant les atouts du covoiturage lors d’événements
particuliers comme une grève des transports en commun ;
– de promouvoir l’expertise de Jecovoiture.org en matière de
mobilité urbaine ;
– d’attirer l’attention de travailleurs et de responsables d’entre-
prises situées dans les zones ciblées par Jecovoiture.org ;
– de bien positionner le site de Jecovoiture.org dans les résul-
tats des moteurs de recherche ;
– de profiler Jecovoiture.org en tant que source potentielle d’in-
formation pour les journalistes à la recherche d’un point de
vue d’expert en mobilité.
Quoi ?
Les angles d’approche d’un tel sujet sont multiples : l’augmenta-
tion de la congestion urbaine et ses conséquences sur la pollution de
l’air, l’inadéquation des politiques de transports en commun, la posi-
tion et la durée des embouteillages et les conséquences de la grève sur
le trafic, les avantages du covoiturage en termes de réduction de stress
pour les usagers…
Les objectifs commerciaux de Jecovoiture.org et la diversité de son
public cible lui imposent de trouver un sujet consensuel, fédérateur, et
de le traiter sous un angle positif. Une possibilité serait par exemple de
mettre en avant, par le biais d’un cas vécu, les avantages d’une solution
de covoiturage lorsqu’une grève empêche un usager des transports en
6 Voir à ce sujet MEERMAN SCOTT (D.), Newsjacking : How to Inject your Ideas
into a Breaking News Story and Generate Tons of Media Coverage, Hoboken,
Wiley, 2011.
Où ?
Le rédacteur est soit un employé de l’entreprise, soit un journa-
liste ou copywriter indépendant. Son intervention s’inscrit donc dans
un contexte professionnel.
Si le prestataire est indépendant, Jecovoiture.org devra prendre
soin de le mettre au courant des objectifs du blog et des enjeux de la
situation. C’est, entre autres, un des rôles du document de briefing
communiqué au journaliste lors de la commande (voir le chapitre sur
la charte rédactionnelle en page 119).
Comment ?
L’article paraîtra sur le blog de l’entreprise. L’objectif est ensuite
de le relayer sur les médias sociaux, aussi bien via le compte de l’entre-
prise que celui de certains collaborateurs. Ce format et la possibilité de
relais imposent une série de contraintes de forme :
– taille limitée, adaptée aux habitudes de lecture sur Internet.
Pour Jakob Nielsen, un article court – d’une longueur de 250
à 600 mots, soit 1500 à 3600 signes – est largement préfé-
rable aux articles plus longs7 ;
– titraille adaptée au référencement naturel : un titre et un cha-
peau d’une taille compatible avec les impératifs d’affichage
dans les moteurs de recherche et sur les réseaux sociaux, un
ou plusieurs intertitres, listes à puces, mots en gras ou en ita-
lique, et présence de mots-clés dans tous ces éléments. Plus
de détails dans notre section sur le référencement naturel,
page 120 ;
– présence de liens hypertextes vers d’autres sections du site ou
des sites externes.
Quand ?
Ce billet s’insère dans la section « actualité » du site. Les précé-
dentes grèves ont donc probablement aussi fait l’objet d’un traitement
dans le blog. Par conséquent :
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YOUNG (J.W.), A technique for producing ideas, Columbus, MC Graw Hill,
2003.
Sommaire ................................................................................................... 5
Avant-propos ............................................................................................ 11
Introduction .............................................................................................. 13
Remerciements ........................................................................................ 15
Première partie
Comment écrire ........................................ 17
I. Planifier ...................................................................................................... 19
II. Rédiger....................................................................................................... 59
3. Et si ça « coince » ? ................................................................................. 63
3.1. Réévaluer votre plan ........................................................................ 64
3.2. Tentez le « shitty first draft » .............................................................. 65
3.3. Recourir aux rituels ........................................................................... 65
3.4. Le « cadavre exquis »........................................................................ 65
3.5. Commencer quoi qu’il arrive : la guerre de l’art ....................... 66
4. Exemple ..................................................................................................... 67
Que retenir ? ................................................................................................. 69
Pour aller plus loin ....................................................................................... 69
Deuxième partie
Les différents médias .................................. 97
Troisième partie
Trucs et astuces ........................................ 139
Marketer
L'auteur puise dans son expérience de l’écriture et de
l’enseignement afin de livrer une série de conseils pratiques
et faciles à appliquer pour :
• identifier son public cible et ses objectifs de
son écriture
communication ;
• structurer sa communication ;
• rédiger un texte clair et agréable à lire ;
• trouver le ton juste, adapté au destinataire et au support
(e-mail, communiqué de presse, site Internet ou blog,
réseaux sociaux).
Un guide pratique destiné aux étudiants et professionnels en Rédiger vite et bien pour toucher son public
communication, relations publiques et métiers du web, ainsi
qu’à toute personne amenée à communiquer par écrit dans
le cadre de ses fonctions.
MARECR
ISBN 978-2-8011-1691-3
issn 1374-0881 www.deboeck.com