Titus Burckhardt, Cle Spirituelle de L'astrologie Musulmane D'apres Mohyiddin Ibn Arabi
Titus Burckhardt, Cle Spirituelle de L'astrologie Musulmane D'apres Mohyiddin Ibn Arabi
Titus Burckhardt, Cle Spirituelle de L'astrologie Musulmane D'apres Mohyiddin Ibn Arabi
Titus Burckhardt
Cl spirituelle
de
L'Astrologie Musulmane
d'aprs
Mohyiddn Ibn Arab
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OA\HII:N'5
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ARCH
MILANO
1974
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Ilfl .,,11 rll ralit qu'une simple vulgarisation, comme beaucoup d'autres
".I~lullvrllrN" dc la Renaissance.
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1. La mdecine traditionnelle du monde musulman rduit toutes les ma
ladies autant de manifestations dsquilibres de ces quatre tendances.
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..
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1. -
Signes mobiles.
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III.
Signes synthtiques.
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III
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1.
les "causes secondes" ne sont que des reflets de la "cause
premire" et n'ont aucune ralit propre.
2. C'est un fait significatif que l'il ne peut pas
le soleil - qui
illumine le monde entier
sans en tre bloui.
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modernes; enfin, il est vrai que le soleil communique sa lu toutes les plantes. Quant aux toiles fixes, on est au
jourd'hui convaincu qu'elles reprsentent des sources de lu
mire indpendantes du soleil, et sur ce point la conception de
Mohyiddn Ibn Arab peut paratre errone; cependant la
fonction d'un Matre en mtaphysique n'implique pas nces
sairement la connaissance distinctive de tous les domaines de
nature, et Ibn Arab ne pouvait qu'envisager le symbolisme
des connaissances astronomiques telles qu'elles se prsentaient
lui. Cela ne veut certes pas dire que sa thorie ne soit plus
valable ds qu'on accepte que les toiles fixes sont des lumires
autonomes dans l'ordre sensible; car la distinction entre l'en
semble des astres rgis par le soleil et la multitude des toiles
apparat seulement comme une diffrenciation du mme
symbolisme, en ce sens que le soleil reprsente le centre du
rayonnement de la lumire divine pour un monde dtermin,
tandis que les toiles fixes symbolisent les interfrences de la
lumire d'un monde suprieur; mai~; mme dans ce cas on pour
ra dire que la lumire qui rayonne du soleil est la mme que
celle qui illumine tous les corps clestes.
Cette
sur les diffrentes perspectives selon les
quelles on peut envisager la causalit cosmique tait nces
saire pour situer le rle des plantes dans l'astrologie et pour
faire comprendre ce qu'on doit entendre par l'influence de
leur rayonnement. Quel que puisse tre
matriel ou sub
til de leurs rayons, la pntration contemplative de la physio
gnomie du cosmos les considre plus directement comme
des modes de l'Intellect dans sa manifestation macrocosmique,
modes qui ralisent ou mesurent les possibilits contenues dans
la sphre indfinie. L'espace cleste, dans lequel les plantes
dcrivent leurs rvolutions reprsente en quelque sorte les li
mites extrmes du monde sensible, et ces limites sont inverse
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1. Cf. le
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1. Remarquons que le
de la Balance n'existe pas dans les
anciennes reprsentations du zodiaque. Par contre, les anciens Chinois
naient le nom de Balance l'Ourse polaire.
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