Revue Critique de 181914 Cos S

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/93S

HARVARD UNIVERSITY

LIBRARY
MUSSUM OF COMPARATIVE ZOOLOGY

REVUE CRITIQUE
DE

PALOZOOLOGIE

M.
que

COSSMANN
la
c'est

a l'honneur

de prvenir

M M.

les

Abonns

Revue Critique de Palozoologie


110,

dsormais lui seul,

faubourg

Poissonnire,

que doivent

tre adresses toutes les

communications, renouvellements d'abonnement, ou


versements d'abonnements
arrirs,

rclamations,

etc.. l'exclusion de tout autre ancien diteur.

REVUE CRITIQUE
DE

PALZOOLOGIE
ORGANE TRIMESTRIEL
Publi sous la direction de

Maurice COSSMA]\]\
avec
la

collaboration

F.

L. FAUROT, MEUNIER, H.-E.

M. FILLIOZAT,

DOUVILL, R. DOUVILL, P. LEMOINE, SAUVAGE, SILVESTRJ, A. THEVENIN, P. BD.


de

MM.

F.

CANU,
J.

H.

LAMBFRT,

DIX-HUITIEME ANNEE

r.

Il

1914

Prix des annes antrieures, ciiacune: 10 Ir. (Sauf l'anne 1897, qui ne se vend plus sparment)

Le prix de

la collection

complte

et

est

presque puise des seize premires annes de 250 fr. net


:

PRIX DE L'ABONNEMENT ANNUEL

10 FR.

m
PARIS
DIRECTION, ADMINISTRATION ET REDACTION

M.
Hiver
Juin-Octobre
:
:

GOSSMANN
1914

110,

Faubourg Poissonnire, Paris

163,

Route de Saint-Leu, Enghien-les-Bains (Seine-et-Oise)

REVUE CRITIQUE
DE

PLEOZOOLtGlE
ORGANE TRIMESTRIEL
Publi sous la direction de

Maurce COSSMAiXIV
avec
de MM. F. CANU, H. DOUVILL, R. DOUVILL, FAUROT, M. FILLIOZAT, J. LAMBERT, P. LEMOINE, MEUNIER, H.-E. SAUVAGE, SILVESTRI, A. THEVENIN, P. BD.
la

collaboration

L.

F.

DIX-HUITIEME ANNEE

NUMRO

JANVIER I9I4

Prix des annes antrieures, chacune:

10

fr.

(Sauf l'anne 1897,

qui ne se vend plus sparment)

Le prix de

la collection

complte

et

presque puise des seize premires annes

est de

250

fr.

net

PRIX DE L'ABONNEMENT ANNUEL

10 FR.

m
PARIS
DIRECTION, ADMINISTRATION ET RDACTION

M.
:

GOSSMANN
1914

Juin-Octobre

Hiver 110, Faubourg Poissonnire, Paris 163, Route de Saint-Leu, Enghien-les-Bains (Sein'e-et-Oise)

PUBLICATIONS DE M. GOSSMANN

Cataipg-ue iHustr des Coquilles fossiles de lEocne des environs de 20 fr. Paris. Le cinquime Appendice, avec ISO fig. et 8 PI
Les trois appeyidi&^s lll V runis Essais de Paloconchologie compare

50

fr.

(1895-1912).

Les neuf premires

Mollusques ocniques de

200 fr. livraisons ensemble (chacune a sa table des matires) Bull. Soc. Se. nat. de la Loire-Infrieure. 100 fr. l'Ouest, 3 vol. L'ouvrage con)|ilet, avec tables, 56 PI

Observations sur quelques Coquilles crtaciques recueillies en France. 15 fr. Assoc. Franc. (1896-1904). 6 articles, 11 PI. et titre 10 fr. Revue critique de Palozoologie. Prix d'abonnement 5 fr. Table des 10 premires annes de la Revue critique (1897-1906) Description de quelques coquilles de la formation Santacruzienne en 3 fr. Patagonie. - Journ. de Conchyl. (1899), 20 p., 2 PI Faune pliocnique de Karikal (Inde franaise). 3 articles. Journ. de 15 fr. Conchyl. (1900-1911), 85 p. 10 PL, avec table du 1" vol Etudes sur le Bathonien de l'Indre. Complet en 3 fasc. Bull. Soc. Gol. 15 fr. indites dans le Bull de Fr. (1899-1907). 70 p., 10 PL, dont Faune ocnique du Cotentin (MoUusqties). En collaboration avec M. G.

Pissarro (19001905).

L'ouvrage complet

(51 PL),

avec tables

80

fr.

Additions la faune, nummulitique d'Egypte. Institut Egyptien (1901), 4 fr. 27 p. 3 PL f presque puis) Sur quelques grandes Vnricardes de l'Eocne. Bull. Soc. Gol. Fr.
,

Note sur l'Infralias de la Vende. B. S. G. F. (1902-1904), 5 PI Sur un gisement de fossiles bathoniens prs de Gourmes
B. S. G. F. (1902).

(1902),

avec figures
.
.

1
.

fr.

7 fr 50

(A. -M.).

Ann. Soc.

Se. Alpes-Mar. (1905), 3 PI

5
.

fr.

Descriptions de quelques Plcypodes jurassiques de France (190315 fr. 1912), 5 articles, 11 PL {n'est publi qu'en tirage part seulement). 3 fr. Note sur l'Infralias de Provenchres-sur-Meuse (1907), 4 PL. 5 fr. Note sur le Callovien de Bricon (1907), 3 PI Mm. Pal. Le Barrmien urgoniforme de Brouzet-les-Alais (Gard). Soc. Gol. de Fr. (1907), 6 PL et fig. 3fr.50 A propos de Cerithium cornucopise (1908), 1 PL in-4 3 fr. Note sur le Charmouthien de la Vende (1908), 1 PL in-4 Iconographie complte des Coquilles fossiles de l'Eocne des environs de Paris (1904-1913). L'Atlas compL en 2 vol. in-4, lgendes et tables 125 fr. Plcypodes du Montien de Belgique (1909), 8 PL in-4. Conchologie nognique de l'Aquitaine. Plcypodes les trois premiers 65 fr. fasc. (1909-1912), in-4 avec 28 PL. 3 cartes, table du 1" volume 1" fasc. du T. 11, avec 10 PI 20 fr. The Moll. of the Ranikot srie. 1" partie (1909), 8 PL in-4. Calcutta. Description de quelques espces du Baj ocien de Nuars (1910) 1 PL 2 f r 50 Sur l'volution des Trigonies (1912), 4 PL in-4'' [Ann. Palont.). Etude comp. des foss. recueillis dans le Miocne de la Martinique et de l'Isthme de Panama; l" art., 5 PL in-h. Journ. Conch. 1913. 7fr.50

S^adresser l'auteur, ro, Faubourg Poissonnire, Paris Envoi franco contre mandat postal
(

(X")

Publications de
28,

la

Socit Gologique de France


Serpente,

Rue

PARIS

(Vr)

(Voir^ au. verso).

d^mntckc It^llUUh v>on/~inc IjOmpie.^


i^

sommaires des Sances (le u" 0.10; l'anne, 2 Ir.) servis GRATUITEMENT, deux fois par mois, tous les Membres de la Socit, et formant chaque anne 1 vol. de 200 p. in-8 (ih ne sont plus rimprim.'^ dans le Bulletin).
la Socit, dont le service est fait gratuitement tous les Membres del Socit, et tormant, depuis l'origine de la Socit, un volume annuel in-8 de 1.000 pages environ avec nombreux dessins, phototypies, cartes en noir et en couleurs,

Rllllptin DU Ile II II

priodique des travaux de

bibliographie gologique.

On peut galement
Paris, 30
fr.
;

se

procurer
fr.
;

le

Prov.mce, 32

Bulletin

par abonnement aux prix de


fr.

Etvanger, 34

Les fascicules, en nombre variable, qui forment le volume annuel, sont adresss aux Membres et aux Abonns au fur et mesure de leur apparition.

Comptes Rendus dtaills. Extraits foi-vfflinQiiffic RAiminne ^^vf ll^CUlJIUIJS CAU avi UlIIdll C5 ^^^ Bulletin, des Excursions faites en-groupe par la Socit, une fois par an: prix divers (50 0/0 pour les Membres
de
la

Socit

Ouvrages de feu Fontannes

Catalogue sur demande.

IVIPnnip#^<2 Cr^f\]r%Cf\i^ iuoiiiuii C3-VJCU1US^IC format in-4" raisin. Prix les Membres de la Socit). Extrait du Catalog-ue.

paraissant non priodiquement depuis 1833, divers (50 0/0 pour

Cos-SMANN et Lambert. Etude palontologique et stratigraphique sur le terrain gocne marin des environs d'Etampes. 88 p., 1 tabl., 6 pi

oli-

lo

Ph. Thomas. Reclierclies stratigraphiques et palontologiques sur quelques formations d'eau douce de l'Alg-rie, .54 p., 1 tabl, S pi.
.

f,

CossMANK. Contribution l'tude de la faune de l'tage bathonien en France (Gastropodes). 37 p., 18 pi

),

Terquem. Les Entomostracs Ostracodes du systme politique de Parkinsont de Fontoy (Moselle). ^6 p., 6 pi
vie.

la

zone

Am.
/, i.

Terquem. Les Entomostracs Ostracodes du Fuller's Earth des environs de Varso112 p., 12 pi
6

C. Grand'Eury. Formation des couches de houille et

du

terrain houiller. 196 p., 10 pi.


,

20
iG
i/i

H. FiLHOL. Etudes sur les vertbrs fossilles d'Issel (Aude). 186 p 21 pi G. GoTTEAU. Echinides ocnes de la province d'Alicante. 107 p., 16 pi A. DoLLOT, P. GoDBiLLE et G. Ramond, Les grandes pltrires d'Argenteiiil. (Seineet-Oise). Historique, gense et distribution des formations gyjjseuses de la rgion parisienne. 4S p., 7 fig., U pi..
^

b
(S

P.-L. Prever.

Aperu gologique sur

la colline

de Turin.

//S

p., 7 fig., i carte

G. Zeil. Contribution l'tude gologique du Haut-Tonkin. f. Laxtesois. Note sur la gologie de l'Indo-Chine. Ren de L.vmothe. Note sur la gologie du Cambodge et du Bas-Laos. 80 p., 1 pi., 3 cartes en couleurs

12

(rnral de Lamothe. Les anciennes lignes de rivage du Sahel partie de la cte algrienne. 288 p., 3 pL, 1 carte en couleurs

d'Alger et d'une
35
n

SOCIT GOLOGIQ.UI*: DE FRANC

(suite)

MMOIRES-PALONTOLOGIE
PAR SOUSCRIPTION PAYABLE AVANT l'aPPARITION DU VOLUME ANNUEL TRANGER, 28 FRANCS, FRANCO FRANCE, 2.') FRANCS, FRANCO.
'

Liste des
Une
.1.

Mmoires qui se vendent isolment0/0


est

remise

de

20

accorde

sur

ces

prix

aux

Membres de

la

Socit

Sel NES. France. 6 pi., 22 p Ch. Depret. Les Animaux pliocnes du Roussillon. 17 pi., 198 p G. UE Saporta. Recherches sur les vgtaux du niveau aquitanien de Manosque. .....* 20 pi., 83 p M. CossMAAN. Contribution la Palontologie franaise des terrains jurassiques (en Opistrobranches. Etudes sur les Gastropodes des terrains jurassiques cours) 6 pL, 168 p Contribution S. Stefaisescu. Etudes sur les terrains tertiaires de la Roumanie rtude des faunes sarmatique, pontique et levantine. 11 pi., 152 p M. CossMAivN. Contribution la Palontologie franaise des terrains jurassiciues (en Nrines. 13 pi.,, 180 p cours) Gastropodes V. Popovici-Hazeg. Contribution l'tude de la faune du Crtac suprieur de Roumanie Environs de Campulung et de Sina. 2 pi., 22 p R. Zeiller. Etude sur la flore fossile du bassin houiller d'Hracle (Asie-Mineure). Il pL, 91 p
; ;
'

Conti-ibutions l'tude des Cphalopodes

du Crtac suprieur

de

lo

Go
35

I /i

5o

26 35
6
5

)>

.-

Pallary. Sur les Mollusques fossiles terrestres, llutiviatiles et saumtre^s de l'Algrie, ^pl., 218 p G. Sayx. Les Ammonites pyriteuses des marnes valanginiennes du Sud-Est de la France (en cours). 6 pL, 69 p.'. J. Lambert. Les Echinides fossiles de la province de Bai-celone, 9 pi., 128 p M.-E. Sauvage. Recherches sur les Vertbrs du Kimridgien suprieiir de Fumel Lot-et-Garonne). 5 pi., 36 p Ch. Depret et F. Rotian. Monographie des Pectinids nognes de l'Europe et des genre Peclen) (en cours). 17 p., UiO p rgions voisines (i partie G. DoLLiLs et Ph. DAiiTZE^BERG. Conchyliologie du Miocne moyen du Bassin de la Descrijotion des gisements fossilifres PlcA'podes (en cours). 22 pi., Loire 296 p. Marcellin Boule. Le Pachyna de Vaugirard. 2 pi., 16 p V. Paquier. Les Rudistes urgoniens. 13 pi., 102 p Ar. ToucAS. Etudes sur la classification et l'volution des Hixipurites. 17 pL, 128 p. Dentition de c[uelques Mammifres. 28 p., Albert Galdry. Fossiles de Patagonie
P.
,.

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17

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12

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G3
5

28

38
f,

h2

fig.

dans

le

texte
.

)i-

Paul Leioine et Robert Douvillb. Sur le genre LepidocycUna Gmbel. 3 pi., /i2 p. Ferdinand Canu. Les Bryozoaires du Patagonien. Echelle des Bryozoaires pour les Terrains tertiaires. 5 pi., 30 p Charles Eastma:s. Les types de Poissons fossiles du Monte-Bolca au ^(iisum d'histoire naturelle de Paris. 5 pi., 32 p V. Popovici-Hatzeg. -Les Cphalopodes du jurassique moyen du Mont Stninga massif de Bucegi, Roumanie). 6 pi., 28 p Ar. Toucas. Etudes sur la classification et l'volution des Radiolitids. 2''//)<., 132 p. Edm. Pellat et M. Cossiia>>. Barrmien suprieur facis urgonien de Brouzetlez-Alais (Gard). 9 Jg. texLe, 6 pi., 42/3 Charles .Iacob. Etude siir quelques Ammonites du Crtac moyen, U jiy.,9 pl.,6Up. A. Pezant. Etude iconographique des Pleurotomes fossiles du Bassin de Paris. 5 pi., 30 p P. -H. Fritel. Etudes sur les vgtaux fossiles de l'tage Sparnacien du Bassin de Paris. 3 pL, 37 p Henri Douvill. Etudes sur les Rudistes, l\udistes de Sicile, d'Algrie, d'Egypte, du Liban et de la Perse. 7 pi., 8 p Lon Pervinquire. Sur quelcjues Ammonites du Crtac algrien. 7 pL, 86 p Robert Doi VILLE. Cphalopodes argentins. 3 pL. 20 p Gustave F. Dollfvs. Les coquilles du Quaternaire marin du Sngal. Introduction gologique par A. Dereims. // Jlg., ^ pi-, 72 p
.

10

11

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12
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20
12

10

20 20
7

.1/1

CINQUIME ET DERNIER

APPENDICE
ALT

CATALOGUE ILLUSTR

des

COQUILLES FOSSILES

DE L OCiNE DES ENVIRONS DE PARIS Par Maurice G03SMANN

Outre

les

diagnoses

et

figures

des

espces nouvelles annonces

dans

l'Atlas de l'Iconographie (supplment), ce cinquime Appendice contient


la

rvision

des

charnires
le texte.
III,

des
Prix

Genres de

Plcypodes,

avec

plus

de

i5o figures dans

Les trois Appendices,


S'adresse?'

IV
I

et

V, ensemble

20 50

fr.

fr.

l'

auteur

lO, Faiil. Pomsoimii'e.

PARIS

Palaeontologia Universalis
Cette
,

publication,
Zittel a t
les

dirige

par

un
le

Comit

international

dont

feu

M. K. von
sur
fiches,

tout d'abord

prsident, a pour but de rditer,

types des
et

espces fossiles,

celles

en s'attachant de prfrence
recherche bibliographique est

aua formes anciennes


difficile.

dont

la

Le nombre des
soit

espces-types,

publies

chaque anne,

est

de

80 environ,

160 fiches au

minimum.

Prix d'abonnement a la srie de 160 fiches (texte et i-ioures)

'O francs

mark

40

sh.

Dod.

ON S'ABONNE

Paris, cbez L. LHOAIME:, 3, rue Corneille. Berlin, cbez GEBRUDER BORXTRAEQER, Sd, Dessaueristrasse. Londres, che* W. WESSLEV, 38, Essex Street. rVew-York, chez G. STECHERT, 9 East, 16" Street.

Pour renseignements complmentaires, s'adresser au


Secrtaire
:

D^ 0.

GOUFFON, Saint-Denis-d'Anjou (Mayenne

li.

FKUllIRE,

liibrare-dteiir, Place le l'Htel-ile-li^iHe

GHAUMONT

OUVRAGE EN COURS DE PUBLICATION

ESSAI
DE

NOMENCLATURE RISONNE DES CHINIDES


PA
J.
II

LAMBERT
la

et P.

THIERRY
de
Fiance,
etc.
.

Membres de

Socit

Gologique

Fascicules

a IV

4 vol. o-8% Sao pages, 8 planches

22

f.

On

peut encore souscrire aux fascicules restant paratre

au prix de

fr.

50

par fascicule

REVUE CRITIQUE
m-:

PALOZOOLOGIE
N
1

(Janvier 1914)

SOMMAIRE
Pages

Reptiles,

Amphibiens

et Poissons, par M.

le

D' H.

Sauvage.

Paloconchologie, par M. Gossmann Cphalopodes, par M. Paul Lemoine Echinodermes, par M. J. Lambert

20
23
32 40
44
et

Bryozoaires, par M. Ferd. Ganu Clentrs, par M. M. Filliozat Divers, par M. M. Cossmann Rectifications de Nomenclature, par MM. Vignal

de Boury.

49

REPTILES, AMPHIBIENS ET POISSONS


par M.
le D'

H.

SAUVAGE.

The manns in a spcimen of Trachodon from ilie Edmondton formation Of Alberta, by L. m. Lambe (i). L'impression de la peau prs
du sacrum montre que celle-ci porte des tubercules polygonaux formant des groupes de forme ovale surmonts par de petits tubercules occupant l'espace
intercalaire.

Des tendons ossifis se voient de chaque ct de l'pine neurale. La formule phalangienne de la main est doigt 11, 3 phalanges doigt III, trois phalanges, la dernire pourvue d'un ongle doigt IV, deux phalanges. Cette formule diffre de celle de Trachodon anneciens, du Wyoming, donne par Barnum Brown du doigt II au doigt cinquime on a 3 phalanges, la dernire ongule pour les doigts 2 et 3 seulement, de telle sorte que la formule phalangienne n'est pas la mme pour la Famille des rachodontids prise dans son ensemble.
:

TIieReptilia of the Arandel formation, by R. Sw. Lnll (2). Cet important Mmoire fait partie de la srie publie par le Service gol. du
(i) (2)

Ottawa, igiS. Baltimore, kji


PI.

1.

Br. in-8, III PI. Ext. The Ottawa Natur., Vol.

XXVII.
;

Maryland Geological Survey, Loroer Cretarcous

vol. in-S"

de G22

p.

avec XCVII

graves.

Maiyland

aprs

le

Tertiaire qui est l'uvre de

M. Clark, nous avons

le

Crtac infrieur, dj analys dans

un prcdent numro de

cette Revue,

sauf en ce qui concerne les Vertbrs. Les Reptiles fossiles du Potomac sont abondants Morisson
tout des Dinosauriens. Les carnassiers sont reprsents par
;

et ce
le

sont sur-

saurus reprsentant du Genre Europen Megalosaurns Marsh, est de trs grande taille, ses bras servaient retenir plus qu' proo-resser Les dents sont en forme de dajues, finement crneles aux abords. es

Genre MloAllosaurm mdius

Creosaurus ressemblait beaucoup Allosaurm Ormosauras a les os munis de poches ariennes

comme

les

oiseaux ainsi
et

que Clurus, animal

trs

probablement proche des Mammifres

des

Oiseaux primitifs. Les Dinosauuriens Sauropodes sont reprsents par le Genre Pleuroclus. Ce Reptile ressemble Morosaurus, il est allong et diffre de ce dernier par la longueur plus grande des membres antrieurs et la forme du centrum des
dents sont grles en forme de cylindres aplatis, creuses en mousss indiquant un rgime herbivore, probablement bords cuillres compos de plantes aquatiques. Une autre espce que Pleuroclus nanus, P. alius de plus grande taille, se trouve dans le Maryland ; ses os sont plus petits que ceux de Morosaurus.
vertbres
;

les

Le Genre Aslrodon indique un Reptile actif. Parmi les Ornithopodes du Potomac, le Genre Dryosaurus a la partie antrieure des mchoires dpourvue de dents et munie d'un bec corn comme les dents sont relgues dans une partie de la mchoire. La les Tortues
;

marche tait bipde, par suite de membres. Le Genre Dryosaurus est


plus petite

.la

grande

difficult

de

la

alli

Hypsilophodoii du Weald,

longueur des il est de

taille, plus primitif et appartient une ligne collatrale. Le plus grand Prscdeiitata du groupe de Morrison n'a pas t dcouvert Arundel. Les Ornithosauriens du Potomac sont les plus grands animaux

terrestres.

Outre

les

Dinosauriens,

la

faune

d' Arundel

comprend un

Crocodilien,

GoniO/)/iofo, et des dbris de Tortues.

Systematie palontologie of tlie lower Cretaeeons Maryland Dinosauriens Thropodes. Allosaurus Vertebrates, by R Sw LuU(,i). Vertbres caudales face antrieure concave, postrieure mdius Marsh. presque plane. Famille des Mgalosaurids. Creosaurus poteiis n. sp. Vertbres presque creuses, fortement comprimes latralement, canal neural large. Les vertbres diffrent de celles

d' Allosaurus

par

la

prsence d'une crte.

(i)

Baltimore, lyii.

Maryland Geologieal Hwvey

Ce Dinosaurien e t le plus grand dans les couches d'Arundel. Chiras graciUs Marsh. petite taille, les dents diffrent de celles de Cliirus fragllis par la rduction de la carne du Ijord antrieur. vertbres cervicales et dorsaPleuroclus nanus Marsh Sauropodes. face latrale avec une cavit proles allonges, fortement opisthocliennes fonde et longue centrum ressemblant celui de Morosauriis ; arcs neuraux allgs par des cavits, vertbres caudales plus allonges que chez Morosaurus, pines neurales comprimes transversalement. Les dents ont la forme
;

gnrale de celles de Brontosaiirus L'alisphnod


.

et le

supraoccipital rappel-

lent ceux de Morosauriis

Pleuroclus allus Marsh; espce plus grande que


bres postrieurs allongs. Ressemble Morosaurus.
Astrodoii Johnsionl
;

la

prcdente,

mem-

dents ressemblant par leur forme celles d'Hylosau section ovale,

ims

du Purbeck et du Wealdien, comprimes, cylindriques, sommet conique, dprim la partie interne.


Orthopodes.

Dryosaurus grandis
;

ii.

sp. Diffre

de D. alius Marsh, par

la

plus grande

taille et l'astragale.

Pronodon crassum Marsh


chez Stegosaurus.

cou court. Dents presque cylindriques

comme

Goniopholis affinis n. sp. Diffre de Goniopholis Jelix Marsh, par la prsence de rides secondaires entre les rides principales de la

Crogodiliens.

partie progniale de la dent, les sculptures plus fortes des cailles.

Ou the 8keletoa of Ornithodesmus latidens ; an Ornitbosaur from the Wealden Sliales of Atlierfield (Isie of Wight), by C. R W.
Le Genre Ornithodesmus a t tabli par Seeley, en 1887, Hooley (i). pour un Ornithosaurien de File de Wight Ce Genre fait partie de la Famille
des Ornithodesmids, Sous-Ordre des Scaphognathodes, caractriss par
le

crne avec des fosses trs grandes,


;

les vacuits nasale et prorbitale


(

sont

spares

l'occiput est

La caractristique

du type lacertien. du Genre Ornithodesmus

est

narines en arrire des


;

dents, orbite en arrire de l'articulation quadrato-mandibulaire

dents en

lamelles verticales, lancoles,

comprimes, implantes rgulirement au


de
taille.

bord alvolaire,

diffrant

peu

Six

vertbres

dorsales

libres.

Articulation de l'humrus avec le radius bien dveloppe, avec l'ulna en

un gond
le

corps du radius trs attnu


et col

articulations mtacarpiennes

avec

carpe petit dorsalement. Tte

du fmur terminaux.
:

Les caractres de la Famille des Ornithodesmids sont


fosses latrales
;

crne allong,

orbites incompltes
le

jugal spar des arcades temporales

suprieures, le jugal,

quatratojugal, les arcades temporales et maxillaires


L\IX.

(j)

Londres, igiS.

0. J. G. S., T.

unies avec
le

du quadrajugal.

quadrate, sans Fintervenlion du jugal ou

Dernire dent de la mchoire suprieure recouvrant la mchoire intrieure, et les deux dernires dents de la mchoire infrieure atteignant la rainure de la

mchoire suprieure. Notarium prsent comprenant


plaque supraneurale.

six vertbres.

Pas de

du processus transverse de mme longueur, sternum avec une crte mdiane large sans projection antrieure en forme d'pine, une petite expansion latrale la plaque facettes articulaires du coracode se recouvrant l'une et l'autre et sternale se prolongeant la surface latrale de la crte deltodale en carne. Radius recouvrant l'ulna distalement. Mtacarpe alaire ayant comme longueur la
Premire
et

dernire paires
;

anchyloses distalement

moiti

du membre

antrieur.

tudiant en dtail l'exemplaire trouv Atherfield, on note que les narines externes commencent non loin de l'extrmit du museau la vacuit

En

antorbitaire est grande, rhombodale, entirement spare de l'orbite et de

l'ouverture nasale

l'orbite est petite, circulaire, place derrire l'articulation

mandibutaire
temporale
est

on ne

voit pas trace de cercle schlrotique

la fosse

supra-

grande, profonde, borde postrieurement et infrieurement


la partie orbitaire

par

le

squamosal, antrieurement par

du

post-frontal.

La

partie in fra- temporale est grande, borde en haut par la barre


sal et le

du squamoelles sont
;

quadratojugal, en dessous par


la

le

quadrate.
l'infrieure
;

On

compte 34 dents

mchoire suprieure, 3G

comprimes latralement, lancoles, plus petites l'extrmit du museau les deux dents postrieures sont plus grandes, plus larges, plus obtuses que une particularit caractristique est que les deux dernires dents les autres des mandibules sont insres dans une rainure semi-circulaire la mchoire suprieure elles sont plus longues que les autres. A la colonne vertbrale l'arc neural et l'pine sont robustes, le centrum est long, troit, modrment
;

resserr dans la rgion centrale

la surface ventrale est plate

faiblement

concave aux extrmits. Le notarium comprend


rales,

six vertbres pines

neu-

fusionnes en une forte pine, plus haute que chez Oriiithostoma. Les

vertbres dorsales, au nombre de six, sont amphyplatiennes dcroissant trs rapidement de grandeur en arrire; les pines neurales sont plus minces et les le centrum arcs neuraux moins largis que dans les vertbres du notarium est convexe de bord bord. Les ctes sont courtes, petites, deux ttes
;

comme

chez les autres Ornithosauriens.


la partie

de la mchoire suprieure en avant des bord alvolaire de chaque ct ce maxillaire est extrmement mince, long et est dent. Le nasal est fusionn avec une extension postrieure du prmaxillaire. Le lacrymal, situ l'angle suprieur et antrieur de l'orbite, a ses deux branches unies au jugal. Le frontal s'unit au lacrymal, les prfrontaux l'extension du prmaxillaire. Le postnarines et

Le maxillaire comprend

comprend

tout le


squamosal

frontal est situ dans l'angle entre lorbite et la fosse supra-temporale. Le

La foramen magnum est grand. Le quadrate est trs long, extrmit proximale remarquablement robuste. Le quadratojugal a son extrmit infrieure fusionne avec le quadrate et l'extrmit du maxillaire. Lejugal part obliquement du lacrymal. Les jugal, quadratojugal l'arcade temporale infet quadrate s'lvent obliquement du maxillaire la mandibule est longue avec rieure est forme entirement par le quadrate la symphyse courte, les dents sont au nombre de 89 ko. On ne voit pas de processus styliforme antrieur au sternum, la crte est remarquablement dveloppe comme chez les oiseaux carns. Les scapulum
fosse supra-temporale est petite. Le
; ;

est plac l'angle postroinfrieurde la fosse supra-temporale.

coracod sont forts, fusionns sur la moiti proximale de leur longueur. Le condyle proximal de l'humrus a les caractres des autres Ornithosaucelui-ci est un os trs fort. riens. Le radius est un peu plus court que l'ulna
et
;

Le carpe comprend
Toutes
les

trois os

le

proximal,

le distal, le latral.

Les mtacar-

piens sont petits. L'ulna est parallle au radius et est en forme de fouet.

phalanges de
le

l'aile

sont creuses, du type usuel. L'ischion est


se prolonge jusqu' l'actabulum.

un

os mince, dont
est long,

bord dorsal

Le fmur

mince, extrmits robustes avec un large trochanter,

A new Phytosaur from


Hueue
court
;

the Palisades near Ce Genre a


le

New York, by
New York

F.

von

(i).

Les Parasuchia du Trias des environs de

sont reprcervicales
;

sents par le Genre Riitiodon.

centrum des vertbres

quatre vertbres dorsales appartiennent la rgion thoracique

les

pines dorsales sont plus courtes que chez Rutiodon carollnense

Mac Gregor,

Les vertbres sacres sont plus massives que chez cette dernire espce.
L'ilium diffre de celui de R. carollnense. Le fmur ressemble celui de

Thlropodon du Trias. Le tibia

est

extraordinairement massif quand on


le

le

compare

celui des autres Parasuchia.

Rutiodon manhattanense diffre de Phytosaurus par

squelette

chez ce

dernier Genre le fmur est plus courb que chez Hysirlosuchus et que chez
Rutiodon. Ces deux derniers Genres taient meilleurs nageurs que Phyto-

saurus. Les Phytosaurus

museau

grle sont les plus grands.

The Sknll Elments of the Permian Tetrapoda in the American


Les I^Iasenm of Nataral History of New-York, by F. yon Huene (2). rsultats morphologiques sont les suivants chez les Lysorophus urodles, les
:

Gymnarthrus,
liens, les

les

amphibiens de sige incertain

et les

Eryops temnospondy-

condyles sont forms par les exoccipitaux entre lesquels se trouve


York,
1910.

(i)
t.

New

Br

in-8"

avec

PI.

Ext.

Bull.

Americ.
Hist.,
t.

Mus.

Nat.

Hist.,

XXXII. (2) New-York,

i(ji3.

Br. in-8. Exlr. Bull.

Amer. Mus. Nat.

XXXIl.


un
petit basioccipital qui est couvert
les 'Pelicosauria

le

par

Chez
est

(Dimetrodon),

le basioccipital est

bord suprieur du basioccipital. de grande taille le


;

basisphnod, chez les Temnospondyles, les Cotylosaures,


tribue largement la formation

les

Plycausaures,

pourvu de processus basiptrygodes trs longs. Le parasphnode condu palais un degr extraordinaire. Chez les chez les Lysorophiis, et chez les Gymnathrus, le supra-occipital est prsent Diadectes et Chitonyx. le supra -occipital est relativement petit; chez Cap;

thorinus, Labidos auras,

Edaphosaurus (Naosaurus),

cet os est troit et

se

termine en pointe en haut.


la crte

Temnospondyles, on a deux paires d'os dermiques au milieu de du crne ces os sont sculpts comme les autres os dermiques. Chez Eryops, les dermosupra-occipitaux peuvent tre distingus des
Chez
les

postrieure

supra-occipitaux.

Ces deux os ne sont pas limits chez

les

Stgocphales, mais se trouvent

chez beaucoup de Reptiles, tous les Cotylosaures en ont au moins une p nre mdiane. Les Diadectosaures ont de grandes plaques dermo-supraoccipitales,
flanques extrieurement par de grandes tabulaires. Chez Seyinoiiria (Conodecles),
les

detmo-supraoccipitales
;

et les tabulaires

sont semblables celles

des Temnospondyles

on

a aussi

deux paires d'os dermiques chez Pelyco-

saunis.

Entre

le parital,

le

postfrontal, le postorbi taire et le quadrate, chez la


le latral et le

plupart des formes, deux temporaux s'interposent,

squa-

mosal

le

latral est le

supratemporal. Dans peu de formes seulement, ce

dernier est aussi grand que le squamosal.

Dans

la

majorit des Temnosponpetit

dyles et des Cotylosaures, le supratemporal est


situ entre le tabulaire et le postfrontal.

un

lment squameux

Ce n'est que chez Seymoiiria, chez entre le les Cotylosaures et chez quelques Temnospondyles qu'on trouve supratemporal et le postorbitaire un troisime os dans la rgion temporale, intertemporal de Broili. Chez Lysorophus et Gyinnarlhras, le squamosal est

un

os dermique ayant primitivement recouvert le quadrate. Chez les Plyet les Edaphosaures, la rgion temporale est forme des arcs temporaux, consistant en pices Chez Naosaurus, l'ouverture temporale incluse est autre-

cosaures les Zygocrotaphytes

importante cause de
longues
et troites.

la

ment borde que chez Dimetrodon.


Parmi
liens
les

Urodles, chez Lysorophus seul,

le

lacrymal

fait dfaut.

La prsence d'un supramaxillaire

Eryops
il

torhinidse,

temnospondyTrimer or hachis, chez les Diadectosauria, Bolbodon, les CapCaptorhinus et Labidosaurus, chez Diadectes, Dimetrodon, Naosauest constate chez les G.
et

rus,

s'tend
la

beaucoup plus en avant qu'on peut

le

supposer

la

prsence

de dents

lamelle mdiane est la rgle chez Diadectes, chez lequel on voit


Cotylosaures, la mchoire infrieure est

une perforation postpalatine. Chez les Temnospondyles,

les

constitue

sans exception
le

par

ratliculaire,

le

prarticulaire (goniale

de

Gaupp), l'angulaire, le sillon de Neckel

supraangulaire, le dentaire,

le splnial et l'articulaire,

est Jarge, le

dvelopp. Le splnial s'tend jusqu'


porte des dents. Chez les

est plus ou moins symphyse et, en beaucoup.de cas, Cotylausaures on voit une perforation entre l'extr-

processus coracod
la

mit du prarticulaire

et l'angulaire.

La mchoire infrieute
la

est constitue

de

mme chez
prsentent

les
la

Microsauriens Diplocauhis et chez l'Urodle Lysorophus qui


la

forme

plus primitive de

mchoire infrieure.
D. Blathew yi).

The Amphibaiis of the Oreat coal swamps, by W.


Les'

animaux

terrestres,

l'poque houillre, sont l'tat primitif

pour

l'adaptation de la vie terrestre.

Gomme

les

Tritons et les Salamandres, ce

Amphibiens articuls sont les descendants plus ou moins modifis des animaux qui, l'poque de la houille, reprsentaient la forme animale la plus leve. A l'poque carbonifre, les Amphibiens taient le type dominant et les Reptiles commenaient voluer, s'adaptant une vie plus strictement terrestre. Les Reptiles anciens sont trs prs des Amphisont des amphibiens. Les

biens primitifs

et l'hiatus

qui

les

spare est

si

faible

qu'il

est

difficile

de tracer une ligne de sparation entre eux.

Ce

n'est

que dans

le

Permien infrieur du Texas

et le

Mouiller cjuon trouve

de grapds animaux terrestres, Eryops. Cet xAmphibien vivait en parte dans


les forts

obscures

et

pas de cou, un corps lourd, des

marcageuses du houilier. Eryops avait la tte membres courts, une queue aplatie
terre,
il

plate,
;

pen-

dant

qu'il

pouvait ramper maladroitement sur


l'eau,
le

progressait plus faci-

lement dans

vivant dans les mares profondes et les cours d'eau lents

qui s'tendaient
apalachiennes.

long de

la

grande mer intrieure,

l'est

des montagnes

Cet animal lourd, trs faible cerveau, d'organisme rudimentaire, serait


l'anctre des
fres,

animaux suprieurs, des


hypothse

Reptiles, des Oiseaux, des

Mammi-

mais

cette

est loin d'tre justifie.

Beal

Sapplementary notes on Fossl Sharks, by D. 8. Jordan et C. H. Cette notice donne la liste de nombreux Squales recueillis aux (2).

Etats-Unis, pour la plupart d'espces connus en Europe. Nous nous contenterons de signaler les espces qui prsentent

un

intrt spcial.

Heptranchias Andersoni Jordan, du Miocne. Cette espce est assimile


Notidanus primlgenlus Ag., par Leriche.
Galeorhinus Hannibali Jordan and Beal, Pliocne. Dent plus droite
et

moins

chancre au bord externe que chez G. zyopterus.


New-York, igu,
Berkeley,
icjiS.

(i)
(2)

Br.

in-8. Ext.

Br. in-8. Ext. de

de Amer. Mus. Nat. Hist., t. XI. Uaw. Calif. Bull. Geol., t. VII.


Carcharias clavaius Ag. sp. Carcharias Morricei
tranchant de
la
;

Miocne

Lamna

clavala Ag.
et large
;

n.

sp.\ Miocne. Dent trs paisse

au bord

dent,

un
;

large denticule basai.

Isurus hastalis Ag.

Miocne.

Carcharodon
cette espce

riversi,

Jordan

Miocne

et Quaternaire.

Leriche assimile

Carcharias actuel.

Sqiiattna Lerichei n. sp. Dents petites, triangulaires et presque droites

avec la racine trs large. Miocne.

Rhinoptera Smithii

n. sp.;

Miocne. Largeur de la dent

et

grandeur des

ser-

ra tions trs considrables.

Les Appnnt fossile del Monte Libano, nota del Oer. Erasmo (0 Poissons dcrits, en 1867, P^^ Costa, sont les espces suivantes Beryx niger Costa, Pycnosterix Ruossygeri Heckel. Corps ovale, bouche
:

grande, colonne vertbrale avec une trentaine de vertbres, dont 18 caudales,


avec des apophyses courtes et robustes.
dorsale avec 17 ou 18 rayons

la

nageoire pectorale, i4 rayons,


;

mous

anale avec environ i4 rayons

cailles

en i4

sries.

grandeur, bouche grande, colonne vertbrale avec 28 vertbres


trales 5

Mognaier auratus Costa, Crtac de Sahel Aima. Orbite de mdiocre aux ven;

rayons mous, dorsale avec 7 pines et 21 rayons mous, anale avec 3 pines et 6 rayons mous cailles bord postrieur aigu. Espce identi;

fier

Pycnosteryx discoides Heckel.

Tte comprise trois fois dans la longueur


avec 28 rayons

du

corps, sans la caudale, bou-

che oblique; 18 vertbres caudales, dorsale avec environ 35 rayons; anale

mous

et 3 pines.

Famille des Stromatides.

Rhamphorrimla
plids.

rhinelloides Costa, voisin des Rhinellus, Famille des Sco-

Toutes ces espces viennent du Crtac suprieur de Sahel


Liban.

Aima Mont

F.

de l'oene dn Cotentin et de Bretagne, par ,et de Fresville (Manche) contiennent Percidarum. aff. angustus Priem. P. aff. concavus Priem Sparidarum simplex n. sp. Le Luttien du Bois-Gout (Loire-Infrieure) a fourni Hoplosiethus Bainhergi n. sp., Percidarum aff. aciitus, Priem. P. aff. angustus Priem. P. reclus n. sp., Sparidarum elongatus n. sp., Ophidiidarum aff. Kokeni Priem. En rsum, les otolithes du Cotentin et de Bretagne appartiennent des
Otolitlies

Sur des

Priem

(2).

Les

sables ocniques de Hauteville

(i)

Parme,

1912.

(2) Paris, 1910.

Compte rendu

Rlvist. Ital. di Pal.,

t.

WllI,

PI.

soin. Soc. Gol. de

France, ir

y.

groupes dont on trouve aussi


Paris et plusieurs espces

dans
trs
le

les otolithes

Luttien des environs de

ou des espces

analogues

sont communes

aux divers gisements.

Deseription of four new Palaeozoic flshes from Morth America, by Des espces dcrites, l'une est un Arthrodire du Genre Hnssakof (i). Dinomylostoma, le second appartient au Genre Apateacanthus, les deux autres sont des espces du Genre StethacaiiLhas Dinomylostoma Eastmani, du Dvonien suprieur de Louisville, Kentucky.
L.

Mandibule avec
lace externe.

la partie
;

fonctionnale longue, triturante,


partie antrieure de la

graduellement
la

rtrcie postrieurement

mandibule convexe

Apateacanthus peculiaris, du Dvonien moyen de Franklin, Delaware. Epine


petite,

trs

comprime latralement

denticules remarquablement gros,

denticules dirigs en arrire et en bas, cts de l'pine orns de stria tions

longitudinales verticales.

petite,

Stethacanthus humilis, du Waverlyan de Junction City, Kentucky. Epine plus large que haute, bord convexe partant de l'paulement, d'abord

trs

doucement, puis abruptement. Cts orns de lignes de diverses granexil'is,

deurs.

Stethacanthus

du Waverlyan de Junction
large, avec

City,

Kentucky. Epine

petite,

un peu plus haute que

un paulement prominent, bord

vertical

angle droit avec la ligne qui est convexe en bas. Cts orns de lignes inci-

obliquement vers le sommet il se spar de S. erectus Eastman, de l'Iowa, par la forme moins subule de la partie spirale et la moindre distance entre l'paulement et l'extrmit de l'pine.
ses de diverses longueurs, se dirigeant
;
,

PALOCONCHOLOGI
par M. GOSSMANN.

Beitrage zur Reoutniss der Sehiehten von Heiligen-Krenz (Abteital, Ce Mmoire posthume tait rdig von Dr. E. Koken f (2). ds l'anne 1907, les planches ont t imprimes en 1910, mais le texte n'a le ainsi que l'on sait t envoy qu'aprs la mort de l'auteur, survenue
Sadtirol),

(i) (2)

New- York, lyio. Br. in-<S, Vienne, igiS. Abhandl. K.

PI.

Ext. de Bull. Amer. Mus. Nat. Hist.,

t.

\XX11.
in-/i

K. Gcol. Reichsanst.,

Bd. XVI, Heft

t^,

43 p.

avec

PI. lith.

3
1

lO

novembre

1912.

La mise en ordre du texte

et la

correction des preuves

sont l'uvre

du

D' Teller.

Les couches tyroliennes de Saint-Lonhard, tudies autrefois par le vnmais on y rable Klipstein, sont moins riches que celles de Saint-Cassian
;

trouve plus de gros chantillons

et aussi d'autres

formes.

La partie palontologique de ce Mmoire dbute d'ailleurs par la descripdes restes d'un splendide Saurien, Metopias Sanctse-Crucis n. sp., recueilli par l'auteur en 1906, au Nord de la Chapelle d'Heihgen-Kreuz. La dentition est la mme que celle de M. diagnosticus Fraas, mais il y a de grosses diffrences dans la conformation des os du crne.
tion

Parmi

les

ronautilus dolomiticus

Mollusques nouveaux, nous remarquons principalement: Pleuvoisin de P. Comali Stoppant Promaihildia rabra et
,

P. eminens, qui appartiennent toutes

deux

la

Section Teretrlna

Cossmann

Posidonia abbatiensis
G.

en empreinte seulement, de

mme

que Perna Bouei


;

plusieurs Megalodon que l'auteur a

nomms

tort Megalodas

un nouveau

Comucarelia
; ;

(Megal. Hornigi Bittner) qui en diffre par ses crochets


et

enrouls

Physocardia minor
G.

P. qiiaUs, avec une charnire de


Injlala

Ogilvise

Whrm.
phoria.

Crucella propos pour Nucula


et la trace

Whrm,

qui a une

forme de Lithodome,

d'une dent cardinale; enfin plusieurs Myo-

Monographie palontologique d'une faune de rinfralias du NiverLa faune nais mridional, par M. J. Dareste de la Chavanne (i). tudie par notre jeune confrre provient d'un affleurement d'une couche comprise entre le niveau k Arietiies rotiformis Soav., du Sinmurien infrieur, et des calcaires de la zone Psiloceras planorbis, de l'Hettangien infrieur, ce qui parat dmontrer l'ge hettangien de cet affleurement, confirm d'ailleurs par l'examen des Gastropodes et des Plcypodes qui y ont t recueillis et dont voici l'aperu

Striactonina Buvignien\TGrq.]
nina Heberil
[Piette]
;

et

S. siiiemurlensis [Martin]
;

Ovactocf.
;

Cylindrobullina arduennensis [Piette]

Endiatnia

Terquemi Cossm., chantillons de taille bien suprieure celle du gnotype Procerithium Henrici Martin, si c'est bien l'espce de la Cte-d'Or, cette dernire n'est pas un Procerithium et se rapprocherait plutt des Loxonematid

que Chemnitzia poleymiaca d'ailleurs Procerithium Dumortieri que j'ai eu l'occasion de le vrifier sur le type de l'espce, la figure publie par Martin est compltement inexacte, ce n'est donc pas un
de
;

mme

[Martin], ainsi

Cosmocerithium,
S.

comme je

le,

pensais, et

j'ai

depuis (Ce/'t7/i/aceajurass. Mm.

G.

F., p.

60, 1910) indiqu

maihildia bicarinata n. sp.,

probablement une Katosira; Proque l'auteur place avec raison dans le S. -G. Clac'est
t.

que

i)

Paris, iyi3.

B. S. G. F.

(/|),

XII, pp. 55o-0o/i, 3 PL, phot. d'aprs nat.

throbaculus Cossm.

An<iu,laria nivernensis

n.

sp.,

Genre triasique non

encore signal dans


nifera n. sp., qui
le

le

Lias

Tretospira azyensis n. sp., qui a des affinits

avec les Ampullaires hettangiennes dcrites par

me
il

paratrait

Terquem Zygopleara carimieux place dans le G. Angularia que dans


;

G. Zygopleara
le
;

en est de

mme de Stephanocosmia nodalosa


le

n. sp.,

qui n'a

pas du tout

galbe des Goniospira, d'aprs

gracilis n. sp.

Omphaloptycha ventricosa

n.

fragment figur; Rigauxia sp., douteuse comme dtermi-

nation gnrique; Ampullospira

cf. itifraliasica

Cossm.

n'est certainement pas

une Ampullospira
et

comme

le

type de la Vende, lequel n'est nullement us


;

comme le sont toujours les Ampullospira EucyCossm. au sujet duquel l'auteur signale une erreur qui or il n'y a aucun se serait produite dans la figuration du type de la Vende dsaccord entre mon texte et la figure, les tours sont bien subimbriqus en avant, les derniers surtout, ce qui explique que le fragment de sommet figur n'ait pas l'aspect aussi par M. Dareste et d'ailleurs peu dterminable imbriqu que le spcimen adulte de la Vende Pleurolomaria planispira n. sp. enfin quelques Plcypodes, Echinodermes et Montlivaultia terminent la trs intressante Etude de M. Dareste de la Chavanne.
dont
la surface est lisse

clus cf. tectiformis

Contribution

siqnes. III. Cerithieea et


ici la

la Palontologie franaise des terrains jnrasLoxoremataeea, par M Cossmann (i).

L'auteur expose qu'aprs les Opisthobranches


suite de l'uvre

et les

Nrines,
tout

il

entreprend
tantt

inacheve de d'Orbigny, pour

un groupe de

coquilles jurassiques qui avaient t

dnommes

tantt Cerithium,

Chemniizia, tantt Turritella, tantt Purpura (Purpuroidea et Purpurliia).

Dj esquiss dans
logie

les

VIP

et

VHP

livraisons de ses Essais de Paloconcho-

compare , le classement gnrique est repris dans ce Mmoire et coordonn avec les nouveaux lments qui ont t recueillis depuis fqoi malheureusement la publication du texte, prsent dj depuis deux ans et dont l'impression n'est pas mme acheve dans ce premier fascicule, a subi de tels retards que les donnes qui y sont contenues sont dj incompltes par exemple l'Etude, que nous venons d'analyser ci-dessus et qui contient un certain nombre de formes du mme groupe, n'a pu tre reprise dans cette Contribution et il faudra ncessairement un supplment. Dans le fascicule en question sont d'abord traits les ustomidse Cossm.
; ;

1905, avec quelques espces nouvelles


Mairel,

Diatinostoma bononiense, Ditreius


Brachytremidse, dans lesquels on
et

Diatinostoma Colloti

puis

les

remarque, entr'autres, le magnifique B. Peroni n. sp. Pelersia ne sont reprsents que par des formes dj connues

Columbellaria

(i) Paris,

1913. Mm.

S. G.

F. Palont.,

t.

\1X

fasc. 3-4,

pp. 1-88, PI.

I-IV, phot.

d'aprs nat.

parmi les 28 ProcerlAbordant ensuite les Procerithld, l'auteur dcrit ces deux dimorphospira, P. Boulei, P. mathildiatum, P. thium numrs par le caractris groupe derniers appartenant peut-tre un nouveau de sa fin la cylindrace sommet, au conique dimorphisme de la spire, classecomme douteux galement sp. est n. acolpophoram croissance P.

Sections Cosmocerithium, Rhabdocolpus Xystrella (en dont les quatre planches ne correspondent pas fascicule terminent ce partie) exactement la coupure faite dans le texte, de sorte qu'il faut attendre les sept autres planches et le rsum final pour en achever l'analyse.

ment gnrique. Les

Les fossiLias fossilieii aus Rleinasien, Yon D. M. Cr. Vadasz (i ). dans le district d'Angora paraissent appartenir au Sinmurien et au Charmouthien. M. Yadasz y a identifi des Arietites, et notamment une var. d'yl. roUJormls, Oxynoticeras Lynx, Phylloceras persanense Herb., une nouvelle varit de P. notrium Fucini, Waldheimia subdigona Oppel, Tereil dcrit en outre bratala punctata Sow., Rhynchonella variabilis Schl.
les recueiUis
; ;

Rhynchonella anatolica, Waldheimia anatolica.

pill (2).

Die Lwenberger Rreideund ihre Fanna, 4 partie, von H. ScuCe dernier fascicule qui fait suite ceux que nous avons prc-

demment

analyss (V.

t.

XVII, pp. 167

et 227), contient la fin

des Plcypo-

des, les Brachiopodes, les Bryozoaires, les

Echinodermes

et les

Clentrs.

Les Inoceramiis sont longuement dvelopps, eu gard l'importance stratigraphique que prsente ce Genre difficile. L'tat de conservation des moules
recueillis a

ncessairement exerc une influence sur


aff.

la prcision des

dtermi-

nations,

notamment pour Volviceramus

involutus Sow.

Perna Zimmeravait

manni
t

figure dans la prcdente livraison est

une nouvelle espce qui

confondue, par Drescher, avec P. lanceolata Geinitz, du Cnomanien. Il n'y a rien de particulier signaler dans les Genres Syncyclonema, Camptonectes et Chlamys pour ce dernier, l'auteur aurait peut-tre mieux fait de
;

ne pas
le

rejeter la Section JEquipecien

il

est vrai qu'il faut tre

en possession
qui n'est pas
est

d'excellents chantillons

pourvus de leurs

oreillettes intactes, ce

cas pour les fossiles en question. Vola Dresleri Drescher,

une

petite

espce dont

M. Scupin donne de bonnes


les

figures dans le texte. Les

Lima

sont

rend peu dteterminables. Plicatula dans un Drescheri nov. nom. s'applique une forme confondue par Drescher avec
tat de conservation qui

P.

Rmeri d'Orb.

Enfin, Ostrea Jallax nov. sp. est

subquadrangulaire

comme une

Perne

elle

provient

une espce allonge et du Cnomanien inf-

Extr. de Mitt. Jahrb. K. Ung. Geol. Beichs. XXI Bd., 3 (i) Budapest, igiS. pp. 59-82, PI. IV, 6 fig. ds. le texte. Palseontogr. SappL. VI, pp. 209-27G, PI. X.II1-X-V. (2) Stuttgart, jgio.

Het't.

rieur,

mais seulement

l'tat de

moule

interne, de

mme

qnAIecIryonia

sudetica n. sp. Signalons en terminant /?/iync/?one//a Kunthin. sp.

monographie palontologique de la faane du Taronien du Bassin d'Uchaux et de ses dpendances, par F. Roman et P. Mazeran (i).
Laissant l'un de nos collaborateurs spcialistes
et

la

plus comptent,

le

soin

d'analyser les Cphalopodes dtermins dans cet important Mmoire, je

me

bornerai examiner

les

Gastropodes

et

Plcypodes qui sont figurs, pour

premire

fois,

sans les restaurations qui les rendent souvent mconnaissa-

bles dans la Palontologie franaise de d'Orbigny. Ainsi par exemple,

Eulima

Requieniana d'Orb.
d^ Eulima,

que

cet

ne

serait

mon

ouvrage reprsente avec une vritable ouverture avis que des fragments de Trajanella amphora
:

il sufft de regarder les stries d'accroissements pour phinula Renauxiana d'Orb. (Turbo), les auteurs prcits ajoutent une nouD. Pelossei. Trochus Dumasi et Mliigaudi velle espce plus typique encore

s'en convaincre.

Del-

nn. sp. appartiennent deux Genres bien distincts

le

premier
,

est gibbuli-

forme

et le

second

est

un

Tectus. Chilodonta Maraisi d'Orb

du Gnomanien.

l'espce de la Sarthe.

Uchaux, ou du moins c'est une mutation trs voisine de Monodonta Allardi n. sp. ne serait-il pas un Tectus ? Vour Neriiopsis Renauxiana d'Orb., j'en possde deux excellents spcimens qui ont d chapper la rvision de mes tiroirs, faite avec M. Mazerau au moment o il prparait les matriaux de cette Monographie ils n'ont pas la forme globuleuse, mais ils ont l'ornementation rticule de A^. Deshayesi n. sp., de sorte qu'il est probable qu'il n'y a l qu'une seule et mme espce,dnature par la figure de Palont, franc. Nerita (Odontostoma) Bruni n. sp., Confusiscala Uchauxiensis mais nous ne trouvons pas Eucycloscala cretacea de Boury, dont le type unique est cependant dans ma collection. A propos de Glauconia, MM. Roman et Mazeran observent que ce Genre apparat dans l'Aptien saumtre d'Espagne, et qu'il ne commence devenir franchement marin que dans le Gnomanien, puis dans le Turonien, pour recommencer son habitat saumtre dans le Snonien, fait amphibiologique assez anormal, en rupture avec l'volution rgulire. Uchauxia Richei n. sp. diffre d'U. peregrinorsa par son ornementation et par quelques dtails de son ouverture. Potamides Doncieuxi n. sp. ne ressemble gure aux \rsiis Exechestoma du Lutcien, qui sont variqueux et dont l'ouverture est bien plus prominente sur le plafond. Cyprssa Depere'ti n. sp. appartient un nouveau groupe crer pour toutes ces formes du Crtac suprieur que je n'ai pu tudier dans la 5* livraison de mes Essais de Paloc. comp. et qui diffrent fonse trouve aussi
: ;

cirement des premires Cypres palocniques. Ringiculella Chateleti n. sp. ressemble beaucoup plus un Auriculacea qu' une Ringicule jamais
;

(i)

Lyon, igiS.

Arch.

Mus. Hist.

nat.,

t.

XII, 187 p.

in-4'',

XI

PI.

phot. d'aprs nat.


ces dernires n'ont

i4

celle de l'chantillon figur.


:

une plication semblable

Parmi' les Plcypodes, on remarquera principalement

Arca Renauxiana

premier reprsentant authentique d'Arca s. stricto ; Trigonoarca semisulcata Math, dont le sommet est, parat-il, prosogyre, ce que les figures ne permettent pas de distinguer Barbatia Raspaili d'Orb. et
Math., qui serait
le
;

B. Requieniana Math., dterminations gnriques vrifier d'aprs la charnire


;

d'ailleurs

CucuUaea turonica n. sp., mme observation, les auteurs ajoutent quelques remarques intressantes sur les relations existant entre
;

Synles variations de la carne postrieure et le dveloppement du crochet cyclonema Maiheroni n. sp. Astarte Gaillardi n. sp. dont la charnire n'est malheureusement pas visible Cardiia (?) comitatensis Venus (s. lato) Saynl, nn. sp. qui rclament un complment de dtermination d'aprs la charnire,
; ; ,

quand on pourra

l'tudier

Cypriiia (Venilicardlaj

Cossmanni
;

n. sp. figure

au contraire avec une bonne charnire de valve gauche


n. sp. difficile caractriser.

Ostrea Darestei

Les Rudistes
ces

et les

Crustacs terminent cette belle Monographie


:

parmi

derniers,

MM. Roman
dans
le texte.

Podocrates Euthymei, nouvelle espce que nous citerons et Mazeran ont restaure sur une figure suggestive, intercale

Alganas faanas del Cretacico snperior de Coabruila y re^iones La partie palontologique de ce limitrofes, por el Dr. E. Bose (i). Mmoire comprend, outre quelques Cplialopodes, la description d'un seul

Gastropode (Volulilithes ? arizpensis n. phellode, ce n'est certainement pas un


caractristiques
les
/.

sp.)

qui a tout
!

fait le

facis sca-

Volutilithes

Les Plcypodes plus nombreux sont reprsents par des Inoceramiis bien
:

labiatas Schl.,

/.

Cripsi Goldf. (M. Rose a


J.

omis de

citer

travaux de H. Woods, d'Andert, de

Rohm

ce sujet),
:

/.

Barabini Morcoahui-

ton; quelques autres


lensis,

Monomyaires sont nouveaux


saltillensis,

Lima (Mantellum)

Anomia mexicana, Ostrea

Alectryonia arizpensis, ct

d'espces plus rpandues, telles qu'i?. cosiata Say, qui se trouve aussi dans

des gisements
rieur, avec

du nord de Chihuahua.
attribue les couches de Coahuila au Snonien supdistincts et superposs.
fidlit.

En rsum. M. Rose

deux niveaux bien

Les figures excutes Francfort sont d'une excellente

Coal Field8 of grand Mesa and the Wost lk monntains, Colorado. Quoique ce Rulletin relatif aux charbonnages du Colo(2). rado ait plutt un caractre industriel que stratigraphique, nous trouvons

by W. E. Lee

(i) (2)

Mexico, iqi3. Bol. Washing-ton, u|i3.

instit.

Geol. de Mexico,
(leol.

num.

3o,
>.'i-j

5ti

p., 8 PI.

in-Zl''.

U. S.

Surv., Bull. 5io,

p. in-8,

X\l

PI.

phot.

i5

la
:

clans la srie crtacique


la figuration

quelques dtails sur


faite

fornaation Mesaverde

et

des fossiles q^i y ont t recueillis


la

ce sont des formes marines

ou saumtres dont
Slanton
:

dtermination a t
/.

par un spcialiste, M. L.

W.

Inocerainus Barbini Morton,

sagensis

Owen, Cardiiim

speciosiim

M.

et II.,

sublrlgonalis . et S

Corbula undifera Meek, Corbicula cyiheriformis M. et H., Ostrea Unio cf. Endlichi White, Melania insculpta Meek,
,

Tyloloma Thompsoni Withe, avec des dbris de plantes sur des schistes bitu-

mineux.

Quelques remarques sur Inoceramus involutus Sow. du Crtac Sur nu chantillon d'Inoceramus suprieur, par M. PaulJodot. provenant de la Craie blanche du Pas-de-Calais, par M. Stan. MeuCe fragment de valve gauche dlnoceramus involutus provient de nier (r).

la

zone Micraster cor-testudinarium (Snonien),


le Prof.

il

a subi des ractions silitelle

ceuses dont
sorte

Meunier explique

la

gense

et

qui l'ont conserv de

que l'examen a pu en tre fait par M. Jodot qui confirme en partie les conclusions de M. H. Woods sur ce sujet, et notam^nent sur l'impossibilit de conserver le S. -G. V olviceramus Stol., dont le gnotype est prcisment cette espce. Toutefois, il est probable que M. Jodot n'a pas eu connaissance des rcentes discussions de M. J. Bhm ni des travaux de M. Andert sur la question, car il n'en fait pas mention dans sa Note.

Le Campanile du tuffeau de Ciply et du calcaire de Cnesmes, par La dcouverte d'un Campanile montien ajoute un chanon (2). au phylum de ce Genre M. Leriche a constat que le C: Briarti Rut. et v,
M. Leriche

den Brock, ne dpasse pas


Il

le

stade

II

de l'volution observe par M. Boussac.


j'ai

reproduit, cette occasion, l'erreur que


le

dj rectifie dans cette Revue,


Iseve

d'aprs laquelle
tandis

gnotype de Campant7e serait Cer.


Cer. giganleum

que

c'est

Lamk., d'aprs

le

Quoy et Gaim., tmoignage que j'ai

recueilli autrefois

de Bayle.

8urla position de rtage Libyen Zittel en Egypte et en Algrie, En rponse aux observations de M. Boussac sur par P. Oppenheim (3). le Nummulitique de la Haute-Egypte, M. Oppenheim conteste la possibilit

de mettre tout

le

Libyen de

la

que

Cai'dita gyptiaca Fraas


et

londiniennes ou cuisiennes

Haute-Egypte dans le Lutcien il maintient et Lucina gurnaensis 0pp. sont des formes il concde seulement qu'on n'a pas trouv de
;

(1) Paris, 191 3.

(2) Bruxelles, 1912. Pl. I.


(3) Paris, 1913.

Extr. Bull. Mus. Hist. Nat., 7 p. Extr. Ann. Soc. Roy. Zool.
C. R.

in-8".
et

Mal. de Belg.,
p. 107.

t.

XLVII, pp. 82-

Extr.

somm.

S. G. F., n

n,


Thantien en Egypte
question
et

i6

que

la

il

faut bien se l'avouer

base de l'Eocne semble y faire dfaut. Cette ne sera nettement tranche que quand

on sera en possession de trs bons fossiles, bien conservs avec leur charor, est-ce bien le cas de ceux de la colnire intacte pour les Plcypodes line de Thbes qui fait le point de dpart de la discussion ?
:

PlcyConchyliologie dn Ilioene moyen du Bassin de la Loire podes, par MM. O.-F. et Ph. Dautzenberg (O- Dans ce fascicule nous trouvons la suite des Carditidse, les Chamid, les Cardiidfe et les Arcidse. De mme que dans les livraisons prcdentes, la synonymie des espces connues est enregistre avec une richesse et un soin mticuleux les espces
;

nouvelles sont peu nombreuses

Pteromeris

Boisteli, P.

lamellosa,

Chama

laminosa Millet, nonien


identit

nudum qu'on
C.

aurait tort
et

s'il

de prfrer
;

rellement

Degrangei Coss.

Peyrot, rgulirement figur


le

auparavant
rieurement

Niiculana Lecointre, pourquoi ne pas reprendre

nom

Leda,

puisqu'il est actuellement


?

dmontr que Nuculana n'a

t publie

que post-

Pour

la

plupart des espces

qui sont comprises dans

un

sens

un peu

trop large notre sens

les

auteurs de cet excellent Mmoire admettent

nanmoins des variations qu'il faudrait plutt s'efforcer de limiter chaque niveau si, en effet, une coquille apparat dans l'Aquitanien pour se transformer dans l'Helvtien avec une constance qui permet de la distinguer pour peu qu'elle ne soit pas trop use, quel motif de ne pas admettre qu'elle a subi une transformation qui en fait une mutation reconnaissable et susceptible de prendre un nom diffrent ? Cela devient alors un bon fossile pour les stratigraphes.
:

Etnde comparative de fossiles miocniqaes recueillis la MartiL auteur nique et risthme de Panama, par M. Cossmann (2). expose que les fossiles dont il s'agit proviennent de gisements qui ont t depuis qu'on les a recueillis recouverts par l'ruption de la Montagne Pele, et que ces coquilles sont attribuables au Miocne moyen, c'est--dire contemporaines de celles de Gatun, l'isthme de Panama, ainsi que M. Dou-

vill l'avait

dj suggr par l'tude des Foraminifres

et

des grands Pecti-

nids {B. S. G. F., 1898, p. 692). Il n'y a qu'un petit nombre d'espces encore vivantes
d'entre elles ont t dj dcrites et figures

un

certain

nombre

comme

existant Gatun, par

MM.

Toula, Pilsbry et

Amos Brown

enfin les autres sont nouvelles et loca-

(i) Paris, igiS.


in-/(,

phot. d'aprs nat.


Ext. Journ. Conrh., vol. LXI, nj.
C/|

(2) Paris, 1918.

Mm.

S. G. F. Palont.,T.

XX,

fasc. .-2,

pp. 297-398,-Tl. XXIII, XXXIII

p., 5 PI., in-S.


Uses la Martinique, mais c'est
ventripotens,
la

17

minorit

Volvulella hypermeces,

Haminea
Toulai,

Mneslia

Boussaci,

Ballinella

marUnicensis,

Drlllia

D. Boussaci, Hdropleara heptagonalis, Euchilodon Morlerel Laville mss.,


trs intressante

forme qui

a la plication columellaire

de Mitra, avec un proles caractres

fond sinus au-dessus

de. la suture, c'est--dire

exactement

du

Genre Eachilodoii Heilprin (1880), reproduits sur un croquis au trait, dans la 3 livraison de mes Essais de Paloconchologie compare , en 1899 Conus Lavillei, Coniis martinicencis, C. darienensis ; Uxia miocnica, qui prou\e que
>

le

Genre Uxia a survcu l'Oligocne

Oliva Giraudi,

0/irella Boussaci,

Marr/inella mindiensis. Tarricula orthocolpa.

Sud

Les formations marines plioenes et quaternaires d l'Italie du L'auteur s'est propos et de la Sicile, par Maurice Ggnonx (i).

comme

but de fixer l'ge


la

et les limites

des formations,

si

riches en fossiles,
:

qui forment

ceinture

du bassin mditerranen occidental


il
il

il

parcouru
les

toutes les rgions qui constituent ce Bassin,


fossiles les plus caractristiques et

en a soigneusement tudi

en a

tir

des conclusions qui s'cartent


'

parfois de celles auxquelles taient arrivs ses prdcesseurs.

La tche tait ardue et complexe, tant cause de l'tendue de la zone envisage que par suite de la multiplicit des gisements tudier, aussi bien en
raison de la variabilit de la plupart de ces fossiles rcents qui rend trs
cile la
diffi-

synthse des couches o on

les recueille.

Cependant M. Gignoux s'en est tir son honneur, l'important Mmoire nous prsente constituera dsormais mme pour ceux qui en contesteraient quelques-unes des conclusions une base de discussion solide et surtout trs claire par son exposition mthodique. Sans nous arrter longuement la premire partie stratigraphique qui sort du cadre de notre analyse palontologique, nous insisterons seulement sur le parti que l'auteur a su tirer de la notion du cycle sdimentaire , hautement mise en lumire dans le trait de gologie de M. Ilaug on sait que ce terme s'applique au mode de remblaiement ou la succession invariable de sdiments qui se dposent entre le moment o commence une transgression marine et celui o, aprs l'accumulation de ces alluvions, se
qu'il

fait

ultrieurement sentir un

phnomne de

rgression

or, la succession

de

une rgion dtermine, doit permettre d'y tablir une sorte de chronologie, et pour synchroniser ensuite les formations distantes les unes des autres, il suffit de faire appel Ftude des faunes. C'est ce qu'a fait M. Gignoux il a tudi, d'une part, les dplacements de
ces cycles sdimentaires, dans
:

lignes de rivages successives dans la rgion considre, puis les listes de


fossiles, limination faite des espces

banales, en ne prenant que


fig.

les

formes
phot.

(i) Lyon, 1913. Vol. in-8 de 698 pages, avec 42 d'aprs nat. (Ann. Univ. Lyon, nouv. sr., fasc. 36).

et 21

PL, dont

iG

de

foss.

actuelle.

iS

Pliocne
le

qui se sont modifies sur place, entre

le

plus ancien

et

l'poque

la monographie de chacun des de la Sicile, des ctes de Galabre. de la Sicilien Miocne et de gisements de France. d'Espagne et mme de la Sardaigne, pour aboutir immdiatement la cinquime partie de l'ouvrage, dans laquelle M. Gignoux a repris l'histoire des principaux groupes de Mollusques marins pendant le Pliocne et le Quaternaire. Les Plcypodes, les Gastropodes, les Scaphopodes et les Brachiopodes y sont successivement passs en revue. Famille par Famille, avec pins mauou moins de dveloppements suivant qu'il s'agit de bons ou de

Nous passons sur les chapitres consacrs

((

vais fossiles.

l'appui de celte discussion, l'auteur a fait figurer les formes les plus
fait caractristiques, et a pris

remarquables, d'aprs des chantillons tout


soin de dvelopper
le texte

non seulement en prcisant bien les niveaux d'o proviennent les types figurs, mais encore en les accompagnant de remarques phyltiques. notamment en ce qui concerne la survie de ces
des lgendes,

espces pendant l'poque actuelle

Les Strombes
Tritonium,
rdiiis Riener).

(S.

bubonius Lk.).
l'crit

les

Cnes,

les

Eiiirilonium (et

non pas

comme
Mya

tort l'auteur), les

Trtlonidea (Canlharas viver-

truncala Lin. et ses varits ou plutt ses mutations, les

(Ihiamys, les Cardlum, Cyprina islandica Muller. Tapes rhombodes Pennanl.

avec la nouvelle varit calahrensis du Sicilien de Monte-Pellegrino, Ana-

dara syraciisensis Mayer. Chana placenlina Defr., Macira (Pseudoxyperas


rhegiensis nov. sp., Terebraiiila ampulla
Pir..

forme Sci/hv Seg.. Liolhyrina

minor

Phil. et Magellania sepl/fera Loven.


citer

Nous nous sommes borns


vante
:

quelques exemples de cette longue nu-

raration. afin d'arriver aux conclusions qui se

rsument de

la

manire sui-

Le fait indniable est l'existence d'un certain rhythme d'ensemble dans les dplacements des lignes de rivage de toute cette contre. Au dbut du Plio-

cne

l'altitude

commence partout une grande transgression amenant la ligne de rivage maximum. Le stade de maturit n'est pas partout exactement
Ensuite,

contemporain.

jusqu' l'heure

actuelle;

c'est

un abaissement

gnral des lignes de rivage, coup certainement de transgressions

momenla

tanes et d'amplitudes successivement dcroissantes. Mais l'volution de

faune marine apparat ,comme relativement lente par rapport l'volution


des formes du terrain.

E.

Observations sur quelques espces ou Sous-Genres de ScalidaB, par Cet article est principalement consacr des rectificade Boury (i).

(i) Paris,

lyio.

.Jnurn. (j'jnch

\ol.

L\l, pp.

(Jj-ii:->.

lions
les

19

de nomenclature rendues ncessaires par suite de doubles emplois


la fin

on

trouvera repres ci-aprs,


:

du prsent nuniro

il

y a aussi quel-

ques nouveauts Kuj^atiscala (G. -T. S. Levesquel de B. Eoc), tandis que Faniscala tombe en synonymie de Bifidoscala Cossm. C'ylindriscala (G.-. S. acus Watson, Viv.) diffre le PUciscala par l'absence de ponctuations et par son pristome moins largement bord.
;

Ueber einige Selinecken aas dem DiluYium und hre Bedeutau^ fur die FirmittluD^* des Klimas. von D. Geyer ). L auteur expose que ce
( i

n'est pas l'espce,

mais

la

race qui peut servir prciser la nature des cliet

l'on retrouve

le Diluvium o Leprocdne seraitvidemment pas d'une application aussi simple dans des terrains o il n'existeque des

mats dans

les

rgions fossilifres

plus particulirement dans

exclusivement
et

les espces actuelles.

espces teintes

il

faut alors se guider parla simple analogie des mutations


s'il

avec les formes actuelles, surtout

s'agit

de coquilles marines.

mthode peu russir donner des indications utiles Zoniles aciepformis Klein, du Diluvium de Cannstadt, compar k Z. veriicillus Fr., du Sud-Est de l'Europe; Hlix (Ilygromia) suberecla Clessin, du Loess de Ratisbonne, avec H. moniana Studcr Papa (Verilgo) Genesl Gredl., d'Augsbourg ou de Darmstadt, avec P. pnrcedenlaia Braun.qui peut se confondre avec P. a/pesQuoiqu'il en
soit,

l'auteur a cit quelques bons exemples o cette


:

Iris

Aider.

Beitrage znr

Geyer

(2).

C'est

Kenntniss des Qnart^rs in Schwaben, von D. une tude plutt stratigraphique, relative sept giseles listes

ments de
mettent

la

Souabe, o

par une analys biologique de fixer exactement


Amiantis and Pitaria, by A
s'est fait

de fossiles soigneusement dtermins perle niveau de cha-

cun d'eux.

On

Callista,

J.

L'auteur

qui
:

Jakes-Browne

(3)

revient encore sur la

de l'tude des Genres de Venerld question des formes confondues avec Meretrix, et con-

une

spcialit

trairement l'opinion mises par


distincts

M.

Dali (1902),

il

admet

trois

Genres

Callista Poli, avec

nire a

Conr

deux Sections (MacrocaUisia et Callistlna, cette derpour G. -T. Cylh. plana Sow., du Crtac) les Sous-Genres Aphrodina Lepidocardia Dsd\, Transenella Dali et Twe/ma Cossm.
;

IL Amiantis Carp. avec

la

Section Lamelliconcha Dali.

(1) Karlsrulre,

igiS.

(0
(3)

Slutlgai't, lyiS.

Londres, igiS.

Mitt. oberrhein. Geol. Vei\ Neue folge, Bd. Ver. Aal. in Wiirlt. G9 Jaliro., pp. Proc. inalac. Soc. vol. \, pari. 005-0^7.
]'at.

III,

pp. 9S-112,

PI.

Nil.

-'.^--'io^.

m.
(G. -T.

Pitaria
.

Rmer,
C.

avec
et

les

Sections Calpitaria
Dali.,

citrina

Lk.)-

Agriopoma

zoiia

(G. -T.

milnerata Brocl.),

Browne, Pitarina OalliCallocardia, A. Adams, Tieucotliea


J.

les

Sous-Genres

(G. -T. Callocardia Birdsi Prs ton).

nire,

Ce nouvel arrangement, fond sur l'examen de la disposition de la charparat devoir mettre fin aux discussions qui s'taient leves ce sujet, car il donne satisfaction aux principaux desiderata.

CPHALOPODES
par M. Paul LEMOINE.

M. Buckman Yorkshire type Ammonites, by S. S. Buekman (i). et un zle digne d'loges, l'uvre considrable qu'il a entreprise de dcrire tous les types d'Ammonites du Yorkshire
poursuit avec une persvrance
ce travail a dj t signal
;

ici

maintes reprises
;

dans

le fascicule actuel

on

les Genres nouveaux Le Genre IVIiytbyceras dont le gnotype est Ammoiilles pinguis Simpson ce Genre est trs voisin de Brodiceras et aussi de Pseudogrammoceras Dans la nouvelle Famille des Echioceratids, l'auteur a cr le genre ag;atieeras dont le type est Ammonites gagateus Y. et B., et le Genre lefos-

peut signaler

ches de M.

siceras dont le type est Ammonites dejosseiis (B.) S-. Les trs bonnes Buckman rendront certainement de grands services.

plan-

Je suis de plus en plus persuad, par contre, que sa pulvrisation du rend les plus il ne s'agit plus maintenant de l'miettement Genre mauvais services la palontologie, en laissant de ct les questions, beau-

coup plus intressantes, d'volution.

Snr qaelqnes Holeodiscns iiouYeanx de rHaaterivien de la Bgnde, par La Palnde (Basses Alpes), par MN. Kilian et P. Reboni (2). Dans cette Note, M. Kilian figure 3 espces Spitidiscus crimicus Kilian,
:

la

Sp. rotdlata Sow. var. injlaia Kilian

et var.

tuberculata Kilian. L'apparition

de ces diverses formes d' Holcodiscus dans l'Hauterivien du Sud-Est de France n'avait pas encore t signale.

Au
(i)

point de vue phylogntique, M. Kilian pense que Spitidiscus crimicus

London.
I

igiS.

(2) Paris,
3

igiS.
PI.

Assoc. franc.

Part. X, p. V-VI, 9 PL, desc. 75-88. (W. Wesley, diteur. Avanc. Se, Congrs de Nmes, igia. Mm. liois vol.,

pages,

est

une forme ancestrale de


;

Spitidiscus Perezi d'Orb. et de Spitldiscus Seu-

nesi Kil.

que, d'autre part, Spitidiscus rotula Sow. est la souche de formes

comme Spitidiscus druentiacus Kil. 11 rappelle qu'un autre Groupe d'Holcodiscus (Astieridiscus Kilian) drive par une srie continue de formes intermdiaires, du groupe hauterivien de Holcostephanus Jeannoti d'Orb. que M. Kilian continue dnommer gnriquement Astieria. Au point de vue de la diffusion, il me parait regrettable que rx\ssociation franaise ait fait d'une note aussi courte et aussi importante un Mmoire hors volume de trois pages, alors qu'il aurait t plus intressant de la publier dans le corps du volume.
barrmiennes

Das bathyale Palaeocretaeiam im sudstlichen FraDkreich ; Apt Stnfe; Urgonfaeies im sndstliehen Fraakreich, von M. Kilian (i) Ce fascicule est la suite de la remarquable description gologique et palontologique du Crtac infrieur du Sud-Ouest de la France que M. Kilian poursuit dans Lethsea geognostica (2). On y trouvera de prcieux documents stratigraphiques, ainsi que de remarquables synthses sur la rpartition des facis. Bien cjue des notes prliminaires aient t donnes dans plusieurs

priodiques franais, en particulier en ce qui concerne


facis

la rpartition

des

urgoniens

(3),

il

est

bien regrettable qu'un travail de cette importance

ne

soit

pas publi en franais


franais
ici

serait-il possible d'en

et dans un priodique franais. Peut-tre donner un jour une traduction ou un rsum dans
?

un des priodiques

Je n'ai m'occuper

que des documents palontologiques fournis par

M. Kilian sur les Cphalopodes. Les donnes sur la faune de l'Aptien sont particulirement prcieuses.
Les Belemnites de l'Aptien se rpartissent entre quatre Genres
Hibolites,
:

Duvalia,

Neohibolites,
il

Oxyteuthis

l'auteur tudie avec soin

chacune des

espces et

tablit leur rpartition stratigraphique.


le

un nom de Genre trs mauvais qui ne M. Kilian le rappelle lui-mme; le mot Hibolites a t cr par Montfort dont la figure se rapporte probablement Duvalia Emerici, il semblerait donc qu'il y ait lieu de faire disparatre ce nom que l'on est amen employer maintenant non pas dans le sens primitif que lui donnait Montfort, le crateur du Genre mais dans le sens que lui

Dn

sait

que

nom

Hibolites est
et

devrait pas tre

employ

(i) Stuttgart, igiB.

Ext. Letha geognostica, IL Teil


;

Das Mesozoicum,

Band Kreide,

pp. 289-898, PI. IX-XIV. (2) Voir l'analyse dans la.' Revue de Paleozoologie, oct. 191 1, p. 239-245. (3) Un rsum des donnes relatives la rpartition des facis de l'Urgonien dans le Sud de la France a t publie par M. Kilian Sur une carte de la rpartition des facis urgoniens dans le Sud-Est de la France . A. F. A. S., Nmes, 1912 (paru en 1918), pp. 3i-365 (1 carte en noir dans le texte).
erste Abteil. Unterkreide Paleocretacicum

donne Mayei-Eymaf il est probable qu'il faudra, dans un avenir prochain, se dcider crer un nouveau nom de Genre pour ce groupe. Le Genre Oxyteathis a t cr par StoUey par dmembrement de l'ancien Genre Cylindroteiithis Bayle, qui comprenait effectivement au moins deux phylums distincts Oxyteuthis et Acrofeiithis. Mais on peut se demander si Stolley n'a pas t trop loin et s'il n'aurait pas d conserver le nom de Cylindroteathis pdur l'un des groupements, ainsi que l'exigent les lois de la
; :

nomenclature. on notera que Ly Laceras Les Lytoceras se rpartissent e;i six rameaux s'appeler doit Lytoceras Jacohi Kilian on Raspail) (non Duvalianum Jacob rameau de mme Lytoceras L. Jacohi Kilian et dans le dsormais aura donc
; ; :

L. Kiliani Jacob, ce qui,

dans

l'avenir,

pourra prter des lapsus calami

regrettables

l'ide

Les Phylloceras sont rpartis en quatre phylums. M. Kilian s'lve contre du dimorphisme sexuel des qu'a mise rcemment M. Jullien

Phylloceratids

il

pense que

c'est

samment
Uhlig.

l'onde sur les faits.


lit t.)

loceras Paquieri (Sayn ui

une notion encore prmature et insuffiJe signalerai comme noms nouveaux Phyl Ph. Ernesti Uhlig in Sayn (Dj. Ouach) non

Desmoceras sensu Desmoceras se partagent entre quatre Genres Kilian et Piizosia. propose le nom Barre-^ IJhligeUa M. SayneUa, stricto, intcs^ pour le Groupe de Desmoceras difficile il comprendra Desmoceras psilotatiim Uh.. Desmoceras streptosioma Uhl. Desnioceras cassida Raspail,
Les
: ;

D. cassidoides Uhlig.

Revenant sur une question de nomenclature que j'avais souleve (/fc^uue de Palozoologie, ib" anne, n" 3, juillet 19 1) propos du gnotype de Desmoceras. M. Kilian propose d'abandonner le nom Desmoceras pour de
crit.
1

et de le conserver comme un grand groupe polyphylon reconnatrait un certain nombre de groupes monophyltiques comme Barremites, Beiidanticeras, Latidorsella, SayneUa, etc. C'est alors le mme problme qui se pose JDOur Holcodisciis et Astieria est videmment commode; mais elle est contraire aux lois la solution

petits

groupements

tique dans lequel

actuelles de la nomenclature,

il

faudrait en proposer la modification au

Congrs

(i).
le

M.
troit

Kilian dsigne sous

nom

Uhligella involata,
elle

une

varit ombilic

de Uhligella impressa d'Orb.,

s'oppose

la varit

ombilic large,

Uhligella Zurcheri Jacob.

pour oprer correctement (i)En atleiidant, on doit reprendre le vritable gnotype de Desmoceras, selon l'auteur de ce Genre, et lui appliquer Desmoceras car il faut toujours qu'aprs limination successive des types des nouveaux Genres ou S. -Genres dmembrs d'un Genre primitif, il reste au moins une espce pour reprsenter ce dernier. (Note de la
:

Direclion).

deux phylums Piizosia Einerici Rasnouveaux, on peut citer: Puzosia Paronai (i) Kiltan, cre pour la figure 2 de Desmoceras merici, Parona et Bonarelli (Escragnolles), tandis que la figure de la mme espce des mmes auteurs est bien P. Einerici typique; une autre varit de Puzosia
Les Puzosia sont reprsents par
les
:

pail, et

Puzosia Malheroni d'Orb.

Gomme noms

merici
laia

est

dsigne sous

le

nom

alpina.

11

dsigne sous

le

nom

slrangu-

une forme mince de Puzosia Aiigladei Sayn. Les Oppelia qui taient assez rares dans les couches les plus basses du taient dj devenues plus abondantes Palocrtac du Sud de la France

dans

le

Valanginien, l'IIauterivien
:

et le

Barrmien o

elles s'taient dj

par-

tages entre les devix groupe*

Oppelia sensu stricto et Streblites Hyatt.

du groupe Oppelia Nisus d'Orb. ont une ligne suturale qui beaucoup celle de Oppelia subradiata du Jurassique c'est ce groupe de Oppelia Nisus qu'il faudrait restreindic la dnomination gnLes Oppelia
rappelle
;

propos par Stolley. que le Genre Streblites a t propos par Hyatt pour le groupe de Ammonites pictus cos talus du groupe d'Oppelia te nuilobata. \jh\] g a dcrit, des Spiti shales, un certain nombre de formes (gr. de Ammonites Krajti Lhlig) qui se distinguent du groupe d'Oppelia tenuilobata par une ligne suturale beaucoup plus complique et qui doit former un petit Genre spcial (JJhllrique de
y4rfo//>/ia

On

sait

gites Kilian).

extrmement abondant et trs riche en formes apparat dans l'Aptien infrieur pour la premire fois il est probable qu'il drive de Paraspiticeras, groupe qui est trs dvelopp dans le Barrmien et dans l'Aptien, et aussi de Himalayites qui est tithonique et valanginien. Ce Genre Douvilleiceras s'panouit dans l'Aptien suprieur et dans le Gault. Toutes les formes de l'Aptien infrieur sont trs voisines les unes des autres, et il est impossible d'y distinguer des rameaux
est
;

Le Genre Douvilleiceras
les

dans

couches aptiennes
;

il

distincts. Certaines espces de l'Aptien suprieur passent des Acanthoplites


et

doivent tre spares de Douvilleiceras sensu stricto.

Le rameau de Douvilleiceras Albrechti Austrise


l'Aptien infrieur et est caractris par le

est surtout

dvelopp dans
le

manque de

nodosits sur

bord

siphonal. Le

rameau de

Douvilleiceras Martini est rare dans l'Aptien inf-

nombreuses nodosits rameau de Douvilleiceras pretiosum constitue, d'aprs Jacob, un passage au groupe de Douvilleiceras noclosocostatum, du Gault. Le rameau de Douvilleiceras Bigoureti a t rattach avec raison par Sintzow aux Acanlhohoplites ce groupe prend un grand dveloppement dans le Gaalt et mne aux formes du groupe d'Acanlhoceras milletlanum.
rieur et se dveloppe dans l'Aptien suprieur, avec de
et

pas de ctes. Enfin,

le

(i) Paronai et non Parona'. moins que respce soit d('di(''e melle est d'ajouter au nom du parrain d'une espce, ia s'il s'agit de la marraine de l'espce. {Note de la Direction).
i

\1"

Parona:' La rgle

l'ors'il

s'agit

d'un Genre,

w.

ont t r.unis par Jacob snus

24

Les HoplUes de l'Aptien infrieur se divisent en deux grands groupes qui

Genre avait

t cr par
;

Acanthoceras

le

la dnomination commune Parahoplites Ce Anthula pour des formes de passage entre Hoplites et Genre a t ensuite amend par Jacob M. Kilian l'entend
;

dans un sens encore plus


Sintzow, un grand

troit et

en spare, sous

le

nom

Acanthoplites

nombre

d'espces qui en diffrent la fois par leurs lignes

suturales et par leur sculpture et qui, par l'apparition de tubercvdes lat-

raux, rappellent dj Douvilleiceras.


1

Un

premier rameau

est celui

de Parahoplites Deshayesi qui driverait


et

directement de Thurmanni, Genre hauterivien


le

barrmien. M. Kilian cre

nom
2

Parahoplites Deshayesi var. rhodanica, pour Hoplites Deshayesi,


et

Neumayr

Uhlig

(pi.

XLV, non Leymerie).


t cr

Le rameau Acanthoplites a

par Sintzow pour Acanthohoplite's

aschiltaensis qui possde, entre autres caractres, des ctes avec tubercules.

Dans

cette srie se trouvent, l'extrmit

de

la srie

de formes qui mne


et

Acanthohoplites,

Ammonites

crassicostatiis

d'Orbigny

Amm.

gargasensis

d'Orb. M. Kilian cre dans cette espce les nouvelles varits recticostaia et
attenuata
3 Enfin, le

groupe de Neocomites comprend des formes


et ISeocomitesfurcatiis

comme

Neocomites

neocomiensis d'Orbigny
Il

SoAverby, et tiirensis Kilian.

rsulte de cette analyse dtaille

que

le

groupe

mme
et

d'Hoplites sensu

stricto (em.

Jacob) est

un groupe polyphyltique.
des Douvilleiceras,

Les Ammonites droules, du groupe des Hoplites

jouent dans l'Aptien un rle considrable. M. Kilian a essay galement de

groupe de Crioceras le groupe de Crioceras Emerici, le groupe de Crioceras Villersianum, le groupe de Crioceras pulcherrinum, de Crioceras Tabarelli, le groupe des Leptoceras Les Ancyloceras seraient, d'aprs M. Kilian, le rsultat de la convergence de formes provenant la fois de Crioceras et d'Ammonites il y distingue un certain nombre de groupes secondaires, et arrive cette conclusion que le groupement incyloceras est polyphyltique, tirant son origine en partie des Crioceras, en partie des Acanthodiscus (Hoplites neocomiensis), des Acanthoil peut former soit des Toxoceras, plites, des Parahoplites des Sarasinella soit des A ncyloceras (dimorphisme ?) Le rameau des Bochianites parat avoir disparu, ou du moins n'est plus un groupe qui se distingue par la prreprsent que par de rares espces sence de deux sries de tubercules latraux et par ses ctes qui traversent la
les

grouper d'une faon philosophique.

Il

distingue

le

Duvali qui constituerait un terme de passage aux Ancyloceras,

rgion ventrale, par le manque d'une troisime range de tubercules, c'est le Genre Ammonitoceras devant lequel Astiericeras doit tomber en synonymie ce rameau descendrait de Acanthoplites Les Heteroceras comprendraient la fois des Acanthoplites et des Parahoplites. Comme espces nouvelles, on peut
;
.


citer
:

25

Crioceras Puezianum Kilian cr pour Ancyloceras

Haugi cr pour Ancyloceras hadioticum Haug non Uhlig, et Zitteli Haug non Uhlig, Quelques bonnes planches accompagnent l'ouvrage et illustrent les espces
(Jrioceras

les

plus critiques.
faut remercier M. Kilian d'avoir

Il

aussi complte des Cphalopodes de l'Aptien

donn une analyse aussi approfondie et du Sud-Est de la France, elle


le
si

aidera beaucoup le lecteur se retrouver dans

ddale des
riche.

trs

nom-

breuses espces qui ont t cres dans cette faune

ECHINODERMES
par M.
J.

LAMBERT.

Ce beau Oaradoeian Oystidea from rirvaii, by F. A. Bather (i). Mmoire, manant de l'un des savants qui connat le mieux les Cystids, prsente un grand intrt. Dans une premire partie descriptive, l'auteur expose la place des formes par lui tudies dans la classification gnrale des Cystidea. Le Genre Dendrocystis Barrande, de la Famille Dendrocystid, se place dans le Sous-Ordre Heterostellea de l'Ordre des Amphoridea, correspondant aux Carpoidea de Jaekel. M. Bather montre la place des Dendrocystidse parmi les Heterostellea et, contrairement Jaekel, y met Rhiphidocystis, dont il figure un bel exemplaire et en rapproche le singulier Platycystites Faheri. Quant aux caractres du Genre, ils sont soigneusement et trs compltement tudis chez le type {D. Sedgwicki Barrande) et les espces nouvelles D. Barrandei, D. scotica, et aussi chez D. rossica Jkel et D. paradoxica Billings
:

(Syringocrinus).

La Famille des Cotlturiiocystidae renferme le G. nouveau Cotliuriiocystis avec deux espces C. Elizse et C. ciirvata, dcrites clans tous les
dtails

de leur organisation. L'auteur recherche quel pouvait


il

tre le

genre de
et

vie des Colhurnocystis, puis

examine leur

affinit

avec Ceratocystis

Tro-

chocystis dont

il

figure

une espce de Bohme

{T. hohemica) et l'autre de

l'Hrault (T. Barrande).

L'Ordre des Rhombijera fournit encore l'auteur l'occasion de discuter


classification

la

de Jaekel. Les figures donnes sont d'ailleurs indispensables l'intelligence de cette discussion. L'introduction dans la classification d'une Superfamille des Glyptocystidea ne semble pas trs heureuse au point de vue
(i) Edimbourg-, 1910. Iii-V, 170 of Edimburg, vol. 49, part. 2, n 6.

p.,

80

fig. et 6 PI.

Ext. Transactions of the lioy Soc.


Taxonomiquc. Nous avons dj
Familles
les
et les

26'

les

Sous-Ordres,

les

Familles,

les

So\is-

Tribus
la

et ces

divisions sont suffisamment

nombreuses pour
de

besoins de

Science. Si

chacun peut,
la

sa fantaisie, en introduire

nouvelles, nous tomberons bientt dans une complte confusion.

Le Genre Cheirocrinus Eichwald, de


d'une tude approfondie
;

Famille Chelrocrinid, est l'objet


:

il

fournit deux espces cossaises nouvelles

C. constrictus et C. inierruptus.

tudi dans tous les dtails

sont dcrites et figures

les

Le Grenre Pleurocystis Billings est galement de son organisation. La plupart de ses espces formes nouvelles sont P. procera, P. qiiadraia,

P. gibba, P. foriolus.

Dans une deuxime


des Genres tudis
tution anatomique
leurs caractres
;

partie, l'auteur
il

examine

la

distribution stratigraphique

puis
il

passe en revue

les traits essentiels

de leur consti;

discute leur classification mthodique


;

il

recherche

morphologiques

il

tudie leur biologie.

IX : Cydonocrinns parvnlus, by F. A. British fossil Crinoids Le Genre nouveau Cydonocrinus rentre dans la Famille Bather(i). des Taxocrinid; il a pour type C. parviilus (iiov. sp.) des Yoredale' Beds (Dinantien sup.) du Yorkshire. L'auteur indique avec soin les caractres qui le distinguent des Taxocrinus, mme en l'absence des bras, encore inconnus dans le Genre nouveau.

Psalidoerinns, a

new ^enus of Orinoidea from


Bather
(2).
;

t)ie

Stramberg, by
la

F. A.

Cette Note se

divise en

Tithonian of deux parties


:

que l'espce-type a t mais il dcrite par lui en 191 2 comme Eugeniacrihiles strambergensis croit prfrable de la placer aujourd'hui dans un Genre nouveau Psalidocrintis. Dans la deuxime partie, M. Bather distingue spcifiquement un
premire
est

de M. Rennes

celui-ci- rappelle

autre individu

du mme gisement sous

le

nomlP. Rennesi.

New aud interesting: fossil from the Devonian of New-York, by L'auteur tablit un Genre nouveau TricliotocriAxel OlSSOn (3). nus, voisin de Melocrinus, mais qui n'a dans sa pense qu'une valeur sub-

gnrique.

l'espce-type

Partisan d'une nomenclature trinominale (4), il dcrit donc comme Melocrinus {Trichotocrlnus) HarrisL Les autres espces

p. 388.

Londres, 1910. Octobre 1910. (2) Londres, igiS.


(i)

ln-8', 7 p., 5 lig. Ext. Aiin.


p., 8
llg.

and Mag. of Nat.

Hist., sr. S, vol. XII,

In-^,

(i

Ext. Geol. Maga:., n. ser.

Dec. V, aoI. X, p.

0^16.

Aot
(3)

19x3.

New- York,
11

191a.

ln-8, 7 p., 2 PI. Ext. Bull.

Amer.
<(

Pal., n 20, p. 23.

Dcembre

1912.

y a lieu d'observer que le fait consistant mettre entre parenthses le nom du trinominalit qui consiste mettre Sous-Genre ou de la Section ne constitue pas la deux noms une espce c'est d'un usage courant, pour viter au lecteur de se reporter aux tableaux de classilication {Note de la Direction)
(6)
:

27

Qouvelles sont Melocrinus Williamsi et M. reticiilaris

En terminant,

il

ligure

Echinocaris punctata Hall, qu'il place clans

la

mme

Famille Melocrinidse.

The evolntion of the eretaceous Asteroidea, by W. R Spencer


Ce beau
et trs intressant
si

(i).

Mmoire
le

vient heureusement complter les

les Astries de la Craie. Il Gologue stratigraphe, puisqu'il permet la dtermination prcise d'articles isols, seuls dbris que l'on rencontre habituellement, alors que jadis cette dtermination exigeait des fragments

prcdents et

importants travaux de l'auteur sur

est particulirement prcieux

pour

importants, toujours des plus rares.


et montre dans un dveloppement stratigraphique des principaux Genres. 11 faut toutefois regretter que, dans son chelle des terrains, il en ait confondu deux aussi distincts que le Danien, incontestablement crtac et le Montien avec afBnits tertiaires plus marques. L'auteur indique, il est vrai, dans le Montien de Laversines, deux espces nettement crtaces, Siaurander aster bulbi-

Spencer reprend l'tude des caractres des osselets


le

tableau

J'erus et Melopasier maniillaLus


tainville,

J'ai

recueilli

des osselets semblables

Mon-

simplement ces dterminations. Ces deux Astries seraient d'ailleurs, les Bryozoaires et autres animaux trs infrieurs mis part, les seuls fossiles crtacs ayant continu vivre dans le Montien Cette seule considration semble de nature faire hsiter. L'Ordre le plus important au point de vue des espces fossiles est celui des Granulosa avec la Famille Pentagonasteridse Le groupe Metopaster y com2 celle de M. uncatas prend quatre sries i celle de M. Parkinsoni 3" celle des Mitraster 4 celle de Metopaster undiilatus Les espces nouvelles sont M. exscalptus, M. tiimidas, M. decipiens, M. undiilatus, M. c'ristagalli. z\ ct de Crateraster, un nouveau Genre est tabli, Teicliaster avec une espce, T'.yat)osii5. Dans la srie Pycnaster, P. humilis et P. magnijiciis sont nouveaux. Dans le groupe CaUlderma un Sous-Genre nouveau est propos, Tylaster ayant pour gnotype C. Smithise Forbes, tandis que deux formes nouvelles rentrent dans le Genre Clioinastei* ; ce sont C. prsecursor et C. acules. Les sries suivantes sont celles des Oplirysaster, Comptonia et Tracliyastek* (non Pomel, i883j. Je propose de changer ce dernier terme en i^pencerastei*. Dans la Famille des Stauranderasterid vient prendre place une espce nouvelle: Siaurander aster gibbosiis. Dans la srie Tliolaster (non Sennes, 1890), le nomade ce Genre devra tre chang en Valettastei*. Dans l'Ordre des Paxillosa et la Famille Astropectinidse est tabli le Genre liopliidi aster avec deux espces L. ornalus et L. pygmus.
mais
j'hsite confirmer
! .

(i) Loiulrcs,

1918.

In-V,

f^o

p., 7 PI. Kxt. Philos.

Trans. Roy. Soc. of London, sr.

vol, ao/|, p. 99.


Un
Genre de Forbes,
d'oeil

aS

le

position

encore incertaine, Artrasther, devient


le

type d'une srie dans laquelle entre

Aprs un coup
dies,

sur la

Genre nouveau Pliocidaster. rpartition stratigraphique des formes tudes individus et des races et en

M. Spencer examine
les

les variations

recherche

causes.

Echinides eallovieDs du plateau de Cesareda (Portugal), par

J.
t

Lambert

(i)-

La plupart des espces de ce gisement avaient dj


;

dcrites par de Loriol

les

nouvelles sont seulement

un

trs

beau Diplocidaris

{D. Choffati), Rhabdocidaris liisitanica et Acropeltis lusitanica.

L'tude de Rhabdocidaris copeoides Agassiz (Cidaris) m'a conduit en


le tyye, qui tait de l'Oxfordien de Latrecey (Cte-d"Or), identique complet du Callovien d'Etrochey figur par Cotteau. J'en spare les radioles du Bajocien de Sully sous le nom R. bajocensis et aussi un fragment

rechercher

au
de

test

test du Bathonien de la Sarthe. Le R. caprimontana Cotteau, est pour moi une simple varit de R. copeoides mais R. caprimontana, de l'Echinologie helvtique, tombe dans la synonymie de R. Orbignyi.
;

cerre, par J.

Note snr quelques Echinides reeueillis dans Vt&ge Alben de SanLa premire partie de cette Note est surtout Lambert (2). stratigraphique. Quant aux espces sancerroises, communiques par M. Curet, elles appartiennent toutes la faune du Bassin du Rhne, indiquant, pour la partie mridionale du bassin de Paris, une communication plus directe et plus libre que celle du dtroit Morvano-vosgien. Catopygus cylindriciis et Holaster Perrezi sont, pour la premire fois signals dans le Bassin de Paris dont la faune s'enrichit encore d'une espce jusqu'ici considre comme spciale l'Aptien de Grandpr, Hemidiadema riujosuin

Agassiz.

Etude supplmentaire ^nr quelques Echinides des couches Les nouvelles recherches de Rndistes de Oosau, par J. Lambert (3). M. le Prof Flix de Leipzig m'ont permis de mieux caractriser certaines espces comme Phymosoina microphyma et Cyclaster Felixi. Goniopygus marticensis est signal Gosau. Un Micraster, qui n'avait pu tre spcifiquement dtermin en 1907, est reconnu comme appartenant une espce nouvelle M. gosaviensis, du groupe de M. corangiiinum.

(i)

(2)

Combre, igio. Auxerre, igiS.


uji3.

In-, 8 p., ln-8, 8 p.

la-8, G p.,

PL

Ext.

Ext. Communie. Serv. gol. Porl., t. Bull. Soc. Se. hist. nat. Yonne,
Pal.

IX., p.

71.

sem.

191

2,

p. 81.
(3) Bruxelles,
t.
r

PI. Ext. Bail. Soc. Belge de Gol.

Hydrol. Mm.,

27, p. 3.


teur

39

(i)

Die Loweiiberger Rreide nnd ihrefanna, von H. Senpin


signale dans la faune tudie huit Echinides et trois
figures

L'au-

Astries. Les

du

texte sont

bonnes, mais

celles

de

la PI.

XV

ont

les

inconvnients

des reproductions photographiques et indiquent peine les caractres des


espces. Ce sont d'ailleurs
vais.

videmment des
(fg.

clichs de dessins plutt

mau-

Catopygus

cj.

pyriformis

ii)

tronqu en arrire, carn en dessus,

n'a ni la forme ni la priprocte soit de VEchinites pyriformis Leske OoloOolopygus grapygus pirijorinis, soit du NucleoUtes pyriformis Goldfuss cilis Lambert c'est encore un vrai Catopygus, plutt voisin de C. conformis

Agassiz. L'individu fg
langus),

7 est peut-tre

Cardiaster ananchytes Leske (Spa-

confondu par l'auteur avec C. granulosus. Mais la figure est trop mauvaise pour que l'on puisse l'affirmer. Cardiaster nov. sp. (fig. 12) compar C. jugatus Schlter, en diffre absolument il se rapprocherait plutt
;

de C. truncatus Goldfuss (Sptangiis). Epiaster spec.


tres

(fig. 9)

a tous les carac-

d'un Hemiaster
{fig. 2),

en tous cas ce n'est pas un Epiaster. Enfin, Schizaster

Sturmi

cr sur

un

dbris peu prs indterminable, n'a ni la forme


11

ni le ptale

impair d'un Schizaster.

parat assez voisin de S.

Rmeri,

lequel n'est d'ailleurs pas davantage

un

Schizaster.

Les Astries tudies sont Stellaster Schulzei


culifer Drescher, et

Rmer

(Asterias), S. tiiber-

un Astropecten indtermin.

Catalogne des invertbrs fossiles de l'^ypte, par R. Foartaa. Terrain tertiaire. 1 " partie Eeliinides oenes (2). Cet important Mmoire constitue une sorte de Rvision des travaux antrieurs de Loriol,
:

Gauthier, Grgory et de M, Fourtau lui-mme. Je n'ai signaler,

comme

que Orthechinus farafrahensis. En citant Clypeaster Breunigi dans l'Eocne, l'auteur omet malheureusement de nous dire s'il s'agit de la forme typique, ptales ferms, du Stampien, ou de celle ptales ouverts, du Priabonien-Tongrien du Vicentin,ou de celle encore diffrente, figure par de Loriol, et que je viens de nommer C. Fouriaui. M, Fourtau tient essentiellement rtablir dans la Mthode le Genre Gisopygus Gauthier que j'ai propos de runir k Eurhodia Haime. Pour justifier son opinion, il attribue ce dernier des ptales atrophis (!!) un apex trs excentrique et un priprocte transverse sans rostre. Or ce rostre n'est pas

nouveau parmi

les Rguliers,

plus saillant, ni l'apex sensiblement plus excentrique chez ses Gisopygus,

dont certaines espces seulement sont largies en


que- le

arrire.

L'auteur consacre plusieurs pages des arguments pour essayer d'tablir

Genre Pygorhynchus Agassiz (1889)

est

nul

et doit tre

remplac par

(i) Stuttgart, igi.

In-4 (Sur les

Echinodermes,

7 p.,

fig.,

PL)

in

Paleontographica

Supplment IV, p. 260, PL XV.


(2)

Le Caire,

igi'6.

ln-h,

gip-, 6 PL

Sole Genre diffrent Pygorhynchus Agassiz (1847). Disons simplement que pour l'adoption du Genre (deuxime manire), il suffirait qu' Agassiz, en 1889, ait plac nommment dans son Genre une seule espce tertiaire. Or, il n'en cite pas une seule, ni page 55, ni page 99 de son ouvrage. Cela, d'ail-

leurs,

embarrasse peu

mon

excellent contradicteur, qui passe outre, sans


;

Nous ne cherchons tous qu'une chose, la vrit mais ici, en ennemi des rformes, M. Fourtau semblerait plutt poursuivre un but. Il ne veut pas entendre parler du Genre Plagiopygus Lambert 1898; je vais du moins lui donner satisfaction sur ce point, car ce terme est prim par Plagiopygus Bohemann, 1848, et nous le remplaons par Pleiiropyg-us Lambert et hiry, souhaitant que ce nouveau venu trouve moins
s'inquiter des rgles.
d'hostilit

de
si

la

part de notre savant confrre, dont les travaux sur les Echiet

nides sont

importants
espces

toujours
:

si

intressants.

Sont des

nouvelles

Echinanthiis

gypliacus,

EchUiolatnpas

Dawsoni, E. esnehensis, E. lycopolitanas, E. proteus, Plesiospatangus insolitus, Metalia Mayeri, Opissaster globulus, Schizaster Beadneli, S. Blankenkorni, S. esnehensis, S. niiniehensis
;

ce qui porte 19 le
les

nombre des

Schi-

zaster de l'Eocne d'Egypte.


l'indication des

Malheureusement

confusions commises dans


figure

figures rendant bien difficile l'apprciation de caractres de


la

plusieurs espces. Ainsi, pour 6\ Blankenkorni, le texte renvoie

de

la PI. III,

de S.

mais l'explication de cette planche, cette figure 6 devient celle Beadneli et S. Blankenhorni correspondrait la figure 7 qui n'a ni la
ni les ptales

forme

d'un Schizaster

et est

trs

certainement un Linlhia.

Il

est fort regrettable

que l'auteur n'ait pas publi un long errata, indispensable pour s'y reconnatre. M. Fourtau fait encore connatre un Brissoides qu'il persvre placer dans un Genre Euspaiangiis, attribu tort Agassiz {B. intermedius) puis il donne une nouvelle figure de Megapneustes Sickenbergeri Mayer-Eymar (Macropneustes) Un supplment fait suite au catalogue et contient encore d'intressantes Orthechinus Hwnei, 0. Keelingi, qui sont pour nous des espces nouvelles enfin des Echinolampas mokaitamensis varit nouvelle Thylechinus formes des dilataias et une niblypygus intressantes, A particulirement espces les plus caractristiques du Priabonien de la Gironde, Echinolampas ovalis Bory. L'espce serait donc beaucoup plus ancienne (du Luttien) en Egypte que dans l'Aquitaine. Le Travail se termine par une intressante discussion sur Schizaster africanus, qui n'aurait pas non plus le mme ge en Egypt^
;
:

et

en Tunisie.

tndes palontologiqaes snr le Nammalitiqae Alpin, par Jean Les Echinides tudis dans ce grand ouvrage sont figurs Bonssae (i).

,(1)

Paris, 19!!.

ln-/i, /loy p., y flg.

et Atlas

do

a:;

Pi.

la PI.

3t

V. Ce sont Linthia ybergensis de Loriol, Schizasler rimosus attribu

rAuveisien, alors qu'il est franchement de l'Oligocne Biarritz, Eupaiagus'

FAuversien et du Bartnien, Oppenhelmia Gardlnalel Oppenheim, du Priabonien, Eapatagus Lorioli Cotteau, du Bartnien, Cyclasier declivis Cotteau, de l'Auversien, Clypeastcr priscus Oppenheim, du Priabonien et une espce nouvelle du Bartnien del Savoie, Echinanlhus Sabaud'iamis. Il Y a lieu selon moi de faire toutes rserves sur l'identit du CAypeaster des Scaffarels et le type du C. priscus de Bassano.
elongatiis Agassiz, de

Sopra
llioi (t).

aleani Dans

fossili
les

di

Derna, del R. Sabiaiii et


Niimmalites intermedais
et

0.

Stefa-

couches

N. vas eus les

auteurs citent Clypeasler biarritzeiisls Cotteau et Echinolampas cherichirensis

A l'occasion de cette dernire espce ils discutent la runion, propose par Grgory,' des espces Echinolampas Blainvillei Oppenheim {non Agassiz), E. Zignoi et E. hydrocephalus Oppenheim. Ils rappellent la position
Gauthier.

stratigraphique de C/ypeaster biarritzensis


Stefanini, 191
1

et

lui

comparent

C. Douvillei

(non Cotteau, Peron


:

et

Gauthier, 1891) qui doit changer de

nom

et

que je dsigne

C. Slejaninii

Lambert. Les Amphiopes lunules


les

allonges sont verses dans le Genre Tretodiscus et les auteurs rappellent que

M. Boussac a rapport l'Oligocne


atavus.

couches d'Algrie Clypeasler

Les espces dcrites sont au nombre de cinq, toutes nouvelles d'aprs leur
auteur, C. Pisacanei, C. Bandierai, C. Oberdani, C. Moroi, C. Sciesai, aux-

Altre speeie nuove di Clypeasler mioeeniei, del

D Lovisato

(2).

quels est ajout C. profundus d'Archiac, i85o(/on Agassiz, i84r) dont je fais
C.

H aime
C.

i.

Oberdani appartient au groupe assez tendu de C. crassus, et celui de C. MicheloUi. Mais l'auteur n"a compar ses espces ni
ni la plupart des formes similaires prtablies
.

C. Sciesdi
celles-ci,

daigne

soit,

comme
il

ledit M. Lovisato, le
s'en suit

En admettant que la Sarpays du monde entier le plus riche

en Clypastres,

ne

nullement,

mon

avis,

que toutes

ses espces

soient spciales et nouvelles.

Notes OU Seutella IVorrisi and Scutaster Audersoni, by Robert W. Il est difficile de se faire une ide prcise de la premire espce (3). postrieurement brise, ce qui n'empche pas l'auteur de dire Anal pore

Pack

(i)

Padoiie,
p.

igii*

fn-S",

ro

p.

Ext.

Atti

del

Acad.

scient.

Veneto-Trentinn-Istriana,

anno VI,
{>.)

25.

Pise 1912.

ln-/i",

(3)
11

Berkeley,
2yij.

i<|i3.

II p., 3 pi. Ext. Paleont. Nat.. vol.


I11-8",
f\

p!,

pi.

Ext. ['nir. Ccdif.

18, p. 129. pabl. Bull. dep. of Geol., vol.

7,

i3, p.


smalL
figur

32

d'aprs
face

inframarginal)
et. vu

probablement
la les ptales

l'individu

prcdemment
distincts,

en dessous. Les sillons de

orale

seraient peu

mais ramifis. En dessus

sont plus ouverts que ceux de la plu-

part des espces d'Europe.

Quant au Scutaster, c'est un type bien particulier dont la face orale n'est malheureusement ni dcrite ni figure. C'est une sorte d'Amphiope, plus large que long, mais dpourvue de lumules postrieures, munie au contraire
lumules ambulacraires antrieures, qui ne semblent d'ailleurs pas Malgr l'absence de digitations, ce Genre test. parat donc devoir tre plac ct de Rotiila. Les deux espces, dj signales en 1909, sont du Miocne infrieur de Californie.
de
trois

perforer compltement le

BRYOZOAIRES
par M. Ferdinand GANU.

Development of ome paleozoc Bryozoa, by . R. Cnmings (i). Development ofFenestella, by . R. Caming-s (:^). Development and systematie position of fie Blonticviliporoids, by . R. f nmings (3).
Dans
cette

remarquable

srie d'tudes, l'auteur dcrit le


les trois

dveloppement des

premiers bourgeons zoariaux dans

ordres de Bryzoaires primaires


et

de Cyclostomata,

Cryptostomata

{Fenestella)

Trepostomata (MonticuU-

pora). Les diffrentes phases embryoniques sont rsumes d'aprs les tra-

vaux de Barrois. Ce sont successivement


le

nombryo,
Il

le

typembryo,

le

le protembryo, le mtembryo, kathiembryo. Aprs la dgn-

rescence de quelques organes larvaires dans cette dernire phase, apparat le

phylembrio.
neux. C'est
basai
elle
la

est
et

caractris par l'apparition


la

du lophophore,

et

du
et

canal alimentaire

par

formation d'un revtement calcaire ou chiti-

plus ancienne phase capable de fossilisation. Cette premire


le

incomplte zocie est


;

dans

les

protcium. Dans les Cyclostomata, c'est le disque deux autres Ordres, c'est une grosse cellule globuleuse. Avec
zoarium.

commence

le

Le dveloppement de ce dernier se fait en plusieurs phases.1 Phase phylastique. Continuant son volution, le phylembryon construit la premire zocie normale ou ancestrula qui lui sert de superstructure.
(i)
(2)

(3)

Washington, Washington, Washington,

tgo/i.

igoS. 1912.

Amer. Journ. Se, vol. XVII, p. 83 %. dans Amer. Journ. Se, vol. XX, p. 169-177 et Bulletin of the geological Sociely of America, vol. XXIII, p.
/19-78,

et

le texte.

3 PI. lith.

367-870,

avec 3 PI. lith.

33

2" Phase npiastique. Dans la premire priode anpiastique, il y a formation de bourgeons immdiats, d'abord deux latraux, et ensuite un autre mdian. Il n'y a pas d'exception. Leur orientation varie suivant les Familles. Dans la seconde priode metanpiastique, il y a formation

de bourgeons secondaires et de la crote calcaire qui portera le zoarium rig. Dans les Cryptostomata, il y a un cercle complet initial de bourgeons placs sur un mme plan. Dans les Trepostomata, ces derniers sont superposes.

Dans

la

troisime priode

paranpiastique,

il

y a formation

des premires zocies


3"
4",

du zoarium Phase neanastique. Formation du zoarium adulte.


rig.
5.

Les phases phbastiques


et

et

geronstatiques terminent

la vie zoa-

riale

du Bryozoaire

n'ont pas t spcialement tudies.

Tl y a donc, dans les trois Ordres de Bryozoaires tudis, une grande unit dans le premier dveloppement des bourgeons zoariaux, unit qui

prouve leur parent rciproque


chiopodes.

et

les

loigne des Polypiers et des Bra-

M.

E. R.
si

tudes

Cumings tire un certain nombre d'autres conclusions de patiemment conduites. La Famille des Feneslellidx doit
Fenesiillid et Poiyporyd,

ces
tre

dmembre en
des premiers

qui diffrent par l'orientation

Le Genre Phylloporina doit tre class dfinitivement dans les Trepostomata. Ce dernier Ordre est parallle Cyclosioma. Crypiosiomata, au contraire, est nettement driv de Cydostoniata.
bourgeons.

Enfin, c'est avec les Lichnopores actuels que les Trpostomes prsentent le

plus d'affinit.
confection d'un trs grand

Ces travaux, continus avec tnacit pendant 7 ans, et qui ont ncessit la nombre de plaques minces, font le plus grand

honneur M. E. R. Cumings.

A note on tlie Batostomas of tlie Riehmond Sries, by E. R. dmin^S and J. J. <G[all0Way (i). Cette Note concerne seulement trois espces siluriennes communes dans les sries de Riehmond. Ce sont Baiostoma varians James, B. variabile Ulrich, et B. Prosseri nov. sp. Les auteurs nous donnent pour chacune d'elles des coupes longitudinales, des sections tangentielles, des sections plus profondes et ce qui est non moins urgent l'aspect extrieur diffrents grossissements. Leur tude est vritablement complte. Un tableau rcapitulatif permet de reconnatre rapidement

les caractres distinctifs

C'est ainsi

de chaque espce. que Batostoma varians James,


ses

est caractris

par un zoarium
existent.

irrgulier, subfrondescent ouencroritant,


et

par ses acanthopores diaphragmes

par

les

nombreux diaphragmes de
191 1.,

msopores quand ceux-ci


et suiv., avec 7 PI. lith.

(1)

Washington,

Proc

Ind. Acad., p.

1/17

..

'

34

Le rameux B. Prosseri est caractris par ses nombreux msopores diaphragmes et ses acanthopores parois paisses. Enfin, B. variabile\]\x\c\\ est caractris extrieurement par de petites macules de plus larges zocies et, intrieurement, par les nombreux diaphragmes zociaux rpartis aussi bien dans la rgion axiale que dans la rgion priphrique.

Uber das nene Yorkommeii der untersilarisehen Bryozoen and anderer Fossilien in der Zie^elei Pernikarka bei Kossire, on Aprs une courte tude stratigraphique sur la locaR. Rettner (i).

lit

de Pernikarka, l'auteur nous

dcrit les

Bryozaires qu'il y a dcous'est

verts au niveau

de Barrande. Notre nouveau confrre

document

srieusement

et ses

dterminations nous paraissent excellentes. Naturelle:

Trematopora Poctai, Monotrypa Monotrypa circularis, ? Polyteichus pusillus. La coupe verticale de Monotrypa fertiiis montre une norme zocie que l'auteur croit tre une ovicelle La dernire espce, Trochopora conica. est gnriquement et spcifiquement mal nomme. Ces mmes noms furent donns, en i85o, par d'Orbigny une espce bien connue de l'Helvtien de la Gironde. Ni l'un ni M. Kettner devra donc donner un autre l'autre ne sont passs en synonymie nom son nouveau Genre. 11 serait indispensable aussi qu'il nous en donnt
ment,
quelques espces sont nouvelles
radiata,
:

une diagnose exacte


Malgr
les

et concise.

dfectuosits des planches,

nous sommes en prsence d'un


l'avenir.

petit travail consciencieux qui fait bien

augurer de

Fnrtlier descriptions of

tlie

by Mapiestone
cette

(2).

Terfiary. Polyzoa of Victoria, Part. XI,

Le vaillant bryozoologiste australien continue, dans

onzime partie, la description des espces nouvelles qu'il recueille dans le Miocne local. Gonme plusieurs centaines d'espces ont dj t
publies, cette faune parat tre d'une richesse inoue. Yoici la liste de ces

espces nouvelles.
Catenicella Bairnsdalei.

Strophipora Iriangularis


(i) (2)

ainpla Waters.
ciineiformis.

lvis.

(Uaviporella bicornis
alrensis.

morningtonensis.
concinna.
,

ViUalicelIn cruciformis.

elegantissima.
miniitlssima.

Breitia brevis.

Caberea niorningtonensis
Farcinia airensis.

longispinosa.

Prague, 1910. Bull. int. Arad. Se. Boliinc, iii-8, aa Prnced. Boy. Soc. Victoria, XXIII, Melbourne, 1910.

p., 9

Og. et

pi.

phot.
lilli.

p. 2GG-28/1, avec 12 pi.

..

35

Menipea

wiiserialis.

Sleganoporella Bairnsdalei.

Synaptacella asymmetrica.

cUftonensis.

gibbosa.

corioensis

crassimarginata.
ovalis.

elongata.

Thalamoporella airensis.
Dennanti.

Dennanti.
j^ecta.

Cellularla belcomiensis.

M. G. Aspidostoma otwayensis
Cribrilina tenuicostala

mooraboolensis.
Isevissima.

Phylactella Bairnsdalei.

Membranipora

Monoporella venusta Eich.


Inversiula airensis.

ovifera.

Sleganoporella Dennanti.
L'auteur dit que je

suis

quadricornis

me

nutrix

J.

JuUien, faite dans


.
11

l'Argentine
airensis.

prtend

tromp dans ma dtermination ' Inversiula ma description des Bryozoaires fossiles de que mon espce est plus voisine de son Inversiula
?

Qu'en

sait-il

puisque son spcimen n'a pas de fnestrule


j'ai fait la

Je maind'His-

tiens

ma

dtermination, puisque

comparaison au

Musum

toire Naturelle

de

Paris,.

Fai'ther descriptions of

tlie

hy

C. M.

Maplestone
:

(i).

tertiary polyzoa of Victoria, Part XII,


:

Les quatre espces nouvelles tudies sont

Strongylopora concinna, Strophypora episcopalis, S.


rugosa.

dubia

et

Catenicella

De plus

Caberea morningtonensis (igii) devient C. pedunculaia.

Trois de ces espces sont reprsentes chacune par

un simple spcimen.
souffrirait

J'estime que c'est beaucoup trop d'honneur accorde ces microscopiques

fragments. La bonne

renomme de M. Maplestone ne

aucunement

d'un peu plus de circonspection.

Bryozoa from Labrador, Newfonndiand, andBfova Scotia, eoUeeted C'est la liste des by Dr. Owen Bryant, by Raymond C. Osbnrn (2).

5t espces de Bryozoaires dragues entre le Labrador et la Nouvelle-Ecosse


et

sur le

Banc de Terre-Neuve.

Elles sont toutes


t faites.

connues

cependant quel-

ques observations nouvelles ont De bons spcimens de Lepralia spathulijera Smitt, ont permis d'tablir dfinitivement la constitution de cette jolie espce. Sur un mme tubercule frontale il y a deux pores le suprieur est l'articulation de la grande pine
:

spathule qui recouvre une grande partie de l'apertura


petit avicellaire

l'infrieur est
il

un

muni d'une mandibule

triangulaire. Sur les figures,

n'y a

(0 Melbourn,
(2)

igiS.

Proced.

Washington, 1912.

Proced.

Roy. Soc. Victoria, XXVII, pp. 335-33C avec une pi. lith. U. S. nat. Mus., vol. Zi3, pp. 276-289, une PI. lith.

pas de cardelles l'apertura et


rina) pourrait paratre
rella
la

36

le

place dans

douteuse.

Alors

le

Genre Lepralia (= Hippopo vocable gnrique Dorypo-

donn par Normann pourrait tre maintenu. Myriozoum crustaceum Smitt. devient Schizoporella plana Dawson. Dabord pourquoi ce changement gnrique ? La premire raison donne est que son apertura ressemble celle de Schizoporella Cecill et de S. spongites. Mais la premire de ces espces est le type du Genre Phonicosca, J. Jullien

(=
de

At^thropoma, Levinsen). Le choix est alors contradictoire; d'ailleurs la comparaison est mauvaise. La seconde raison donne est que le caractre
la paroi zociale et
))
;

porella

de l'ovicelle semble rapprocher cette espce de Schizomais de quel caractre est-il question ? Il faut une Httrature plus prcise en telle occurrence. Enfin l'auteur dclare n'avoir trouv qu'un seul fragment qu'il n'a mme pas soumis la dissection pour garantir ses airmations !... Cette pauvre espce a eu tous les malheurs possibles. P'abord classe dans le Genre Myriozoum par Smitt, elle est transporte dans le Genre Leieschara par Sars Waters la range en Scliizoporella et Levinsen sans compter que Dawson vient de crer pour elle le Genre Myriozoella
;
;

l'avait jadis

range en Lepralia.
la laisser

Si

nul ne

sait

la classer,

mon avis

est qu'il

dormir dans son premier berceau est prfrable de Ensuite pourquoi le changement spcifique ? puisque d'une part, Dawson en 1869 n'a pas figur son espce, et que d'autre part, comme Waters l'a
dj
fait

remarquer

d'ailleurs, la description
loi

en

est trs insuffisante. Seules

les figures

bien faites peuvent justifier la

de priorit.

M. R. Osburn figure nouveau Mucronella prlucida Hincks et il essaie de complrer la description de son ovicelle. Je dis essaie car nous ne sommes pas plus renseigns qu'auparavant. Les ovicelles, dit-il. sont
subglobuleuses, un peu saillantes, ponctues
et,

quand

elles

sont adultes,

le

pristome secondaire en se dveloppant

les limite

en avant par un bourrelet.


la

Ces quelques explications ne nous renseignent pas sur


au-dessus ou au-dessous

nature de l'ovicelle

(hyperstomiale ou endozociale), ni sur ses relations avec l'opercule (s'ouvret-elle


?),

ni sur sa structure intime.

Levinsen range

cette espce

dans son excellent Genre Cheilopora, et je suis de cet avis. M. Osburn sera lui-mme convaincu s'il prend la peine de faire sauter au
scalpel la frontale

dune
est

ovicelle.
le

Escharella propinqua Smitt, est rang dans


l'avicellaire

Genre Porella parce que

mdian

rond. C'est incomplet

car ce Genre est caractris

par un avicellaire gnralement rond ou subrond s'ouvrant

dans une
un
tort,

pristomie complte.
L'auteur ne cite jamais les figures dans sa Bibliographie. C'est
les

car

ouvrages de fond ne s'y distinguent pas suffisamment des simples listes. M. R. Osburn suit rigoureusement la classification de Hincks. C'est une
ide

bonne

pour un dbutant en Brvozoologic. Mais

il

serait utile

cependant

d'employer, au moins partiellement,


ont crit depuis 1880,
ainsi
tels

37
les

travaux des auteurs plus rcents qui


AVaters, S.

que

J. Jullien,

Harmcr, Levinsen.

C'est

que

Membranipora unicornis est un Tegella. Cellepora coniigiia est un Holoporella.


Escharoides Sarsi est un Posteriila.
Porella Skenei est

un Palmicellaria
:

Je connais l'argument

Dans

les crits

d'un

homme, comment pourrons? quand des auCanu ont eux-mmes tant

nous discerner ce qui


teurs

est

conserver de ce qu'il faut rejeter

expriments

comme
il

Waters,
il

Calvet,

d'hsitation. D'accord, mais

faut savoir cependant dgager l'observation

de

de dgager, dans l'uvre d'un savant, certaines vrits indubitables qui peuvent tre immdiatement
la

systmatique. Alors

est relativement facile

systmatises. C'est ainsi que, dans l'ouvrage que nous prparons sur le

nous donnerons quelques fragments des modifications de Hincks tels qu'ils rsultent des derniers travaux scientifiques nous nous baserons sur le principe du moindre changement (Waters) et sur la systmatique des observations indiscutables en l'tat prsent de la science, Il serait vraiment un peu trop rigoureux de rayer de la Bryozoologie des uvres telles que celles de J. Jullien et de Levinsen Je prie M. R. Osburn d'excuser la longueur de cette critique. J'ai parl en
Tertiaire amricain,

apportes

la

classification
;

palontologiste, c'est--dire, en

homme

qui constate chaque jour

les

imper-

fections de la Zoologie et qui en est toujours navr.

Puisqu'il est appel

nous donner frquemment des travaux analogues celui-ci, je serais trs heureux qu'ils fussent aussi profitables que possible la Systmatique, la
Gographie,
la Biologie et la Palontologie.

The marine fanna of British ast Africa and Zanzibar, from


lections

col

years 1901-1902 Bryozoa ; Chellostomata, by Arthur Wm. Waters (i). Les ouvrages de M. Waters sont toujours attendus avec beaucoup d'impatience. Ils constituent des tudes de fond absolument srieuses conduites avec un grand scrupule de l'exactitude scientifique. Les gnralisations, jamais htives, ne sont que le rsultat
Cyril Crossland in
tlie

made by

de patientes recherches, d'observations compltes,


sons. Par cette

et

de multiples comparai-

mthode

le la

progrs,

s'il

se fait lentement, s'opre rellement.

Pas de rvolution dans

nomenclature, mais d'excellentes contributions

son perfectionnement.
11

Voici, d'aprs l'auteur

y a trop de nouveauts pour que nous puissions les exposer toutes. lui-mme, les points d'intrt spcial.

(i)

Londres, ujio.

Procecd. Zool. Soc, n

XXXIV,

80 p., 10 PI.

lith.,

Cio:.

dans

le texte.


En
primaire,

38

Stirparia, la premire zocie d'une touffe a le caractre d'une zocie

Dans

la

Fam. des

Scrupocellaridse, la nature de l'articulalion des segments


la

peut tre employe pour


tant successivement
:

classification gnrique. Les autres caractres


ovicelles,
les

les

vibracellaires (spcialement leur


distale.

nombre

chaque bifurcation), et la

bande de l'extrmit
les

Les ovaires sont diffrents dans

Genres Biigula

et

ScrupoceUarla

ils

fournissent donc d'excellents caractres gnriques. C'est le cas d'ailleurs pour beaucoup d'autres Genres de Bryozoaires cheilostomes. Mais comme
ces ovaires se prsentent

dans

les

coupes diffrents stages de leur dvelop-

pement,

il

faut prendre de grandes prcautions

dans leur interprtation

pour qu'ils puissent fournir des caractres pleinement effectifs. En Membranipora armata Haswell, il y a deux polypides murs simultans dans
la

plupart des zocies, ce qui est gnralement trs rare dans

les

autres espces.
avicellaire,

De

plus, tandis
il

de l'autre ct

que d'un ct de la zocie il y a une chambre a une semblable longue chambre, mais contey

nant une glande scrtante. Dans quelques espces de Schizoporella, l'opercule porte une traverse concave vers le sinus. C'est le commencement de la plus basse paroi d'une
lamelle zociale superpose.

tion spciale

Diplodidymla complicata Reuss possde une organisaque des spcimens actuels ont permis d'expliquer. L'ovaire apparat dans un petit sac suspendu dans la rgion operculaire. L'un et l'autre grandissent rapidement jusqu' remplir la plus grande partie de la

Un

fossile tertiaire,

zocie.

L'auteur propose des groupements nouveaux pour les Fam. des Catenicellidse et

des Reteporid

mais, suivant son habitude excellente,

il

n'ajoute

pas un terme nouveau


sont considrs

la

nomenclature.
les

Les zociules qui surmontent

zocies dans le G. Tryposlega Levinsen

comme

des vestiges d'avicellaires, bien qu'elles ne contien-

nent pas

les faisceaux

musculaires ordinaires.

La connaissance de la constitution anatomique des Adeon est uniquement l'uvre de M. Waters. Il nous fait savoir notamment que les ufs se
dveloppent l'intrieur de zocies spciales appeles gnsies
placs dans
;

ils

sont

un grand

sac ovarien, les larves sont expulses directement.


:

Les espces nouvelles sont


Scriipocellaria luasinensis

Brettla troplca,

Synnotum pembaensis,

S.

con-

torta, Bicllaria chuakensis, Stirparia zanzibarensis, Stirparia dendograpta,


.

Cellaria

wasinensis,

Osthimosia zanzibarensis,
soit

Lepralia wasinensis, Petralia chuakensis, Adeonellopsis Crosslandi.

Nous souhaitons que

la

seconde partie (Cyclostomes) de cet ouvrage

bientt livrer la publication.

se douter

39

(i).

The Polyzoa of Waterworks, by Sidney Harmer


que
les

Qui aurait pu
les

Bryozoaires d'eau douce pouvaient avoir un rle conoc'est la ralit.

mique. Pourtant,
les

Ces bestioles envahissent

rservoirs et

quand celles-ci ne sont pas soumises un filtrage soign. Ils accompagnent alors les petits Crustacs, les larves de Diptres, les Mollusques et les Eponges, commensaux habituels des eaux douces. Ils teintent les eaux ou leur enlvent lejr limpidit et
tuyaux pour
la distribution

des eaux potables,

facilitent le

dveloppement des Bactries.


le

L'auteur est particulirement bien document sur cette question d'hygine


sociale.

Nous ne pouvons
les

suivre dans toutes ses tudes.


:

11

nous

suffira

de

nommer
cella

coupables. Ce sont

Paludicella articiitata Ehrenberg, Frderi-

satanaBlnmenhdiCh, Plumalella fangosa Pallas, var. coralloides Allsortes

man, Plumatella emarginala Allman,


blastes,

var. miiscosa kraepelin. Leurs stalod'ufs d'hiver, mesurent 0,2 millimtre o,5 millimtre. Nos appareils de filtrage doivent donc tre assez soigns pour ne pas les

laisser passer.

VI.

Les Bryozoaires fossiles des Terrains da 8ud-0nest de la France. La faune des Bryozoaires du Bartonien-Anversieo, par F. Canu (2), Lutcien suprieur et de l'Auversien des couches de Biarritz est relativement riche. Je dis relativement, car je n'ai pu recueillir que 67 espces, dans cet ensemble que les gologues ont tant de peine diffrencier sur place. Sur i5 espces du Lutcien suprieur, i4 se retrouvent dans l'Auversien. 11 y a donc unit faunique entre les deux niveaux. La diffrence est plus grande

entre le Lutcien infrieur et le Lutcien suprieur qu'entre ce dernier et

l'Auversien

Mais ce qui

est

hors de doute pour l'un

comme pour
la

l'autre

tage, c'est la

grande profondeur des dpts prouve par


la

grande proporproboscidea
et

tion des

par

celle

Cyclostomes (45 0/0), par de nombreux Hornres.


de

prsence

' Enlalophora

Pour
Mines
Je n'ai

cette tude, j'ai dispos

la

Collection Pratt conserve l'cole des

et

de quelques matriaux que m'avait envoys jadis feu M. Dtroyat. pu faire les coupes et les sections souvent ncessaires aux dtermi-

nations, de sorte
teuses.

que certaines d'entre

elles

restent

gnriquement dou-

Les espces nouvelles sont Membranipora quadrifascialis, M. biarriiziana,


(?)

Micropora erecta,

(?)

Bactridiwn labiatwn, Cribrilinabiarritzensis, cuxien^e


(?)

espce que nous retrouverons dans les Pyrnes-Orientales,


torta, Smittia avicuUjera, S.
I.

Porina con-

sextapuncta, S. excentrica, Idmonea triforata,

uiCLirvata.

(i)

London, igiS.
igio,

Proceed. of Zool. Soc,

(2) Paris,
'i5/|,

1911, 1912.

n^XX^l,
France

33 p. et
(l,).

PI. lith.
8/|i

Bull.

Soc. Geol.

X, p.

855, XI, p.

Mili

XII, p. 623 63o, 8 PI. phot., fig.

dans

le texte.

J'ai class les


j'ai

4o

possible.

espces dj dcrites par d'Archiac, j'ai rtabli sa synonymie,


la

complt ses descriptions dans

mesure du

Les spcimens de Biarritz sont rares, petits, maigres, vilains, mal conservs, gris
faire

ou

noirs, gure intressants,


si

mme

pour

les initis. Si je n'ai

pu en

quelque chose de bien,

mes photographies

sont imparfaites et incom-

pltes, j'espre
efforts.

nanmoins que les lecteurs me tiendront compte de mes Lentement, nous finirons par connatre la faune des Bryozoaires supra-

lutciens.

CLENTRS
Par
M. M.

FILLIOZAT.

Stndies on the Morpliology and development of certain Rn^ose Aprs avoir rapidement exaCorals, by Thomas Clachar Brown (i). min les principaux travaux amricains publis depuis une quarantaine

dveloppement des Ttracoralliaires, l'auteur donne quelles termes employs et passe ensuite l'lude des espces. Nous relevons dans le Silurien: Streptelasma projundam Ow sp. Presque tous les chantillons de cette petite espce se rencontrent silicifs, aussi l'tude de sa structure et de son dveloppement n'avait pas encore t faite jusqu'ici d'une faon trs complte. Un fait remarquable, et qui semble constituer un argument dcisif sur l'tat originaire ttramral des Rugueux, est signal propos de cette espce. C'est l'apparition simultane, dans les quadrants antipodes et cardinaux, de la premire paire de septes secondaires. Ordovicien suprieur. Streptelasma cornlculum Hall. Plus grande que la prcdente, septes
d'annes sur
le

ques indications sur la prparation des chantillons, sur

plus

nombreux

et

plus rgulirement rayonnes,


.S.

rapprocher,

comme

trs

semblable du stage adulte de


calice.

profundum, une section


Difficile distinguer,

faite prs

d'un

Streptelasma rusticum

Bill.

sp.

dans

les

premiers
et

stages de son dveloppement, de S. crnicahim (Milne

Edwards

Haime

avaient confondu ces deux espces), mais prend vite, en vieillissant,

une forme quasi-cylindrique, Enterolasma caliculum Hall sp. Pseudocolumelle avec quatre ouvertures distinctes, dont l'une communique avec l'un des espaces interseptaux.
(i)

New-York,
le texte.

1909.

Ami. N.-Y. Ac. Se, Vol. \IX, N

.3,

Part,

i,

pp.

/15-97,

19

fia:,

dans

4r

Le dveloppement des septes dans les quadrants antipodes se fait plus rapidement que dans les quadrants cardinaux, surtout lors des derniers
stages.

{Zaphreniis) racinensis Whitf.

Connue seulement par des moules internes,

aux Genres Heterophrenou Heliophrentis Grab. Parmi les espces dvoniennes Enlerolasma sirictum Hall sp. Prise pour gnotype, en igoo, par Simpson. Echantillons presque toujours silicifis.
cette espce appartiendrait plutt, d'aprs l'auteur,
tis

Bill

Les septes arrivent bien au centre, sauf

les

tertiaires,

qui s'unissent fr-

quemment aux

primaires.

Dvonien infrieur.
.s/).

Stereolasma rectum Hall

C'est encore

un gnotype de Simpson.
ne

Comme

chez la prcdente espce,

les

septes

tertiaires

s'avancent pas libre-

ment dans
suprieur.

le calice,

mais s'unissent aux septes secondaires.


Bill.

Dvonien
le

Heterophrentis prolifica
septe cardinal dans

sp.

Polypier conique, fortement curv

une fossule

trs distinctement

marque,

les autres septes

fortement tordus au centre.

Gomme
et

chez Stereolasma, 8 septes secondaires

seulement 4 dans chaque quadrant cardinal. Lors des tout jeunes stages, cette espce peut facilement tre confondue
avec Streptelasma.

dans chaque quadrant antipode

Dvonien moyen.
la

Heliophyllum Halli E. H. Les jeunes sont galement


Streptelasma
les septes
;

trs

analogues
les

c'est

mme

disposition septale.

Mais chez

adultes,

prsentent des processus latraux trs caractristiques.

Dvonien

moyen.
Mycrocylas discus Meek
et

Worthen. Septes plus ou moins radialement

disposs, fossule bien marque.

Hadrophylliim Orbignyi E. H. Ce curieux petit Polypier cupuliforme, avec


sa fossule et ses

deux dpressions

latrales,

parat galement driver de

Streptelasma.

Enfin dans

le

de l'auteur

et

Carbonifre Lophophyllum proliferum E. H. Des dessins de ceux de Duerden que celui-ci reproduit, mais dont il donne
:

une interprtation un peu diffrente, il ressort que le Genre Lophophyllum, dans ses dveloppements individuels, passe par les stages correspondants au groupe Streptelasma-Stereolasma, puis par un stage quivalent au stage Heterophrentis, carsictTis par un septe cardinal court et une fossule trs prominente. A l'tat adulte s'ajoute un caractre spcial, qui consiste dans l'paississement del columelle l'extrmit du septe antipode. Hasiphyllam calcarejorm Hall, sp., H. spinulosumE. H., H. varsoviense Worthen sp. La fosette cardinale qui, dans Heterophrentis, est un caractre prominent, se trouve, dans ces espces, si accentue qu'elle forme une
vritable muraille interne.
""
.

Quelques pages sont ensuite consacres au dveloppement des Polypiers

'

42

examins dans cette trs consciencieuse Note que termine un diagramme montrant les relations phylogntiques probables de tous ces diffrents
Genres
et espces.

Developmental stages in Streptelasma reetnm Hall, by Thomas

Brown

Dueiden avait signal la prsence de 6 septes primaires chez Cyathaxonia cynodon E. H., du Carbonifre, ainsi que dans quatre autres espces du Dvonien, dont Streplelasma rectum Hall. Avec Ludwig et de Pourtals, cet auteur tait d'avis que le plan ttramral des Rugueux
(i).

M.

s'tablissait postrieureiiient

la

formation des 6 septes dits primaires.


et

D'o

cette conclusion

que Rugueux

Hexacoralliaires avaient la

mme

origine.

L'opinion de l'auteur est tout autre. M. T.-C. BroAvn se

rallie
et

presque
il

entirement
avoir fait

la

manire de voir de
de
celle-ci, les

MM. Gordon

et

Carruthers,
C'est,

inter-

prte, l'appui

coupes de ce dernier.

du

reste,

aprs

une

trs

soigneuse slection parmi des centaines de spcimens de

le Laboratoire palontologique de Colompar l'examen de surfaces polies que M. Brown a t amen constater que quatre septes sont seuledont l'emploi avait t prconis par Duerden ment prsents dans les plus rcents stages et que les mtaseptes ne viennent qu'en dernier lieu. Ces quatre septes sont les homologues des quatre septes primaires du schma de Runth. Plus affirmatif que M. Carruthers, il est bien prs de conclure que tous les Rugueux sont primitivement ttram raux. Quant la disposition hexamrale, qui a lieu une certaine phase du dveloppement, elle serait simplement due au dveloppement htif de la

Streplelasma rectum, possds par

bie,

premire paire de septes secondaires.

M. Sale Formes nouvelles du Genre Caninia, par A. Sale (2). nous prsent, dans cette Note, trois formes nouvelles du Genre Caninia Mich pour lequel il nous a donn, ces dernires annes, un excellente revision monographique. 11 prcise d'abord, en quelques lignes, la rpartition stratigraphique, dans le Carbonifre belge, des trois principales espces de Caninia: C. cornucopi, C. cylindrica et C. patula, rencontres diffrents niveaux du Tournaisien et du Visen infrieur. Les formes nouvelles qu'il dcrit ensuite proviennent galement du Carbonifre belge. Ce sont Caninia cylindrica Scouler, mut. hasteriensis, chez qui le diamtre calicinal est notablement plus petit que chez Caninia cylin,
:

drica typique.

(1)

New-York, 1907.

(2) Bruxelles, igr2.

Bull.

Amer.

Jourii.

Se, Vol. XX-HI, pp.

277-28/1, i3 Og.-texte.

Soc. belg. GoL, P. V., T.

XWl,

pp.

Im-Ii),

PI.

D.

Caninia Dorlodoii,
reprises.
trs

43

brusquement
plusieurs

allong

se recourbant

dans cette espce du Tournaisien infrieur, qui prsente quelques caractres communs avec Caninia cornucopi, Caninia patiila et aussi (par la nature des planchers) avec Caninia cylincalice n'a

Le

pu

tre observ

drica.

Caninia samsonensis, un seul chantillon, de trs grande taille, dont la coupe horizontale a fait reconnatre des caractres nettement distincts de ceux observs chez les autres Caninia.

Un

autre trs grand Polypier a t recueilh, en outre, dans


la

le

mme

gise-

ment du Visen suprieur que

prcdente espce.

Il

parat prsenter,

de prime abord, avec celle-ci de grandes analogies. Mais la prsence d'une grande zone centrale, compltement dpourvue de septes, a permis l'auteur de classer son unique chantillon dans
le

Genre Campophyllum.

M. fortani (i).

Stromatoporoidi Devoniani del Monte Co^lians (Alpi Carniehe), per Peu nombreux sont les matriaux tudis jusqu'ici provenant de la srie dvonique du Mont-Coglians, la plus complte pourtant

des Alpes carniques. Aussi la courte Note de M. Gortani, en raison surtout

del valeur stratigraphique que paraissent avoir sente-t-elle un trs notable intrt.
Les espces tudies sont
les

les

Stromatopores, pr-

suivantes

Actinostroma claihratam Nich.,


les

A. stellulatum ^ich
les astrorhizes

var.

ilalicum nov., dont

colonnettes
et

sont moins
les

rgulires et plus allonges

que dans l'espce typique,


;

dont

canaux

et

sont aussi plus larges

Clathrodictyum regulare Rosen sp.


;

var.

un
S.

seul exemplaire aussi,

carnicum Vinas., un seul exemplaire Stromatopora concentrica Goldf. mais bien typique S. cf. clumnaris Barr.
;

clumnaris Barr. xar. gentilis noy.,dont

les lamelles

concentriques sont bien


;

dveloppes, mais moins grandes que dans l'espce typique

S. bucheliensis

Barg, la figuration de cette espce montre bien


et

le

grand nombre des

orifices

des planchers

S.

Beuthi Barg.

Siromaloporella curiosa Barg. sp. var.


les piliers

carnica nov. Se distingue surtout de l'espce typique par


irrgulirement disposs
et

plus

lames compactes sans intervalles. Celles-ci semblent se ddoubler dans l'espce typique dont l'paisseur des couches est bien moiti moins paisse que dans la varit. Toutes ces espces proviennent les unes du Msodvonien suprieur, les
par
les

autres du" Msodvonien infrieur.

8pieole di Tetraetinellidi rinveunte da Imbroglio 8oldani uei Dans la 3 partie Sedimenti del Mediterraneo, per A. Silvestri (2).

(i)

(2)

Parme Rome,

uji:!.

igiS.

Blv. Min.

ital.

di

Paleont.,

Ann.
dei

WJIl,

Fasc.

IV,

i6 pp. PI. IV.

Pontif. Ace.

Rom.

Naov. Linc. ,\ol.

XXX,

pp. i25-i40.

du
Vol.
I

44

Testaceog raphia ac Zoophylographia parva paru en 1790, Ambroglio Sol Jani avait figur, sous des noms trs divers d'organismes, des spicules de Spongiaires de la Mditerrane. Quelques-unes de ces spicules ont t reconnues semblables celles

de son rarissime
))

et

microscopica

des Tetractinellldx du postpliocne calabrien qu'a figures Neviani en 1906.


L'auteur* a

donn quelques

figures de l'ouvrage de Soldani et a vu,

pour
des

quelques unes, de grandes analogies avec des espces actuelles


Challengeri SoU.
figures de
,

(T//'omii's

par exemple)

et

mme avec des

espces fossiles.

Une

Soldani

ressemblerait beaucoup

une spicule de Spongiaire


et

basique d'Essey-ls-Nancy, figur par erquem et Berthelin Genre Rhipidogorg la E. H.

attribue au

DIVERS
par M. M.

COSSMANN

tel,

Text book of Paleontolo^y, adapted trom tlie Oerman of K y. Zit La premire dition de cette excellente edited by C. R. astmaji i).
(

Grundzuge zur Palontologie a t publie en 1899. Denombreux progrs ont t faits dans tous les groupes de fossiles et le besoin se faisait sentir d'une nouvelle revision du Manuel de Zittel. C'est ce besoin que rpond la seconde dition publie par M. Eastman. Le premier volume qui vient de paratre, comprend dans l'chelle des
adaptation des

puis cette poque, de

tres organiss
tes)
;

les

Protozooaires jusqu'aux Articuls (Crustacs

et

Insec

chacun des chapitres concernant ces sept pbylums a t l'objet d'une refonte parfois complte, comme par exemple les Insectes qui taient remanier de fond en comble, eu gard aux rcents travaux de M. Handlirsch. Toutefois, les Plcypodes qui sont l'uvre personnelle de M. Dali. ne tiennent pas encore compte de nos travaux tout rcents sur la u Conchologie nognique de l'Aquitanie (1907-1913), et encore moins de ceux de M. H.

Douvill sur
les

la

nouvelle classification de ces Mollusques.


il

Gastropodes,

est regretter

que trop souvent

les

En ce qui concerne noms de Bolten qui

sont peu prs universellement rejets par les naturalistes


titus,

aient t subs-

en mainte occasion, ceux de Lamarck

de

((

dmarquage
Londres,
igi'i.

que cette campagne inaugure par notre savant confrre de Washington, a t


:

on

sait

(i)

Seconde dition,

vol.

1,

889 p., iGoo

Fig.

(Macmillan

et C", d.).

gnralement rprouve,
et

45

tine des

que

c'est

causes pour lescpiellcs

le

Congrs de zoologie de Monaco

a confi

aune commission permanente de


ces lacunes

Nomenclature
de dtail

le

soin de trancher, dans les cas pineux, les questions de prioil

rit injustifie. Il est vrai et

est

bon d'ajouter que


la

ou critiques

qui n'enlvent rien

valeur ni
tait

l'utilit

de ce ext-book

pro-

viennent de ce que l'dition en question

probablement dj sous presse lorsque les ouvrages que je viens de citer un peu au hasard taient en cours de publication, et surtout lorsque ce dernier Congrs a tenu ses assises. Il sera facile l'auteur, au moment de la publication du second volume, en un supplment final de ces quelques rectificade tenir compte

tions.

Le Didelphis Cuvieri, Fiseher, de Sannois, par M. A. Laviile (r). La Sarigue du gypse de Sannois, dont notre confrre donne ici la description, occupe exactement dans la mme position que celle de Montmartre, dcouverte par Cuvier, en 1822 mais la colonne vertbrale ne parat pas
;

avoir subi la

mme

torsion

d'ailleurs tout ce qui est conserv

en empreinte

de ce petit animal mesure seulement o m. 22 de longueur, le fmur peine o m, 17. Les os de la face ont disparu, et ce qui en reste est trop cras pour
tre tudi; celles des dents qui sont conserves sont

exactement semblables
sauf que la prmolaire

leurs correspondantes chez la

Marmotte du

Chili,

suprieure

PM' de

la

Sarigue de Sannois est un peu plus arque. Cette

dcouverte d'un second individu fossile de Didelphis Cavieri a un srieux


intrt, et l'on doit fliciter

M. Laviile de nous
squelette.

l'avoir signale, ainsi

que de

sa patiente reconstitution

du

Weiteres ueber das earbonisclie Arthrostraken-Oeiins Arthro pleura Jordan^ von K. Andre (2). Dans un premier Mmoire, paru en 19 10, l'auteur avait dj tudi ce Genre de Crustacs du Carbonifrien suprieur; de nouveaux matriaux, provenant de plusieurs gisements d'Alle-

magne

et

d'Angleterre, lui ont permis de complter les donnes primitives et


et la

de modifier quelques-unes des conclusions relatives l'organisation

position systmatique d'Arthropleura. M. Andre parat actuellement d'avis

que

les

Arthrostraca forment
est relatif la
i

un type collectif qui prend place entre les Schizopodes


second point
pouvait atteindre

avec les Anomostraca et les Thoracostraca


et les

Isopodes.

Un

grandeur des reprsentants d'Arthropleura qui


c'est -dire

mtre de longueur,
:

des dimensions bien supt

rieures celles des Crustacs rcents

un

fait

analogue avait dj

observ

par M. Handlirsch pour


(i) Paris,

les Insectes

palozoques. Enfin, en ce qui concerne

igi3.

Feuille j. Natur., n" SsS, 5 p., 7 fig.

(2) Stuttgart, igiS.

Extr. PaLvontogr.,

LX

Bd., pp.

295-,^or). PI.

XXJIf.

l'extension gographique
tant

46

du G. Arthropleura, M. Andre tout en regretau sujet d'^. armala peut certifier qu'^. mammala est une forme autochtone d'Angleterre. Dans un supplment, l'auteur ajoute quelques mots au sujet de deux autres formes ambigus Arthropleura panctata et Onisciiia ornata Goldenberg, la seconde notamment serait un Fayolia, et la premire serait un fragment
de ne pouvoir
tre trs affrmatif

d'Euryptride.

Ueber Anthracophrynns tnbercnlatas aas dem Karbon Yon DndLe nouveau G. Antltracoplirynus. weiler, von R. Andre (i). dcouvert dans le bassin de la Sarre, est un Arachnide carbonifrien qui n'est encore connu que par son "abdomen rappelant celui d' Anthracomartus
;

toutefois, la restauration faite sur le


les diffrences

shma de
la

gnriques qui justifient

permet de cration de ce nouveau type.


la

figure 2

saisir

Sar quelques TriloMtes du Dvonien de Bolivie, par J. Orotb (2). L'auteur tudie quelques esioces rapportes d'Icla par M. Dereims. Les travaux d'Ulrich
ressortir ses
et

de Rnod sur

la

faune dvonienne de Bolivie ont dj


Brsil, et enfin avec la

fait

analogies avec celles de l'Oriskany et de l'Helderberg dans


celle

l'Amrique du Nord, avec

du Mcuru au

faune

des Bokkeveld beds dans l'Afrique australe.

Cryphus Derelmsi forme gnrale est trs


Sait.,

que dcrit l'auteur possde un pygidium dont la


renfle et

espce se rapproche surtout


tandis que Dalmanites

dont l'axe mdian est fortement bomb. Cette du groupe Sud- Africain de Cryphus af ricanas
Clarke rappelle un Dalnianites indtermin

Acaste convexa Ulrich se rapproche galement de ce dernier groupe,

mcnrua

figur par Lake et provenant des Bokkeveld beds de l'Afrique australe.

Ces conclusions sont prcieuses, tant au point de vue gologique et palontologique que pour les questions relatives la gographie des mers dvoniennes.

Les ntomostraes des couches du Lualaba (Con^o belge), par D'aprs les recherches antrieures de l'auteur sur les M. M. Lerielie (3). Poissons provenant des mmes couches, celles-ci appartiendraient au Trias

suprieur. Les ntomostraes


l'objet

qui abondent dans certains

lits

font

de

la

Note ci-dessous analyse.


sp. diffre d'E.

Esiheriella lualabensis n.

costata Weiss et d'E. nodoso-

(i)

Karslruhe, igio. -^ Extr. Mitt. Oherrhein Gol.


igiS.

ver.,

t.

III,

pp. Sg-gS,

lig.

(2) Paris,

Extr. B. S. G. F.

[U],

t.

XII,

igi2, pp. 0o5-fio8,


III,

PL

18-19 [Analyse de

l'auteur].
(A) Bruxelles,

igi3.

Extr. Bev. Zool. Afric, Vol.

fasc.

I,

p. in-8, 3 Pl.phot.

costaia Giebel,

kl

du Trias de
et

la

Saxe, par sa forme plus ovalaire, par ses cro-

chets plus aigus, par son ornementation, etc..

Darwinula Brady

distinguer de la var. stricta de D. globosa Duff.

Robertson, des couches de Lualaba, ne peut gure se du Rhtien d'Ecosse elle


;

abonde dans les assises argileuses, et c'est probablement la mme varit que doivent tre rapports les Ostracodes de Stanleyville, inexactement dtermins Candona par M. Ulrich. Metacypris Passani n. sp. rappelle M. Forbesi Rup. Jones, du Purbeckien d'Angleterre et du Jurassique super, du Colorado mais sa forme est plus
;

comprime et sa dpression, plus profonde, sur la face postrieure. Une seconde forme moins renfle accompagne toujours la premire dans les mmes couches c'est probablement une diffrence sexuelle entre les deux
:

formes
Il rsulterait de l que les couches en question sont saumtres, lagunes en communication plus ou moins directe avec l'Ocan.

Un Ragno
L'arraigne
II millim.

mesure (non compris les pattes) pour le cphalothorax. Un dessin permet de l'assimiler au G. Argyroneta reconstituant l'animal restaur des lignites de l'Oligocne. A. aquaHeyden, dj reprsent par A. aniiqua eaux douces d'Italie, a l'abdomen dans les llca Latr., vivant actuellement plus arrondi. M. Franceschi a dnomm la nouvelle espce, des marnes de Ghiavon, A. De Stejanii ce gisement parat appartenir rOhgocne moyen.
dcrite par l'auteui;

fossile del Terziario venets, per D. Franceselii

(i).

dont 5 pour l'abdomen

et 6

Un nouveau Cirrhipde pdoncule

et L. Joleaud

(2).

Dans

les

fossile : Scilla^lepas Cazioti, par marnes, astiennes du Mont-Alban, Nice, le

commandant
que

Caziot a dcouvert les lments isols d'un nouveau Cirrhipde

Joleaud rapportent au G. Sci/Z/epas, aprs une patiente reconsune carne presque entire de la titution des dbris de grandes plaques astiens du tunnel de Ginestet, les sables recueillie dans t espce a mme

MM.

prs de Beaucaire. S. Cazioti a beaucoup d'affinits avec S. Paronai Seg. et

avec Scalpelliim tripinosuin

Huek ou avec

S. eos Pilsbry.

Murex tritonls L., by T. Iredans un ouvrage de Gistel Iredale par M. Des recherches dale (3). que la substitution d'un rsulterait il Tierreiche), (jNaturgeschichte 1848 nouveau nom Triton premploy, pour Murex tritonis L., serait, non pas
The generlc Eame
--

to he used for
faites

Nyctilochus

comme

l'avait

suggr M. Dali en 1912, mais

Cliaronla

Gistel

(r)

Parme, igiS.
Boston,
ijiS.

(2) Marseille,' igiS.


(.?)

Riv. ital. di Pal., pp. 69-67, Pi. II phot.


C. R. Sances Soc. BioL, t.
Naiitilus, vol.

XKIV,

p. 728,

/|

p. in-S" avec

lig;.

The

WVll,

n" 5.

(j848, p. 170)
;

48

mais que, 8 pages plus loin, le mme auteur Gistel emploie Charonia pour un Acalphe. Dans ces conditions, M. Iredalene conclut pas mais tous les bons esprits seront sans doute d'avis qu'au lieu de persister rechercher des antriorits douteuses comme celle-ci, il serait bien plus simple d'admettre, une fois pour toutes, la correction faite en

igo4

Eiitrito-

nium

(y.

Revue

crit., Vil, p.

ii5).

En

terminant, M.

Iredale conteste le

nom

de Famille Cyinaiiidse pour les Tritons, parce que ce n'est pas le Genre typique je rappelle notre honorable confrre que c'est la rgle de priorit
;

qui doit prvaloir pour les Familles


squent, c'est le

comme pour

les

Genres, et que par con-

nom

Tritonid qu'on doit conserver pour cette Famille de


soit

Mollusques, bien que Triton

un

Reptile, attendu qu'il est inadmissible


familial, sous prtexte
!

de dpossder un auteur d'un

nom

que

le

nom

de

Genre dont

il

est

form

est

premploy ou pas typique

vestri(i).

Snlla strattnra di una CristeHaria plioeenica^ Mem del prof. A. 8ilCette tude trs documente vise un fossile dj tudi, en 1912, par M. Fornasini, dans une Note publie par la/?tu. ital. diPal. (anno XVII). Des coupes patiemment pratiques sur le Cristellaria galea, qui n'est autre que C. cassis Fichtel et Moll., il rsulte pour l'auteur que le dveloppement des loges internes se fait mathmatiquement suivant une quation, en coordonnes polaires, reprsentant peu prs une spirale logaritmique. Il y

aurait,

de ce chef, passablement rformer dans

la

taxinomie du G. Cristel-

laria Lk.

Rsum des communications faites au IX' Congrs international Dans cette troisime srie, nous n'avons nous occuper de Zoologie (i). ici, au point de vue palontologique, que des trois Notes suivantes

Observations sur le faune des mammifres quaternaires de la Corse et de la Sardai^ne. par C -J. Forsyth major. Les Mammifres en question sont probablement tous des survivants peu altrs du Pliocne les types arctiques ou alpins y font dfaut.

American Permoearboniferous Reptiles and Ampliibians, by prof. Les dpts permo-carbonifriens du Texas et du nouS.-W. Wllliston veau Mexique ont rcemment fourni des types nouveaux et trs intressants, des squelettes complets de neuf formes diffrentes, appartenant cinq Ordres de Reptiles et d'Amphibiens.

(i)
1

Rome,

1912.

Extr.

Metn.

Pont. Accad.

Rom Nuovi

Lincei, vol.

XXX,

pp. aiS-aai,

2 (ig.

(2)

Monaco,

igi.T.

Broch.

in-8, 5G p.

49

Les faunes palzoques dn Canada et les problmes qui s*y rattaL'auteur discute, dans cette communicachent, par le prof. H. Ami. Laurentia , la premire formation tion, l'apparition du premier continent Eparchenne, l'envahissement progressif de ce premier continent par les
((

mers qui l'entouraient, phnomne de transgression lente qui donne la mesure de la priode Cambrienne sur une zone de 600 kil. au nord de l'Etat de New-York. Les zones d'Epongs, de Coraux, de Crustacs et de divers autres groupes d'animaux fossiles marquent ces formations palozoques en fournissant des jalons pour ces cartes palogographiques.
,

RECTIFICATIONS DE NOMENCLATURE

dition antarctique franaise,

Le terme gnrique Leucaster Kbler (Eciiinode::iiL'S de la deuxime expp. 34, 1913), fait double emploi avec Leucaster

Gauthier (Note pour servir l'histoire du terrain de craie, p. 242, 1887). Je propose pour le genre d'Astries le nom Cuenotaster. P. Thiry.

la

place de Scalaria abbreviata Barrois et de


il

Guerne
;

(1878), coq.

de

la

Craie,
;

premploy par Costa et par Sow., Bouillei Boussac (noti Tournour),

y a lieu de substituer S. Barroisi S. S. Tournoueri Br. et Cornet S. Boussaci (1878), now Benoist (1875), S. Briarti; S. reticula Martin (1904), non SoL, S. Clarki-, S. Dumonli Br. et G. (1873), non Nyst (1833), S.Corneti; S. robusta
Dollfus (1903), nonAcirsa robusta v.
tion

Knen,

S. Costai [Toutefois cette rectifica-

ne rsulte que de ce que M. de Boury considre Acirsa comme un S. -G. seulement de Scala o irions-nous et quel chaos, si l'on appliquait partout cette mthode excessive?]; S. intermedia Fuchs (1879), non Hutton S. S. minutissima Gabb (1893) non Desh. 1861, S. Gabbi (1873), S. Fuchsi S. altaviUensis de Mrchi Grnw. et Harder (1907) non Angas, S. Grnwalli Boury in Cossm. et Piss. (1902) non de Greg. 1889, S. hautevillmsis [mauvaise formation, il et mieux valu choisir un autre terme] S. Thomasi Whitf. 1892, non Gabb (1877), S. ignota; S. soluta Dunker (1874), non Adams (= S. Dnnkel

riana Dali, non Nyst), Joubini; S. cra^silabris

S. inconstans
v.

Kn.

1885,

S. abbreviata Sow. non Costa (1861), S. non crassilabrum Sow. 1844, S. kopenha-

guensis [ la rigueur, cette rectification n'tait pas indispensable, crassilabris tant, en mauvaise latinit, un adjectif distinct du substantif crassilabrum\ S. pumila A. Ad. 1873, non Libassi (1839), S. misera de B. (1890) S. Fischeri
;
;

Watson

(1897),

est inutile, car la

non Fischeriana Tapp. Can. 1876, S. Pauli. [Cette rectification synonymie n'a pas defet rtroactif entre ces noms propres

avec dsinence

5o

i et dsinence ana: on a simplement, dans les Congrs de nomenclature, recommand de les viter l'avenir]; S. angusta Desh. nov. 1861, non Dunker (aot 1861), .S. perangusta, Nyst ayant propos Dunheri prcisment pour l'espce vivante qui conserve la priorit S. acuta Pfeiffer (1842), non Sow. 1813, S. Pfeifferi S.muUicostata v.Kn. 1891, non Sow. 1844, S. plu;
;

non S. crassa Sow. 1844, S. pseudocrassa un Genre distinct]; S. curta v. Kn. 1891, non Emmons (1862), S. pseudocurta; S. rugulosa v. Kn. 1891, wowSow. 1846, S. pseudo rugulosa S. pachypleura Tate (1890). non Conrad (1842), S. Ralphi iS. turbonilla Brugn. 1873, non Adams, S. Saccoi S. subvaricosa Dunker (1876), non Cantr. 1842 (= S. Dunkeri de B., non Nyst), S. semivaricosa Acirsa angusta V. Kn. 1891, non S. angusta Desti., S. Semperi [rectification inutile si Acirsa est un G. distinct] Acirsa coarctata v. Kn. 1891, non S. coarctata Jeffreys 1884), S. stricta [mme observ.] S. costulata Nyst (1843), non Kiener (1839), S. subcostulata; S. tenuilirata Whit. 1892, non Sow. 1874, S. subtilicostata; S. subtilis v. Kn. 1891, non Sow. 1844, S. subtilissima S trochiformis Maltzan (1885), non Br. 1814, S. trochoides S. Smithi Watson (1897), non Smithi Tryon (188S), S. Tryoni; S. fasciata Wanner (1902), non Sow. 1844, S. Wanneri: S. funiculala Watson (1880), non Carp. 1857, S. Watsoni; S. rudis Phil., var. Sandbergeri Sacco, non Desfa., S. weinheimensis
ricostata; Acirsa crassa
v.

Kn.

1891,

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10
11

11

12
Z|8

i3

20
12 10

20 20
7

''.

ik

17

5o
Il

DESCRIPirON DE PLCYPODES JURASSIQUES


Par

Maurice

GOSSMANN
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articles, avec 41 pi. in-8 (1903-1913)

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REVUE CRITIQUE
DE

PALOZOOLOGIE
N 2 (Avril 1914)

SOMMAIRE
Pages

Reptiles et Poissons, par M.


Trilobites, par M. J.Groth

le

D' H.

Sauvage

53
59 60
66

Insectes, par M. F. Meunieh

Paloconchologie, par M. Cossmann Cphalopodes, par MM. P. Lemoine et Bryozoaires, par M. F. Canu Divers, par M. M. Cossmann

R. Douvilt.

"il

88
92

REPTILES ET POISSONS
par M.
le
D--

H.

SAUVAGE.

Cretaceoiis of Alberta,
Tyrannosaiiriis, de

iiew Traeliodoiit Diiiosaor, Hypacrosaiinis, from Une Edmonlon Ce Genre comprend le Iw Barmim Brown (i).

plus grand Trachodont connu, approchant en taille


la

formation de Lance
le

le grand .Carnivore Hypacrosannis se distingue

de ce Genre voisin par

dveloppement de
et

la

colonne vertbrale.

Les casactres du Genre Hypacrosaiirus

de son gnotype altispinus

sont: vertbres cervicales fortement opisthocliennes, ctes fortes,


des' vertbres dorsales rduit, pines hautes et

massives

centrum sacrum avec

8 vertbres
;

l'humrus et large fmur,


;

scapulum long et trs large radius bien plus long que ischium long et large pubis avec une lame antrieure courte
;

tibia et fibule

presque de

mme

longueur
suivants

pied long

et

massif.
Il

se distingue de

Trachodon par

les caractres

chez Tracho-

o7i, les vertbres cervicales

ont des pines courtes,,


le

les dorsales
;

un

centro-

trum grand
chanter est

l'humrus est plus long que plus prominent.


;

radius

le

quatrime

le

Chez Saurolophus, le radius est de mme longueur que l'humrus fmur est plus long que le tibia les os du tarse sont diffrents, ainsi que ceux du mtatarse.
;
;

(i)

New-York,

191 3.

Br.

in-8. Ex.t. Bail.

American Musum

IVat. Jlislory.

ihe

54

The Skelton o Saurolophiis, a Custed Duck-billed Dinosaiir Irom Saurolophus Edmoulon Cretaceous, by Barnum Brown (i).

sh or ni Brown. Crne avec une longue crte postrieure forme par

un

prolongement du

frontal,

du

post-frontal,
s

du

nasal.

processus suprieur du prmaxillaire


des narines. Radius
et

'levant

Lacrymal trs long,, jusqu'au bord postrieur

humrus de mme longueur. Sacrum avec 8 vertbres. Ischium se terminant en forme de pied pubis avec une lame antfmur avec le quarieure courte et largie ilium fortement arqu trime trochanter au-dessus du milieu de la longueur de l'os phalanges
; ;

des doigts trs courtes.

Les vertbres cervicales sont du type de celles de Trachodon

chez ce

dernier on compte g vertbres au sacrum. Les ctes, chez Saurolophus, Font plus massive? que celles de Trachodon. La ceinture thoracique diffre

dans les deux Genres par les proportions des parties. La ceinture pelvienne prsente des caractres distincts, ainsi que le crne. La formule phalangienne est la mme dans les deux Genres. Trachodon existe avec
Saurolophus, mais ce dernier parat avoir t
les le
:

plus abondant de tous

Dinosauriens des formations d'Edmonton

Crtac suprieur.

A new Geiiiis and Species of Ceralopsia from the Belly River Styracosaurus n. gen. ormation of Albeila, by M. Lambe (2). Crne massif, allong, pointu en avant, trs largi en arrire pour former une crte cervicale trs longue et robuste. Fontanelles de grandeur modre fondans les paritaux coalescents. Squamosal un peu quadrangulaire fosses supra-temporales s 'ouvrant largement tanelle post-frontale grande

en arrire

cornes nasales grandes, droites, s'levant de la partie post;

ieure des nasales

cornes supra-orbitales moins grandes.


n. sp.

Styracosaurus albertensis

Crne remarquable par

la

grosseur des

cornes nasales, l'loignement de ces "cornes de l'extrmit du museau, le grand dveloppement du processus des bords postrieurs des paritaux
coalescents, dirigs en arrire et en pointe.

La
.sion

crte cervicale est

forme par
latral

les

des paritaux coalescents. La majeure partie

squamosaux et l'immense expandu squamosal est plus

large que longue. Le

bord

du

parital est tortueux. Les projections

des cornes massives, pointues,

sont formes par la crte cervicale, au

nombre de

trois de chaque ct. Les deux paires postrieures de cornes sont les plus larges, diriges en arrire. Les cornes de la paire en avant sont presque aussi larges, diriges plus en dehors qu'en arrire les deux
;

paires antrieures sont les plus petites.

(i)
(2)

New-York, igiS.
Ottawa, igiS.

Br. in-8. Ext. Bail. Amer. Mus. Nat. History,t- XXXII. Br. in-8, 3 PI. Ext. The Ottawa Natur. ,\ol. XXVII.

55

rieurement.

Les fontanelles paritales sont ovales. Les nasales sont largies postEn avant de leur union avec le maxillaire, on a un processus

court, dispos de

chaque ct du crne

un septum

nasal vertical descend


:

de

la

jonction longitudinale. La surface du prmaxillaire est lisse


;

les

au contraire, sont trs dvelopps. Le jugal a mme forme que chez Triceratops. Le squamosal le foramen lacrymal se trouve entre le maxillaire et est trs dvelopp chez beaucoup de Ceratopsia, la surface du crne est nasal. Comme le
frontaux ne sont pas grands
les post-frontaux,
;

marque par des

sillons vasculaires.
se distingue de Ceratops

Le Genre Styracosaiirus

par

les

squamosaux

plus courts, les fontanelles interparitales plus petites, les cornes suprade Monocloniiis, par sa plus grande taille. orbitaires bien dveloppes
;

Jes

squamosaux plus grands.

Styracosannis albertensis est du Crtac.

The

Dinosaiirs o East Africa,

by

CIi.

Schucliert

(i).

Les Dinosaul'anipetit, les

riens de l'Afrique orientale allemande sont des

plus grands que les

animaux gigantesques, Dinosauriens amricains des Comanches, atteignant

deux fois la taille de Diplodocus, 80 pieds de long. Gigantosaiiriis est mal terrestre le plus grand. Chez ce Reptile, le cerveau est trs

par consquent la mentalit trs faible. L'animal devait vivre dans cours d'eau pendant l'poque crtace.

cimen

Description of a iiew spcies of Testiido, and of a remarkal^le spof Stylemys nebrascensis, f rom the Oligocne of Wyoming,

Testiido prseextans se distingue des U. S. A., by L. M. Lamlje (2). autres espces par le grand dveloppement de la languette piplastrale qui forme une trs remarquable partie du plastron. Diffre de Testiido Thomsoni Hay, de l'Oligocne du Dakota, par la proportion des lments

du

lobe antrieur

du

plastron.

Le Genre Stylemys est voisin du Genre Testiido. Le type du Genre est Testudo nebrascensis Leidy S. Culhertsoni Leidy, se rapporte la mme
;

espce.

Podocnemis congolensis, Tortue fluviatile nouvelle du Montien (Palocne infrieur) du Congo et l'volution des Cliloniens fluviatiles,

par L. Dollo(3).

Les

caractres de cette Tortue sont


;

carapace

trs dpressif orme, vermicule

sillon ypsiliforme absent sur la

premire
;

plaque costale

troisime cusson marginal, troit, rectangulaire

qua-

(i)

(2)

Broch. in-8. Ext. The Amer. Journ. of Science, t. XXXV. Ottawa, 1918. Brocti. in-8% 3 PI. Ext. The Ottawa Avatar., Ann. Mas. Congo Belge, srie III, t. P". (3) Bruxelles, i9i3.

t.

XXVII.


blage avec
le

56

crte axillaire pour l'assempdoncule axillaire du plastron, au milieu de la troisime plaque marginale. Longueur approximative du plastron, un mtre. L'espce se distingue de toutes les autres du Genre par l'absence du sillon ypsiliforme sur la premire plaque costale, l'ornementation vermi-

trime cusson marginal, large, trapzodal

cule de la carapace.

Le Genre Podocnemis est actuellement confin dans l'Amrique du et Madagascar. Les espces fossiles sont au nombre de lo, ainsi Malte i espce Egypte 5 espces 2 espces distribues Angleterre Congo I espce Inde i espce Malte i espce Egypte 5 espces Congo I espce Inde i espce. Ce Genre vit depuis le Palocne infrieur, Montien, Congo, jusqu'au -Miocne infrieur, Egypte, Malte. Les Genres Podocnemis et Trionyx s'excluent dans la Nature actuelle.

Sud

On a deux adaptations des Tortues Cryptodres la vie fluviale l'une culmine chez les Cryptodres triomphodes, l'autre chez les Cryptodres testudinodes. Les Pleurodres n'offrent qu'une adaptation la vie fluviale,
:

celle des

Cryptodres testudinodes.

La

vie aquatique des Cliloniens fluviatiles offre


;

deux beaux exemples

dans leur retour la vie aquatique, les Cliloniens n'ont pas repris les branchies ancestrales, mais ont, au contraire, conserv la respiration pulmonaire. Podocnemis prsente un
d'irrversibilit de l'volution

autre cas de rversibilit par sa stgocphalie secondaire. Cette stgoc-

phalie se distingue de la stgocphalie primaire des Batraciens ancestraux

en ce que

le post-orbitaire, le

supra- temporal, l'piotique, une fois perdus,


la
le

par soudure ou par atrophie, ne reparaissent plus dans Chez Podocnemis, les paritaux sont en contact avec
dratojugal.

vote crnienne.
jugal et le qua-

F.

Sur des Otolithes de TEocne du Cotentin. Avec des Priem (i).

Cotenliii et de Brelague,
squales
afj.

par

(Lamna macrota, Odonangiistiis

taspis elegans,

Od. ciispidata), Perdicarum

concavus Priem
par
la

Sparidarnm simplex,

n. sp. diffre

de

S.

Priem, P. aff. Rutoti Leriche

forme plus allonge, le manque de dentelures sur les bords. Hoplostethiis Bambergi, n. sp., Perdicarum. aff. acutus Bois-GouT Priem, P. rectiis, n. sp., Sparidarnm elongatus, n. sp., angustus Priem, P. Ophidiidarwn aff. Kokeni Priem.
:

Sur des poissons fossiles des phosphates remanies du Relhlois, Elasmobranches Pfychodus decurrens Ag. Myliopar F. Priem (2). hatis, sp. Notidanus microdon Ag., Synechodus, sp. Centroscyllium decipiens Wood, Scapanorhynchvs snhulatus Ag., S. rhaphiodon Ag., S. gra-

(i) Paris, igiS.

(2) Paris, igiS.

Br. in-8. Ext. Bull. Soc. Gol. de Fr. Br. in-8". Ext. Bull. Soc. Gol. de Fr.

(k"), t.
(li'),

XIH.
t.

XIII.

cilis

57

Otodiis
siilcatus

Ag.,

Lamna

appendiculata Ag.,

Gein.,

Oxyrhina
affi-

Mantelli Ag., 0. macrorhiza Put., Corax falcatiis Ag., Pseudocorax


nis Ag.

HoLocPHALEs. Tlostomes.
'zodus, sp.,

Edapliodoii Sedgwicki Ag. Pycnodontes, Protosphyrfena


leioesiensis
les

Euchodus

Les espces, trouves dans


des Holocphales

ferox Leidy, PachyrhiCimolichthys lewesiensis Leidy. phosphates remanis du Rethlois, sont

Mant

des espces infractaces et crtaces. La plupart des Elasmobranches et

commencent avec
le
;

paraissent que dans

lement snonienne
espces qui

et

l'Albien et le Cnomanien, et ne disSnonien une espce (Pseudocorax affinis) est seumontienne. Les Tlostomes appartiennent des
le

commencent avec
le

Cnomanien pour

se continuer gnrale-

ment dans

Snonien.

Les Poissons palocnes de Landana (Congo). Les gisements de poissons palocnes et ocnes de la cte occidentale d'Afrique, par Maurice Leriche (i). Le Genre Hypolophytes se distingue du Genre Hypolophus par l'absence d'une dpression symphysaire la plaque dentaire de la mchoire suprieure, par la prsence d'une file continue de grandes dents comme chez les Myliobatids. Le groupe Rhombodiis, Hypolophytes, Hypolophus forme une Famille distincte intermdiaire entre celles des Trygonids et des Myliobatids.

Les Poissons de
espces suivantes
:

la partie infrieure

de
n.

la falaise

de Landana sont

les

Myliobatis dispar,

sp.,

Odontaspis macrota kg.

mut.

striata

Winkler,

Lamna
n.

appendiculata Ag.
la sp.,

Les espces recueillies dans

partie suprieure de la falaise sont

Hypolophytes majorbensis,

striata, dans les couches infrieures de la Falaise, indique leur ge montien. En dehors du gisement de Landana, on connat, le long de la cte occidentale d'Afrique, un certain nombre de gisements de Poissons fossiles
;

Ginglymostoma, sp. L'existence' de Lamna appendiculata et de Odontaspis

ce sont les suivants

Gisement de Cavaco (District de Benguela). Eocne. Gisement d'Abadion (Togoland). Landnien, Faune tropicale. Gisement de Djagbati (Togoland). Eocne. Gisement de Tabligbo (Togoland). Palocne. Sngal. Gisements ocnes, surtout dans le Bas-Sngal.

Uber neuere Funde

fossiler

Fische ans /Equatorial und Siid Afrika

luid ihre palaeo-geographische Bedeutung,

von

D"^

Edw. Hennig
111.

(2).

(1)

Bruxelles, igiS.

(2) Berlin, igiS.

Brooh. in-8. Ext. Sitz.

Br. in-i", 3 PI. Ext. Ann. Mas. Congo belge, srie Gesells. Natarf. Fr. N" 7.

58

aiiricu-

Afrique DU Sud. Tertiaire. Carcharodon megalodon, Rondeleti,

Semionotiis capensis, Cleithrolepis Extoni Dictyopyge DraCeratodus capensis, C. Kannemayeri, Palonisciis Bainii, sculptiis, Atherstonia scutata, minor, Seeleyi.
Trias.
;

latus; Oxyrhina Sillimani, hastalis

Carcharias collata; Hemipristis serra,

peri,

Afrique DE
don, Scapan.
Euchodiis.

L'Est.
sp.,

Natal. Craie. Cistracion sp., Scapan, aff. raphioOxyrhina Mantelli Corax falcatus Lamna basalis,
;

prisca, Hemipristis serra

Mozambique. Tertiaire. Odontaspis ciispidata, Oxyrhina sp. Sphyrna Carcharodon megalodon, Galeocerdo, Galeiis,
;

Carcharias, Cimolichthys. Cybiiim.

Craie. Oxyrhina Mantelli

Scap. subulatiis

Pseudocorax

affinis

Syne-

chodus,

sp.

Afrique
nodontes
:

orientale

Craie. Corax heterodon,

Tertiaire. Carcharias megalodon, allemande. Lamna, Scaph. rhaphiodon, Orthacodiis Pyc;

Lepidotiis minor.

Afrique centrale. Congo. Trias. Pholidophorus, Lepidotus, Peltopheurus Maesseni. Nyassaland. Trias. Colohodas africanus. Afrique du sud-ouest. Permien. Eurydesma. Cameroun- Tertiaire. Torpdo Hilgendorfi Myliohatis. Craie. Proportheiis Kameroni, Leptolepis, Lepidotus Manni. L'intrt de cette publication, c'est qu'elle rsume la faune iclithyollogique de toute une zone littorale du vaste continent africain, amenant ainsi des rapprochements qui peuvent contribuer la biographie palontologique, depuis la base des terrains msozoques jusqu' l'poque ter;

tiaire.

Some New American Pyciiodont Fislies, by J.-W. Gidley (i). La prsence, dans la Craie des Etats-Unis, des Genres Microdon et Clodus prsente un grand intrt, ces Genres tant de l'ancien Monde. Les espces sont Microdon T exanus, Craie infrieure du Texas Clodns fahadeus, mme localit Clodus decatiirensis, mme localit, ressemble C. Stanton Williston et C. Broiuni Cope Anoniodiis lati:

dens, Mississipi

A. mississipiensis,

mme

localit.

(i)

Washington,

igiS.

Br. in-8. Ext. Proc. U. S. nat. Mus.,

t.

h.

- 59-

TRILOBITES
par M. Jean GROTH.

Beitraege ziir Kennliiiss devoiiischer Trilobiten.

I.

Die Gatliing

verwaiicKe Formeii, von R. Ricliter (i). L'auteur de cette importante Monographie entreprend la revision du Genre Dechenella. Aprs avoir rappel les travaux antrieurs et particu-

Dechenella luid

eiiiige

lirement ceux de M. QEhlert (Etudes sur quelques Trilobites du groupe


il spare de ce Genre une srie de formes no-dvoniennes, ou yeux peu dvelopps. Les caractres du Genre sont discuts et compars avec ceux de Phillipsia et de Prtus. Tout en reconnaissant l'existence de formes amricaines intermdiaires entre Prtus et Dechenella, l'auteur conserve ce dernier Genre dans lequel il tablit de nouvelles coupures. Eudechcnella n. S. -G., du Dvonien moyen, a pour type D. Verneuili.

des Prtidsc),
aA^eugles

Basidochenolla
de ce groupe par

n. S. -G., (types
la

D. Kayseri

et

D. dombroiuiensis) diffre

forme de sa glabelle sillons latraux moins dvelopps. Paradechenella n. S. G. a pour type D. Tschernyscheiui Richter. Le nouveau Genre Schizoprtus (type Prtus celechovicensis Smycka) se distingue de Dechenella par la forme de sa glabelle et le parcours de sa
:

ligne de suture.

Il

diffre de Phillipsia par le rtrcissement

de sa glabelle

vers l'avant et de Prtus par son

pygidium

nombreux anneaux.

sungsgrtel

Aprs quelques considrations sur l'existence probable d'xm Spros donnant naissance vers l'avant des segments thoraciques

et vers l'arrire des

segments du pygidium, l'auteur rappelle

la

remarque

de M. QEhlert et l'opinion de Scupin sur l'origine du Genre qui driverait

de Prtus pygidium court. Ceux-ci auraient donn naissance d'alaord aux


Basidechenella, puis aux Eudechenella.

On
et

des espces

fm de ce Mmoire une synonymie du Genre, une liste une abondante bibliographie. Cette tude trs documente bien illustre apporte une contribution importante l'tude des Tritrouvera la
et

lobites dvoniens.

A new Genus
species,
(i)

of Ihe Cheiriiiidae,

by Donald

C. Barton

(2).

Le Genre Cheirurus Beyrich,


.

with description o some

new
a ta

Francfort-sur-le-Main, 1912. ^6/iand. Senckenberg


p. PI. i8-2i. 9 fig. texte.
'

Natui^forsch. Gesellsch., Bd.


Coll., vol.

WW.
n 21,

h'- 3/io

(2)

Cambridge, mars 1918.


I

Bull.

Mas. compar. Zool. at Harvard

LIV,

p. 5/.7-556,

PI.


restreint

6o

les sillons pos-

aux Cheiruridx ayant

ii

segments thoraciques,

trieurs'de la glabelle presque droits, les lobes basaux triangulaires et

non

spars par une portion de la glabelle

des formes dans le sillon occipital. La glabelle est lisse et bords sub-parallles. Le type de ce nouveau Genre est G. marginatus n. sp. que dcrit l'auteur ainsi que
le
g.,

L'auteur en distingue, sous

nom

Cerauriniis n.

sillons postrieurs de la glabelle droits et ne s 'ouvrant pas

C. trentonensis n. sp. et C. confluens n. sp.

1913. Notes sur les Triloblles


vie),

par M.

Remes

(i).

du Dvooieu de Celechovic (Morace, Travail,

Dans

malheureusement rdig

en langue tchque, l'auteur tudie des chantillons appartenant aux Genres Bronteus, Lichas, Cyphaspis, Prtiis et Schizopi'tiis. Il figure un
:

chantillon de Cyphaspis ceratophthalmoides Rud. Richter.

ARACHNIDES ET INSECTES
par M. F. MEUNIER.

A Moiiograph of the lerrestrial PalEozoic Araclinida of norlh America, by A. Petrunkevilcli (2). Ce beau Travail fait faire un grand

les Arachnides palozoques. Aprs avoir rappel l'importance des recherches de Fritsch et de Pocock, publies en 1904 et 191 1, l'auteur mentionne qu'un examen attentif de trs

pis lrat de nos connaissances concernant

nombreux matriaux d'tudes


veaux
et 24

lui a

permis de dcouvrir i3 Genres nou-

espces indites. Les Genres Hadrachne Melander et Geraphry-

ims Scudder ne sont, en croire l'auteur, que des Architarhus Scudder. Geraphrynus carbonariiis n'est autre chose que Architarhus rotundatus. Le nouvel Ordre Ivustaraelnia' a t tabli pour trois espces de liustarachne n. y. M. Petrunkevitch tudie longuement la classification des Araclmides de Lankester, qui, on le sait, divise ces Arthropodes en deux Sous-Classes les Pantopoda et les Eiiarachnia. Il fait remarquer que,
: ^

Ordres admis, on ne trouve pas les Ordres teints qui ont cependant une haute valeur a,u point de vue morphologique et phylognique. Il critique la classification de Lankester et fait remarquer que le

parmi

les 9

(i) [n-8% 6 p.,


(2)

PI.

New-Haven,

igiS.

au

trait, i3 PI. (82

Trans. Connect. Acad. Arts and Se. Vol. photos). Yale Univ. Press.

iS,

pp.

1-187, 88 figures


les

Gi

5 Classes
:

sub-phylum Arthropoda du phylum Appendiculata comprend


Diplopoda,
les

Arachnida,
les

les

Crustacea, les Chilopoda et les

H exapoda

commun, ressemblent un Chtopode, mais Prosthomres , c'est--dire par les segments de l'ouverture de la bouche (the segments in front of the mouth opening). Si intressante que soit cette ide, ce n'est videmment qu'une simple
qui drivent d'un anctre

en diffrent par

hypothse que de nouvelles observations permettrons d'tayer ou qu'il faudra liminer par la suite. Le savant auteur se demande si la segmentation de la tte doit tre considre comme un caractre phylognique

fondamental

et

de haute porte, justifiant


l'tat

la

prsence, dans cette Classe,

des Trilobites et des Pantopodes.

Aprs avoir rsum


classification des

des connaissances concernant l'embryologie,

l'auteur arrive conclure qu'il ne parat pas raisonnable d'difier

une

Arthropodes base sur

la

segmentation de

la tte qui,

au dire de l'auteur, ne peut tre considre comme un caractre de premire importance. La Monographie de Pocock rsume bien les divers systmes de classification proposs jusqu'ici. L'auteur scrute, avec grand soin, les caractres des formes fossiles en les comparant aux formes rcentes. M. Petrunkevitch est enclin croire que les diffrentes Classes d'Arthopodes ont d se dvelopper, non pas d'un anctre commun, mais des
poques diffrentes,
de
diverses

espces

de

Chsetopodes vermif ormes.


elle est

Pour ce qui

a trait la

phylognie des Scorpions,


!

encore actuelle-

ment
et les

tablie sur des bases bien chancelantes

On

Euryptrides se sont spars pendant les


et les

que les Limulides temps prcambriens. Les


croit

Xiphosures, les Euryptrides

Scorpions se sont dvelopps indpen-

grande ressemblance entre les Slimonia, Eusarcus et les Scorpions doit tre vraisemblablement attribue des phnomnes de convergence, ainsi que l'a dj suggr Thorell. Les Haptopoda, les Phalangiotarbi, les Anthracomarti, les Opiliones, semblent tre drivs d'un anctre commun. Disons cependant que les Acariens n'ont pas encore t signals sur les schistes palozo'iques. Par

damment

la

des segments abdominaux et par les coxae, on serait tent de rapprocher des Pedipalpi mais, comme le dit trs exactement M. Petrunkevitch, il est prmatur de les faire driver de ce groupe. Les Solifiig paraissent occuper une place isole. Les Pedipalpi et les Arane
le

nombre

les

semblent devoir
terne,

tre rapprochs,

par leur organisation tant interne qu'ex-

mais leur origine est encore assez problmatique. L'auteur mentionne qu'un grand nombre de nouvelles formes d'Arachnides se sont montres la fin du Dvonien et au commencement de la priode du
Carbonifre infrieur. Dans les schistes houillers de Pensylvanie, la majorit des Ordres sont parfaitement dvelopps. Toutes les formes ont la structure des araignes terrestres, l'exception, peut-tre, de quelques


Anthracomarti
et

62

les

Phalangiotarhi dont

murs

taient vraisemblable-

ment aquatiques.
L'auteur passe ensuite en revue les espces palozoques d'Arachnides
des gisements du Nouveau
teint des

Monde

et celles

des terrains europens. L'Ordre

Haptopoda

est reprsent

par une singulire espce, Plesiosiris

Kustarachn par trois espces du Nord de l'AmAnthracomarti et Phalangiotarhi se trouvent en Europe et aux Etats-Unis. Les Anthracomartus sont reprsents en Europe par 9 espces, on en connat deux formes d'Amrique. Parmi les Eophrynid, citons i3 Genres et i6 espces d'Europe, 3 Genres et 4 espces du Nord de l'Amrique. L'Ordre des Ricinulei, actuellement cantonn en Afrique et au Brsil, se rencontre dans les schistes houillers de l'Europe et du Nord de l'Amrique. Les araignes du Sous-Ordre Mesothel sont bien reprsentes pendant les temps houillers. L'Ordre des Scorpions, limit actuellement aux rgions des Andes, a laiss de nombreux reprsentants dans les gisements du Colorado, de l'Utah, de Nevada et de Nebraska. L'auteur a parfaitement raison de signaler qu'il serait imprudent, dans le temps prsent, de conclure au sujet des relations phylogniques probables
Madeleyi d'Europe,
les

rique. Les Ordres teints

des Arachnides des terrains europens et amricains.

Deux

faits

cependant
les

s'imposent
celle

i la
;

faune arachnologique des Etats-Unis est diffrente de


2 les

de l'Europe

deux faunes ont plus de ressemblance avec

espces des faunes tropicales qu'avec celles des gisements palarctiques


et

narctiques.

L'auteur donne une cl pour


les

le

phylum

des Arthropoda comprenant les

Pauropoda, Arachnida et les Hexapoda ou Insectes. Il a eu l'heureuse ide de donner ici une cl siinple et trs pratique, des Arachnides, comprenant i5 Ordres Xiphosura, GiganCriistacea, les Trilobita, les Protracheata, les Diplopoda, les

Chilopoda,

les

Symphyla,

les

Pycnogonida,

les

tostraca, Scorpiones, Ricinulei, Palpigradi, Solifiig, Kust.arachn, Pedipalpi, Aranese,

Pseudoscorpiones, Acari, Opilones, Haptopoda, Phalan-

giotarhi et Anthracomarti. Des tableaux spcifiques permettent aux cher-

cheurs de s'y reconnatre parmi de

si intressantes formes houillres. Le Mmoire contient les diagnoses des nouA^elles formes suivantes Eoscorpius typicus, E. Danielsi, E. graniilosiis, TrigoScorpions. noscorpio americanus nov. sp. Pala'opistaeanthus Schucherti nov. sp. P. mazonensis ; Eoctonus miniatiis, nov. sp. ; Palaeolbutiis distinctus,

nov. sp.

Pedipalpi.

elongatiis, nov.

'/i.

Geralineura nov. Thelyphryniis G. gigantea Protophrynus carhonariiis, nov. KusTARACHNiE. Kustarachnc tenuipes Scudder K. conica, nov. extincta Melander. SoLiFUG^. Pro^tosolpxiga carhonaria, nov.
similis,
sp.,
;

sp.

sp.

sp.

sp.

RiciNULEi.

63

formes des Genres


Perneria,
:

Arane.e.
Protolycosa,

Polyochera glabra, signale toutes


Il

nov. sp.

les

Arthrolyccsa,

Geralycosa,

Rakovnicia,

Eocteniza,

Eopholcus

Pyritaranea et Ai'chxomata.

Le Mmoire contient
sp.

les descriptions

des nouvelles espces suivantes

ArthrolycosaDanielsi, Areomartiis ovatas,

Trigonomartus piistulans, nov. Trigonotarbus Schucherti, T. carbonarius parmi les Opiliones, nom;
:

mons

Protopilio longipes, P. depressus.


:

Dans l'Ordre des Haptopoda, relatons


Geratarbus minutus
gularis,
;

Heterotarbus
sp.
;

ovatiis, nov.

sp.

Piscotarbus deplanatus, nov.

nov.

sp.

Aixhitarbiis

minor

Metatarbus trianA. horribilis Melander (Petrun-

kevitch)

Ce savant Mmoire, copieusement illustr, est trs instructif il intpour les tudes de morphologie compare. La reproduction photographique des riches matriaux tudis aidera beaucoup le systmatiste dterminer, coup sr, les formes
;

resse tous ceux qui se passionnent

houillres.

ChajJter

on Embolobranchiata, revised by A. Petrunkevitsch


(c

(i).

Cet extrait de

Paleontology

rsume

l'tat

des connaissances aux

Scorpionida (Scorpions), Pedipalpida, Pulpigradi, Solpiigida, Ricinula, Pseiidoscorpionida, Uraneida, Haptopoda, Phalangiotarbi, Phalangida et
Acarina.

Une
la

houiller de

nouvelle espce de Palodictyoptre (Stnodictyoptre) du L'auteur donne Commentry (Allier), par F. Meunier (2).

diagnose d'une curieuse espce qu'il compare Stenodictya Oustaleti et S. Fritschi (S. Vasseiiri, 7iov. sp.). Il donne le tableau des Palodictyoptres des Genres Stenodictya et Microdictya. La Note est accompagne

d'une planche photo typique de


dessin restaur,

la

nouvelle forme de
le

Commentry

et

d'un

au

trait,

montrant

dtail

de

la

vnation (nervation)

des

ailes.

Das erste

fossile Insekt

aus
(3).

dem

Aprs quelques remarques relatives aux Bibionid fossiles, les plus abondants parmi les formes tertiaires, l'auteur dcrit une nouvelle espce, Bibio Sticheli. L'tude des Bibionid tertiaires des gisements d'Aix- en-Provence et
des lignites

von Herrn A. Handlirsch

Mioca^n von Gotschee in Krain

du Rhin

(Rott) est

compltement

refaire.

Les espces offrent


au

(i) Berlin,

1912.

(2) Paris, igii.

(3) Berlin, 191 1.

Berliner Ent. Zeilsch. Bd. 56, pp. i5i-i52 Bull, de Soc. Ent. de France, Fvrier. Berl. Ent. Zeitsch, pp. 179-180,
la
t.

et 3 figures

trait.

III,

fig.

7.

64

le

entre elles des caractres peu critres, ncessitant une rvision systma-

tique rigoureuse. C'est le cas pour les formes dcrites autrefois par clbre palontologiste suisse

Oswald Heer

et

Lucas von Hevden.

Bemrkiingen iiber Coleopteren ans dem baltischen Ce petit Travail est bien fait, von Herrn G. Quiel (i).

Bernsteiii,
il

s'occupe
avec soin

principalement de quelques Coloptres Paiissidas


bre de
A.
la Baltique. Il signale
;

et

Scarabidse de l'amet dcrit

Arthropterus Kuhlii Stein


(il

Helmi Schoenfuss

un autre Arthropterus

n'a que 4 5

mm.

de

long) est trop imparfaitement conserv pour

le

dcrire spcifiquement.
et

L'auteur tudie longuement Paiissides Mengei (Motschulsky) Scudder


Sclioenfuss, aussi cit

dans le a Handbuch de A. Handlirsch. Une grande confusion rgne encore au sujet de la place systmatique assigner cette espce. On ne peut que fliciter l'auteur de s'tre abstenu d crer un nouveau nom gnrique pour cete forme du succin, en l'absence du
type dcrit par
liste

Menge

et

non retrouv

autrefois par le distingu natura

Helm, de Dantzig.

des remarques

M. Quiel dcrit aussi un Paussus (sp. ?). Parmi les Scarabid, il fait critiques concernant Aphodiiis fossor Linn, cit par
Aphodiiis
la

Scudder et ensuite par A. Handlirscli. parmi les Coloptres de l'ambre de

fossor

est

rayer

Baltique.

Au

dire

de l'au-

teur, c'est un Insecte quaternaire provenant de Torf Helsingr . Aphodisius succini Zang, est grouper avec les Atnius (?). L'auteur dcrit une forme, bien distincte, de ce Genre, Atsenius eiiropseus vraisemblablement il donne ensuite les descriptions de deux espces, nouvelles, du Genre Serica. M. Quiel rsume l'tat des connaissan;

ces relatives au Scaj-abidas

du succin de

la

Baltique
est

Apixodiiis fossor

Linn (Robert), est quaternaire. Serica sp. Giebel, aurait ici fait chose trs utile de nous renseigner si
le

du Copal. L'auteur

type tudi

la rsine

renfermant

est

du Copal

sub-fossile de Zanzibar

ou

rcent. 'Cette ob-

servation une grande valeur au point de vue des relations fauniques des

espces tertiaires, quaternaires et actuelles.

Les formes suivantes sont authentiquement incluses dans l'ambre


Ataenius eiiropseiis Quiel, Atxnius
Serica
(S. lato) sp.
?

succini .Zang.

Quiel. L'auteur s'en

prend souvent au

((

Handbuch

de Handlirsch et relve plusieurs erreurs ou des citations qui paraissent,


d'aprs
lui,

prter

le

flanc la critique. C'est regrettable


!

surtout destin aux tudiants en Palontologie

pour un Manuel, Pour disculper M. A.

Handlirsch,
il

il

suffit

de dire que, lors de

la

rdaction de son

Handbuch

ne pouvait cependant pas

vrifier toutes les observations

de ses devan-

i)

Berlin, 1911.

Berliner Ent. Zeitsch. Bd. 55, pp. 181-192.


ciers.

65

Ses comparaisons concernant les formes de l'ambre et des copals

^de provenances souvent trs diffrentes) ne sont pas heureuses.

Elle prouve,

La Note de M. Quiel est trs documente et faite avec beaucoup de soin. une fois de plus, que toute la faune des Coloptres du succin.
Il est

est vrifier.

fcheux que
C'est

le

Travail de M. Quiel ne soit

accompagn d'aucun

dessin.

un desideratum

rparer aisment lors de la publication

de nouvelles remarques.

Ein neuer Thysanur im Bernstein, von Herrn


offre

D'^

von Olfers

(i).

Cette Note, quoique trs courte et peu prs rduite 3 excellentes figures,

un grand

intrt.

M. von Olfers, qui

est pass

matre pour l'tude

des Thysanours fossiles et vivants, signale que


avait considr

comme une

Se basant sur cette

forme teinte remarque, il est enclin

Lepioma jubatiim

qu'il

fait

partie de la faune actuelle

croire

qu'une grande partie

des Thysanours de l'Eocne font encore partie de la faune actuelle. J'ai souvent conu la mme ide au sujet des Diptres de l'ambre du Samland.
Toutefois, de minutieuses comparaisons ne pourront vraisemblablement

iamais tre

faites, les couleurs des formes inclusantes tant manquantes ou du moins chimiquement altres. Il faut bien se garder d'riger la remarque de M. von Olfers sous la forme d'une loi irrfutablement dmon-

tre.

Des ides synthtiques de l'espce ne pourront


Baltique.

tre

nonces qu'aprs

l'tude d'ensemble de tous les groupes d'Articuls inclus dans le succin

de

la

Protocimex siluriens Molb. iind meine Aufassnng desseben, von O.-M. Reoter (2). L'auteur tient dissiper un malentendu concernant le fameux Protocimex siluriens Molberg qui, pour lui, est peut tre une aile d'Hmiptre. M. Reuter dit qu'il n'a donn cette dtermination qu'avec la plus grande rserve. M. Molberg a dnatur le sens de sa pense concernant ce fossile qui, pour M. A. Handlirsch, n'est qu'un cas de u hisiis natnrx . Il est souhaiter que d'autres palontologistes voient ce fossile avant

d'tre dfinitivement difi son gard.

(i)

Lnxes, igiS.

Zittel-Eastman's Paleontology

(2) 1911.

pp. 7-86. (Mac Millan, diteur).

Zoologischer Anzeiger, pp. 36o-3Gi.

66

PALOCONCHOLOGIE
par M. GOSSMANN.

Einige
et les

neiie

Jiisken aus

oder weniger Bekamite MoUuskoiden und Moldeutschem Devon, von A. Fuchs (i). Les Brachiopodes

Plcypodes forment

le

principal contingent de cette Etude purement


:

descriptive. Les espces nouvelles, signaler, sont les suivantes

Lingula

gedinniana
lerrain et
breviiisciila
;

(il

serait plus correct d'crire

gedinnica puisqu'il s'agit d'un

individu), Discina (Oj'biciiloidea) montana, Lingula (dnomination remplaant Lingula brevis Fuchs, non Portlock) Orthis biconvexa, du Coblencien suprieur Strophodonta bispinosa, du mme niveau Spirifer a-quicosta, de la zone S. cuJtrijugatus
;
;

non d'un

RhynchoneUa
trs

posterior, R. siegenensis, R. (Wilsonia) dillensis


;

Centro-

Posidonomya minima Myalina circAilaris, Myalina lenneana, dont la dnomination ferait penser qu'il s'agit d'une espce ddie Lenne, tandis qu'il s'agit des couches de Lenhe Modiomorpha extensa Cucullella ovalis, voisine de C. Branneri
nella imparstria, G. taunica
;

incomplte

Clarke,

du Dvonien infrieur de Para, au


;

Brsil
;

C.

Beushauseni (= C.
;

elUptica Beush. noii Maurer)

C.

depressa
la

Cypricardella rhomboidalis

Prolucina bilineata, espce dont


est

charnire a pu tre reproduite et qui


;

remarquable par
;

la

quistria
et

Grammysia

longueur de sa rainure ligamentaire Panenka (?) bifurcata, lgamment orne de rides dimorphes
; ;

d'une rainure rayonnante Allerisma extensum Leptodomus peleDeux Gastropodes dj connus terminent cette numration Salpingostoma triplewa A. Fuchs (1909), Pleurotomaria Kleini Beushausen.
cyides.
:

Rcurrent Tropidoleptus zones of tlie upper Devonian in NewYork, by H. -S. Williams (2). Les recherches dont les rsultats sont ont port sur une aire comprise dans les publis dans ce Mmoire feuilles Watkins Glen et Catatonk de la Carte gologique des Etats-Unis.

Les faunules recueillies sont principalement caractrises par


de Tropidoleptus carinatus associ Cypricardella bellistriata
rana, c'est--dire des formes qui se rapportent au groupe

la

prsence

Dvonien suprieur
(i) Berlin igiS.
(2)

elles font ressortir,

Phacops Hamilton du par leur succession, une srie de


et
5 PI. in-8.

Washington, igiS.
dans
le texte.

Jahrb.

Kn. pr. Landesanst., Rd. XXXIII, T. II, pp. /19-76, U. S. Geol. Surv., prof, paper 79, io3 p. in-/i, 6

PI.

phot. et

18 fig.

6-

transgressions et de rgressions, soit

un

diastrophisme

des dpts sdi-

mentaires, dont l'auteur tire d'intressantes conclusions relativement la

contemporanit des dpts. On remarquera particulirement, dans cette Etude, l'application de la aprs aux variations de Spirifer Marcyi Hall mthode de Gosselet avoir fix la forme, typique (PL IV, fig. i et 2), M. Williams groupe autour il en compare le d'elle les formes alpha, beta, gamma, delta, epsilon, zta
((
))
:

syrinx rudimentaire celui des formes correspondantes de S. graniilosiis


puis
il

reprsente dans
variations

!f;-entes

un tableau synoptique la rpartition de aux niveaux successifs du Dvonien suprieur.

ces diff-

Une

tentative analogue s'applique Cypricardella bellistria Conrad,

Rhipidomella Vaniixemi Hall,


dernire espce
est,

Tropidoleptus cnrinatus Conrad


reproduite par gS
figures

cette

entr 'autres,

d'individus

diffrents, sur les PI. I et

On ne
fond sur

H. peut qu'applaudir cet essai de palontologie stratigraphlque,


les plus

modernes considrations

relatives l'volution.

zur Keniilniss (1er Iberiscli-balearisclieii Triasproviiiz, (i). Le Trias de la pninsule ibrique n'a pas encore on n'a de renseignements ce sujet que dans les 't tudi en dtail Travaux anciens de d'Archiac et de Verneuil, et quelques indications dans ceux de Mallada, plus rcemment un court aperu dans le Mmoire
Beitr.Tge

von A. Wiirm

de M. Piob. Douvill sur les Pralpes sudbtiques. Plus spcialement, le Trias de l'Aragon a dj t l'objet de recherches antrieures par

M. Wurm mais il a repris, dans cette nouvelle Etude, la question dans son ensemble, ainsi qu'en tmoigne le croquis de la page 78 qui dlimite Ja mer triasique dans toute la rgion hispano-balare. La partie palontologique, la seule dont j'ai m'occuper ici, vise la faune des couches Trachyceras de Morade Ebro, qui rappelle beaucoup celle de Saint-Cassian (Tyrolien), mais avec un caractre encore plus rduit, quant la taille des fossiles. L'auteur a identifi, par exemple, les
;

espces suivantes
ricuin Mojs.

Hungarites Pradoi d'vVrch., Protrachyceras Vilanov d'Arch., P.


;

ide-

Avicula iberica,
le

n. sp.,

qui rappelle compltement

la

forme

nelures

de Gervillia, mais sur ligamentaires


obliqua
Goldf.
,

v.

Hauer

moule de laquelle on ne distingue pas de crCassianeUa afj. transiens Wilckens, Posidonia Pecten cf. incecjuistriatus Entolinm discites Schl.
;

oreillettes
;

bien un Chlamys

non dlimites, de sorte qu'on se demande si c est Macrodon ? Verneiiili, n. sp., qui a l'aspect d'une
Extr. Verh Naturhist.-niedb. Ver., Bd. Xlf, A Heft, 118 p. in-8,

(i) PI.

Heidelberg, igiS.
et
I

XIX

carte, 16 Textfg.


Arcid
n.
;

68

-Myophoriopis camposinensis, n. sp., Clopis taragonensis deux trs intressants reprsentants de ces groupes intermdiaires entre Opis et Myophoria Megalodon hispaniciim, n. sp., M. MalLingula cf. tenuissima Br. ladai, n. sp., dont on ignore les charnires
sp'.,
; ; ;

et des dbris

de Gastropodes.

Note sur le Bathonien suprieur (Bradiordien) de Trsilley, canDans cette Note, lon de Rioz (Haute-Sane), par P. Petitclerc (i). l'auteur donne une liste raisonne des espces bradfordiennes qui ont t recueillies dans une tranche d'une colline entame par le trac du tramway de Vesoul Besanon, par Rioz les fossiles proviennent d'un banc de 4 mtres de marnes grumeleuses, trs charges d'oolites. M. Petitclerc

y a surtout recueilli des Plcypodes, des Brachiopodes et des Echino-

dermes, appartenant des espces bien caractristiques, dont la dtermination a t faite avec le plus grand soin, comme toutes celles qu'il
entreprend
pltes
;
;

les rfrences

synonymiques sont

trs dtailles et trs

com-

pourtant nous y relevons quelques petites lacunes pouf ce qui concerne les Plcypodes Chlamys semicostata Morr. et Lyc. a t figur
:

par moi, en 1906 (A. F. A.


fig.

S.,

Congrs de'Lyon,

tir.

p., p. 3, PI.
;

I,

6 et 17,

PL

II,

fig.

'22)

et

dlimit par rapport C. vagans

Aviciila

le

echinata Smith's, qui appartient au G. Clathrolima Cossm. (1907) dont gnotype est C. Lnhnenti C. {A. F. A. S.-, Congrs de Reims, tir, p.,
p.
5,

PL

II,

fig.

8)

mais ce n'est
si

qu'une critique bien secondaire

en prsence du travail

consciencieux de notre aimable confrre.

bin

Basier Jura, \oh K. Striiperforantes qu'on trouve dans les blocs du Dogger et du Malm, ou mme sur des exemplaires de Macrocephalites macrocephalus SchL, comme le montre la
Palteoiitologisclie Mitteiluogeo aus
(2).

Cette
Mrian

dem

Note vise spcialerient

les coquilles

connaissait dj en i8Zio, mais il ne les avait ni dAprs une tude attentive de la question, M. Striibin attribue ces espces l'poque bathonienne pendant laquelle elles auraient perfor des blocs remanis de l'poque bajocienne. Les deux esfigure
2.

les

crites, ni figures.

pces identifies par

lui,

avec des figures l'appui,


pathonicus,

sont Lithodorniis
est

bathonica Rollier (non

puisque

domus

un

substantif

'fminin), et L. parasitica Desl. sp.

(mme

observation) bien caractris

d'un nouveau Sous-Genre,


(1) Paris igi3. (2)

par ses fortes costules rayonnantes qui justifieraient peut-tre la cration si l'on observait les critriums internes,

Ble igiS.

Extr. Extr.

Feuille j. Natur., 30 p. in-8.

Verh.maturf.

Gesells.,

pp.

32-/|5,

g fig.

Monographie
E, Joiikowski et
J.

69

du
Sal\e,

gologique Favre (i).

et

Cet important Mmoire

palontologiqiie

par

est le rsultat

d'une tude dtaille de toute

la

chane du Mont Salve (Haute-Savoie'),

dont

faune n'avait que partiellement t dcrite par de Loriol. Des prcisions stratigraphiques plus grandes, au cours des recherches entrela

prises par les auteurs de cette tude, leur ont permis de dlimiter exac-

tement

les

couches chelonnes de

la

base du Kimridgien au Barrmien

infrieur, d'en valuer la puissance et d'en distinguer les fossiles qui

avaient t souvent confondus tort avec des espces plus anciennes,

cause de leur facis coralligne.


analyser

La partie palontologique de ce Mmoire, la seule que nous ayons ici, est l'uvre de M. Jules Favre qui y dcrit les faunes successives du Portlandien infrieur, du Purbeckien et de l'Infravalanginien. Laissant de ct les Echinodermes du Portlandien, qui seront repris part sous la plume plus comptente de M. Lambert, nous avons si-

gnaler ce niveau, outre quelques Brachiopodes bien caractristiques iZelleria magasiformis Zeuschner sp., Z. hiimeralis Rm. sp., Megerlea

pectuncnloides Schl.
des Plcypodes, de
iryonia
hgstellata

sp.,

Terehj'atiila foi-mosa Suess,


et

T.

insignis Schl.),
:

nombreux Gastropodes
variable
et

un Cphalopode
longvit
; ;

Alec-

[Schl.]

d'une grande
et

Pecten
sii-

(SpondyJopecten) globosiis Quenst., trs renfl


bornatiis Et., variable et presque lisse
;
;

quivalve

Mytilus
n.

Pachymytilns

obtiisus,

sp.,

Barbatia gracilicostata, n. sp., dont la d'une largeur exceptionnelle charnire est bien caractrise (pour la distinction dfinitive des Genres Barbatia et Arca, voir Conch. nog. de l'Aquitaine , vol. II, p. i66) Isoarca ajj. eminens Qu. sp., qui pourrait peut-tre former une mutation Corbis valfinensis de distincte de l'espce corallienne de Nttheim
;
;

Lor., spcimens charnire bien dgage

des Rudistes dont

le

tableau

ph\]r:gntique montre l'enchanement depuis les Diceras jurassiques jus-

Pterocardia corallina Leym., ([u' Reqiiienia et Toucasia du Barrmien une F. valfinensis Rollier, j'ai dcrit de grands spcimens de ce Genre Isocardia dans le Barrmien de Brouzet-les-Alais (M. S. G. F., 1907) Bernardina d'Orb. Parmi les Gastropodes portlandiens, je signale tout particulirement Ditremaria salevensis, n. sp. et une nouvelle var. elegans de D. carinata le Sous-Genre Discotectus propos Trochotoma mastoidea Et. Zittel pour Trochus Massalongoi Gemm., espce tithonique de Sicile, qui se retrouve au Salve, remarquable par son pli de Tecfus soud avec le labre e1 ne se disjoignant que vers l'ouverture sous la forme d'un hmidisque
; ;
: ;

(i) Genve, igiS. Ext. Mm. Soc. phys. et Hist. nat., vol. 87, pp. agB-BaS, carte gol. en couleurs et 56 fig. dans le texte.

29 PI. in-/i%


tue) salevensis, n. sp., qui n'est
tus, je le classerais plutt

70

(!)
;

pais dpassant la moiti de la largeur de l'ouverture

Turbo (Senec-

certainement ni un Turbo ni un Senecle

dans
le

G. Calliomphalus qui a des reprsenle

tants secondaires
il

(v.

Etude prcite sur

Barrmien de Brouzet,

p.
le

25),

n'y a pas de Turbo avant


(v.

Tertiaire et peut-tre
;

mme

avant

Miosp.
;

cne

fut.

livr.

de l'Aquit.)
;

Nerita (Lissochilus)

tithonica,
je

n.

Patella rnodesta, n. sp.


rais plutt

Ennaticina Guirandi de Lor., que

rapproche-

du

G. Vanikoropsis (V.

que

la

prsence d'Eunaticina est


observation pour E.

mme

Barrmien de Brouzet, p. 20), tandis encore douteuse dans le Tertiaire


; ;

mme

heterostriata

Narica Mortilleti de Lor.

sp.
;

n'est pas une Narica, peut-tre un Gyrodes ou alors un nouveau Genre Oonia amygdaloides Zittel, qui appartient avec certitude au G. Trajanella cr pour Eulima amphora (v. Essais Paloc. comp., livr. YIII, p. 107), non pas tant cause de sa spire extraconique que par son ouverture trs dcouverte la base, Oonia ne prsente jamais cette sinuosit caracGymnocerithium involvens [Zittel], bonne dtermination gtristique
;

nrique, croyons-nous

Petersia salevensis, n. sp., P. corallina, n. sp.

Brachytrema
sostriatufj

filigrana, n. sp., ouverture

presque intacte

Ditretus nodo-

galement remarquable par son ouverture bien conGemm. parmi les trs nombreux Nerineidac, on remarque spcialement N. sphinxi, n. sp., tout fait analogue Phaneroptyxis PeUati, du Barrmien de Brouzet (/. c), pour lequel je vais crer, dans un supplment cette tude, le nouveau Genre Favria (1914). La faune du Purbeckien comprend deux niveaux la partie suprieure, une faunule marine, avec Corbula Forbesi de Lor., Natica Barottei de Lor., Pseudomelania nana, n. sp., Exelissa septemplicaia Rmer (v. Critb. jurass., in Cossm., Mm. Soc. Gol. Fr., 1914), Nerinea minima, N. concinna, Aphanoptyxis variabilis nn. sp. puis une faune
[Peters]

serve

Zittelia Picieti

d'eau

douce,

avec

Valvata
,

helicoides

Forbes,

Lioplax

inflata

Sandb.,
assises

Physa wealdiensis Coq. Planorbis Loryi Coq. Enfin la faune de l'Infravalanginien est comprise dans deux
J.

Assise Heterodiceras Luci, avec Pecten Rochati de Lor., Plagiosn.

toma Monetieri,
d'une
de 8

localit)
;

IL

Assise
se

sp.

(il

vaudrait mieux monetierense, puisqu'il s'agit


Natica Leviathan, avec Spirocyclina erra-

lica, n. sp.,

dont

les loges sont


sait,
(v.

Essais Pal. conap., livr. VII et VIII). termine par des rfrences bibliographiques peu prs aussi compltes qu'on peut le dsirer. Les planches en phototypie sont d'une excution remarquable et les auteurs de ce Mmoire
Cette belle

mm. de diamtre. On mon avis, Purpuroidea


Monographie

d'autre part, que

au nombre de 16 ou 17 pour un individu A^. Leviathan se rattache

n'y ont pas pargn

le

nombre

des figures pour une

mme

espce.

En

rsum donc, toutes nos

flicitations

MM. JoukoAvsky

et Favre.


Sur
les Trigonies,

71

(i).

par B. Lifschkow

Il

m'est impossible de for-

jnuler un jugement sur cet opuscule qui est entirement imprim en


caractres russes et qui ne comporte pas de planches.

De

la table seule,

on peut conclure que


((

l'auteur suit la classification suranne d'Agassiz,

n'ayant probablement pas eu connaissance en temps utile de

mon

Etude

Sur l'volution des Trigonies oii j'ai dmoptr l'inanit de ces critriums externes et l'importance des caractres internes des Trigoniidx.

Rhynchonelles porllandieines nocomiennes et mla France, par Cl. Jacob et P. Fallot (2). Cette importante contribution est conue suivant les mthodes modernes d'exposition, c'est--dire qu'au lieu de se borner, comme on le

Etude sur

les

socrtaces

du Sud-Est de

faisait

autrefois, faire l'exposition des fossiles,

couche par couche,

les

auteurs du Mmoire ont cherch tirer de leur volution apparente des

conclusions relatives
prsentent

leur quivalence stratigraphique, dans les diffC'est ce titre que leurs conclusions

rentes rgions tudies par eux.

un grand

intrt.

Aprs avoir rappel


la

d'aprs

le

trait
la

de
de

Haug
la

les variations

de

fosse vocontienne depuis

fin

priode jurassique jus-

qu'au Msocrtac, dans le gosynclinal dauphinois, MM. Jacob et Fallot examinent la rpartition des Rhynchonelles qui font l'objet de leur description palontologique et qui forment quatre groupes (spoliata, lacunosa, tribolata, corallina) ils aboutissent trs nettement ce principe
;

que
cis,

la

distribution de ces groupes est


ils

commande
si le

par

les

conditions du

fa-

mais

ne peuvent absolument dcider

facis choisit ses sujets

ou

s'il les

modifie, parce qu'il faudrait distinguer, pour une poque dtermi-

ne, des types thologiquement fixs, par opposition d'autres, d'une plasticit relative.
Ils

inclinent

donc

penser que le

slection ne peut se rsoudre d'une manire absolue, sans tenir

grand problme de la compte

de l'action des milieux ni des transitions continues qui produisent des convergences indniables. C'est dans ce sens qu'ont t dnommes les rares espces nouvelles et les varits plus nombreuses qu'admettent MM. Jacob et Fallot, dans
la srie

des Rhynchonelles dont


la

ils

ont

fait

l'numration, pour tout

le

Sud-Est de

France, des Alpes

la rive droite

du Rhne.

Les planches, admirablement excutes, d'aprs d'excellents clichs, permettent de suivre synoptiquement les variations des principales forle aussi bien que le texte mes aux divers niveaux elles guident
;

lecteur travers

le

ddale apparent de cette volution stratigraphique,

(i) Kief,

1912-18.

(2)

Genve, igiS.

Vol. in-S" de i64 p. en langue russe, sans rsum Mm. Soc. pal. Suisse, vol. XXXIX, 82 p. n
in-4,

franais.

PI.

phot.

Ma seule critique de pure forme c'est qu'il manque cet ouvrage une table alphabtique des espces, de sorte qu'il faut de longues recherches pour retrouver les formes que l'on veut identifier.
Dcouverte de Craie phosphate dans l'assise Belemnitella quaSens (Yonne), par G. Ngre, (i). La Craie dont il s'agit qui contient jusqu' 3o p. loo de phosphate de chaux occupe le centre d'un petit synclinal bien marqu, .non loin de la gare de Sens, flanc de coteau, le long du chemin de fer P. L. M. La couche subordonne de craie jauntre renferme des fossiles plus ou moins conservs, qui m'ont t communiqus par M. Ngre et parmi lesquels un seul a retenu mon attention, par son tat de conserdrata, St-Martin-dii-Tertre, prs

vation qui

le

rendait dterminable

il

s'agit

galbe rostre, billement postrieur qui n'a pas


la

Craie suprieure, et auquel

j'ai

attribu le

d'un bivalve anatiniforme, d'analogue dans toute nom Anatina Negrei, n. sp.

Sur un Gastropode de type amricain, trouv dans un Calcaire du plateau steppien d'Algrie, par P. Jodot (2). Le fossile tudi par M. Jodot et qu'il nomme Ceratodes Jolyi, n. sp. a une
lacustre

apparence planorbiforme, quoique plus globuleuse que celle des Helisoma les plus pais l'auteur le rapproche de deux formes du Tertiaire d'Egypte, dcrites par Mayer-Eymar (Ceratodes Pasqiiali, C. Biirdeti).
;

C'est

une coquille dextre,

ombilic trs profond

et spire

concave

les
;

tours croissent rapidement et sont


profil
cale.

un peu comprims latralement


gauche de

le

du labre

est

un peu

inclin

l'axe vers la face ombili-

Comme les Ceratodes vivants habitent exclusivement la province colombienne, en Amrique, M. Jodot tire de la prsence de ces fossiles en Egypte et en Algrie d'intressantes conclusions en ce qui concerne les relations anciennes et les migrations entre les continents africain et amricain, l'poque nummulitique.
1

Brachiopodi

terziari

del

Veneto,
Vntie

per
il

R.

Fabiani

(3).

Sur

61 formes dcrites, en 1870, par Davidson,

n'y en avait que i4 qui pro-

M. Fabiani porte ce nombre la plupart proviennent de l'Eocne, particulirement de l'Eocne suprieur, et il n'y en a gure que quatre ou cinq qui aient survcu dans l'Oligocne. La prsence, dans
venaient authentiquement de
23 dans le
la
;

Mmoire que nous analysons

ici

(i) Paris,

mann.
(2) Paris, (3)

igiS.
igiS.

B. S. C. F.
f.

{!,),

t.

XIII, pp.

212-223, avec Note palcont. par

M. Coss-

Padoue, igiS.

Mem.

S. G. F.

(/i),

t.

XIII, pp. 282-2/12, pi.

I.
/t2

Ist. geol. dlia Universila, vol. II, n i,

p. in-/i, 4 PI. phot.

l'Eocne, de Megathyris decollata

73

laisse

Chemn. ne

pas que de nous sur-

prendre.

non encore publies, on remarque Crania Fabianii Rhynchonella inflexa, Terebratula Cornetana, T. Giiembeli, nn. sp. Enfin Thecidea (Lacazella) mediterranea Risso, aurait apparu ds le Lutcien et se poursuivrait dans le Priabonien et le Ruplien, d'aprs les figures de l'ouvrage de Davidson ce serait revoir avec de nouveaux
les espces
:

Parmi

Dainelli,

matriaux.

sipreusseii, von Hern F. Kaunhowen (i). et de la flore recueillies dans l'ambre de la Baltique, province de la Prusse orientale, n'a jamais t bien prcis on est gnralement d'accord pour rapporter ces intressants dbris l'poque Oligocne. Mais il faut tenir compte que les plus beaux fragments de cette rsine sont recueillis la base des terres bleues et qu'en raison de ce que leur transport charri par les eaux de cette mer oligocnique indique une sorte d'antriorit dans leur formation, il se pourrait bien que l'anciennet de l'ambre fut plus grande. Or, en comparant dans un tableau synoptique la liste des Mollusques des couches marines qui fournissent de l'ambre, M. Kaunhowen signale que cette liste contient des fossiles
Beriisleiii in
la

Der

L'ge exact de

faune

qui,

si

leur dtermination est bien

exacte,

attesteraient l'existence

de

dpts ocniques. Je ferai remarquer toutefois qu'il s'agit de fossiles

douteux,
ct les

tels

que

Natica hantoniensis, Tornatella'a sirnulata, Ostrea

cf.

ventilabriim, Pecten corneus,

Cardium

cf.

porulosum,
;

etc.

Je laisse de

Echinodermes

comme

Maretia grignonensis

de conclure,

comme

le

fait l'auteur,

que

les

de sorte qu'avant couches contenant l'ambre

oscillent entre le Snonien suprieur et l'Oligocne, je serais d'avis qu'il

faudrait plutt soumettre ces dterminations une rigoureuse rvision

de trop nombreux exemples nous ont montr, qu'en maint gisement, on a cru reconnatre nos fossiles si caractristiques du Bassin ocnique
de Paris, alors qu'il s'agissait de
<(

contrefaons

plus ou moins bien

conserves, ne reprsentant que des piutations bien distinctes. C'est donc

une question
sur
de's listes

tudier plus

fond sur

les

spcimens eux-mmes
!

et

non

qui datent dj de 20 ou 3o ans

Ue])er einige Fossilien


tiaer

und ueber Stromatolilhbildung im

Ter-

der bayerisclien Rlieinpialz, von

W.

relative

l'ge des Calcaires oolithiques

Bcher (2). De cette A^ote du Bassin de Mayence et du

Palatinat bavarois, nous retiendrons ici ce qui concerne les fossiles oligo-

cniques des couches Cerithium.


(i) Berlin, igiS.

(3)

Munich, 1918.

Ext. Jahrb K. pr. geol. Landesanst Bd. XXXIV, H, Extr. de Gcogn. Jahreshefi, anne, pp. 76-101, PI.
.

teil

Heft

I,

80 p.

19*

f.

C.

74

tion

assez

arcuatiim Sab. est reprsent par des empreintes d'une identificaardue. Dorsanum laticost'a [Sab.] possde un sinus suturai

comme Cominella, mais l'ouverture parat bien tre, en effet, celle d'un Nassid. Stenomphalus cancellatus [Thomae] est reprsent par la varit ce sont d'assez bons Heiisleri Btter. et par une nouvelle varit ornata chantillons que l'auteur a eu raison de faire figurer. Modiolaria mogun;

tina n. sp. ressemble

dans le M. saiicatsensis

M. discors Linn qu'Hoernes prtend avoir trouv elle ressemble aussi notre Miocne du bassin de Vienne
;

(y.

Conchyl. Aquit.,

vol. II).

Some

Localities for fossils at Oamarii, bv P. Marshall

IJttley (i).

Les

and G. H.
il

localits fossilifres de Nouvelle-Zlande,

dont

s'agit

dans cette Note, sont situes prs de la gare de Dunadin, sur le chemin de fer de Christchurch, Hutchinson Quarry (Oamaru). D'aprs les listes de Mollusques, qui contiennent une grande majorit d'espces encore vivantes, les auteurs prcits concluent qu'il s'agit d'une formation qui comprendrait les trois niveaux de l'poque miocnique, plus ancienne
par consquent que celle de
attribus au Pliocne.

Wanganui

et

Shakespeare

Cliff,

qui ont t

A brackish waler Pliocne fauna of the Southern Coastal plain, by W. H. Dali (2). Les marnes de Satilla River (Gorgie), tudies par
S.

W.

Me.

Callie,

d'espces dcrites dans

en 1896, ont fourni M. Aldrich un certain nombre le Nautilus (191 1) et non marines. M. Dali
:

Heterodonax Potamides Matsoni, Cerithiopsis huskevillensis, Pachychiliis anagrammatiis, P. suavis, Tiirritella Satilla, Isapis ohsoleta, plus un cerain nombre d'Hydroajoute cette faune les formes suivantes

Rangia

solida,

Alexandra, Unio (Lampsilis) sandrius, U.

alixiis,

U.

misiiis,

Paliidestrina, pour le classement gnrique desquelles bien de se reporter au rcent Mmoire de M. Dollfus sur cette Famille, paru dans le Joiirn. de Conchyl.
biid.,

dnommes
ferait

M. Dali

Conchyliologie du Miocne du Bassin de la Loire, par G. -F. Dollfus et Ph. Dautzenberg


(3).

Cette livraison

qui

fait

suite

la

grande Monographie entreprise sur la Touraine par nos savants confrres avance des Carditidae aux Niiculidie, avec la lenteur que la Socit Gologique apporte la publication de ses Mmoires. Les Pteromeris de l'Helvtien sont assez nombreuses, mais pour quelWellington, igiS.

(i) (2)

Washington,

Mm. (3) Paris, igiS. XXXIII phot. d'aprs nat.

igiS.

Extr. Trans. N. Extr. Prac. V.

XLV, pp. 20^7-807. S. N. M., vol. 46, pp. 225-287, PI- 20-22. Soc. gol. Fr. Palonl., T. XX, fasc. 1-2, pp. 297-898, PI. XXIIIZ. InsL, vol.

ques figures,
les

75

il faut se reporter aux planclies de la livraison prcdente auteurs prcits admettent l'interprtation que nous avons faite du

G. Pteromeris Conrad, d'aprs l'examen de nos spcimens typiques des

Etats-Unis.

signaler deux espces nouvelles, P. BoisteU, P. lamellosa,

qui semblent rgionales.

Les ChamidiV ne donnent


de dtail
Phil.
:

lieu,
la

de notre part, qu' quelques remarques

rtablissement de
;

dnomination Philippii pour

(non Bronn)
C.

les

chantillons de la Sicile sont


;

C. dissimilis

parat-il

iden-

tiques ceux de la Touraine


C.

C.

laminosa

Millet, serait identique notre

Degrangei

aquitanica Benoist, diffre de C. gryphina par bien

d'autres critriums internes que par la sculpture externe, seule mention-

ne par
et

MM.
le

Dollfus et Dautzenberg.

E!n ce qui

concerne

les

Cardiidx,
;

ils

sont tudis avec

un grand

soin

avec

mme

luxe de synonymie

seulement, dans toutes ces rfrences

synonymiques sont frquemment comprises des citations qui n'ont souvent qu'un rapport trs lointain avec l'espce helvtienne envisage ainsi pour Cerastoderma ediile, on est tout tonn de trouver en ligne C. Basteroti Desh. qui en est une mutation ancestrale constamment distincte, c'est--dire un bon fossile au point de vue stratigraphique il en est de mme de C. Degrangei C. et P. qui ne peut se confondre avec C. hirsutum Bronn, ainsi que cela a t dmontr. A la dnomination herciilea pour le grand Cai^d. discrepans, MM. Dollfus et Dautzenberg substituent actuellement le nom le plus ancien spondyloides v. Hauer (1847), ^^i avait t nglig par Hrnes. Les Arcidse de Touraine sont assez nombreux Arca Noe, Anadara Okeni, Barbatia barbata (voir les motifs donns dans notre Conch. nog. d'Aquitaine par la sparation de deux Genres distincts d'aprs l'tude de l'aire ligamentaire), B. bohemica, B. polymorpha, Fossularca lactea, Barb. clathrata, Anadara tiironiensis, A. umbonaria Axinea Deshayesi, A. texta, A. cor Limopsis recisa, L. anomala. mais I,es Mucnlid et Ledidse terminent cette importante livraison pourquoi ressusciter le nom gnrique Nucnlana, la place de Leda, quand il est bien tabli que c'est ce dernier qu'il faut adopter, par application des rgles correctes de nomenclature ? Nucnlana Link, n'a d'exis:

tence officielle qu' dater de

Mrch

(i852)

Autant
Rome,

Fossili del
la

Miocne medio

dlie colline Bolognesi, per B. Nelli


et

(i).

faune pliocnique des environs de Bologne est riche

bien

conserve, autant les fossiles

du Miocne de

la

mme

rgion sont d'une

tude ingrate. Par assimilation avec

le travail

de rpartition effectu par

(1)

1913.

Ext. Bail. Soc. Geol.

ital.,

vol.

XXXII, pp. 3o4-358,

PI. VIII.

M. Sacco pour
les

76

environs de Turin, M. Nelli fournit dans cette Note


des fossiles recueillis dans les marnes en ques-

un tableau
tion et
il

sybptiqlie

arriAe cette conclusion

que

la

faune conteste appartient au

Langhien, tage que l'on s'accorde maintenant considrer comme quivalent du Burdigalien, tandis que les fossiles attribus l'Oligocne sont, en ralit, de l'Aquitanien ou du Miocne trs infrieur, d'aprs

mes recherches personnelles sur


Parmi
les

la

conchyliologie fossile de l'Aquitaine


Cerithiopsis tawotiirrita

espces dcrites ou figures dans cette Note, je signalerai


:

en particulier

Delphiniila miorotata,

n.

sp.,

Sacco, Luciiia Isseli Pantanellli, Dentilncina Meneghinii de Stef. et Pant.,

jircopagia Boiverbanki Mich^^


est

Scacchia felsinea,

n.

sp.,

dont

la

figure
;

bien peu nette

Basterotia cytheroides Mayer,


n.

mme
;

observation

Basterotia Simonellii,
il

sp.,

bien entendu, en l'absence de charnire,


le

est

impossible de prciser

classement sous-gnrique

Pinna ven-

trosoplicata

Sacco

Cirsotrenia

pedemontanum
cette

Sacco,

reconnaissable

quoique trs us. Sous une apparence

trs

sommaire,
la

Note reprsente une

somme

de recherches considrable de

part de l'auteur.

La livraiPoloiii.T, a Dr. W. Friedberg (i). que nous analysons ici, contient des Cancellaria, les Cerithiacea, TurriteUid etc.. jusqu'aux Rissoines. Presque toutes les espces sont accompagnes d'une diagnose latine qui facilite au chercheur non familiaris avec la langue polonaise la comprhension des figures d'ailleurs trs finement lithographies l'incertitude ne peut donc subsister que pour les observations et comparaisons rdiges dans cette

Molhisca mioci?nica

son toute rcente,

langue.

Les espces nouvelles sont peu frquentes, l'auteur s'est prudemment born instituer des varits pour les espces les plus rpandues, telles que Merica fenestrata, Eichw. Beaucoup de ces formes sont d'ailleurs

communes
C.

avec

le

bassin de Vienne

d'autres sont localises en Polo-

gne, ainsi Cerith. distinctisslmiim Eichvs^., auquel M. Friedberg runit

browniforme Hilber., tandis


Lomnickii
n. sp.,

qu'il conserve C.

qu'il spare C. Dzieduszyckii n. sp., C. volhynicuni, n. sp.

podhorcense Hilb., et Quant Be-

noistia

autant que
et

je

puis en juger par les figures,


Benoisiia, dont l'ouver-

c'est encore

un Vulgocerithiiim

non pas une

ture est bien diffrente.

dea,

La plupart des Potamides dcrits paraissent appartenir au G. Cerithiils en ont bien l'ouverture et l'ornementation (P. variahilis, P. bise-

riatus, P. zboroviensis, nn. sp.).

Au

contraire, Terebralia AndrzejoivsMi,

(i)

Lemberg

(Livon),

191/1.

Mus.

innnia Dziedus:., pp. 2/|i-3Co, PI.

XV-XX.

n.

sp.

est

un Potamides,

bideniata Def.

s.

str\

bien caractris. L'intreprtation de T.

peut donner lieu


intact.

que l'auteur runit avec Cer. ligniiariim Eichw. quelques rserves, car aucun des spcimens n'est
Bittiiim
sp.
;

C.

Signalons
Brus.
S. -G.

encore
nn.

dubiosiim,

Cerithiopsis

zboroviensis,
S.

Januszkieiviczi,
,

mais Seila

turritella

EicliAv.,

miiltilirata

S. Schiuartzi ne sont pas des Seila, je les rapporterais plutt au Semibittiam Cossmann. Les Turritelles ont dj t l'objet d'un travail antrieur du mme auteur ici, il rectifie une erreur de dtermination que j'ai commise dans la IX" livraison de mes a Essais de Pal. comp. propos de T. bicarinata Eichw. c'est elle que les auteurs ont tort dnomme T. Archimedis Br. et elle doit porter le nom T. erronea Cossm. Nous y retrouvons T. piilchra, holubicensis, Bienaszi
:

))

Friedb.

avait t

Scala Diiboisi est un fragment peu dterminable gnriquement, qui confondu par Dubois avec S. pseiidocalaris Brocchi.

CPHALOPODES
par MM. Paul LEMOINE et Robert DOUVILL.

Stiidii

geologice

si

paleontogice din Dobrogea.

monilitor triasici

dlia

HagigMol

(Les

Ammonites

Hagighiol, Dobrogea), par loan Simioiiescu (i). seur de l'Universit de Jassy a dcrit ces Ammonites dans un texte en

VI. Faiina Anitriasiqiies de Le savant profes;

roumain, auquel
de
la

il

a ajout fort

les figures excellentes qu'il

faune triasique,

je

heureusement un rsum en franais donne seront trs utiles pour la connaissance Trachyceras citerai parmi les espces nouvelles
:

Dobrogiaciiin, T. Dieneri, Arcestes Kittli, A. Mrazeci, Joannites ptychiiiformis, Carnites Arthaberi, et les

deux Sous-Genres nouveaux

Istreites,

Sous-Genre de

Joannites, Psciidocarnites, Sous-Genre de Carnites.

M. Simionescu pense que les auteurs qui l'ont prcd et en particulier un beaucoup trop grand nombre d'espces bases sur des caractres trop peu nets et dues surtout ce que l'on a voulu avoir autant d'espces que d'horizons gologiques. Les difficults de dterminations sont surtout considrables pour les Arcestes, o la converun grand gence des caractres empche toute dtermination exacte
Mojsisovics, ont cr
;

(i)

Bucarest, igiS.

Accad. Rom., n"

ili,

loop., 78

flg.

texte, 9 PI. phot.

trs
est

78

des caractres
;

nombre d'exemplaires de dimensions moyennes possde

peu diffrents quoique les tours internes ne se ressemblent pas donc tent de runir sous la mme dnomination spcifique des

on
for-

mes qui sont

diffrentes, soit d'aprs les tours internes, soit d'aprs leur

volution ultrieure

quand on peut
la

la

connatre

aussi,

M. Simionescu

pense qu'il faudra refaire

description palontologique du Trias alpin.


fait

En

effet;

dans

l'tat

de chose actuel, on ne
si

pas de dtermination

vritable, car

on

se

base sur des caractres

secondaires qu'il est im-

possible de sparer les caractres spcifiques des variations individuelles.

Ces considrations

si

justes s'appliquent certainement d'ailleurs beau-

coup d'autres groupes d'Ammonites, en particulier aux MacrocephaUtes et aux Perisphinctes. Il serait trs intressant qu'avec la comptence qu'il a acquise sur les faunes triasiques, M. Simionescu pt entreprendre et mener bien ce travail de rvision dont il dmontre la ncessit.
P. L.

lischeii Kleiiiasien

Ueber eine miltelliasische Cephalopodenlaiina ans dem iiordstvon J. Pia (i). Les espces nouvelles sont
,

Arieticeras orientale, trs voisin de Hildoceras Naiisiknse Renz, Cloceras

ponticum, Phylloceras pseudocalaisi. M. Pia le nombre d'exemplaires de chaque espce qui a t recueillie et de le rsumer dans un tableau une statistique de cette nature est trop rarement entreprise, on peut signaler cependant qu'elle existe pour la Tunisie o elle a t faite par M. Pervinquire dans ce tableau, on est immdiatement frapp par le nombre considrable de Cphalopodes, c'est ainsi qu'il y a 171 Cphalopodes sur parmi eux te sont les Lytoceras et les Phyl179 chantillons ramasss la plupart des exemloceras qui dominent de beaucoup (91 chantillons) plaires sont de trs petite taille, le plus gros n'a que 10 centimtres de diamtre, il y a l une diffrence avec le gisement voisin d'Adnet o les grands exemplaires sont beaucoup plus nombreux et 011 les Blemnoids prdominent. M. von Pia a tudi aussi avec soin la distribution gographique des espces qu'il a rencontres et il montre qu'on peut les rpartir en quatre
siispectum, C.
C.
a

Duvium,

eu l'excellente ide de donner

groupes 1 Espces
:

mditerranennes
le

(Tropidoceras

Masseanum, Cloceras

Pettos, etc.)
2

Espces alpines

caractre alpin rsulte de ce fait que je viens de

signaler que 44

des espces

Phylloceras et au Genre Rhacophyllites


Vienne, igiS.

d'Ammonoid appartiennent au Genre de plus un certain nombre d'au;

(1)

Ann. K. K. Natur.

hist.

Hof-Mus.,

t.

XXVIf,

PI.

XIII-XV.


trs espces,
;

79

etc.,

des Microderoceras, des Arietites, des Cloceras,

ont

un caractre alpin trs net 3 Des espces de l'Europe centrale, comme Oxynoticeras niimismale, Polymorphites polymorphiis etc. il est videmment curieux de rencontrer ces deux espces en prsence de nombreux Phylloeras [\ Des espces caractristiques de la Mditerrane orientale, comme Uptonia micrornphala.
,

P.

L.

Spath

Ammoniles from Jebel Zaghiian, Tunisia, by L.-F. On sait que les Cphalopodes tunisiens ont fait l'objet d'une monographie d la part de Pervinquire (2). Une petit nombre des
Jiirassic
(i).

On

Ammonites qui y sont dcrites sont d'ge jurassique^ dix environ proviennent du Djebel Zaghouan.
L'tude de M. Spath, o
Gologie tunisienne
et
il

dcrit tous les Cphalopodes recueillis

au
la

Djebel Zaghouan, prsente donc

un grand

intrt

pour l'tude de

pour l'tude gologique de tous les dpts jurassiques mditerranens. La dcouverte du Callovien et celle d'une riche faune de Cphalopodes d'ge argovien prsente, en tous cas, un
intrt indiscutable.

mme

Le Lias est reprsent au Zaghouan par des calcaires pais, massifs, d'un bleu grisre, stratification trs confuse.
Baltzer
(3)

a signal

Lias infrieur et

un certain nombre de Genres caractriMiques du. le mlange de formes du Lias suprieur (Toarcien)
;
;

moyen et suprieur avait rendu quelque peu sceptiques cependant, ultrieurePervinquire et M. Haug sur leur dtermination ment, MM. Haug et Ficheur (ZO y avaient trouv Pygope Aspasia Meneghini, Brachiopode commun dans le Lias moyen (Domrien), des Alpes,
du Lias
infrieur,

de

l'Italie et

la Sicile.

M. Spath a dcouvert, prs du Poste optique, altitude 976 mtres, un Protogranimoceras cornacalcertain nombre d'espces du Domrien dense Tausch, var. Zeugitanum Spath Pr. aff. costicillatiim Fucini, var.
:

detractum Fucini

P. sp. nov.

Crioceras

aff.

Grecoi Fucini

de plus,

il

y a recueilli une forme voisine de Harpoceras bicarinatum Zieten non Munster, forme du Toarcien qui apparatrait ainsi beaucoup plus tt en

Tunisie qu'en Europe


(1)

de

mme, M. Spath

penserait que Dactylioceras

Londres, 191 3. Quart. Joiirn. Geol. Soc, vol. LXIX, p. 5/io-58o et PI. 52-53. Pervinquire. Etudes de Palontologie tunisienne. I. Cphalopodes des terrains secondaires. Texte et atlas. Paris 1907. (3) Baltzer. Beitrge zur Kenntniss des Tunisischen Atlas. Neues Jarbuch, II, iSgS, p. 26(2)

4i et
(/))

I,

1895, p. io5-io6.
et

C.

Ficheur et Haug. Sur les dmes liasiques du Zaghouan R. A. S. de Paris, CXXXII, 1896, p. i354.

du Bou-Kournine

(Tunisie).


ceras

8o

est en ralit un de ces Clodu Domrien rcemment dciits dans les dpts d'Italie. Il est amen par suite penser que la masse principale des calcaires du Zaghouan est msoliasique.
Il

anguiniim Reinecke, signal par Baltzer,

pu reconnatre galement un niveau


aff.

callovien oii
cf.

il

recueilli

Reineckeia

Hungarica

Till

et

Perisphinctes

Bieniaszi Teisseyre,
'

formes appartenant la zone de Reineckeia enceps.. La zone C. cordatuin, aussi bien que les zies suprieures de l'Oxfordien (Divsien) paraissent ici absentes par contre, l'Argovien (ou zone Peltoceras tranversarium) est bien reprsent, cela rsulte des dcouvertes dj anciennes de Le Mesle et de Pervinquire, ainsi que des recherches de Baltzer. M. Spath y a dcouvert un trs grand nombre
;

de fossiles, au point indiqu Rou-Goubrine la gangue est la mme pour tous les chantillons, c'est un vritable calcaire noduleux, analogue ceux des Alpes. Il semble qu'il y ait l un mlange d'espces appartenant la zone Peltoceras transversariiim et la zone Aspidocems acanthicum. Parmi ces espces, se trouve une forme que M. Spath consi;

dre

comme

nouvelle, c'est Peltoceras Pervinquieri


Kilian).

(=

P.

Foiiquei Per-

vinquire,

non

On

avait souvent

admis que, dans


le

l'Atlas tunisien, toutes les


et

couches

intermdiaires entre

Lias

moyen

l'Argovien manquaient complte-

ment. La prsence du Callovien ncessite une modification cette manire de voir, et M. Spath pense que le Callovien repose en transgression sur
le Domrien. La description des Genres

et

des espces recueillis est faite avec grand

soin,

aussi en dehors de

'intrt stratigraphique

de cette Note, faut-il

signaler tout spcialement son intrt palontologique.

Un nouveau

Hildoceratids, trs voisin

Genre Protogrammoceras est cr dans la Famille des du Genre Seguenziceras. M. Spath y distingue
;

il n'indique pas l'espce quatre groupes bass sur l'allure des ctes gnotype de ce nouveau Genre la premire espce cite dans son tableau serait Pr. antiquum Geyer, non Wright. La description des autres espces est faite avec un trs grand soin qui prouve que l'auteur possde une grande matrise du sujet qu'il traite inspir des mthodes il aporte ses descriptions un souci mticuleux,
;

de M. Buckman,
les

et sa

Rrochure sera indispensable consulter pour tous


P.
L.

savants qui s'occuperont de ce Groupe d'Ammonites.

Etude sur

la

fauue de Cphalopodes de PAaluieu suprieur de

la valle

du Rhue (zue Ludwigia concava), par M. F. Roman (i). Tout le monde connat la belle faune de Saint-Ouentin-la-Verpillire,

que l'on s'tait jusqu'ici accord avec Dumortier rpartir dans les deux zones classiques du Toarcien i zone Ammonites bifrons, 2 zone Am,monites opalinus, au sommet. En ralit, M. Rola base man (2) a pu montrer que la succession tait plus complexe, qu'il y avait des lacunes dans la sdimentation et qu'en outre des deux zones classiques, il tait conduit admettre que les minerais de fer de Saint; ;

Quentin-la-Verpillire appartiennent aussi pour une part l'Aalnien.

Depuis longtemps, l'examen de la faune dcrite par Dumortier avait penser qu'une partie des fossiles recueillis dans les minerais appartenaient la zone Ludwigia Miirchison, la zone Ludwigia concava est aussi incluse dans ces minerais de fer ce sont les espces caractristiques de cette assise dont M. Roman vient d'entreprendre la rvision qu'i la figures dans quatre fort belles planches, en mme temps qu'il donnait par comparaison la reprsentation des espces d'une

donn

faune semblable, Hires (Isre)


C'est par des

et

Crussol (Ardche).

monographies de ce genre que l'on ramnera peu peu la gologie les amateurs et les collectionneurs actuellement, ils sont, comme d'ailleurs les professionnels, compltement dsempars par la
;.

ncessit qu'il y a chercher les lments qui leur sont ncessaires dans une bibliographie qui s'tend sur le monde entier. A un autre point de vue galement, M. Roman rend de grands services la Gologie et la Palontologie, c'est en refusant -de se rallier aux ides des gologues qui dmembrent indfiniment le Genre. La plupart des espces qu'il dcrit sont rapportes au Genre Ludwigia et il n'adopte

nombreux Genres de Buckman Ludwigella, PlatygraphoceLudwigina, Rhhoceras,; il pense que les distinctions trop subtiles des Genres de ce palontologiste et aussi ses descriptions trop sommaires ne permettent pas d'adopter ]a plupart de ces coupures gnriques. Il adopte les Genres Hyperlioceras et Pcilomorphiis ce dernier reprsent par une espce nouvelle, P. infernensis. La distinction des divers niveaux dans les localits tudies est trs difficile. En effet, il y a une trs, grande uniformit de composition lithologique et les couches o se rencontrent les fossiles sont de simples lenpas
les trs
:

ras,

tilles

sans continuit, disparaissant et reparaissant par

le

fait

des ro-

sions contemporaines

du

dpt. La Palontologie seule permet de dis-

Lyon, igiS. Anii. Soc. Linn.,t. LX, pp. /|5-7o, PI. phot. DE RiAz, Riche et Roaian. Les minerais de fer de l'Aalnien rgion lyonnaise. BuU. Soc. Gol. Fr. (-'1), Xlll, igi3.
(i)
/|

(2)

et

le

Rajocien de

tinguer ces formes

et

ces niveaux.

Il

est

curieux de constater que

les

faunes d'Hjres et de Saint-Quentin sont peu prs exclusivement composes de Cphalopodes,


le bord du Plateau Central, les Gastropodes sont trs frquents au niveau de la zone Liidivigia concava. La description de la faune siliceuse du Montd'Or lyonnais, due M. Riche, ne comprend pas moins de 4o espces de Lamellibranches et de 36 espces de Gastropodes, et de mme

tandis que, sur

Lamellibranches

et les

quelques kilomtres de Hires, la localit de Crmieux prsente un facis o prdominent les Lamellibranches, tandis que les Cphalopodes y sont
rares,
Il

de petite

taille

et

gnralement en mauvais

tat 'de conservation. trs

y a dans toutes ces observations des

documents

importants pour
P. L.

la

reconstitution de la biologie fossile.

Yorkshire type Ammoniles, by S. S. Buckmaii

(i).

Ce fascicule
:

comprend

la

diagnose d'un erain nombre de Genres nouveaux


:

Mercaticcras (Type

Auiauroceras (Type
Tiltoniceras (Type

.4mm. Mercati), y4mm. ferrugineus),


:
.

Trachylytoccras (Type
:

Elegantuliceras

Amm. nitidiis), Amm. costatiim), Amm. elegantulus) (Type


:
:

/1mm. pseiidoelegans nov.). sait, des Genres extrmement petits oij certains autres auteurs verraient peine de bonnes espces. Les formes dcrites .4mm. nativiis, Am,m. Phillipsi, Amm. nitidiis, Amm. et figures sont fasciatus, ylmm. peregrinns, Amm. crassoides, Amm.. vorticellus. Cette Monographie continue tre dite avec un grand luxe, une fiche photographique pour chaque espce, avec une chemise portant les noms de Genres et d'espces, la diagnose originale, quelques remarques et
Eleganticcras (Type

Ce sont,

comme on
:

le

l'indication des formes affines.

On

peut ainsi, ou la faire relier en un* volume, ou l'intercaler dans


fiches.

une collection de

P.

L.

Ziir

Ammonitenfaiina des petschoraschen Jura, von D. N. Soko-

lovv
la

L'auteur reprend l'tude des Cardiocratids de la rgion de Petschora, que nous ne connaissions encore que par l'Etude magistrale, mais dj ancienne, de Reyserling (3). Il refigure photographique(i).
(i)

Londres, igiS.

Part. XI, pp. Vll-VIIf, 7 PI. et descr.

n" Si-go (W. Wesley, diteur).


sr.,

(2) Saint-Ptersbourg, 1912.

Mm. Com.
ig-S.
i8/iG.

gol.

russe,

nouv.

livre

7G,

3 PI.,

texte

russe, avec
(3)

rsum allemand, pp.

Keyserling, Petschoraland,

ment

83

certaines espces dj connues, mais imparfaitement tudies jus


(i), Cadoceras stenobulum du Muse des Mines de Saint-Ptersbourg, Cardiocf.

qu' ce jour (Macrocephalites Ishrmc Keys


Keys., chantillon type'
ceras Chamoiisseti d'Orb., Gard.

alternoides Nik., Cai'd. Baiihini 0pp.

Card. kostromense Nik.) et tablit


cifiques nouvelles.

un

certain

nombre de coupures
la

sp-

L'tude de SokoloAV est d'un intrt capital pour

connaissance des

Cardiocratids, les formes russes ayant t Jusqu' ce jour insuffisam-

ment tudies. Ce Travail comble donc, au moins en partie, une lacune, mais nous aurions aim le voir plus dvelopp. L'auteur ne parat pas
avoir eu connaissance de
die (2)
et,

mon

Travail sur les Cardiocratids de

Norman-

sur

un

certain

nombre de

points importants,

il

est arriv des

conclusions diffrentes des miennes. Nous allons prciser ces points, tout

en regrettant que l'absence complte de donnes stratigraphiques enlve


souvent toute base
fait capital,

la

discussion.
Cette espce est d'un intrt tout

L Macrocephalites Ishmie Keys.


tant au point de vue

purement palontologique qu'au point

de vue stratigraphique. Elle est en effet trs caractristique, selon les gologues russes, du Callovien infrieur (zone dite Kepplerites de l'Europe centrale). Or,

comme

cette

forme prsente, selon nous, des carac-

ceux des Cadoceras (voir loc. cit. supra) et est en outre accompagne, dans les mmes couches, d'un grand nombre de reprse'ntants de ce dernier Genre, on pouvait penser que ces gisements
tres rappelant tout fait

fourniraient la clef des rapports qui existent entre les deux Genres
voisins Macrocephalites
et

si

Cadoceras.

Cette
il

question n'a malheureuse-

ment pas
pour

traite

par M. Sokolow et

nous faudra attendre encore

tre fix sur ce point.

L'auteur figure un bel chantillon adulte de M. Ishmse pourvu de sa


loge d'habitation et de son ouverture, avec la constriction habituelle chez
les

Macrocephalites calloviens

et

oxfordiens suffisamment gs.


la

Une

sorte

de prolongement ventral rappelle un peu

forme d'ouverture propre

aux Cardioceras. L'auteur reprend la thorie de Weissermel IL Genre Cardioceras. au sujet de la filiation directe (Existence d'une Formenreihe ) entre les Cadoceras et les Qiienstedticeras par l'intermdiaire de Cadoceras carinatiim, dont le jeune ressemble beaucoup celui de Qu. Siitherlandi. Les matriaux exceptionnellement beaux de Villers-sur-Mer nous ont per1 que Amm. carinatiis Eichw. n'est pas mis, je crois, de dmontrer

(i) La maison Krantz, de Bonn, vend le moulage de cette rare et si intressante espce de Cardioeratid (a) Robert Douvilli. Etudes sur les Cardiocratids de Dives, Viller^-sur-Mer et quelques autres gisements. Mm. Palonl. S. Gol. Fr., n /|5.

un Cadoceras, mais une simple


voisine dans les

84

varit renfle de Quenstedticeras


Qii.

qu'elle

mmes

couches, Villers, avec


crois,

donc pas un descendant. Je


restriction

qui reste toujours naine, constitue


pose, l'auteur russe.

du reste, un petit phylum

Mari, qui n'en est que cette dernire forme,


part. Cette lgre

passons l'analyse des intressantes figurations


n.
sp.

de

Cadoceras Tschernyschewi
de Cad. Elaim
et

est

une forme extrmement voisine


n. sp. est

de Cad. Tschefjkini d'Orb., Cad. Nikitini

un

Cadoceras section sub-tranchante dans le jeune, l'adulte est voisin des formes prcdentes. Ce changement de section du tour, au cours de l'volution individuelle, a t considre, par Fischer et Nikitin, comme caractristique du Genre. Une intressante photographie d'adulte, publie par Sokolow-, montre une constriction buccale analogue celle des Macrocephalites,

or elle semble trs frquente dans la Famille. L'auteur fonde sa nouvelle coupure spcifique en grande partie sur les caractrisligne

tiques de la ligne de suture, ce qui, notre avis, est peut-tre

exagr,

la

de suture

tant essentiellement

s t

un peu dans la

Famille.

/1mm. Keyserlingi
ticeras.

n.

sp.

est

rapport par l'auteur au Genre Quensted-

Je

crois

que

cette

dtermination gnrique devra tre rvise

et qu'il faut faire

de l'espce Keyserlingi un simple Cadoceras comprim


le

trs voisin

de l'espce prcdente. Cette analogie a parfaitement t vue

par l'auteur, mais ajors pourquoi ne pas faire rentrer Keyserlingi dans Genre Cadoceras ?
cratids dans la rgion de

Voici la distribution stratigraphique de quelques espces de Cardiola

Petschora

Callovien infrieur (zone


Cad. Tschefjkini d'Orb.

Kepplerites)

Cadoceras modiolare Luid. Cadoceras Keyserlingi,


n.

Callovien suprpur (zone


sp.
;

Reineckeia)

sans doute Cad. Nikitini, n. sp.

Il semble donc bien que les Cadoceras aient une longvit plus grande en Russie qu'en Europe. C'est du reste ce que l'on pouvait prvoir d'aprs les travaux antrieurs des nos collgues russes. ni. Genre Cardioceras. L'Espce Chamousseti est rapporte ce Genre. Nous croyons que l, l'auteur a fait fausse route et que Cham&usseti doit toujours tre rapproche des Cadoceras comme le pensait Nikitin. Nous pensons mme avoir dmontr (loc. cit. supra) qu'il s'agit l

d'un petit phylum trs bien caractris de ce dernier Genre. La partie du Mmoire de Sokolow relative aux Cardioceras proprement elle complte avandits est particulirement prcieuse et intressante tageusement les belles tudes antrieures de Nikitin et d'Ilowaisky, pour mosne citer que les principales. Voici les formes figures par l'auteur
;
:

85

c/.

tromense Nik., Bauhini 0pp., alternans Buch,


qiiadratoides Nik., Shiiravskii, n. sp.

alternoides Nik.,

cf.

L'auteur esquisse un arbre phylognique des principaux Cnrdioceras connus. Cette tentative nous parat encore un peu prmature, en raison du manque de donnes stratigraphiques relatives ce groupe.
Tel qu'il est et malgr quelques imperfections de dtail, ce
est l'un des meilleurs

Mmoire

parus depuis longtemps,

relatifs

aux Ammonites
R. D.

de rOolithe.

Les

Monographie palontologiqiie de la faune du Turonien du Bassin d'Uchaux et de ses dpendances, par F. Roman et P. Mazeran (i).

fossiles demi, silicifis, provenant du Turonien suprieur (Angoumien) d'Uchaux, sont classiques dans toutes les collections,* et leur belle couleur rouge-brique les fait reconnatre au premier coup d'oeil ils n'avaient pas fait encore l'objet d'une Monographie complte, aussi le Travail trs remarquable de MM. Roman et Mazeran vient de combler cette la;

cune

(2).

cet effet,

ils

ont utilis

la

plupart des collections qui contien-

nent des mollusques d'Uchaux (Musum de Lyon, Universit de Lyon, Sorbonne. Ecole des Mines, Muse de Nmes, diverses collections locales). Les

Cphalopodes sont reprsents par trois Naiitilus et par d'assez nombreuses cependant les individus de celles-ci sont relaespces d'i\mmonitids leur ornementation extrieure y est assez bien consertivement rares ve malheureusement, les cloisons sont rarement visibles, de sorte que
;

la

position gnrique est parfois approximative.


:

On

trouve ainsi dcrits

et figurs

Macroscaphites Rochatianus, Hamites

sp., Baciilites iindiilatiis

d'Orbigny (figur ici pour la premire fois), Tiirrilites costatiis, Scaphites puis des Desxqualis, mut. turonensis nov. mut., Se. planus nov. sp. mocratids Pachydiscus perampliis, P. Vaju, espce de l'Inde (Trichinopoly group), qui n'avait pas encore t signale en France P. Rhodci;
:

niciis nov.
sp.,

sp.,

appartenant au

mme
le
:

groupe, Piizosia Gaiidemarisi nov.

ayant de grandes affinits avec


;

Groupe des

P. Mayori, P. planu-

laius, etc.

des Mortonicratids

Prionotropis Bravaisianiis; des Acantho;

cratids
cf.

Acanthocei-as Deveraniiim

enfin des Hoplitods

Leoniceras

segne, Clopoceras Reqiiienianum.

Dans
la

la

plus grande partie de ce Travail, les auteurs n'ont pas exagr

ils se sont contents de mentionner la premire figuraune ou deux autres bonnes reprsentations les diagnoses sont dont tous les palontolocourtes, nettes, les rapports et diffrences

bibliographie,

tion et

gistes reconnaissent l'importance

sont

bien dvelopps.

(0 Lyon,
(2)

Arch. Mas. Hist. nat.,t. XII, 187 p., 11 PI. igiS. Voir aussi l'analyse faite par M. Cossmann {Revue crit. Pa/or. janv.
,

191/1,

pp. i3-ii).
3

86

'

Ce Travail, trs prcis, bien illustr, rendra de grands services. Les Monographies des beaux gisements palontologiques franais sont trop rares, et il est bien regrettable que dans la plupart des cas -r- pour dterminer nos fossiles franais, nous soyons obligs de recourir des Mmoires descriptifs de rgions souvent fort loignes et difficilement

sauf de trs rares privilgis aussi des travaux comme ceux de M. Roman sont-ils destins faire revivre en France l'amour de la Gologie et de la Palontologie. Le Travail de M. Roman et de M. Mazeran ne se borne pas cette paraccessibles,
;

tie

purement descriptive

il

s'lve des considrations gnrales.

La

faune d'Uchaux est essentiellement marine, cependant on y trouve un' cretain nombre d'espces sublagunaires, de sorte qu'il est assez probable

que ce gisement
tuaires,

se trouvait

proximit de lagunes, ou peut-tre d'es-

indiquant quelques apports d'eau douce dans cette zone littorale marine. Les modifications successives des groupes d'animaux qui
le golfe d'Uchaux, pendant l'Angoumien, permettent de se rendre compte des changements qui se produisaient dans la profondeur
;

peuplaient

peu

peu

le

fond

s'est relev,
les

favorisant le dveloppement de la faune


;

ctire et

diminuant
le

apports bathyaux

ainsi les Cphalopodes, assez


faire

frquents pendant

Ligrien,

diminuent de plus en plus pour


le

place la faune des Gastropodes et des Lamellibranches, puis l'inva-

sion progressive des Polypiers qui ne se dveloppent que vers

som-

met de l'Angoumien.

On

doit

remarquer aussi que

c'est

presque toujours dans

les

rgions

septentrionales que l'on doit chercher les anctres de la faune d'Uchaux,

tandis que c'est au contraire vers le

Sud que

l'on ^encontre les descen-

dants probables de cette

une migration lente

vers
et

mme
le

faune

Sud

il

semble donc que l'on assiste d'espces d'abord primitivement


:

septentrionales.

Deux hypothses peuvent expliquer ce phnomne i un refroidissement graduel du climat, dlimitant plus nettement les provinces
septentrionales

mridionales
le

la la

modification des condi

tions de vie.

amene par

changement de

nature des sdiments cor;

rlatif de l'exhaussement progressif de la rgion ces deux phnomnes ont d agir concuiTemment, de sorte qu'il est difficile de faire la part qui revient l'une ou l'autre de ces hypothses.

tre

Une monographie d'ensemble de la faune turonienne permettra peutun jour d'lucider ce problme, et le Travail de MM. Roman et
cette reconstitution oca-

Mazeran sera certainement l'une des bases de nographique du Turonien.

P. L.

Untersiichunyeii
Polen.
l'tude
!II Teil,

87

iiber
J.

die

Cephalopodon
(i).

von

Nowalv

der obereii Kreide in

Cet important Mmoire termine

Pologne.

d'ensemble entreprise par l'auteur sur la Craie suprieure de C'est l'un des plus intressants parus sur ce sujet depuis

bon nombre d'annes. Dans cette troisime et dernire partie, l'auteur tudie les Ammonites et les Blemnites. L'excution matrielle de l'ouvrage est trs soigne, nous regrettons seulement que
tes
les

planches, excu-

en simili

soient

du reste fort belles, aient t condamnes ainsi se dtruire d'ici un


et

tires sur papier

laps de

couch et temps relativement

court. Cela sera

une vritable perte pour


:

la science.

L'auteur tudie successivement

i)

Les Ammonites prsentant un

moment donn
ceras
;

de leur volution

le

type Pachydisciis, savoir les Genres


;

2) le Genre HaueriGenres drouls Hamites, Anisoceras, Heteroceras ; 4) les Blemnites et en particulier le Genre Belem^ntella 5) une note complmentaire de la 2 partie relative aux Scaphites. Voici la classification adopte par l'auteur pour les formes prsentant

Pachydisciis, Parapuzosia n.
3)

gen., Kossmaticeras

les

un

stade-Pachydi.scu.s

GENRES

STADES JEUNES

ANCESTRAUX

STADE S-PACHYDISCUS

AVEC CONSTRICTIONS

tubercules ombilicaux

tubercules ombilicaux
Ex.
:

Ex.

Egcrtoni.

peramplus.

j I

tubercules ombilicaux
externes.

et

Ex.

auritocostatas.

Uhlighella

Pachydiscus

tubercules ombilicaux
et externes.
S(?)

Ex.

anapadensis

j
'

tu ibercules ombilicaux

Ex.

Savini.

pas de tubercules
Parapuzosia
Ex.
:

Denisoni

Puzosia
f
\

Kossmaticeras
Grossouvrites

des tubercules ombilicaux Ex.


:

gemmatum

(i) Cracovie, igiB.

Bull. Acad. de Cracovie, juin igiS, p. 335-/li2, PI.

XL-XLV.

On ne

saurait trop fliciter l'auteur d'avoir


se

mis en vidence

l'ana-

logie de convergence

produisant avec l'ge dans des phy-

lunis diffrents, mais o les formes jeunes sont caractristiques.

Le type du nouveau Genre Parapuzosia est Amm. Daiibreei de Grosl'auteur y range galement Amm. tannenhergiciis Fritsch et Schlnbach. Les autres Genres enroulement normal ou anormal, prcdemment indiqus, sont ensuite soumis une tude critique serre et prcise, et les formes polonaises correspondantes sont soigneusement tudies, figures, y compris les cloisons dont l'auteur donne de beaux dessins.
souvre
;

L'tude des Blemnites vient ensuite.


trois
i)

L'auteur tablit l'existence de

rameaux dans

la

Craie suprieure de Pologne.

Gonioteuthis (westfalica, granulata, quadrata),


Belemnitella {mucronata),

2)

3)

Belcmnella

n. siih-gen.

Gnotype

B. lanceolata, Schloth.
le

Ces trois rameaux existent dj dans

Snonien infrieur, mais


le

atteile
3''

gnent leur

maximum

de dveloppement des poques diffrentes,


;

i"''

au Snonien infrieur et moyen milieu du Snonien le plus lev.

le

au Snonien suprieur
R. D.

au

limitrofes, por el

Alguiias faunas del Cretacico superior de Coahuila y regiones Il semble que, dans cette rgion, le D"" Bse (i).

Turonien et le Snonien soient reprsents.


dans ce Travail

On

trouve dcrits et figurs

un

Pachydisciis du Groupe de P. peram^plus, mais effecti;

vement indterminable, et Sphenodiscus lenticularis il y a une intressante discussion sur les diverses espces du Genre.
P. L.

ce sujet

BRYOZOAIRES
par M. Ferdinand GANU.

Chapter on Bnozoa, revised by Cette rvision par un auteur amricain d'un ouR. S. Bassler. vrage europen est une excellente ide. La note personnelle est ainsi vite au profit de l'unit sceintifique. En ralit, la rvision de l'dition
Zitlel-Eastman's Paleontology.
D""

(i)

Mexico, KjiS.

Bull, del Inst. geol., n 3o.

~
prcdenle avait t dj
ricain de
trs

89

faite par M. E. 0. Ulrich, bryozoologiste amgrande valeur. Mais M. Bassler a donn au' sujet toute l'ampleur dsirable par la mise au point exacte de tous les travaux

amricains,

lui,

mme les plus rcents, sur les Bryozoaires primaires. Grce nous pouvons maintenant nous faire une ide synthtique et exacte d'une foule de formes intressantes! Le texte est, en effet, trs
et le

concis

nombre

des figures ajoutes est trs suffisant-.

Les efforts de l'auteur sont trs mritoires, car la classification des Bryozoaires est actuellement trs confuse. Il faut beaucoup de courage pour
s'y reconnatre
la littrature

au milieu des ides les plus contradictoires mises dans zoologique rcente. Bien plus, l'tude des formes larvaires

est si rduite

que nous ne pouvons pas nous


incomplte
II

faire

une ide de

la classi-

fication de l'avenir.

La

littrature est

y a
et

mme

des omissions regrettables.

l'embryologie sont presque systmatiquement carts. Nous cherchons en vain les noms de Smitt, Nitsche,
Barrois,
J.

Les travaux relatifs l'anatomie


Jullien,

Calvet, et

ils

sont les crateurs de la Bryozoologie.

Dans la littrature palontologique, il aurait fallu ajouter les grandes monographies de Pocta sur le Silurien de Bohme et de Mac Gillivray
sur
le

Tertiaire d'Australie
la

et citer les

noms

de Neviani pour

l'Italie,

de Pergens pour

France,

et

de Maplestone pour l'Australie.

Maiyland Geological
Bassler
(i).
le

L'tude des Bryozoaires du Dvonien du Maryland


et

Siirvey.

Devonian Bryozoa, by Ulrich and


est faite

avec tout

soin et l'exactitude qui caractrisent ces deux auteurs.

Les caractres des Genres Fistiiliporella Simpson


sont prciss.

Chilotrypa Ulrich

les deux couches de zocies naissent d'une double lamelle msiale distincte. Zocies angulaires parois paisses ouvertures rondes placs dans des areas incli((
;

Le Genre Diplostcnopora est nouveau. En voici la diagnose Zoarium comparativement troit branches bifolies, dont
:

ns de

la crte

tranchante des parois vers l'intrieur. Parois soudes. Quelet

ques msopores

Diaphragmes perfors au mais non granules en chapelet comme en Stenopora. Gnotype Escharopora siliiriana
acanthopores petits
et rares.

centre. Parois zociales paissies dans la zone priphrique,


:

Weller.

Extrieurement, ce Genre ressemble certains Cryptostomata mais l'intrieur, c'est la coupe des Trepostomata (Fam. des Batostomel

lida'),

notamment par

la

fusion des pa.rois zociales adjacentes.


:

La moiti des espces tudies sont nouvelles Fam. Ceramoporidsc. Ceramopora ? incondita.
(i) Baltimore,

igiS.

Mar.

Geol. surv., pp. i23-i2/i et 259-290, PI.

XLI

LU.


Fam.

go

Fistiiliporid. FislulUporella ciimulata, F. quinqiiedentata, F. mi-

nima, F. rnnrylandica, F. May.nardi, Chilotrypa mici'opora. Eridotrype parvuliFam. Batostomellid. Batostomella interporosa pora Lioclema siibrarn.osiim, L. Pulchellum Stenopora ? incrustans.
;

Fam. Trematoporid. Stromatotrypa globiilaris. Fam. FenesteUid. FenesteUa cumbeiiandica,


pora dictyota
;

F.

atidorsata

Poly-

Semicoscinium planuin
.

Thamnisciis regularis.

Fam. Ptilodictyonidc Ptilodictya tenella. Fam. Monticuliporida' Monticiilipora ? marylandensis.


.

La dtermination des espces d'aprs

les

ouvrages de

MM.

Ulrich
et

et

Bassler est souvent assez pnible, car les images ne sont pas assez bien

groupes. Ici, il y a dix espces figures deux planches loignes. espces figures trois planches

deux

On Hei'pelopora, a iiew Gemis containing three new species oJC Le nouveau crelaceous Clieiloslome Polyzoa, l)y W. D. Laiig (i). Zoarium encroGenre Horpclopora est, en rsum, caractris ainsi tant, unisrial. Chaque zocie engendre une zocie distale et deux zocies

forme par une partie distale ou capitulaire trs largie et par une partie proximale ou caudale trs amincie. La fronHerpetopora tale, en partie calcifie, porte une grande opsie. Gnotype
latrales
;

elle

est

anglica nov. sp.

Les deux autres nouvelles espces sont H. clavigera

et

H. danica.

Toutes

les

espces connues de ce Genre nouveau sont groupes dans

une cl dichotomique trs bien -comprise. Nous aurions rang tous ces fossiles dans le Genre Pyripora d'Orbigny niais M. Lang se rserve de montrer la diffrence entre les deux Genres dans une publication ultrieure. La terminologie spciale adopte me semble inutile. Ainsi l'auteur appelle intraterminal front wall, chitinous portion ce que nous appe intraterminal front wall, calcareous portion ce que nous lons opsie extraterminl apelons, suivant les cas cadre ou cryptocyste gymnocyste . Je crois que nous front wall ce que Levinsen appelle pouvons conserver le termen , c'est--dire la crte saillante qui limite
;
;

<(

l'opsie.

Tous les travaux de M Lang sont faits avec une grande minutie et une richesse inoue de documentation qui leur donnent une grande va
leur.

(i)

Londres,

xgi/i.

Geol. Magazine, dec. VI, vol.

I,

n" 696, pp. 5-8, avec

PI. phot.


RepoFl of a
gical

91

visil to tlie exlilbit. of Polyzoa and Corals in Ihe geoloSuideparlmen t of Ihe Brilish Musum, by W. D. Lang (i). vant une bonne mthode de vulgarisation, l'auteur a promen un groupe de gologues dans les galeries du British Musum, rserves, aux Bryo-

zoaires.
Il

Il

leur a expos, fossiles en mains, les plus rcents travaux.

constate d'abord que les Bryozoaires se trouA^ent dans les roches,

dissmins, ou amasss par nids, ou amoncels en quantit prodigieuse mais que la biologie zoologique ne permet pas encore d'expliquer ces
diffrences.
Il montre quelques exemples de symbiose et notamment Stomatopora antiqua Haime, qui n'encrote que Gryphxa arcuata Lamarck. Il constate que les Bryozoaires ne sont pas de bons fossiles. Ils ne sont pas faciles rcolter et encore moins faciles dterminer sur place. Malgr leur abondance, le nombre des ouvrages spciaux est si petit que les collecteurs ne peuvent identifier leurs spcimens. Ce sont enfin

les

animaux

les

moins

tudis.

montre que dans Cyclosscrte une tomata, Trepostomata cellule ou premire engendre la prolcium, qui close, le calcaire cellule ancestrcium. Dans Cheilostomata, la larve engendre immdiatement une premire cellule ou ancestriila. Dans le bourgeonnement zocial, il constate que sur beaucoup d'espces encrotantes ramifies, les rameaux latraux se dveloppent identiquement au tronc primaire. C'est, d'aprs MM. Cumings et Ruedemann, un phnomne d' astognie . Enfin, il considre les htrozocies. Pour lui, les aviculaires servent pincer les organismes nuisibles pour les loigner et les vibracellaires
L'auteur considre
la

fixation des larves.

Il

et

Cryptostomata,

la

larve se fixe,

servent balayer les matires inorganiques qui pourraient souiller le zoarium. Jullien considrait les aviculaires comme des monstruosits,

Waters

comme

des

organes

d'oxygnation.

Personnellement,

i'y

vois

des instruments destins faire la pche aux diatomes, nourriture habituelle des Bryozoaires. O est la vrit dans ces opinions diverses ?
Il

nous et

t agrable

de voir

le

confrencier faire l'loge des Bryodes tages.


Ils

zoaires. Ils sont excellents

dans

la dfinition

abondent sou-

vent dans certains terrains (crtacs) o les autres fossiles sont trs rares Ils peuvent servir pour dpartager des opinions contraires. Eux seuls

pourront permettre l'tude des variations des courants marins dans


ges passs.
,

les

(i)

Londres, igiS.

Procecdings of the GeologisLs Association, xxiv, pp. iGg-173.

DIVERS
par M. M. COSSMANN.

Trait de Gographie pliysiqiie, par


c'est

M.

E, de

Marlonne

(i).

L'auteur de ce beau volume n'est pas seulement un minent gographe,


aussi

contient

un distingu gologue la seconde dition de son Trait un chapitre VIII de Palographie, un chapitre IX de Topographie
:

glaciaire, et

une

srie de considrations
les palontologistes

zoogographiques, qui ne sont


relatifs

pas ngliger par

en qute de renseignements

la biologie des fossiles.

C'est ce triple titre que nous croyons utile de signaler nos lecteurs
cet intressant ouvrage,

dans lequel

ils

pourront puiser

entr 'autres, de

prcieuses donnes sur l'influence de la salinit dans l'habitat marin,

par exemple,

sur la rpartition de certains

animaux en fonction des


domaine biologique des
la flore

variations de la lumire

ou de

la

temprature, sur les formes abyssale*^


aussi sur le

productrices de lumire,

comme

continents, sur les rapports qui existent gnralement entre les change-

ments thermiques
terrestres.

et les caractres

de

la

faune ou de

des rgion*^

Proccup d'tablir une sorte d'homognit entre

les

conditions bio-

logiques du domaine continental et celles du domaine aquatiqire.. M. de

les

Martonne ajoute au terme nouveaux termes Faune terri c oie,


.

dj
pour pour

connu
celle

faune cavernicole

qui est strictement lie au sol


e

soit

par

e,

soit

par

h y p 'o g
celle

Faune
continentales.

aquicole,

qui

vit,

d'une

faon

plus

ou

moins continue au bord,

la surface,

ou

mme

l'intrieur des

eaux

Ces quelques citations, prises au hasard, suffisent mettre en lumire


le

haut intrt de
ici

la

publication, luxueusement illustre, dont nous avons

tenu signaler

l'apparition.

Die Tiere der Wor^Aelt, voii O. Abel


la

(2).

Ce
ici

petit

Manuel, destin

vulgarisation de la Palozoologie, est rdig avec l'autorit


les brillants

du savant
;

professeur dont nous avons souvent analys


(i) Paris, 1913.

travaux

il

Libr.

Armand

Colin, diteur.
i)it,.

(2) Leipzig,

Vol. in-8 de Vol. in-i6 de

92Z1 p.

avec

/loo fig.

et

PI.

hors texte, et h8 PI. phot.

88 p. avec 3i

fig.

B.-C. Teubner, diteur.

petit
les

93

rsumer

faut quelquefois plus de science pour

format

en moins de cent pages


actuelles sur

un aperu complet de nos connaissances


!

Vertbrs anciens, que pour dcrire


fossile
la

et classer le squelette

d'un nouce

veau Saurien
texte
et et

En

tous cas, l'diteur Teubner a t bien inspir

en publiant, dans
ces

collection de ces petits livres

bon march,

images, qui font justice de certaines lgendes populaires


la

qui

communiquent
le

tologiques par
vait tre la

masse du public le got des tudes palonfidle que possible de ce que pouNature, en ces temps reculs. La reconstruction des animaux
spectacle

aussi

antdiluviens y est faite avec les lments dont judicieux rappel.

le

docteur Abel a

fait

un

Ueber patliologische iiiid verwaiiiUe Erscheinungeii hei fossilen Tieren, von Dr. Edw. Heiinig (i). Cette confrence traite des appa-

rences pathologiques qu'on a pu constater chez certains fossiles

dj

images des dformations que subit le test de quelques Mollusques dans des cas dtermins. M. Hennig prend ici la question un point de vue plus gnral et plus lev par exemple, des poques recules o l'on ne pouvait connatre les soins bienfaisants des dentistes, nous trouvons des traces par la dentition
les
:

en maintes circonstances, on a publi

de quelques Mammifres fossiles

d'altration de l'mail,

survenues

pendant la vie de l'animal et non par la fossilation, qui avaient mis la pulpe l'air et engendr la. carie L'auteur cite aussi des cas de perforation dans les cloisons des chambres air si ncessaires l'existence marine des Cpalopodes (Nautiliis ou Hoplitodes). L'hypertrophie ou l'lphantiasis jouent aussi quelquefois un rle dont on ne peut apprcier
!

les traces

sur ce qui reste des


la

membres

de Vertbrs

de

mme

l'atrophie

peut occasionner

dgnrescence ou

mme

la

disparition de certains

phylums. Les ides exprimes dans donc un rel intrt.


Plesiosaiirideii ans

cette

courte

brochure prsentent

lrandes

(2).

C'est

dem
dans

iiiileren Lias
le

von Halberstadt

von
le

i.

Lias infrieur de Kanonberg, prs d'Hal-

berstadt, qu'ont t recueillis les dbris de trois Plsiosaures, dont

plus

rcent (1899) est reprsent par une grande partie de M. Brandes est consacre ThauTnatosaiinis

du

squelette.

L'Etude
la

aff.

megalocephalus

Stutchbury, dont la symphyse mandibulaire infrieure n'atteint que


moiti de la longueur de celle de Th.
d'analogie entre cette espce
et
arciiatiis.
Il

Th.

y a aussi beaucoup victor Fraas, du Toarcien de la

(i) Berlin, igiS.


(2) Stuttgart, i()i

l,.

Palaontogr.,

Extr. Berl. Klin. Wochensch., n 3G, i3 p. in-iG. LXl Bd., pp. /ii-56, PI. VIIl-IX in-/i, avec lo texte

flg-.

94

les diffrences

Souabe. L'auteur indique, d'autre part,

qui sparent

l'es-

pce dcrite de Plesiosaurus macrocephahis et de P. rosti-atus Owen, qui sont de vritables Plsiosaures.

qui permette de

Les deux autres individus ne sont pas dans un taf de conservation les dnommer spcifiquement M. Brandes s'est donc
;

born donner

les

dimensions comparatives de l'humrus.


(i).

On ne

Ehi Stegocephaleii-Scligedel \on Helgoland, von H. Schrder

connaissait encore, Helgoland, que des restes de Labyrintho-

don, cte nigmatique tudie par Dames, et malheureusement les ossements de Capitosaiirus HelgoIandirV n. sp. ne comportent aucune cte, mais un crne magnifique dont l'auteur de cette Note fait la comparaison avec C. nasatus IL von Meyer. Il s'agit, en rsum, d'une espce voisine, mais non identique, des grs permiens. Les lments de cette Etude ont l'avantage de fixer, d'une manire prcise, la position systmatique du Genre Capitosaiirus et de le diffrencier de Mastodonsaurus, ainsi que de Cyclofosauriis ou de Cryptobranchiis. Son extension dure depuis le Permien jusqu'au Trias.
Tlie

Amphibians

ihew

(2).

A propos de

of

the

Great

Coal

Swamps, by
dans
le

W .-\.

Mat

cette brochure, analyse

prcdent nu-

mro, l'auteur nous crit qu'il s'est gliss une petite erreur dans le compte rendu de la Note sur le montage du squelette d'Eryops, publie dans le mme recueil amricain. Eryops n'est pas, comme on pourrait
le

croire d'aprs cette analyse,

l'anctre direct de tous les Vertbrs


cette

M.

Matthew

simplement voulu exprimer


est

ide

que

la

plupart

des Vertbrs suprieurs sont issus par volution d'un amphibien primitif

du Carbonifre, qui

un type de mme organisation qu 'Eryops.

Fossile Ostracoden ans Asien,

\on

communiqus

l'auteur,

la suite

Les matriaux G. Mehes (3). d'une mission gologique en Asien.

Mineure,- contiennent des spcimens du Lias et d'autres de l'Eocne.

L'espce du Lias est Bairaia anatolida

sp.,

fort intressante
la

parce

que c'est la seule connue dans ces gisements d'Asie, Sinumrien, tudi par M. Vadasz.
Les espces tertiaires appartiennent
ridea tiirkestanensis
car.
,

limite

du

la

Famille des Cytheridas


n.
sp.,

Cythe-

asiatica, nn.

sp.

Cytherella Beyrichi (Reuss), nov.

elliptica,

et

enfin Cytherella ivaradarjensis,

ressemblant

C.

ovata Jones, mais plus massive.

(1) Berlin, igiS. (2)

New-York, ign.

Jahrb. K. pr. Laadesaust., pp. 232-26/1, 7 PI. in-8. Vol. XI, pp. 197-201.

(3) Foldtany Kozlony, Bd. XLIII,

pp.

boQ-blio, PI.

IV

lith.

95

irta

Rozsahegy Kriiyekenek Fldtani viszonyaiiol,

A dfaut d'un rsum dans une

Donnai

Bla(i).

du public scientifique, nous croyons comprendre que les fossiles figurs dans cette Etude gologique sont rapports l'Eocne et mme au Bartonien sur la liste de la p. 32, qui comprend surtout des Echinodermes et des Plcypodes, nous relevons une nouA^elle espce, figure sur la planche i Conoclypeiis hungaricus en assez bon tat l'auteur a aussi figur Spondyliis planicostatns d'Arch., Pecten castellorum Oppenh., Harpactocarlangue qui
soit la porte
:
:

ciniis quadrilobatiis

etc..

Miocaene Oslrakodeu ans Ungarii, von D' Bla Zalanyi


premier
travail a t publi,
;

(2).

Un

en 1892, sur les Ostracodes tertiaires de Hongrie, par Emerich Hejjas de nouveaux matriaux ont permis l'auteur de complter ces renseignements par une contribution plus documente,
et

surtout au point de vue systmatique, examin dans

un premier
(fig.

cha-

pitre,

o
la

il

dtaille

l'appareil

cardinal

de la carapace avec d'intres4)ci-

santes sections faisant ressortir les critriums diffrentiels

Dans
aprs
:

Famille Cytheridsc

on peut signaler

les

nouvelles espces
C. Entzi, C.
;

Loxoconcha Szontaghi, Cytheridea hiingarica,


;

neri, C. gigantea, C. Derii

CytherideUa mediterranea

KrenCythereis Mehesi,
C.

C.

balanotica, C. sarmatica, C. subangiista, C. Schrteri, C. mrita, C.


C.

expiinctata,

Vadaszi, C. perforata, C. Loczyi, C. Dadayi,

Kochi

Cythereidis perangiista, C. Farkasi.

Les espces des G. Pontocypris


connues.

et

Candona

taient dj antrieurement

Les planches, qui accompagnent cette soigneuse Monographie, ont t


reproduites d'aprs les dessins de l'auteur et elles sont trs claires.

Contribution la Bibliographie gologique et prhistorique lu de Paris, par M. Paul Combes fils (3). Cette Bibliographie contient de nombreuses rfrences susceptibles d'intresser les palontologistes, notamment celles des premiers travaux de Georges Cuvier sur les Vertbrs du Gypse de Montmartre celles des notes de Delamtherie, Duportal, Priem et Sauvage sur les Poissons fossiles dcouverts dans
-Sol

Paris, etc. Signalons aussi les rfrences des divers travaux sur les

Mam-

mifres

et

l'Homme

quaternaires, extraits

du

sol

de

la Capitale.

(i) (2)

Budapest, rgiS. Budapest, igiS.

Broch. in-8 de p. et tn PI. dont de Extr. Jahrb. K. ung. geol. Relchsanst., XX[ Bd., pp.
5i
2

foss.

85-i52, PI. V-I\

et 38' fig. texte. (3) Paris igiS.

Bull. Bibl. et Trav. Histof. Ville de Paris, fasc. VI, col. iSs /187.

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CINQUIME ET DERNIER

APPENDICE
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CATALOGUE ILLUSTR des COQUILLES FOSSILES DE L'OCNE DES ENVIRONS DE PARIS


Par Maurice

GOSSMANN

Outre
l'Atlas
la

les

diagnoses

et

figures

des espces nouvelles annonces dans

de l'Iconographie (supplment), ce cinquime Appendice contient


charnires
le texte.
III,

rvision des

des
Prix

Genres de

Plcypodes,

avec

plus

de

i5o figures dans

Les trois Appendices,

IV

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Revue

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Patagonie.

Faune ocnique du Cotentin


Pissarro (1900 1905).

L'ouvrage complet

(Mnll.nsquf'H). (5i

En

collahoration avec M. G.

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la faune nummulitique 3 PI. {presque pnisj

d'Egypte.

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Descriptions de quelques Plcypodes jurassiques de France


1912), 5 articles, 11 PI. {n\sl publi qu'en tiraqi-

(1903-

part seuloiient).

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Soc. Gol. de Fr. (1907), 6 PI. et
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3 fr. 50 propos de Cerithium cornucopise (1908), 1 PI. in-4 3 fr. Note sur le Charmouthien de la Vende (1908), 1 PI. in-4'' Iconographie complte des Coquilles fossiles de l'Eocne des environs de Paris ,1904-1913). L'Atlas compl. en 2 vol. in-4, lgendes et tables 125 fr. Plcypodes du Montien de Belgique (1909), 8 PI. in-4. Revision des Gastropodes du Montien. 1" partie, 1914. 4 PI. in 4. Conchologie nognique de l'Aquitaine. Plcypodes les trois premiers
,
:

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1"
fasc.

Sur

Etude comp. des

l'volution des Trigonies (1912), 4 PL in-4'' (Ann. Palont.). foss. Fecueillis dans le Miocne de la Martinique et de l'Isthme de Panama; 1" art., 5 PL in-b. Journ. Conch. 1913. 7fr.50
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Ph. Thomas. Recherches stratigraphiques et palontologiqucs sur quelques l'ormations d'eau douce de l'Algrie, 5i p., l tabl., 5 pi

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CossMANN. Contribution l'tude de tropodes). 574 p., ^8 pi

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zone Am.
h

Terquem. Les Entomostracs Ostracodes du Fuller's Earth des environs de Varsoii2 p., i2 p/
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et

C. Grand'Ert.

Formation des couchesde houille

du

terrain houiller. 196 p., lOpl.

20
16
ih

H. FiLHL. Etudes sur les Vertbrs fossiles d'Issel (Aude): 186 p., 21 pi G. CoTTBAC. Echinides ocnes de la province d'Alicante. 107 p., 16 pi A. DoLLOT, P. GoDBiLLE et G, Ramond, Les grandes pltrires d'Argenteuil (Seineet-Oise). Historique, gense et distribution des formations gypseuses de la rgion parisienne. It8 p , 7 fig., pi
:

P.-L.

Prever. Aperu gologique sur

la colline

de Turin. i8

p., 7 fig., 1 carte.

...

H. Lantenois. Note G. Zeil. Contribution l'tude gologique du Haut-Tonkin. Ren de Lamothe. Note sur la gologie du sur la gologie de l'Indo-Chine. Cambodge et du Bas-Laos. 80 p., 1 pi-, 3 cartes en couleurs

12

Gnral de Lamothe. Les anciennes lignes de rivage du Sahel d'Alger partie de la cte algrienne. 288 p., 3 pi., 1 carte en couleurs
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; ; ; ;
;

)>

lit

5o

26

35
6

i5

26
17

25
2

5o

378 p
Marcellin Boule. Le Pachyna de Vaugirard. 2 pi, 16 p V. Paquier. Les Rudistes urgoniens. 13 pi, 102 p Ar. ToucAS. Etudes sur la classification et l'volution des Hippurites. 17 pi, 128 p. Dentition de quelqvies Mammifres. 28 p., Albert Gaudry. Fossiles de Patagonie i2 fig. dans le texte Paul Lemoine et Robert Douvill. Sur le genre LepidocyclinaGmbel. 3 pi., U2p... Ferdinand Canu. Les Bryozoaires du Patagonien. Echelle des Bryozoaires pour les Terrains tertiaires. 5 pi, 30 p Charles Eastman. Les types de Poissons fossiles du Monte-Bolca au Musum d'histoire naturelle de Paris. 5 pL, 32 p V. Popovici-Hatzeg. Les Cphalopodes du Jurassique moyen du Mont Strunga (massif de Bucegi, Roumanie). 6 pi, 28 p Ar. TouGAS. Etudes sur la classification et l'volution des Radiolitids. 2pl., 132 p. Edm. Pellat et M. Cossmann. Barrmien suprieur facis urgonien de Brouzetlez-Alais (Gard). 9 fig. texte, 6 pi, k2 p Charles Jacob. Etude sur quelques Ammonites du Crtac moyen, ftU fig.,9 pl,6li p. A. Pezant. Etude iconographique des Pleurotomes fossiles du Bass,in de Paris. '5pl., 30 p. (en cours). ....._ P. -H. Fritel. Etudes sur les vgtaiix fossiles de l'tage sparnacien du Bassin de Paris. 3 pi, 37 p Henri Douvill. Etudes sur les Rudistes Rudistes de Sicile, d'Algrie, d'Egypte, du Liban et de la Perse. 7 pi, 8^ p Lon Pervinquire. Sur quelques Ammonites du Crtac algrien. 7 pi, 86 p
: :

86
5

28

38

>>''

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10

1 1

ii

la
l\8

i3

20
12

10

20 20
7 i^

Robert Douvill. Cphalopodes argentins. 3 pi, 2 p.. Gustave F. Dollfus. Les coquilles du Quaternaire marin du Sngal. Introduction gologique par A. Dereims. U fig., h pi, 72 p Robert Douvill. Etudes sur les Cardiocratids de Dives, Villers-sur-Mer, et quelques autres gisements, 8Ufig., 5 pi, 77 p Maurice Cossmann. Contribution la Palontologie franaise des terrains jurassiques Cerithiacea et Loxonematacea, 11 pi, 26U p Lucien Morellet et Jean Morellet. Les Dasycladaces du Tertiaire parisien, 3 pi.,
;

17

5o
II

',3

p
les

Robert Douvill. Etudes sur 26 p


,

Oppeliids de Dives et de Villers-sur-Mer, 2 pi,


.'

>'

DESCRIPTFON DK l'LCYPODES JURASSIQUES


Par

Maurice

COSSMANN
(1903-1913)

Cinq

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pi. in-S"

15

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Cette srie d'articles, dont les premiers taient extraits des comptes rendus des Congrs de l'A. F. A. S. n'existe plus qu'en tirage part partir du quatrime article (Le 6" article en prparation pour 1915). La collection de six articles formera un premier volume avec titre et
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REVUE CRITIQUE
DE

PALOZOOLOGIE
N 3 (Juillet 1914)

SOMMAIRE
Pages

Mammifres,

par M.
J.

Armand Thvenin

97
101

Groth Mollusques, par MM. Cossmann et P. Lemoine. Echinodermes, par M. J. Lambert Bryozoaires, par M. F. Canu Clentrs, par M. Filliozat Foraminifres, par M. A. Silvestri La nomenclature zool. au Congrs de Monaco, port de la Commission par M. R. Blanchard
Trilobites, par M.

103 108

120
123

132
trad.

du rap147

MAMMIFRES
par M. Armand THEVENIN.

A History of Land Mammals in Ihe Western Hmisphre, by W.-S. Scott (i). Quand parut, il y a quatre ans, le magistral Age of yiammals o M. Osborn synthtisait en quelques centaines de pages l'histoire des Mammifres fossiles de l'Amrique du Nord et cherchait

(tablir leurs relations avec les

faunes anciennes de l'Eurasie

plus d'un

.palontologiste prouva le regret


ait

que le directeur de l' American Musum systmatiquement cart du plan de son ouA^age les considrations relatives aux fossiles sud-amricains. M. Osborn savait sans doute que son savant ami M. Scott prparait un
'

ouvrage d'ensemble sur


voulu
fres

les

Mammifres des deux Amriques


de
la

et

il

avait

lui laisser la joie d'crire ce chapitre capital

Palontologie.

mieux que M. Scott les Mamminous regrettons de n'avoir pu rsumer pour les lecteurs de cette Revue les grands Mmoires dans lesquels il a tudi les riches collections d'ossements du Santa-Cruzien

Aucun

naturaliste, d'ailleurs, ne connat

fossiles

de l'Amrique du Sud

et

recueillies sous sa direction par l'expdition de l'Universit de Princeton,

ces

Mmoires ne nous ayant pas


New- York,
igiS.

t envoys.
82 PI., 3o4 fig.).

{i) a

(XIV, 698

p.,

-98Ce n'est pas seulement


c'est aussi le
la

plan gnral

en la

comptence de l'auteur qu'il faut louer forme de son liM;e. M. Scott ne s'est
seulement un
petit

ici,

pa.s

propos d'crire un savant

trait, accessible

nombre

de lecteurs trs avides de s'instruire ou trs verss dj dans l'tude des sciences naturelles. A ceux-l sont destines ses belles Monographies, aussi prcieuses par les descriptions prcises que par les aperus originaux.
Il a cherch et il a russi faire d'une faon trs simple, trs claire, un ouvrage agrable lire o aucun problme important n'est laiss de ct. Aprs des chapitres gnraux de gologie et d'ostologie qui mettent

mme

tous les zoologistes ou tous les gologues de lire aisment la

suite de l'uvre,

M. Scott tudie
terrestres

la

distribution gographique actuelle

des

Mammifres

amricains,

puis

la

succession

des

faunes

fossiles.
Il

consacre ensuite l'histoire de chacun des principaux Ordres


;

la

plus grande partie de son uvre


si

les
:

pages relatives aux Mammifres

spciaux de l'Amrique du Sud


palontologistes

Toxodontes, Astrapothrids, Litopencore

ternes et Edents, paratront particulirement intressantes la plupart

des

qui

ne

sont

que

trs

exceptionnellement

familiariss avec les caractres anatomiques trs spciaux de ces

Mam-

mifres

si

diffrents de ceux de l'Hmisphre Nord.

L'illustration de ces chapitres en rend la lecture spcialement agrable


et

instructive,
trs

car elle comprend,


constituant
le

d'une part,

d'excellents

dessins au
et

trait,

clairs,

meilleur des

modes d'enseignement,

d'autre part, plus de cent restaurations souvent trs artistiques, toujours

fondes sur des documents prcis, gnralement sur des squelettes complets.

C'est la premire
la

fois

que

les

naturalistes voient revivre devant eux


et
le livre

faune Miocne sud-amricaine


trs

de M. Scott aura certainela

ment une

grande influence sur


est

les

progrs de
la

palontologie, en

faisant pntrer dans les esprits

non seulement

notion d'enchanement,
la

de phylognie, qui, maintenant,

presque banale, mais

notion des

migrations, des connections ou des sparations successives de continents,


il montre trs bien et trs simplequi est beaucoup moins rpandue ment l'importance des rsultats acquis en palontologie et la complexit
;

des problmes rsoudre encore.

On
et

pourrait presque dire, en tenant compte de la diffrence de temps


et

M. Osborn viennent de nous donner, aprs du volume des Enchanements du Monde animal de Gaudry, consacr aux Mammifres tertiaires, et le livre de M. Scott, comme celui de Gaudry, s'adresse un trs large'
de pays, que M. Scott
trente-cinq ans couls,
la

suite

cercle de lecteurs.
Il

est possible

que cet ouvrage

ait

une dition franaise, mais combien

90
il

serait

prfrable de voir

forme analogue

Tliistoire des

un de nos compatriotes publier sous une Mammifres de l'Ancien continent.

Ou

tlie

struclure and affinilies of the Miiltituberculata, by Robert

Brooni

(i).

il

Les affinits des Multituberculs sont


est trs

les

plus difficiles

a prciser et

vraisemblable que, par convergence, des

Mammi-

groupes divers ont pu acqurir des dents couronne large, plate, couverte' de tubercules bas disposs en ranges. La
fres appartenant des

dcouverte du crne de Ptilodiis, dcrit par M. Gidley,

les

fait

classer

actuellement tous parmi


dcouvrir un grand
lier,

les

Marsupiaux.

Une' rcente expdition de l'American

Musum dans

le

Puerco, a
et

fait

nombre de

restes de

Polymastodon,

en particu-

un crne presque complet qui

a fourni

M. Broom

la

base de cette

Note.

Les caractres frappants de cette

tte large et plate


;

sont surtout

l'ex-'

trme rduction des jugaux


pas contigus l'orbite
les
;

et

des frontaux

ces derniers ne sont

mme

c'est une disposition tout fait aberrante parmi qu'on ne retrouve que chez les Monotrmes. La forme et la position proclive des incisives, l'existence d'une longue barre rappellent d'ailleurs beaucoup les Rongeurs, ainsi que le savent

Mammifres

et

tous les palontologistes

il

est possible

que ce

soit

un indice de

parent.

que ces Multitudtache de bonne qui s'est latrale berculs reprsentent une branche lui-mme d'un type (issu Mammifres gnheure du tronc primitif des branche cette reprsentants de premiers les que ralis de Cynodonte)

Quoi qu'il en

soit,

M.

Broom

arrive la conclusion

latrale

taient

herbivores ou omnivores

que quelques-uns de leurs


;

et que vers le descendants sont devenus Insectivores ou Carnivores milieu du Jurassique, est sortie du groupe herbivore une ligne laquelle

se rattache,

trs

et

par une descendance encore inconnue, le type trs spcialis, dgnr maintenant, des Monotrmes actuels. Il semble vraiment prfrable d'attendre que les ceintures scapulaire pelvienne et les membres des Multituberculs soient connus, pour con-

natre leur parent avec le

Groupe

si

particulier des Ornithorhynques et

des Echidns.

Tertiaer

und iimgelagerte Kreide

La faune de Mammifres tudie dans ce von R. W. Wegner (2). Mmoire qui, seule dans cette partie de la Revue, doit retenir notre atten-

bei

Oppeler

(Oberschlesien)

(i) 8

New-York,

igi/i.

(2) i Stuttgard, igiS.

Ext.

Ext. de Bull.

Am. Mus. Nat. Ffist., vol. XXXIII, pp. iiB-iSi. de Palontographica, Vol. L\, pp. 175-27/I, PI. IX-XV.

lOO
tion,
a

Saint- Alban,

pour principal intrt de diffrer fort peu de celle de La Grive dans l'Isre, quoique le gisement d'Oppeler soit sensibleseptentrional que
le

ment plus
la latitude

gisement franais

et

situ

peu prs

d'Anvers.

Les espces sont nombreuses, mais reprsentes presque toutes par des dents isoles, de sorte qu'il est difficile d'y reconnatre les caractres de races ou de mutations qu'il serait particulirement intressant de
signaler.

La faune comprend notamment Pliopithecus antiqiius, Mastodon (et une varit passant M. longirostris) Dicrocerus furcatus, Palscomeryx eminens, Hyotherium simorrense, Macrotherium grande, Anchitherium awelianense, Rhinocros (Teleoceras) brachypiis,
:

augustidens

R. (Ceratorhinus) simorrensis, Aceratherium tetradactylum, Titanomys Fonfannesi, Steneofiber subpyrenaiciis, Cricetodon minus, Ursavus brevirhimis, -Ceplialogale GaiUardi, Erinaceus sansanniensis, Talpa minuta, etc.

M. Wegner montre l'extrme similitude de cette faune non seulement avec celle de La Grive, que M. Depret considre comme tortonienne,

mais encore Goriach en

ses affinits

Styrie,

avec celle de Steinbeim en Wurtemberg, de dont on connat depuis longtemps l'extension sur

l'Allemagne mridionale.

Mammlires
Mmoire
la

fossiles

de Sbasiopol, par A. Borissiak


consacr
le
la

(i).

Ce

trs dtaill est

description d'ossements recueillis


puits, et appartenant tous

Sbastopol

mme, dans

creusement d'un

faune Hipparion gracile que l'on convient d'appeler, depuis un demi-

sicle, la faune de Pikermi. Cette partie ne nous fait connatre d'ailleurs que les Onguls, l'tude des Carnassiers sera sans doute publie ultrieurement, et c'est seulement alors qu'on pourra tenter de fixer l'ge trs

prcis

du gisement.

L'auteur
assez

qui

-a

pouss trs loin l'analyse

et n'a

grand compte des variations individuelles n'a cru retrouver l aucune des espces de Pikermi. Il a pens que V Hipparion de Sbastopol appartenait une race spciale de \'H. gracile que VAcerotherium ou le
Tragocre qu'il
tudiait

peut-tre pas tenu

prsentaient

des

caractres

assez

particuliers

pour recevoir des noms d'espces. Les restes de Giraffids sont assez nombreux, mais peu complets, et on peut regretter que M. Borrissiak ait cru devoir tablir encore un nom de Genre et un nom d'espce dans le groupe des Alcicelaphus, PalH'otragus, Samotherium dont la nomen-

(i)

Saint-Ptersbourg,

rgi/i.

Ext. de Min. Corn. Gol. de Russie, noiiv. sr.,

livr. 87,

i54 p., 10

PL

clature est dj bien confuse. Les naturalistes de langue anglaise attri-

buent souvent leurs collgues les pithtes familires de lumpers ou de splitters suivant que ceux-ci ont l'esprit trs synthtique ou
'((

trs analytique. C'est

videmment

la

seconde qui parat prfrable au trs

consciencieux auteur de ce Mmoire, qui nous devons savoir grand gr d'ailleurs d'avoir accompagn son texte russe d'un rsum trs complet

en franais.

TR ILOBITES
par M. Jean GROTH.

Beili'scge /au- Kenntniss devonischer Trilobileii H. Oberdevonische Proeliden, von Rudolf Hichler (i). Dans les schistes Cypridines du Dvonien suprieur, on rencontre de nombreuses forpies gnralement rapportes Dechenella cause de leur glabelle, mais dont le
:

pygidium est un pygidium de Proetiis. Dans ce groupe, l'auteur rserve le nom Proetus aux formes glabelle peu rtrcie vers l'avant, et sillons latraux trs faibles. Dans ce Genre ainsi dfini, les yeux sont grands, la suture s'largit peu vers l'avant, le pygidium est court peu segment. L'auteur en dtache une srie de Genres nouveaux: Drevermanoia, Genre aveugle, et Cyjiosymbole prsentent ce caractre commun d'avoir une glabelle trois sillons latraux, effile vers l'avant, donc diffrente de celle de Proetus, et un pygidium court, large, peu segment qui suffit, suivant M. Richter, pour les distinguer de Dechenella. Typhloproelus
j

est aveugle, sa glabelle est peine distincte des joues.

sente ce caractre

unique chez
le

les ProetidiV

d'avoir une suture


sillon occipital.

Pteropai'ia prqui,

hauteur du millieu de
n.

la glabelle,

se

recourbe vers l'arrire

et atteint le

bord externe presque dans


s.

prolongement du

Euproetiis

-g.

se distingue^par ses sillons latraux nets.


le

Mais

clusions gnrales trs intressantes.

Travail prcis et bien illustr de M. Richter comporte des conDans la boue des grands fonds o

rampaient ces mangeurs de cadavres qu'taient les Proetid, les yeux se sont atrophis et ont mme souvent disparu compltement. Aussi leur
(i) Francfort-sur-l-Main, igiS.

Abh. Senckenberg. Natarf.

Gesellsch.,

Bd.

\W,

Tp.

345-

428, PI. 22-33.

I02

valeur en tant que caractre gnrique, est-elle beaucoup moins importante que l'allure peu variable de la ligne de suture.

M. Richter,
gnie du groupe

la fin

de ce Mmoire trs document, esquisse la phylohomogne des Proetidae qui descend vraisemblablement
et s'teint

de formes msodvoniennes nien suprieur.

presque compltement au Dvo-

Notes on the ontogeny of Isotelus

Raymond

(i).

gigas

Dekay, by Percy E.
:

L'auteur de cette intressante Note a tudi sur plu-

sieurs centaines d'chantillons le

dveloppement de

Isotelus gigas,

I.

maximiis, Basilicus Barrandei.

'

2.3
Fig.
1.

Fig. 3.

au stade Ogygiles, grossi 6 fois au stade Isoletus iowensis, grandeur naturelle Petit chantillon ayant dj les caractres de 7. gigas adulte, grandeur naturelle
Isoletiis gigas

Fig.

2.

Isoletus gigas

Le Genre Basilicas
la

serait antrieur

au Genre Isotelus.

I.

gigas, espce

plus spcialise
1

du Genre, passe successivement par


front.

les stades

suivants

Stade Basilicus.

Les pointes gnales sont longues. La suture, peu

visible,
2

semble marginale au

Stade Ogygites suture intramarginale

comme

chez l'adulte de

Ogygites.
3 Stade Isotelus. Le bouclier cphalique et le pygidium prennent une forme pointue et les pointes gnales se rduisent. On passe ainsi successivement par les stades Isotelus maximus et /. invensis.

(i)

Newhaven,

1918.

Bull.

Mas. Cornpar. Zool. Harvard,

t.

LVIII, n' 5, pp. 2/17-261,

PI, 1-3.

io3

triangu-

Stade Isotelus gigas,

bouclier cphalique et pygidium

laires et sans pointes gnales.


Il

y a l une utile contribution l'tude

du dveloppement des

Trilo-

bites.

MOLLUSQUES
par MM.

COSSMANN

et P.

LEMOINE.

Les couches exploen 1908 et 1909, dans la rgion comprise entre Mandakpal et Narastan (Kashmir), ont fourni des fossiles qui dmontrent l'existence d'une srie comparable la plupart de celles de l'Himalaya (Garhwal, Kumam
(i).

riassic liuuic of Kashmir, by C. Diener

res,

et

Spiti)

Trias

infrieur

100 mtres,

Muschelkalk 3oo mtres. Trias


Ces
fossiles,

suprieur, plusieurs milliers de mtres.

reprs avec une

parfaite exactitude stratigraphique par M. Middlemiss, sont tudis dans


e

Mmoire en question avec

la

haute comptence que notre confrre

viennois possde sur la faune triasique et particulirement sur les Cphalopodes.

Trias infbr. Les Cphalopodes recueillis comprennent


disciis,
sis

plusieurs Xeno-

X. himalayanus Griesbach
les

(il

serait prfrable d'crire

himalay enAlthotse,

pour respecter
X.
cf.

dsinences admises par les Congrs de nomenclaDiener,


;

ture),

lissarensis

X.

sequicostaiiis

Salomoni,

Comptoni nn. sp., etc. quelques Ophiceras dj connus dans Vishnuites Pralambha Diener un Flemingites douteux l'Himalaya
ellipticiis,
; ;

Inyoites kashmiricus n.

sp.

(mme

observation que ci-dessus pour


;

la

dsinence)

Hiingarites Middlemissi n. sp.


;

quelques Meekoceras d'une

identification incertaine

Pseiidosageceras clavisellatum n. sp. qui diffre


;

de P. miiltitobatiim par quelques dtails des cloisons Prionites guryiilensis n. sp. dont l'ornembntation peu distincte ne permet pas une identification avec les

kashmiricus

n. sp.

formes congnriques dcrites par (potiiis kashmir en si s); Kaslimirites

Waagen
n. g.

Sibirites
le

dont

gno-

type n'est pas nettement prcis, mais l'auteur y rapporte deux espces nouvelles (K Blaschkei et subarmatus) et il insiste sur les diffrentes gnriques avec Xenodiscus
;

mme

qu'un Orthoceras

et

un Stephanites et un Nannites un Grypoceras indtermins.


Mm.
n
i
;

incertains,

de

(i) Calcutta, ijiS.

Pal. indica, nouv. sr., vol. V,

i33 p., in-4.

PL

XIII, phot. d'aprs des dessins.

io4

ici
;

Passant aux Lamellibranches, on retrouve


ces europennes, dcrites par Bittner et

Hauer

excvlusivement des espPseiidomonotis (Claraia)

P.

Griesbachi, P.'{C.) Painkhandana, P. (C.) decidens, P. (C.) aiirita Hauer, (Eiimorphotis) tenuistriata B., P. (E.) miiltiformis, P. (.) aff. austriaca.

MuscHELKALK. Moins riche en Cphalopodes qui sont presque tous des par contre beaucoup plus des autres classes de Mollusques et aussi des Brachiopodes. Nous remarquons principalement Cerat. Thiiilleri Oppel, C. cf. tiinodosiis Mojs., C. Kavera DieCeratites, cet tage contient

ner, C.

tnincus

et onustiis

Oppel, C. (HoJlandites) Voiti Oppel, C. (H.)


D., C. (H.) Vyasa D.
; ;

Ravana Diener,
nikofi

C. (//.)

Dungara

Beyrichites Kha;

Oppel

Sibirites cf.

Prahlada D.
;

Proteites indiens n. sp.

Acro;

enode Hauer A. cf. Balarama T>., A. cf. Haiieri v. Arth. Isciilites Middlemissi n. sp. Smithoceras Hermin n. sp. Ptychites Barclayi, Bruckneri, Cunninghami, nn. sp. Gymnites Jollyaniis Oppel Buddhaites Rama Dien. Mojsvaroceras Kag D., Grypoceras Vihianiim n. sp., Paranautilus Kashmiriciis n. sp. Orthoceras campanile
chordiceras
cf.
;
;
;

Mojs.

n'y a que cinq Gastropodes, trois seulement figurs auraient certai-

nement pu recevoir des noms spcifiques, car ils ne sont pas en mauvais tat, notamment Eiiomphaliis sp. qui est un Phymatifer bien caractris,

Scurria sp. peu prs

lisse,

sommet
aff.

trs excentr.
et

Les Plcypodes sont plus nombreux, trs mal conservs,

cependant,

en majeure partie, identifis


terne; PZeu?'op/i07-us
aff.

Myophoria

Iscvigata Zieten,

moule

in-

Curionii Hauer, fragment; Arcoptera indica n. sp.,


aff.

moule interne

Perna

vetiista Goldf.
;

moule

charnire

non

visible
est

Aviciila pastannahensis n. sp.

Lima

aff.

subpunctata d'Orb., qui

un

Plagiostoma rappelant beaucoup l'espce dcrite par M. Mansuy, dans


son Mmoire sur
la

Gologie
;

et la

Palontologie de l'Indo-Chine

Mysi-

dioptera eximia n. sp.

Pecten

sp.
;

qui aurait t dterminable avec quel-

plutt

Anomia triadica n. sp., ne serait-ce pas un Brachiopode sommet excentr, mais non marginal comme celui des vraies Anomies ? Anodontophora paiarkulensis n. sp., un peu mieux conserve que les autres chantillons. Enfin, six Brachiopodes terminent cette numration de la faune du
ques recherches bibliographiques
Muschelkalk, entr 'autres
:

Spiriferina Stracheyi Salter,

Dielasma hima-

layense Bittn. em., Rhynchonella trinodosa Bittn., R. Laurana n. sp.

Trias super.

Outre

les

fragments de Cphalopodes indterminables,

l'auteur cite et figure des Plcypodes et Brachiopodes,

parmi lesquels nous remarquons beaucoup de Myophoria, Hrnesia Bhavani n. sp., Chlamys Middlemissi n. sp., BielasmSi julicum Bittn., Rhynch. trinodosa
var, Freshfieldi Diener,


En rsum,
Spiti
les

io5

sont peu importantes,

diffrences de cette faune avec celle des couches de sauf une prpondrance des Gymnites et

Baddhaites par rapport aux Ptychites, dans le Muschelkalk. Les affinits des couches suprieures avec l'tage norique ou rhtique sont plus contestables

M. C.

Yorkshire type Ammonites, pari XII

et XIII,

by Buckman

(i).

On
res,

diagnose d'un certain nombre de Genavec l'indication de leurs gnotypes, rsultat de recherches longues,
la

trouvera dans ces livraisons

mais

utiles.

Echioceras Bayle.

G.-T

E. rarecostatoides Vadasz (nom, mut: pro

E. rarecostatum Bayle,

finitimus Bean A. proceriis Seebach (Siemiradzki). Zigzagiceras Buckman. G.-T. A zigzag d'Orb. Haugia Buckman. G.-T. A d'Orh. Denckmannia Buckman. G.-T. D. tiimefacta Buchman. Peloceras Hyatt. G.-T. attenuatum Hyatt. Phymatoceras Hyatt. G.-T. Ph. robiistiim Hyatt. Hildoceras Hyatt. G.-T. .A. bifrons Bruguire. Bredya Buckman (nom. mut. pro Burtonia Buckman, premploy). G.-T. B. crassornata Buckman.
Parechioceras
S.
:

non Zieten). Buckman. G.-T.

.4.

Procerites Siemiradski.
S.

(Blake).

G.-T.

S.

variabilis

'

S.

S.

P.

S.

S.

S.

L'auteur cre des espces nouvelles par


cite toutes les espces dcrites

dmembrement d'anciennes

il

parce qu'il peut tre intressant de savoir


discutes avec soin et la prci-

dans quel Genre

elles

sont ranges.
et
le

Les espces sont figures, dcrites


sion habituels l'auteur.

Porpoceras verticosum

comme
d'Orb.,

l'indique
'je

(= Amm. vorticellus Simpson pro parte, si Buckman, cette forme est identique A. subarmatus ne vois pas la ncessit de crer pour elle un nom nouveau)
;

Uptonia obsoleta Simpson, Elegantuliceras elegantuhim Y.


son, Tiltoniceras costatum S.

et B.,

Deroceras

sinuatum. Simpson, Deroceras sociale Simpson, Echioceras surcolum Simp-

Buckman

Phlycticeras hyperbolicum Lec-

kenby, Peltoceras subtenue Bean, Parechioceras finitimum (Bean) Blake,

neglectum Simpson. Tout en rendant hommage au soin minutieux avec lequel ce travail de revision des Ammonites du Yorkshire est men par M. Buckman,.
Par.
je

ne puis

m 'empcher

d'exprimer

le

regret de voir multiplier ainsi

(i)

Londres,W. Wesley,

igi/i.

Part XII, pp. IX, X, 8 PI. et descr. n gi 97. Part XIII,

9 PI. et desc. n* 98-ioa.

io6

l'excs les noms de Genres dans ceux qui sont cits ici, il y en a quelquesuns que des palontologistes, mme exercs, mais non rigoureusement spcialiss dans ce groupe de Cphalopodes, verront pour la premire fois. Il faudra que les palontologistes reviennent la notion de grands Genres, s'ils ne veulent pas sombrer dans l'impuissance et dans l'isolement.
P. L.

The pliocne
Il

Molliisca

oi"

fJreat Britain,

by F.-W. Hamier

(i).

y a soixante ans qu'a t publie la classique Monographie des Mollusques du Crag d'Angleterre, par S. Wood. Or, beaucoup de matriaux

ont t recueillis depuis cette poque dj ancienne, notamment au village de Little Oakley, prs Harwich beaucoup de publications rcentes
;

ont paru sur les formes nogniques et sur les coquilles des mers du Nord il y en a mme encore en cours que l'auteur n'a pas eues entre les mains, telles que la Conchologie nognique de l'Aquitaine on
:

conoit donc que l'uvre de


prise par M.

Wood

appelle une revision complte, entrequ'il la

Harmer

et

nous esprons
il

mnera rapidement

bien.

Dans

l'introduction,

commence par
:

rappeler les horizons proposs

par lui en 1899, dans

Pliocne Icnien (= Crag de Norwich), But(= Crag rouge, Amstlien), Waltonien (= Crag rouge, Scaldisien), Boytonien et Gedgravien (= Coralline Crag, Casterlien Isocardia cor) enfin, dans le Pliocne ancien, Lenhamien (= Diesle

leyen et Nev\^bournien

tien)

Cette premire partie


et celle

comprend

l'tude des Gastropodes sous-marins

des Gastropodes marins, depuis les Trivia jusqu'aux Sipho. Nous


ici les

signalerons seulement
gre cette rvision.

remarques

les plus saillantes

que nous sug-

Parmi
espces

les

premiers, qui sont assez nombreux,


plus les quelques

il

n'y a gure que des


dcrites

actuelles,
et

formes

rcemment

par

MM. Kennard

Woodward.

Les Mollusques marins contiennent davantage de nouveauts, princi-, paiement des varits de race dj connues et quelques innovations gnriques. Les fossiles ont t, en majeure partie, figurs sur des Planches

phototypes d'aprs des dessins trs soigns.


Ancilln Nysti nov. sp.
(PI.

XII,

Oakley, car

la fig.

33 reprsente

fig. 82 seulement), du Crag de Little! un spcimen du Miocne de la Hollande

qui est certainement d'un groupe diffrent d'Ancillide (voir l'ouverture)


et

par consquent, ce ne peut tre


;

la

mme

espce, ni

mme

une mutation
adresse

ancestrale

j'avais dj

exprim

cette

opinion dans une


p. 1-200, PI.

lettre

(1)

Londres 1914.

Palseontogr.

Soc. 1918. Part.

I,

I-XXIV.


l'auteur qui m'avait

I07

le

communiqu
il

des dessins de ses coquilles sous


var.
:

nom
S.

inexact A.
le

obsoleta.

Dans

G.

Terebra,

y a

deux

costata,
c'est

Wood,

l'autre

pour

T.

incurva Nyst

l'une pour T. canalis une mthode dfectueuse,

car si, ultrieurement, ces varits se transforment en espces, il y aura ncessairement un double emploi de Nomenclature. Signalons entr 'autres Cassidaria bicatenata Sov^. var. Canhami Bell,
:

de nombreuses var. de Nassa reticosa Sow^. A^. semireticosa Ether. et Bell, N. Kermodei Kendall, Nassa cf. limatula DoUf. Dautz., N. Dautzenbergi n. sp., N. Dollfusi n. sp., N. veniista, N. Woodwai-di nn. sp.,
;

N. Kennardi, N. piimila nn. sp.

et

l,

on trouve bien quelques abus


varits sont d'une

d'espces, mais l'ensemble est minutieusement tri.

Quant

Biicc.

undatum,

les

nombreuses

dlimici-

tation trs ardue, elles passent successivement B.

groenlandicum,

tiatum, tenue, angulosum, Donovani, variabile

il

y a une abondance de

formes

telle
!

sement

dans ce Crag que cela dconcerte toutes les tentatives de clasLiomesus canaliculatus Dali (Buccinopsis) est beaucoup plus

restreint.

Nous trouvons chez Purpura lapillus la var. derivata Harmr, puis un fragment de Stenomphalus qui parat plus troit que S. Wiechmanni von Knen, du Miocne de l'Allemagne du Nord. Dans le Genre Eutritonium (que l'auteur dnomme Triton (i), appellation suranne), on remarque seulement E. heptagonum Brocchi, et E. Woodi n. sp. le G. Murex est encore plus pauvre (M. rudis Borson), Ocenebra erinacea [L.] et deux var. nouvelles d'O. tortuosa Sow. Urosalpinx cinereum Say quelques Trophon et en particulier, T. Lamplughi
l'auteur cite et figure
; ; ;

n. sp.

Meyeria alba
S.

[Jeffreys]

puis le nouv. G. Searlesia, dont

le

gno-

type est T. costifer


ses ctes
c'est

Wood

spar avec raison de Trophon, cause de

non tranchantes, ce n'est pas davantage un Ghrysodomus, mais une coquille plus voisine de Buccinofusus quoique encore distincte par son ornementation et son canal moins arqu. En tous cas, c'est un fossile extrmement variable, la suite duquel M. Harmer a encore spar
,

S. S.

Bjrnsoni, S. Ravui,

S.

Oyeni, S. Lundgreni, S. Harrisoni,


nn. sp.
,

S.

elegans,

proxima,

S.

Nordmanni

Parasipho Kryeri [MUer]


sentent deux Genres crs par

Anamalosipho Verki'Uzeni [Kobelt]


et

repr-

MM. Dautzenberg

Fischer dans
;

la

Mono-

M. Harmer y graphie conchol. des campagnes du Prince de Monaco par Fusus reprsent ajoute A. Belli n. sp. Le Genre Beringius Dali est
Turtoni Beau.
Enfin, Neptunea et Sipho, trs richement reprsents, terminent cette
(i) V.

Revue

Crit.

Paloz.

190/1, Essais

Pal. comp., 1906, livr. VII, p. 206.

importante livraison
enregistrer

outre quelques nouvelles varits, nous ne trouvons que Neptunea ignota, Sipho minimus, S. exiguus, S. elegans
:

nn. sp.

En rsum, l'uvre de M. Harmer


des formes
si
;

constitue

un prcieux

rpertoire

intressantes de ce Crag trs riche en certains groupes de

Siphonostomes les Holostomes et les Plcypodes sont beaucoup moins nombreux, de sorte que l'auteur a comm'enc par la partie la plus difficile

du

travail entrepris par lui, et

il

s'en est tir avec


si

beaucoup
le

d'ha-i

bilet, laissant

au lecteur

le

soin de dcider

ces

nombreux
;

types diff-

rent ou se ressemblent assez pour tre ou n'tre pas spars

nombre

des figures n'a pas t pargn, c'est exactement

comme

s'il

mettait sous

nos yeux toutes

les collections

qu'il a eues tudier.

L'impatience avec laquelle


cette belle publication

les

palontologistes attendent la suite de

prouve amplement l'intrt qu'ils y attachent. M. C.

ECHINODERMES
par M.
J.

LAMBERT.

Noies on an
Bassler
(i).

imusnally

jfiiie

slaJj

ossil

Crinoids,
et

by R.

S.

Il

s'agit de la description

d'une superbe plaque sur laquelle

sont couchs

un grand nombre de dbris de Crinodes

au moins

six

individus complets de Scyphocrinus.

Cultrijiigaluszone

und unleres miltelde\on

siidlich der Altendorn-

Elsper Doppelmiilde, \oii


d'abord
puis
la

W.

E. Schmidl

(3).

Dans

cette Note, con-

sacre l'tude tant des Crinodes que des Brachiopodes, l'auteur tudie

place et les caractres paloi)tologiqu'es des zones Spirifer

cultiiiiigatus
il

du Dvonien

infrieur et Orthocrinus

du Dvonien moyen,
le

dcrit le singulier Calycanthocrinus inquidactylus, bras forms


calice est seul

de btonnets cylindriques, Myrtillocrinus curtus, dont

connu^;
ornatus
JTekel,

il

cre le
P.

Genre Plalyliexacrhiiis, reprsent par deux espces,


;

"et

inornatus

enfin,

il

tablit,

ct de Orthocrinus simplex
tiiberculatiis.

une cinquime espce nouvelle, 0.


igiS.

(1)

Washington,

(2) Berlin, igiS.

Tn-S",
5/i

3 p., 2
11

PL, Ext. Proceed.


2

U. S. Nat.

Mus. Vol.

A6, p. 67.

In-8,

p.,

fig.,

PI.

Ext. Jahrb. Knigl. Preiissisch. Geol. Lan-

desanst. Bd. 33, T. Il, H. 2, p. 265.

F. A. Balher
(i).

log

Noie on Meiociimis, by
et

The Trenlon Crinoid, OUavvacnnus.

Avec
la

la

prcision et les dtails qui caractrisent les

travaux de l'auteur,
discute
le

premire Note donne une description dtaille


et le

caractre de l'holotype OUawacriiiiis typus. La deuxime Note

donne

la

diagnose du Genre Memci'hius

compare avec

le

prcdent.

The fossil Criiioids reierred lo Hvpocriiiiis, by F. A. Balher (a). Le Genre tudi dpend du Sous-Ordre Cyothocrinaidea et de la Famille Gasterocomidiv Une nouvelle diagnose du Genre Hyprocrinus est don.

ne
est

gnotype H. Schcklcri, du Permien de Timor. Une seconde espce H. piriformis Rothpletz.


:

Brilish iossil Crinoids


roiis,

by

F. A. Ballier

(3).

X. Sycocrinus Aiislin, Le genre Sycocrinus

Lower
;

carboniie-

a poiir type S.

anapep:

tanienus Austin, trs voisin de Hyprocrinus piriformis


clausus.
crinus.

autres espces

S.

Quant

S.

Jacksoni, c'est probablement

un jeune Symhatho-

L'auteur

Homocriniis Hall, by Edwin Kirk (4), Genre Homocrinus le type d'une nouvelle Famille Homoci'inid. Il dcrit le type du Genre H. parvus Hall, et le compare aux formes voisines. Quant aux H. tenuis Bather et
Notes on
Iossil

Ciinoid

geiiiis

croit devoir faire de l'ancien

H. scoparius Hall, bras trs ramifis,

ils

sont rejets dans


tre le type.

le

Genre,

nouveau Lasicocrbiiis, dont l'espce de Hall parat

Chapler on Asleiozoa revised, by D' H.


roidea passent, cette
fois,

Lyman

Clark

(5).

Les AsteCrypto-

avant

les

Ophiuroidea
les

et les

Sous-Classes sont
et

supprimes. La Classe est divise en deux Ordres Phanerozonia


zonia.

Le premier de ces Ordres comprend


, ,

Familles Palxasteyid

A spidosorriatidiv Tfcniasteridfc, Goniasteridse, Oreasterid comprend que quelques Genres simplement numrs. LysophiiiPour les Ophiuroidea; les noms des Ordres sont changs roida est substitu EuryalcT, Cladophiuroidea Ophiurepc et ZygoAstropectinidsc
et

SphrasteridcV. Le deuxime Ordre ne

pliinroidea Eophiure.

(i) Victoria, igiS. (2) (3)

Londres, igiS. Londres, igii.

In-8, In-8. In-8,

i5 p.,

PI. Ext.
i

n 1, Yict.

memor. Musum.

19 p., 3 fig.,
12 p.,
i

Ext. Proceed. Zoal. of London, 1918, p. 89/1. PI. Ext. Ann. and. Magaz. Nat. Hist. Sr. Vin.VoL i3,

PL

p. 2l5.
(/,)

Washington,

191/1.

(5)

Londres, 1913.

In-8% ln-8, 16

10 p.,

PL

Ext. Proceed. U. S. Nat. Mus.,

VoL

/16,

p. ^173.

p., fig. Zittel-Eastman's

Palontol. (nouvelle dition).

IIO
of tlie Brilisli Paleozoic Asterozoa, by W. K. SpenCe premier fascicule comprend seulement l'Introduction. L'auteur y expose son plan, discute la position des Asterozoa parmi les Echinodennata puis il est amen envisager la question toujours inso-

A Monograph
(i).

cer

luble des origines et se borne rappeler l'hypothse de l'Astrie fixe. Cette hypothse, sans base relle, est plutt un simple jeu d'imagination
et

chappe

la

discussion scientifique. L'auteur ne pouvait videmment

se dispenser de la

mentionner. Mais l'hypothse de l'Astrie


:

fixe repose,

une ide fausse l'identit originaire de V Asterozoa et du Pelmatozoa. L'Astrie ne descend pas plus du Crinode que l'Oursin ne descend de l'Astrie. Et, supposer pour tous trois un anctre commun, rien ne permet d'affirmer que ce type primitif ait t pdoncule. Il serait facile de dmontrer la plus grande probabilit du contraire. L'auteur commence par analyser avec grand soin les diverses parties de l'Astrie et de l'Ophiure chez quelques formes actuelles puis il passe l'examen de leur structure chez les formes palozoques, entrant incidemment dans d'intressants dtails sur les bras des Aspidosoma Grayx et Lapivorthura Miltoni. Il tudie ensuite le cadre buccal et les homologies prsentes- par cet organe chez les Astries et les Ophiures. Il examine leur tour les osselets accessoires du disque et le Madrporide mais je ne puis entrer ici dans les dtails de cette intressante partie de l'ouvrage pour lequel les figures sont indispensables la pleine intelligence du texte. M. Spencer passe en revue les diverses classifications jusqu'ici proposes pour s'arrter celle de Shndorf. Un index bibliographique termine cette Introduction, dont la clart, l'ingniosit des vues tl^o
avis, sur
; ;

mon

riques, l'interprtation rationnelle des faits observs, prouvent la science

profonde de l'auteur

et

nous font vivement dsirer de connatre


est indiscutable.

la

suite

d'un ouvrage dont

la

haute valeur scientifique


(1er

ringen, von Fr. Schndorf

Trias von Oberschlesien und ThnL'auteur dcrit dans cette Note Ophioderma squamosimii E. Picard il en prcise les caractres et en spare les Aspidura coronformis E. Picard etAcroiira armata E. Picard

Ueber einige Ophiuren ans

(2).

The

anterior

ambnlacrnm

of

Echinocardhim cordatnm and the


(3).

Origin of Componnd plaies in Echinoids, l\y H. L. Hawkins La premire partie de la Note est spciale un Echinide actuel.
(0 Londres,
H.
2,

191Z1.

(2) Berlin, igiS.


p. 2i5.

In-4,
In-8,

17 p.,

56 p., 3i fig., i PI. Mem. Paleontograph. Soc. 1918. t\ fig. Ext. Jahrb. Konigl. Pi'cuss. Geol. Land. Bd. 33,

t.

2,

(3)

Londres, 1913.

ln-8, i3 p. 3 fig.,

PL

Ext. Proceed. Zool. Soc. London, 1913, p. 169.

m
rgle souffre cependant

Dans la seconde partie, l'auteur pose en principe que les plaques composes se trouvent chez tous les Echinides, les Cidaroida excepts. La
des exceptions, puisque des Cidaroida comme Paracidaris possdent des plaques composes, tandis que des Stereosomata, comme Eodiadema et Prototiara, n'en ont pas.

L'auteur remarque que chez Pygaster,


la face orale.
Il

les

majeures sont localises

en

est

de

mme

des tubercules, bien dvelopps en des-

sous,

Cette observation n'infirme donc pas, pense l'auteur, mais tend plutt confirmer le rle des tubercules dans la formation des majeures.

granuliformes en dessus.
le

comme

Chez Clypeasier,

la

primaires, alternant,

partie ptalode de l'ambulacre est compose de non avec des demi-plaques, mais avec de simples
le

plaquettes porifres externes. L'auteur voit dans cette disposition


sultat

r-

d'une compression. C'est une opinion. Je ne comprends pas quel argument on peut tirer de cette disposition spciale et diffrente de ce
qui existe chez les Endocysta.

Uebcr

die

callmcnelillche

EnlvAickluiig

der

\ercshiedeiien
bei

diffe-

und der Fasciolen tangoiden, von Bruno Hoffmann (i). Dans


renlzierteii Stachelgriippen

den

fossilen Spa-

ce Travail trs intres-

sant et que je regrette de ne pouvoir plus compltement analyser, l'auteur tudie les caractres des tubercules et la disposition des radioles

chez un grand
Spatangidss.
plutt
Il

nombre de Genres
range dans
la

des Familles des Ananchytidae et des


les

premire
Il

Collyrites
et

que
le

je

considre

comme

des Cassidiiloida.

dcrit

figure

fasciole

encore

imparfait d'Echinocorys viilgaris et aussi celui d'un Holaster, rapport


H. planiis.

Mais ce dernier

est

compltement dpourvu de
radiales
se

fasciole et

l'individu figur est probablement Cardiaster Peroni.

L'auteur montre
la

comment

les

coucheraient sur
ils

le

test,

pointe tourne vers


les

le fasciole.

En

gnral,

me

semblent plutt

se

coucher vers

ptales

qu'ils

semblent venir protger.


et

Ce Travail de M. Hoffmann, en appelant davantage l'attention sur


l'importance de
la

disposition des tubercules

des radioles chez les


et
il

Spantangides, rend un prcieux service aux tudes chinologiques


sables pour la complte connaissance d'un Spatangoida.

devra servir de point de dpart des recherches ultrieures indispen-

Rozsahegy
Bla
(2).

Le

krngknek
titre

'

Foldlani

viszenyairol,

vila
:

Dornyay
Descrip-

de cet ouvrage hongrois peut se traduire

(i) Berlin, 1918.

(2)

Budapest^ igiS.

In-8, 50 ln-8;

p., 2 PI., Ext.

Palxont. Zeitschr. Bd.

i,

p. 21G.

5i

p.,

!>

PI.

tion gologique des environs de Rorsahegy. Sa premire partie, largement


illustre, est sm-tout stratigraphique.

tamment un

Le Trias a fourni divers fossiles, noradiole figur de Cidaris dorsata Munster et des fragments

de tige d'Enciinus cassianus.


Trois Conoclypiis sont cits dans l'Eocne moyen, notamment une espce nouvelle, C. hungaricus, grand Oursin dont le type un peu dform
devait tre subhmisphrique, mais qui, d'aprs son pristome, n'appartient pas

au Genre
il

et doit tre report

parmi

les

Echinolampas o, avec

quelques autres,

constitue une Section particulire caractrise par ses

longs ambulacres droits, ouverts, prolongs jusqu' l'ambitus, par son pristome subpentagonal, tranverse, trs faible sillons et bourrelets attnus. Le type de cette Section serait E. africanus et l'on pourrait lui donner le nom de LibyoLimpas en raison de son beau dveloppement

en Egypte, Tunisie,

etc.

Les Echinides de l'Eocne suprieur semblent assez nombreux, mais


la

plupart ne sont que rapprochs d'Espces connues.

Nouvelles observations sur les Echinides de la Savoie, par F. DLambert et J. Rvil (i). Ce Travail est surtout consacr l'tude des Echinides de Saint-Jean-de-Couz, o l'auteur signale vingt espces encore non rencontres dans ce gisement, notamment Phymosoma tiara, Cardiaster transversiis, Hemiaster prunella du Snonien, Rhabdocidaris tuberosa du Valengien, Cidaris Lardyi, C. problematica, Pseudodiadema carthiisianum Orthopsis Repelini, Salenia Grasi du Barrmien et de l'Aptien. Les Espces nouvelles sont Psammechiniis Revili, Pygaulus Rolletti, P. couzensis Dmoly et Lambert Trematopygus Demolyi Lambert, du mme terrain. Le travail se termine par ma Note sur Asterohrissiis Fourtaui Lambert, type du Genre non Echinohrissiis Requieni, mais cet E. Reqiiieni de
nioly, avec la coopration de J.

et de Pomel tait diffrent du type de Desor, figur par d'Orbigny dans la Palontologie franaise (pi. 968, fig. 8,10) et qui appartient au Calcaire marneux de Saint-Pierre, prs les Martigues. Pomel et Gauthier avaient confondu avec cette espce une forme plus renfle, plus carre, de Berrias, des Calcaires crayeux des Martigues, retrouve en Savoie, Berland. C'est cette forme, type du Genre Asterobiissus, que je viens de donner le nom d'/l. Fourtaui. Je fais remarquer incidemment

Gauthier

que le type de Phyllobrissus Nicoleti Agassiz (Nucleolites) est diffrent! d'Echinobrissus Nicoleti d'Orbigny (Pal, fr., pi. 956, fig. 1,6) et je donne
ce dernier le

nom

Phyllobrissus

latiflos.

Cette Note a

malheureusement

t publie sans

que

les

preuves m'aient
anne 1912.

(i)

Ghambry,

igiS.

In-8% 33

p..

PL

Ext. Bull. Soc. Hisl. Nat. Savoie,

ii3

soumises et elle est remplie de fautes typographiques. Les noms de Genre et espce y ont t sabots, ainsi Fourtani pour Fourtaui, rtif ensis pour setifensis, Oclopygus pour Oolopygus, etc.

Echinides aptiens d'Egypte

et

sieurs des espces dcrites taient dj connues,

de Syrie, par R. Fourtau (i). Plumais l'auteur donne de

nouveaux

et intressants dtails

sur Pseudocidaris doiiarensis, Pseudodia-

dema

libanoticum, Salenia Fraasi, Goniopygussyriacus, oubli l'expli-

cation de la planche,
orientalis,

Holectypus rnacropygus

et

une varit nouvelle,

de Piotoxaster Collegnoi.

Description de quelques Ecliinides nouveaux de la Craie, par Dom Je remercie l'auteur d'avoir bien voulu insrer dans son intressant Travail quelques pages rdiges par moi, mais dont
.A.urlien Valette (3).

les figures

sont dues son habile crayon.

Dom
et

Valette nous fait connatre

du

Coniacien de Sens
;

une rare
longi-

curieuse espce nouvelle, Infulaster tuherculatuS

puis

il

passe l'tude

des radioles des Cidaridae de la Craie,

notamment de Dorocidaris

spinosa, D. granulostriata, Stereocidaris Merceyi, S. Lamberti, voisins


S.

du
;

mais en diffrant par les stries qui sparent les granules Cidaris filamentosa Desor {non Agassiz) n'en est probablement qu'un sysceptrifera,

nonyme. Les autres espces


hirudo,
T.
S.

figures sont Stereocidaris Lallieri, S. pseudo-

Hurex
T.

(ddi M"" Hure), Typocidaris serrata, T. prhiriido,

hiriido,

pseudosceptrijera,

Tylocidaris

clavigera,

Phymosoma
facile dter-

pseiido-Maresi. L'Ouvrage de

Dom

Valette,

en permettant une

mination de tous ces radioles, assez frquents dans la Craie, rend un vrai service aux gologues. Je me permets cependant d'lever moins une criti-

que qu'un doute au sujet de Typocidaris serrata. Celui qui est dcrit me semble diffrent du type de Meudon. L'erreur doit d'ailleurs tre impute Gauthier, qui a dcrit son Cidaris serrata, de Michery, comme dpourvu
de fossettes ce qui m'avait dcid faire de cet individu un Phalacrocidaris. En ralit, ce type, que j'ai sous les yeux, est un Typocidaris et

(non Desor) doit reprendre le nom T. senonensis. Les espces que j 'ai personnellement tudies sont un Holasteridse non fasciol et pores ronds, microscopiques, souvent invisibles, pour lequel je propose le Genre Leiocorys. L'espce dcrite L. Valettei, est du TuroT. serrata Valette

nien suprieur. Quelques autres, du Coniacien


taient en trop mauvais tat pour recevoir

et du Campanien de Sens, un nom. Je replace le trs rare

(0 Le
(2)

Caire, 1873.

Auxerre, igiS.

In-8% 16 p., i PI. Ext. Bail. Inst. Egypt. Sr. 5, A^ol. 7, p. 42. In-8% i6 p., 18 flg. Ext. Bull. S. Se. hist. et nat. Yonne, 1" semes-

tre igiS.


Holaster icaunensis Cotteau dans

II4

mon Genre Sternotaxis. Je dcris, du Turonien de Dracy, un Cardiaster iaouveau (C. Thomasi), puis je signale la dcouverte, par M. H. Thomas d'un C. Cotteaui dans le Turonien, d'un C. gramilosiis dans le Campanien, et je rattache l'ancien C. granulosiis Cotteau (non Goldfuss) C. ivqiiituberciilatus. Je rapporte enfin Holaster
trecensis Leymerie,

et,

ayant retrouv dans


74, fig. 2)

(pi.

un individu jadis figur par Gauthier comme nouveau; le Cnomanien de Rouen H. trecensis. Wright (non Leymerie), je donne cette espce anglo-normande,
.

trs diffrente

de celle de l'Aube,

le

nom

H. Gregoryi.

Sopra

alciini

Echinidi del Crelaceo siiperiore dlia Tripolitana, per

G. Checchia Rispoli

(i). Les espces dcrites sont un Leiocidaris indtermin, trois espces de Krumbeck, Holectypiis Nachtigali, Pseudocato-

pygus Rohifsi, Botriopygus tripoUtaniis, et trois espces nouvelles Pseudocatopygus Saufdippoi, Globator Lamberti et Hemiaster SanfiUppoi. L'tude de ces espces permet de mettre en doute la valeur du Genre' Pseudocato* pygus Gauthier.

Les espces nouvelles dcrites dans


;

Noie sur

les

Echinides fossiles de l'Egypte


cette

\, par R. Foiirlaii (2). Note sont pour le Snonien,


:

Trematopygus ivgyptianiis, Echinobrissus Barthouxi, caractres de CJypeopygus pour le Miocne, Radiobrissiis genefjensis cr pour un individu mutil et cependant type d'un Genre nouveau, trs voisin de Brissus, mais en diffrant par son cusson sous-anal radi et son fasciole priptale moins coud. Cette cration est pour l'auteur une occasion de placer dans des Genres nouveaux divers Metalia il cre Melaliopsis pour Metalia maculosn vivant et Melllia pour Metalia nieiitensis Grgory. La validit de ces Genres dpend de l'importance physiologique des radiations de l'cusson sous-anal. Or, cette importance ne parat gure dpasser celle d'un carac:

tre spcifique. Les pores des tentacules ventouse existent chez tous les

Prymnodermes
ornatiis,

les

radiations sont trs variables, nulles

ou presques nulles

chez certains Brissoides, elles existent bien nettes chez d'autres,

comme

B.

en sorte qu'il n'y a pas de relle diffrence entre Melitia et Brissoides. En ce qui concerne l'interprtation de la description du type meliwell marked se rapporte aux pores et qu'il tensis, il est certain que
((

n'est pas question de radiations.

Noie sur
,1.

Lamberl

(3).

quelques espces anciennes du Genre Clypeaster, par Etudiant la question des origines du Genre Clypeaster

(i) (2) (3)

Palerme, 191/i. Le Caire, igiS. Lyon, 191/1.

In-4, 12 p.,

i
i

PI. Ext. Giornale di Se. nat. ed


PI. Ext. Bull.
Iiist.

Econom. Vol.

3o.

In-8% 10 p.,
i

In-8, 18 p.,

tabl. 3 fig.

Egypt. Sr. 5, Vol. 7, p. 62. Ext. Ann. Soc. Linn. Lyon, Vol. 61, p. u.


dans
je et
le

ii5

but d'en mieux comprendre

me

suis attach

de celles

les innombrables espces miocniques, l'examen des formes trs rares de l'Eocne suprieur mieux connues de l'Oligocne. Je rtablis dans la Mthode C.
;

profiindiis Agassiz,

du Priabonien, oubli depuis i84o je complte la diagnose de Biarritzella marbellensis Boussac, de l'Auversien, et je fais connatre une belle espce de l'Auversien de Provence, C. Boussaci. Jej
reprends l'tude de C. priscus Oppenheim, du Priabonien du Vicentin,
et

j'en spare

une forme diffrente du Priabonien de Provence,

C. Sayni. Disle

cutant les diverses Espces de l'Oligocne, je rapporte C. projundus

prtendu C. Breunigi Fabiani (non, Laube), du Priabonien de San Vito di Brendola celui diffrent de Lonigo devient mon C. Fabianii, et celui' encore diffrent d'Egypte, mon C. Fourtaiii. Je rappelle qu'Airaghi ayant,
;

en 1899, interprt l'indterminable C. pentagonalis Michelotti,

il

n'tait
;

plus possible de l'interprter diffremment et sans motifs en 1901

je

runis donc C. pentagonalis kirghi, 1901 (non 1899) C. hianitzensis avec C. taramellii Airaghi et C. laganoides Airaghi (non Agassiz).

Aprs l'Etude de 28 espces,


le

je

propose l'tablissement de Sections dans

Genre Clypeaster

et

en dehors de celles prtablies


(type C. Breunigi Laube).

comme

Biarritzella,

Paleanthus,
cus) et

etc., je cre les

Sous-Genres Guebhardanthiis (type C. pris-

Laubeanthus

Un

tableau final rsume

mes

observations sur la dure et les rapports des diverses Sections.

Niiove specie di Clypeasler Miocenici Sarcli, del

D**

Lovisato

(i).

Aprs quelques considrations gnrales, l'auteur discute longuement certains Bunactis et n'tablit pas moins de sept espces nouvelles, toutes de Sardaigne, quelques-unes malheureusement sur des dbris qui ne
permettent pas d'en apprcier tous
les caractres.

du

formes que j'aurais hsit sparer un peu moins ouverts, mais dj ceux de Corse ont leurs ptales moins ouverts que ceux de la Drme. C. Manarai n'est connu que par un dbris. C. Mamelii est
C. Cairolii et C. Benedettei sont des C. intermedius. Sans doute, leurs ptales sont

tellement us et fruste qu'on ne peut en apprcier correctement les caractres. C.

Avezanai ne peut gure tre compar C. Scill


et ses

il

est plutt

voisin de G. Lovisatoi Cotteau (non Seguenza). Ses ptales semblent toutefois

un peu plus longs

bords moins pais. C. Riparii

est

un

petit

Bu-

nactis qui parat bien distinct de C. Scill. et sans rapports avec C. crassi-

que M. Lovisato ne comprend videmment pas comme moi. Par contre, C. Fahrizii ne me semble pas pouvoir tre distingu de C. ventiensis Tournour.
costatus,

(1)

Rome,

igiS.

In-8, io p., 2 PI. Ext. Boll. Soc. Geol. liai.. Vol. Sa, p. /ioi.

Cette Note
Note sur
le
est

ii6

M. de Serres, par J. Lambert (i). une courte rponse celle de M. Cottreau, qui attribuait l'espce au Langhien de Barri. Mon savant confrre a d'ailleurs, luira me abandonn cette opinion et il attribue le type de Clypeaster scutellatiis M. de Serres, non plus au Langhien de Vaucluse, mais celui de
Scutella gibbercula
Barcelone.

Description des Ecliinides des terrains nognes du bassin du fase. III, par J. Lambert (2). Ce fascicule contient la fin des Clypastres, un Echinoneidec et les Cassiduloida.

Rhne,

Aprs une tude de Clypeaster intermedius,

je fais figurer le vritable

confondu par les auteurs avec G. Scilla'. J'tablis C. Giiebhardi pour le second C. melitensis de Michelin, et C. Gregoryi pour une forme voisine du C. intermedius, mais face ovale largement concave, C. CoUoti pour une petite espce, parfois runie C. foliiim gassiz, ou C. Lovisatoi Cotteau. Je dcris et figure nouveau C. Beaumonti Sismonda du Langhien, qu'Airaghi ne
sparait pas d'une

crassicostatus Sismonda, trop souvent

Forme

toute

diffrente

du Tongrien.

Je

spare C.
ventiensis
;

Gohyi de
nant sur
les
le

C.

laganoides Agassiz, et
si

mon

C.

floreaUs de C.

puis je discute C. Michelottii,


la

mal compris par


le

certains auteurs. Reve-

division

du Genre Clypeaster en

formes plates, sans infundibulum, type est mon C. microstoma.

Sections, je propose pour Sous-Genre Coronanthus, dont

Je cherche tablir les caractres propres de Pleuropygiis Collombi

Desor, trop souvent confondu avec P. grignonensis du Luttien. J'indique

que Phaleropygus Oppenheimi de Loriol, Tristomanthus Meslei Gauthier.


sorte

serait

un simple synonyme de

Un examen du
la

m'a permis de constater chez lui que le Genre MiUetia tombe dans

gnotype des Pliolampas l'absence du quatrime pore gnital, en

synonymie de Pliolampas.

Je

rtablis Heteroclypeus Liic Desor,


clypii^

rellement bien distinct de Hypso-

plagiosomus Agassiz. Le nombre des individus d'Echinolampas m'a permis de mieux prciser leurs caractres spcifiques. Peuttre cependant serait-il plus sage de runir mon E. driiyensis E. scutiformis, mais E. angulatiis Mrian, plus dprim, subrostr, ptales plus troits et pores moins ingaux, m'a paru constituer une espce
tudis
et E. parmiilarius du Torune nouvelle Section Psammolampas, caractrise par l'espacemnet de ses tubercules. Les variations de VEchinolampas hemisphspricus, dont je fais figurer le type, m'ont paru considrables

distincte.

Ces espces, avec quelques autres

tonien,

constituent

(i) Paris, igiS.

(2)

Genve, igiS.

ln-h,

In-8%

3 p.

Ext. Bull. S. G. F. (/,'), Vol. i3, p. i/i8. AG p., 3 PI. Ext. Mein. Soc. palont. Suisse, Vol. Sg.


et j'ai

117

cru devoir distinguer ct plusieurs varits


tre l'une d'elles.
J'ai

E. insignis

Pomel
le

m'a paru

codal E. Sayni et E. Deydieri, la

cependant spar de ce Groupe plus grande espce du Genre.

dis-

Les Echinides nognes du bassin mditerranen, par J. Cot(i). Voici un des travaux les plus importants publis depuis longtemps sur les Echinides fossiles il dnote chez son auteur une contreau

naissance approfondie de leurs caractres et rendra de prcieux services

aux gologues. M. Cottreau


et constater

pu runir parfois de nombreux individus d'une espce il en conclut que certaines prtendues espces devraient tre fondues en une seule. Je suis de son avis, mais il ne faut pas riger cette constatation en principe. Si la Science n'a rien gagner la pulvrisation des espces, elle a tout perdre par des runions exagres, qui ne permettraient plus de suivre les modifications des formes. Ici encore, le vrai est question de mesure et de
a

l'tendue de ses variations

tact scientifique.

Pour l'analyse de l'ouvrage de M. Cottreau,


sur
et le

je

passerai

rapidement

chapitre premier relatif


localits.

la

rpartition des Echinides par tages

par

le second chapitre, l'auteur passe en revue les diverses espces connues d 'Echinides du Miocne mditerranen il en indique les gisements et fournit, pour quelques-unes, des remarques intressantes. M. Cottreau attribue parfois certains auteurs des Genres diffrents de ceux qu'ils ont tablis, comme Echinometra Rondelet. Le vieux Rondelet, en effet, n'a ni dcrit ni figur dans son Genre Echinometra, crl pour une grosse espce de la Mditerrane, un seul polypore analogue aux ElUpsechinus de nos Ocans. M. Cottreau attribue avec raison le Genre Sciitella Lamarck et lui donne pour type, avec non moins de raison, Echinodisciis siihrotundiis Leske mais, par une sorte de contradiction, il identifie cette espce une forme bordelaise aussi inconnue de Lamarck qu'elle l'tait de Leske. Je sais bien que beaucoup de Naturalistes se soucient peu de remonter aux origines et attachent peu d'importance ces questions, qui mritent cependant de fixer l'attention. L'hypothse formule au sujet des caractres des premiers Clypastres ne tient pas suffisamment compte de l'existence des Paleanthiis ds
;

Dans

l'Auversien.

Quoiqu'il en soit de ces dtails,

ce

deuxime chapitre constitue un

rsum fort complet de nos connaissances sur les Echinides nognes mditerranens et un rpertoire auquel il ne manque que le renvoi l'ou(i) Paris,

igiS.

In-i",

192 p., lu fig

cartes et i5

PL

Ext. Ann. de l'Inst. Ocanogr.

ii8

vrage dans lequel respce a t tablie. Celles omises sont rares on peut toutefois citer Spatangus Heinzi Cotteau, des environs d'Arles, figur la Planche XIII de la Monographie des Spatangus, Planche publie

par Gauthier, en 1897. Le Chapitre III est un des plus importants il comprend la description des espces particulirement tudies par l'auteur. C'est d'abord un
;

segment de Cyathocidaris avenionenss, identique au type que je viens d'examiner au Muse d'Avignon. A^bacina Pi est indiqu Malte. Psamrnechinus coronalis est attribu l'Aquitanien. Je l'avais cit de
l'Helvtien d'aprs

mes correspondants, comme Schizechinus


il

hateleti,

qui est en ralit du Pliocne, o

se retrouve

en

Sicile.
;

Un

individu
pas

en assez fcheux tat de

mon

Scutella Michaleli est figur

je n'ai

discuter cette interprtation qui, la premire en date, et

de figures, doit tre suivie. Scutella striatula M. de Serres,


la

accompagne est aussi pour


Cette

premire

fois figur,

d'aprs

un individu du Muse de Genve.


distincte
diffre

espce

du Langhien

est

donc

M. Cottreau ne croit pas qu'elle


S.

Jacquemeti de Loriol. spcifiquement de son Scutella


de
S.
la

fiuhrotunda Agassiz {non Lamarck). Je ne puis partager cette opinion, car


striatula,

qui se retrouve en Sardaigne, n'a ni


les ptales

forme gnrale, ni
bords sont toute-

les

bords festonns, ni

plus troits de la Scutelle de Lognan.


,

Elle serait plus voisine


fois

de

mon

S. tarracoensis

dont

les

plus pais et les ptales plus courts.


est une Espce nouvelle, courts ptales et lunules M. Cottreau interprte autrement que moi A. elliptica

Amphope Boulei
ovalaires, axiales.
et je

reconnais que son interprtation, fonde sur l'examen du type de


g3,

Michelin, T.

doit tre prfre


la

la

mienne,

tire

de

la

diagnose

de Desor.

Il

en rsulte que

diagnose de Desor est compltement erroles

ne

et

que l'espce n'a pas son priprocte plus prs du bord que A.
L'auteur
considre
lunules
transverses
et

bioculata.

d'autres
il

espces

comme

le

rsultat de dformation

par compression

Baquei, A. transversifora, etc. Personne ne nie la

supprime A. dformation possible


parat ici abuser de

de fossiles par compression, mais M. Cottreau


l'argunient.

me

Son erreur a pour source son procd d'exprience. Il a opr sur des moules d'Amphiopes en cire et constate naturellement, sous la moindre pression, la dformation des lunules mais la matire spathique et rigide du test des Echinides fossiles n'a aucun rapport avec une cire molle si elle cde la pression, elle se brise et les traces des fractures ne peuvent chapper un il exerc. Le test des Amphiopes est renforc par un systme complexe de piliers et de cloisons qui
; ;

assure d'ailleurs sa rsistance l'crasement et

il

en

est surtout ainsi

des lunules qui prsentent

formule sur

la

du test. Lhypothse dformation des lunules d'Amphiopes me parat donc


la

partie la plus solide


le

119

comme
y
avait

difficilement acceptable, en tous cas l'on ne saurait la gnraliser


fait

M.

Cottreau.

Si,

d'ailleurs,

il

dformation,

Amphiope
ou A. Holl'in-

Boulei devrait disparatre aussi bien que A.


landei.

transversifora

Je suis

heureux d'tre compltement d'accord avec l'auteur pour


sciitellatiis,

terprtation de Clypeaster Martini, C.


Je

etc.

me

suis

demand

si le

Clypastre de Malte, attribu C. marginatus


fait

ne serait pas plutt C. melitensis, dont Cotteau a

mouler un

si

bel

exemplaire

M. Cottreau rapporte l'espce vivante Echinoneus cyclos-

tomus, une Espce de Sausset trs voisine du E. melitensis Wright {Amblypygus) du mme gisement, mais dont les pores sont bien diffrents, si la figure 27 est exacte. Echinolampas Tagliaferroi esu une espce
nouvelle de Malte, intermdiaire entre E.

Hausmanni

et E. Sayni. E.

an-

gulatus est runi E. siitiformis. Schizaster Gennevauxi est une Espce

nouvelle du Langhien de
fois signal

la

Corse. Brissus Bastise est pour la premire

en France, d'aprs un individu mutil.


est

Le Chapitre IV

consacr l'tude de la variabilit des Echinides

du Nogne mditerranen. Cette partie du Travail porte sur les espces les mieux connues de l'auteur et dont il a pu examiner d'importantes sries, comme Parasalenia Fontannesi et Sciitella paiilensis, dont un individu prsenterait un sinus postrieur, mais il s'agit d'une large courbure et non d'une chancrure semblable celle de S. leognanensis. Des considrations purement thoriques sur les modifications volutives des lunules des Amphiopes conduisent l'auteur runir A. Baqiiiei
avec A. bioculata, dont
cuter
ici
il

serait le jeune.
je

Je ne puis m'attarder
les
faits

dis-^

cette

hypothse, mais

doute que

correspondent

ces ingnieuses manires d'interprter ces espces.


la

M. Cottreau restitue
le

faune de Malte Clypeaster Reidi Wright, mais


Il

runit C. aciimilati-

natus Desor.
rostris,

runit naturellement C. ventiensis Tournour C.

mais il lui runit aussi C. laganoides. C'est aller bien loin et je crois que peu de personnes admettront l'identit des deux individus de la figure 4i, aussi dissemblables par leur forme que par leurs ptales. Mais c'est surtout l'occasion de C. altiis que les runions se multiplient. L'auteur runit d'abord cette espce C. taiiricus, en se fondant sur les rapports de C. altus avec un individu de Malte, assez mal propos nomm, on ne dit pas par qui, C. tauriciis, et qui est trs diffrent du
type de ce dernier. C. alticostatus est galement runi, tort selon moi,
C. altus
;

il

en

est

de

mme

de C. portentosus

et C.

pyramidalis, que

'Gauthier en sparait non sans raisons. Ces runions constituent un systme commode de dtermination des grands Clypastres du Miocne,

mais

je

ne

les crois

pas fondes. C'est un peu


les

comme

si,

pour simpli-

fier l'tude,

on runissait toutes

espces de chaque Sous-Genre d'Am-

monite.

En

tous cas, ceux qui voudront se former une opinion sur la

question, devront relire les pages trs documentes crites sur ce sujet

par M.
travail.

Cottreau

et

revoir les

'

belles

planches qui accompagnent son

tition stratigraphique et

est consacr des considrations sur la rparpalobathymtrique des Echinides du Nogne mditerranen. Et l'ouvrage se termine par un index bibliographique

Le cinquime Chapitre

auquel renvoie presque chaque page le texte, et qui tmoigne du travail accompli par l 'auteur pour la rdaction de ce beau et instructif M
moire.

BRYOZOAIRES
par M. Ferdinand GANU.

Contribution l'tude des Bryozoaires fossiles, par F. Canu (i). titre, je rsume de temps autre toutes les dterminations fais pour moi-mme ou pour mes correspondants. Le Pliocne d'Alger (IV) contient dj 19 espces, parmi lesquelles Cupularia Haidingeri Manzoni est bien une Espce particulire. L'Astien de Nice (V) n'a encore donn que 9 Espces. Il y en a 29 dans le Tortonien de Baden (VI), mais ce n'est qu'une faible partie de la faune. Le Miocne du Bassin du Rhne est trs riche en Bryozoaires. J'ai dtermin 9 espces du Tortonien (VII), 21 de l'Helvtien (VIII) et 21 du Burdigalien (IX). En Italie, lors de la Runion extraordinaire de la Socit Gologique, en 1904, Turin, j'ai recueilli 5 Espces dans l'Astien (X) de Valle Andona, 22 dans l'Hlevtien (XI) de la Superga, parmi lesquelles Smittia Saccoi est nouvelle et 33 dans le Burdigalien suprieur de Baldissero
Sous ce que je

(XII).

Familles de Bryoque j'expose dans cette publication sont tellement divergentes de celles des Bryozoologistes, que j'ai cru devoir prier l'un d'entre eux de vouloir bien en faire librement la critique. Mon excellent ami, M. A. W. Waters, dont j'ai si souvent"
zoaires, par F.

Etudes morphologiques sur

Canu

(2).

Les opinions

trois

nouvelles

(i) Paris, igiS. (3) Paris,

igiS.

Ext. Bull. Soc. Gol. Fr. Ext. Bull. Soc. Gol. Fr,

(l\),

XIII, p. i24-i3i, et

une

fi^.

dans

le texte.

(/|),

XIII, p. 132-1/^7, avec 10 fg. dans le texte.

analys
lettre
((
:

ici

les

importants travaux, a bien voulu s'en charger. Voici sa


crit

M. Canu a
Il les

un
et

intressant et utile Travail concernant


tertiaires

un Groupe

de fossiles crtacs
classer.

qui sont actuellement trs difficiles


:

place maintenant dans trois Familles nouvelles


et

Acroporidse
qui
a
fait

(aleopsidae

Coscinopleuridae.
citation

L'auteur

commence par une

du
et

D'"

Jullien,

certainement de trs importantes observations


tion dans laquelle
lien a

qui a indiqu

la direc-

beaucoup de travaux pourraient tre faits. Mais Julexprim ses vues de la plus fantaisiste manire. Il a introduit de nouveaux termes dans un tel dsordre que la ncessit en parat douieuse.

Canu admet pleinement

les

remarques de Jullien sur


est-il

les

origelles.

D'abord, ce terme d' origelles volutives

ncessaire.

puisque nous

sur les faits. Nous savons que toutes les parties sont bourgeon identique. Par exemple, l'extrmit d'un stolon d'un ctenostome, il y a des masses de cellules que Jullien appelle embryoplastiques (i), qui finissent par en tre spares par un diaphragme aprs leur prolifration. De mme, sur le stolon, une boursouflure se produit et s'accrot pour former une zocie isole aussi par un diap)hragme Mais, pour exprimer ces excroissances, est-il besoin d'un terme descriptif spcial pouvant s'appliquer galement bien aux pores frontaux et aux radicelles dorsales ? Considrons manitenant les origelles abortives. Ce n'est pas seulement une question d'opportunit, le terme mme est-il correct ? Abortives Srement si elles ne sont pas utiles comme le sont les stolons,
issues d'un
!

sommes d'accord

les

radicelles,

etc.

Prcisons en tudiant Haswellia australiensis


Ici,- il

menn'y a

tionn dans l'ouvrage.

y a de longs tubes de zocie zocie en Myriozoim triincatum, Schizoporella siibgracilis, etc.). Mais

(comme
il

pas communication directe

et

libre

d'une zocie avec une autre parce

qu'il y a un ou plusieurs diaphragmes travers ces tubes il y en a souvent plusieurs en Myriozoum truncatum. Dans Haswellia australiensis,
il

y a

un diaphragme analogue au commencement


;

et

une memlDrane
et

l'autre extrmit.

Ces diaphragmes ont une petite perforation

proba-

blement jamais plus. Il y a des origelles ici mais ces tubes ne sont-ils pas une partie ncessaire et importante de l'organisation ? puisqu'ils donnent communication indirecte de zocie zocie, et nullement abortifs ? En quelques endroits, ces mmes tubes s'observent dans le milieu du zoarium les plus extrieurs se courbent angles droits et se conti;

(i) Le D' Calvet, le bryozoologiste franais bien connu^ a bien voulu m'crire que terme n'est plus lisit en zoologie.

ce

nuent jusqu'
ces tubes ont
celle-ci, iJs
tives.

la-

paroi zoriale externe.

Ici, il

n'y a aucun contact direct

avec l'eau de mer, car une

la colonie. Mais comme probablement pour objet l'oxygnation et la croissance de sont utiles et les origelles qui les forment ne sont plus dbor-

membrane

recouvre

La contradiction

est vidente.
la

Canu groupe dans

Famille des Acroporidae quelques espces rcenqui a pour type A.

tes et fossiles

qui ont t places dans les Familles des Porinides et des

Myriozodes. Le Genre Acropora Reuss,


Reuss, possde
l'opercule
se trouve
et

coronata

un pore
le

frontal s 'ouvrant dans la zocie, au-dessous de

des aviculaires groupes autour de pristome.


Crtac, le Tertiaire et
il

Ce Genre
les

dans

est

encore reprsent dans

mers australiennes. Deux nouveaux Genres appartenant cette Famille sont crs. Dans le G. Beisselina, reprsent par plusieurs Espces crtaces connues, il n'y a pas d'aviculaires autour du pristome. Pachytieca est cr avec

Porina filiformis d'Orbigny

comme

type et

il

est

connu du Crtac.

Viient ensuite la

frontal entre dans le tube pristomial.

Fam. CaleopsidB Jullien, dans laquelle le pore Canu y introduit les quatre Gen-

des connus

lien et HasiveUia

Gigantopora Ridley, Cephyrophora Busck., Galeopsis J. JulBusk, dont les formes sont rcentes ou fossiles. C'est une
Trs peu de formes rcentes ont t compltement

Famille
litudes.

trs difficile.

tudies et des observations ultrieures enlveraient beaucoup d'incer-

La troisime Famille faite par Canu est celle des Cosciiiopleiiridse. Le Genre CoscinopJenra Marsson a pour type Escharra elegans Hagenow, Cependant, l'poque mme o ce travail a t crit, j'ai publi une communicatipn (i) montrant que les Adones sont beaucoup plus abondamment distribus qu'on le supposait et qu'ils apparaissent frquemKient dans le Crtac et le Tertiaire. Le Type du Genre, Escharra elegans Hagenow a t bien figur par Beissel (2) comme E. piilchra Bronn, videmment un synonyme selon' Marsson. Indubitablement, c'est une Adonide, probablement un AdeoneUa, avec grandes zocies ovariennes de chaque ct. Eschara Artemis d'Orbigny, autre espce de la liste de Canu, se rapproche des Adeonidce par ses larges aviculaires prs de la bordure zoaciale, tandis que E. Biza d'Orb. a les aviculaires latraux, si frquents dans la mme Famille. Escharinella elegans d'Orb. semble avoir les ouvertures ovariennes dans la mme position qu'un Cellaria. Eschara microstoma Hagenow semble alli au Groupe qui comprend Adeonellopsis
))

(i)

A.

W.

Waters.

Astructure in AdeoneUa.

Ann. Mag. Nat.

Hist.,

srie 8, Vol. IX,

1912.
(2) Beissel. Ueb. die Bryoz. der Aachener Kreide. Nat. Verh. Holl. Naasts. des Wetensch. Haarlem,, Vol. II, PI. I, fig. 10, 11, i865.
te

123

Crosslandi Walers

Busk.
ride

(i), A. distoma Busk, A. siibcata Smitt, A. inipcrfonda beaucoup de formes crtaces qui ont les caractres de Bracehridgia, autre Genre 'Adeonidse. Enfin Escharifora est peut-tre une cellaIl

y a

En rsum, par
la position

ces exemples,
les

il

est

impossible de connatre netteIl

ment

de toutes

espces de Coscinopleuridas prsent.


la

se pourrait
les familles.

que des recherches ultrieures exigent

cration de nouvel-

A.

W. Waters,

))

Il

est vident

que de

telles

divergences de vue impliquent non seule-

ment des recherches

nouvelles,

mais encore de nouvelles figurations

des espces anciennement connues.

Contributions l'tude des Bryozoaires fossiles. MIII. Bryozoaires jurassiques, par F. Canu (2). Dans le Jurassique, les Bryozoaires

Mais nous ne connaissons gure en dtail que le Bathonien normand, dont la richesse inoue est depuis longtemps clbre. Grce aux dons de MM. Bioche et de Grossouvre, j'ai pu tablir
sont trs abondants.
la

faunule de i4 localits dans lesquelles aucune espce n'avait encore

t cites.

Les espces nouvelles sont heureusement trs rares. Ce sont Proboscina lesurensis et Berenicea amphora,
(Lozre)

du Charmouthien de Saint-Bauzile

Sous le nom trs connu de Berenicea diliiviana, les anciens auteurs ont confondu deux espces. Je me suis efforc de mettre un peu d'ordre dans la bibliographie. J'ai conserv le nom B. diliiviana (Lamouroux, 1821 pour la plus ancienne espce dcrite et j'ai appel B. Edwardsi, une espce figure par Milne Edwards, en i838, et qu'il avait attribu
;

tort B.

diliiviana.

Une

autre espce ancienne Berenicea undulata Michelin,

1846, prtait

confusion,, cause

de ses grandes variations. Grce


j'ai

d'excellents et

nombreux spcimens,
cette espce.
J'ai

pu

fixer les caractres et la

bibliographie de

donn une meilleure


en 1889. Mais

figure
elle est

de Berenicea Allaiidi, mal dessine


encore insuffisante, car, au grossisse-

par

SauA'^age,

ment

adopt, on n'y voit point les minuscules pointes caractristiques

des zocies.
Enfin, j'ai trouv, dans l'Oxfordien de Crussol, quelques stolons d'un

Bryozoaire ctnostome auquel


(i) A.
6,
7,

j'ai

donn

le

nom

Vinelloida crussolensis
p. 53j, pi.

W.
1/4.

Waters. Bry. from Zanzibar. Proc. Zool. Soc, igiS,

LXXIII,

fig. i, 2,

12,

(2) Paris, igiS.

Ext.

Bull. Soc. Gol. Fr.

(4),

XIII, p. 267-276, avec 2 PI. phototypes.

124

of the Tortiigas islaiids, Florida, by R. C. Osbiirn (i). L'namration d'une faune est toujours plus ou moins fastidieuse quand l'auteur ne sait pas l''mailler d'observations gnrales, utiles et nouvelles Ce n'est pas le cas pour cette prsente publication, dans laquelle il y a beaucoup glaner. L'auteur se fait maintenant une ide

The Bryozoa

plus exacte des besoins de notre science.

L'auteur a trouv des embryons dans


jonti Audouin,

les ovicelles

de Savignyella La-

giganteiim Busk, Lepralia Audouini d'Orbigny. C'est donc en juin-juillet qu'il faut fixer l'poque de l'closion des larves pour ces espces.

Beania

microcia

Osburn,

Cylindreciiim

L'auteur signale que dans Schizoporella floridina Osburn


contracta Waters,
mire.
J.
il

et

Lepralia

y a une seconde calcification superpose la preJullien, sur d'autres espces, fit la mme observation et il les

Par extension, j'ai appel olocyste la premire calcification et tremocyste, la seconde. M. Osburn note que la premire couche calcaire de l'ovicelle de Smittia trispinosa Johnston est recouverte d'une seconde. Le fait est trs
appelait Trmagastres.

frquent et

J.

Jullien appelait

coitis

l'ovicelle

interne et
il

spar-

ganile

l'ovicelle externe.

Dans

toutes ses descriptions,

a toujours

not l'existence de cette double paroi qui fournit d'excellents caractres

de diffrenciation spcifique. Enfin, M. Osburn constate que, sur Rhyn-

chozoon tiiherculatum Osburn,


celle de la frontale. C'est

la

calcification de^ l'ovicelle est analogue

un

cas particulier d'une loi plus gnrale en-

core, signale jadis par

J.

Jullien.
vrifier,

Je suis trs

heureux de voir
J.

par un auteur amricain,

et

sans

mme

qu'il en ait l'intention, les observations dj anciennes et si longJullien.

temps oublies de

Les uvres de gnie gagnent l'preuve

du temps.
Le Travail de M. Osburn est fait avec un soin mticuleux. Il donne pour chaque espce sa distribution bathymtrique dans la rgion des Iles Bermudes, des Iles Tortugas et de la Floride. Il fait de bonnes comparaisons sur les faunes tropicales entre elles et sur leurs relations avec les

faunes septentrionales.

L'auteur figure

un

trs

curieux avicellaire interzocial de Thalamo-

porella granulata Levinsen.

En

1900, j'ai appel

rticulocellaire

ces sortes compliques d'avicellaires intercals.

Smitt Cribrilina figularis.

M. Osburn appelle Cribrilina floridina une espce rapporte tort par Il figure Bugula armata Verrill, prcaution

que l'auteur avait nglig de prendre.

(i)

Washington,

igii.

Ext. Public. n 182, Carn. Inst., p. 181-223 avec 28 fig. dans le

texte.

Il

y a quelques espces nouvelles


,

curieux Beania cupulariensis

un

articul

un dlicat Biigiila microcia, un Rhynchozoon tuberciilatum, R. solidum, Arhorella dichotonia, EschareUa costijera qui est un JJrnbo:

niila trs

typique, Schizoporella floridino, qui est remarquable par ses

grands avicellaires interzociaux, un fantastique Lepralia oviilifera et un superbe Holoporella magnifica, qui mrite bien son nom. Arborella est un Genre nouveau. Zoarium rig, branchu, dichotome, avec des joints flexibles et corns aux bifurcations. Zocies arranges
par paires, dos dos, chaque paire dispose angle droit avec
cdente paire,
la

pr-

donnant une sorte d'apparence quadrangulaire. Zocies fertiles plus courtes que les autres. Apertura avec un sinus distinct. Ovicelle externe, mais insr partiellement sur le front de la zocie apertura ferme par l'opercule. Epines et aviciilaires absents. Un mince
;

et cliitineux ectocyste

couvre

la zocie et l'ovicelle (i).

Je

regrette
:

Levinsen

que M. EschareUa

Osburn
et

ait

cru devoir maintenir


et

les

Genres de

Escharina. M. Waters

moi-mme, nous avons

plus documentes sur Quant au Genre Smittina, il est impossible de l'admettre dans les. limites que Levinsen lui attribue. D'ailleurs, pourquoi supprimer le Genre Smittia de Hincks ?
lev les protestations les plus

vhmentes

et les

ces archasmes qui n'ont plus de raison d'tre.

C'est

un des plus

naturels qui existent. Les formes zociales, les perfo-

rations de l'ovicelle ne sont rien devant la fonction physiologique.

CLENTRS
Par M, M. FILLIOZAT.

Sur quelques Polypiers carbonifriens du

La prparation d'une Monoturelle de Paris, par Achille Sale (2). belge, dont nous donnons Carbonifre du Clisiophyllides graphie des les Polypiers paloexaminer l'auteur conduit l'analyse, a plus loin
zoques du
cette Note,

Musum

d'Histoire na-

Musum

de Paris, pour quelques-uns desquels


dtaille.

il

donne, dans

une description

Ds le dbut, la structure spciale du groupe des Clisiophyllides reslumineusement bien par la figuration et l'interprtation d'une coupe schmatique au centre d'un calice de l'excellent chantillon-type de Lonsdaleia Bronni E. H., du Carbonifre de Russie. D'auteur montre
sort
(i)

(2) Paris, igiS.

Maplestone. L'auteur vient de m'crire que ce G. est probablement Pollaplcium XlV-XVl. Bull, du Mus. d'Hist Nat., n 6, pp. 365-37G, PI.

120
vritable constitution de la columelle. Ce sont des planchers qui se recourbent en se rapprochant-, formant ainsi des dmes levs, qui s'embotent les uns dans les autres. Lonsdaleia Bronni E. H. est bien sparer de L. riiyosa M'Coy et de L. crassiconiis M'Coy l'auteur, qui a pu exala
;

miner

les

types de ces deux dernires espces,

donne

cet gard des

diffrenciations trs prcises.

Sur le vu des types d'Axophyllum expansmn E. H. et de Axophylluni' radicatum E. H., il ressort que les caractres distinctifs du Genre Axo-

phyllum consistent dans l'espacement considrable des planchers, qui sont en continuit avce les nombreuses vsicules d'une zone centrale se
relevant en cne columellaire.

L'examen du gnotype d'Aulophyllum fungites E. H. a galement montr l'auteur que le Genre CyclophyUiim Dune, et Thoms. n'avait
pas sa raison d'tre.

Milne Edwards et Haime avaient rapport Clisiophyllum Keyserlingi Mac Coy, des chantillons de Vis, pour lesquels l'auteur a d crer une
nouvelle
espce,

Clisiophyllum

latevesiculosiim

n.

sp.

Les diffrences

entre ces deux espces sont trs grandes. Outre qu'il possde une forte

muraille stroplasmique interne, C.


extraseptales. Tandis

latevesiciilosum

montre une vaste

zone vsiculaire priphrique avec sous-zne externe larges vsicules

que C. Keyserlingi possde simplement une troite bordure de vsicules interseptales et n'a pas de muraille stroplasmique
interne.

Par contre, CyothophyUum ? Lacazei E. H. doit disparatre. L'examen, au Muse de Boulogne-sur-Mer, d'chantillons identiques aux mauvais spcimens du Musum de Paris, en effet, a montr l'auteur qu'il s'agissait

de spcimens de Lithostrotion Martinii, considrablement crass.


(i).

Le Groupe des Clisiophyllides, par Achille Sale


poursuit avec succs ses tudes sur
horizontales et verticales,
caractres
sation ne permettait
les

M. Sale

Polypiers palozoques. Grce

son excellente mthode d'investigation, au


il

moyen de nombreuses coupes


que
l'tat

souvent russi mettre en vidence des


de
fossili-

importants sur l'organisation interne

mme

pas de souonner.

Le groupe des Clisiophyllides, qu'il vient d'tudier, est abondamment le Carbonifre d'Angleterre et dans celui de Belgique. Ses matriaux, dont les niveaux ont t soigneusement reprs, provienreprsent dans

nent principalement des environs de Vis. Ils constituent ainsi des topotypes pour une grande partie des espces, la plupart de celles tablies'
par Milne Edw^ards
(0 Louvain, igiS.
PI.

et

Haime.
Inst.. Gol. de l'Univ. de \Louvain,
t.

Mm.

I,

Mm.

2,

pp. 179-293,

IV-XI.

127

tant

c'est la

Mais ce qui donne une importance capitale au Mmoire de M. Sale, comparaison qu'il a tenu faire de ses chantillons avec les

types

eux-mmes

c'est

parfois

la

figuration,

extrieure

qu'int

rieure, de ces

mmes

types, qui implique ainsi ses dterminations

un

caractre de rigoureuse exactitude.

M. Sale revoit d'abord la structure trs typique de Lonsdaleia Bronni permet de fixer les caractres gnraux des Clisiophyllides que nous rsumons ci-aprs
E. H., ce qui lui
:

protubrance columellaire au centre du calice prsence ou absence d'une fosse cardinale.


Caractres externes
:
:

Caractres internes ien coupe horizontale, prsence d'une zone centrale, forme par un rseau de lamelles (tangentielles ou radiaires), parfois

une lame

aviale.

Une

autre zone, traverse par des septes

radiaires que relient des disspiments, entoure cette zone centrale. C'est la

zone externe des Polypiers jeunes, qui n'est alors spare de l'pithque

que par une muraille stroplasmique. Une ze priphrique vsiculaire forme dans un stade plus avanc elle est souvent spare de l'ancienne zone externe, devenue zone moyenne par la muraille stroplasmique devenue interne, qui peut se rsorber ;2en coupe vertise
;

cale,
dans
en a
la

la

zone centrale est caractrise par

le

bombement

de planchers,

entre lesquels s'lvent des

lamelles verticales.

Prsence de planchers
le

zone qui entoure

la

zone centrale.
groupe.
Il

L'auteur passe ensuite aux Genres qui entrent dans


trois.
le

Dans
de
la

Genre Clisiophylliim Dana,

il

montre que

les

lamelles de

la

zone centrale sont bien des septes majeurs, contrairement l'opinion

Thomson et Nicholson. Il fait entrer Centrephylhim Thoms. dans synonymie de CUsiophylliim, mais maintient la sparation de Anthophyllum M'Coy, qui a au centre une cupule au lieu d'une protubrance en dme parcourue par les lamelles spirales. Pour classer les Clisiophylliim, l'auteur se base sur la prsence ou l'absence d'une zone priphrique il les divise donc en vsiculeux et en non vsiculeux. Puis il examine successivement les espces suivantes C. curkeense A. Vaugh. C. modavense n. sp. Un seul chantillon. Pas de vritable zone priphrique vsiculaire prolongements des septes dirigs trs obliquement, contournant ainsi longuement la zone centrale. C. Omaliusi Haime, chez qui M. A. Vaughan a reconnu des carac;
: ;
;

tres

cyathophyllodaux
;

C.

latevesiciilosum

Sale

C.

siibimbricatiim
espce,

Thoms

C.

Destinezi

n.- sp.

un

seul

chantillon.

Cette

qui se

trouve galement dans

le

Carbonifre cossais, avait t confondue par

Thomson

avec C. Keyserlingi M'Coy.

.Le Genre Dibiinophyllum

Thomson

et

Nicholson diffre de Cyathophyl-


second.

128

lum par la structure de la zone centrale, qui est occupe, dans le premier Genre, par une sorte de lame columellaire n'existant pas chez le
Dans
ces

deux Genres,

les

septes

ne sont pas

bilamellaires

comme

le dit

Thomson.

Ils

sont simplement constitus par une lamelle

que recouvre de part et d'autre une couche de stroplasme. DibunophylliiTn Vaughani n. sp. M. A. Vaughan avait figur, du Carbonifre d'Irlande, cette espce pour laquelle il n'avait donn aucun nom spcifique, la rapprochant simplement de D. Miiirheadi Thoms. et Nich. M. Sale montre qu'elle en diffre par la prsence d'une muraille stroplasmique et par le fort paississement des septes dans la zone
centrale.
Il

cre la varit densiim, chez qui les lamelles radiaires sont

deux
n. sp.

fois

plus nombreuses que dans l'espce prcdente.


est

D.

Doiiglasi

inconnu. Signal d'Irlande par M. Douglas, qui^ y voyait d'troites affinits avec Dibunophyllum y de Vaughan. Elle en dif-

Le calice

fre,

au

contraire,

sensiblement

d'aprs

M.

Sale.

D.

M'Chesneyi

Thoms. et Nich. La muraille stroplasmique disparat totalement l'tat adulte. D. derbiense Sibly. Calice inconnu. Les chantillons de Vis sont
plus petits que ceux

du Comt de Derby.

Genre Car cinphyllum Thomson, la zone centrale est occupe par une plaque irrgulirement paissie, forme par des nombreuses lamelles radiaires fortement stroplasmises. G. Vaughani n. sp., dj dcrit par M. A. Vaughan, mais simplement sous la dsignation Carclame axiale courte, et, au stage adulte, nophyllum C. Delepini n. sp. nophyllum. C. Delepini n. sp. lame axiale courte, et, au stage adulte,

Dans

le

large zone priphrique,

lonsdaleiforme n.

sp.

la

forme de grandes vsicules extraseptales. C. forme priphrique vsiculaire est trs dvelop-

pe ds

le

stade jeune.
le

Enfin, dans

Genre CarrutherseUa Garwood, que caractrisent des

planchers considrablement paissis, une espce est mise, pour laquelle l'auteur n'a pas cru devoir crer un nouveau Genre, quoiqu'elle part
prsenter des caractres

Espce
de C.

un peu diffrents de ceux du gnotype. Cette Garwoodi n. sp. dont le calice est inconnu et qui diffre compacta Garw, par l'absence de vsicules extraseptales dans la
est C.
la

zone priphrique.
de C. compacta Garw. par l'absence de vsicules extraseptales dans

zone priphrique. Les planches de cet excellent Mmoire sont d'une nettet d'excution remarquable, et font le plus grand honneur la phototypie belge.

Die Steinkorallen ans dem Golf von Neapel, von L. Dderlein Ce consciencieux Travail de M. Dderlein augmente, dans une
Berlin, igiS.

(i).

trs

(0

Mitt. Zool. Station zu Neapel. Bd. 21, n' 5, pp. io5-i52, PI. 7 9.


terrane
;

129

la

notable mesure, nos connaissances sur la faune corallienne de


il

Mdi-

comprend, en effet, sept espces nouvelles, dont l'une est le type d'un Genre nouveau, et contient des remarques intressantes sur les diffrents Polypiers du Golfe de Naples, qui ont t transmis l'auteur par M. le D'' Reinhard Gast, de la Station zoologique. Nous y relevons CaryophylUa clavus Scacchi, en chantillons trs nombreux, de forme trs variable, aussi variable que les spcimens indiens dcrits par M. Marenzeller et d'un diamtre presque aussi grand. CaryophylUa cyathus Eli. et Sol., un seul exemplaire. Cnocyathus Giesbrechti n. sp. Lgrement conique, calice gnralement ovale chez les grands exemplaires et circulaire chez les petits columelle aussi haute que les palis, mais compose seulement de deux ou trois rubans tordus, se diffrenciant assez peu des palis ceux-ci onduls comme les septes, peu larges, mais trs gros. M. Dderlein considre cette espce comme trs affine avec
:

C.

cylindricus E. H., prcisment cause de ses gros et troits palis.

C'est ainsi,

chez C. cylindricus

que Milne Edv\^ards et Haime dcrivent ces parties palis pais et peu levs ). Ils sont, au contraire, peu tendus en largeur et en hauteur dans les chantillons que de

du

reste,

(.

Lacaze-Duthiers a dcrit du Golfe du Lion

ce qui fait dire l'auteur

que ces chantillons-l n'appartiennent pas l'Espce de Milne Edw^ards et Haime. Si M. Dderlein avait eu, comme moi, l'occasion d'observer le
cotype de C. cylindricus existant dans
Duthiers, car, dans cette espce, n'y

la

collection Milne

Edwards,

il

aurait certainement reconnu l'exactitude de l'observation de de Lacaze-

comme

le dit

ce dernier auteur, les palis

forment pas des lames planes-et leur surface est un peu onduleuse, en effet, ce qui fait dire aux auteurs franais qu'ils taient pais

vus d'en haut,

ils le

paraissent relativement.

Cnocyathus Dohrni n. sp. Nombreux exemplaires, quelquefois isols, lgrement mais le plus souvent en groupes plus ou moins denses amincis la base. Calices finement granuls, mais paraissant lisses, gure plus hauts que larges septes minces, les principaux dbordants
;
;

et

trs

larges,

faisant ainsi

paratre

l'ouverture calicinale

trs

troite.

Columelle bien dveloppe, occiipant le tiers environ du minces, peu visibles, et de mme hauteur que la columelle.

calice.

Palis

Cnocyathus apertus n. dent par ses septes un peu


calicinale,

sp.

Peu nombreux. Se
et

diffrencie

du

prc-

largis seulement vers le bas, son ouverture

large par consquent,

par sa surface lgrement ctele.

La columelle, bien dveloppe, occupe environ la moiti du calice, distinguant par l cette espce de C. Mouchezi Lac. Duth., qui parat avoir le mme aspect, mais chez qui la columelle n'occupe gure que le cinquime du diamtre calicinal.


Paracyathus pulchellus
est
la

i3o

Comme
Lacaze-Duthiers,
l'auteur
et P.

Phil.

sp.

fortement d'avis que P. pulcJiellus Phil.

strialus Phil. sp.,

dont

Haime, ne sont qu'une mme espce. Desmophyllum cristagalli E. H., un seul exemplaire. Desmophyllum Gasti n. sp. Isol ou branchu, bourgeonnement trs irrgulier. Individus souvent cylindriques ou un peu comprims. Les ctes correspondant aux septes principaux sont assez dveloppes;

sparation a pourtant t maintenue par Milne

Edwards

et

septes minces, lgrement granuls 3 cycles (le troisime tant gnralement incomplet), les septes du premier cycle dpassent notablement le bord calicinal.
;

Microcyathiis neapolitaniis n. g. n. sp. Le plus souvent isol, trs (le plus grand n'a que 3- milllimtres 5 de diamtre), rarement plus haut que large, subcylindrique, base pourtant un peu largie. Muraille trs mince, granule, ctes assez peu visibles pas de columelle ni de palis. Le plus grand exemplaire montre, dans les moitis de chaque systme, des septes du quatrime cycle septes principaux beaucoup plus gros que les autres et s 'avanant considrablement au
petit
;

centre

tous les septes ont leurs faces latrales trs granules et leur

trs dcoup. Le nouveau Genre Microcyathiis est placer Desmophyllum. Biflabelliim anthophyllum n' g. Ehr. sp. La prsence, bien constante, de deux pieds, formant comme des racines, dcide encore l'auteur ranger dans un Genre spcial cette espce que Duncan, comme l'a prouv de Lacaze-Dutliiers, avait prise tort pour un Rhizotrochus. Madracis pharencis Heller sp. Deux chantillons seulement, mais qui

bord interne
ct de

prsentent bien

les

caractres de

l'Espce que Heller avait mise dans

Astrocnia.

signaler une omission importante dans la bibliographie


;

de cette espce

c'est
(i),

l'indication de

la

Note,

pourtant trs dtaille,


l'auteur

de von Heider
classe

dans laquelle
Hell.

celui-ci,

comme

du

reste,

Genre Madracis, o il doit certainement rester. J'observerai, en outre, que Madracis pharencis Hell sp, se trouve aussi l'tat fossile. Sous le nom Astrocnia Aimerai, M. de Angelis a figur du Pliocne catalan, un Polypier que j'ai avec certitude identifi avec l'espce de Heller. J'ai enfin moi-mme rencontr, dans le

Astrocnia pharensis

dans

le

Plaisancien de la

Drme, six excellents chantillons de cette mme espce. Cladocora cespitosa Linn sp., Cladocora astraria Sars, Cladocora calices bourgeonnant perstellaria E. H. Cladocora Paulmayeri n. .sp.
;

pendiculairement

les

uns sur

les autres,

comme

chez C. patriarca Pourt..


chantillons
croissent

avec lequel cette dernire espce pourrait peut-tre tre identifie.

Leptopsammia Priwoti Lac.


(i) Leipzig, iSgi.

Duth.

Quelques

Zeitschrift f.

Wiss. Zool. Bd. Ll, pp. 3i5-322, PI.

XXXIV.

en colonies. Nous remarquons que


limtres) est

lr

ilx

le

diamtre calicinal (atteignant


les

mil-

beaucoup plus grand que sur

chantillons

du Golfe du

Lion observs par de Lacaze-Duthiers (8 millimtres au maximum). Leptopsammia microcardia n. sp. Quatre cycles complets et quelquefois des septes du cinquime cycle, mais trs peu dvelopps columelle rudi;

mentaire.

Balanophyllia italica Mich. L'auteur runit B. verrucaria E. H. D'aprs


la

figuration de Lacaze-Duthiers,

il

B. regia Gosse, absente

du Golfe de Naples, de

ne peut pas non plus diffrencier B. italica au moyen des

septes conjugus, qui sont presque droits dans cette dernire, tandis qu'ils

sont fortement courbs dans la premire.

Cladopsammia Rolandi Lac.

Duth.

Il

n'y

aurait

pas

d'pithque,

contrairement l'opinion de Lacaze-Duthiers. qui envahit le Polypier, serait entirement constitue par des Bryozoaires. un trs lger bourDe Lacaze-Duthiers avait cru pourtant reconnatre
Cette
((

couche vernisse,

relet

terminant

la

lame pithcale qui dpasse un peu

la ligne

s'arr-

tent les Bryozoaires.


la prsence

Mais l'auteur, qui avait cru

lui aussi tout

d'abord

couvrant
Cette

mme
Note

d'une pithque, a distingu, sur plusieurs individus, leur le calice, un revtement identique chez tous et excluse

sivement form par des Membranipores.


termine
par une
description,

sur

d'assez

nombreux
:

chantillons, des deux Espces bien connues de la Mditerrane

Den-

drophyllia ramea Linn. sp. et Astroides calyciilaris Pall. sp.

Nouvelles observations sur le Frasnien et en particulier sur les C'est le Palorcifs de la Plaine des Fagnes, par E, Maillieux (i). frasnienne, rgion cette courses faites dans fruit de trs nombreuses structure s^ complique, de la plaine des Fagnes, que l'auteur nous expose dans cette Note. Il a le grand mrite d'tre parvenu tablir une chelle stratigraphique trs prcise dans ces couches Spirifer Verneuili que M. Gosselet, dans son bel ouvrage L'/lrdenne , a si magistralement

dgages. Mais ce qui nous intresse

ici

ce sont les prcieux renseigne-

ments que M. Mailleux nous donne sur la nature et le mode de formation des rcifs de cette rgion dont nous allons dire quelques mots. i" de rcifs forms par des Zoanthaires et des Ceux-ci se composent 2" de rcifs plus dvelopps, mais exclusivement difis Alcyonaires
: ;

par des Hydrozoaires

et

des Algues calcaires.

Aux premiers
rcifs sont

se rapportent les rcifs


,

de calcaire, rouge

la

base, qui

renferment Phacellophylliim
presques
la

Cyathophylliirriy Favostes,

Alvolites.

base de l'assise

moyenne

(assise

Ces Hypothyris
67-io/t.

(i) Bruxelles, 1914.

Bull. Soc. Belge de Gol. Pal. Hydrol.,

Mm.,t. XXVII, pp.


cuboides).

iSa

se

Dans

cette

premire catgorie

rangent galement
assise,

les rcifs

de calcaire rouge du
tabli
la

sommet

.de cette
et

dent AcervuJaria, PhiUipsastra'a,


structure.

dans lesquels abondont M. F. Delahaye a rcemment


de calcaire gris contenant

mme

La deuxime catgorie comprend

les rcifs

des Stromatoporidea appartenant au Genre Pachystroma et aussi des Al-

gues calcaires. La position de ces derniers rcifs a galement t bien


repre par M. Mailleux, qui les place presque au

sommet de

l'assise

Hypothyris

cuboides.

celle

diffrents rcifs ont une forme gnrale identique, qui est d'un gigantesque champignon. Les diffrejtes recherches entreprises par l'auteur dans les formations
la

Tous ces

dvoniennes de

Belgique l'ont amen

conclure que

les

Polypiers

des mers palozoques se sont dvelopps dans des conditions biologi-

actuelles.
la

ques toutes diffrentes de celles observes pour les Polypiers des mers Mais il n'entend pas gnraliser autrement ses conclusions sur
nature et la formation des rcifs palozoques,
si

et

c'est

avec raison

qu'il restreint celles-ci la rgion qu'il vient de

bien tudier.

FORAMINIFRES
par M. A. SILVESTRL

Les Orbitolines et leurs enchanements, par M. H. Donvill (i). Note de peu de pages, mais dans lesquelles nous trouvons condenss
les

rsultats,

trs importants,

de l'tude
;

faite

par l'auteur, d'une riche


les belles

srie

d 'Orbitolines qu'jl a runies


le

srie

complte ensuite sur

collections d'exemplaires

du genre,

faites, et

mises en ordre Grenoble,

par M.

professeur Kilian.

M. H. Douvill dclare d'abord les difficults particulires qu'on rencontre dans l'tude des Orbitolines, qui ont une part considrable dans la formation de roches du Crtac, cause de la nature de leur plas-

mostracum, constitu l'ordinaire d'lments arnacs grossiers, des conditions du gisement, dtermines par les exemplaires plus ou moins rouls et constituant une roche dure, et cause de grandes variations dans l'espce, pour lesquelles il s'en suit qu'on peut facilement se trom(i) Paris, 1912.

C.

/?.

Ac. Sciences Paris,

t.

CLV, pp. 567-572.

-- i33
per sur leur vritable dtermination,
d'individus.

sur

si elle est faite

un

petit

nombre

Ensuite, l'auteur rappelle sa manire d'entendre les Orbitolines, c'est-

comme la dformation conique d'une Orbitolite type complexe, que par exemple VOrbitoIites complanata Lamk., mais avec le test arnac au. lieu que l'homogne, jalin, et la surface suprieure conique constitue d'une couche subtile imperfore, soutenue par un
-dire
telle

rseau

de

poutrelles,

immdiatement au-dessous de

laquelle

viennent

dos sries de loges rectangulaires alternantes et disposes en anneaux, comme dans les Orbitolites et ces loges, qui ont communication entre
;

elles-

par des orifices placs aux angles, se prsentent situes

la

base

de

la coquille, sur des lignes

rayonnantes du centre

la priphrie.

Successivement, M. H. Douvill entre dans


des Orbitolines, en nous informant
tance capitale
l'auteur,
les

la

question du dimorphisme

et cela est

un
les

fait

d'une imporselon

qu'il a

russi le saisir.

Dans

Orbitolines,

formes mgalosphriques (A) sont presque toujours coniques, et les microsphriques (B) sont presque toujours aplaties et discodes*; et pourtant la distinction de certaines espces telles que Orbin'a aucune valeur, parce tolina conoidea Gras et 0. discoidea Gras, qu'elles nous reprsentent, en effet, les couples homologues d'une espce
unique, dans laquelle

conde
lines.

la premire forme est la mgalosphrique et la semicrosphrique. L'appareil embryonnaire mgalosphrique dterminerait donc la forme conique dans la configuration des Orbitola

En

dlimitant les couples

homologues dans
facilit,

les

espces

examines,
les

M. Douvill a pu, avec une certaine

dterminer

espces

mmes, en

distinguant, d'aprs ces couples, les niveaux stratigraphiques

qu'il dtaille de la

manire suivante

VIL Cnomanien suprieur Orbitolina concava [Lamk.] (= ermann = 0. Andresei Martin), exemplaires mgalosphriques
sphriques diffrant seulement l'gard de
la

0. aperta
et

micro-

grandeur,

et

pas pour la

forme, puisqu'ils sont galement aplatis et minces. VL Cnomanien infrieur 0. conica d'Arch. (mgalosphrique)

et

son homologue 0. plana d'Arch. (microsphrique), associes avec O. mamillata d'Arch.; forme microsphrique dont on ne connat pas encore

l'homologue mgalosphrique.
V. Albien 0.
prsente, en rares exemplaires,

siibconcava Leymerie, mgalosphrique, mais qui se un peu plus grands et bien aplatis, qui

sembleraient reprsenter l'homologue avec microsphre. IV. Aptien 0. lenticularis (Blumenbach) mgalosphrique, dont on
,

ne connat pas encore l'homologue B. III. Aptien 0. conoidea Gras (forme A) etO. discoidea

Gva.s

(forme B).


II.

i34

Barrmien suprieur
?)

biilgarica Toula

et 0.

0. bulgarica Boue, mgalosphrique (= 0. concava Toula, microsphrique (= 0. concava

Lamk.
I.

?).

Barrmien suprieur 0. coniilus n. sp., qui comprend les formes A et B. Pour cette espce, M. Douvill rappelle les figures 2 (forme mgalosphrique) et I (forme microsphrique) publies en 190.4 par lui-mme:
Bull. Soc. Gol. France,

Dans
tre

cette

Etude

PL XVII.
dont
les

rsultats stratigraphiques
accueillis

demandent

confirms avant qu'ils puissent tre

comme

dfinitifs,

par leur application aux couches Orbitolines de localits diffrentes, dont on connat l'ge au moyen de fossiles d'autres classes zoologiques, l'auteur a relev que, dans les Orbitolines, contrairement aux conclusions en principe auxquelles tait parvenu M. Ch. Schlumberger
l'gard des Foraminifres, et en particulier pour les Genres Biloculina,
Triloculina,

Quinquelociilina et Adelosina, les formes

sont les plus

caractristiques pour la dtermination de l'espce; mais cependant,


il

quand

s'agit de
la

rassembler des

mmes formes dans

des espces diffrentes,


il

si

dtermination de celles-ci n'est point

facile,

conviendrait de se
l'auteur

rapporter aux formes B.

Pour chacune des espces que nous venons de

citer,

donne

des indications opportunes pour les faire reconnatres,

mme

sans en

donner les figures, mais se rapportant aux auteurs, ou bien par les mesures de chacune d'elles, exposes dans un tableau, et consistait en diamtre de la base et en hauteur ces mesures doivent, notre avis,
;

tre

entendues avec discrtion,


il

parce qu'elles peuvent varier,


l'autre,

comme
de

frquemment

arrive,
fait

d'un gisement

rnme

s'il

s'agit

gisements tout

du

mme
l'Ile

ge.

Les Foraminifres de
avoir
fait

l'histoire

palontologique

Aprs de Nias, par M. H. Douvill (i). et stratigraphique du sujet, dj

trait par MM. Brady, Verbeek, Martin et par M""^ Icke, l'auteur reprend l'examen lithologique et palontologique des matriaux de l'le de Nias au sud-ouest de Sumatra matriaux que les auteurs susdits avaient ou identifis ou dcrits, et que, quant aux fossiles, M. H. Douvill a fait
;

figurer sur d'excellentes phototypies.

Le Travail
se

est riche

en importantes observations palontologiques, qui


:

rapportent particulirement aux formes suivantes

Nummiilites kelatensis Carter

A^.
;

bagelensis Verbeek

A^.

Ixvigata

Lamk.
(i)

Assilina graniilosa d'Arch.

A. orientalis nov. sp. (forme

numdans
le

Leyde, 1912.

Saininl.

Geol. Bciclis-Mus. Leiden (i),

t,

VIII;,

pp. 258-278,

fig.

texte, PI,

XIX-XXI.

i35

comme
dans
les
;

mulitode trs renfle, avec quelques granulations au centre, mais qui se


prsente cependant avec des loges limites,
la rgion quatoriale)
;

Assilines,

Orthophragmina decipiens Fritsch AlveoUna LepidocycUna Verbeeki Newton et Holland L. angujavana Verbeek losa [Provale] L. inflata [Provale] L. Ngembaki Chapman (= L. insuhcMiogypL. siimatrensis Brady natalis Schlumberger, non Chapman)
;
;
;

sina irregularis Michelotti, var. orientalis H. Douvill.

D'aprs l'tude des faunes contenues dans


ques, l'auteur conclut que, dans'
rains suivants
4)
:

les

matriaux lithologiles ter-

l'le

de Nias, sont reprsents

Burdigalien Miogypsina
est

et Neplii'olepidiiia (cette

dernire dno-

employe par M. H. Douvill pour dsigner les Lpidocyclines loges ogivales, et l'appareil embryonnaire constitu par une loge en forme de haricot, accole une loge sphrique). 3) Aquitanien, distingu par de grandes Lpidocyclines du groupe
mination

que l'auteur appelle Eiilepidilia (c'est--dire: avec des loges spatuliformes avec un appareil embryonnaire constitu par deux loges, dont la majeure enveloppe compltement la plus petite.
et
2)

Luttien

suprieur,

prcis

par Nummulites pengaronensis,

Assi-

lines, Alvolines et
i)

Orthophragmines.

Luttien moyen, caractris par

Nummulites

hvvigata,
A.

N. Lamarorientalis,

cki

?,

N.

bagelensis,

N.

kelatensis,
et

Assilina granulosa,

Orthophragmina decipiens,
Il

AlveoUna javana.

nous semble qu'on peut accueillir ces conclusions sans discussion. Ce Travail contient aussi un essai critique sur quelques Lpidocyclines
dilatata,

(L.

L.

Carteri,

L.

Gallieni, L.

insulsc-natalis,
,

L.

gigantea,

L.

Ngembaki,
beeki, L.

L. Provalei, L.

formosa, L. Richthofeni

L.

inermis, L. Ver-

Toiirnoueri, var. angiilosa et var.

inflata,

L.

sumatrensis)

et

propos de celles-ci, l'auteur affirme que

:<(les

caractres les

plus prcis pour la distinction des Espces sont donns par la forme et la disposition des piliers latraux; sur cela nous ne pouvons pas tre d'accord
avec
liser
lui,

parce que nous croyons que ces piliers sont bien variables
l,
il

et

que, par

manque

cette prcision de caractres qu'il voudrait uti-

pour distinguer les espces dans les Lpidocyclines. Nous retenons encore que toutes les nombreuses soi-disant espces de Lpidocyclines peuvent se rduire bien peu, quand on donne une juste valeur tous les caractres diagnostics, et cela avec un avantage rel pour la gologie et nul dsavantage pour la palontologie, qui compte par trop! d'espces mal institues.


palontologiste
et

i36

(i).

Quelques Foraminifres de Jina, par M. H. Douvill


gologue franais, M.
H.
Douvill,

Le savant
et

dcrit

repr:

sente la perfection, par des phototypies trs bien russies, les espces

Nummulites Vredenburgi Prever ( N. lvigata selon Verbeek), N. Djokdjokartai Martin { N. Larmarcki selon Verbeek), A^ pengaronensis Verbeek, Orthophragmina javana (Verbeek) (= Orbitoides discus Rutimeyer et Ojbitoides papyracea Boube, var, javana Verbeek), 0. Fritschi nov. sp., 0. omphalus Fritsch, 0. dispansa (Sowerby), 0. decipiens Fritsch (= Orthophragmina dispansa selon Schlumberger) dont les spcimens recueillis par M. le professeur et M" Martin sur les bords du fleuve Pourou (Kali Pr) Nangoulan (rsidence de Jojakarta, = Djok,

djokarta) dans
Il

l'le

de Java, avaient t fournis l'auteur par M. Martin.

dans quelques-uns desquels M. H. Douvill a pu observer encore aujourd'hui l'clat jalin ou vitreux du tt, qu'on trouve seulement, l'ordinaire, dans les formes rcentes. Ces chantillons appartiennent au gisement dj tudi, en i88i, par
s'agit de fossiles trs bien conservs et
D"" Verbeek, et M. H. Douvill ne manque pas de faire dans son une introduction historique au sujet des recherches palontologiques du premier auteur, mais venant aussi en mender les dterminations palontologiques dans le mme sens que ci-dessus. A l'gard de la stratigraphie, M. H. Douvill prcise la position du gisement considr dans l'Eocne suprieur il faut observer, ce propos, que les couches contenant la faune Nummulites et Orthorphragmina que nous venons de citer, sont immdiatement au-dessous d'autres qui contiennent des Nummulites du groupe de A', intermedia, associes

M.

le

crit

avec des Lpidocyclines.

L'abondance des matriaux que l'auteur


de Nangoulan
sa
et celles

a eu tudier, lui a
les

permis

de faire des comparaisons trs intressantes entre


d'autres gisements
;

formes des espces comparaisons qui donnent


aurait t plus

publication une valeur particulire, qui, cependant,


si

grande

nous avait fait connatre les sections orientes dss espces dont il s'est occup il a prfr s'arrter en dtailler les particularits extrieures, mais cela, et il faut le reconnatre, avec une comptence et une exprience tout fait particulire. Sa nouvelle espce Orthophragmina Fritschi, trs mince et avec un mamelon arrondi au centre, et bien relev et marqu aux contours, granule la surface, rappelle les formes attribues Orbitoides papyracea et Orbitoides dispansa par M. Fritsch, qui M. H. Douvill a ddi
l'auteur
;

mme

le

fossile.

(i)

Leyde, 1912.

Samml,

Geol. Fteichs-Mus. Leiden (i),

t.

VIII, pp.

279-29/i,

PI,

XXII-

XXIV.

On some

i37

etc.,

Foraminifera from Ihe North Sea,


I.

Fisheries Cruiser Goldseeker


tigations-Scotland).
structnre.
II.

dredged by Ihe Sea In\esOn some nevv Astrorhizidai and their Schell(International North

On

the Distribntion of

8 accaminina, sphserica
(Schulze)
in

(M.

Sars)
:

and
;

JPsajnmosphra tasca

the

North Sea

parlicularly vvith rfrence to tlie suggested identily o the tvvo species by MM. E. Heron-Allen and A. Earland (i). Des

Astrorhizides, des Saccamines et des

dans diffrents terrains

Psammosphres ont t retrouves gologiques de sdiment marin, du Crtac princiil

palement

cependant,

comme

s'agit d'tres

polymorphes, au

tt consti-

tu par l'aggrgat, souvent peu cohrent, d'lments minrognes et zoo-

mme en faisant abstraction de la difficult particulire qu'on trouve les isoler des rochers qui les contiennent, la dtermination en rsulte bien souvent difficile. Nous pouvons donc voir d'un trs bon il l'actuelle publication de MM. Hron-Allen et Earland, qui, par l'exgnes diffrents,
cellente figuration de diffrents exemplaires de la

Mer du Nord

et

de

l'Ocan Atlantique, accompagne d'un trs bon commentaire descriptif,

rendra plus
les
la

facile,

l'avenir,

cette

tche.

Il

faut observer,

pour ceux
par
l,

qui ne sont pas des spcialistes, que les Astrorhizides, les Saccammines et

Psammosphres ont peu ou point


la

vari travers le

temps

dtermination de leurs formes fossiles doit tre fonde en gnral

sur

comparaison de
peut rpter cela

celles-ci avec les rcentes.

mme l'gard des Rhizopodes rticulaires au plasmotracum peu compliqu, en gnral, pour lesquels il nous semble un grave tort, celui des palontologistes, de ngliger tout ce qui se rapporte aux formes rcentes, dans le prjug que ces formes doivent
On
tre ncessairement diffrentes des formes fossiles de l, la consquence de fonder des espces embarrassantes pour le gologue et encombrantes pour la palontologie, qui n'en avait aucun besoin. Dans le Travail de MM. Hron-Allen et Earland, ici analys, nous
;

trouvons tablies

les

nouvelles espces
spii'alis.

Psainmosphra

riistica,

P.

Bow-

manni

et

Marsipella

Jlie Foraminifera in tlieir rle as world-bnilders Review of the Foraminiferons Limestones and other rocks of the eastern and western Hmisphres, by MM. E. Heron-Allen and A. Earland (2). Rapide revue palontologique travers les ges gologiques, des Rhizopodes rticulaires qui ont donn principalement origine des roches
:

()

Londres, 1912
26, PI. I-IV.

et igiS.

Journ. R. Micr, Soc, 1912, pp.


(2),
t.

382-889, PI.

et

VI

igiS,

pp.

(2)

Londres, igiS.

Journ. QiickcU Micr. Club

XII, pp. i-iG, PI. I-III.


qu'eux-mmes ont
caractrises,

i38

ou bien, qui sont contenus dans des

roches anciennes, de sorte que leur prsence en celles-ci est la preuve d'une grande longvit animale. Mais les auteurs y laissent dessein en suspens la question de l'Eozoon, parce que M. R. Kirkpatrik, du
British

Musum,

vient de la rouvrir, tandis qu'on croyait qu'elle tait


la collocation

dsormais dcide avec


minral,

en soutenant

preuves videntes

de cet tre quivoque dans

le

rgne

la

en promettant d'en donner bientt des nature animale (Rhizopode) de l'Eozoon.


et
la

La revue susdite a un grand intrt pour


bibliographie des ouvrages douze photomicrographies
qiii

philosophie naturelle, au

regard du phylum des Foraminifres. Elle est termine par une bonne
se rapportent

au

sujet,

et

complte par
les plan-

trs bien excutes,

contenues dans

ches annexes au texte, de roches fossilifres


et

et

consistant dans la reproduction de sections


fossiles.

de leurs

Osser\azlojii sopra la Ciislellaria galea Fichlel e Moll, di E. Der-

vieux
est

(i).

L'auteur,

relation avec son

aprs avoir analys deux Notes ayant une argument, l'une due M. C. Fornasini, dont
)),(i)

troite
le

titre

SiiUa nonienclatiira di iina CristeUaria pliocenica

et

l'autre

due

M.

Silvestri et intitule
(2)

((

SuUa

striittwa di iina CristeUaria plio-

cenica

vient soutenir une thse tout fait contraire celle


:

de ce dernier rhizopodiste
Moll).

c'est--dire

que CristeUaria galea (Fichtel


Cr.

et

Moll) n'est pas, au regard de l'espce, identique Cr. cassis (Fichtel et


Il

observe que,

par son interprtation,

galea est beaucoup

plus voisine de Cr. elongata (d'Orb.), de

Cr. aiiris (Soldani), et des for;

mes

allies

de celles-ci, que de Cr. cassis


et

toutefois,

il

de Cr. galea de Fichtel


vestri,

Moll pourrait bien


et

se reconnatre

admet que le type synonyme


galea A.
Sil-

de Cr. cassis var. galeiformis Dervieux


sans

Cr.

cassis var.

prjuger de l'attribution

de C.

galea

selon

M.

Dervieux

une espce diffrente de Cr. cassis, ou bien une varit de qu'on devrait, dans ce cas, nommer var. galeata Dervieux. Dans cet ordre d'ides, M. Dervieux pourrait tre dans le vrai, mais franchement son point de dpart est bien singulier, car il s'attribue la facult d'interprter son gr une espce tablie par Fichtel et Moll depuis 1798. Mais abstraction faite de cela, ces questions de nomenclature ne peuvent pas se dcider sans la publication de documents iconographiques, ce que M. Dervieux n'a point fait l'appui de sa Note.
Cr. elongata,

mme,

(i)

Rome,
Rome,

(2) (3)

Parme, ign.

Atti PontiJ. cc. N. Lincei, anne LXVf, pp. lg-iOa. Riv. Italiana Paleont., anne XVII, pp. 78-80, avec 1912. Mem. Pontif. Acc. N. Lincei, Vol. XXX, pp. 2i3-2i/i,
igiS.
i

fig.

dans

le texte.

lig.

1-12

dans

le

texte.


Mainzer Beckens, von
le
II.

iSg

Die Foramiiiiferen des Cyrenenmergels

Paalzow

(i).

M.

und des Hydrobientones des


Erich Spandel
et
il

s'tait pro-

pos de continuer ses recherches palontologiques


bassin oligocne de Mayence
sa
le

gologiques
avait
recueilli

sur

(2),

et

pour cela
a

de

nouveaux matriaux que,


qui avait t
le

mort, sa veuve
disciple et l'ami
la

confi M.

Paalzov^^,

subordonn,

du dfunt. M. Paalzow,
Spandel
s'tait

avec reconnaissance, a rsolu

tche que M.

fixe et,

dans la susdite Note, il nous fait connatre l'illustration descriptive et graphique des Rhizopodes fossiles trouvs par M. Spandel dans les sables, les marnes, les argiles et les schistes oligocniques de diffrentes localits du susdit Bassin, mais surtout dans les marnes Cyrnes d'Offem-

bach

et d'Alzey.
la

Deux espces nouvelles figurent dans la faune publie, dont importante et la mieux dtermine est Cornuspira conica, du
Crithes d'Offembach
:

plus

sable,

c'est une petite forme au test tubulaire, attribue,, probablement avec raison, au Genre Cornuspira, laquelle prsente l'enveloppement spirale conique plutt qu'aplatie. On doit son nom spcifique M. Spandel, qui l'avait not sur la prparation en baume du Canada. La faune en question est, en rsum, ainsi constitue Triloculina trigonula Lamk., Quinqueloculina seminiilum Linn, Q. impressa Reuss, Saccamina minutissima d'Orb., Ammodiscus incertus d'Orb., Spiroplecta carinata d'Orb., Bulimina acicula Andreae, Bolivina Beyrichi Reuss, var. melettica Andre, Bolivina piinctata d'Orb., Nodosaria oviciila d'Orb., Polymorphina gibba d'Orb., P. lanceolata Reuss, P. soroiia Reuss, Uvigerina aff. teniiistriata Reuss, Globigerina buUoides d'Orb., PuUenia sphroides d'Orb., Sphroidina bulloides d'Orb., Diset
:

tiilina

corbina turbo d'Orb., D. rugosa d'Orb., D. globularis d'Orb., TriincaSpandeliana nov. sp., Anomalina ammonoides Reuss, Planorbu-

mdit erranensis d'Orb., Pulvinulina Kiliani Andrese, P. petrolei Annonioninoides Andrese, Cornuspira conica Spandel. La nouvelle contribution que les tudes de M. Paalzow viennent de nous apporter pour la connaissance de l'Oligocne du Bassin tertiaire de Mayence, mrite beaucoup de considration, et elle en aurait mrit davantage, si l'auteur n'avait pas nglig compltement les synonymies
lina
dreae, P.

des

espces dcrites,

ainsi

que leur comparaison avec

celles

d'autres

(i)

Offembach-sur-le-M., 1912.
:

51-53. Bericht Offenbacher Ver. Naturk., 1912, pp. 59-7/1,

PI. I-II.

Der Rupelton des Mainzer Beckens, seine Abteilungen und deren (2) Voir Foraminiferenfauna, soiivie einige weitere geologiscli-palaontologischen i%littheilungen liber das Mainzer Beciien. OITenbach-s.-le-M.. 1909. 5o, Jabrescher.

Off.

Ver. Natark., pp. 1-17/1.


rgions
;

i4o

et celle

lacune ne confre pas au Travail rintrt palontoloet

gique qu'il aurait acquis autrement,


pas lui donner
les figures,
;

que, certainement, ne contribuent

assez mdiocres,

contenues dans
il

les

deux

planches qui l'accompagnent


la

avec ces figures


et

est difficile,

en gnral,

de faire des identifications exactes,

en particulier pour ce qui regarde

Triloculine et les Quinqueloculines, qu'on y a reproduites, ainsi que

nou\e\\eTnincatuUna Spandeliana. Il faut ici rappeler que, except et bien peu d'espces, les Rhizopodes de l'Oligocne ne sont pas tout fait .bien connus.
la

quelques espces,

Sur quelques Orbitodes de Cahlie


htie,

,pai'

M. A. Kiabinin
M.

(i).

A Ca-

dans

le

gouvernement de
et

Tiflis

(Transcaucasie),

Riabinin a

trouv, dans des assises constitues de grs compactes et d'argile noire,


ou- bien

de marnes blanches

de grs jaunes, avec des granules de

glauconite, des fossiles consistant en Nullipores, en Condrites, en Rotalides,

en Lpidorbitodes, en Orthophragmines

et

en Bryozoaires, tous

coexistant en gnral dans la

mme
((

roche.

Dans

la
l

considration du caractre mixte offert par leurs faunes, dans


'auteur a relev des

m c a n i q ii e s d r d' rh it o d e s sens, st r. , il assigne les assises qui les renferment l'Eocne moyen (Luttien), en observant cependant, et nous retenons que l'observation concerne des couches faune pure que il se p & 'm t d'aillesquelles

thophragmines

mla n g typiques et

e s

'

((

leurs

qu'une
C

partie
r
t

de

l'assise
i

marneuse
Et voil que,

ap-

partient' au

d'une manire trange et imprvue, se reprsente pour la formation gologique de Cahtie considre par M. Riabinin, la question originairement pose en Italie l'gard de la formation analogue de Termini-Imerese (contre
a

ce

u p r

u r

Calcasacco)

ceux de Cahtie, de

o on retrouva des fossiles en tous points semblables ; mme qu'une petite faune Orbito'des d'un type
qui, par sa particulire importance,'

parfaitement crtac.

Mais

le fait

spcial l'tude de M. Riabinin, c'est

autant que matriaux qu'il a considrs, l'gard de ce qu'il vient de publier, se ressemblent d'une manire frappante, (et cela surprend d'autant plus que les distances des gisements sont trs considrables) ceux de Termini-Imerese et de la province de Palerme,

palontologiquement

que

lithogiquement

donne un

intrt trs

les

en

Italie.

D'ailleurs,

quant aux

fossiles,

ce

fait

n'avait pas chapp

(i) Saint-Ptersbourg, 1911.

Bull.

Comit Gol. Russie,

t.

XXX,

n' 8, pp. 669-686,

fig.

dans le texte, PI. XV-XVI. Travail publi en russe, mais qui contient dans les dernires pages un rsum en franais et la rptition dans cette langue de l'explication des planches qui l'accompagnent.

Ml

M. Riabinin, qui, chaque ligne cite pour ses comparaisons des formes de la province de Palerme, qui pour la plupart existent aussi TerminiImerese (contre Calcasacco), formes illustres par MM. G. ChecchiaRispoli et M. Gemmellaro.

Quant

la valeur

qu'il a tenu

du Travail de M. Riabinin, nous devons observer peu compte des nombreuses variations des espces, dpentest,

dantes des conditions d'accroissement du


n'est pas

de son ge,

etc.

etc.

variations se rapportant aussi l'appareil embryonnaire, et pour lesquelles


il

prudent de procder,

comme

a fait l'auteur, l'identifi:

cation d'espces par l'examen d'un ou de peu d'exemplaires

il

vaut

mieux en tudier d'abord plusieurs du gisement en tchant de retrouver pour chaque groupe spcifique, les deux formes homologues (mgalosphrique ou A et microsphrique ou B), et aprs cela procder la dtermination. M. Riabinin est donc tomb, notre avis, dans quelques inexactitudes que nous allons relever et amender au fur et mesuFe, en exposant la liste des fossiles qu'il a identifis ou dclars nouveaux, en avertissant que notre vrification est fonde surtout sur les comparaisons faites par l'auteur avec des formes dj bien connues,
sections quatoriales des fossiles, les seules qu'il a produites,
et

sur les

mais bien
0.

produites, en phototypies trs soignes.

Orthophragmina
Espces sur
fication
la foi

Stella

(Gmbel), 0.

cf.

radians (d'Arch.),
;

Tara-

mellii Mun.-ChalnrTI 0. maltiplicata

(Gumb.)

nous devons accepter ces


la

de l'auteur, parce qu'il n'en reproduit pas


suffisantes

forme,

ou parce que leurs figures ne sont pas


:

il

est

cependant bien probable qu'il a


(P)

pour une bonne vrifait une juste dter-

mination.

Orthophragmina
espce,
dire

prima Checchia-Rispoli
est

comme

son type,

cette et M. Gemmellaro une Lepidorbitoides A. Silvestri, c'est-;

une Orbitodes aux loges quatoriales de Lpidocycline. C'est

sin-

gulier que des formes semblables ne soient pas encore prsentes avec une

microsphre.
Orbitoides socialis (Leymerie)
;

une autre Lepidorbitoides, qui corressp.


;

pond au type de Leymerie. Orbitoides Bogdanovici nov,


;

il

s'agit

certainement d'une l'orme d'O. gensacica (Leym.). Orbitoides caucasica Bogdanovic (1906) il s'agit, comme pour le type spcifique, d'une simple

race

d'O.

apiculata

Schlumberger.

Orbitoides
et

mdia (d'Archiac)
le

spcimen correspond pi. XVI celui la fig. i, pi. l'auteur de XVI, de de la fig. 3, clairement 0. apiculata Schlumb. Orbitoides apiculata Schlumberger il ne s'agit pas d'O apiculata typique, mais d'une lgre variation qui
dtermination juste seulement en partie
;

prcisment pour

s'approche de

la

c'est la varit,

Orbitoides Schuberti Checchia-Rispoli forme suivante ou bien la variation d'O. apiculata Schlumb. correspon:

1^2

dante 0. Savent A.

Silv.

(igoj), O. Hollandi

Vredenburg (1908)
;

et 0.

Schiiberti Cliecchia-Hispoli (1909). Orbitoides sp.

celle-ci,
sciila

trouve ressemblante, par sa configuration, O.


et
;

M. Riabinin la Checchia-Rispoli

M. Gemmellaro en effet, il s'agit d'O. gensacica (Leym.), dont 0. siciila est un synonyme. Il semble que M. Riabinin n'ait pas retrouv dans ses recherches aucune forme microsphrique d'Orbitodes nanmoins, il a rencontr (et nous nous reportons aux fig. i et 2 de la PI. XVI) de petites Rotalies,
;

peut-tre

mme
fig.

des Calcarines, et sans doute Siderolites calcitrapoides


la cite pas,

Lamk., qui, quoique M. Riabinin ne


d'aprs les
ques.
i

parat tre trs frquente,

et

susdites,

qui reprsentent des sections lithologila

Par

la

premire, on relve aussi

coexistence,

dans

la

mme
et

roche, d'Orbitodes, de Rotalia, de Siderolites, de

Lithothamnium
et

de

Bryozoa. Seulement,
le

la

prsence des Litbothamnes

des Bryozoaires, et

manque de

reprsentants du genre Omphalocycliis Lamk., Adendrait


la

apporter une diffrence dans

constitution des roches Orbitodes

du

gouvernement de

Tiflis,

en comparaison des couches senablables de Terprsentent


la

mini-Imerese, dont

elles

contexture, et peut-tre aussi la

constitution minralogique.

La Note ci-dessus analyse dmontre


compte, dans
se
si

la

ncessit
et

de

tenir

grand
facis

les

dductions palontologiques

gologiques,

du

bio-lithologique des roches organogniques qui, avec peu de variations,

elles

correspondent d'une rgion l'autre de la surface terrestre, rnme sont bien loignes, tandis qu'en gnral on nglige de le faire,
la

et

on vient ensuite affirmer

survivance des fossiles anciens

et la

plus

grande anciennet de fossiles retenus rcents, et cela en se basant sur le simple fait de les avoir trouvs ensemble dans la mme roche. L'examen litbologique des roches qui contiennent les faunes facis mixte nous a toujours dmontr jusqu' prsent qu'elles sont de nature
clastique, c'est--dire constitues
et

aux dpens de fragments d'autres roches, prcisment de roches organogniques, et il n'est pas encore prouv
les fossiles aient t dtruits

que
faits

par broiement. Nous affirmons, sur

les

qui sont notre connaissance, que ceux-ci, au contraire, se sont

bien conservs

mme

travers plusieurs priodes gologiques.

Quand,

par exemple,

les tests

des Foraminifres se sont ptrifis et sont rests

remplis, dans toutes leurs loges et cavits, de calcaire dur, et incrusts

extrieurement du

mme

calcaire,

ils

peuvent dfier

le

temps
ils

et

pren-

dre part inaltrs -tous les remaniements possibles et imaginables, dans


lesquels outre que par la duret et la rsistance acquise,

sont sauvs

de

la

destruction par leur forme ronde ou presque ronde, ou bien par

leur extrme petitesse.


II

i43

Studien iiber Foramiiiiferen aus Oest-Asien, von L. RiUten (i). s'agit d'un petit Travail, mais digne de mention, car il est entirement consacr illustrer une nouvelle Alvolinelle du Borno oriental, AlveoUnella bojitangensis, n. sp., trouve dans une marne calcaire tertaire, dont le gisement existe 20 kilomtres environ, l'ouest du village de Bontang, dont le nom a t donn l'espce. La description de cette dernire est prcde de notices historiques, limites au Groupe des Alvolines et formes allies du Tertiaire de l'Archipel Indien.
Cette description a t conduite suivant une trs
qu'elle est fonde sur les sections orientes
suite par de

bonne mthode, parce


reproduites en-

du

fossile,

bonnes photomicrographies, dans la planche annexe la Note, et claircies pour le dtail par le moyen des figures schmatiques I et 2 dans le texte nous apprenons ainsi que la nouvelle espce est particulirement intressante, parce qu'elle occupe une place intermdiaire parmi les Alvolines proprement dites et les Alvolinelles. Elle se prsenta l'auteur avec Myogypsina hifida Rutten (1912) et de petites Lpidocyclines, dans la marne calcaire susdite. Il en indique encore l'existence dans des schistes, dont l'ge a t tabli par M. H. ,Douvill comme Burdigalien, et ces schistes sont aussi du Borno.
;

l)y

Lagen H. M.

of Ihe solIlll-^^es^ Pacific S. \Aatei'vvitcli,


(2).

M. H. Sidel)Ol(om
de feu M.

Ocan. From soundings lalven, Idem, Supplemenlary paper, by L'auteur, qui a pu tudier, grce la veuve
1895.
la

W.

Blundell Thornhill,

splendide collection de Lagnies


avait extraites des essais
et Dart,

du Pacifique du Sud-Ouest, que M. Thornhill


Mmoires
joint

de fond des navires anglais Waterwitch, Penguin


susdits

dans

les

deux
il

publie les rsultats de ses investigations, sobrement


et

complts par de courtes observations

descriptions,

auxquelles

une riche srie de trs belles figures contenues dans les planches qui accompagnent ces Mmoires. Comme il s'agit de formes rcentes, qui, dans l'ensemble, se montent 270 environ, le cadre de cette Revue ne nous permet pas de faire un examen trs dtaill du Travail. Nous nous bornons donc relever que, l'gard de la palontologie, il est d'une grande importance pour la dtermination, quoique approximative, de bien des espces de Lagil rendra aussi de prnines fossiles, et particulirement du Tertiaire
;

Samml. Geol. Reichs-Mus. Leiden, t. IX, pp. 219-22/1, fig. Leyde, igiS. XIV. Journ. Quekett Mierosc. Club, t.Xt (1912), pp. (2) Londres, 1912 etigiS. XlV-XXl; t. XIJ(i9iS), pp. 161-210, PI. XV-XVllI.
(i)
le texte, PI.

et 2

dans

375-63/i, PI.

phique
et

i44

cieux services aux Rhizopodistes pour les notices sur l'habitat gogra-

bathy mtrique qui y sont annexes, la suite de la descripon peut tirer des donnes trs utiles pour une bonne reconnaissance des sdiments marins gologiques. Parmi les espces ou varits nouvelles que M. Sidebottom a dcrites,
tion de chaque forme, et avec lesquelles
les

suivantes mritent une mention particulire


apiciilata

Legena

Reuss, var.
;

punctiilata

n.,

analogue Amphorina

Lagena ThornhiUi n. sp., globuleuse, partage en trois parties extrieurement au moyen de trois carnes, qui se prolongent en forme d'une aile en partant de l'ouverture, et en coulant le long d'un syphon externe bien dvelopp cette espce est aussi doue, dans les segments sphriques dans lesquels elle vient se partager, d'anneaux ovales en relief Lagena lameJIata n. sp., globuleuse piriforme, aux parois petites divisions alvolaires Lagena sp. incert. (191 2 PI. XVII, fig. 4 et 5), fragment ovalaire bien intressant d'un Nodosaride assez prochain des Glandulines, orn de couronnes alvolaires la base Lagena a sp. incert. (191 2, pi. XVII, fig. 6), forme quivoque, au corps ellipsode, dou de deux syphons, dont l'un est trs long et conique Lagena inagnifia n. sp., une sorte de Lagena hispida Reuss, au corps lenticule, c'est--dire de Fissurina Lagena solaformis n. sp., conforme comme un socle quin. Lagena gaJeaformis n. sp., l secpunctulata G.

Seguenza

tion transverse rectangulaire et

munie de carnes suivant


n.

les

diamtres

de

celle-ci.

Lagena semicostata

sp.,

presqu'en forme d'amande, munie

en ha de petites ctes dveloppes sur le ct long de la base et interrompues par une carne mdiane Lagena invaginata, c'est une Fissurine
;

aux faces
nigera n.

contour hexagonal allong, avec


;

les

cts plus petits la


n. sp., et var. sp-

faon de quadrilatre rhombo'dal


;

Lagena reniforwis
la

il

sufft

des adjectifs qui qualifient l'espce et la varit pour

bien dfinir ces deux formes, dont de


la

seconde porte aux deux extrmits


XVIII,
fig.

coquille deux pines aigus, disposes obliquement et divergeant


l'ilus
;

du ct de
semble,
et

Lagena

(?) sp. (?) (1918, pi.

28 et

9J1),

nodo;

saride forme de dame-jeanne empaille, au test


cela peut se
sp.,

mucron en bas
;

il

passer,

qu'il

s'agit

d'une Glanduline

macuJata

n.

sa figure n'offre rien

de particulier, car

elle

Lagena montre

forme trs commune ovodale et mucrone, mais par sa description on parvient connatre le caractre particulier de la strati-

un

test

la

fication de ses parois et de leur structure alvolaire.

Les spcimens de toute

la

srie

de Lagnines qui a servi aux recher.

ches de M. Sidebottom ont t dposes par lui au British Musum de South Kensington, et pourront servir pour d'autres recherches.
Les extraits des deux Mmoires ainsi analyss ont t runis dans un
seul

volume qui porte

le

titre

gnral de

Report on the Lagena of


the South-West Pacific

i45 .

Ocan

et

sous ce

titre

on pourra

les

retrouver

dans

les

catalogues de librairie.

Niiove notizie siii fossili cretacei dlia Conlrada Calcasacco presse Une question avait Termini-Imerese (Palermo), di A. Silvestri (i).

surgi

entre l'auteur et les professeurs

G.

di

Stefano et G.

Checchia-

Rispoli, de l'Universit de Palerme, sur l'ge d'une formation calcaire-

marneuse-argileuse de Termini-Imerese, dans

la

province de Palerme,

dans des couches calcaires peu puissantes dans laquelle l'auteur avait retrouv et dtermin une faune de type franchement crtac, et les professeurs susdits, au contraire, une faune semblable, mais associe avec
des Nummulites,

Orthophragmines, Alvolines

et

Baculogypsines
la

par

ces faits, cette formation avait t attribue par le premier au


et

par

les

seconds

Dordonien

qui en avaient encore relev


et

position au-dessus

de couches fossiles ocniques

en continuation,

au Bartonien.
et

M.
de

Silvestri,

ayant t mis en possession de nouveaux matriaux


faits,

ayant

eu connaissance de nouveaux
la

a cru

opportun de reprendre l'tude

question controverse.

qu'on peut dsormais tablir, et il le prouve par des photomicrographies de la roche fossilire, qu'il ne s'agit pas de fossiles crtacs contemporains la roche, mais antrieurs celle-ci. Cependant^
Il certifie

l'auteur

remarque que,

s'il

n'y avait l'affirmation

unanime des

golo-

gues

italiens,

qui se rendirent sur les lieux, l'occasion du


le terrain,

XXVIIP Condoute qu'au

grs de la Socit Gologique Italienne, et qui conclurent qu'il n'existe

pas de Crtac in sitn dans


lieu d'Oligocne (et cette

il

resterait
il

en

lui le

dtermination

arriverait par la critique des

observations stratigraphiques et palontologiques de

MM.

di Stefano et

galement de Crtac, comme il avait tabli au commencement de ses recherches. Et cela par le fait bien singulier d'une faune crtace pure, dans un terrain post-crtac ayant des fossiles propres d'autres couches du mme gisement.
Checchia-Rispoli)
il

s'agit

Dans

le

Travail actuel, on trouve des illustrations de

Orbitolina Pacalcitra--

ronai Prever,

Orbitoides apiciilata

Schlumberger,
etc.;

Siderolites

poides Lamk., Polytrema miniacea [Pallas],


tacs et de ces derniers

les

planches reproduitrs intressante

sent en hliotypie et agrandies, des sections de la roche fossiles cr-

une des sections montre une forme d'Orbitoides gensacica [Leymerie].


;

que, quelle que soit qu'on peut donner et admettre pour le phnomne de il est de telle Termini-Imerese faune crtace dans le Palogne

L'auteur termine son crit avec l'observation

l'explication

(i) Pise,

1912.

Palaeontogr. Italica,

t.

XVIII, pp. 29-56,

fig.

1-8

dans

le texte, PI. VI-VII.

i46

le territoire de Terminipour lesquelles on donna la pltis

sorte rendre suspectes toutes les dterminations chronologiques fondes

sur les faunes facis mixte, retrouves dans

Imerese,

et d'autres

encore de

la Sicile,

grande importance aux fossiles les plus anciens, s'ils taient ocnes, et rendre suspectes aussi les prtendues survivances de fossiles crtacs
dans l'Eocne
et

de fossiles de l'Eocne

moyen dans
;

le

suprieur,

oti

bien dans l'Oligocne, en prsence des considrables remaliiements de

matriaux dans l'Oligocne en particulier et cela commencer par les matriaux crtacs dordoniens, et peut-tre encore par les cnomaniens, pour finir, si vraiment ils finissent ici, avec les lments bttoniens.

Nous pouvons aujourd'hui ajouter qu'on a dsormais des exemples remaniements analogues dans des terrains gologiques d'atitres et bien diffrentes rgions par exemple, on a vrifi, dans les
certains de
:

calcaires de Slonta, en Cyrnaque, l'existence de formes oligocniqUes,

en compagnie de formes mdiomiocniques et dans des Calcaires de Cahtie, dans la Transcaucasie, qu'ils contiennent des Orbitoides s. stf.
;

en

mme temps que des Orthophragmines dans certaines couches, tandis que dans d'autres, avec les Orbitodes, il n'y a plus de reprsentants de ce Genre du Palogne, exactement comme ce qu'on a dit pour

Termini-Imerese.

list of Ii'ish

Liassic Foramiiiifera

list

of the Fossils of Ihe

Estuaiine Clays of the Coiinlies of Dovvn and Antiim, by M- S. A. Stewart. A list of Ihe Cretaceous Microzoa on the Xorfh of Ireland. Rcent Foraminifera of Down and Antrim. The posi tertiai'y Foraminifera of Ihe North East of Ireland. A list of rcent Foraminifera ohlained dnring the Belfast Naturalist Field Club's excursion to South Donegal, August, 1880. Sponge remains from the carboniferous limestone of Ben Bulben, County Sligo. Foranlhiifera of the Belfast Naluralists' Field Club's Cruise off Belfast Lough, in the Steam-Tug Protector , June, 1885 also Foraminifera lound by Dr. Malcomson, at Rockport, Belfast Lough. A list of the Cretaceous
;

Foraminifera of Keady Hill, County Derry, by M. J. Wright (i). Dans les extraits de Notes varies pour le sujet et de divers auteurs
publies de 1871 jusqu'en 1886, dans les appendices des
th Belfast Naturalist' s Field Club
,

Proceedings of

dans un seul volume, sous le titre susdit, paru en 191 3, mais qui parat tre une seconde dition du volume publi en 1887, avec un titre presque identique
recueillies

Lists of the Flora, Fauna and Palaeontology of the North of Ireland (i) Belfast, igiS ? by Members of the Belfast Naturalists' Field-Club, pp. 25-20, 35-37 et 4o, 7/1-99, ioi-io8, 1^9, i63, ,.79;i87, 189-190, 3 [7-325, PI. IMK, IV, VIII, XXVi, XXVII.

i47

nous trouvons runis plusieurs travaux du savant rlii/opodiste irlandais M. Joseph Wright travaux qui taient devenus de difficile consultation, parque qu'ils sont pour la plus grande partie disperss cause de leur petite extension. Le recueil prsent peut tre bien utile, soit qu'il se rapporte des formes fossiles, soit qu'il considre des formes rcentes, ceux qui tudient la palontologie des Ostracodes, des Poriphres et des
;

Foraminifres.

Quant ces derniers,


recueil

il

nous semble

utile d'appeler l'attention

du

lecle

teur sur les illustrations graphiques et descriptives,

contenues dans

indiqu,
:

des

formes d'un intrt spcial,

dont nous donnons


Glandiilina

ci-joint la liste

Bolivina decoraia Jones,


obliqiiilimbata Jones,

Gaudryina Jonesiana Wright,

Hyperamnna arborescens (Norman), Lagena mar-

ginata (Walk'er Jacob) var. iiici-quilateralis Wright, L. semilineata Wright,

Nodosaria Zippei Reuss var. alternata Wright, Polymorphina damcornis Reuss, P. horrida Reuss, Ramulina aculeata (d'Orb.), R. brachiata Jones, R. Isevis Jones, Spirillina margaritijera Williamson, Spiroplecta

prlonga (Reuss), Thuraminna papillata Brady,


(Jones).

Vagnulina Reussiana
ques-

Dans

le

volume

cit,

on trouve des

extraits de Notes sur des

tions diverses, toujours se rapportant la palontologie, mais d'autres

auteurs, par exemple sur les Graptolites de County

Down, par Ch. LapMollusques de


la

worth (avec

trois

belles

planches

V-VII),

sur les

boulder clay

du nord-ouest de

l'Irlande, par A. Stew^art, etc.

RGLES INTERNATIONALES DE LA NOMENCLATURE


ZOOLOGIQUE,

ADOPTES PAR LES CONGRS INTERNATIONAUX


DE ZOOLOGIE
(1).

Considrations gnrales
Article premier. La nomenclature zoologique est indpendante de la nomenclature botanique, en ce sens qu'un nom d'animal ne peut tre rejet pour ce seul motif qu'il est identique un nom de plante. Mais, si un tre
Blanchard, du rapport de M.
ainsi

(i)

Traduction, rvise par


;

iM.

Stiles,

Monaco

ce

document que nous publions


le t.

que nous

l'avons

adopt au Congrs de promis nos lecteurs est

reproduit d'aprs

XXXIV,

[,,

p.

i85

du

Bail. soc. zool. de Fr. (igi/t).


est transport

iA8

vgtal dans le rgne animal, ses noms botaniques nomenclature zoologique avec tous leurs droits la priorit. Si un tre est transport du rgne animal dans le rgne vgtal, ses noms zoologiques sont maintenus dans la nomenclature zoologique. Recomm. On doit viter d'employer, en zoologie, des noms gnriques existant dj en botanique. Art. 2. La dnomination scientiflqvie des anima\ix est uninominale pour le Sous-Genre et tous les Groupes suprieurs, binominale pour l'espce, trinominale pour la sous-espce. Art. 3. Les noms scientifiques des animaux sont des mots latins ou latiniss, ou considrs et traits comme tels, au cas o ils ne seraient pas

du rgne

la

sont incorpors

d'origine classique.

Du nom
Art.
de
la
II.

de Famille et de Sous-Famille
Famille est form en ajoutant
la

Le nom de

la

Sous-Famille, en ajoutant la dsinence inx au radical servant de type.

dsinence idx., celui du nom de Genre


tre chang,

Art.

5.

quand

le

Le nom d'une Famille ou d'une Sovis-Famille doit nom du Genre servant de type est lui-mme chang.
Du nom
de Genre et de Sous-Genre

Art.

6.

Les

noms

des Genres et Sous-Genres sont soumis aux


;

mmes
nomen-

rgles et

recommandations

ils

sont coordonns
(i).

ati

point de vue de

la

clature, c'est--dire de

le

gnrique passe au rang de nom subgnrique, quand Genre passe au rang de Sous-Genre, et rciproquement. Le nom gnrique consiste en un mot unique, simple ou comArt. 8.
Art.
7.

mme

valeur

Un nom

rme premire lettre capitale et employ comme substantif aii Canis, Pera, Ceratodus (2). Hymenolepis. nominatif singulier. Exemples Certains groupes biologiques, qui ont t explicitement proRecomm. poss comme groupes collectifs, non comme imits systmatiques, peuvent tre traits, pour la commodit, comme s'ils taient des Genres, mais ils ne
pos, crit par
:

comportent pas d'espce-type. Exemples


Agamofilaria,

Agamodistomiun, Amphistomalum,
:

Agamomermis, Sparganum.

peut prendre comme noms gnriques Des substantifs grecs pour lesquels les rgles de la transcription latine Ancylus, Amphibola, Aplysia, seront suivies (voir Appendice F). Exemples

On
o)

Pompholyx, Physa, Cylichna. h) Des mots grecs composs, dans lesquels

l'attribut

est

plac avant

le

(i) Aucune indication n'a t donne en ce qui concerne les Sections qui cependant sont mais il est vident que les mmes ncessaires dans la plupart des Genres et Sous-Genres rgles doivent s'y appliquer [Note de la Direction]. il semble consacrer un barbarisme lalin, (2) Cet exemple est peu heureusement choisi
; :

Ceratodus, au lieu de Ceratodon [Note de

la Direction].
K


mot
principal. Exemples: Stenogyra,

Ug

Pleurobmnchus, Tylodina, Cyclostomum, On peut nanmoins admettre des mots forms sur le modle du mot Hippopotamus, c'est--dire dans lesquels l'attribut est aprs le mot principal. Exemple Philhydrus, Biorhyza. c) Des substantifs latins. Exemples Ancilla, Auricula, Dolium, Harpa, Oliva. Les adjectifs (Prasina) et les participes passs (Productus) ne sont pas recommandables (i). d) Des mots latins composs. Exemples StiUger (2), Dolabrifer, SemiSarcoxystis, Pelodites, Hydrophilus, Rhizohius.
: :
:

fusus.

Des drivs des mots grecs ou latins exprimant la diminution, la compaExemples Dolium, Doliolum ; Strongylus, Eustrongylus ; Limax, Limacella, Limacia, Limacina, Limacites, Limaciila ; Lingula, LinguleUa, Lingulepis, Lingulina, Lingulops, Lingulopsis ; Neomenia, Proneomenia ; Buteo, Archibuteo ; Gordius, Paragordius, Polye)

raison, la ressemblance, la possession.

gordius.

Des noms mythologiques ou hroques. Exemples Osiris, Venus, BriVelleda, Crimora. Ces noms prennent tme dsinence latine, quand ils ne l'ont pas dj {/Egirus, Gndulid). Cleopatra, g) Des noms propres en usage dans l'antiquit. Exemples
/)
:

singa,

Belisarius, Melania.

Des noms patronymiques modernes. On leur adjoint alors une dsinence la signification d'une ddicace a. Tout nom termin par une consonne prend la dsinence ius, ia, ium. Selysius, Lamarckia, KUikeria, Mlleria, Stalia, Kryeria, IbaExemples
h)

qui leur donne

nezia.
,S.

Tout

nom
ia.

la

dsinence

termin par l'une des voyelles e, i, 0, u, y, prend simplement Exemples Blainvillea, Wyvillea, Cavolinia, [Rissoa], Bernaya,
:

Quoya, Schulzea. y. Tout nom termin par a prend


0.

la

dsinence
le

ia.

Exemple

Danaia.
des

Les particules sont exclues des


si elles
:.

noms gnriques empruntes


nom, mais
les articles

noms

d'homme,
pors ces
E.

ne font pas corps avec

sont incor-

Pour

posants Edwardsia, Duthiersia. Z. Les noms propres ne doivent pas entrer dans
:

noms Blainvillea, Benedenia, Chiajea, Lacepedea, Dumerilia (3). noms patronymiques double vocable, un seul des noms comSelysius, Targionia, doit 'tre pris comme nom gnrique. Exemples
les
:

la formation de mots Eugrimmia, Buchiceras, Heromorpha, Mbiusispongia. composs. Exemples i) Des noms de navires qui sont traits de la mme manire que les noms mythologiques (Vega) ou que les noms patronymiques modernes. Exemples
:

Blakea, Hrondellea, Challengeria, [Alicea'].


(i) Le texte omet d'ajouter que, quand ils existent, ces noms d'adjectifs doivent tre respects et que la recomm. ne constitue pas le droit de les supprimer ou de les remplacer, mais un simple conseil pour l'avenir [Note de la Dir.]. (2) Encore un barbarisme cit comme exemple, StiUger au lieu de Styliger, peut-tre par

suite d'une faute d'impression [Note de la Direction].


(3) Par contre, il faudrait crire auteurs italiens [Note de la Dir.]
:

Distefanoa, Destefania,

comme

le

font

remarquer

les


/)

i5o

nikoro, Chilosa.
ples
k)
:

Des noms barbares, c'est--dire d'origine non classique. Exemples VaDe tels noms peuvent recevoir une dsinence latine. ExemYetus, Fossariis.
lettres.

Des noms forms par un assemblage quelconque de


Des
g.

Exemple^!

Neda, Clanculiis, Salifa, Torix.


l)

Art.

noms forms par anagramme. Exemples Dacelo, Verlusia, Linospa. Quand un Genre est subdivis en Sous-Genres, le nom du Sous:

Genre typique [sensu stricto] est le mme que celui du Genre (voir art. aS). Art. io. Le nom du Sous-Genre, quand il est utile de le citer, ge place entre parenthses, entre les noms gnrique et spcifique. Exemple Vanessa (Pyrameis) Cardui (i).

Du nom
Art.
II.

d'espce et de sous-espce

Les

noms

spcifiques et subspcifiques sont sovimis aux


;

mmes
nomen-

rgles et

recommandations

ils

sont coordonns au point de vue de la

clature, c'est--dire de

mme

valeur.

passe au rang de subspcifique, quand au rang de sous-espce, et rciproquement. Art. i3. Les noms de personnes employs comme noms spcifiques peuvent tre crits par une premire lettre capitale tous les autres noms spcifiques s'crivent par une petite lettre initiale. Exemples Rhizostoma Cuvieri ou Rh. cuvieri, Fi'ancolinus Lucani ou F. lucani, Hypoderma Diana ou H. diana, Laophonte Mohammed ou L. mohammed, stus ovis, Corvus corax.
12.

Art.

Un nom

spcifique,

l'espce passe

Art.
a)

i/i.

Les

noms

spcifiques sont

Des adjectifs s 'accordant en genre avec le nom gnrique. Exemple Felis marmorata. h) Des substantifs au nominatif, accols par voie d'apposition au nom gnrique.
c)

Exemple

Felis leo.
:

Des silbstantifs au gnitif. Exemples Sancti-Pauli, Sanct Helen. Quand il s'agit d'exprimer une ddicace

rosse, sturionis,

Antillarum,

Gallie,

une ou plusieurs personnes,


si

le

gnitif suit les rgles de la dclinaison latine,

le

nom

dont

il

s'agit a t

employ

et dclin

en

latin.

Exemples

PUnii, Aristotelis,

Victoris, Antonii,

Elisabethm, Ptri (prnom).

Quand il s'agit de ddier une espce ime personne portant lui nom moau nom exact et complet derne, le gnitif est toujours form par l'addition
de la personne

d'un
si

quand

celle-ci est

un homme, ou de quand
;

c'est

une femme,

mme

le

nom

quand. la ddicace

est faite

il est mis au pluriel, d'apparence latine plusieurs personnes du mme nom [collectivit].

est

(i)

il

parat vident
la

mais,

comme

que la mme rgle s'applique aux Sections quand on les admet nomenclature ne peut tre quadrinominale, e'est la subdivision la plus
;

rapproche de l'espce, c'est--dire


entre parenthses [Note de
la Dir.].

la Section

et

non

le

S.-Gcnre

qu'il faut mettre

Exemples
:

i5i

Sarasinorum, Bosi
(et

Cuvieri,

Mbiusi, Nunezi, Merian,

non

ovis),SalmorLi (et

Recomm. Le meilleur nom spcifique est un adjectif latin court, d'une consonnance agrable et d'une prononciation facile. On peut admettre cependant des mots grecs latiniss ou des mots barbares. Exemples gymnocepha:

non Salmonis).

echinococcus, ziczac, aguti, hoactli, urubilinga. Il est bon d'viter l'introduction des mots typus et iypicus comme noms nouveaux d'espce ou de
lus,

sous-espce,

attendu que ces


(i).

noms peuvent

toujours,

par

la

suite,

amener

des confusions

Art. i5. Des dnominations spcifiques vocable double, qui rsultent d'une ddicace une personne dont le nom est double ou d'une comparaison avec un objet simple, ne font pas exception l'article 2. Dans ce cas, les deux mots qui composent le nom spcifique sont runis par un trait d'union ou crits en un seul mot. Exemples Sanct-Catharinee ou sanctcatharin,, Jan-Mayeui ou janmayeui, cornu-pastoris ou corniipastoiis, cor-anguiniim ou coranguinum, cedo-nulli ou cedonulli. On ne peut admettre comme nom spcifique des expressions telles que rudis planusque.
:

Art.
Pauli,
sis,

16.

Les

noms gographiques conservent


edivardiensis,

la

forme substantive
:

et

sont mis au gnitif ou bien sont transforms en adjectifs. Exemples


Sancise-Helenge,
(2).

Sancti-

diemenensis, niagellanicus,

burdigalen

vindobonensis

Recomm. On doit prfrer aux formes plus rcentes les noms gographiques employs par les Romains ou par les crivains latins du moyen ge. Des noms tels que bordeausiacus et viennensis [au lieu de burdigalicus et vindobonensis sont vicieux, mais ne peuvent tre rejets [s'ils sont dj antrieurement crs] pour cette seule raison.
Art.
suite
17.

S'il

y a

lievi

de citer

le

nom

subspcifique, ce

nom

vient la

du nom spcifique, sans interposition d'aucun signe de ponctuation. Exemple Rana esculenta marniorala Hallowell, et non Rana esculenla {niarmol'ala) ou Rana mai'niorata Hallowell (3).
:

Art.
fentlelle,

18.

dahs tous

La notation des hybrides peut se faire de plusieurs manires le nom du procrateur mle prcde celui du procrateur avec ou sans addition des signes sexuels.
les cas,

lorsque les est de mme pour les noms de varits minor. major,., qui peuvent crer des doubles emplois dans des sont riges au rang d'espces espces diffrentes d'un mme Genre. En gnral, il est mme prudent de ne pas adopter les mnles noms spcifiques dans des Sections diflrentes d'un mme Genre, pour viter rventultt des doubles emplois si la Section n'est pas admise [Note de la Dir.].
(i)
Il

en

varits

tnsis

(2) Les palontologistes prfrent, pour la clart, employer pouf les localits (helvctiensis turoniensis), icus pour l'tage

exclusivement la dsinence gologique {helveticus, turo-

niciis)

prcision, d'ajouter, suiil est nanmoins d'usage, pour plus de vant les cas, var ou mut. en caractres non italiques pour dsigner la suite du nom spcifique les varits ou les mutations [Noie de la Dir.].
(3)

En

[Note de la Dir.]. Palontologie,

l52

Formation, drivation et orthographe des


Art.
19.

noms

zoologiques

d'un nom doit tre conserve, moins ne soit vident que ce nom renferme tme faute de transcription, d'orthographe ou d'impression (i). Recomm. Il est recommandable d'crire les noms scientifiques dans un autre caractre que le texte courant [presque universellement, en caract. Ual. Exemple La Rana esciilenta Linn, 1758, vit en Europe. Art. 20. Pour la formation de noms empnmts aux langues s 'crivant
qu'il

L'orthographe originelle

avec

l'alphabet

latin,
[si

signes diacritiques
Selysius,

toutefois les

on conserve l'orthographe originelle, y compris imprimeurs en possdent]. Exemples


:

les

Lamarckia, K'lUkeria, Mulleria,

Sllia, Ktr/jyeria, Ibaiezia, M'-

biusi, Medii, Czjeki, spitzbergensis, islandicus,

paraguayensis, patagonicus, barbadensis, fdr'ensis. Recomm. Les prfixes sub et pseudo (2) ne peuvent entrer en composition qu'avec des adjectifs ou substantifs latins pour le premier, grecs pour le second ils ne peuvent entrer en composition avec des noms propres.

Exemples

subviridis, subchelatus, Pseudacanthus,

Pseudomys. Des dnomi-

nations telles que sub-Wilsoni ou pseudo-graletoupeana ne sont pas recom-

mandables.
la composition qvi'avec peut les combiner un nom propre. Les noms gographiques et patronymiques, emprunts des pays qui n'ont pas d'criture propre ou qu nie font pas usage des caractres latins d'aprs les rgles adoptes par la Socit de Gographie de Paris (voir Appendice G). Si l'on propose de nouveaux noms, drivs de noms patronymiques qui s'crivent tantt par a, o, ri, tantt par se, oc, ue, il est recommand d'adopter

Les dsinences oides et ides ne peuvent entrer dans


substantif grec ou latin.

un

On

de prfrence

s',

, .

Exemple

MieUeri, phitt que Mlleri.

Du nom
Art.
21.

d'auteur

comme l'auteur d'un nom scientifique en l'accompagnant d'une indication, d'une dfinition ou d'une description. Mais, s'il ressort clairement de la publication, que ce n'est pas l'auteur de celle-ci, mais bien un autre auteur, qui' est le crateur du nom, ainsi que de l'indication, de la dfinition ou de la descripDoit tre

considr

celui qui l'a publi le premier,

tion, ce dernier

auteur doit tre considr

comme

l'auteur lgitime

du nom.

(A suivre)
(i) 11 ressort de cet article que la correction des barbarismes ou solcismes d'accord des genres s'impose d'office et doit obligatoirement tre faite sans qu'il en rsulte une violation de la loi de priorit. Dans les rpertoires alphabtiques, il suffit d'indiquer, par un renvoi, le nom vicieux et le nom rectifi simultanment, chacun leur place. remi (grec ou (2) Il y a beaucoup d'autres prfixes, tels que para, pri, creta, hemi ou

latin), multi, mafis, minus, etc..

soumis

la

mme

rgle. {Note de la Direction).

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les

diagnoses

et

figures

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des
charnires
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des
Prix

Genres de

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LAFATTETTE

TOUTES LES RCOMPENSES


Photographe de
des Ministres, de
de
la "
l'Institut,

la

Prsidence
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de la Facult de Mdecine

Revue

critique de Palozoologie

de

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Socit Gologique de France,

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Re^ue Critique
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REVUE CRITIQUE

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Publi sous la direction de

Maurice COSSMANIV
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collaboration

M. FILLIOZAT,
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MM. F. CANU, H. DOUVILL, R. DOUVILL, GROTH, J. LAMBERT, P. LEMOINE, SAUVAGE, SILVESTRI, A. THVENIN, P. BD.
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B. S: G. F. (.1902).

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CossMANN. Contribution l'tude de la faune de l'tage bathonien en France (Gastropodes). 37U p., 18 pi

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Terquem. Les Entomostracs Ostracodes du systme politique de Parkinsoni de Fontoy (Moselle). i6 p., 6 pi
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Terquem. Les Entomostracs Ostracodes du Fuller's Earth des environs de Varso12 pi


6
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Formation des couchesde houille

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houiller. 196 p., lOpl.

20
16 i4

H. FiLHOL. Etudes sur les Vertbrs fossiles d'Issel (Aude). 186 p., 21 pi
G. CoTTEAU. Echinides ocnes de la province d'Alicanie. 107 p., 16 pi..

A. DoLLOT, P. GoDBiLLE et G. Ramond, Les grandes pltrires d'Argenteuil (Seineet-Oise). Historique, gense et distribution des formations gypseuses de la rgion parisienne. ^8 p., 7 fig., i^pl
P.-L. Prever.

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H. Lantenois. Note G. Zeil. Contribution l'tude gologique du Haut-Tonkin. Ren de Lamothe. Note sur la gologie du sur la gologie de l'Indo-Chine. Cambodge et du Bas-Laos. 80 p., 1 pi., 3 cartes en couleurs

12

Gnral de Lamothe. Les anciennes lignes de rivage du Sahel d'Alger partie de la cte algrienne. 288 p., 3 pi., 1 carte en couleqrs
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REVUE CRITIQUE
DE

PALEOZOOLOGIE
N 4 (Octobre 1914)

SOMMAIRE
Pages

Mammifres, Amphibiens, Reptiles MANN


Insectes, par M. F. Mednier

et Oiseaux, par M. Coss133

156 160
184 186

Paloooncholog'ie, par M. Cossmann

Cphalopodes, par M.

P.

Lemoine

La nomenclature
port de
la

zool. au Congrs de Monaco, trad. du rapCommission par M. R. Blanchard (fin)

'

MAMMIFRES, AMPHIBIENS, REPTILES ET OISEAUX


par M.

COSSMANN

(i).

in Connecticut, by C. Schuchert, with a Farmington, spcimen, by K- S. LiiU (2). M. Schuchert rappelle dans l'introduction les dcouvertes prcdemment faites, depuis

Mammut americanum
tlie

note on
1828,

le

spcimen de une moraine dpose par un glacier continental de l'poque du Wisconsin. Le squelette, exhum par M. Hugh Gibb, comprend les parties essentielles, et un premier examen permet de le rapporter l'espce pliocnique, dnomme M. americanum.
de restes de Mastodontes dans
le

Connecticut

Farmington

(191 3) a t trouv par des ouvriers italiens dans

Fossil Delphin
l'poque

from
il

California,
est le

by R. L. Lull

(3).

Ce

fossile attribu

du Miocne
est

type d'un G. nouveau

Delphinavus

(D.

Newhalli
cipales,

n. sp.) et

compar

Delphinus delphis, de la collection intact

du

Peabody Musum. Le crne presque


Les mesures prises sur

comprend

toutes les pices prin-

mchoires, exoccipital, frontal, squamosal, supraoccipital, etc..


les vertbres, les ctes et le

sternum, font ressor-

(i) Les circonstances graves que traverse toute l'Europe ont non seulement retard l'apparition de ce numro, mais encore priv momentanment cette Revue de la collaboration

de nos principaux et minents spcialistes. (i) Amer, journ. of Soc, vol. XXXVII, avril igiS pp. 32i-33o' 2 fg. (3) Amer. Journ, Se, vol. XXXVIl, 1914; pp. 209-230, 7 fig., PI. VIII.
;

_
tir

i54

le

des diffrences srieuses avec celles de l'autre espce dont d'volution drive prcisment de cette comparaison.

degr

Gryposauriis notabilis, a new genus and species of trachodont Dinosaur from the Belly River formation of Alberta, witli a descrip-

On

tion of the sknll of Cliasmosaurus Belii,

by L. M- Lambe.
;

(i).

remarquable par sa forte prominence la mannasale, l'orbite est beaucoup plus petit que la fosse temporale aucun autre Trachodonte n'a le crne aussi profond dibule est robuste en avant que Gryposaiirsiis. Quant Chasmosaurus Belli, on sait que ce Genre est l'anctre de Torosaurus Marsb, du Laramie de Wyoming. Le squamosal de G. Belli

Gryposaurus

notabilis n. sp. est

est

remarquable par
a

sa largeur.

Ce crne a

prpar par

MM.

Sternberg.

species of Carnivorous Dinosaur from the Belly River formation of AU^erta, ^^ith a Description of the sknll of Stephanosaurus marginatns, n. g. from the same horizon, by L.

On

new genus and

M. Lambe

(2).

la

Gorgosaurus
longueur

libratus

n.

sp.

est
taille,

le

gnotype d'un
le
;

Thropode indit, Dinosaure Carnivore de grande


remarquable par
et l'troitesse

dont

crne est
les pattes

des prmaxillaires

antrieures sont trs courtes et celles de derrire sont trs longues.

Lambe

gisement, on trouve des dbris de Trachodon marginatiimpour lequel l'auteur propose actuellement le nouveau G. l'largissement du crne sur le front et en haut des Stephanosaurus orbites, chez ce Trachodonte, est principalement d au grand dveloppement du prfontal et de l'arte nasale. Le Saurien le plus voisin de Stephanosaurus est Saurolophus de la formation d'Edmonton.

Dans

le

mme

(1902),

On the Fore limb of a Carnivorous Dinosaur from the Belly River formation, of Alberta, and a new genus Ceratopsia from the same horizon, with remarks on the integument of some cretaceous herbiOutre la patte antrieure vorous Dinosaurs, by L. M. Lambe (3).

d'un Dinosaurien Carnivore non encore identifi, M. Lambe dcrit le nouveau G. Protorosaurus (G. T. Monoclonius Belli Lambe, 1902) dont le crne est relativement plus allong sur le front que celui de Torosaurus. Les impressions tgumentaires de la surface de ce Cratopsien consistent en une sorte de mosaque d'hexagones plus ou moins rguliers, autant qu'on en peut juger par la contre-empreinte du grs.
:

(i)

(a)
(3)

Ottawa naturalist, vol. XXVII, fev. igi/,, n" n, pp. i/|5-i55, PI. XVIII-XX. Ottawa naturalist, igi/i, vol. XXVIII, pp. i3-20, PI. I. Ottawa naturalist, vol. XXVII, janv. igi/l, n lo, pp. lag-iBB, PI. XIII-XVII.

'

'-

i55

The Pennsylvanie Amphibia of the Mazon Creek (Illinois) Shales, Les schistes de Mazon Creek contiennent des by A. L. Moodie (i).

formes

trs intressantes

de plantes

et

d'animaux, on

les

attribue sans
la

hsitation au Carbonifrien suprieur.

Les Amphibiens de

faune de
dix, et

ces gisements dcrits dans le prsent article, sont au


se rapportent
Zittel,

nombre de

aux

trois Sous-Classes

Eiiamphihia Moodie, Lepospondylia

Stegocephala Cope.

Erierpeton branchialis n. sp. est reprsent par une impression peu la prsence d'arches hyobranchiales distincte l'intrieur d'un nodule
;

indique certaines affinits avec Cocytinus gyrinoides Cope, du Carbbnifrien de l'Ohio. Les seuls autres Genres teints de Caudata qui possdent des arcs branchiaux, sont le G. Hyldeobatrachiis du Jurassiq;ue d la Belgique, et Lysorophiis du Permien du Texas.

Les G. Micrerpeton Moodie (1909)


dj connus
;

toutefois,

l'auteur

et Eiimicrerpeton Moodie (1910), sont donne de nouveaux dtails sur E.

parvum Moodie. Mazonerpeton longicaudatum n. sp., restaur sur la planche 10, un autre Branchiosaurien bien distinct par la grande longueur de
rgion dorsale
et

est
sa;
;

grand dveloppement de ses costules caudales il se relie troitement Branchiosaurus amblystomus Credner, du Permien et du Carbonifrien de la Saxe. Aprs la description d'Amphibamus grandiceps Cope, et d'A. thoracatus Moodie (191 1), l'auteur propose Cephalerpeton ventriarmatum nov. sp. qui est relativement le plus grand Microsaurien des schistes de Mazon Creek, avec un crne large, des orbites mdians, des plaques sclrotiques, une armature ventrale bien dveloppe puis, Erpetobranchium mazonense n. sp. dont les dbris (scapula) sont beaucoup moins complets ensuite, Spondylerpeton spinatum n. sp. dont on ne connat que quelques vertbres enfin, la planche i4 contient des reproductions de Branchiosaura du Carbonifrien de Commentry, en France, titre comparatif.
par
le
;

Fossil remains of lake Callabonna, part IV.

1^

Description of
the identity of

some

further remains ol Genyornis Newtoni

On

Phascolomys (Phascolonus) gigas Owen, and Sceparnodon Ramsayi Owen, vith a description of some its remains, by E. C. Stirling Le premier chapitre de cet important Mmoire qui fait suite (2). ceux que nous avons prcdemment analyss comprend de nouveaux

dtails sur l'espce dj dcrite par MM. Newtoni), principalement des mandibules
(i)
(2)
in-4*.

Stirling
et pelvis.

et

Zietz

(Genyornis

Lawrence

igiS.

Adlade igiS.

The Kansas Univ. Se. Bull., vol. VI, n pp. 323-359, P^- I-XIV. Mem. roy. Soc. South Austr., vol. pp. m, 178, PI. XXXVI-LVflI,
2, I,


Dans
le

i56

second chapitre, l'auteur rappelle qu'une courte notice prlien 1899, sur Phascolonus gigas Owen (1872), alors dcrit certains dbris auxquels il d'autre part qu'en i883 Owen avait avait donn le nom Sceparnodon Ramsayi. A la suite de nouvelles recherminaire a
t publie,

ches
les

et

de dcouvertes de matriaux bien plus complets dans les giselac Callabonna, en Australie,
les vertbres, le

ments fameux du
mandibules,
piaux

sternum

et les
:

M. Stirling a pu comparer membres de ces marsu-

et il arrive aux conclusions suivantes Phascolonus gigas et Sceparnodon Ramsayi reprsentent un seul et mme animal le premier nom gnrique doit seul tre conserv. Il y a de nombreux points de ressemblance entre Phascolonus et Diprotodon, mais les affinits sont surtout avec les Phascolomys actuels. Si donc, compie on l'a suggr dj, les Phascolomyidse et les Diprotodonti^ ont une origine commune, Phascolonus peut tre considr comme la
;

branche

la

plus ancienne.

INSECTES
par M. F. MEUNIER.

of Colorado, by R. D. A. Cockerell beaucoup de sa valeur par le fait mme qu'elle n'est accompagne d'aucun dessin au trait des espces observes. L'auteur donne les diagnoses de deux Leptid. Atrichops hesperius se rapproche beaucoup de Atrichops ci'assipes Meigen. L'espce fossile se distingue des Leptid du Genre Atherix, Meigen par la nervation (veination des ailes). On connat jusqu'ici une seule espce palarctique du Genre Atrichops. La dcouverte de ce Genre sur les schistes de Florissant
(i).

Three Dlptera from the Miocne

Cette petite Note perd

(Colorado) offre

un

rel intrt palodiptrologique.

A New

Fossil Sawfly Florissant,

by R. D. A. Cockerell

(2). le

L'espce nouvelle de Chalastogastra, dcrite par M. Cockerell sous

nom

Tenthredella Toddi, est une intressante forme de Florissant. Par

la vei-

nation des

ailes,

l'espce

miocnique

est

comparer Tenthredella

flava {Tenthredo flava Poda).

L'espce fossile s'carte de Tenthredella

(i)

(?)

The Canadian Entomologist, pp. 101-102. The Canadian Entomologist, Y). 32.


siibmersa Cock.

ib']

Au
sujet

par

la

taille

visiblement plus petite.

de

la

morphologie de la cellule sous-marginale, l'auteur compare le nouveau fossile Tenthredella flavomarginis (Allantus eod. Norton) et T. ferrugineipes (Tenthredo eod Cresson).

L'auteur a eu tort de ne pas donner une reproduction phototypique


de ce Chalastogastra miocnique.

Un
del

Blatido y iiiia larva de Odonato del Kimeridgense de la Sierra Montsech (Lerida), por il signor Fernando Meunier (conversion
(i).

francesa)
tre de la

L'auteur signale que

c'est la

premire

fois

qu'un Orthop-

Famille des Blattidx

est signal

sur les schistes

du Rimm-

rigien~de la Sierra del Montsech (Espagne). Le nouveau fossile espagnol se classe dans le Genre Rithma Giebel, parmi lequel cet auteur, Westv^^ood,

Heer
ble.

et Scudder ont rang plusieurs espces morphologie assez variaLe Nomoneure de Lrida se place dans le Genre Arttocohlatta,

Handlirsch.

Le palontologiste de Vienne
Gossii

tablit

comme
est
et

type de ce genre

Scudder.

Artitocoblatta

Colominasi
de

Rithma une intressante forme

jurassique.

Comme
la

chez Rithma Giebel

Mesoblattina lithophila Germar

(Lithohlatta eod. Handl.), le

champ

la sous-costale, trs rduit, s'loi-

gne peu de
iSur les
.larve qui,

base de

l'lytre.

on a aussi observ une des Odonates anisoptres du Genre Aeschna Fabricius. Palaeoaesclma Vidali est remarquable par sa petite taille qui ne devait gure dpasser 25 millimtres. La larve de Montsech s'carte des Aeschna palarctiques qui ont ordinairement, suicalcaires de la Sierra del Montsech,

par l'ensemble de ses caractres,

est voisine

vant

les

espces, de 33 48 millimtres de longueur.

Actuellement,
est

il

serait tmraire de

discuter les rapprochements morphologiques proba-

bles de cette larve avec les autres Aeschnidse.

La Note

accompagne

des phototypies de ces espces jurassiques.

Deux

figures restaures per-

mettent de

les

reconnatre plus aisment.

Un nouveau
(Allier),

Protorthoptre

(Orth.)

du

houiller de

Commentry

par M.Fernand Meunier (2).^ le nom Palaesedisehia (P. Boiilei) se rapproche principalement de Sthenaropoda Brongniart par l'aspect de la cellule mdiane de l'lytre construite sur le mme plan morphologique que Sthenaropoda Fischeri. Un autre Protorthoptre prsente aussi ce caractre, mais s'en La nouvelle forme pour laquelle
l'auteur propose

(0 Barcelone
et II.

igiS.

Extr. Real. Acad. de ciencias y artes, vol. XI. n*

9,

pp. 121-125, PI.

^2) Paris 1914.

Bull. Soc.

Ent. de France, n 11, pp. 363-36i, PI. IV, fig. 192.


carte, trs

i58

et

distinctement,

par

la

topographie des nervures radiale

mdiane. Quelques-uns de ces Protorthoptres,


Sthenaropoda,
accus.
les

comme
et

les Oedischia, les les

Archaciidites,

les

Acridites

Palgeoedischia

sont des insectes palozoques d'une ligne facis gnral nettement

Les relations phylogniques probables de Protokollaria et des Genres cits restent encore problmatiques. L'auteur donne la diagnose de Pcdoedischia Boulei. La Note est accompagne d'une phototypie et d'un dessin restaur de cette curieuse

forme houillre.

Un

Protoblattide el

[Orth.],par

un Blattide du M. Fernand Meunier (i).


s Il

L'auteur dcrit un Protoblattide,


et

houiller de

Commentry

(Allier)

Roomeria carhonaria,
cains dj dcrits.
les Eiicniis

'cartant de tous les types europens

amri-

a cependant quelques traits de ressemblance avec


cf.

Scudder
la

Handlirsch.
:

L'auteur donne
crid.
la

diagnose d'Etoblattina Henneni


les

Handlirsch a dmenses

br plusieurs espces de ce Genre pour

grouper parmi
Etohlattinid.

Archimylafait

Suivant l'auteur autrichien,


entre les Mylacridse
!

la

Famille des Archimylacridise


les

transition

et

Cette

manire

me semble prmature Rappelons qu'il est peu ais d'tablir une classification des Blattidse base sur les seuls caractres des lytres. Pour tre naturel, le groupement doit tenir compte des principaux organes des Nomoneures. La Note est accompagne d'une planche phototypique et dans le texte, de deux dessins restaurs de ces articuls palozoques.
de voir

Quelques Insectes des pltrires d'Aix (Bouches-du-Rhne, par

M. Fernand Meunier ment en trs bon tat

(2).

Les insectes des


Myrmica
difficiles

pltrires d'Aix sont rare-

de conservation ce qui empche souvent d'arri-

ver de rigoureuses dterminations gnriques et spcifiques.

Les Hymnoptres Formicid, plus rares qu' Geningen


sont reprsents par les Genres
et

et

Radobog,

Formica.
identifier

Les
avec

nymphes
certitude.

d'Odonates sont ordinairement

Parmi les Orthoptres, il a vu une patte et quelques Stenobothi'us. Dans le monde des Diptres, l'auteur signale un Xylophagiis, de conservation trs dfectueuse, et un Syrphien qui, par les caractres des ailes, semble tre un Syj-phiis. Dans le groupe des Hmiptres, citons Pachyme'us morio Heer P. Bojeri Heer P. fasciatus qui semble tre la
;
;

mme

forme que Pachymeriis morio Heer

quelques Harpactor
PL V.

et

Pachy-

(i) Paris 191/1.

Bull. Soc. Ent. de France, n" 12, pp. SSH-Sgi,

(2) Bruxelles, igiS.

Ann. de

la

Soc. scient.


coris.

i59

mentionne
les

Parmi

les

Homoptres,

l'auteur

Bythoscopus

mus-

carius.

Les nouvelles espces rencontres sur

plaquettes seront dcrites et

figures dans le Bulletin de la Socit gologique de France.

Sur deux nouvelles espces de Blatlidae du terrain houiller de L'auteur dde Commentry (Allier), 3ar M. Fernand Meunier (i). crit et figure Etoblattina (Sysciophlehia) Vasseuri et signale un autre Nomoneure qui a eu une grande ressemblance, comme morphologie des

lytres, avec celles des

Metaxyblatta (Familles des Archymylacridse. Hand-

lirsch).

Ce

n'est,

en dfinitive,

qu'un intressant spcimen du grand

Genre Etoblattina Scudder.

Un nouveau grand fragment de Liliellulidae gante du houiller L'auteur de Commentry (Allier), par M. Fernand Meunier (2). fait quelques courtes remarques au sujet de Meganewula Selysii Brongniart la Note est accompagne d'une planche double montrant la Vqination (nervation) des ailes de ces remarquables Odonates palozoques.

(Var), par

Sur quelques Insectes de l'Aquitanien de Creste Basses-Alpes L'auteur fait quelques observaM. Fernand Meunier(3).

tions relatives

aux Insectes de ce gisement


Il

trs

peu tudis, jusqu' ce

jour, par les paloentomologistes.

cite

un Coloptre Bembidiiim, un

Hyporhinus

voisin de

H.

Heei'ii

Germar,^ des couches sannoisiennes


,

un petit Staphylinida', Quedius Reynesii Oustalet. Il a aussi remarqu un Diptre dont les caractres des ailes empchent de dcider s'il faut le classer avec les Oxycera ou NemMehis (Stratiod'Aix-en-Provence, et
myidfc), quelques petits Empda?, Cicadellites obscurus.

Sur quelques Insectes des platrires du Sannoisien d'Aix-en-Provence (2^ note), par M. Fernand Meunier (4). Le dpouillement d'un grand nombre d'Insectes du gisement d'Aix a permis l'auteur de

signaler les formes suivantes

Hymnoptres.

Anthophorites nov.
et

sp. Il s'carte

des Anthophoiites

mellona, totana, torsa


tueuse, ne
qiia.

veterana des couches d'OEningen. Hylotomites

nov. sp. Sceliphron nov. sp.

Un Pimpla, dont la conservation trop dfecpermet pas de le comparer Pimpla Saiissurei ou Pimpla antiBracon nov. sp. caractres trs critres.

(i)

Bruxelles, igiS.

Ann. de
de

la Soc. scient.

(2) Ibid.
(3) Bruxelles, igi/i.
(/i)

Ann.

la

Soc. scient.

Ibid.

i6o

- Tripula nov. Tetragoneura nov. sp. Plusieurs ChiDiptres. sp. ronomidse de mauvaise conservation. Un Sapromyzinse. semble devoir se grouper dans le Genre Sapromyza Meigen. Les Protomyia lygacoides,

brevipennis

livida sont bien reprsents

Aix.

Les espces de Bihio-

Protomyia et Bibiopsis (sensu Heer) ont t trop multiplies, ou du moins, les diagnoses concernant ces formes manquent
nidse des Genres Plecia,

de prcision. Asilus nov.


ditus

sp. (Il diffre

des Asilus antiquus Heer, A. deper-

Heer

et

A. Bicolor Heer. Seul, Asilus. antiquus Heer semble tre

un

vrai Asile.

Un

Bombylibss, Paiseogeron nov.


ouverte
(elle est

sp.

se

spare des vrais Geron par


les. Ge?-on actuels).

la cellule ovale

ferme chez

Les Geron

habitent les rgions chaudes.

Nvroptres.
(s.
Z.).

Libellula nov. sp.


:

Calopteryx nov.

sp.

Un Ephemera
dans

Un

Bittacus

ces tres sont signals par

Heer

(jB.

reticulatus)

les schistes

de Radobog, en Croatie.

Coloptres. Bembdium infernum Heer, Harpalus nero Oustalet. Le type de cet auteur appartient bien ce Genre. Curculionites parvulus. Disons, en passant, que l'tude de ce groupe est presque compltement faire. Les Hypoi'hinus sont extraordinairement abondants sur les plaquettes d'Aix-en-Provence.

HMIPTRES.
les

Heterogaster, Harpactor

cf.

H. longipes Heer.

Aix,

Pachymerus sont

aussi abondants que les Hyporhinus.

PALOCONCHOLOGIE
par M. GOSSMANN.

vice Gologique de

Palontologie de rAniiam et du Tonkiii, par H. Mansuy (i). Le Serl 'Indo-Chine fait preuve d'une activit remarquable peine le premier volume dont nous avons rcemment donn l'analyse a-t-il paru que nous avons reu les fascicules du second celui dont le compte-rendu est ci-aprs, est consacr l'tude des espces recueillies
; ;

au Tonkin
consquent,

et
il

en Annam, au cours des annes


fait suite

1911

et

1912,

et

par

au fascicule IV du

vol.

I.

La

srie

sdimentaire

qui y est examine s'tend de l'Ordovicien au Trias suprieur.


(i)

Hano, ioi3.

Mm.

Serv.

gol. Indo-Chine,

vol.

II,

fasc. III, 48 p. in-folio,

VI PI.

phot. d'aprs nature.

i6i

Les grs orcoviciens de l'Annam sont bien dats par Triniicleiis ornatus Sternberg, de l'assise d' de l'Ordovicien de Bohme, et par un Dalmanites rapport D. caiidata Emmerich, du Gothlandien. Quelques Anthozoaires et deux Brachiopodes reprsentent le Gothlandien

Van-Lang

nn. sp. de

les deux Strophomena bacsonensis et Deprati et Ban Han Van Linh et le Lang-Mac, sont attribus aux Gothlandien avec
;

un point de

doute.

Le Dvonien suprieur de l'Annam contient Cyathophyllum Lavali et annamiticiim, Michelinia ronensis n. sp., Heliolites porosa E. et H., trois
Brachiopodes parmi lesquels Athyris ronensis
n.
sp.

Du

Carbonifrien infrieur

il

n'y a signaler que Phillipsia propinqua

nov. sp.

Le Dinantien de la montagne de l'Elphant, prs de Haphong, est beaucoup plus riche Campophyllum irregulai^e n. sp. dont les sections sont trois Syringopora dont deux sont nouvelles trs nettement dessines
:

Spirifer angiistirostris n.

sp.

Athyris Lantenoisi

et

Margheritii n. sp.

Euomphahis crotalostomus Mac Coy, Murchisonia tonkinensis, elongata, Baylea Barti, conoidea, proxima, Ptychomphalus trochiformis nouvelles espces de Gastropodes dans un tat passable de conservation.
,

le

Aprs quelques Anthozoaires provenant d'autres localits, l'auteur aborde Trias dont les plus importants dpts sont le Trias calcaire Gastropodes de Quang-moc (Annam) et h Trias schisteux Ammonods de

Quang-son (Tonkin)

les

premiers contiennent Spirijerina (Mentzelia)

Lantenoisi n. sp., bien voisine du gnotype de Mentzelia dans l'Anisien

Omphaloptycha orientalis n. sp. que l'auteur rapporte encore au Genre Chemnitzia, quoi qu'il soit bien avr que celui-ci est synonyme de Turhonilla Risso Clostylina subglobosa, Worthenia anna-

du Tyrol

mensis nn.

sp.

Dans le Trias Ammonods, il y a deux Brachiopodes, deux Plcypodes indtermins et une belle srie de Cphalopodes qui donne avec prcision le synchronisme de ces couches, au point de vue gnrique surDinarites Deprati, Cuctout, car la plupart sont des espces nouvelles
:

coceras annamiticiim, Ceratites Pht, Balatonites Lemoinei.

cf.

Le Trias schisteux de Phu-Yen (Tonkin) rostratum Laube, Palicites Mojsisovicsi

est reprsent

par Pachyrisma
orientalis, Sagesp.,

Gemm. mut.

nites atteniiatus; Discotropites (Eiitomoceras)


tes (Proarcestes)

Gemmellaroi nn.

Arces-

Balfoiwi Oppel, mut. indosinensis, Arcestes

cf,

esinensis

Mojs.

Les six planches qui illustrent cette excellente Monographie sont,


les prcdentes,

comme

excutes d'aprs les clichs de M. Deprat, par les soins


;

de M. Mmin, Arcueil
supportent,
le

on ne saurait

assez en louer la finesse, car elles


les Trilobites

grossissement d'une forte loupe, notamment


et les

l62

Polypiers qui donnent l'il l'illusion de la ralit. Les Mollusques

ne sont malheureusement pas tous dans le mme tat de conservation qu Oniphaloptycha orientalis qui a pu tre vid en partie.
Toutes ces Monographies ont d'ailleurs t prsentes
nieur en chef du service Gologique d 'Indo-Chine,
cette prsentation
la

dernire

sance d't de la Socit gologique de France, par M. Lantenois, ingqui a accoinpagn


dj acquis.

d'une brillante confrence sur

les rsultats

Fossili ordoviciaiii di

de Regny
a t trs

(i).

La faune silurienne d 'Uggwa,

Uggwa

(Alpi carniclie), del Doit. P. Vinassa

dans

les

Alpes carniques,

sommairement indique par Stache, puis par Frech. Les nouveaux matriaux recueillis par le D^' De Toni et conservs au Muse de
Padoue, ont t tudis par notre comptent collgue qui y a identifi 28 formes distinctes dont quelques-unes nouvelles et la plupart de celles
qui avaient t signales par les

mmes
:

auteurs prcits.

Berenicea gigantea Vin. et les Treptostomata suivants, Monotrypa simpUcissima, M. cerebrum nn. sp., MonotrypeUa Consuelo Yin, de l'Ordovicien de la mme rgion carnique (1910), M. De-Tonii n. sp., Hallopora Taramellii et forajuliensis Vin.,

Les Bryozoaires sont bien reprsents

Bathostoma Fabianii

n.

sp.

et

Treniatopora Pironai Vin (1910).


le reste

part

un Gastropode
minable
et

(Strophostyliis carnicus n. sp.) qui est parfaitement dter-

bien dtermin gnriquemen,t,


:

de

la

faune comprend

Porambonites intercedens Pand. var. filosa M.' Coy, Triple sta insularis [Eichw] Orthis Actonix Sow., 0. flabelluliim Sow., 0. calligramma Daim., 0. porcata M'Coy, 0. cf. ungiiis
,

exclusivement des Brachiopodes

Sow., 0. Dalpiazi
ellipsodes Barr.,
S.

n.

sp., 0.

noctilio Sharpe, 0.

cf.

rustica Sow., 0.

cf.
,

0.

vespertilio

Sow.,

Strophomena expansa

[Soav.]

grandis [Sow], Leptna sericea Sow.

Quinze figures clairement phototypes illustrent cet intressant Mmoire.

Systemalic Paleoiitology of (lie lo^^er Devoiiian deposils of Maby R. S. Bassler, T. P. Mayoard, D. W. Oiero, Ch. Schiicliert, C. K. Swartz, and E. O. LUrich (2). Aprs avoir publi la faune du Tertiaire et du Crtac infrieur, le Service gologique du Maryland consacre les volumes V-VII l'tude du Dvonien,' et principalement du Dvonien infrieur qui est largement reprsent dans cet Etat. Laissant de ct les Coelentrs, les Echinodermes, les Bryozoaires et les
rylaiid,

Crustacs qui seront analyss par ceux de nos collaborateurs que cela
(0 Padoue,
(2)

igi^.

Mem.

Ist.

Geol. Univ., vol.

II,

mem.

n IV, pp. 195-221, PI. ih.

Baltimore, 1918.

Maryland

Geol. Surv., \o\. V, pp. 191-660,

XCVIII

PI.


concerne, je ne m'occuperai
ici

i63

que des Brachiopods et des Mollusques. La monographie des Brachiopods est l'uvre de l'habile palontologiste dont nous avons souvent apprci les travaux, M. Ch. Schuchert plus de i5o pages et environ 20 planches leur sont consacres. Nous Orbiciiloidea Rderi, signalerons de nombreuses espces nouvelles
;
:

Schucherti, reprsentes par de bons spcimens


losa,

moins net

Ph. tumida, indiqu


;

toi-t

la fg.

Pholidops miiltilamel17 de la pi. LUI,

nouveau Genre propos pour PholiLUI) indiquent suffisamment Dalmanella Clarki, les diffrences qui existent l'intrieur des valves Rhpdomella marykmdica, Schiszophoria oriskania, Stropheodonta cyLeptostromanensis Swartz, impressions musculaires pectiniformes phia ai'ctimusciila, qu'on ne peut confondre avec L. oriskania Clarke
c'est i3 qu'il faut lire

Liiigiilapholls,

dops terminalis Hall,

les fig.

18 et 19 (pi.

Strophonella
dica

keyserensis
;

Sw^artz

Schiichertella

prolifica,
;

S.

marylan-

Maynard

Choneies subacutiradiatiis, Ch. Rowei

Anoplia helder-

Gypidula (Sieberella) cymanensis {= Atrypa galeata bergge Rowe Vanuxem, non Dalman) Gypidula siibglobosa Maynard Rhynchonella cumberlandica Row^e Camarotchia oriskania Piov^^e, G. gigantea May; ; ; ;

nard, Plethoryncha prspeciosa


U.

Uncinulus globulus, de petite taille, U convexorus Maynard, Gordoni Maynard. ctes plus cartes
;
;
.

bien plus lev


Rensselaeria
lisse
;

et

plus trigone
R.

Eatonia Hartleyi, exemplaire assez fruste

circularis,

keyserensis

Swartz

R.

{Beachia)

proavita,

deux valves

Oriskania liicerna, dont l'appareil interne a pu tre tudi sur les Atrypa (?) biconvexa Maynard, qui ressemble A. rugosa,
;
;

du Niagara
laris

Spirifer paucicostatus,

en tat trs dfectueux


;

S.

angula-

qui ressemble S. hystericus Schl., d'Allemagne

S.

Hartleyi caracproavitus,
et
lisse
;

tris

par son crochet trs incurv,


;

S.

Perdeivi,

tribiiariiis,

concinnoideus, Gordoni

Nucleospira Siuartzi Maynard, ovale


;

Anoplotheca sequistriata Meristella prsenuntia, Les Mollusques sont reprsents par un certain nombre de Plcypodes et de Gastropodes, trs peu de Cphalopodes. .Je me borne signaler ce
rostellata,

symmetrica.'

qui m'a paru

le

plus intressant

Pterinea Halli Clarke (= Avicula


;

secii-

rijormis Hall), deux valves gauches peu prs intactes

Mytilarca rnary-

landica Ohern n. sp., moule interne peu caractris, de mme que M. {Plethomytihis) Rowei Ohern n. sp. et que Amphiclia Ulrichi Maynard 71. sp. Palxopinna lata Ohern n sp. Actinopteria communis [Hall], deux spcimens de taille trs ingale et bien orns, A. textilis [Hall] est plus largi, la varit arenaria [Hall] a une ornementation plus
; ;

grossire

Actinoptoria virginica Ohern n.


;

sp.

plus douteuse

comme
n. sp.

d-

termination gnrique
assez

Aviciilopten

(?)

cumberlandensis Ohern
Hall, Cypricardinia
cf.

en

bon

tat

Megambonia lamellosa

lamellosa

Hall, G. sublamellosa Hall, enfin Ilionia sinuata [Hall] rts incertaine.


Parmi
les

i64

cf.

Gastropodes, outre un petit Bellerophon

auriculatiis Hall

B. Helderbergiaz

Magnard
de

n. sp.,

des

Loxonema
;

Orthonychia tortuosa
bien conserv
;

[Hall] en bon tat nombreux exemplaires

Holopea non dnomms, Platyceras nodosiim Conrad, assez


et

intacts de Platyceras Gerhardti

Conrad, avec la varit ventrcosum Conrad, formes trs enroules que M. Stuart Weller a mme rapportes au G. Strophostyliis mais qui sont
,

bien encore des Capulide cause de leur bord columellaire

Platyceras

magnificum
;

Hall,

P.

suhfalcatum' Ohern

n.

sp.

sillonn longitudinale;

ment P. reflexum, callosiim, sinuatiim, trilohaturn Hall Rowe, forme polygonale P. miiltisinuatum, spirale Hall, P. n. sp annel P. subconicum- Ohern n. sp. trs irrgulier
;

P.

angiilare

gracile Ohern-

P. Newberryi montrant bien la torsion de la columelle S. transversiis, Matheri, Andreiosi Hall Diaphorostoma ventricosum. Conrad, D. depressum Hall, D. desmatiim Clarke Platystoma niagarense Hall enfin quelques Tentaculites lgamment ligaturs. Trois Orthoceras et un Cyrtoceras reprsentent seuls la Classe des Cpha; ;

Hall, tubul. Puis trois espces de Strophostyliis


:

lopodes.

Tlie middle and tlie iipper Devonian deposits ol Maiylaiid. Paleont., by Cil. S. Presser, E.-M. Kiiidle, John Clarke and C. K. Swartz (i). De mme que pour l'analyse ci-dessus, je n'ai envisag ici que les Bra-

chiopodes

et les

Mollusques, qui forment, pour

le

Dvonien moyen, deux

contingents d'importance peu prs gale dans cette faune, moins riche

cependant que celle du DA'^onien infrieur de la mme rgion. Sur cinq Lingula, une seule est nouvelle, L. Clarki Presser et Kindle Craniella Hamiltoniec est remarquablement reprsente Stropheodonta
;

(Leptostrophia) perplana Conrad

S.

(Douvillina)

Pholidostropliia pennsylvanica Kindle,

inqiiistriata Conrad Leptxna rhomboidalis Wilckens,

Leptni s ca austi'ali s Kindle, SchucherteUa variabilis n. sp., Chonetes coronatus Conrad Chonetes marylandicus n.. sp., C. riigosus Kindle Anoplia
;
;

nucleata [Hall],

Strophalosia triincata [Hall],


;

Productella
;

Sclmcherti

n. sp. trs incertaine

quatre RhipidomeUa dj connus


et le

quatre Camaro;

tchia dont
limitare

trois

connus
;

Vanuxem
;

Eiinella

Conrad, Atrypa
minatiis
[Eaton].

reticiilaris

Liorhynchus LincMaeni [Hall], Tropidoleptus carinatus [Linn] Spirifer mucronatus [Conrad], d'as;
,

quatrime non

dnomm

pect trs variable

Sp. granulosus [Conrad]


etc.,

S.

audaculiis [Conrad], S. aciiHall,

[Conrad],

Vitulina

pustulosa

Athyris

spiriferoides

Passant aux Plcypodes

Phthonia sectifrons [Conrad], Prothyris


LXXIII

lan-

(i)

Baltimore, igiS.

Maryland Gcol. Sarv., vol. VI, 720

p.,

PI.

phot. d'aprs dos

dessins.


ceolata Hall
;

i65

trs

Orthonota undulata Conrad,


rides
;

lgamment orne

des

submarginata [Conrad], PaGrammysia fortement Buchiola Halli Clarke, n. sp. Kindle ohsolescens altemata Hall, P. nenka plusieurs Nucula et Niiculites, entr'autres A^. Grabaiii n. sp. trs lgante De nombreuses Palxoneilo, dont trois nouvelles espces Tancrediopsis
Tellinopsis
;
;

Clarkei Prosser n. sp. en

bon

tat

Parallelodon Hamiltonise [Hall], quel;

quesAviciilacea

morpha connues,

Conocardiiim Cumberlandi- Swartz n. sp. trois ModioParacyclas lirata Cypricardiella bellistriata [Conrad]
;

Conrad, Palscosolen minutiis n. sp. Parmi les Gastropodes, je signalerai particulirement Pleurotomaria (Gyroma) capillaria Conrad, Bellerophon (Biicanopsis) leda Hall, Cyrtolites Cyclonema Ziraium Hall, var. Grabaui n. v. (Cyrtonelld) mitelhis Hall Macrochilina (non Macrochilus !) Han. sp. Prosser Cycl. marylandense
:

miltonise Hall

quelques Capulidse. dj connus, trois Tentaculites

et

un

Conularia, enfin Coleolus tenuicinctus Hall.

Les Cphalopodes comprennent des Orthocerathidse, trois Spiroceras dont un. nouveau (S. Clarkei), deux Bactrites, Agoniatites expansus [Vanuxem], Parodiceras discoideum, [Conrad].

La faune du Dvonien suprieur


;

n'est pas

moins intressante

les

Bra-

chiopodes, les Plcypodes et les Gastropodes y sont presque- en gal ils sont l'uvre de MM. J. Clarke et Swartz.
Je
signalerai
:

nombre

St'opheodonta Maynardi

Lingiila Oherni, principalement les nouvelles espces Chonetes Schuchertella eUiptica, ponderosa
; ;
,

lepidiformis, oaklandensis

Roivei

Prodiictella lachrymosa, navicellifor;

Lunulicardiwn cymbula mdiocre LiopLeptodesma elongatum moule interne teria marylandica, L. auriculata Schizodus Oherni trs intressant parce qu'il montre lacharnire des deux Cyprivalves, les deux autres espces nouvelles ne sont que des moules Gypricardella marylandica, G. nitidula, G. crassa, G. Gumberlandise
tat,
;
;

mis Meristella hwnilis nodocosta en assez bon


;

Buchiola Marise

Paloneilo crassa

Pterinea

cardinia elegans trs inquilatrae

Paracyclas marylandica.
:

Les Gastropodes sont, en gnral, bien conservs Ectomaria marylandica n. sp., E. ecclesi. n .sp., Bellerophon nactoides n. sp., B. Glarkei
n. sp.

Bucanopsis msera [Conrad] lgamment orne de stries divariques StraparoUus marylandicus n. sp. Gyclonemina crenulistriata, multistriata nn. sp. Turbo coronola n. sp.,
;

qui dcoupent de fines granulations

peut-tre un Trochonema ? Macrochilina pulchella, Loxonema ? gldbrum, Holopea Rowei, H. marylandica, H. humilis, Orthonychia Prosseri. 0. unguiculata, Platyceras marylandicuin, P. compressum, Tentaculites descissus, nn. sp.

Quelques Cphalopodes terminent cette importante Monographie

Ortho-

ceras consortale Hall, 0. filosum Clarke, Bactrites aciculus [Hall], Mantico-


ceras Patersoni
[Hall]
,

i66

Tornoceras uniIl

Probeloceras Liitheri Clarke,

angiilare [Conrad], Sandhergeroceras

chemungense [Vanuxem].

ne reste

plus qu' apprcier l'ensemble de cette publication qui se ressent des

beaux et modernes travaux de M. John Clarke sur la faune dvonienne de New-York. Les trois nouveaux volumes dont je viens d'analyser la majeure portion font grand honneur au Service gologique du Maryland.
Fosseis Devonlanos do Paraii, pelo D' John

M. Clarke

(i).

L'in-

troduction de cette Monographie contient une esquisse trs suggestive

de l'tendue des mers l'poque premire du Dvonien, formant une bande quatoriale, seme de grandes les dans la rgion atlantique. La faune du Parana est pauvre en Cphalopodes, riche au contraire en Conularidae. En ce qui concerne les Gastropodes, les Bellerophontidse ont une grande extension, tandis que les Capiilidse. ^~ si rpandus aux Etats-Unis sont ici d'une extrme pauvret.; les Pleurotomariidx si abondants dans la rgion nord se rduisent une seule espce dont le classement est incertain. Quant aux Plcypodes, on observe une faible reprsentation des Aviculacs et un extraordinaire dveloppement des Taxodontes, particulirement Palseoneilo et Nuciilites. Les nombreuses remarques faites au sujet des diffrentes Familles des Brachiopodes ne sont pas moins

intressantes.

Le rsum caractristique que je viens de faire ci-dessus me permet beaucoup plus bref en ce qui concerne les facis spcifiques. Coniilaria cf. acuta Ulrich (non Roemer) reoit le nouveau nom C. Ulrichana Hyolithiis suhsequalis [Salter] espce claviforme des Bokkeveld beds, semble se retrouver ici bien typique. Plewotomaria Kayseri Ulrich, abondant en Bolivie, est reprsent par un chantillon trs mdiocre Plectonotiis (Bucaniella) Dereimsi Knod P. (Bue.) hapsideus n. sp., est reconstitu d'aprs divers fragments Ptomatis Moreirai n. sp. malheureusement incomplet Tropidocychis P antarcticiis n. sp., Diaphorostoma Allardycei Clarke, terminent la liste des Gastropodes. Plcypodes. Palseoneilo magnfica, sancti-crucis, rhysa nn. sp. sont dcrits d'aprs des moules montrant l'impression de la charnire les
d'tre
; ;

nombreux individus de
Sharpei Reed,
A^.

Niiculites sont attribus


n. sp.,

A^.
;

pacatiis Rd.

A^.

Branneri Clarke Pleiirodapis multicincta n. sp. est un trange prcurseur austral de Pleurophorus, avec un plateau cardinal trs petit, et avec des ctes rayonnantes aux extrmits de la surface externe Paraprotliyris Knodi n. sp. reprsente un Sous-Genre de Prothyris, cr en 1869 par Meek pour une coquille carboN.
cf,
;

Reedi

in-S,

d) Rio-de-Jneiro 191 3. Monogr. do Servio geol. e miner, do Brasil, XXVII PL phot. d'aprs des dessins (Texte en port, et anglais).

vol.

I,

XX

et 353 p.


et

167

un galbe modiolopsiforme
Genre, Janeia King, prcis;

nifrienne allies aux Solemyid, mais avec

un

pli

rayonnant aux deux extrmits

le

en 1895 par Beusliausen, est reprsent au Parana par deux espces, J. enfin Gardiomorpha ? colosBokkeveldensis Reed, J. braziliensis n. sp. sea, Leptodomus Ulrichi, L. capricorniis Cypricardella Olivieria, Gonio;
,

phora abhreviata, Modiomorpha austronotica, M. ? scaphula, Palseanatina Erehus, Sphenotus lagoensis nn. sp., et PholadeUa cf. radiata Hall>
compltent la srie des Plcypodes. Passant aux Brachiopodes, je signalerai principalement et tout d'abord les deux nouveaux G. Derbyiiia et Brazilia facis austral, crs respectivement pour Notothyris ? Smithi et Centronella ? Margarida Derby,
dont l'appareil interne a pu tre dfini avec assez d'exactitude toute la srie de Spiiifer du groupe S. antarcticus qui donne lieu d'intressantes remarques sur l'volution de ce Genre dans la faune australe Rensse; ;

leria falklandica,

trophia

Clospira ? colona, Schiichertella Santi-crucis, Lepidos?? mesembria, Chonetes Skottsbergi, C. Hallei, Orbiculoidea

Bodenbenderi, 0. collis, LingitJa lepta, L. Keideli, L. lamella, L. scalprum, toutes formes nouvelles dont les diffrences avec les espces de la rgion borale du Dvonien d'Amrique sont indiques avec d'autant
plus de comptence que M. Clarke a
fait

de ces dernires une tude toute

particulirement approfondie dans ses rcentes publications du Muse

d'Albany.

Para

L'appendice contient aussi quelques espces du Dvonien suprieur du Schizobolus truncatus Hall, Niiculites Parai, Paloneilo sciilptilis,
:

Australiiia jachalensis nn. sp.

Beitrge zur Gologie iind Palontologie des Gebietes um den Dreiherrnstein am Ziizammenstoss von \^'iltgenstin, Siegerlaud D'aprs l'introduction straund Nassau, von Herrn F. Liebrecht (i). tigraphique, les couches de Siegen et des environs de Coblentz, appartenant au Culm , contiennent les trois niveaux du Dvonien, mais l'auteur ne les a pas synchronises avec les tages de la nomenclature belge. La partie palontologique comprend quelques Cphalopodes, Gas-

tropodes

et

Plcypodes, plusieurs Trilobites indtermins, des Brachioet


:

podes assez nombreux, Signalons entr 'autres


septus
[Beyr.],

quelques Coelentrs.

Pinacites Ingleri [A.

Rmer]

Anarcestes

late-

A.

Wenkenbachi [Koch], Tomoceras


Arthrophyllum

circumflexiferiini

[Sdbg.], Orthoceras sp. a

Beyr, qui avait t confondu

tort avec

un Clentr
igi3.

quatre Gastropodes ne sont ni figurs, ni

mme
i,

(i) Berlin,

Jahrb.

K. Prcus.
et

Geol.

Landesanst. (Jalir 191

1),

Bd. XXXII, Teil

Heft

3,

pp. /n2-/i8i,

PL XIV

XV.


nomms comme
espces
P.
;

tes

quatre Plcypodes, Pterinea

fasciculata Goldf.,

ovalis

Follmiam, qui

Isevis

Goldf, P.

d'aprs la figure

compltement l'aspect d'une Perna, Biichiola sexcostata A. Rmer. RhynchoParmi les Brachiopodes, l'auteur avait figur seulement nella Orbignyana de Vern. R. aff.Henrici Barr., Spirifer auriculatus
:

F.

Rmer,

S.

speciosiis Schl., Pentameriis

aff.

Heberti Oehlert, Orthis

tetragona de Vern.

Une Sphrospongia

et

un Hyolithes indterminables

compltent l'numration.

Dans

ses conclusions,

l'auteur a prsent

un tableau rsum, de 45
des 92 espces cites.

colonnes de gisements, donnant

la rpartition

Le Dvonieii infrieur du Bassin de l'Eifel et de l'anticlinal de Givonne dans la rgion Sud-Est de l'Ardenne belge, par Et. Asselbergs (i). La dcouverte du Bassin de l'Eifel est due Andr Dumont

en a tabli dfinitivement l'existence en 1848 le prolongement de ces couches dvoniennes dans l'Ardenne belge est clairement dmontre
(i836)
;

il

chapitre stratigraphique et tectonique que l'auteur y consacre, que dans le chapitre II est tudi le Bassin de Neufchteau et le prolongement oriental de l'anticlinal de Givonne. La liste critique des fossiles recueillis dans les couches rapportes au Siegnien, et dont quelques-uns sont figurs dans la PI. III de ce Mmoire, ne comprend que deux espces nouvelles, et elle n'est pas accompagne de rfrences synonymiques, l'auteur ayant eu principalement pour but de fournir des tmoins l'appui de ses conclusions stratigraphiques sur le synchronisme des couches tudies, et non pas de discuter les caractres palontologiques des espces bien connues qui constituent ces jalons
le

dans

ainsi

de repre.
Orthis subvulvaria n. sp., en assez mdiocre
varia,
tat, se

distingue d'O. vul-

d'abord par la dimension et la forme gnrale de la coquille, en outre par la longueur plus grande de sa protubrance musculaire, proportionnellement la largeur de la coquille par contre, le septum m:

dian est moins accentu vers

la

rgion apicale.

L'autre espce nouvelle, du Hunsruckien infrieur de Royvaux, Gonophora Dorlodoti, diffre des autres Goniophora du Siegnien par ses grandes dimensions et par l'allure beaucoup plus droite du bord frontal et

de

la cte

qui divise les valves.

of Exeter,

Notes on Carboniferous Ceplialopoda from the Neighbourhood by G. C. Crick (2). Cette Note contient la dtermination

(i) (2)

Louvain, igiS. Londres, 1911.

Extr. Mm. Inst. Gol. Univ., 170 p. in-/i, 3 PI. Extr. Quart. Journ. G. S., vol. LXVII, pp. Sgg-ZiiS.

lg

d'un certain nombre de Cphalopodes recueillis par M. Collins dans le district d'Eycler (Devonshire mrid.)- Les spcimens ne sont pas dans un bon tat de conservation, nanmoins l'auteur a pu en fixer l'ge carbonifrien
:

Glyphioceras Beyrichianum [de Kon.], G.

striolatiim

[Phill.],

G. 7'eticiilatiim [Phill.], G. Davisi


G. Phillipsi

Foord

et Crick,

G. inconstans [Phill.],
[Phill.],

Foord

et Crick, G.

sphsericum [Martin], G. crenistria

Orthoceras koninckianum d'Orb., Orthoc. obtusiim T. Brown, tous fossiles qui sont contemporains de la srie de Pendleside, dans le Midland.

Carbonfaiiiieii ans Bolivia iind Perii,


jusqu'ici que dans

von H.

L. F.

Meyer

(i).

Le
Proii

Carbonifrien marin suprieur de l'Amrique du Sud n'a gure t tudi


le

bassin des Amazones. sont


S.

Or, la Bolivie et

le

ont fourni de

nombreux matriaux qui


reprsents

font l'objet de cette Note.

Les

Foraminifres
,

par
sp.,

Schellwienia
les

aff.

viilgaris

Schellw.
tives,

S.

peruana,

convoluta nn.

dont

coupes sont sugges;

Archodiscus Karreri Brady, Endothyra parva v. Mller les Clenpar Michelinia transitoria Knod, Lonsdaleia jloriformis Flem., Lophophylhim profundiim Milne Edw^. et Haime les Brachiopodes sont nombreux,: Spiriferina cristata Schl., Sprifer condoi- d'Orb., dont les diffrences avec S. fasciger sont trs nettement dfinies, Str-eptorhynchiis
trs,
;

Hallianiis Derby, Pi-oductus boliviensis d'Orb., P. Clarkianus Derby, Rhi-

pidomella Michelini Lveill, Choneies


zoaires,

variolatiis d'Orb.

quelques Bryola

Chilotrypa peruana

n.

sp.,

Anisotrypa solida Ulrich, Polypora


faune en

megastoma de Koninck.
question a
la

Si ces

dterminations sont exactes,

plus grande analogie avec celle de l'Oural-Timan.

The
tonia,

British Carboniferoiis Proclucti.

by Ivor Thomas
;

prodigieux d'espces
le

il

Gnera Pustula and OverI. Genre Prodiictiis contient un nombre (2). est polyphyltique et il importe en consquence de

Le

subdiviser. Aprs
la

un

historique trs dtaill de


et

la

question,

un

chapitre

rsumant

terminologie

un autre consacr aux

caractres morpholo-

giques des valves, puis une discussion relative l'excessive multiplication


des coupures gnriques, M. Ivor

Thomas admet
:

la

division suivante des

Productinse
Prodiictus

s.

str.

Sow

i8i4 (G. -T.


P.

Anomtes productiis Martin)

Avonia
Pustula

n.

g.

(Rivire Aa^ou, prs Bristol),


:

d'abord pineux, puis


;

les

ctes se dveloppent (G. -T.


n.
g.

Youngianas Davidson)
:

essentiellement pineux (G. -T.

P.

pustiilosiis Phill.)

(i) Stuttgart, 191Z1. (2)

Londres, 1914. Mem. Geol. Surv. PI. XVII-XX phot. d'aprs des dessins.

Beitr. Z. Geol.

u. Pal.

Gr. Brit.

Siidamerika, n XXlf, pp. 690-652, PI. XII-XIV. Palseont., vol. I, part, li, pp. 197-866,

Buxtonia
Overtonia
n.
g.

170

(Buxton, Derbyshire) trs scabricul (G. -T.


;

Anomites

scabriculiis Martin)
n. g.

(Overton, prs Beith, Ayrshire) fond sur les caractres


:

internes de la valve brachiale (G. -T.

P. fimbriatiis

Sow.)

Proboscidella OEhlert, 1887 (G. -T.

P. proboscideus de Vern.) P.
;

complectens R. Ether.) P. llangollensis Davidson) ne Le Genre Daviesiella Waagen (G.-T. tre class auprs de ceux qui prcdent peut proprement parler mais l'auteur ne parat pas admettre la validit du S. -G. Marginifera
Etheridgina OEhlert, 1887 (G.-T.
:

Waagen. Dans cette

livraison, l'auteur a tout d'abord entrepris la

monographie

des G. Pustula et Overtonia.

Les espces sont dfinies avec

premier abord breuses et que

que

les

au le plus grand soin, mais il semble formes nouvelles de Pustula sont bien nomsont bien fugitifs
;

les critriums distinctifs


la

il

est

vrai

consquence de la multiplication des Genres qui devraient, pour quelques-uns d'entre eux du moins, tre simplement dsigns comme groupes d'espces et de varits, surtout quand il s'agit de formes appartenant au mme niveau ? Il et t, d'autre part, intressant d'en suivre l'volution stratigraphique, d'indiquer autant que pos-

que

c'est

prcisment

enchanement phyltique travers les couches successives. G. Overtonia, l'auteur ne dcrit et figure que le gnotype, et il ne cite qu'une autre espce 0. laciniata (M' Coy). qui forme le chapitre final est traite avec un La bibliographie elle occupe vingt pages et comprend 25o ouvrages les grand luxe plus divers. La table alphabtique se rfre aux noms d'espces, selon la mthode moderne. Enfin, les planches ont t admirablement dessines
sible

leur

Dans

le

et

phototypes.

lowslii

Les Brachopodes du Carbonifre suprieur de Bolivie, par A. KozD'une mission gologique sur les hauts plateaux de la Bo(i). livie, la recherche de la houille exploitable, M. Dereims a rapport une magnifique moisson de fossiles dont M. Kozlowsld a entrepris l'tude, en commenant par les Brachiopodes du Carbonifre suprieur. Or, cette tude n'est pas seulement une monographie rgionale, mais en outre l'auteur a cru bon de s'tendre aussi sur les caractres morphoainsi, pour les Prologiques de l'intrieur des valves de chamie Genre

ductus,

il

a fait figurer dans le texte les faces internes des volves, des
il

vues des apophyses cardinales,

observ

les

caractres

marginif-

(i) Paris, 191/1.

Ann. Palont.,

t.

IX, fasc.

et 3, 100 p. in-(i,

XI

PI.

phot. Avec

une

notice gol. par A. Dereims.


riens

171

conclut que ces critriums


le S.

des Pi'odiictus de Bolivie et

il

lesquels

on

s'est

fond pour constituer

-G, Marginifera

Sur marquent
autrement,

un degr de perfectionnement, un stade qui a pu tre ralis indpendamment par les diffrents rameaux de Productid et souvent par des moyens diffrents dans ces conditions, ces caractres ne peuplutt
:

vent servir de base

la

cration d'une unit systmatique

deux Genres diffrents avec P. inflatiis et semireticulatus qui sont gnralement considrs comme deux espces des plus voisines. Cette rserve faite, M. Rozlowski se dclare, d'autre part, propos de
ferait

on

P. peruvianus d'Orb.,

frapp de la subtilit et de l'exactitude qu'a su

donner Tschernyschew l'analyse des caractres extrieurs chez les Brachiopodes mais nous sommes loin des procds de classification systmatique en usage dans le Travail ci-dessus- analys.
;

Les espces nouvelles sont

Pr. cristato-tuberculatiis

Pr. Boulei, Der-

byia parasitica, Camarophoria Thevenini, et

un Dielasma non dnomm.


;

En terminant, l'auteur conclut que c'est une faune pauvre, plutt remarquable par le nombre d'individus que par celui des espces le rle prpondrant appartient au G. Prodiictiis. La majorit des formes sont rpandues dans l'Amrique du Nord, les contres borales et la Russie dix seulement sont connues au Brsil qui a cependant d'troites relations avec les faunes de l'Amrique du Nord et de la Russie. Il y a beaucoup moins d'affinits avec les Alpes orientales, le Sait- Range et
;

l'Himalaya.

Neue Arteii ans dem Clyinenenkalk von Ebersdorf n Schlesieii> von C. Renz (i). Les espces des couches d 'Ebersdorf, en Silsie, sojit

rapportes aux quatre groupes ou Genres


lense.

Glatziella

Renz

(G. -T.

G. He-

n. sp.),

avec

les trois
;

autres nouvelles espces G. Mineri^se, G. Pas-

quayi,

G.

glaiicopis

Genuclymenia Wedekind, Oxyclymenia Gmbel,

Prseglyphioceras Wedekind. Le premier surtout n'a aucune analogie avec ce que l'on connat dans les Alpes carniques.

Faune des Calcaires Produetus de l'Indo-Cliine. Premire srie, par H. Mansiiy (2). Par une singulire concidence, nous avons, dans le prsent numro, analyser une srie de Mmoires d'une grande importance, relatifs non seulement au G. Produetus, mais aux calcaires dits Produetus , calcaires ouralo-permiens qui sont prcisment bien reprsents dans notre Indo-Chine, ainsi qu'il rsulte des recherches

(1) Berlin, igiS.

Jahrb. K. Pr. Geol. Laudesanst., Bd.

XXXIV,
II,

Tert

I,

Heil

i,

PI. VllI. (2)

pp. qq-iaq, ^^
"^"^

Hano, igiS.

Mm.

Serv.

Gol.

Indo-Chine, vol.

fasc.

IV, i33 p., i3 PI. phot.

d'aprs naturet

gologiques de M.

le

commandant
et

gnin

et

Roux, de M. Depret

Dussault, de MM. les lieutenants Made M. l'Ingnieur en chef Lantenois. Le

tableau, joint l'introduction du nouveau Mmoire de M. Mansuy, permet de reconnatre combien sont troites les affinits du Palozoque

suprieur de
orientale.

'Indo-Chine avec les terrains synchroniques de

la

Russie

Ce paralllisme
siles

est

bas sur l'tude des Brachiopodes des deux rgions,

car les Fusulinids

sont rares

prcdemment tudis et qui sont ds bons fosdans le Sait Range de l'Inde, de sorte qu'on ne peut

que trs peu de rapprochements par les Foraminifres. La partie palontologique est divise en deux chapitres di.ait le plus calcaires du Laos et du Tonkin, tandis que important est le premier le second, relatif aux calcaires du Cambodge, est beaucoup plus restreint. Trois ou quatre Bryozoaires seulement (Fenestella lactensis n. sp.) et l'auteur passe ensuite aux Prodiictidu'. Le premier est prcisment P. boUviensis d'Orb. que nous avions indiqu ci-dessus propos du Travail de M. Kozlowski or, li est intressant de comparer les figures publies presque simultanment par deux auteurs qui ne se sont certainement pas concerts pour l'assimilation du fossile du Tonkin avec celui de Bolivie j'ai fait le rapprochement et je suis oblig de dclarei, que les phototypies des chantillons des deux provenances s<nt absolument identiques. P. margaritatiis n. sp., un peu moins transver.s^il que P. transversalis Tschern., de l'Oural. Par contre, P. cf. pastulosm, Pliill., du Tonkin, n'a qu'une analogie assez lointaine aveec les figui'es typiques du Mmoire de M. Ivor, ci-dessus analys. P. tartariciis Tschern., une seule valve ventrale dcape, dont le bord frontal est mutil P. incertu, n. sp., du groupe de Productella spinulosa Sow^., avec P. DiissauJti, P. propinqmis nn. sp. du groupe du P. Cora, P. Rovsi n. sp. connue par la valve ventrale seulement P. radula n. sp., du groupe de P. Geinitziamis de Koninck enfin, quelques nouvelles formes aberrantes
tablir
:

P.

scalaris,

acutaiiritus

fiiniciilatiis

concinniis

et

Proboscidella avel-

lana, Marginifera gibbosa, depressa nn. sp., trois

nouveaux Enteletes, de
sp.,

nombreux

Spirifer, Spirifeiina Rou^ici,

miiltipunctata, tripUcata nn.


:

Reticnlaria orientalis, contexta nn. sp. Le Genre Laosia (G. -T.

L.

Dus-

saiilti n. sp.) s'carte d'Eumetiia et de Hiistedtia par le sinus troit et trs profond de sa valve ventrale, avec trois grosses ctes anguleuses de chaque

ct.
Il

n'y a que quelques Plcypodes et Gastropodes

Aviciilopecten laosp.
;

sensis. A. Deprati, Strebloptera

Magnini, Conocardium Rouxi nn.

Platyceras

khammonense,
Euconospira

gracile,

Trachydomia

Dnssaiilti,

PtychomphaLons-

lus venustus,

striatula.
je

De

la

faune du Cambodge,

me

borne signaler entr 'autres

daleia canalifera, L. socialis,

173

Moiirlonia khmeriana,

Rmingeria asiatica, Camarophoria Garouda, Worthenia Lantenoisi, Euomphaliis rectangulus


Lepetopsis petasiis
nn.
sp.

Orthonema

cerithioides,

Ces derniers Gas-

tropodes sont en excellent tat de conservation.

ConNouvelle contribution la Palontologie de l'Indo-Chine I. tribution l'tude des faunes palozoques e( Iriasiques du Tonkin. Sur la Faune du Caibonifrien infrieur du Tran-ninh. III. II. l'Himalaya, Diener, du Trias de Pomarangina prsence du Genre La plupart des espces dans le Trias du Tonkin, par H. Mansuy (i). dcrites ont t recueillies par M. Deprat, elles proviennent soit de l'Ordovicien, soit du Gothlandien, soit du Dvonien schisteux faune am:

ricaine,

du
et

Givtien,

du Dinantien,

soit

des calschistes

du Carbonifaux Calcaires

rien infrieur, soit enfin de couches triasiques, analogues

Lamellibranche subtrigone, pais, montre les proportions des espces du G. Trigonodus Sandb., des Schistes du Raibl en Carinthie. Une dernire forme, antrieurement dcrite comme
d'Esino
de
la

Marmolata.

Un

Neomegalodon, appartient en
Trias

ralit

suprieur (Carnien)
est

de Spiti,

au G. Pomarangina Diener, dans l'Himalaya.

du

Dysodonta
heureusement

un nouveau

G. de NucuUd\, dont le

nom
:

prte malil

la confusion avec l'Ordre cr par

Neumayr

convien-

drait de modifier cette dnomination,

sans toutefois tomber en


est

homo-

nymie avec Dysodus Cope


sous
le

le

gnotype
gure

D. Deprati n. sp. qui possde


d'aprs

crochet une fossette ligamentaire triangulaire et trs oblique.


n.

Poleiimita asiatica
larca muongthensis,

sp.

n'est

reconnaissable

l'unique
:

figure qui en est publie. Signalons en outre les nouvelles espces

Myti-

Goniophora spatulata, qui consistent en empreintes passables, Paracyclas numismalis, Sedgwickia subqualis, Syncyclonema tonkinense Myophoria cf. insequicostata Kl. est en assez bon tat. Les Brachiopodes et les Trilobites appartiennent des formes gnralement
;

connues.

Ant. De Toni
rouge
et gris,

lUustrazione dlia fauna triasica di \ aldepena (Cadore), per dott. Dans la province de Bellune, on-trouve un calcaire (2).

en fossiles qui ont une analogie complte avec ceux du gisement de M* Clapsavon, tudis par Mojsisovics et par Tommasi (Dinarien de Wengen). A ct d'Arpadites Arpadis Mojs., forme bien caractristique de ce niveau, M. De Toni a identifi quatre autres
trs riche
(i)

Hano, igiS.

Mm.

Serv.

Gol.

Indo-Chine, vol.

II, fasc.

V, Ao p. in-/|%
3,

V PL

phot.

d'aprs nature.
(2)
in-/i

Padoue,
phot.

igi/i.

Mem. deW

Istit.

Geol. H.
.

Univ., vol.

11,

Mm.

pp. igS-ig/i, VI PI.

Arpadites, dont

174

un

est

nouveau

{A.

arietiformis)

de

nombreux

Protra-

chyceras (P. Archelaus Laube, P. spitiense Diener, P. Gredleri Mojs., P. ladinum Mojs., P. longobardiciim Mojs., P. tetranodosum n. sp-, des Anolcites tels qu'A. Laczkoi Diener, A. Richthofeni Mojs., quatre Proarcestes dont l'un trs frquent (P. pannoniciis Mojs.), trois Joannites
ses

dont un nouveau

(J.

Dieneri)

remarquable par
Mojs.,

la

finesse

de

cloisons,

Procladiscites

Griesbachi

Phyllocladiscites

crassus

Hauer, Sageceras Haidingeri Hauer, varit Walteri Mojs., Pinacoceras


Dalpiazi n. sp., Monophyllites wengensis [Klipst.], six ou sept Gymnites,

deux
A.
(D.

Stiiria et

Syringoceras, trois Orthoceras, Atractites ohelisciis Mojs.,

Bacchilidis
riiber).

Tomm., enfin deux Dictyoconites dont un nouveau Quelques Plcypodes des Genres Daonella, Mysidioptera,
n.
sp.

Mysidia Taramellii
et trois

Pecten

(s.

lato),

Chlc{mys concentricestriata,

Brachiopodes compltent cette faune intressante.

Contribulioii la Palontologie franaise des terrains jurassiques.


III. (i).

Ceritliiacea Nous avons


le

et

Loxonematacea
(p.

(suite et fin),

par M. Cossmann
la

dj analys le premier fascicule de ce Mmoire,


11).

dans

n de Janvier 1914

Ce second fascicule comprend


n.

fin des Xystrella (Procerith,

aviinculum,

sp.), les

espces du, G. Cerinn.


sp.),

thinella

Gemm.

(G.

Adelphide,

degenerata,

terebrellopsis

du

G. Nerineopsis Cossm. 1906 (N. Legayi n. sp.),


(C.
le

du
G.

G.

Cryptaulax Tate
trs

heptacolpum, tetrataeniatiim Piettei nn.


,

sp.)
le

auquel l'auteur rattache


Exelissa Piette,
(E.

S. -G.

Cryptoptyxis Cossm.
espces pour
la

1906.

Ensuite

riche en

plupart dj
;

connues

fontinensis,

pris-

matophora, distans, diacritica nn. sp) puis le G. Paraceiithicum Cossm. 1906, aussi ancien que Procerithinum (Paracer, jerenudum, mesostomoides, echinophorum climacinum nn. sp.) avec la nouvelle Section
,

Bigotella (G. -T.

Ce?-.

niacrogoniatiimT>es\.) qui

comprend quatre espces

charmouthiennes. Le G. Terebrella Andrese, commence apparatre dans le Bajocien et se poursuit jusqu' la base du Crtacique (T. Valettei, angustigyra nn. sp.). Dans le G. Gymnocerithium Cossm. 1906, il y a une correction de nomenclature G. perrotundum la place de Cer. rotundum
:

Etallon,

non Zekeli-. Rhynchocerithium Cossm. 1906 (/?. primordiale, argovicum nn. sp.). La famille Purpurinidse Zittel, qui se rattache troitement aux Cerithia(S. -G.

cs est ensuite passe en revue, avec les G. Purpiirina

Eucycloidea

et

Pseiidalaria

Hudl.), Q'retospira
;

Koken

(triasique)
y. a

Ochetochilus Cossm.

1889, Piirpiiroidea Lycett


(P. Lorioli

dans ce dernier, il pro P. Moreana de Lor, non Buv.

un changement de nom

(i) Paris, 1913,

Mm.

Soc. Gol. Fr, Pal.,

t.

XX, pp.

89-264, PI.

V-XI phot.

d'ap. nat.


L'auteur aborde ensuite
tylinidse,
le

175

:
,

Familles sont reprsentes l'poque jurassique


Pseudomelaniidde.
Il

Cnacle Loxonematacea (1909) dont trois Loxonematid Clos-

n'y a pas de vritables Loxonema, mais des

Zygopleiira, Hypsipleiira, Stephanocosmia et Rigaiixia.


velles, ce sont

Peu d'espces nou-

en majorit des formes que l'on dsignait sous les noms Chemnitzia, Turritella, Cerithiiim, et qui cependant prsentent bien les caractres des G. triasiques prcits Zygopleura Cotteaui, Z. (Anoptychia)
:

hemicolpa, Z. (A.) Bigoti, Stephanocosmia (Tyrsciis) Bigoti, Steph. (T.)


ararica, Steph. (Goniospira) acanthina, Steph. (G.)

Deslonchampsi nn.

sp.

Les Clostylina taient surtout confondues avec des Pliasianelles, une seule
espce est nouvelle (G.
Bi'asli).

Le G. Undularia

plus gros Gastropodes du Trias


et le

qui comprend les

n'est plus reprsent,


et

dans

le

Lias

Dogger, que par deux Pustulifer


;

par trois Protorcula (Protorciila


S. -G.

Fischer n. sp.)

Palssoniso

Gemm.
il

avec son

Telleria Uasina n. sp.).

L'auteur
et

s'est

born donner

la liste

des Pseudomelaniidse dj connus


les Mathildiidse,

figurs antrieurement, et

termine par

G.

Proma-

thidia (sept espces), Section Clathrohaculiis (huit espces), Section Tei'etrina (huit espces).

Du rsum statistique et des conclusions qui terminent ce Mmoire, il y a 386 espces jurasnous retiendrons sommairement ce qui suit siques en France, sans compter 63 formes indcises, indiques dans un appendice final ou numres sur la table alphabtique avec quelques observations. Tandis que les Loxonematacea tendent disparatre peu
:

peu dans le Systme jurassique, les Certhiacea dont l'apparition ne date que du Trias se dveloppent, avec une trs grande richesse de formes, de l'Infralias au Crtac. La descendance de ces deux phylums a d se faire par une srie de rameaux bifurques au fur et mesure des besoins de leur adaptation biologique. Incidemment, l'auteur fait allusion cette volution des Gastropodes qui paraissent descendre d'un anctre conique, tandis que l'enroulement spiral n'est intervenu qu'ensuite.

Fossiles nouveaux ou peu connus des terrains secondaires (Msozoques) du Jura ou des contres environnantes, par le D"^ L. Rollier (i). Cette troisime partie du travail de revision entrepris par notre actif confrre comprend la suite des Plcypodes dimyaires. Le G. Isocyprina Rder, est reprsent par une grande espce (Finabria Mayeri

Moesch) dont
internes.

la

valve gauche

montre bien

sa charnire caractristique

les autres espces nouvelles

ne sont identifies que d'aprs

les caractres

De mme,
l'tat

Veniicardia Giiedati et hipartitd nn. sp. ne sont con;

nues qu'
(i)

de moule

l'auteur, suivant la trs louable habitude qu'il

Genve, 1918.

Mm.

Soc. pal. suisse, vol.

XXXIX,

pp. i5i-3i/|, PI.

XHI-XX.

176

d'une
liste

inaugure dans ce Travail,


les

les fait suivre

critique des autres

V enilicardia
que

nisozoques, qui est trs documente et qui

comprend
n.

ce

auteurs ont gnralement

dnomm
il

Cyprina.
(P.

Un

seul Plesiocyprina

Mun. Ch. cordiforme

Baumgarti

sp.,

de

l'Aalnien d'Argovie), Genre auquel

y a lieu de rapporter la plupart des Cypricardia jurassiques. Anisocardia Modeli n. sp. est bien caractris

par son ornementation rayonnante


plusieurs dterminations
(A.

cette occasion,
rtiiit.

l'auteur rectifie

glohosa Struckm. non Rm., A.Lorioli nom. mut. pro A. elegans de Lor, non Mun Ch., A. strietbergensis pro A. tenera Goldf. 71071. Sow^., A. corallina Buv. du Rauracien et non de l'Oxfordien o est le type, tandis que celle du Squanien de la Haute-Marne reoit le nom A. Tombecki). On voit par ces citations que M. Rollier est comme nous partisan d'une restauration de la thorie de d"'Orbigny, la condition toutefois que la
,

Stritckmanni nom.

pro A.

sparation de ces mutations


constantes.

soit

justifie

par de srieuses diffrences

Signalons entr'autres

Isocardia heheta [Ou.], Isoarca Greppini n. sp.,


sp.,

Mactromya Lindhammeri n. sp., M. Schroffi n. des Mactromya msozoques un seul Corbis


;

avec une longue

liste

tandis que les


(C. Jaccardi, C.

tumida n. sp., deux autres nouvelles espces sont du groupe typique


(Splisciri)
;

Ergueliana)

Glycymeris curta
le

n. sp., la suite

de laquelle

l'auteur propose le S. -G.

Uromya
;

rieure se prolonge en queue


cite

pour les Panopes dont la rgion postgnotype n'est pas indiqu, mais M. Rollier

en premier

Mya

dilata Phill., de l'Aalnien


le

du Yorkshire.

J'ai la plus

grande rpugnance admettre

nom Psammobia

pour

la

coquille dcrite et figure sous le


elle

nom

P. cingulata, irrgulire et strie,

appartient videmment une nouvelle subdivision gnrique qu'on ne pourra caractriser avec certitude que lorsqu'on en connatra la charnire.

Ceromyopsis Kiliani n. sp. n'est connu qu' l'tat de moule quant aux Pleuromyes, elles ne donnent lieu aucune observation particulire, elles sont caractrises par leur forme gnrale, par le manque d'artes
;

sur

le corselet,

par

la

large dpression antrieure qui rayonne des croduts

vers le bord pallal.

Le Genre Arcomya

est reprsent

par six espces

nouvelles, et la liste suggesti^^e qui y fait suite sera consulte avec fruit par tous ceux qui ont des bivalves jurassiques dterminer. Homomya

bajocina
et

et bradfordina nn. sp. sont reconnaissables leur forme paisse largement billante en arrire. Pholadomya (FlabeUomya) excelsa et

Thiessingi nn. sp. ne sont pas encore figures sur les planches jointes ce fascicule, et il faut attendre la suite de cette publication pour se
'

faire
est

une opinion

dfinitive sur le G.

de

mme

de Girardotia piilchella

et

Flabellomya Rollier (191 1) il en de Plectomya Baumgarti nn. sp.


;


C'est

177

probablement avec

les

sera annexe la pi.

XXI

laquelle le texte renvoie

Monomyaires, en cours de prparation, que pour les figures de(

ces espces.

En terminant
cette

cette analyse, bien

sommaire eu gard
les

l'importance de

uvre, nous renouvelons M. Rollier

loges qu'elle mrite

divers titres.

Etudes gologiques et palont logiques sur l'arrondissement de Les Gastropodes du Jurassique suprieur graylois (T'' partie), par V, Maire (i). De nombreux matriaux recueillis par l'auteur
Gr^iy.

lui

permettent d'ciilrejjrcndre

la

publication de ta faune des environs de

sommairement indique par Etallon en 1862 et en i864- Cette premire partie comprend les Opisthobranches, les Rhytidopiliis, les Pseiidonerinea et les Nerinea du Jurassique suprieur. D'aprs les commucations que m'a faites M. Maire qui a bieu voulu me consulter sur
Gray,

quelques cas critiques

la

plupart des espces rauraciennes sont repr;

sentes par de beaux spcimens nouveaux, pourvu de leur test

celles

du

Squanien
nn. sp.

et

du Portlandien sont moins


:

faA'oriss

en gnral. Nous remarG.,

quons principalement
;

Goniocylindntes noironensis,

champvansensis

Retiisa Saiivagei [de Lor.], Siilcoacton grayensis n. sp.,

du Por-

tlandien, Pseudoneiinea Clytia [d'Orb.] dont le

moule montre

trois sillons

spiraux indiquant que ce Genre possde,


adulte

comme

Nerinea, des paissisl'tat

sements internes qui disparaissent au voisinage de l'ouverture,


;

Ps.

cUoides [Etallon Chemnitzia] du Portlandien, avec


;

le

test

Phaneroptyxis Colloti Cossm.


lon, N. Baillei n. sp.
liardensis-

Nerinea l'ochensis

n.

sp.,'N.
A^.

loriispira

Etallon, qui n'avait pas encore t figure,


;

du Rauracien,

grayensis Etal-

Nerinella perstricta Etallon, Endiatracheliis monsbe-

[Contejan],

Aphanotsenia

strigillata

Credner,

du Squa-

nien, enfin trois des Cryptoplocus dj connus.

Comme on pourra s'en rendre compte en feuilletant la brochure dont nous n'avons donn qu'un extrait bien sommaire, il s'agit l d'une faune trs riche en espces varies il faut donc louer la patience et le soin des recherches ainsi que des dterminations trs documentes, avec lesquels M. Maire a rdig ce Travail.
;

Ammonites remarquables ou peu connues (V


vill (2).

note), par Rob. Dou-

Cette premire Etude de notre

actif confrre (3) vise

seulement

In-Z,, 76 p., IV PI. phot. B. S. G. F. (h), t. Xllf, pp. SBg-SGg, PL VIT. G fig. ds. le texte. (3) Au moment de mettre sous presse ce numro, nous apprenons que notre jeune ami est mort au chaup d'honneur tous nos confrres se joindront nous poiir adresser M. Henri Douvill, pre du vaillant soldat, le tmoignage de notre respectueuse sympathie et de la part que le monde savant prend son profond chagrin.

(i)

Gray, igiS.

(2) Paris, 191/,.

178

quatre espces, un Macrocephalites, deux Qiienstedticeras et une Oppelia, dont la monographie est suivie, tant au point de vue descriptif, qu'au point de vue phyltique et stratigraphique, avec un soin minutieux, pour aboutir
des conclusions rellement frappantes.
et DesL] est une petite Ammonite mesurant au plus 18 m/m de diamtre et orne de ctes divises comme celles des Virgatites, mais dont la ligne suturale n'avait pu tre observe. Les spcimens des deux sries, figurs par M. R. Douvill, la montrent, au contraire, assez nettement pour qu*bn puisse en conclure que cette espce appartient aux Cadoceratidse Quant

Macrocephalites tugiirensis [Hb.


Bellay,

du Callovien de Montreuil

l'ornementation virgatitode (faisceaux de ctes bifurques), elle n'est

propre aucun phylum particulier,

elle

apparat

diverses

poques,

d'abord chez

les

Macrocephalites d'Extrme-Orient, puis dans beaucoup


;

d'autres groupes {Perisphinctes, Virgatites, SimbirsMtes)

il y a d'ailleurs des passages entre les formes normales de Macrocephalites et les formes

virgatitodes.

Deux beaux reprsentants de


la

Qiienstedticeras

prxcordatum R. Douv.

(191 2) sont ensuite figurs et prsentent ici

un

intrt tout spcial, puisque

troisime partie de la Note de l'auteur est prcisment consacre la

description de Q.
0.

cadoceratoides
cette

n.

sp.,

forme atavique de

la

zone

prxcordatum

dernire est une forme rarissime de la Haute-

Marne, qui reproduit assez exactement le type Cadoceras du Callovien. Dans le quatrime chapitre, M. R. Douvill montre qu'il se produit,

au Callovien, un

accs de tuberculisation

du phylum des Oppelia


;

arrondies, d'aprs 0. Alberti n. sp. l'tat npionique et adulte


ticulation de la carne apparat progressivement par des

la

den-

varits

prla fois

monitoires,

jusqu'au

moment o
distincts.

elle se fixe

dfmitevement, l'Oxforqui s'exerce

dien suprieur, par une tendance

orthogntique

dans plusieurs phylums

Die Faiioa des Aptieii


L.

Sommei'meier
Steinmann

(i).

iincl

Albieii
la

im Nrdlichen

Perii, Teil

II,

von

Dans

mme
dition

auteur avait tudi les


et

premire partie, publie en 1910, le Cphalopodes rapports du Prou par l'expIl

Schlagintweit.

s'agit,

cette fois, des Gastropodes,

des Plcypodes et des Echinodermes.

M. Sommermeier
pedernalis

cite,

d'aprs

un moule

et

sans

le figurer,
;

Natica

cf.

Rmer,

qui est une espce crtacique du Texas

il

est

plus que
;

probable que ce moule du Prou appartient "une toute autre espce


il

signale galement des

moules de Liopistha (Psilomya) gigantea Sow.


SMamerika,

(i) Stuttgart, igiS.

Beitr. Z. Geol. u. Pal.

n"

XX, pp.

870-412, PI.

XIV-XV

phot. d'aprs des dessins.


et fallax

179

cf.

Coq., puis
n.

un fragment de Pholadomya
sp.

nodiilifera Munst.

relativement bien conserve, ce Genre a t spar d'Anatina par Conrad, en 1860. Ptychomya Lissoni n. sp. appartient au mme groupe que Crassatella Robinaldina d'Orb., et a t

Anatimya prisca

est

reclieillie

l'auteur signale sans

dans l'Aptien

comme Anatimya
le figurer toutefois

Vola quinqiiecostata Sow. Chl. cf. morellensis Daiibrei Coq., Chlamys Rn., var Morrisi Pict. et il a fait reprodont Minos Coq., Exogyra Pasiphae Coq., Ostrea Coq.,
duire deux vues peu exogyrif ormes.

prisca.

Dans

les

Pectinid,

Pseiidodiadema (Diplopodid) Les Echinodermes sont reprsents par texanum [Rm.] Ps. (Diplop.) peruanum n. sp., Holectypiis planatus Rm. var. numismalis Gabb., Echinobrissiis subquadratus [Ag.], Enallaster texaniis [Rm.], ces trois derniers seuls sont figurs, avec les
:

grossissements des ambulacres. En rsum, plus encore par les Cphalopodes que
ci-dessus analyss, la faune

par

les

fossiles

du Nord du Prou appartient

un ensemble

de couches

'tendant de l'Aptien l'Albien suprieur.

Sur deux Aporrhaidse du Turonien de Touraine, par G. Lecointre


(i).

Notre jeune confrre

sur les ingrats fossiles des tufs micacs

qui poursuit avec ardeur du Turonien pu


a

ses recherches

reconstituer

avec succs l'aspect du test de deux coquilles ailes provenant de'Montrichard (Loir-et-Cher) et dont on ne connaissait que le moule, ce qui
lui a

permis d'en prciser trs exactement la dtermination gnrique. La premire est Arrhoges (Drepanochilus) Noueli [d'Orb.] qui a une longue digitation horizontale, rattache l'avant-drnier tour la seconde est Helicaiilax Cossmanni n. sp., forme trs ventrue rostre long et rectiligne qui n'a pu tre compltement moul. Cette dernire trouvaille fait remonter dans la srie stratigraphique le G. Helicaulax plus haut
;

qu'on ne

le pensait.

Cretaceous deposits of the eastern Golf rgion and species of tlie eastern Golf rgion and the Carolinas, by Lloyd Les deux zones crtaciques de la rgion Est du W. Steplienson (2). golfe du Mexique ont t dsignes sous le nom des Exogyra qui les caracE. ponderosa Rm. et E. costata Say. Or le Muse national trisent de Washington possde une remarquable collection d'Exogyres, recueillies par MM. Johnson, Stanton et par l'auteur, de sorte que ce dernier a cru bon de complter son tude stratigraphique par une revision de

Exogyra from

B. S. G. F. (4), t. XIII, p. 352, PI. VI pliot. U. S. Geol. Sarv., prof. Paper 81, 77 p. in-4, de fossiles phot. d'aprs nat.
(i) Paris, igi/i.
(2)

Washington,

igi/i.

XXI

PI.

dont 9

ces matriaux.

i8o
les

caractres et l'anciennet jurasla

Aprs avoir rappel


la

sique

du G. Exogyra, M. Stephenson en entreprend


rgion envisage.

description sys-

tmatique pour ce qui concerne


E. upatoriensis n. sp. est

dre avec E.

ponderosa

essentiellement par les


ce qui concerne E.
s'carte

une petite forme qu'il ne faut pas confonune varit nouvelle erraticostata en diffre quelques plis de sa valve gauche. De mme en
;

costata,
la

l'auteur spare la varit

cancellata

qui

du type par
ilie

prdominance de

ses sillons d'accroissement.

Martinez Eoceiie of California, by R. E. Dickerson que le Martinez Group a t dfinitivement disjoint du Crtac et ramen dans rEocne la comparaison des Genres reprsents dans ces couches avec ceux qui ont vcu l'poque ocnique, fournit l'auteur la preuve qu'il s'agit l d'une faune plus ancienne
Faiina of
(i).

On

sait

que

le

Midway

Stage

c'est--dire

du Palocne. Aussi ne s'tonnera-

t-on pas d'apprendre que la plupart des espces de Mollusques dcrites

dans ce Mmoire sont nouvelles Leda Packardi, L. Milleri, Yoldia Gesteri, Y. Powersi, Pinna Barrowsi, Lima (?) claytonensis (ce serait plutt une
:

(compltement indterminable),, Ostrea Modiola Bakeri, Cuspidaria Hannibali (bien distincte, par ses rares ctes, de C. dolahi*&iformis Gabb, qui est une Liomya crtacique), trois petites Crassatelles peu caractrises, Phacoides quadratus dont la charnire est inconnue, de mme que celle de P. mairensis et de P. Diaboli Dosinia (?) Lawsoni indterminable gnriquement Meretrix Stantoni, M. DaJli qui ne pourra conserver ce nom spcifique, premploy par moi en 1894 l^our une espce ocnique de
Limiva),
(?)

Lima

Haseltinei

Biavaldana,

0.

]Veaveri,

l'''.Alabama

Tellina herndonensis, cylindrica et SpisuJa

T.
(?)

Packhardi, T.

Perrini,

T.

Keioi,

Psammobia

Weaveri indterminables. Parmi les Gastropodes les moins mal conservs, nous remarquons entr 'autres EissureUa (?) Behri qui est probablement un Pileohis sommet us Gyrodes (?) lineata, Amauropsis niartinezensis TurriteUa Clarki qui est peut-tre une Mesalia Anchura Englishi, Anchiira Gabbi, Ovula Martini, Eutritoniam martinezense Fusiis Diimblei fragment bien peu dterminable Olivella claytonensis, Pleurotoma Louderbacki, Surcula Merriami, S. Fairbanksi, S. Andersoni qui ressemble plutt un Genotia. Enfin deux Cphalopodes terminent cette monographie Hercoglossa Merriami, Nautiliis Stephensoni
:

Il faut

savoir gr l'auteur d'avoir

pu

tirer

quelque parti de mat-

riaux aussi mdiocres.

(0 Berkeley,

191/,.

Univ. of. Calif. Bail. Geol, vol. S, n" C, pp. 61-180, PI. 6-18.

piers,

rSi

Fauiia luid Aller des Konglomerals von Ztlaiiiiek bei Kremsier, De cette Note qui contient surtout des Polyvon P. Oppenheim (i).
avec une espce d'Ostrea de Bosnie,
et

qui sera ultrieurement


ici

analyse par

un de nos
et

collaborateurs, je ne retiens

que

les

conclu-

sions d'aprs lesquelles cette faune des Carpathes appartient l'Auversien

au moins

peut-tre encore plus bas,

mais nullement au Pria-

bonien.

Ce petit Die lertia?ren Lilhodomus-Ailen, von W, Teppner (2). catalogue de 38 espces de Lithodomes tertiaires peut rendre, l'occasion, des services aux palontologistes, car la synonymie y est trs soigneusem_ent repre. L'auteur a fait figurer trois espces dont une est nouvelle (L. styriacus) et les deux autres (L. Lyellanus Mayer-Eymar, L. islensis
Parona) n'avaient pas encore t figures. Un tableau de rpartition stratigraphique de ces 38 espces termine l'opuscule. Une simple cridomiis tant fminin, les adjectifs spcifiques doivent tique de forme
:

s'accorder, c'est--dire L.

cordata au lieu de cordatiis.

IJeber Unteroligocan

penheim.
Tunisie
:

(3).

im nordstliclien Tunesien, \on


il

P.

Open

L'chantillon dont
petite taille

s'agit

provient de Bazina,

c'est

un bloc de
bord

auquel

est rest

adhrente

la

surface

interne d'un Propeamussiuni

munie de cinq

ctes rayonnantes qui n'at-

teignent pas
P.

le

pallal.

semiradiatiim Mayer,
le

Notre confrre y a immdiatement reconnu de l'Oligocne infrieur de Budapest et de

Ha ring dans
fixer assez

Tyrol septentrional. Cette dtermination permet donc de


le

exactement

niveau des couches tunisiennes dans lesquelles


Il

ce fossile a t recueilli.

diffre

nettement de P. Mojsisovicsi Bittner,

du Miocne

infrieur de la Syrie.

Brown and

llie Oligocne of Antigua, by Amos P. Les espces dcrites dans cette Note H. A. Pllsbry (4). appartiennent aux G. Hemisinus, Bithinella, Planorbis. Comme elles sont nouvelles, leur attribution l'Oligocne repose uniquement sur ce que

Fresh-waler Molhisks of

les espces

marines ci-aprs analyses sont elles-mmes attribues cet


je les

tage.

Mais on verra prcisment que


:

regarde plutt

comme
latiis,

aquita-

niennes. Ce sont

Hemisinus antiguensis, H. siUceus, H.

Bithinella

antigiiensis, Planorbis siliceiis.

(i)
PI.

Extr. Jahrb. Vienne, 191/1. XX.y[ phot. d'aprs des dessins.

K.

K.

Geol.

Reichsanst

Bd. G3, L. H., pp. 696-710,


i

(2) Graz, igi/i.

(3) Stuttgart, 191/1.


(/i)

luiss. Ver. f. Sleiennark, Bd. 5o, pp. 99-117, - Extr. Centralbl. f. Miner, etc., n 9, pp. 279-288, i fig. Piiiladelpliie, igi/i. Extr. Proc. Acad. Nat. Se, pp. 209-218, PI. IX.

Extr. Mitt. A'at.

PL

(i).

182

Amos
P. Browii

Notes on the geology of the sland of Antigiia, by

D'aprs

l'auteur, les fossiles recueillis

dans

l'le

d'Antigua ont une

grande analogie avec ceux de l'Isthme de Panama et de Saint-Domingue. S'il en est ainsi, je ne puis partager l'avis de M. Anrros Brown, au sujet
de leur attribution l'Oligocne
tabli

mme

suprieur, attendu qu'il a t bien

par M. Douvill que ces fossiles de


et

cniques, et que

nique
le

dans mon premier coquilles de Martisur de Panama avoir dmontr que toutes ces couches des
travail
les

Panama

sont effectivement miola

je crois

l 'Isthme sont rparties entre le Miocne infrieur (Jamaque) Miocne moyen (Martinique et Panama) et le Miocne suprieur (SaintDomingue). Il faudrait donc relever le niveau stratigraphique d'Aitigua jusqu'au Miocne moyen, et classer au plus bas dans le Miocne infrieur (comme les couches de Chipola) les fossiles d'eau douce ou saumtre cidessus analyss. Les espces nouvelles sont Amussium antigiiense, Pecten

Antilles et de

Niiganti, Ostrea antigiiensis, Turritella Forresti, Helicina Crosbyi, Stenorhytis antiguensis


il

peu dterminable

dans

l'tat

parat indiqu d'tre trs prudent quant

o se trouvent ces fossiles, aux dterminations, car ils


la

sont certainement moins bien conservs que hies espces de


et

Martinique

surtout que celles de

Panama.

feldein,

Versleinerungeii von den Bogenlelser DiamantLes gisements diaman(2). tifres du Sud-Ouest de l'Afrique contiennent des argiles qui ont fourni des fossiles en assez bon tat pour que l'on ait pu leur assigner l'ge miocnique. Tout d'abord, Ostrea digitalina Dub. et 0. gingensis Schl.
lertiaere
J.

Ueber

von

Blim und W. Weisfermel

iV.

africana n. v. Noeta Reiiningi n. sp. qui ressemble un peu ponderosa Say., Arca Krti n. sp. qui est probablement une Cucullssa Barymactra Dombwgi n. sp. plus aplatie que B. burdigalensis Mayer TeUina Ludertzi, Perona Oppenheimi nn. sp. Turritella, (Haustator >)
var.
; ;
;

atlantica n. sp. analogue T. vindohonensis Partsch

Atiiria Lotzi, n. sp.

qui rappelle A. Parkinsoni Edw., de l'Eocne.

Miocsene Gastropoden von Ost-Borneo, von K. Martin (3). Il s'agit d'un simple tableau, sans diagnoses ni figures, contenant un certain nombre d'espces dont beaucoup sont nouvelles et dcrire ultrieurement mais les espces dj connues de Java permettent l'auteur de conclure
;

que ces couches sont miocniques.

Philadelphie, igtS. Extr. Proc. Acad. Nat. Se, pp. 58/i-6i6, Pi. XVIII-XX. Extr. Geol. Zetralstelle f. Deutsch. Schutzgeb., pp. Bq-iti, PI. 8-1/1. Extr. Samml. Geol. Reichs-Mus., Bd. IX, pp. 326-33G. (3) Leide, 191/1.
(i)

(2) Berlin, igiS.


(i).

i8B

Ene oberoligozaene Faune ans Ungarii, von K. Rolh v. Telegd Voici encore une Monographie, trs soigne d'ailleurs, dont le niveau stratigraphique me parat beaucoup plus miocnique qu'oligoc-

nique

ces fossiles proviennent d'Eger,


ils
;

aux environs de Budapest


l'auteur a fait figurer

et

de

semblent tre en bon tat ment les espces nouvelles, mais encore beaucoup d'espces Nous remarquons particulirement Murex (Haustelliim)
Vcz, et
:

non

seule-

dj connues.
paiicispinatus

n.

sp.

Tritoniinn

(il

faudrait plutt reprendre


;
,

Eutritonium Cossm.)

Tarhellianum Grat. var.


plutt au G. Pisanella
;

Fasciolaria plexa Wollf qui

me

parat appartenir

ne sont probablement pas identiques aux types de Belgique P. egerensis n. sp,. Swciila tricarinata n. sp. qui ressemble beaucoup plutt un Clathurella Voliitilithes permiilticostata n. sp-, Terebra simplex n. sp. Chenopus
Pleiirotoma Duchasteli
et P.

Selysi, qui

,^

callosus n. sp. bien distinct de C. speciosiis

Turritella Sandbergeri Mayer,

qui a une ornementation trs variable


petite

Tellina aquitanica Mayer, plus

Cardium egerense, C. (Ringicardiitm) bukkiaLeda (Lembuliis) anticeplicata n. sp. Leda (Costatoleda) psammobseformis n. sp., Sous-Genre nouveau qui se distingue non seulement par son ornementation, mais aussi par sa fossette symtrique Pectunciiliis (Axinsea) inflatoides n. sp., Camptonectes textiis Phil. Il y a aussi un Megatylotus qui a bien le facis oligocnique, mais qui est trs incomplet nanmoins, je persiste dans ma conviction initiale.
que dans l'Aquitaine
; ;

num

nn. sp.

Descriptions of

new

species of fossil

MoUusca

Tandis que le by Bruce Marlin(2). Pliocne de Californie, abondamment fossilifre, a t largement tudi, les couches nogniques plus anciennes demandent un complment de recherches. M. Bruce Martin publie dans la prsente Note un certain nombre de formes nouvelles qui ont un facis boral trs marqu Modiola Stalderi, Buccinum Saiindersi, Nassa Moraniana, Chrysodomiis Lawsoni,
of Caliornia,
:

marine Neocene

froni the later

C.

ewekaensis, C. scotiaensis, C. Andersoni, C. purismaensis, Tritonofortiinasensis, T. Riversi, Voliitopsis ewekaensis,

fiisiis

nerensis,

Boroetrophon fleeArgobiiceinum Arnoldi, A. scotiaense, Drillia fleenerensis, D. mercedensis. La majorit de ces fossiles parat en bon tat de conservation, autant qu'on en peut juger d'aprs les figures qui sont photo types avec beaucoup de soin.
(0 Budapest,
(2)

191

/i.

Berkeley,

igi/i.

Extr. Geol. Hungr., V. fasc. Bult. Dpart, of Geol., Vol. n


I,
i

8,

7,

77 p. m-4, G Pi., 4 g, pp, 181-202, PI. 19-22.

t84

CPHALOPODES
par M. P. LEMOINE.

Ce fascicule Yorkshiie Type Ammonites, by S. S. Buckman (i). comprend la description et la figuration de Deroceras spicatiim, D. impavidum nov. sp. (= D.spicatum' Simpson pars), D. miitatum, Elegantuliceras ovatiiliim Dactylioceras gracile Simpson, Liparoceras heptangulare. M. Buckman y cre de plus Deroceras pugnax (nom. mut. pro D. spicatum Whright, non Simpson). Les planches sont toujours aussi belles et dans le texte l'auteur procde toujours la description des espces avec une consciencieuse minutie.
;

Die Arieleii des iiiiteren Lias aoii Harzburg, von E. W. Smith Cette Monograplije est le troisime fascicule de l'important Travail entrepris par M. Pompeckj (3). Les couches de Harzburg qui sont dcrites ici se prsentent en majeure partie sous la forme de roches ferrugineuses oolithiques, remarquables par la richesse et la grandeur de leurs Ammo(2).

nithes.

Il

est trs curieux de constater

celui des individus, des

que le nombre des espces et aussi animaux qui ne sont pas des Ammonites, est extr-

mement
arcuata

restreint
et

il

y a seulement quelques reprsentants de Liogryphsea

quelques Rhynchonelles.
;

grand nombre d'espces d'Arietites sont dcrites dans ce Mmoire mais l'auteur a eu en mains un trs grand nombre d'chantillons qu'il a mesurs avec le plus grand soin, de sorte qu'il a pu donner des schmas de la forme des diffrentes espces aux diffrents stades de la croissance. Les planches en phototypie sont excelce sont des espces classiques,
lentes, les cloisons sont dessines avec soin
;

Un

aussi ce

Mmoire

sera-t-il
les

indispensable

consulter par toutes les

personnes qui tudieront

Ammonites

liasiques

du groupe des

Arietites.

(4).

\on den Cap Verdeschen IsLand, von Edw. Hennig Ces Aptychus, appartenant 3 espces nouvelles, ont surtout un intrt au point de vue de la gographie gologique, en montrant l'exis-

Aptychen

tence d'un substratum sdimentaire, probablement d'ge jurassique supLondres,

(i)

igi/i.

(2) Stuttgart,

191/1.

Palontogr.,

Part.

XIV

(8

PL, descr. LXf, pp.


ii

n"

io3-io8

(WilL Wesley, diteur).

i-io,

PL I-VIL

(3)

Pompeckj. BeUriige zur

{h) Berlin, )gi3.

Palseoiit.

Stratigr. des Nordwestdeiischen Jura,

Ex. Z. d. d. gcol. Ges.,

PL IL


rieur,

i85

aux

les

facis tait

volcaniques du Cap Vert et en particulier l'le Mago. Le analogue celui de l'Europe centrale venant aprs la dcoules

verte

du Cnomanien aux

Canaries, cette constatation montre qu'il est


les

probable que l'tude gologique dtaille des


rserve encore des surprises.

de l'Atlantique, nous

Les Blemnites infra-crtaces de l'Abkhasie (Gagry-Soiiklioum), Le texte de ce Travail est en langue russe, par M. S, Schwetzoff (i). mais fort heureusement, et par une coutume qui tend se perdre et qui rendra bref dlai, absolument inaccessible au public scientifique les travaux des savants russes, M. Schwetzoff a accompagn son texte d'un rsum en franais. Les espces dcrites appartiennent aux deux Genres Diivalia et HiboUtes. Le Genre Diivalia est reprsent par cinq espces dont deux nouvelles, le Genre HiboUtes est plus abondant et renferme dans cette rgion un beaucoup plus grand nombre d'espces. A cet gard, M. Schw^etzoff discute la cration, rcemment faite par M. Stolley, du Genre Neohibolites il pense que la diffrence entre HiboUtes et NeohiboUtes se rduit un rostre plus allong et plus lancol des HiboUtes et la diffrence des niveaux stratigraphiques. Le Genre HiboUtes tant surtout

jurassique.
Il

ne varie que

montre, d'autre part, que, dans cinq espces, la longueur du rostre trs peu et il pense qu'il existe une loi dans le raccourcisserostre

ment du
;

qu'il y a l

quand on prend des espces de plus en plus rcentes et une loi gnrale de l'volution des diffrents groupes d' HiboUtes car M. Stolley a vu le mme phnomne pour des formes allemandes qu'il rapporte au Genre NeohiboUtes.
(i)

Annuaire

gol. et miner. Russie, Vol.

XXV,

livr. 2, 3,

igiS.

RGLES INTERNATIONALES DE LA NOMENCLATURE


ZOOLOGIQUE,

ADOPTES PAR LES CONGRS INTERNATIONAUX DE ZOOLOGIE [suite).


Art.
suite
22.

Le

nom

de l'auteur, quand

il

est

utile de le citer (i),

fait
;

d'aucun signe de ponctuation si d'autres indications sont utiles (date, sp. n., emend., sensu stricto, etc.), elles suivent le nom de l'auteur, mais en sont spares par une virgule ou une parenthse. Exemples Primates Linn, 1768 ou Primates Linn (1758). Recomm. Lorsque le nom, de l'auteur d'un nom scientifique .est cit en abrg, on doit se conformer la liste d'abrviations publie par le Muse
au
scientifique,' sans interposition
:

nom

Zoologique de Berlin.

Art.

28.

Quand une

espce est transfre dans

un Genre

o son auteur

l'avait place,

ou quand

le

nom

spcifique est

autre que celui combin avec un

gnrique autre que celui auquel il tait primitivement accol, le nom de l'auteur de ce nom spcifique est conserv dans la notation, mais mis entre Tnia lata Linn, 1758, qui devient Dibothrioparenthses (2). Exemples Fasciole hepatica Linn, 1768, qui devient cephalus latus [Linn, 1758]

nom

Dist'oma hepaticiim [Linn, 1768]. S'il y a lieu de citer l'auteur de la nouvelle combinaison, son nom fait Limnatis nilotica [Savigny, 1820] Moquin suite la paenthse. Exemple
:

Tandon,
Art.

1826.
2/1.

Quand une

laquelle est attribue le

indiquant tout la et le nom de celui qui a effectu solium Linn, partira, Gze.

nom spcifique primitif, fois le nom de l'auteur qui


la division

espce vient tre divise, l'espce restreinte, peut recevoir une notation
a tabli l'espce primitive
:

de cette espce. Exemple

Tnia

Loi de priorit
Art.
tre
25.

Le

nom

que

celui

sur lequel

adopt pour chaque Genre et chaque espce ne peut ils ont t le plus anciennement dsigns, la

condition
a)

que ce nom ait t divulgu dans une publication 011 il aura t accompagn d'une indication, d'une dfinition ou d'une description (3) h) que l'auteur ait appliqu les principes de la nomenclature binaire.
;

(i)

On peut

dire

que

cette utilit

est

permanente pour

viter des recherches au

lecteur

et lui simplifier la

lecture {Note de

la Direction).

lieu cet effet des crochets [ ] au (2) Pour plus de clart, nous avons toujours employ de parenthses ( ). {Note de la Direction). ;. indication qui permette de saisir (3) Autrement, une simple citation sans la moindre l'intention de crer un nom nouveau, ne constitue qu'un nomen nudam sans aucune valeur, qu'on ne peut substituer un nom postrieur rgulirement tabli.
_

187

loi

Application de^la

de priorit

Art. 26. La dixime dition du Systema Natures de Linn (1758) est l'ouvrage qui a inaugur l'application gnrale de la nomenclature binaire en Zoologie. La date de 1768 est donc accepte comme point de dpart de la

nomenclature zoologique et comme entre en vigeur de la loi de priorit. Art. 27, La loi de priorit prvaut et par consquent le plus ancien

nom

est conserv

a) quand une mal lui-mme h) quand un


;

partie quelconque

d'un animal a

dnomme
t

avant l'aniavant

stade quelconque

du

cycle

volutif a

dnomm

l'adulte
c)

deux sexes d'une mme espce ont t considrs comme des ou mme comme appartenant des Genres distincts d) quand l'animal prsente une succession rgulire de gnrations dissemblables, ayant t considres comme appartenant des espces ou mme des Genres distincts. Art. 28. Un Genre form par la runion de deux ou plusieurs autres Genres ou Sous-Genres, prend le nom le plus ancien valable des Genres ou Sous-Genres qui le composent. Si les noms sont de la mme date, celui qui a t choisi par le premier rviseur, doit tre maintenu. Cette mme rgle doit tre applique quand deux ou plusieurs espces ou sous-espces sont runies en une seule. Recomm. - En l'absence de toute rvision antrieure, on recommande de

quand

les

espces distinctes

comme suit la prsance nom l'appui duquel une espce typique est dsigne, s'il s'agit d'un nom de Genre. Si tous les Genres possdent ime espce typique [ou si aucun n'en possde] on adopte le nom de celui dont la diagnose est le plus
fixer
a)
:

le

exacte
h)

Le

celui
s'agit
c)

nom accompagn d'une figure et d'une diagnose, de prfrence qui n'est accompagn que d'une figure ou que d'une diagnose, s'il
d'un

nom

spcifique

Toutes choses gales d'ailleurs,

le

nom

cit

en premier

lieu

dans

la

publication.

Quand un Genre est subdivis en deux ou plusieurs autres, Art. 29. son nom est maintenu , l'une des subdivisions. Si le type du Genre tait primitivement dsign, l'ancien nom gnrique appartient celle des subdivisions qui renferme le type originel.
Recomm.

Pour

faciliter

les

rfrences,

il

est

recommand, quand une

espce ancienne est prise pour type d'un Genre nouveau, de combiner aussitt son nom avec le nouveau nom du Genre, et de le citer en mme temps avec

son ancien
Mise.
Coll.,

nom

gnrique. Exemple
p.
14.7,

Gilbsrtella

Eigenmann,

igoS,

Smithson.

XLV,

gnotype. Gilbertella alata [Steindachner]

= Ano

cyrtus alatus Steind.

Art.
suivant

3o..

La dsignation des espces types des Genres [ou Gnotypes],

sera rgie par les rgles suivantes (a-g) appliques dans l'ordre de prsance
:

I.

Cas o
:

le

type gnrique est accept

uniquement

d'aprs la publication

originelle

a) Quand, dans la publication originelle d'un Genre, une espce est trs nettement dsigne comme gnotype, cette espce sera accepte comme gnotype, nonobstant tout autre considration (type par dsignation originelle) b) Si, dans la publication originelle d'un Genre, le nom typus ou typicas est employ corame nom nouveau pour \me espce, celle-ci sera regarde comme gnotype par dsignation originelle c) Un Genre propos primitivement pour une seule espce prend cette espce pour gnotype (genre monotypique) d) Si un Genre sans gnotype primitivement dsign (voyez a) ou indiqu (voyez h), contient, parmi ses espces originelles, une espce portant le nom mme du Genre comme nom spcifique ou subspcifique, qu'il soit valable ou synonyme, cette espce ou sous-espce devient ipso facto le gnotype du Genre .(type par tautonomie absolue). IL Cas o le type gnrique n'est pas accept uniquement d'aprs sa publi; ;

cation originelle
e)

Les espces ci-aprs ne seront pas prises en considration dans la dtermination du type
:

Les espces qui n'taient pas comprises sous de sa publication originelle


a)
;

le

nom du

Genre, au temps

j5)

Les espces qui taient species inquirend au point de vue de l'auteur


;

du nom gnrique, au temps de


y)

sa publication Les espces que l'auteur du Genre y rapportait avec doute (i) /) Au cas o un nom gnrique, sans type originellement dsign, est propos pour tre substitu un autre nom de Genre pourvu ou non d'un type,
:

le

type de l'un,
g)
Si

quand

il

est tabli, devient ipso facto le

type de l'autre

un

auteur, en publiant

un Genre contenant

plus d'une espce vala-

n'a pas dsign (voyez d) ou indiqu (voyez b, d) son type, tout auteur subsquent peut choisir le gnotype, et cette dsignation ne peut plus tre change (type par dsignation subsquente). Le sens de l'expression choisir le type doit tre entendu au pied de la lettre. Mentionner une espce propos d'un Genre, titre de comparaison ou d'exemple, n'quivaut pas au choix d'un type. ni. Recomm. En choisissant des types par dsignation subsquente, les auteurs feront bien de se conformer aux recommandations suivantes h) Dans les cas de Genres linnens, choisir comme gnotype J 'espce la plus commune ou l'espce mdicinale (rgle linn. 1751) i) Si un Genre sans gnotype dsign, parmi ses espces originelles, en contient une dont le nom spcifique ou subspcifque, qu'il soit valable ou synonyme, est virtuellement le mme que le nom gnrique, ou bien s'il a la mme origine ou la mme signification, on lui acordera la prfrence dans
ble,

(i)
Si

Au point d vue palontologiqu, il serait dsirable d'ajouter une 4 .exception Les espces dont la provenance ou l'tage stratigraphique sont incertains [Note de la
:

Direction].

i89

le choix du gnotype, moins que cette prfrence ne soit fortement contreindique par d'autres arguments (type par tautonomie virtuelle) /) Si le Genre contient la fois des espces exotiqvies et non exotiques au point de vue de l'auteur originel, le gnotype doit tre choisi parmi les espces

non exotiques
k)

Si certaines des espces

on donnera la prfrence limination).


V)

une espce

ont t plus tard classes dans d'autres Genres, reste dans le Genre originel (type par

Les espces fondes sur des spcimens sexuellement

mrs
;

seront prfres

celles fondes sur des

formes larvaires ou immatures (i) m) Choisir de prfrence des espces portant les noms communis, vulgaris,
;

medicinalis ou officinalis

n) Choisir de prfrence l'espce la

mieux

dcrite, la

plus facile obtenir, ou celle dont on pourra se procurer

mieux connue ou la un bon spcimen

type
o)

une espce qui appartienne un groupe contenant grand que possible de cette espce (rgle de de candolle) une espce si c'est possible Dans les Genres parasites, choisir p) qui se rencontre chez l'Homme ou chez tm animal comestible, o\i qui ait pour liste une espce trs commune et trs rpandue g) Toutes choses gales d'ailleurs, choisir de prfrence une espce que l'auteur du Genre a rellement tudie, l'poque ou avant l'poque o il a propos le Genre r) Dans le cas d'auteurs qui, habittiellement, dcrivent d'abord une certaine espce modle ou espce typique comme chef de file et dcrivent ensuite les autres par comparaison avec la premire, ce fait doit tre pris en considration pour le choix du type s) Dans le cas d'autetirs qui ont adopt la rgle de prendre la premire espce pour fixer les gnotypes, la premire espce nomme par eux doit tre prise comme type de leurs Genres (2)
Choisir de prfrence
aussi

un nombre

Toutes choses gales d'ailleurs, l'ordre de pour le choix du gnotype.


t)

la

pagination doit prvaloir

Art. 3i. La subdivision d'une espce en deux ou plusieurs autres est soumise aux mmes rgles que la subdivision d'un Genre. Mais un nom spcifique qui repose videmment sur une erreur d'identification ne peut tre conserv pour l'espce mal identifie, mme quand les espces en cause sont T/enia pectinata Gze places pkis tard dans des Genres spars. Exemple 1782 = Cittotsenia pectinana [Goeze], tandis que l'espce dtermine par erreur, par Zeder en 1800, comme Tnia pectinata Gze est identique Andrya rhopalocephala [Riehm] cette dernire espce ne peut poiier le nom
:

AndTya pectinata
(i)

[Zeder].

tat, celles

Palontologie, on prfrera les espces fondes sur des spcimens adultes, en bon dont on ne connat que des chantillons incomplets ou npioniques. (2) Il est vident que, si un auteur a l'habitude de dcrire ou d'numrer les espces des Genres par ordre alphabtique, la rgle de la premire espce n'a aucune valeur

En

et

ne doit tre applique qu'en dernire analyse [Not de

la Dir.].

igo

Des noms caducs.


tre rejet

gnrique ou spcifique, une fois publi, ne peut plus pour cause d'improprit, mme par son auteur. Exemple des noms tels que Polyodon, Apus, albus, etc., une fois publis, ne peuvent tre rejets pour l'unique raison qu'ils indiquent des caractres en contradiction avec ceux possds par les animaux en question. Art. 33. Un nom ne peut tre rejet pour raison de tautonomie, c'est-dire parce que le nom spcifique et ventuellement aussi le nom de la sousespce sont identique au nom gnrique. Exemple Trutta trutta, Apus
Art.
32,
:

Un nom

apus.

Art.

34.

Tout

nom

gnrique est rejet


est rejet

comme homonyme,
(i)

s'il

a t
:

prcdemment employ pour quelque autre Genre


Trichina Ov^^en,
i835,

Nmatode,
(2).

comme

d'animaux. Exemple homonyme de Trichina

Meigen,
Art.
a t

i83o,
35.

spcifique est rejet comme homonyme, quand il pTcdemment employ pour quelque autre espce du mme Genre. Exemple Tnia ovilla Rivalta, 1878 (n. sp.), est rejet comme homonyme de Tnia ovilla Gmelin, 1790. Quand, par suite de la runion de deux Genres, deux animaux ayant le

Diptre

Tout

nom

il

mme nom
spcifique

spcifique se trouvent rapprochs dans le


le

mme

ou subspcifque

plus rcent doit tre rejet


i8o/i,

Genre, le nom comme homonyme.


transport dans qui est aussi un

Exemple

Auricula sulcata Lamk.

qui est

un Adason,
1789,
la

ce dernier Genre, y rencontre Voluta sulcata Gmelin,

Actason, de sorte que Bayan, en 1870, a

nomm

premire espce Actseon


signification

Gmelini
Les

(3).

noms

spcifiques de

mme
s'ils
:

origine et de

mme

seront

considrs

comme homonymes
suivantes
ce
se,

ne

se

distinguent les uns des autres que


et y,

par
a)

les diffrences

L'emploi de

ou

e,

comme

cruleus, cruleus, ceruleus


;

ei,

comme

chiropus, cheiropus,, Hipponyx, Hipponix


;

c et

fe,

comme

microdon,

mikrodon

ou la non aspiration d'une consonne, comme oxyrynchus, oxyrhynchus Homalia, Omalia c) La prsence ou l'absence d'un c devant i, comme autumnalis, auctumb) L'aspiration
; ;

nalis

quand un seul et mme nom est appliqu deux ou plusieurs y a synonymie quand devix ou plusieurs noms diffrents sont appliqus un seul et mme objet. Dans le premier cas, le plus rcent doit tre chang; dans le second, les plus rcents doivent disparatre \Note complle par la Du\]. qui ne diffrent que par le fait d'un barbarisme ou d'un (2) Deux noms gnriques sont galement homonymes. Exemple: solcisme qui a chapp l'auteur de l'un d'eux Odontostoma et Odontostomus, Cerostoma et Ceratostoma, Semifusus et Hemifusus, Keilostoma et Chilostoma, Macrodon et Macrodus, Ceritella et Cerithiella [Note de la Dr.]. (^3) Il faut toutefois se mfier des changements de dnomination introduits, par suite de dans le Prodrome de d'Orbigny runions de Genres qui ne sont pas dfinitives il y a de nombreux exemples de ces corrections de nomenclature inadmissibles [Note de la Dir.],
(1) Il

y a

homonymie
;

tres diffrents

il

d)

191

Uttoralis,
litoralis
;

une consonne simple ou double, comme


;

apennitmo-

nicus, appenninicus
e)

Les dsinences ensis ou iensis dans


timoi'iensis

un nom gographique, comme

j'ensis,

Art. 36. Les noms lejets pour cause d'homonymie ne peuvent pas tre mploys de nouveau. Les noms rejets pour cause de synonymie peuvent tre employs de nouveau, dans le cas de restauration de groupes supprims par erreur. Exemple Tsenia Giardi Moniez, 1879, a t supprim comme synononyme de Taenia ovilla Rivolta 1878 on a reconnu depuis que Tsenia ovilla tait premploy (T. ovilla Gmelin, 1790) Tsenia ovilla est donoc supprim comme homonyme et ne doit plus tre employ, mme si l'espce passe dans un autre Genre (Thysanosoma) alors le nom spcifique Giardi Moniez, 1879, qui avait t supprim comme synonyme, redevient valable, grce la sup:

pression de

Recomm. 11 est bon d'viter l'introduction de noms gnriques nouveaux qui ne diffrent de noms gnriques dj employs que par la terminaison ou par de lgres variations orthographiques pouvant prter confusion toutefois, s'ils sont dj introduits, on ne doit pas lesj rejeter pour ce seid motif. Exemples Picus, Pica Polyodus, Polyodon, Polyodonta, Polyodontas, Polyodontiis [sauf le cas de barbarisme corriger]. La mme recommandation s'applique aux noms spcifiques dans les limites d'un mme Genre. Exemple necator, necatrix furcigera, furcifera rhopalocephala, rhopaliocephala ammonUgeforniis ammonitiformis Si le radical d'un nom gographique donne lieu en latin deux ou plusieurs drivs, on ne doit pas employer plus d'un de ces noms dans un mme Genre toutefois, s'ils sont dj introduits, on ne doit pas les rejeter pour moluccensis, molucanus hispanus, hispanicus ce seul motif. Exemples
;
:

l'homonyme

Tsenia ovilla Rivolta, 1878.

sinensis,

sinicus,

chinensis

ceylonicus, zeylanicus.
s

La mme recommandation mme radical et ne diffrant


ple
guia, Montacuta.

'applique aussi aux autres mots drivs d'un

entre eux que par la dsinence ou par


:

un

sim-

changement orthographique. Exemples

Lamarcki, Lamarckiana, Monta-

APPENDICE

que toute proposition d'un nouveau groupe systmatique soit accompagne d'une diagnose la fois individvielle et diffrentielle, crite en allemand, anglais, franais, italien ou latin. Cette diagnose doit indiquer dans quel muse le type a t dpos et quel numro
A.
Il

est

trs

dsirable

d'ordre
Il

il

y porte.
les

est

recommand, dans

descriptions publies d'une nouvelle espce

ou d'une nouvelle sous-espce [varit, race ou mutation] de ne dsigner et dnommer qu'un seul spcimen comme type, les avitres spcimens examins par rauteiu- on mme temps tant des paratypes. B. Pour les travaux publis dans une autre langue, il est trs dsirable que l'explication des figrres au moins soit traduite dans l'une des cinq langues numres ci-dessus.

192

G. Le systme mtrique des poids et mesures et le thermomtre centigrade de Celsius doivent tre seuls adopts. L'unit de rnesure adopte en micrographie est le micron ou millime de millimtre (oooi), reprsent

par la lettre grecque


D.

[>..

L'indication

du grossissement ou de

la

rduction est trs dsirable


chiffre
et

pour
E.

l'intelligence

d'un dessin. Elle s'exprime en

non en men-

tionnant

le

numro

des lentilles l'aide desquelles l'image a t obtenue.

L'indication de l'agrandissement
linaire.

ou de

la

rduction d'un objet est

ordinairement
le cas

On

multiplication, dans le

l'exprime en la faisant prcder du signe de la cas d'un agrandissement, et par une fraction, dans
:

x 5o indique que la figure est agrandie d'une rduction. Exemples i/5o indique qu'elle est rduite 5o fois. S'il est utile de spcifier que l'agrandissement est linaire, en surface ou en volume, on peut ajouter comme exposant un chiffre indiquant la puis-

5o fois

sance.

Exemples

X X X

5o^ indique l'agrandissement linaire


5o^
5o^

en surface en volume,

F,

Transcription des mots grecs


la

Le tableau suivant indique


transcrits
:

manire dont

les

mots grecs doivent

tre

Y)

dsinence

y]

e
i

y.

= = = = =1 = =
=
:=

(uaXEo?)
(TZEiprivri) (TiEiprivYi)

Hyalea,
Pirena,

a
th
i

(teOu;)

{<ia\w)
(iT^Tro/p-fivY))

c
ce

(evu)

=z r

(xxEpov)
(upo?)
(XifAvaio)

y
3S

ai

non Hyalsea ; non Pirina ; Pirena, non Pirene ; Tethys, non Tetys ; Balia, non Balea ; Hippocjxna, non Hippochrenes Xenus, Xenophora ; Pterum ; Hybolithus, non Hibolites ; Limna, non Lymnea ;

au
Et

EU
(jj,

01

= m = =

au
i

(yXauxo)
(y.EiXoi;)

Glaucus ; Chilostonium, non Cheilostomia

(i) ;

eu

(supu)

(oixew)

Eurystoma ; Dica, non Dioica


Oicopleura
;

OEcopleui'a,

non

dsinence

ov

um
us

(EiTiTtov)
(o[X(paXui;)

u
TT

(Xouirjptov)

ng

(ayyapEta)

Ephippium, non Ephippion (2) Euomphalus, non Euoniphalos Luterium, non Lotorium ; Angaria, non Aggareia ;

(i) (2)

Beaucoup de dnominations ont t conserves avec la finale stoma, neutre. Gnralement, on a conserv odon au lieu de odam (Macrodon).


yx
p :=:

193

^
;

nc/i (y/ wto[j.ou)


(psa)
(epu-ata)
.

=: rh

initial

he

Anchistomum, non angystoma Rhea ; Hermxa, non Ermaia.


et des

G.

Transcription des

noms gographiques
des

noms propres

Les

noms gographiques

nations qui emploient les caractres latins

sont crits avec l'orthographe de leur pays d'origine.

Les rgles suivantes s'appliquent uniquement aux noms gographiques de pays qui n'ont point d'criture propre ou qui crivent avec des caractres diffrents des caractres latins.

Toutefois

titre

exceptionnel on

conserve l'orthographe usite pour

les
:

noms de
1.

lieux,

lorsqu'elle a t consacre par

un long

usage.

Exemples

Alger, Moscou.

Les voyellees

a,

e,

i,

o,
;

se

prononcent
e,

comme en

allemand, en espa-

Le son u franais est reprsent par un avec un trma, comme en Le son ou en franais est reprsent par un u [sans trma] comme en allemand, en espagnol, en Le son eu en franais est reprsent par caractre prononc mot franais "il". comme dans L'allongement d'une voyelle indiqu par un accent circonflexe un arrt dans l'mission est figur par ime apostrophe Ls consonnes m, prononcent p, comme en franais. Les son dur [ou ont toujours domine dans ^ mots franais gamelle, sirop. Le son reprsent en franais par ch sh. Exemple Shrif, Kashgar. Kh reprsente gutturale forte gh, gutturale douce des Arabes. Th reprsente son qui termine mot anglais path grec) dh son qui commence mot anglais those reprsente grec). En dehors de ces emplois de lettre h qui modifient son
2.

gnol, en franais

ou en

italien

la lettre

n'est jamais muette.

allemand.
3.

italien,

etc.

4.

le

le

5.

est

(i).

6.

h,

d,

/,

/,

k,

l,

n,

q,

r,

t,

v,

z,

se

7.

lettres
:

et s

le

sifflant]

les

8.

s'crit

9.

la

la

10.

le

le

(0

le

le

(S

11.

(9,

10)

la

le

de

qui la prcde, cette lettre est toujours aspire il n'y a, par suite, jamais d'apostrophe avant un mot commenant par un h. L'i semi-voyelle est reprsent par un y prononc comme dans le 12.
celle
;

mot

Le semi-voyelle prononce comme dans mot liam [ouilliam]. Les sons doubles sont figurs par composent. Exemple sentant sons qui Matshim. L'n surmont d'un prononce gn comme
franais yole.
IV

i3.

se

le

anglais

Wil-

i4.

dj,

tch,

ts etc.,

les

lettres repr-

les

les

i5.

tilde

(n)

se

dans

le

mot

franais seigneur.
(i)

L'apostrophe signifie aussi l'lision de certaines

lettres,

par exenaple

M'Coy pour

Mac Coy.


i6.

194

le

X,

c,

q,

disparaissent

comme

faisant double emploi, toutefois cette

dernire lettre peut servir reprsenter


sent par

qaf arade, et an peut tre reprle

un

esprit doux.

On

s'appliquera indiqiier, au

moyen

des caractres ci-dessus,

plus exac-

tement

possible, la prononciation locale, sans prtendre d'ailleurs

une repro-

duction complte des sons que l'on aura entendus.

Autres dcisions du Congrs se rapportant


A.
1

la

Nomenclature

Des

exceptions la

loi

de priorit pourront tre admises'.

Quand tm nom de Genre ou d'espce devrait tre transport im autre Genre ou une autre espce existants 1 Quand un nom a t employ pour un Genre pendant 5o ans, jusqu'
;

1890,

dans

les

travaux scientifiques,
;

tels

que monographies, catalogues

scien-

tifiques,

etc..

3 Quand le nom le plus ancien, conformment la loi de priorit, n'a pas t admis pendant 20 ans dans la systmatique scientifique. Chaque exception doit tre soumise la Commission internationale de Nomenclature qui examine chaque cas et le soumettra au prochain congrs

international.

Toute publication scientifique doit porter la date exacte [et sincre] de B. son apparition, non seidement qxiand l'anne, mais aussi quant au mois et

au

jour.

C.

Si

un

zoologiste s'aperoit qvi'iui

nom

gnrique ou spcifique, pu-

bli

comme nouveau

par

un auteur

vivant, est en ralit

un homonyme,

et

de la Nomenclature, le devoir du zoologiste en question, au point de vue de la biensance professionnelle, est d'avertir du fait le dit auteur et de lui donner
par suite n'est pas valable d'aprs
les articles 34 et 36 des rgles

ainsi la facilit de proposer

xm

autre

nom

(i).

occasion,

Nous offrons la publicit de notre Revue, comme novis l'avons dj fait en mainte pour les avis donner aux auteurs d'une dnomination premploye, ainsi que pour les dcisions qui seraient labores, avant le prochain Congrs, par la Commission permanente de Nomenclature. [Note de la Direction].
(i.;

AVIS
lia

Revue

Critic|ie le

Palozoologie coiitimiera,
;

Itiei

entenlu, paratre en

1015 nous engageons vivement les anteurs de Mmoires iialontologiqwes nous les adresser pour tre analyss dans le prochain numro
de Janvier.

igS

TABLES DES MATIRES


par M. P. BD.

i Table alphabtique des

noms

d'auteurs analyss
(Bla)

Abel (0.) Ami (H.) Andre (K.).


asselbergs

92
49
.

DoRNYAY

95 et

111
177

DouviLLB (R.)

45
168

(e.).

Barton

(D. C.)
s.)

59
88, 108 et

Earland (A,) Eastman (C. R.) Erasmo (G.)


Fabiani (R.).
31 et

137

44
8

Bassler (R.

162 109
7

Baher (F. A.) Beal (G. H.)


Bhm(J.) BsE (E.)
BORISSIAK. (A.)

25 et

72
71

100
14

100
18

BouRY

(E. de)
(J.)

Fallot (P.) Fayre (J.) FouRTAU (R.) Franceschi (D.) Friedberg (W.)

69

29

et

113
47

76
66,

BoussAc

30 93
:

FucHS

(A.)

Brandes (Th.). Broom(A.) Brown (Amos)

99
181

Galloway
Geyer(D.)

(J.)

33
19
o8-

Brown Brown

(Barn.)
(T-IC.)

53
40

GiDLEY (J. VV.) GiGNoux(M.)


G0RTAN1 (M.) Groth(J.)
Ha-vdlirsch (A.)

17

Bcher (W.) BucKMAN (S. S.)


Canu
^F.)

73
20, 82, 105 et

43

184

46
63
39 et
57, 93 et

39 et

120
114

Ghecchia-Rispoli (G,)

Harmer

(S.)

106

Clark (H. L.) Glarke (J.) COCKERELL (T, Combes (P.) COSSMANN (M.) cottreau (j.)
Grick(G. g.) GuMiNGS (E. R.)

109
164
D. A.)

156 95
11, 16 et

174
117

168
32

Hawkins (H. L.) Hennig (E.) Heron-Allen (E.) Hoffmann (B.) Hooley(G. r. w.) Huene (F. von) hussakof (l.)
Iredale(T.),
-.

110
184
137
111

3
5

9
47

Dall (W. h.) Dareste de la Chavanne Dautzekberg (Ph.) Dervieux (E.)


D1CK.ERSON (R. E.),

74
(J.)

10
16 et

Jacob

(C

H.)

71

74 138
180 103
128

JODOT (P.) Joleaud(A.


et L.)

72
47
'

Jordan (D.

S.)

Die.ner(C.)

JOUKOWSRY

(E.)
J.)

69
19

d0ederlein DoLLFus (G. DoLLO (L.)

(l.)

Jukes-Brovvne (A.

F.)

16 et

74 55

Kaunhowen

(F.)

73


Kettjner (K.)
34
_

196

.^

KiLTAN

20
164

Raymond (P.). Reboul (P.)


Renz
(C.)

102

20
171

KiTOLE (E. M.)...' KiRK(E.)


KoivE^^ (E.)

109 9 170
oi et

Reuter

(O. m.)

63

RiABININ (A.)

140
39
et

K0ZLOWSK.1 (R.)

Richter (R.) RoLLiER (L.)

101

175
-.

LvMBE (L. M.) Lambert (J.) Lang (D.)


Laville
(A.),

1,

154 116
.

28, 112 et

Roman (F.) Rutten (L.)

13, 81 et

83

143
42 et

90
45

Lecointre (G.)

179
14
15, 43 et

Lee(W.

e.)....

Leriche (M.) LiEBRECHT (F.) LiTSCHROw (B.).


LovisATO (D.)

o7

167
r

71
.'31 et
1

113

Sale (A.) SCHMIDT (W. E.) SCHCENDORF (F.). SCHROEDER (H.) ScHucHERT (Ch.) ScHWETzoFF (M. s.) Scott (W. S.)
ScupiN(H.)

123

103

110
94 55 et
.'

162

185
97
12 et

LuLL (R.

S.)

et

133
131

29
143
145
77

SiDEBOTTOM (H.)
I^Iaillieux (E.)

SiLVESTRi (A.)

43. 48.et

Maire (V.) Mansuy (H.)


M'APLESTONE (G. M.)

177

SiMIONESCU

(J.)

160

et

171

Smith

(E.

W.)
(L.)

184 90
178

35
,

Marshall (P.) Martin (R.) Martonne (de)

74 182 92

SoKOLOw (N.) SOMMERMEIER

.-

Spath (L. F.) Spencer (W. R.)


Stefanini (G.),

79
27 et

110
31

Matthew

(VV. d.)

7 et

94
85

Mazeran (P.) Mhes (G.) Mednier (F.) Meunier (S.) Meyer (H. L. F.j MooDiE (A. L.)
NGRE
Nelli
(G.)
(B.)
,

13 et

Stephenson
Strubin (K.)

(L.

W.)

179 155

94 63 et
157
15

Stirling (E. C.)


SvvARTZ (C. K.)

68
162
183
181

169
155

72
75

Telegd (Roth V.) Teppner (W.) Thomas (Ivor)


ToNi (A. de)

169 173

Nowail(J.)
Or.FERS (von). .:.........:

87

Ulrich
65 15 et
181

89 et

162
12
113

Oppekhetm(P.).

OsBURN (R.

G.)

35 et

124

Vadasz (D. M. G.). Valette (Dom A.). VlNASSA DE ReGNY (P.)

162
37

Paalzow (R.) Pack (R. W.)


Petitulerc
Pia(J.)

139
. ,

31

Waters

(A. M.)

(P.)

68
(A.)

Petrunkevitch
PiLSBRY (H. A.)

60
78
181
2 et

Williams (H. S.) Williston (S. W.)

66
48

Wegner
Wright

(R.
(J.)

W.)

100 146
67

Priem

(F.)

56

WuRM

(A.)

Qoiel (G.)...

64

Zalanyi (Bla).

:-.

... ..........

93

. .

197

Table alphabtique des

noms nouveaux

de Classes, Ordres,
et

Familles, Genres, Sous-Gemmes


AcROPORiD.E
(Bryoz.)

Sections
1913.
1913.
121

mauroceras
Arborella

(MoU.)
(Bryoz.)
(Moll.)

Cana Buckman Osburn


Clarke

82
125
167 169

1914.
1913.

Australina

AvonLa
Barremites.
Basidechenella
Beisselina

(Brach.)
(Moll.)
(Trilob.)

Thomas
Kilian

1913.

1913.
1912.

20
59
122

Rlchter

(Bryoz.)
(Moll.) (Moll.)

Belemnella
Bigotella

Ganu Nowak Cossmann


Dderlein
Clarke..

1913.
1913.
!..

88

1913.

174
130

Biflabellum
Brazilla

(Polyp.)
(Moll.)

1913.
1913. 1914. 1913. 1913.
1913. 1913.

167
103

Bredya Buxtonia
Calllzona

(Moll.)

Buckman
Thomas.
Jukes-Browne Moodie
Barton
Gistel

(Brach.)
(Moll.) (Rept.)
(Trilob.)

ITO
20
155
60

Cephalerpeton
Ceraurinus Charonia

(Moll.)

1848.
1913.
1913.
1913.

47

Cladophinroida
Coronanthus Cornucardia
CosciNOPLEURiDJi;

(Echin.) (Echin.)
(Moll.)

Clark

109

Lambert

116
10

(Bryoz.)

Koken Canu
Telegd.

1913.

122
183

Costatoleda

(Moll.)
(Echin.)

1914.
,

CoTHURNiGysTiD.E
Cothurnocystis
Cruciella

Bather

1913.

25 23
10

1913
1913. 1914. 1913. 1913.

(MoU.)
(Echin.)
.

Koken
Thiry
Bather
de Boury
Richter

Cuenotaster

49
26
19 lOi

Cydonocrinus
Gylindriscala

(Echin.)
(Moll.)
(Trilob.)

Cyrtosymbola
Defossiceras

1913. 1913.

(Moll.)

Buckman
Lull

20
153

Delphinavus Derbyina Diplostenopora


Discotectus

(Mamm.)
(Brach.)
(Bryoz.)

1914.
1913.

Clark....?.
Ulrich et Bassler.

167 89

1913.
1913. 1913.

(Moll.)
.

Favre..
Richter

69
101

Dreverman nia. .......


Dysodonta
Eleganticeras

(Trilob.)

(Moll.)

Mansuy

1913.
1913.
,

173

(Moll.)

Buckman

82 82 62 155
155

Elegantuliceras

1913.

Eoctonus
Erierpeton

(Arachn
(Rept.)

Petrunkevitch

1913
'

Moodie

1913.

Erpetobranchium
Eudechenella Eulepidina

1913

(Trilob.)

Richter
.

1912.

59
135
101

(Foramin
(Trilob)

Doiivill

1912
1913.

Euproetus

Richter

Pavria
Gagaticeras
(Moll.)

19

Cossmann
1914. 1913.
1913..

70
.

(Moll.)

Buckman
Canu
Petrunkevitch

20
121

Galeopsidj

(Bryoz.)

Geralineura
Glatziella

(Arachn.)
(Moll.)

1913.

62
171

Renz

1913. 1914. 1914.

Gorgosaurus Gryposaurus Guebhardanthus


Heterotarbus

(Rept.)

Lambe

154
154
115

(Echin.)

Lambert
Petrunkevitch

1914.
1913.

(Arachn.).
(Echinod.)
(Rept.)
(Moll,) (Moll.)

62
109

HiJiocRiMDE Hypacrosaurus
Istreites

Klrk
Barn. Bown

1914.
1913. 1913.
1913.

53
77

Simionescu
Diener
Petrunkevitch

Kashmirites Kustaraclme
Lasicocrinus

103

(Arachn.)
(Echinod.)

1913.

62
109
115
1

Kirk

1914. 1915.
1913.

Laubecanthus
Leiocorys

(Echinod.)

Lambert

(Echinod
(Moll.)

Dom

Valette

13

Leucothea Libyolampas
Lingulapholis
Lophidiaster

(Echinod.)
(Brach.)

Jukes-Browne Dornyay
Schuchert
Spencer
Clark

1913.
1913.
1913. 4913.

20 112
163
27

(Echinod.)

Lysophiuroidea
Mazonerpeton
Melitia

(Echinod.)
(Rept.)

1913.
1913.

109

(Echinod.)
(Moll.)

Moodie Fourtau

1913.

114

Mercaticeras

Buckman
Bather

1913. 1913.
1913.

82
109

Merocrinus
Metaliopsis

(Echinod.)
(Echinod.)

Metatarbus

(Arachn.)
(Rept.)
(Polyp.
)

Fourtau Petrunkevitch

114

1913.
1909. 1913.

63
155

Micrerpeton

Microcyathus
Nephrolepidina

Moodie Dderlein
H.

130
135
27

(Foramin.)
(Echinod.)

Dou ville

1912.
1912.

Ophrypaster
Ottawacrinus
Overtonia

Spencer
Bather

(Echinod. )
(Brach.)
(Bryoz.)
(Insectes)

1913. 1913. 1913. 1914.


'.

109
170 122
157

Thomas
Canus F. Meunier
Petrunkevitch
F.

Pachytheca
Paloaeschna
Palaeobutus
Palaeoedischia

(Arachn.)
(Insectes)

1913. 1914.

62
157

Meunier

Palaeogeron

1914.
1^913
.

160

Palopistacanthus
Paradechenella
Paraprothyris
Parechioceras

(Arachn
(Moll.)

Petrunkevitch
Richter

62
59
166 105

(Trilob.)

1912. 1913. 1914.


1913.

Clark

(Moll.)

Buckman...
Spencer
Petrunkevitch]

Phocidaster
Piscotarbus

(Echinod)

28
63

(Arachn.)....

1913.


Pitarina

m
Jukes-Browne Schmidt
Clarke
1913.

(Moll.)

20
108

Platyhexacrinus

(Echinod
(Moll.)

1913. 1913.

Pleurodapis
Pleuroi^ygiis

166

(Echinod.)
....

Lamb.

et Tlilry

1914.
1913.
1913.

30

Protogrammoceras Protophrynus
Protorosaurus

(Moll.)
(Araclin.)

Simionescu Petrunkevitch

80 62
154

(Rept.)

Lambe
Petrunkevitch

1914. 1913.

Protosalpuga
Psalidocrinus

(Arachn.)
(Echinod.)

62
26
116
77

Bather

1913.
1914.
1913.

Psammolampas
Pseudocarnites
Pteroparia

(Echinod
(Moll.).
(rilob.)

.)

Lambert Simionescu
Richter

1913.
1913. 1913.

101

Pustula
Radiobrissus
Rugatiscala

(Brach.)

Thomas
Fourtau
de Boury
Richter

169
114
19

(Echinod.)
(Moll.)
(Trilob.)
.

1913.
1912.

Schizoproetus
Searlesia

39
107

(Moll.)

Stephanosaurus
Teichaster

(Rept.)

Harmer Lambe
Spencer Petrunkevitch
Spencer

1914.
1914.

154 27

(Echinod.)

1913.

Theliphrynus
Tholaster
Tiltoniceras

(Arachn.)
(Echinod.)
(Moll.)

1913.
1913.
1913.

62
27

Buckman
Spencer

82
27

Trachy aster
Trachylytoceras

(Echinod.)
(Moll.)

1913.
1913.

Buckman
Olsson

82
26

richotocrinus

(Echinod.)
(Arachn.)

1912.
1913.

Trigonomartus
Trigonoscorpio
Tylaster

Petrunkevitch

63
62
27
101

1913.
1913.

(Echinod.)
(Trilob.)

Spencer
Richter
Rollier

Typhloproetus

1913.
1913.
1913. 1913.

Uromya....
Valettaster

(Moll.)

176
27

(Echinod.)
(Moll.)

Spencer

Whitbyiceras
2igzagiceras

Buckman

20
105 109

1913. 1913.

Zygophiuroidea
3

(Echinod.)

Clark

Table alphabtique des rectifications de Nomenclature spcifique


Jaites

dans ce volume pour cause de double emploi

abbreviata {Scala)B&rr. et de Gueinie, 7ion Costa

Sowerby, non Costa aliavillensis de Boury, non de Greg. angusta (Scala) Desh. non Dunker angusta (Acirsa) v. Kn. non Desh. Bouillei (Scala Boussac, non Tourn.

^ = =

Barroisi de
Joiibini

Boury

49

de Boury =. hauievillensis de Boury rr: perangusta de Boury


Semperi de Boury

49

49 49
50 49 66

brevis (Lingula)

Fusch, non Portl.

costulata (Scala) Nyst, non

Kiener

=: Boussaci de Boury =: breviuscula A Fuchs subcostulata de Boury

50


crassa (Acirsa)Y.

20O

pseudocrassa (Acirsa) de Boury

Koen. non Se. crassa Sow. Kn. non Sow. coarctata (Acirsa) v. Koen. non Jeffr. carta (Scala) \. Koen. non Emmons Dumonti (Scala) Br. et Corn, non Nyst
crassilabris (Scal) v.
elliptica (Cucullella)

50

Kopenhaguensis de Boury
stricta

49 50

de Boury

pseudocurta de

Dunkeriana {Scala) Dali, non Nyst Beush. non Maurer


fasciata (Scala) Wanner^, non
Fischeri (Scala)

Sow. Watson, non Tapp. Can. funiculata (Scala) Watson, non Carp. intermedia (Scala) Fuchs, non Hutton minutissima (Scala) Gabb, non Desh. Mrchi (Scala) Groenwall et Harder, non Angas

pachypleura (Scata) Tate, non Conr.


puniila (Scala) A. Ad. non Libassi

rohasta (Scala) DoUf. non Acirsa robusta v.

Koen

rugiosa (Scala) v. Koenen, non Sow.

Boury Corneti de Boury inconstans de Boury Beushauseni A Fuchs Wanneri de Boury Pauli de Boury Watsoni de Boury Fuchsi de Boury Gabbi de Boury Grnwalli de Boury Ralphi de Boury misera de Boury Costai (Scala) de Boury pseudorugulosa de Boury
.

50
49 ^ 49

66

50 49
50
49

49 50
50
49

49
50
174

rotundum (Cerithiuni) Etallon, non Zekeli Sandbergeri (Scala) Sacco, non Desh.
Smithi (Scala) Watson, non Fryon

perrotundum (Gymnocerilh.) Cossm.


weinheimensis de

Boury

50

Tryoni de Boury

50
49

Dunker, non Adams subtilis (Scala) y. Kn., non Sow. subvarlcosa (Scala) Dunker, non Cantr. tenuilirata (Scala) Whitf., non Sow.
soluta (Scala)

Thomasi (Scala) Whitf. 191 2, non Gabb Tournoueri (Scala) Br. et Cosn., non Benoist
trochiformis (Scala) Maltzan, non Br.
turbontlla (Scala)

Brugn., non

Adams

Boury siibtilissina de Boury semivaricosa de Boury subtilicostata de Boury ignota de Boury Briarti de Boury trochoides de Boury Saccoi de Boury
inconstans de

50 50

50
49 49 50
50

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APPENDICE
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GOSSMANN

Outre
l'Atlas
la

les

diagnoses

et

figures

des

espces nouvelles annonces

dans
de

de l'Iconographie (supplment), ce cinquime Appendice contient


des

rvision

charnires
le texte.
III,

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Les trois Appendices,

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