Rapport de Stage Marjane Meknes 140821063331 Phpapp02
Rapport de Stage Marjane Meknes 140821063331 Phpapp02
Rapport de Stage Marjane Meknes 140821063331 Phpapp02
REMERCIEMENTS
Il mest agrable de saisir loccasion pour reprsenter
mes
remerciements
pdagogique
mon
professeur
et
encadrant
recommandations
prcieux,
Mme.
Souad
BOUNGAB,
de
Dpartement
Ressources
Humaines,
Dpartement
YAAGOUBI,
BELABED ,Mlle.S.CHOUKRAFI
Mme.Loubna
M.Y
LAAROUSSI,
Mlle.Boutaina
SOMMAIRE
Mlle.Boutaina
INTRODUCTION
Vu
leurs
apports
en
matire
de
mise
en
pratique
des
Mlle.Boutaina
prospectif)
Mlle.Boutaina
Dans
cette
premire
partie,
on
va
situer
la
socit
dans
Chapitre
premier :
la
grande
distribution au Maroc :
I.
Historique :
1) La grande distribution en France :
Mlle.Boutaina
commerciales
il
est
install.
Le
vritable
boom
de
Mlle.Boutaina
suivante, une nouvelle loi dite Raffarin (loi 96-603 du 5 juillet 1996),
relative au dveloppement et la promotion de lartisanat , bloque la
cration de nouvelles surfaces,
1996 - Aujourdhui : Nouveaux services, nouveaux rayons, mise en
place de filires de qualit assurant la traabilit des produits,
amnagement de la surface de vente en univers de consommation,
amlioration du merchandisage des rayons.
de
producteurs
leurs
produits
en
grande
eux-mmes,
partie
assuraient
contournant
ainsi
la
le
Mlle.Boutaina
pouvoir tre
Mlle.Boutaina
stratgiques:
Agroalimentaire
Mines
boissons,
&
Tourisme,
Matriaux
de
Distribution
construction,
Amnagement,
Activits Financire.
Sa position de leader, ses valeurs et ses principes de management
en font lun des principaux moteurs de modernisation de lconomie
marocaine et de dveloppement du progrs social.
ONA introduit ds 1990, le concept dhypermarch, intgrant dans
un mme lieu de vie et dchange un espace marchand en libre-service
et une galerie commerciale de boutique.
Cr en 1919, le groupe ONA a, depuis toujours, jou un rle
important dans la dynamisation de lconomie marocaine.
Aprs avoir longtemps dvelopp ses activits autour de ses
mtiers historiques, les mines, le transport et le tourisme, le groupe
engage, au dbut des annes 80, sa diversification. Grce des prise de
participations majoritaires ou des acquittements, il devient un acteur
majeur dans de nombreux secteurs: industrie du lait, industrie sucrire,
industrie des corps gras, transit maritime, chimie, textile, banque.
Mlle.Boutaina
Paralllement,
le
groupe
prend
une
dimension
Mlle.Boutaina
Fin
juin
lopportunit
2000,
au
grand
public
de
participer
en bourse, offrant
activement
son
Structure de lactionnariat :
Structure du capital de lONA
Institutionnels marocains
Compagnies dassurances
SIGER
Banques
CIMR et CDG
Autres
Institutionnels trangers
Lafico
Danone
Banco
Santander
Central
PART
63,82%
25,83%
13,57%
6,42%
9,77%
8.23%
19,82%
5,97%
2,72%
2,25%
Hispano
Autres investisseurs trangers
Autres porteurs
8,88%
16,36%
Mlle.Boutaina
Fiche technique :
Raison sociale
Marjane Holding-Meknes-
Sige social
Nature juridique
280
Effectif
Chiffre daffaires
La grande distribution
Secteur dactivit
Date de cration
Le 12 mai 2005
M.Kettani driss
Directeur du magasin
N de tel
0535469126
Mlle.Boutaina
-rayon volaille,
-rayon boucherie,
-rayon poissonnerie,
-rayon pices-olives.(produits VRAC)
-rayon boulangerie.
-rayon ptisserie.
-rayon fruits & lgumes.
3- Dpartement Autres produits de libre service (A.P.L.S)
Il est constitu de trois rayons :
-rayon surgel,
-rayon crmerie,
-rayon charcuterie,
-stand,
Les
dpartements
P.Frais/March
et
A.P.L.S
forment
le
Mlle.Boutaina
3- Dpartement Textile :
Constitu de quatre rayons qui sont :
-rayon homme et femme,
-rayon bb, enfants, puriculture.
Les deux ples
dun ple
de
prix.
Les
changements
de
prix
sont
dits
Mlle.Boutaina
Mlle.Boutaina
Mlle.Boutaina
standardiste
assure
principalement
trois
fonctions :
le
Mlle.Boutaina
Mlle.Boutaina
en
matires
et
fournitures
consommables.
Lorganisation des sminaires
Le traitement des suggestions et rclamations de la
clientle
La relation avec les clients.
Les chefs de dpartement :
Pour ce qui est des responsabilits du chef de dpartement, nous
essayerons de citer celles qui nous apparaissent comme tant les plus
essentielles
Plac sous lautorit du directeur du magasin, le chef de
dpartement a la responsabilit de la gestion de plusieurs rayons et du
personnel de son dpartement. De ce point de vue, sa mission est
pluridisciplinaire et multisecteurielle. Il sagit entre autre de :
Elaborer la politique commerciale de son dpartement en
conformit avec des directives du directeur du magasin et de la
stratgie dfinie.
Grer le compte dexploitation de son dpartement.
Encadrer, contrler et valuer les membres de son quipe.
Sengager sur des objectifs atteindre et rsultats (chiffre
daffaires, les marges).
Assurer le bon fonctionnement de son espace de vente en
termes dapprovisionnement, de gestion des stocks, de prsentation des
linaires (merchandising), et dactions promotionnelles etc
Contrler les passations de commande et ltat des
ruptures.
Etre en relation permanente avec les services du sige
(COFARMA) et avec les diffrents fournisseurs et partenaires.
Anne Universitaire :2004-2005
TOUIL
Mlle.Boutaina
les changes
ou retours
de marchandises
aux
Mlle.Boutaina
Mlle.Boutaina
Mlle.Boutaina
de bord prospectif
Mlle.Boutaina
par
loptimisation
des
processus
internes
et
de
Mlle.Boutaina
Mlle.Boutaina
activits,
constitue
la
condition
premire
d'efficacit
des
Mlle.Boutaina
dcouverte
parce que
la notion du
ds 1948,
Mlle.Boutaina
mais ce nest quactuellement que cela est possible et rentable, que les
gestionnaires y sont
sensibiliss et quils
trouvent
un avantage.
offrant
une meilleure
par une
cette
permet
la validit de la bonne
des
peut tre
Mlle.Boutaina
rgulire et mme
et
financires,
activits
et
leur
progression,
matrielles
le
et
ltat
des
ressources
informationnelles,
fonctionnement
de
le
lorganisation,
humaines,
droulement
les
des
paramtres
clair, un
peut indiquer
aux gestionnaires la
Mlle.Boutaina
informations
une standardisation du
vocabulaire de gestion, de la
objectifs,
les
paramtres
importants,
les
indicateurs,
les
Mlle.Boutaina
des
obtenu, par
unitaires
permettre :
- De passer des donnes en volume (quantits produites ou
vendues), dont la saisie peut tre trs rapide des donnes en valeur
(recettes et dpenses) sans emprunter ncessairement
le circuit
comptable ;
- De porter un jugement conomique sur les rsultats financiers
obtenus, quel que soit le niveau effectif de lactivit.
b) Les points de divergence :
Mlle.Boutaina
importantes
distingue
la remonte de
linformation ;
* Dtablissement
admettant en contrepartie
contrles
budgtaires ne sont
la fin de la
priode ;
* De priodicit plus rapproche ; pour clairer en permanence
la marche de lentreprise, les informations doivent frquemment tre
remises jour ; les charges de travail beaucoup plus importantes, lies
ltablissement
des
contrles
budgtaires,
ci
ne
permettent
une priodicit
aussi
rapproche ;
* Ne reposant pas ncessairement sur une notion de contrat : on
peut tablir des tableaux de bord galement dans des entreprises trs
centralises, des collectivits locales, des administrations publiques ou
mme des organismes militaires.
Le tableau de bord
systme budgtaire
y aura
un intrt vident,
Mlle.Boutaina
Mlle.Boutaina
sont
approximatives,
lexactitude de la prcision
alors
qui
que
la
comptabilit
privilgie
importants ;
* La slection quil opre dindicateurs partiels concernant
les
de comptabilit analytique
Limportance
accorde
aux
informations
en
volume,
qui
Mlle.Boutaina
contenu que dans leur priodicit de mise jour, afin que, par un jeu
dinformations croises, ces donnes dorigine diverses sclairent les
unes les autres.
du systme de tableau de
raliser et exige
des
bord constitue un
investissements
non
support
les
Mlle.Boutaina
obtenir
une
fournit
llaboration
Mlle.Boutaina
elle
derreur,
raliser
mais
elle
permet
surtout
de
des
conomies
substantielles.
III- Le tableau de bord prospectif (TBP)
3-1-Les limites de la comptabilit traditionnelle
D'aprs Breid, ltendue, la qualit et la pertinence de la
comptabilit traditionnelle sont limites par trois axes : Lhorizon
temporel, le niveau de couverture des facteurs contribuant la
performance et la dimension comportementale.
Cela rsulte premirement du fait que les mesures financires de
la comptabilit traditionnelle ne dcrivent que lhistoire rcente et les
aspects tangibles dune entreprise.
La qualit du management, les potentiels de dveloppements
futurs ( titre
dexemple, les succs attendus de projets en cours et les menaces
qui planent sur lentreprise) ne sont pas couverts par le compte rendu
annuel et encore moins par le rapport trimestriel lamricaine.
De
manire
gnrale,
les
investissements
permettant
un
Mlle.Boutaina
objectifs
financiers
des priodes
venir
en ne
Mlle.Boutaina
des collaborateurs cls en vue de sa mise en oeuvre. Sil est vrai que la
dfinition dambitieux objectifs financiers peut avoir un effet stimulant
sur la motivation des collaborateurs, il est nanmoins permis de stipuler
que labsence dune stratgie claire et pertinente et un manque
dadhsion de la part des collaborateurs compromettra gravement leur
ralisation. Ainsi, la dimension comportementale de la comptabilit
traditionnelle nest pas suffisamment volue pour permettre la mise en
oeuvre dune stratgie dentreprise.
Les systmes de mesure de performance visent surmonter ces
limites
Mlle.Boutaina
Mlle.Boutaina
Le
modle
ci-dessus
permet
de
regrouper
lensemble
des
de
lentreprise.
Ainsi,
construire
des
indicateurs
de
Mlle.Boutaina
en place du TBP :
Mlle.Boutaina
connatre
lensemble
des
salaris.
TBP
doit
riger
un
modle
du
fonctionnement
de
meilleure
formation
des
salaris
pourra
permettre
Mlle.Boutaina
Mlle.Boutaina
Mlle.Boutaina
processus
dapprovisionnements,
de
la
production
production,
(incluant
les
contrles
les
cycles
qualit,
le
stockage),
Le service aprs vente.
d)
Laxe
gestion
de
la
connaissance,
ou
apprentissage
organisationnel
Norton et Kaplan positionnent cet axe comme tant celui qui
contient les moyens et facteurs permettant damliorer les critres des
trois autres axes. Il doit reflter la motivation et la comptence des
salaris,
mais
aussi
la
qualit
des
procdures
et
du
systme
Mlle.Boutaina
Mlle.Boutaina
Mlle.Boutaina
dun
TBP
dpend
normment
de
la
structure
de
lorsquune
unit de recherche
Mlle.Boutaina
lentreprise
moderne.
Un
chantillon
dune
douzaine
Mlle.Boutaina
dterminants
de
la
performance
qui
devraient
conduire
Mlle.Boutaina
Mlle.Boutaina
des
divers
acteurs
et
de
soutenir
lapprentissage
Mlle.Boutaina
Partie pratique :
La conception du tableau de bord prospectif :
Cas de Marjane Meknes
Mlle.Boutaina
Mlle.Boutaina
piloter
dveloppement
les
des
investissements
comptences
dans
des
la
rorientation
salaris,
les
ou
le
systmes
Mlle.Boutaina
Mlle.Boutaina
pour
les
collaborateurs
en
favorisant
la
prise
de
Mlle.Boutaina
Mlle.Boutaina
Laxe financier
La fixation des objectifs financiers est intimement lie la
stratgie oprationnelle2. Les objectifs financiers varient sensiblement
chaque stade du cycle de vie de lactivit. Des stratgies diffrentes
peuvent tre choisies, qui vont dune augmentation agressive de la part
du march, au maintien de lactivit et la gestion du dclin.
Nous avons abord ce point du premier abord pour signaler que
les indicateurs financiers conus pour suivre la performance de laxe
financier doivent tre en parfaite harmonie avec la phase du cycle de vie
de lactivit.
Lactivit de Marjane Meknes est une activit que nous pouvons
placer dans la phase de croissance. Ce stade du cycle de vie ncessite
encore des investissements(en terme de publicit et de recrutement de
personnel) pour lesquels lentreprise exige un taux de rendement
moyen. Lentreprise est cense gagner de nouvelles parts de march, et
ventuellement lamliorer dune anne sur lautre.
Les projets dinvestissement sont destins amliorer la qualit
de services de faon continue.
La socit Marjane Mekns adopte, au regard de la phase du cycle
de vie de son activit, un objectif financier de rentabilit moyenne. Cet
objectif peut tre traduit en indicateur du rsultat dexploitation et de
marge brute. A ce niveau, il faut souligner limportance extrme
quaccorde lentreprise dgager un taux de rentabilit suprieur au
cot du capital.
A propos de ce dernier point, lentreprise a introduit, en conformit
avec les directives de COFARMA, un nouvel indicateur de performance
conomique. Il sagit de lEVA (Economic Value added) ou la valeur
conomique ajoute..
2
Mlle.Boutaina
I-1 LEVA
Lintroduction dun nouvel indicateur de performance conomique
vient
pour
rpondre
plusieurs
proccupations.
En
effet,
les
responsables se sont rendu compte que pour raliser des objectifs aussi
ambitieux, il ne suffirait pas de raliser des bnfices. Mais, il faudrait
que le taux de rentabilit couvre le cot du capital.
ON PEU PARL2 DE R2SUMAT DE L4ONA MAIS PA DE MARJANE
NOUVELE M2THODE.
quipements,
camions,
ordinateurs,
marques,
parts
de
Les stocks et les crdits accords aux clients moins les crdits reus des fournisseurs.
Mlle.Boutaina
Mlle.Boutaina
Stratgie financire
Croissance
et
diversification
maintien
du chiffre daffaires
Rduction
dclin
amlioration de la productivit
Optimisation de lutilisation de
des
cots,
lactif et de linvestissement
La croissance et la diversification du CA qui est une proccupation
majeure de lentreprise corrobore la dcision que nous avons prise
propos de la phase du cycle de vie du produit supposent un effort en
terme de publicit et le dveloppement de nouvelles activits et surtout
une attention particulire la qualit du service en terme daccueil
clients(SBAM).
Lorientation stratgique de laxe financier en fonction du stade du
cycle de vie du produit nous permet de mettre en lumire les
dterminants de la performance. A partir de ces dterminants, il est
gnralement possible de formuler des indicateurs pour rendre compte
de leur comportement dans le temps.
les indicateurs sur les dterminants de la performance
La croissance du CA :
Parvenir un niveau satisfaisant de CA en comparaison avec les
autres sites, amliorer les marges permettent daccroitre le taux de
rentabilit de lentreprise et le retour sur investissement. Lobjectif de
rduction des couts le plus simple et le plus calire peut consister
rduire le cout unitaire du travail ou de la production.
Mlle.Boutaina
Pour notre part, nous avons opt pour une mesure trs simple,
mais trs efficace. Il sagit du pourcentage de rduction des couts de
production par tonne de ciment produit.
La comparaison est faire avec le cout de production des autres
priodes pour pouvoir dgager le pourcentage de rduction des couts
unitaires de production.
Mlle.Boutaina
dentreprises
sefforcent
rsduire
les
frais
Mlle.Boutaina
Mlle.Boutaina
Mlle.Boutaina
rentabilit.
Il
peut
tre
traduit
en
indicateurs
de
rsultat
Mlle.Boutaina
de
lentreprise
indpendamment
de
la
politique
amortissements),
de
la
politique
de
financement
(charges
Il permet de mesurer la part de la richesse qui sert rmunrer les apporteurs de fonds et renouveler le capital
investi
Mlle.Boutaina
2) Rsum
Objectifs
Anne Universitaire :2004-2005
TOUIL
Indicateurs
Mlle.Boutaina
Cration de la valeur.
EVA
(Economic
Value
Amlioration de la productivit
Production / effectif
Pourcentage de rduction
Amliorer les marges et rduire les des cots par tonne de ciment
cots indirects et logistiques.
produit.
et
rduire
commerciaux,
les
Pourcentage de rduction
gnraux
et consacre
administratifs.
aux
frais
commerciaux, administratifs et
gnraux.
Pourcentage de rduction
ptrole
et
nergtique
de
par
la
facture
tonne
de
rentabilit
des
ciment produit
Amliorer
la
lentreprise
rentabilit
de
Taux de
capitaux propres
de
rentabilit
de
rentabilit
conomique
Taux
financier
Anne Universitaire :2004-2005
TOUIL
Mlle.Boutaina
II Laxe Client
La socit Lafarge, Usine de Mekns poursuit en matire de
relations avec la clientle un objectif de satisfaction. Cela implique que
les clients de la socit apprcient son offre et estime quelle est
meilleure de celle de la concurrence.
Les retombes de la satisfaction doivent tre estimes en termes
de fidlit, de conservation de la clientle existante et lacquisition de
nouveaux clients.
La figure suivante permet de souligner les principaux indicateurs
de laxe Clients.
Part de march
Acquisition de
nouveaux clients
Rentabilit par
segment
Mlle.Boutaina
Part de march
daffaire
dun
certain
des
clients
Satisfaction
chiffre
de
Acquisition
nouveaux clients.
Conservation
en
clients
en
fonction
des
critres
de
Mlle.Boutaina
Mlle.Boutaina
satisfaits de la
qualit et des prix. Par contre ils montrent une certaine rticence
propos des infrastructures daccueil, de la conduite des oprations de
chargement, et la longueur du laps du temps dattente.
Un objectif de satisfaction de la clientle mrite bien la mise en
place
des
mesures
ncessaires
pour
suivre
sa
ralisation
nous
Mlle.Boutaina
Indicateurs
Pourcentage de croissance de
la part de march
Variation en pourcentage de la
base de la clientle
Conserver les clients existants
Pourcentage de conservation
Satisfaire la clientle
de la clientle
Analyse
des
informations
issues des :
Boites suggestion
Entretiens en tte--tte
sondages
Mlle.Boutaina
Mlle.Boutaina
Linnovation
Dans la chane des processus dune entreprise, la recherche et
dveloppement sont considrs comme un processus logistique et non
comme un lment essentiel de la performance financire. Norton et
Kaplan dans les premiers articles quils avaient publi propos du
tableau
de
bord
prospectif,
navaient
pas
inclus
le
processus
Mlle.Boutaina
dfauts
des
systmes
de
mesure
traditionnels
dans
industries
qui
peuvent
avoir
des
effets
nfastes
sur
De
bonnes
relations
avec
les
collectivits
locales
tant
production.
Mlle.Boutaina
Mlle.Boutaina
Le processus de production
L efficacit du cycle de production (ECP)
L efficacit du cycle de production fait partie des indicateurs
utiliss par beaucoup dentreprises pour mettre en place la production
en flux tendus. Elle se dfinit par le ratio suivant :
Mlle.Boutaina
Mlle.Boutaina
pouvions
assimiler
deux
processus
essentiels
auxquels
par
rapport
aux
tapes
prvues
dans
le
processus
certification.
Rsum
Mlle.Boutaina
de
objectifs
Proposer
de
indicateurs
1) La part du chiffre daffaire
nouveaux
par
rapport
la
qualit
et
sintresser
aux client
problmes de lenvironnement
certification
par
rapport
Mlle.Boutaina
aux
clients
et
processus
internes
identifient
les
les
empechaient
souvent
dinvestir
durablement
dans
le
dapprentissage
organisationnel
napparaissent
pas
TBP
montre
quil
nest
pas
recommandable
dinvestir
fin
en
soi. Les
entrfeprises
doivent
galement dans
leurs
de
cerner
trois
composantes
de
lapprentissage
organisationnel :
Le potentiel des salaris ;
Les capacits des systmes dinformation ;
Mlle.Boutaina
et
par
lautomatisation
complte
des
processus
de
Rsultats
Anne Universitaire :2004-2005
TOUIL
Mlle.Boutaina
Fidlit des
salaris
Productivit des
salaris
Satisfaction des
salaris
Dterminants de la
performance
Comptences du
personnel
Infrastructure
technologique
Climat social
proposons
les
indicateurs
suivants
pour
mesurer
les
ralisations de lentreprise.
La satisfaction des salaris :
Pour mesurer la satisfaction, il est utile de procder par des
questionnaires anonymes qui seront remplis en toute libert puis remis
dans des boites mises en place cet effet. Le questionnaire devra
inclure, entre autres les lments suivants :
Anne Universitaire :2004-2005
TOUIL
Mlle.Boutaina
moyens
de
fidlisation
dont
dispose
lentreprise
sont
Mesure de la productivit
Lobjectif de productivit doit se focaliser sur laugmentation du
chiffre daffaire par salari notamment afin de favoriser la transition
vers des produits plus forte valeur ajoute, et de renforcer la capacit
des ressources physiques et humaines de lentreprise.
Nous rendrons compte de lvolution de la productivit travers
les formules suivantes :
Anne Universitaire :2004-2005
TOUIL
Mlle.Boutaina
Ces
indicateurs
rtrospectives
seront
(ralisations
compars
soit
historiques)
ou
avec
avec
des
donnes
des
donnes
environnement
concurrentiel,
les
salaris
doivent
disposer
Mlle.Boutaina
Mlle.Boutaina
Rsum
Objectifs
Dveloppement du potentiel
des salaris
La fidlisation du personnel ;
Avoir
dinformation
indicateurs
La satisfaction des salaris ;
un
systme
efficace
La productivit individuelle.
degr
de
satisfaction
du
rpondant systme
dinformation
exigences
clientle,
dinformation
sur
la
aux
sur
la
concurrence
et
le
personnel
et
personnel
saligne
celui de lentreprise.
Mlle.Boutaina
avec
Mlle.Boutaina