Biol
Biol est une commune française située dans le département de l'Isère, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Biol | |||||
Vue générale sur le Bas Biol en mars 2019. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Isère | ||||
Arrondissement | La Tour-du-Pin | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Les Vals du Dauphiné | ||||
Maire Mandat |
Patrick Belmont 2020-2026 |
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Code postal | 38690 | ||||
Code commune | 38044 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Biolois | ||||
Population municipale |
1 520 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 98 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 29′ 33″ nord, 5° 23′ 10″ est | ||||
Altitude | Min. 438 m Max. 691 m |
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Superficie | 15,51 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Grand-Lemps | ||||
Législatives | Septième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Isère
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Liens | |||||
Site web | http://www.biol.fr/ | ||||
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La commune de Biol est adhérente à la communauté de communes Les Vals du Dauphiné depuis le .
Les habitants sont dénommés les Biolois[1].
Géographie
modifierSituation et description
modifierBiol est positionnée au milieu des « Terres froides », une région naturelle de France située dans le nord du département de l'Isère.
La commune est située à environ 50 kilomètres de Lyon, 40 kilomètres de Grenoble et 40 kilomètres de Chambéry. Elle donc située à égale distance des grandes villes même si elle est à l'écart des grandes voies de circulation. Le lac de Paladru se situe à 12 km et Saint-Pierre-de-Chartreuse à 45 km. Biol est également située à 15 km de Bourgoin-Jallieu et à 15 km de La Tour-du-Pin.
Il s'agit d'une petite commune essentiellement rurale à l'écart des grandes voies de circulation, même si l'autoroute Lyon-Grenoble passe à proximité d'un bourg central de taille très modeste mais sans le desservir directement.
Géologie
modifierLes moraines des glaciers de l'époque quaternaire déposées sur un bloc molassique ont donné à cette partie au nord-ouest du département de l'Isère un paysage de collines ondulées connues sous le nom de « Terres Froides »[2]. Certains spécialistes centrent cet ensemble molassique autour de Biol, Châbons et Bizonnes voire le lac de Paladru.
Communes limitrophes
modifierHydrographie
modifierLa commune est bordée dans sa partie orientale par le ruisseau de l'Hien, affluent de la Bourbre et d'une longueur de 17,2 km[3].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 080 mm, avec 10,3 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bourgoin », sur la commune de Bourgoin-Jallieu à 14 km à vol d'oiseau[6], est de 12,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 844,0 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Voies de communication et transport
modifierRoutes principales
modifierL'autoroute A48 qui relie l'agglomération Lyonnaise à celle de Grenoble traverse la partie nord-est du territoire communal, au niveau des marais de l'Hien. La sortie d'autoroute la plus proche (A43) est celle qui dessert l'agglomération de La Tour-du-Pin :
- 9 à 47 km : La Tour-du-Pin-centre (puis direction Saint-Victor-de-Cessieu).
Le territoire communal est traversé par une seule route départementale, la RD520 qui correspond à l'ancien tracé de la RN520 qui autrefois reliait la ville de Bourgoin-Jallieu par Les Éparres à la commune des Échelles en Savoie. Cette route a été déclassée lors de la réforme de 1972.
Transports locaux
modifierUrbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Biol est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11] et hors attraction des villes[12],[13].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (74,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (42 %), terres arables (19,4 %), forêts (18,1 %), prairies (12,1 %), zones urbanisées (8,5 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Hameaux, Lieux-dits et écarts
modifierVoici, ci-dessous, la liste la plus complète possible des divers hameaux, quartiers et lieux-dits résidentiels urbains comme ruraux, ainsi que les écarts qui composent le territoire de la commune de Biol, présentés selon les références toponymiques fournies par le site géoportail de l'Institut géographique national[15].
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Risques naturels et technologiques
modifierRisques sismiques
modifierL'ensemble du territoire de la commune de Biol est situé en zone de sismicité no 3 (sur une échelle de 1 à 5), comme la plupart des communes de son secteur géographique, mais non loin de la zone no 4, située plus à l'est[16].
Type de zone | Niveau | Définitions (bâtiment à risque normal) |
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Zone 3 | Sismicité modérée | accélération = 1,1 m/s2 |
Autres risques
modifierToponymie
modifierAu cours de la période médiévale, on trouve les premières formes du nom : Biollio (XIIIe siècle), Bioyl (XIVe siècle) ou encore Biolum (XVe siècle)[17].
Le nom de Biol est à rapprocher de La Biolle en Savoie, ainsi que des nombreux hameaux ou lieux-dits de la région : Biollay, Biolley, Biollat, Biollex, Biollet, des termes dialectaux désignant un endroit planté de bouleaux tandis que Biol et La Biolle désignent l'arbre lui-même, du latin "betulla" d'origine gauloise[17],[18],[19].
Selon André Planck, auteur du livre L'origine du nom des communes du département de l'Isère, le nom de Biol pourrait dériver du gaulois « bilia » qui désigne un tronc d'arbre terme qui évoque le mot français « billot »[20].
Histoire
modifierPréhistoire
modifierAntiquité
modifierLe secteur actuel de la commune de Biol se situe à l'ouest du territoire antique des Allobroges, ensemble de tribus gauloises occupant l'ancienne Savoie, ainsi que la partie du Dauphiné, située au nord de la rivière Isère.
Moyen Âge et Temps Modernes
modifierDes membres de la famille de Bocsozel occupent le château de Montmartin et sa seigneurie au XIVe et XVe siècle. C'est la branche de Belmont qui est à la tête de cette seigneurie. Ils la perdent au profit des Alleman en 1449 quand Guy de Bocsozel, sans autre enfants que sa fille Jeanne, donne en dot la seigneurie de Montmartin et Éclose pour qu'elle puisse se marier à Aymar Alleman, seigneur de Rochechinard[21].
Aux XVIe et XVIIe siècles, la famille noble Alleman détenait la seigneurie de Montmartin dont dépendait le château. Ils étaient également marquis de Vaux (au nord de Biol).
Certaines maisons de Biol ont appartenu au marquisat de Virieu (au sud de Biol), aux XVIe et XVIIe siècles.
Époque contemporaine
modifierPolitique et administration
modifierAdministration municipale
modifierLe conseil municipal de Biol est composé d'un maire, de trois adjoints au maire et de onze conseillers municipaux (neuf hommes et six femmes). Deux de ses membres représentent la commune au conseil de la communauté de communes Les Vals du Dauphiné[22].
En 2019, le conseil municipal gère dix commissions, toutes présidées par le maire de la commune.
En mars 2019, le maire Jean-Claude Archer démissionne et c'est Patrick Belmont (ancien 1er adjoint de la commune) qui est élu maire.
Liste des maires
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[24].
En 2021, la commune comptait 1 520 habitants[Note 1], en évolution de +8,73 % par rapport à 2015 (Isère : +2,71 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
modifierSituée dans l'académie de Grenoble, la commune de Biol compte trois écoles[27] :
- l'école publique élémentaire Saint-Exupéry (Bas-Biol) qui comprend les sections de maternelle et les premières classes d'école primaire ;
- l'école publique élémentaire Général Brocard (Haut-Biol) qui comprend généralement les classes de cours moyens, voire d'autres classes d'école primaire selon les effectifs ;
- l'école privée Saint Dominique Savio.
Vie associative
modifierIl existe plusieurs associations à Biol. Parmi celles-ci on peut citer le sou des écoles, le club de football, le club de basket, la chorale le club de patois et les Conscrits.
Les conscrits de Biol organisent traditionnellement la vogue, sorte de fête patronale, de Biol-le-Bas en octobre, la tournée des brioches la veille du Jour de l'An, une soirée disco en janvier, la vogue de Biol-le-Haut en avril, la matinée crêpes début mai, ainsi qu'une soirée dansante en juin.
Médias
modifier- Presse régionale
Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition du Nord-Isère, un ou plusieurs articles à l'actualité du canton et de la commune, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.
Cultes
modifierLa communauté catholique et l'église de Biol (propriété de la commune) sont rattachées à la paroisse Sainte-Anne qui est, elle-même, rattachée au diocèse de Grenoble-Vienne[28].
Économie
modifierCulture et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifierMonuments religieux
modifier- L'église Saint-Jean-Baptiste de Biol-le-Bas du XIXe siècle
- Église de l'Immaculée-Conception du Haut-Biol
- La chapelle Saint-Pierre-Saint-Paul de Haut-Biol, construite par les habitants de la commune pour remplacer l'ancienne église du hameau détruite au XVIIe siècle[29].
Autres bâtiments
modifier- Les halles communales en centre-ville
- Quelques maisons anciennes à grand toit dauphinois
- Château ruiné de Montmartin. Il n'en reste absolument rien, sinon un joli point de vue et un chemin appelé chemin de l'Allée (qui menait au château).
Patrimoine et tradition orales
modifierLangue régionale
modifierHistoriquement, sur le plan linguistique, le territoire de Biol, ainsi que l'ensemble du pays des Terres froides, se situe au nord-ouest de l'agglomération grenobloise et au sud-est de l'agglomération lyonnaise et donc dans la partie centrale du domaine linguistique des patois dauphinois, laquelle appartient au domaine de la langues dite francoprovençal ou arpitan au même titre que les parlers savoyards, vaudois, Valdôtains, bressans et foréziens.
L'idée du terme, « francoprovençal », attribué à cette langue régionale parlée dans la partie centre-est de la France, différente du français, dit langue d'oil et de l'occitan, dit langue d'oc est l'œuvre du linguiste et patriote italien Graziadio Isaia Ascoli en 1873 qui en a identifié les caractéristiques, notamment dans le Grésivaudan, les pays alpins et la vallée de l'Isère, depuis sa source jusqu'à sa confluence avec le Rhône. .
Personnalités liées à la commune
modifier- Antonin Brocard (1885 Biol – 1950 Paris)
- général d’aviation. Il commanda l’escadrille des Cigognes en 1915 puis en 1916 (groupe de combat) et recruta entre autres Guynemer, dont la devise était : « faire face ». Il eut également un rôle politique en faveur de l’armée et de l’aéronautique.
- Maurice Saborin (3/6/1933 à Biol)
- haut fonctionnaire, préfet depuis 1982 : Cantal, Guadeloupe, Meuse (trésorier-payeur-général) et Finistère depuis 1988-1992, préfet directeur des moyens gouvernementaux, des plans et de la sécurité au secrétariat général de la défense nationale (Premier ministre)1992-1994.
Sites naturels
modifierBiol est situé sur le passage des cigognes lors de leur migration. Un élevage de cigognes est situé à Blassin, dans les marais. Certaines cigognes vivent à proximité de cette cage tout au long de l'année[réf. nécessaire].
Héraldique
modifierBiol possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles. |
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Site habitants.fr, page sur le nom des habitants des communes de l'Isère, consulté le 5 juillet 2019
- Jean-Paul Bravard, « Le coteau de Saint-Savin et Saint-Chef, « Terres Froides » du Bas-Dauphiné. Pour la délimitation et la préservation d'unités paysagères remarquables », Revue de géographie de Lyon, vol. 56, no 4, , p. 411–421 (DOI 10.3406/geoca.1981.3962, lire en ligne, consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - l'hien (V1720500) » (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Biol et Bourgoin-Jallieu », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Bourgoin », sur la commune de Bourgoin-Jallieu - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Bourgoin », sur la commune de Bourgoin-Jallieu - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Biol ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Site géoportail, page des cartes IGN
- Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
- Henry Suter, « Biol », sur le site d'Henry Suter, « Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs » - henrysuter.ch, 2000-2009 (mis à jour le 18 décembre 2009) (consulté en ).
- Charles Marteaux, « Sur le sens et l'étymologie de quelques noms de lieux savoyards », Recueil des travaux de l'Institut de géographie alpine, vol. 6, no 6_2, , p. 138-137 (lire en ligne).
- Adolphe Gros, Dictionnaire étymologique des noms de lieu de la Savoie, La Fontaine de Siloé, (réimpr. 2004, 2021) (1re éd. 1935), 519 p. (ISBN 978-2-84206-268-2, lire en ligne), p. 452..
- André Planck, "L'origine du nom des communes du département de l'Isère", (ISBN 2-84424-043-7) édition L'atelier, 2006, page 42
- Gustave de Rivoire de La Bâtie, Armorial de Dauphiné, Lyon, Imprimerie Louis Perrin (réimpr. 1969 (Allier - Grenoble)) (1re éd. 1867), 821 p. (lire en ligne), p. 83.
- Site de la mairie de Biol, page sur les membres du conseil municipal de Biol, consulté le 28 février 2019
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Site de la commune de Biol, page sur les écoles de la commune, consulté le 3 mars 2019
- Site de messe-infos, page sur la paroisse Sainte-Anne, consulté le 27 février 2019
- site du journal le dauphiné, page "La chapelle Saint-Paul, un lieu chargé d’histoire", consulté le 28 février 2019
Voir aussi
modifierAnnexes
modifierLiens externes
modifier
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :