Barbey

commune française du département de Seine-et-Marne

Barbey est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Barbey
Barbey
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Provins
Intercommunalité Communauté de communes Pays de Montereau
Maire
Mandat
Daniel Villette
2020-2026
Code postal 77130
Code commune 77021
Démographie
Gentilé Barbésiens
Population
municipale
153 hab. (2021 en évolution de +1,32 % par rapport à 2015)
Densité 35 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 21′ 54″ nord, 3° 03′ 25″ est
Altitude Min. 50 m
Max. 54 m
Superficie 4,32 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montereau-Fault-Yonne
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Barbey
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Barbey
Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Voir sur la carte topographique de Seine-et-Marne
Barbey
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Voir sur la carte administrative d'Île-de-France
Barbey

Géographie

modifier

Localisation

modifier

La commune se situe au sud-est du département de Seine-et-Marne, aux confins de l'Yonne sur la rive droite de l'Yonne.

 
Localisation de la commune de Barbey dans le département de Seine-et-Marne.

Le village est situé à 10 km au sud-est de Montereau-Fault-Yonne[Carte 1]

Communes limitrophes

modifier
 
Carte des communes limitrophes de Barbey.

Géologie et relief

modifier

La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1].

Hydrographie

modifier
 
Carte des réseaux hydrographique et routier de Barbey.

Le réseau hydrographique de la commune se compose de trois cours d'eau référencés :

  • la rivière Yonne, longue de 292,34 km[2], principal affluent gauche de la Seine.
    • le ru des Pres Hauts, 3,68 km[3], et ;
    • un bras des Prés Hauts de 0,35 km[4],[Note 1], qui confluent avec l'Yonne.

La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 5,95 km[5].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 707 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 7,5 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de La Brosse-Montceaux à 4 km à vol d'oiseau[8], est de 12,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 652,9 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Statistiques 1991-2020 et records LA BROSSE-MX (77) - alt : 77m, lat : 48°21'06"N, lon : 3°01'23"E
Records établis sur la période du 01-01-1973 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2 1,8 3,7 5,6 9,2 12,3 14,4 14,2 11,1 8,5 4,9 2,6 7,5
Température moyenne (°C) 4,5 5 8,1 10,9 14,6 18 20,4 20,2 16,4 12,5 7,8 5,1 12
Température maximale moyenne (°C) 7 8,3 12,6 16,3 20 23,6 26,4 26,1 21,7 16,6 10,7 7,5 16,4
Record de froid (°C)
date du record
−20,5
17.01.1985
−14,8
25.02.1986
−10,4
01.03.05
−3,5
09.04.03
−0,1
03.05.21
2,5
04.06.1991
5,2
04.07.1984
4
29.08.1986
1,5
19.09.1977
−3,2
30.10.1997
−9,2
24.11.1998
−15,5
31.12.1985
−20,5
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
16,5
01.01.23
21,4
27.02.19
25,4
31.03.21
28,5
25.04.07
32,5
28.05.17
38,9
27.06.11
42,9
25.07.19
40
06.08.03
35,5
14.09.20
31
01.10.1985
22,5
07.11.15
18,3
16.12.1989
42,9
2019
Précipitations (mm) 51 47,7 47,5 51,7 60,1 53,3 51,6 52,3 51,3 63,3 59,9 63,2 652,9
Source : « Fiche 77054001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Milieux naturels et biodiversité

modifier

Réseau Natura 2000

modifier
 
Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[12].

Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Oiseaux »[13] :

  • la « Bassée et plaines adjacentes », d'une superficie de 27 643 ha, une vaste plaine alluviale de la Seine bordée par un coteau marqué au nord et par un plateau agricole au sud. Elle abrite une importante diversité de milieux qui conditionnent la présence d’une avifaune très riche[14],[15].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

modifier

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal de Barbey comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 2],[16], le « plan d'eau de l'Orme » (88,77 ha)[17] ; et les « plans d'eau du Chemin de Montereau » (97,16 ha)[18] et un ZNIEFF de type 2[Note 3],[16], la « Basse vallée de l'Yonne » (1 658,38 ha), couvrant 6 communes du département[19].

Urbanisme

modifier

Typologie

modifier

Au , Barbey est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[20]. Elle est située hors unité urbaine[21]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[21]. Cette aire regroupe 1 929 communes[22],[23].

Lieux-dits et écarts

modifier

La commune compte 23 lieux-dits administratifs[Note 5] répertoriés consultables ici[24].

Occupation des sols

modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (93,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (57,6% ), eaux continentales[Note 6] (19% ), zones agricoles hétérogènes (16,2% ), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7,3 %)[25].

Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[26],[27],[Carte 2]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].

Planification

modifier

La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Seine et Loing, dont le projet a été arrêté le , porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) Seine et Loing rassemblant à la fois 44 communes et trois communautés de communes[28].

La commune, en 2019, avait engagé l'élaboration d'un plan local d'urbanisme[29]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le géoportail de l'urbanisme[Carte 4].

Logement

modifier

En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 77 dont 100 % de maisons.

Parmi ces logements, 75,2 % étaient des résidences principales, 6,5 % des résidences secondaires et 18,3 % des logements vacants.

La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 82 % contre 14,8 % de locataires et 3,3 % logés gratuitement[30],[Note 7].

Voies de communication et transports

modifier

Transports

modifier

La commune est desservie par la ligne d’autocars No Eb (La Brosse-MontceauxMontereau-Fault-Yonne) du réseau de bus Pays de Montereau.

Toponymie

modifier

Le nom de la localité est mentionnée sous les formes Barbez en 1197[31]; Barbes in Iona en 1197[32]; Barbetum en 1218[33]; G. de Barbet en 1250[34]; Barbé sur Yonne en 1530[35]; Barbey sur Yonne en 1723[36],[37].

Histoire

modifier

Préhistoire

modifier

Au lieu-dit « les Cent Arpents » se trouvent des sépultures de l'âge du bronze. S. Rottier, qui réunit dans une étude archéo-socio-anthropologique les sites de Barbey et de Barbuise / La Saulsotte « Grèves de Frécul », précise que cet ensemble est la plus grande collection ostéologique pour l'âge du bronze en France septentrionale (158 individus)[38].

Époque contemporaine

modifier

Pendant la guerre de 1870, 17 habitants de Barbey participent au conflit. L'un d'eux, Arthur Monpoix, garde mobile à Paris, est victime de la guerre[39]. Il est tué le 20 octobre 1870, lors de l'attaque d'une ferme à Grandpuits[40].

Politique et administration

modifier

Liste des maires

modifier
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1792 an VI Michel Jubain    
an VI an IX François Pecquenard    
an IX 1813 Hebert    
1813 1822 Aubert du Petit Thouars[41]   Botaniste
1822 1831 Louis Isaac Monpoix    
1831 1843 Pierre Alexandre Jozon   Fermier
Conseiller d'arrondissement
1843 1852 Joseph Roscop    
1852 1855 Général Berthemy    
1855 1860 Marc Antoine Richet    
1860 1865 Aimé Monpoix    
1865 1873 Théodore Grappin    
1873 1876 Etienne Isidore Roscop    
1876 1878 Jules François Berthemy    
1878 1881 Etienne Isidore Roscop    
1881 1887 Guillaume Alfred Roscop    
1887 1892 Jules François Gustave Berthemy    
1892 1896 Louis Prevost    
1896 1904 Paul Meunier    
1904 1912 Jules Marie Jean Berthemy    
1912 1913 Paul Cothias    
1913 1937 Jules Berthemy    
1937 1962 François de Ponton d'Amécourt    
1962 1997 Jean de Ponton d'Amécourt    
1997 En cours Daniel Villette[42]   Garagiste

Politique environnementale

modifier

Équipements et services

modifier

Eau et assainissement

modifier

L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [43],[44].

Assainissement des eaux usées

modifier

En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Barbey est assurée par la communauté de communes Pays de Montereau (CCPM) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [45],[46],[47].

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[48]. La communauté de communes Pays de Montereau (CCPM) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est déléguée à la SAUR, dont le contrat arrive à échéance le 31 décembre 2026[45],[49],[50].

Eau potable

modifier

En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la communauté de communes Pays de Montereau (CCPM) qui en a délégué la gestion à une entreprise privée, dont le contrat expire le [45],[51].

Population et société

modifier

Démographie

modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[53].

En 2021, la commune comptait 153 habitants[Note 8], en évolution de +1,32 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
170166165160183236246244267
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
220240231193197163175150147
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
163158160135139124106120117
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
115109115125140151161165188
2014 2019 2021 - - - - - -
153152153------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[54] puis Insee à partir de 2006[55].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

modifier

Revenus de la population et fiscalité

modifier

En 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 63, représentant 169 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 26 320 euros[56].

En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 13, occupant 69 actifs résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 67,3 % contre un taux de chômage de 10,6 %. Les 22,1 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 4,8 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 8,7 % de retraités ou préretraités et 8,7 % pour les autres inactifs[57].

Entreprises et commerces

modifier

En 2018, le nombre d'établissements actifs était de 12 dont 1 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 1 dans la construction, 1 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 2 dans l’information et communication, 4 dans les activités immobilières, 2 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien et , 1 était relatif aux autres activités de services[58].

En 2019, 3 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 2 individuelles.

Au 1er janvier 2020, la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[59].

  • Exploitations agricoles, sablières.

Culture locale et patrimoine

modifier
 
Le château.
 
L'église de l'Assomption.

Lieux et monuments

modifier
  • L'église de l'Assomption, XIVe siècle[60].
Elle ne possède qu'une seule nef surmontée par une flèche vrillée couverte d'ardoise.
Construit de pierres et briques avec une toiture en ardoise.
  • Écluse et bords de l'Yonne.

Personnalités liées à la commune

modifier

Voir aussi

modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

modifier
  • Collectif d’historiens, Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 2, Paris, Éditions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Barbey », p. 939–940

Articles connexes

modifier

Liens externes

modifier

Notes et références

modifier

Notes et cartes

modifier
  • Notes
  1. Nature en attente de mise à jour.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
  6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  7. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Localisation de Barbey, » sur Géoportail (consulté le 18 avril 2020)..
  2. « Barbey - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  3. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  4. « Géoportail de l’urbanisme », sur geoportail-urbanisme.gouv.fr (consulté le ).

Références

modifier
  1. « Plan séisme consulté le 18 avril 2020 ».
  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - L’Yonne (F3--0200) » (consulté le ).
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru des Prés Hauts (F3596000) » (consulté le ).
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras des Prés Hauts (F3598501) » (consulté le ).
  5. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 18 avril 2020
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Barbey et La Brosse-Montceaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « La Brosse-Mx » (commune de La Brosse-Montceaux) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « La Brosse-Mx » (commune de La Brosse-Montceaux) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  12. « Réseau européen Natura 2000 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du Ministère de la transition écologique et solidaire (consulté le ).
  13. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Barbey », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « Bassée et plaines adjacentes - ZPS - FR1112002 », sur driee.ile-de-france.developpement-durable.gouv.fr, 2 septembre 2019, modifié (consulté le ).
  15. « site Natura 2000 FR1112002 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Barbey », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « ZNIEFF le « plan d'eau de l'Orme » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « ZNIEFF les « plans d'eau du Chemin de Montereau » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « ZNIEFF la « Basse vallée de l'Yonne » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  21. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Barbey ».
  22. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  24. « Liste des lieux-dits français », sur MémorialGenWeb (consulté en ).
  25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  26. IAU Île-de-France, « Mode d'occupation du sol de l'Île-de-France », sur institutparisregion.fr (consulté le ).
  27. « Nomenclature du MOS en 11 postes », sur iau-idf.fr (consulté le ).
  28. « Le SCOT Seine et Loing », sur scot-seine-loing.fr (consulté le ).
  29. « Etat d'avancement des documents d'urbanisme locaux au 01/11/2019 », sur /www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
  30. Statistiques officielles de l'Insee, consulté en avril 2020
  31. Archives nationales, S 2107, n° 36.
  32. Archives nationales, LL 1450a, fol. 160 v°.
  33. Archives nationales, LL 1450a, fol. 163 v°.
  34. Rôles des fiefs, 106.
  35. Sur une pierre tombale.
  36. Archives de Seine-et-Marne, G 473.
  37. Dictionnaire topographique de Seine-et-Marne : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
  38. [Rottier 2009] Stéphane Rottier, « Fonctionnement des tombes du début du Bronze final (XIVe-XIIe s. av. J.-C.) dans le Sud-Est du Bassin parisien (France) », Bulletins et Mémoires de la Société d’Anthropologie de Paris, vol. 21, nos 1-2,‎ , p. 121-135 (lire en ligne [PDF] sur journals.openedition.org, consulté le ), p. 123.
  39. [Fauche 1871] Amédée Fauche, 1870-1871. Montereau-faut-Yonne. Journal de l'occupation prussienne, L. Zanotte, , 216 p., sur gallica (lire en ligne), p. 205.
  40. Service Historique de la Défense de Vincennes. Cote GR LM2.
  41. a b et c Barbey et son château sur archives.seine-et-marne.fr
  42. « Annuaire des communes de Seine-et-Marne », sur amf77.fr (Union des maires de Seine-et-Marne) (consulté en ).
  43. « Le service public local de l’eau potable et de l’assainissement. », sur vie-publique.fr, (consulté le ).
  44. « Seine-et-Marne - Assainissement collectif », sur eau.seine-et-marne.fr (consulté le ).
  45. a b et c « Commune de Barbey - organisation des services d'eau et d'assainissement », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
  46. « CC Pays de Montereau (CCPM) - Communes adhérentes et compétences », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
  47. « CC Pays de Montereau (CCPM) - Services et indicateurs », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
  48. « Tout savoir sur l’assainissement non collectif », sur le portail ministériel de l'assainissement non collectif (consulté le ).
  49. « CC Pays de Montereau (CCPM) - Services en propre », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
  50. « CC Pays de Montereau - Eau et assainissement », sur paysdemontereau77.fr (consulté le ).
  51. « CC Pays de Montereau (CCPM) - Services et indicateurs », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
  52. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  53. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  54. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  55. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  56. Statistiques officielles de l'Insee, section «Revenus et pauvreté des ménages en 2018», consulté le 21 janvier 2021
  57. Statistiques officielles de l'Insee, section «Population active, emploi et chômage au sens du recensement en 2017», consulté le 21 janvier 2021
  58. Statistiques officielles de l'Insee, section «Démographie des entreprises en 2019», consulté le 21 janvier 2021
  59. Statistiques officielles de l'Insee, section «Tourisme en 2020», consulté le 21 janvier 2021
  60. « Les objets classés de l'église », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.