Saint-Sulpice-le-Guérétois
Saint-Sulpice-le-Guérétois est une commune française située dans le département de la Creuse, en région Nouvelle-Aquitaine.
Saint-Sulpice-le-Guérétois | |||||
La mairie en 2021. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Creuse | ||||
Arrondissement | Guéret | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Grand Guéret | ||||
Maire Mandat |
Éric Bodeau 2020-2026 |
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Code postal | 23000 | ||||
Code commune | 23245 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Sulpiciens | ||||
Population municipale |
1 911 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 53 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 12′ 05″ nord, 1° 49′ 46″ est | ||||
Altitude | Min. 347 m Max. 609 m |
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Superficie | 36,18 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Guéret (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Vaury | ||||
Législatives | Circonscription unique | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Creuse
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | saintsulpicelegueretois.fr | ||||
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Géographie
modifierGénéralités
modifierDans le quart nord-ouest du département de la Creuse, la commune de Saint-Sulpice-le-Guérétois s'étend sur 36,18 km2. Elle est bordée à l'est sur environ cinq kilomètres et demi par la Naute, un affluent de la Creuse, qui sépare le territoire communal de ceux de Guéret puis de Saint-Fiel. Au nord-ouest, la Siauve — un autre petit affluent de la Creuse — borde sur 600 mètres la commune, la séparant de Bussière-Dunoise et d'Anzême.
L'altitude minimale avec 347 mètres se trouve localisée à l'extrême est, au nord-est du lieu-dit Clavière, là où la Naute quitte le territoire communal et entre sur celui de Saint-Fiel. L'altitude maximale avec 609 mètres est située au sud-est, en forêt de Chabrières, en limite de la commune de Saint-Léger-le-Guérétois, à l'est du lieu-dit les Pierres Civières.
À l'intersection des routes départementales (RD) 47 et 63, le bourg de Saint-Sulpice-le-Guérétois est situé, en distances orthodromiques, quatre kilomètres et demi au nord-ouest du centre-ville de Guéret, la préfecture.
Le territoire communal est également desservi par les RD 33, 48, 75 et 914. La principale voie d'accès routière qui traverse la commune d'ouest en est est la route nationale 145 (2 x 2 voies), axe Guéret-Montluçon) par l'échangeur no 49 qui donne sur les RD 47, 100 et 942, ainsi que sur l'« aire de service des Monts de Guéret ».
Le sud de la commune est traversé par la ligne ferroviaire Montluçon - Saint-Sulpice-Laurière, dont la gare la plus proche est celle de Guéret.
La commune est, en dehors du bourg, éclatée en plusieurs hameaux parmi lesquels : la Bussière, Claverolles, les Coussières, le Mouchetard et Theix. Aujourd'hui, le bourg s'est transformé en une cité dortoir de la ville proche de Guéret. Il est situé en pleine campagne creusoise, comprenant ainsi de nombreux champs, exploitations agricoles, forêts et vallées offrant à ses habitants un calme très profitable.
La RD 47 qui traverse le bourg a été entièrement refaite ainsi que les trottoirs et les passages piétons en 2011, depuis le cimetière jusqu'au gymnase municipal.
Communes limitrophes
modifierSaint-Sulpice-le-Guérétois est limitrophe de sept autres communes.
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 021 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Guéret à 5 km à vol d'oiseau[3], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 103,0 mm[4]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[5].
Milieux naturels et biodiversité
modifierEspaces protégés
modifierLa protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[6],[7].
Il existe une aire protégée, « marais du Chancelier », sur le territoire communal, gérée par le conservatoire d'espaces naturels Nouvelle-Aquitaine[8].
Réseau Natura 2000
modifierLe réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1].
Aucun site Natura 2000 n'a été défini sur la commune[10].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
modifierL'inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
En 2023, deux ZNIEFF sont recensées sur la commune d’après l'INPN[11].
La ZNIEFF de type 1 « Marais du Chancelier » s'étend sur 49,98 hectares, en majeure partie sur la commune de Saint-Fiel mais également sur environ sept hectares dans le nord-est de la commune, en deux endroits, le long de la Naute (à l'est de Clavière) et de son affluent le ruisseau de la Barde (à l'est de Clavérolles)[12],[13].
La ZNIEFF de type 2 « Forêt de Chabrières » s'étend sur 1 452,5 hectares, sur le territoire de six communes[14],[15], dont environ 70 hectares sont situés dans le sud-est du territoire communal, au sud de la route départementale 942.
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Saint-Sulpice-le-Guérétois est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[16]. Elle est située hors unité urbaine[17]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Guéret, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[17]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18],[19].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (66,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (34,7 %), zones agricoles hétérogènes (32 %), forêts (28,1 %), zones urbanisées (3,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,9 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Transports en commun
modifier- Réseau TransCreuse
Risques majeurs
modifierLe territoire de la commune de Saint-Sulpice-le-Guérétois est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].
Risques naturels
modifierLe retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 35,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (33,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 021 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 326 sont en aléa moyen ou fort, soit 32 %, à comparer aux 25 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[21].
Risques technologiques
modifierLe risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[25].
Risque particulier
modifierDans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Sulpice-le-Guérétois est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[26].
Toponymie
modifierLe nom de la commune se réfère à saint Sulpice[27], archevêque de Bourges au VIIe siècle. La seconde partie du nom de la commune marque la proximité de la ville de Guéret, dont elle est une commune limitrophe.
Histoire
modifierCréée aux débuts de la Révolution française, la commune de Saint-Sulpice-le-Guérétois s'est d'abord appelée Saint Sulpice[28], même si le complément « le Guerétois » figurait déjà précédemment sur la carte de Cassini concernant la France entre 1756 et 1789[29].
Politique et administration
modifierTendances politiques et résultats
modifierListe des maires
modifierJumelages
modifierSaint-Sulpice-le-Guérétois est jumelée avec la commune italienne de Torreano. Elle possède d'ailleurs un comité de jumelage qui organise divers évènements[30].
Population et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[32].
En 2021, la commune comptait 1 911 habitants[Note 3], en évolution de −3,92 % par rapport à 2015 (Creuse : −3,87 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Sports et loisirs
modifier- Stade municipal gratuit comprenant deux terrains de football, des paniers de basket-ball et un terrain de pétanque. Il est régulièrement utilisé le dimanche par l'équipe de football.
- Un gymnase a été aménagé dans un ancien entrepôt non loin du stade.
- Un City-stade avec paniers de basket a été aménagé à côté de la salle polyvalente, en plus d'une petite aire de jeux pour enfants.
Enseignement
modifierDeux établissements scolaires existent dans la commune : l'école maternelle Bernard-Blot, et l'école primaire Françoise-Chandernagor, ouverte en 2018, en remplacement de l'ancienne école primaire.
Économie
modifier- Vers les années 2005, une petite bibliothèque municipale a ouvert ses portes proposant livres, DVD et CD dans les locaux de l'ancienne école primaire.
- Une supérette a ouvert en 2009.
- Dans le bourg du village, on trouve un bureau de poste au sein de la mairie ainsi qu'une salle polyvalente.
- Un coiffeur a ouvert en 2010 à l'entrée de la ville puis un salon de manucure en 2015.
- On y trouve également une pharmacie ainsi qu'un cabinet médical.
- Un local commercial, en construction en 2024 à l'entrée du bourg, devrait ouvrir prochainement et contenir une boulangerie.
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- L'église Saint-Sulpice, reconstruite au XVIIe siècle, est inscrite partiellement au titre des monuments historiques pour son portail conservé du XIIe siècle[34]. La toiture et le clocher ont été rénovés en 2005. Elle recèle plusieurs objets protégés au titre des monuments historiques :
- le bras-reliquaire du XIIIe siècle en cuivre, dit « de saint Sulpice », classé en 2006, a été déposé au musée d'Art et d'Archéologie de Guéret[35],[36],[37].
- les autres objets ont été inscrits en 1978 :
- deux gradins d'autel du maître-autel, un tabernacle à ailes, des dais d'exposition et onze statuettes, tous du XVIIe siècle[38] ,[39] ;
- un antependium en cuir de la fin du XVIIe - début du XVIIIe siècle[40] ;
- trois statues en bois représentant :
- la Vierge à l'Enfant du XVIIe siècle[41],
- saint Jean-Baptiste du XVIIIe siècle[42],
- un saint évêque du XVIIIe siècle[43] ;
- un tableau — avec son cadre — datant de 1844 du peintre Jules Guichard, représentant la Vierge et l'Enfant Jésus[44] ; il s'agit d'une copie d'une œuvre du peintre italien Carlo Maratta.
- Le château de La Villatte[45].
Associations
modifierLe village possède une association pour le patrimoine : l'APVP (Association de protection et de valorisation du patrimoine) qui fait découvrir, entretient et met en valeur le patrimoine de la commune[46].
Personnalités liées à la commune
modifier- Marc Durant (1955-), coureur cycliste des années 1970-1980, né à Saint-Sulpice-le-Guérétois.
- Jean Moreau[47] (1801-1889), médecin, proscrit de 1852 puis député de la Creuse (1876, 1877) a vécu et exercé à Saint-Sulpice où son père Jacques Moreau a été maire de 1807 à 1822 (habitait le château de Saint-Sulpice, à l'emplacement de l'école actuelle).
- Henri Auguste Delannoy (1833-1915), polytechnicien, intendant militaire, mathématicien reconnu[48], a habité Saint-Sulpice où il avait une propriété. Il fut président de la Société des Sciences naturelles et archéologiques de la Creuse. Il a écrit l'histoire de la paroisse de Saint Sulpice sous l'Ancien Régime[49].
- Jean de Monlevade[50] (1791-1872), polytechnicien et ingénieur des mines, pionnier de la sidérurgie brésilienne, est originaire du village de Monlevade. La ville industrielle brésilienne de João Monlevade porte son nom.
Télévision
modifier- Pierre Desgraupes a tourné en à Saint-Sulpice-le-Guérétois pour l'ORTF un épisode de l'émission Les Cousins[51], réalisant une interview croisée de l'écrivain Marcel Jouhandeau et de ses cousins creusois, Henri Blanchet et son fils Armand, agriculteurs résidant à Saint-Sulpice-le-Guérétois.
Galerie de photos
modifier-
L'église Saint-Sulpice.
-
Son portail.
-
Sa nef.
-
Son chœur.
-
Le maître-autel.
-
Le monument aux morts.
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[9].
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
modifier- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Sulpice-le-Guérétois et Guéret », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique Guéret, commune de Guéret - Normales pour la période 1991-2020 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
- « Liste des espaces protégés sur la commune de Saint-Sulpice-le-Guérétois », sur le site de l'INPN (consulté le ).
- FR1505652 - Marais du Chancelier, INPN, consulté le .
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Saint-Sulpice-le-Guérétois », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Sulpice-le-Guérétois », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- [PDF] David Naudon (LNE), Olivier Nawrot (CBNMC), Frédéric Noilhac (LNE), Karim Guerbaa (CEN NA), Espaces naturels du Limousin et L. Chabrol, Marais du Chancelier (Identifiant national 740006113), INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
- « Carte de la ZNIEFF « marais du Chancelier » (en vert foncé) à Saint-Sulpice-le-Guérétois » sur Géoportail., consulté le .
- [PDF] Guerbaa et Chabrol, Espaces Naturels du Limousin, Forêt de Chabrière (Identifiant national 740006112), INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
- Carte de la ZNIEFF 740006112, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Guéret », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Sulpice-le-Guérétois », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Sulpice-le-Guérétois », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Creuse », sur creuse.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 629.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « St Sulpice le Guerétois » sur Géoportail (consulté le 26 juillet 2021)..
- « Commune Saint Sulpice le Guérétois Creuse | Associations » (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Église Saint-Sulpice », notice no PA00100196, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 26 juillet 2021.
- « Bras-reliquaire dit de saint Sulpice », notice no PM23000384, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 26 juillet 2021.
- André Lecler, Dictionnaire topographique, archéologique et historique de la Creuse, Marseille, Laffitte (réimpr. 1979) (1re éd. 1902), 809 p., 22 cm, p. 710.
- Véronique Notin, Cuivres d'orfèvres [Texte imprimé] : catalogue des œuvres médiévales en cuivre non émaillé des collections publiques du Limousin, Limoges, Musée de l'Évêché-Musée de l'émail,, , 127 p., p. 74-75.
- « Deux gradins d'autel du maître-autel, un tabernacle à ailes, des dais d'exposition et onze statuettes », notice no PM23000895, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 26 juillet 2021.
- Simone de Montessus de Ballore Lecointre, Retables et tabernacles des XVIIe et XVIIIe siècles dans les églises de la Creuse, Paris, Nouvelles éditions latines, , 213 p. (ISBN 2-7233-0372-1), p. 137-138.
- « Antependium », notice no PM23000898, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 26 juillet 2021.
- « Statue : Vierge à l'Enfant », notice no PM23000897, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 26 juillet 2021.
- « Statue : saint Jean-Baptiste », notice no PM23000894, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 26 juillet 2021.
- « Statue : saint évêque », notice no PM23000896, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 26 juillet 2021.
- « Tableau, cadre : Vierge et l'Enfant Jésus », notice no PM23000893, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 26 juillet 2021.
- Le château de La Villatte, meconnu.fr, Portail collaboratif du patrimoine français, consulté le 26 juillet 2021.
- Centre France, « Saint-Sulpice-le-Guérétois - APVP, une toute nouvelle association qui a déjà de nombreux projets », sur lamontagne.fr, (consulté le ).
- Daniel Dayen, « Un vieux républicain Creusois : le docteur Moreau (1801-1889) », Mémoires de la Société des Sciences naturelles et archéologiques de la Creuse, no Tome 44, , p. 49-63.
- Sylviane R. Schwer, Jean Michel Autebert, « Henri Auguste Delannoy, une biographie », Math. & Sci. hum / Mathematical Social Sciences, no 174, , p. 25-67.
- Henri Auguste Delannoy, « La paroisse de Saint Sulpice le Guérétois sous l'ancien régime », Mémoires de la Société des Sciences Naturelles et Archéologiques de la Creuse, no 2e série tome 7, , p. 243-355.
- Robert Guinot, Jean de Monlevade, pionnier de la sidérurgie brésilienne, Paris, Guénégaud, , 64 p. (ISBN 2-85023-122-3).
- Babelio, « Vidéos de Marcel Jouhandeau » (consulté le ).