« Gilles Raoux » : différence entre les versions

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Son année 1992 est jugée difficile par {{Lien par élément|Q116172826|id=Patrick Colléoni}}, avec des ''novilladas'' particulièrement longues, car il affronte des taureaux issus d'élevages généralement évités par les toreros vedettes{{sfn|Colléoni|2013|id=Colléoni|p=330}}.
 
Il persévère néanmoins jusqu'à l'alternative, qu'il reçoit dans sa commune natale, au sein des [[arènes du Tempéras]], le {{date-|27 mai 1995}}{{sfn|Colléoni|2013|id=Colléoni|p=330}}. Elle restera la seule en ce lieu jusqu'en 2018<ref>{{Article|périodique=[[France Bleu Gard Lozère]]|lire en ligne=https://www.francebleu.fr/infos/culture-loisirs/4-jours-de-fete-dans-les-rues-et-dans-les-arenes-pour-la-feria-de-l-ascension-a-ales-1525896213|titre=Quatre jours de fête dans les rues et dans les arènes pour la feria de l'Ascension à Alès|date=9 mai 2018|auteur={{Lien par élément|Q130730368|id=Ludovic Labastrou}}}}.</ref>. Quant à Raoux, il est le {{28e}} torero français reconnu. Le président, jugé {{citation|sévère}} par Colléoni, lui refuse l'oreille du ''toro'' d'alternative{{sfn|Colléoni|2013|id=Colléoni|p=330}}. La même année, il honore trois contrats, à [[Céret]], Nîmes où il remplace [[Denis Loré]] en urgence<ref>https://catalogue.ina.fr/doc/TV-RADIO/RE_RBC08012735.</ref>, et Nîmes une seconde fois en novembre{{sfn|Colléoni|2013|id=Colléoni|p=330}}.
 
En 1996, il effectue un ''paseo'' à [[Saint-Martin-de-Crau]], et deux en 1997, à Alès dans les deux cas{{sfn|Colléoni|2013|id=Colléoni|p=330}}.