La pénurie dont souffre le plus la France, c'est celle des talents. Pour renforcer notre compétitivité au niveau mondial, nous avons l'opportunité d'actionner un levier simple pour contribuer à combler cette pénurie, tout en générant de la valeur nette pour notre économie : c'est d'accueillir plus d'étudiants internationaux en France. Cerise sur le gâteau, c'est aussi bénéfique pour nos étudiants Français qui font l'expérience de l'international "à domicile" comme nous le constatons tous les jours à l’ESSEC Business School. C'est cette idée que je défends par une tribune dans Les Echos. Faciliter les démarches administratives, améliorer l'offre de logement, renforcer l'enseignement du FLE (Français Langue Etrangère), rapprocher les établissements d'enseignement supérieur des entreprises pour améliorer le passage de la vie étudiante à la vie professionnelle : des actions concrètes et à fort impact qui bénéficieront à la communauté nationale, à l'économie et à notre système d'enseignement supérieur.
et également le choix d'intégrer plus facilement les étudiants français ayant fait leurs études à l'étranger et qui reviennent en France pour compléter leur cursus, si tant est qu'ils soient facilement accueillis.
L'idée globale est bonne Vincenzo Esposito Vinzi . Les solutions proposées sont connues et reconnues mais rarement bien mises en place au sein des établissements d'accueil. Dommage cette stagnation...et je parle de cela en toute connaissance de cause,je cotois, parle et accompagne aussi des étudiants internationaux tous les jours.
Le brassage des cultures et talents est toujours bénéfique
Anaelle Guillen-Meyer peut être la bonne interlocutrice pour le renforcement du #FLE
Bravo !
Conseil positif® - Raison d'être & d'agir #Stratégie #Engagements #Transformation #Communications. Au combat pour un Progrès +
2 mois"Contrairement aux idées reçues, ces étudiants ne sont pas un fardeau économique. Ils génèrent une valeur nette de 1,35 milliard d’euros par an et dépensent près de 5 milliards d’euros annuellement, bien plus que leur coût de 3,7 milliards pour les finances publiques (étude Kantar). De plus, 48 % des étudiants internationaux travaillent durant leurs études, générant chacun en moyenne 13 300 euros en cotisations sociales (..)" " (...) Leur présence est aussi essentielle pour enrichir notre culture, encourager la tolérance et le respect mutuel et développer les compétences de nos étudiants français, qui bénéficient d'une ouverture internationale sans quitter le pays. Ces étudiants deviennent également des ambassadeurs de notre culture et de notre économie. Selon Kantar, 88 % souhaitent travailler avec des entreprises françaises, 94 % recommandent la France pour travailler, 90 % pour étudier et 75 % comme lieu de vie. (..)"