Scheming avec mon duc

Scheming avec

Mon duc

Lié dans le temps

Livre neuf

Dawn Brower

Ceci est une œuvre de fiction. Les noms, personnages, lieux et incidents sont des produits de l'imagination de l'auteur ou sont utilisés de manière fictive et ne doivent pas être interprétés comme réels. Toute ressemblance avec des lieux, des organisations ou des personnes réelles, vivantes ou décédées, est entièrement fortuite.

Intriguer avec mon duc © 2017 Dawn Brower

Couverture et modifications par Victoria Miller

Tous les droits sont réservés. Aucune partie de ce livre ne peut être utilisée ou reproduite électroniquement ou sous forme imprimée sans autorisation écrite, sauf dans le cas de brèves citations incorporées dans des critiques.

NOTE DE L'AUTEUR

Vous ne savez jamais où la vie pourrait vous mener ou quel chemin est le bon. Ne laissez pas cela vous empêcher de faire un acte de foi. Parfois, ce sont les meilleures chances. Vivez, aimez et faites de votre mieux pour trouver votre propre bonheur. En fin de compte, c'est tout ce que vous pouvez faire. Merci d'avoir tenté ma chance.

DÉVOUEMENT

Ce livre est pour tous mes lecteurs. Profitez de Serenity et Brandon. J'espère que vous les aimez autant que j'ai écrit leur histoire.

CHAPITRE UN

Serenity Drake était assis dans le jardin du château de Branterberry. Si elle ne s'ennuyait pas complètement, elle aurait peut-être apprécié un peu plus le paysage. Le jardin avait été sculpté en plusieurs chemins différents. Selon celui qu'elle prenait, elle trouverait une vaste gamme de végétaux et de plantes florales pour ravir les yeux. Certaines fleurs avaient des arômes plus alléchants et l'attiraient. Quand elle avait vu le jardin pour la première fois, elle avait immédiatement eu envie d'en explorer les profondeurs. Une semaine après l'été et elle était prête à sortir les yeux.

Ses devoirs - s'occuper de Sebastian Bennett, le petit marquis de Chisenhall - n'impliquaient pas grand-chose. Elle lui donnait des cours le matin et ensuite les après-midi libres. Le duc ne voulait pas qu'elle corrompe son fils et ne lui avait permis d'être sa gouvernante que par respect pour la sœur de Sérénité, Geneviève. Sa sœur a dû rentrer à la maison pour sauver leur autre sœur, Peyton. Il avait été difficile de rester en arrière, mais c'était le bon choix à faire.

Les visions de Peyton n'étaient jamais fausses. Geneviève était censée être au XXIe siècle, et la place de Serenity était avec le duc et son fils. Elle n'était tout simplement pas sûre de ce qu'était cet endroit. Si le duc ne lui permettait pas de l'aider, elle pourrait aussi bien rentrer chez elle. Sauf qu'elle ne voulait pas vraiment y aller... Peyton manquait désespérément à Serenity, et une partie d'elle le ferait toujours, mais Geneviève s'assurait qu'elle allait bien et qu'elle guérissait correctement de sa maladie. Quant à Serenity, le duc et Sébastien avaient besoin d'elle. Il était perplexe et il faudrait une planification minutieuse pour lui faire réaliser la vérité. Heureusement, l'entêtement de Serenity la ferait continuer à se battre. En fin de compte, elle gagnerait et le duc ne le verrait pas venir.

Elle cueillit une fleur rouge vibrante et fit tournoyer la tige dans sa main. Plusieurs boucles dedans, elle décida de le porter à son nez et de profiter de son merveilleux arôme. Elle n'avait aucune idée de quel genre de fleur il s'agissait, mais elle l'aimait. La couleur l'appelait et, sous une certaine lumière, elle correspondait presque à ses cheveux roux acajou. Bien que c'était probablement une exagération de sa part - ses longues mèches étaient en fait plus proches du brun que du rouge, mais elle aimait les reflets mis en évidence par le soleil.

D'un air fantasque, elle arracha un des pétales et le jeta par-dessus son épaule, puis le répéta une seconde fois. «Il m'aime», dit-elle à voix haute. Puis en cueillit un autre et répéta: Il m'aime. Serenity a continué à cueillir les pétales encore et encore jusqu'à ce qu'il en reste trois sur la fleur. Chaque fois, en répétant encore et encore: Il m'aime.

"Qu'est-ce que cette pauvre fleur vous a fait? Brandon Bennett, le duc de Branterberry a demandé. Sa voix était remplie d'un mélange d'amusement et de perplexité.

Serenity se précipita pour lui faire face, repliant la fleur derrière son dos. Combien avait-il entendu? Ses joues chauffaient sous le soleil brûlant et elle ne pouvait rien faire pour le lui cacher. Peut-être croirait-il que c'était un petit coup de soleil qui les rendait roses.

"Tu m'espionnes? lui demanda-t-elle avec défi. Mieux vaut dévier que d'admettre qu'elle avait joué à un jeu de fille idiot. Qu'est-ce qui l'avait amenée à cueillir les pétales de la fleur au départ?

C'est ma maison », dit-il en haussant un sourcil. «Je n'ai pas à m'expliquer.» Il tendit la main et lui arracha la fleur de sa main et la tint devant elle. Cependant, vous êtes en train de dégrader une partie de la flore de mon jardin."

Drat. Allait-il lui hurler dessus pour quelque chose d'aussi stupide que de cueillir une fleur? Eh bien, elle n'allait pas lui permettre de lui dicter. Peut-être devrait-il être sur la défensive pour une fois. Il n'aimait pas beaucoup quand elle le lisait. Elle pencha la tête et étudia son aura. Comme d'habitude, des secrets et des mensonges tourbillonnaient autour de lui. Ce maître-espion a tout gardé de près et n'a laissé personne entrer. Combien de personnes a-t-il protégé avec ses informations clandestines?

"Tu me regardais, »dit-elle en se rapprochant de lui. «Avez-vous vu quelque chose que vous avez aimé?»

Le duc s'éloigna d'elle. Ses narines s'évasèrent alors qu'il l'étudiait. «J'ai mieux à faire qu'une chose aussi stupide que de t'espionner.»

Oh, il faisait marche arrière maintenant. Il protesta un peu trop. Le duc avait des qualités semblables à celles de Peeping-Tom - sans l'étrangeté. Elle pourrait utiliser cela à son avantage. Il n'appréciait pas qu'elle les appelle. Bully pour lui. L'ennui lui faisait faire des choses impétueuses, et il était sur le point de devenir son nouveau jouet.

Elle s'avança et porta sa main sur sa poitrine, la faisant glisser vers le bas jusqu'à ce qu'elle repose sur son ventre. «Alors, Votre Grâce,» dit-elle avec séduction. «À quelle fréquence trouvez-vous le besoin de m'espionner?» Elle fit glisser ses doigts vers le bas et effleura le haut de son pantalon. «M'avez-vous vu dans...» Elle se pencha plus près et dit d'un ton feutré: «Rien du tout?»

Il prit une inspiration et la regarda. Ses joues rougirent d'un rouge vif et sa respiration devint inégale. «Je ne le ferais jamais», a-t-il dit. Le duc s'éclaircit la gorge. «Comment osez-vous attaquer mon nom de cette manière? Je suis un gentleman."

Serenity rit et recula d'un pas. Oh, comme elle aimait jouer avec lui. «Ma chérie, duc,» dit-elle. «Vous êtes un espion avant tout et, autant que vous aimez protester contre l'idée, vous êtes vraiment un homme au sang chaud. Elle fit un clin d'œil. «Qui aime ce qu'il voit devant lui. Refusez tout ce que vous voulez, mais si je vous l'ai dit une fois, je vous l'ai dit mille fois. Elle sourit et rencontra hardiment son regard. "Je te vois. Vous tous. Vous ne pouvez rien me cacher. Vous feriez mieux de vous habituer à ce fait tant que je suis ici. Serenity ne pouvait pas comprendre pourquoi il n'avait pas déjà...

Au moins, il avait déjà oublié cette fleur foudroyée et son petit jeu. Cela avait été un appel serré. Le duc la regarda comme si elle allait s'enflammer à cause de sa seule colère. Pauvre homme. Il n'avait aucune idée de comment traiter avec elle. Un jour, il arrêterait de combattre ce qu'elle savait déjà. Ils avaient une abondance de désir qui se préparait entre eux. Dès qu'ils y cédaient, ils découvriraient à quel point ils étaient combustibles ensemble.

"Tu parles trop », grinça-t-il. «Malgré toutes vos affirmations de me voir, je pense qu'il est important de vous révéler un petit secret.»

Oh? elle pencha la tête. Qu'est-ce que c'est?

Il essayait de retourner les choses à son avantage. Elle ne pouvait pas le laisser faire ça, mais sa curiosité l'avait vaincue. Quels secrets pourrait-il avoir à communiquer? Elle attendit avec impatience.

"Je n'ai peut-être pas vos dons », dit-il fermement. «Mais j'en ai quelques-uns des miens qui sont comparables en ce qui concerne les informations cachées.»

Elle a parié que oui. Il n'était pas le premier espion d'Angleterre sans raison. Serenity découvrirait toutes les choses qu'il voulait cacher, puis que ferait-il? Il n'y aurait pas de barrières entre eux et ils devraient comprendre ce qu'ils veulent l'un de l'autre. Elle ne pouvait pas attendre ce jour à venir. L'amusement l'envahit de l'intérieur. Elle ne pouvait pas tout contenir de déborder et d'éclater de rire. «Je suis vraiment désolée,» dit-elle en essuyant une larme. «Étiez-vous censé être tout pressentiment ou quelque chose comme ça?

Il grogna. Un véritable grognement qui a grondé et a vibré hors de sa bouche. Les entrailles de Serenity se recroquevillèrent et attirent l'attention. Oh, oui, recommencez. Elle n'osait cependant pas dire cette petite friandise à voix haute. Peut-être que si elle restait dans le passé, elle le ferait, mais à ce moment-là, ils étaient encore au stade des préliminaires. C'était une sorte de danse. Elle le poussait au bord de la frustration, puis il s'enfuirait en trombe pour revenir