Shakespeare's Tempest in French
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À propos de ce livre électronique
Romance Shakespearienne classique en traduction française. Selon Wikipedia: "The Tempest est une pièce écrite par William Shakespeare.Beaucoup de chercheurs croient qu'il a été écrit en 1610-11, bien que certains chercheurs ont plaidé pour une date plus tôt. Folio de 1623, de nombreux éditeurs modernes ont depuis ré-étiqueté le jeu. Il n'a pas attiré beaucoup d'attention avant la fermeture des théâtres en 1642 et après la Restauration, il n'a atteint la popularité que dans des versions adaptées. rétablir le texte shakespearien original au milieu du XIXe siècle, et au XXe siècle, les critiques et les spécialistes ont entrepris une réévaluation significative de la valeur de la pièce, dans la mesure où elle est maintenant considérée comme l'une des plus grandes œuvres de Shakespeare.
William Shakespeare
William Shakespeare was born in April 1564 in the town of Stratford-upon-Avon, on England’s Avon River. When he was eighteen, he married Anne Hathaway. The couple had three children—an older daughter Susanna and twins, Judith and Hamnet. Hamnet, Shakespeare’s only son, died in childhood. The bulk of Shakespeare’s working life was spent in the theater world of London, where he established himself professionally by the early 1590s. He enjoyed success not only as a playwright and poet, but also as an actor and shareholder in an acting company. Although some think that sometime between 1610 and 1613 Shakespeare retired from the theater and returned home to Stratford, where he died in 1616, others believe that he may have continued to work in London until close to his death.
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Avis sur Shakespeare's Tempest in French
2 064 notations47 avis
- Évaluation : 4 sur 5 étoiles4/5It's Shakespeare. Really, what else can I say?
- Évaluation : 5 sur 5 étoiles5/5Shakespeare at his best.
- Évaluation : 4 sur 5 étoiles4/5love it!!!!
- Évaluation : 5 sur 5 étoiles5/5Amazingg.. It has the ability to enchant every reader through its imagination. The part that I liked less is how (most probably unwittingly I suppose) did Shakespeare show how did Colonisation worked and the attitude of the colonised towards the coloniser. Overall, it gave me a feel of an old tale finishing up. All the negative characters were simply puppets in the hands of Prospers and it was in the understanding of the endurance that we were able to enjoy the present conquests of Prospero. Overall, a wonderful read.
- Évaluation : 5 sur 5 étoiles5/5The Tempest is almost a wisp of a thing. There's little plot and almost no character development. It's like a magic trick: you blow into your hand, and a cloud of flame pops up, and a dove flies out of it, everyone claps.
So the play is the spectacle, and the magic is the language. Prospero's speech, "We are such stuff as dreams are made on," is second maybe only to "All the world's a stage" in crystallizing Shakespeare's philosophy (and better, poetically); and there's Miranda's line, "O brave new world, that has such people in't!" - these and others are among the best lines Shakespeare wrote; and the feel of the play, the atmosphere - that magical island, populated by beasts and wizards, the evocation of a world we were still exploring - it sticks with you, even though, as I said, dramatically speaking, almost nothing happens.
And Caliban! Arguably the only memorable character - Prospero is cool, and Ariel differs from Puck, but is no Puck, and the others are just placeholders, a virtuous maid here, a villainous uncle there - but Caliban, that sniveling, backstabbing, savage would-be rapist, searching for a God whose boots need licking - he's a tremendous find. (And what made me love Tennyson.) Caliban's right up there with Iago.
In some ways, this play is all flash. But what a flash! - Évaluation : 5 sur 5 étoiles5/5It is so-said Shakespeare's last play. Very clear plots attracted me as my first peek at English literature.
- Évaluation : 5 sur 5 étoiles5/5On rereading the Tempest, I realize that despite the title there is very little action in the play and it demonstrates Shakespeare's emphasis on character over plot. But the characters are fascinating. Prospero at times seems a type for the author himself, and of course as such he is the wise master and hero. But at the same time or a moment later, his manipulations and his selfishness make it not too hard to empathize with the hatred he inspires in Caliban, despite Caliban's repugnance. Then in the Epilogue, Prospero, not just a character that walks off of the page, actually asks the audience for permission to walk off of the page before doing so. There is not time to discuss all of the characters, but Miranda's sudden transformation from wondering innocence to worldly cynicism is both startling and yet somehow believable. I remember the Tempest being described as Shakespeare's perfect play, because it so completely conforms to Aristotle's unities of time, place and action. Yet the play has to be considered experimental in its deliberate artificiality and the distance between the audience and the action because it is a play within a play within a play. It is in essence a play about the making of a play. Definitely worth repeated readings.
- Évaluation : 5 sur 5 étoiles5/5O que dizer?
"O, wonder!
How many godly creatures are there here!
How beauteous mankind is! O brave new world,
That has such people in 't!". - Évaluation : 5 sur 5 étoiles5/5Thunder, lightning, magical creatures and islands. A lovely fantasy.
- Évaluation : 3 sur 5 étoiles3/5Not one of the Bard's best.
- Évaluation : 3 sur 5 étoiles3/5Dramatized audio recordings of are difficult for to listen to because there are so many minor characters. This one was a bit more manageable.
- Évaluation : 5 sur 5 étoiles5/5A great play. Never forget Sir Patrick Stewart in the title role. This version includes: Forward, Intro, essay on The Tempest in performance (through 1984), description of the Globe, essay on Shakespeare's sources (with excerpts), annotated bibliography, memorable lines.
- Évaluation : 4 sur 5 étoiles4/5This was the first Shakespeare play I ever read - from an old white-covered paperback I had when I was 9 years old. I probably didn't understand it very well back then. I REALLY liked the title, though.
Now, it's still good stuff.
For me, supplementing my reading with a viewing of Helen Mirren as Prospera... magnified my enjoyment of this book tremendously. - Évaluation : 3 sur 5 étoiles3/5Wizards, man, who knows.
- Évaluation : 3 sur 5 étoiles3/5His weakest work.
- Évaluation : 4 sur 5 étoiles4/5Published 1998.
On this re-reading I noticed that the word "brave" was used a few times in the movies that I watched (Taymor, 2010 & Jarman 1979).
I like this word. It generates a very good feeling in my heart. This word often makes me think of someone who has a quality to face something difficult with the strength of heart / mind / body... Does not take me much to feel a respect and admiration for this person...
I also come to know that the word "brave" describes something wonderful, admirable in appearance...
And I just got curious to see how often the word "brave" was used in "The Tempest". And I started reading the play to look for the word "brave" and "bravely", and every time I found one of these words, I put a post-it note to the page to keep track of it... No, I did not use any fancy software to sort out the words or count the words... The work was done manually... Though I tried to be as faithful and accurate as possible, there might be a few occasions that I missed finding these words...
It looks like there are 11 occasions that the words "Brave" or "Bravely" were mentioned...
The rest of this review can be found elsewhere. - Évaluation : 5 sur 5 étoiles5/5One of Shakespeare's more unusual an fanciful plays. Not as silly as most of the comedies (and I don't mean silly in a good way). Full of great characters and some of Shakespeare's best quotes. And, of course, the inspiration for Forbidden Planet.
- Évaluation : 3 sur 5 étoiles3/53½ stars - I found I had some trouble in parts with following the action just reading this rather than seeing a performance. I also found Prospero's sudden reconciliation with his brother rather unconvincing.
- Évaluation : 3 sur 5 étoiles3/5This is my second read through of the play. I'm still not necessarily a fan; the way that Prospero gives blanket forgiveness to Alonso and Antonio seems forced, even if I have a better understanding of why he did it. In addition, the subplot with Sebastian and Antonio's attempt on the king's life goes nowhere. Prospero is still incredibly unlikeable as a main character.
As far as this specific version goes, it has to be one of my favorite editions in terms of how it handles footnotes. Most versions have ALL notes either lumped into the bottom, or on the facing page to the play. It makes it difficult sometimes to find what you're looking for without disturbing the flow of your reading. This book relegates short notes (one or two word translations of the Renaissance word into modern English) to the left of the line it occurs in, and longer footnotes and explanations to the facing page. Aside from an uncomfortable amount of white space on each page, it is an excellent edition. - Évaluation : 3 sur 5 étoiles3/5For the past year, the fates have been telling me I needed to read William Shakespeare's final work The Tempest. Alright fates, I did it! Now you can shove it!!!
Honestly, I was disappointed. There was so much potential in this one, but it was as though Shakespeare, “The Man,” was giving up. Great premise, great setting, great characters with witty dialogue, but why, Prospero? Why do you relent so easily? Ferdinand, what do you see in Miranda? What was the point of it all, Shakespeare? It wasn't clear. These characters just could not convince me of this world.
The ending was classic. C-L-A-S-S-I-C. It seems “The Man” knew he was retiring. Having the magician, Prospero—possibly a reflection of Shakespeare himself—address the audience was brilliant. He explains his mission was to entertain, begs pardon for all his wrongs, and asks to be set free. Loved it.
If only the rest of the play could have been so affecting and clever. Nonetheless, I thank The Man for his entertainment, forgive him his wrongs, and set him free. Run, Shakespeare run. - Évaluation : 5 sur 5 étoiles5/5A strange but moving work, performed here by a wonderful set of players.
- Évaluation : 4 sur 5 étoiles4/5This wasn't quite a comedy and isn't a tragedy. Prospero is an interesting character -- a scholar, a duke, a stranded man, a plotter, and a dad.
- Évaluation : 5 sur 5 étoiles5/5This is a genuinely good work of drama, which I had to read for my Intro. to Drama class. This is one of those works of Shakespeare that has been done in a multitude of forms and variations, so it is quite likely that everyone has a rough idea of the story. Still, you really cannot replace the original. It's a bit odd, but quite good fun as well. As to the edition itself, I found it to be greatly helpful in understanding the action in the play. It has a layout which places each page of the play opposite a page of notes, definitions, explanations, and other things needed to understand that page more thoroughly. While I didn't always need it, I was certainly glad to have it whenever I ran into a turn of language that was unfamiliar, and I definitely appreciated the scene-by-scene summaries. Really, if you want to or need to read Shakespeare, an edition such as this is really the way to go, especially until you get more accustomed to it.
- Évaluation : 5 sur 5 étoiles5/5Absolutely my favorite of Shakespeare's plays. His vision and poetic skill have come to full maturity in this fantasy of loss and redemption.
- Évaluation : 5 sur 5 étoiles5/5I read this before I saw it staged at the Pittsburgh Public Theater. This is Shakespeare's masterpiece.
- Évaluation : 4 sur 5 étoiles4/5I enjoyed this, though it was a little hard to keep track of everyone and the spirits too.
- Évaluation : 5 sur 5 étoiles5/5This is one of my favorite of Shakespeare's plays, in terms of the richness of the story and the language.
- Évaluation : 3 sur 5 étoiles3/5Even a genius is allowed to be average once in a while. Reportedly the last play Shakespeare wrote on his own, I can't help but wonder if he mailed it in on this. Maybe he needed the money? Maybe he was fulfilling a contract for one more play, much like Hitchcock did with the abhorrent movie Jamacia Inn, his last British production before moving to Hollywood. Whatever the case, The Tempest was neither romantic enough to make me fall in love, tragic enough to make me sad or funny enough to make me laugh. But, it is Shakespheare so even his meh efforts are better than most, but still. Not up to his standards.
I read along with the text while I listened to the audio version, a practice I highly recommend. I wish I could have done that in high school. I'll definitely suggest immersion reading to my children as they enter high school and discover Shakespeare. - Évaluation : 3 sur 5 étoiles3/5A quick reread ahead of seeing Julie Taymor's big-screen adaptation. The first/last time I read this play was aeons ago in school, and since it's not one of my favorite ones --the ones I read/see again and again-- I found I needed some help from time to time. I enjoyed the re-encounter with the play as I only remembered vaguely that there was a sorcerer and his daughter, and the most popular quotations: strange bedfellows, brave new world and such stuff as dreams are made of.. Now, I'm ready but it's still not one of my favorite plays.
- Évaluation : 5 sur 5 étoiles5/5The story of a prince who is shipwrecked in a strange land on his journey home is a frequent theme of Classical literature. These strange lands are almost certainly snares, attempts to prevent the hero from fulfilling his destiny and arriving at his homeland, and the usual method of entrapment is seduction.Odysseus on Calypso's island, Aeneas in Carthage, and Jason and Medea as told in the Metamorphoses. In The Tempest, Ferdinand finds himself in just such a situation. Washed up on a strange shore, Ferdinand meets the strange and entrancing woman who bewitches him and inspires him to remain in captivity instead of heading home to rule his city. He believes that he is the king (1.2.435 "Myself am Naples"), but will remain on the island for Miranda's sake. What makes The Tempest different from the other stories is the presence of Prospero, the one who is actually orchestrating the lovers' encounter.Prospero was a philosopher-king defeated by a MachiavelProspero was a stranger ot his state, "being transported / and rapt in secret studies." Antonio is described as having set "All hearts i' the' state / to what tune pleased his ear, . . " (1.2.79-116), who realized that he had to learn Machiavellianism if he was to maintain his throne. He speaks in Machiavellian terms of Fortune bringing him the opportunity which he must not neglect (1.2.178-184). He manipulates the situation to his best possible advantage; intersetingly, he does this through Baconian methods. His whole life has been about studying ways to manipulate nature, achieving power over nature. This is what enables him in the end to achieve power over the shipwrecked men -- for the power of man over Nature really means the power of some men over other men with Nature as the instrument.Prospero takes a fundamentally adversarial stance to Nature as portrayed by both of the original inhabitants of the island, Caliban and Ariel. He originally tried being nice to Caliban (1.2.344-348), but learned to his chagrin that this part of nature is tricksy and unyielding. He also freed Ariel from the pine tree, but only because Ariel is useful to him; he dominates Ariel, praising and scorning him by turns even as a large part of his power depends on the sprite. He cannot afford to alienate Ariel as he has alienated Caliban, but he still dominates. Prospero believes that he is manipulating everything for the greater good, but he is still manipulating it all, and this will eventually lead to what we know as the Brave New World (5.1.182-185).It is possible to argue that Prospero's endeavor is not Baconian, since he rarely directly manipulates nature but instead relies on a cooperative spirit. Lewis described the eschatology of our power over Nature in Miracles, this way: "In the walking on the Water we see the relations of spirit and Nature so altered that Nature can be made to do whatever spirit pleases. This new obedience of Nature is, of course, not to be separated even in thought from spirit's own obedience to the Father of Spirits. Apart from that proviso such obedience by Nature, if it were possible, would result in chaos: the evil dream of Magic arises from finite spirit's longing to get that power without paying that price. The evil reality of lawless applied science (which is Magic's son and heir) is actually reducing large tracts of Nature to disorder and sterility at this very moment." But when Prospero hears of Gonzalo's tears, his reason defeats his baser desires for vengeance and he realizes that all his manipulation is of the same school as Medea's.(5.1.15-20) It's not noble, it's selfish witchcraft, and he renounces it by quoting Medea's own description of her powers.
Aperçu du livre
Shakespeare's Tempest in French - William Shakespeare
LA TEMPÊTE PAR WILLIAM SHAKESPEARE, TRADUCTION DE M. GUIZOT
published by Samizdat Express, Orange, CT, USA
established in 1974, offering over 14,000 books
Other Shakespeare romances in French translation (by M. Guizot):
Cymbeline
Périclès
Le Conte D'hiver
feedback welcome: [email protected]
visit us at samizdat.com
Ce document est tiré de: OEUVRES COMPLÈTES DE SHAKSPEARE
NOUVELLE ÉDITION ENTIÈREMENT REVUE AVEC UNE ÉTUDE SUR SHAKSPEARE DES NOTICES SUR CHAQUE PIÈCE ET DES NOTES
PARIS A LA LIBRAIRIE ACADÉMIQUE DIDIER ET Ce, LIBRAIRES-ÉDITEURS 35, QUAI DES AUGUSTINS, 1864
NOTICE SUR LA TEMPÊTE
PERSONNAGES
ACTE PREMIER
SCÈNE I, Sur un vaisseau en mer. Une tempête mêlée de tonnerre et d'éclairs.
SCÈNE II, (La partie de l'île qui est devant la grotte de Prospero.)
DEUXIÈME ACTE
SCÈNE I (Une autre partie de l'île.)
SCÈNE II, (Une autre partie de l'île. On entend le bruit du tonnerre.)
TROISIÈME ACTE
SCÈNE I (Le devant de la caverne de Prospero.)
SCÈNE II (Une autre partie de l'île.)
SCÈNE III (Une autre partie de l'île.)
ACTE QUATRIÈME
SCÈNE I (Le devant de la grotte de Prospero.)
ACTE CINQUIÈME
SCÈNE I (Le devant de la grotte de Prospero.)
NOTICE SUR LA TEMPÊTE
«Je ne saurais jurer que cela soit ou ne soit pas réel,» dit, à la fin de la Tempête, le vieux Gonzalo tout étourdi des prestiges qui l'ont environné depuis son arrivée dans l'île. Il semble que, par la bouche de l'honnête homme de la pièce, Shakspeare ait voulu exprimer l'effet général de ce charmant et singulier ouvrage. Brillant, léger, diaphane comme les apparitions dont il est rempli, à peine se laisse-t-il saisir à la réflexion; à peine, à travers ces traits mobiles et transparents, se peut-on tenir pour certain d'apercevoir un sujet, une contexture de pièce, des aventures, des sentiments, des personnages réels. Cependant tout y est, tout s'y révèle; et, dans une succession rapide, chaque objet à son tour émeut l'imagination, occupe l'attention et disparaît, laissant pour unique trace la confuse émotion du plaisir et une impression de vérité à laquelle on n'ose refuser ni accorder sa croyance.
«C'est ici surtout, dit Warburton, que la sublime et merveilleuse imagination de Shakspeare s'élève au-dessus de la nature sans abandonner la raison, ou plutôt entraîne avec elle la nature par delà ses limites convenues.» Tout est à la fois, dans ce tableau, fantastique et vrai. Comme s'il était le créateur de l'ouvrage, comme s'il était le véritable enchanteur entouré des illusions de son art, Prospero, en s'y montrant à nous, semble le seul corps opaque et solide au milieu d'un peuple de légers fantômes revêtus des formes de la vie, mais dépourvus des apparences de la durée. Quelques minutes s'écouleront à peine que l'aimable Ariel, plus léger encore que lorsqu'il arrive avec la pensée, va échapper au contact même de la baguette magique, et, libre des formes qu'on lui prescrit, libre de toute forme sensible, va se dissoudre dans le vague de l'air, où s'évanouira pour nous son existence individuelle. N'est-ce pas un prestige de la magie que cette demi-intelligence qui paraît luire dans le grossier Caliban? et ne semble-t-il pas qu'en mettant le pied hors de l'île désenchantée où il va être laissé à lui-même, nous allons le voir retomber dans son état naturel de masse inerte, s'assimilant par degrés à la terre dont il est à peine distinct? Que deviendront, loin de notre vue, cet Antonio, ce Sébastien, si prompts à concevoir le dessein du crime, cet Alonzo, si facilement et légèrement accessible à tous les sentiments? Que deviendront ces jeunes amants, sitôt et si complétement épris, et qui, pour nous, semblent n'avoir eu d'autre existence que d'aimer, d'autre destination que de faire passer devant nos yeux les ravissantes images de l'amour et de l'innocence? Chacun de ces personnages ne nous révèle que la portion de son caractère qui convient à sa situation présente; aucun d'eux ne nous dévoile en lui-même ces abîmes de la nature, ces profondes sources de la pensée où descend si souvent et si avant Shakspeare; mais ils en déploient sous nos yeux tous les effets extérieurs: nous ne savons d'où ils viennent, mais nous reconnaissons parfaitement ce qu'ils semblent être; véritables visions dont nous ne sentons ni la chair ni les os, mais dont les formes nous sont distinctes et familières.
Aussi, par la souplesse et la légèreté de leur nature, ces créatures singulières se prêtent-elles à une rapidité d'action, à une variété de mouvements dont peut-être aucune autre pièce de Shakspeare ne fournit d'exemple; il n'en est pas de plus amusante, de plus animée, où une gaieté vive et même bouffonne se marie plus naturellement à des intérêts sérieux, à des sentiments tristes et à de touchantes affections: c'est une féerie dans toute la force du terme, dans toute la vivacité des impressions qu'on en peut recevoir.
Le style de la Tempête participe de cette espèce de magie. Figuré, vaporeux, portant à l'esprit une foule d'images et d'impressions vagues et fugitives comme ces formes incertaines que dessinent les nuages, il émeut l'imagination sans la fixer, et la tient dans cet état d'excitation indécise qui la rend accessible à tous les prestiges dont voudra l'amuser l'enchanteur. Il est de tradition en Angleterre que le célèbre lord Falkland[1], M. Selden et lord C.J. Vaughan, regardaient le style du rôle de Caliban, dans la Tempête, comme tout à fait particulier à ce personnage, et comme une création de Shakspeare. Johnson est d'un avis opposé; mais, en admettant que la tradition soit fondée, l'autorité de Johnson ne suffirait pas pour infirmer celle de lord Falkland, esprit éminemment élégant et remarquable, à ce qu'il paraît, par une finesse de tact qui, du moins dans la critique, a souvent manqué au docteur. D'ailleurs lord Falkland, presque contemporain de Shakspeare puisqu'il était né plusieurs années avant sa mort, aurait droit d'en être cru de préférence sur des nuances de langage qui, cent cinquante ans plus tard, devaient se perdre pour Johnson sous une couleur générale de vétusté. Si donc l'on avait quelque titre pour décider entre eux, on serait plutôt tenté d'ajouter foi à l'opinion de lord Falkland, et même d'appliquer à l'ouvrage entier ce qu'il a dit du seul rôle de Caliban. Du moins peut-on remarquer que le style de la Tempête paraît, plus qu'aucun autre ouvrage de Shakspeare, s'éloigner de ce type général d'expression de la pensée qui se retrouve et se conserve plus ou moins partout, à travers la différence des idiomes. Il faut probablement attribuer en partie ce fait à la singularité de la situation et à la nécessité de mettre en harmonie tant de conditions, de sentiments, d'intérêts divers, enveloppés pour quelques heures dans un sort commun et dans une même atmosphère surnaturelle. Dans aucune de ses pièces, d'ailleurs, Shakspeare ne s'est montré aussi sobre de jeux de mots.
[Note 1: L'homme le